LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE (G.E.U.) A LA MATERNITE CENTRALE DE REFERENCE DE NIAMEY (NIGER) Aspects : diagnostic, thérapeutique et pronostique
|
|
- Liliane Thibault
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE (G.E.U.) A LA MATERNITE CENTRALE DE REFERENCE DE NIAMEY (NIGER) Aspects : diagnostic, thérapeutique et pronostique RESUME Classiquement la G.E.U. se définit comme étant toute grossesse qui se développe en dehors de la cavité utérine. Elle est fréquente du fait de la croissance des salpingites dues aux maladies sexuellement transmissibles (M.S.T.). La survenue d une G.E.U. compromet gravement l avenir obstétrical des patientes, qui généralement ont été consultées et traitées pour stérilité, d où l import a n c e d un diagnostic précoce avant la rupture en vue d une chirurgie conservatrice, or les patientes sont souvent reçues au stade de rupture, ce qui a motivé les auteurs à se pencher sur ce travail. Mots-clés : Grossesse extra-utérine, Maternité référence, Niamey. OBJECTIFS. Déterminer la fréquence de la G.E.U. à la Maternité Centrale de référence de Niamey,. Définir une attitude thérapeutique,. Proposer des solutions en vue de l amélioration du pronostic. PATIENTES ET METHODE C est une étude rétrospective descriptive réalisée à la Maternité Centrale de Niamey, centre de référence de la pyramide sanitaire. Elle s étend du 1er mars 1996 au 31 janvier L étude a pris en compte, toutes les patientes ayant une G.E.U. rompue ou pas, diagnostiquée dans le service ou référée, s étant présentées à la Maternité Centrale pendant la période d étude et dont les dossiers ont permis une exploitation des données. Plusieurs paramètres ont été étudiés et ont abouti aux résultats suivants. Pendant la période d étude, 46 cas de grossesse extra-utérine ont été recensés sur 948 admissions pour pathologies gynécologiques. Au cours de la période, 656 interventions c h i r u rgicales gynécologiques ont eu lieu soit une G.E.U. pour 10,75 interventions chirurgicales. La fréquence des G.E.U. a été évaluée à 4,85 % sur 948 admissions gynécologiques, 90 % des patients viennent de la communauté urbaine de Niamey. L âge des patients se situe entre 18 et 45 ans avec un maximum entre 22 et 35 ans. La fréquence la plus élevée de G.E.U. s observe chez les primipares 48,15 %. La méthode diagnostique la plus utilisée a été la ponction du Douglas dans 96 %, la G.E.U. rompue avec hémopéritoine a été la forme la plus fréquente 98,13 %. On a relevé 2 formes associées à un kyste de l ovaire. 2 associations avec pyosalpinx de la trompe controlatérale. 1 cas découvert au cours d une laparotomie pour suspicion de pelvipéritonite dans une tentative d avortement provoqué. La salpingectomie a été la cure chirurgicale la plus utilisée 98 %. La morbidité a été importante 98 % de salpingectomies. La mortalité est faible (1 seul décès). Pour améliorer le pronostic, les auteurs recommandent :. une information et une éducation des groupes cibles,. un dépistage des pathologies annexielles et leur prise en charge correcte,. un diagnostic des grossesse dès le début ce qui permettra avec le support de l échographie de faire un diagnostic précoce des G.E.U. en vue d une chirurgie conservatrice et salvatrice.
2 LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE 366 INTRODUCTION la grossesse extra-utérine se définit classiquement comme étant toute grossesse qui se développe hors de la cavité utérine (1, 2, 3, 4). Elle est fréquente du fait de la croissance des Maladies Sexuellement Transmissibles (M.S.T.). Si la mortalité liée à la G.E.U. a considérablement baissée, il n en demeure pas moins que les problèmes liés à la morbidité sont importants. La survenue d une G.E.U. compromet gravement l avenir obstétrical des patientes, qui généralement ont été traitées pour stérilité d où l importance d un diagnostic précoce, en vue d une chirurgie conservatrice, or les patientes sont souvent reçues au stade de rupture. Il y a aussi que la G.E.U. est l une des principales urgences hémorragiques rencontrées en milieu gynéco-obstétrical (5). C est pour autant de raisons que les auteurs ont entrepris ce travail qui a pour objectifs de :. déterminer la fréquence de la G.E.U. à la maternité centrale de référence de Niamey,. définir une attitude thérapeutique,. proposer des solutions en vue d une amélioration du pronostic. I - CADRE D ETUDE La maternité centrale de Niamey est le cadre de cette étude, c est un centre de référence de la pyramide sanitaire du Niger couvrant les problèmes d urgence d environ habitants. Elle draine les urgences de la population de Niamey ainsi que les patientes transférées des maternités périphériques et des districts sanitaires de Say, Ouallam, Filingué, Téra ainsi que la préfecture de Tillabéry. Dans cette étude, les patientes pour la plupart viennent de la commune de Niamey. II - MATERIEL ET METHODES C est une étude rétrospective, descriptive réalisée à la maternité centrale de référence de Niamey. Elle s étend du 1er mars 1996 au 31 janvier L étude a pris en compte, toutes les patientes ayant fait une G.E.U. rompue ou pas, diagnostiquée dans le service sur référée, s étant présentées à la Maternité Centrale pendant la période d étude et dont les dossiers ont permis une exploitation des donnée. la méthode de test statistique a été le Chi 2. Les registres d urgence, de consultations, de protocoles opératoires, les documents hospitaliers en unité de gynécologie, ont servi de support matériel pour réaliser le travail. Plusieurs paramètres ont été étudiés et ont abouti aux résultats suivants. III -RESULTATS A. Aspects épidémiologiques 1. Fréquence Pendant la période, nous avons colligé 61 dossiers de G.E.U. pour 948 admissions pour pathologies gynécologiques. Au cours de la période 656 interventions chirurgicales gynécologiques ont eu lieu, soit une G.E.U. pour 10,75 interventions chirurgicales gynécologiques. La fréquence globale de la G.E.U. a été évaluée à 6,43 % sur 948 admissions gynécologiques. 2. Age Pour réaliser ce tableau nous avons choisi des tranches d âges de 5 ans. Tableau n 1 : Répartition des G.E.U. en fonction de l âge des patientes Age Nb de G.E.U. % ans 4 6, ans 18 29, ans 21 34, ans 12 19, ans 4 6,56 41 et plus 2 3,29 La fréquence la plus élevée s observe entre 20 et 29 ans (63,93 %). L âge moyen est estimé à 27 ans. C est l âge de pleine activité génitale.
3 Parité Tableau n 2 : Répartition des patientes en fonction de la parité Parité Nb de G.E.U. % Nullipares 12 19,67 Primipares (parité 1) 18 29,50 Paucipares (parité 2 et 3) 16 26,23 Multipares (parité 4 et 5) 10 16,40 Grandes multipares (6 et +) 5 8,20 Ce sont les femmes infertiles ou ayant tout au plus 1 enfant qui sont les plus exposées 49,17 % 4. Statut matrimonial, profession, espace intergénésique, niveau socio-économique Les données n ont pas permis l exploitation de ces paramètres par insuffisance de données. 5. Antécédents gynéco-obstétricaux relevés Tableau n 3 Antécédents gynécologiques Nb % Notion de stérilité traitée 37 60,62 Antécédents d interventions chirurgicales gynécologiques 7 11,50 Antécédents d infections utéro-annexielles 15 24,60 Antécédents d avortements 2 3,28 La notion de stérilité traitée et les infection utéro-annexielles ont été les antécédents les plus retrouvés respectivement 60 % et 25 %. B. Aspects anatomo-cliniques 1. Clinique Circonstances de découverte :. en urgence dans un tableau d hémopéritoine dans 96 % des cas,. un cas de G.E.U. découvert au cours d une laparotomie pour suspicion de pelvo-péritonite après une tentative d avortement provoqué.. deux cas de G.E.U. non rompues, mises en évidence au cours de consultations pour algies pelviennes et perturbation du cycle. Le tableau clinique est celui d une grossesse anormale, douloureuse et hémorragique dans 96 % des cas. L examen clinique permet de trouver un utérus de taille normale, un culs de sac latéral très sensible et comblé, un cul de sac de Douglas sensible et bombé orientant la ponction. Toutes les patientes ont bénéficié d une échographie. Les images observées ont été celles d une vacuité utérine, d une image annexielle douteuse, la présence d un sac ovulaire extrautérin avec un embryon inerte. Souvent l épanchement dans le Douglas a été mis en évidence. Aucune des patientes n a bénéficié d une cœlioscopie soit diagnostique ou thérapeutique compte tenu du contexte d hémopéritoine important. La ponction du Douglas a été réalisée dans 95 % des cas, elle est positive dans 95 %. Une ponction négative dans une G.E.U. fissurée. 2. Aspects anatomo-pathologiques A la laparotomie, l hémopéritoine a été retrouvé dans 95 % des G.E.U. rompues. Ce qui rend parfois difficile une description anatomo-patholiques des lésions observées, d autant plus que les ruptures évoluent souvent déjà depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Il a été observé seulement 2 cas de G.E.U. non rompue siégeant à gauche. La variété topographique la plus fréquente a été la G.E.U. ampullaire, on a retrouvé des variétés isthmiques et intertielles, 1 cas de siège angulaire. La G.E.U. ovarienne et abdominale n ont pas été retrouvées dans notre série. Un certains nombre de cas particuliers a été enregistré : un cas de G.E.U. après un avortement provoqué clandestin, 2 association G.E.U. + kyste de l ovaire, 1 G.E.U. + hydrosalpinx. L état de la trompe controlatérale n est mentionné que dans 5 dossiers. Les pièces opératoires n ont pas été envoyées au laboratoire d anatomo-pathologie. C. Traitement La cure chirurgicale dans 100 des cas, la voie d abord est le plus souvent la cœliotomie médiane sous ombilicale, rarement la technique de Pfannestiel. La salpingectomie a été l acte chirurgical le plus fréquent, une annexectomie
4 LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE 368 s est imposée dans 5 % des cas. Il y a eu une annexectomie bilatérale pour lésions tubaires bilatérales importantes et ovaires méconnaissables. Deux fois seulement la trompe concernée est conservée par ampulotomie (dans les 2 cas de G.E.U. non rompue). L antibioprophylaxie préconisée par certains auteurs africains, n a pas été faite dans notre série. Une réanimation a été nécessaire pour 80 % des patients, elle a consisté en une transfusion sanguine et à une perfusion de solutés macromoléculaires. D. Pronostic Mortalité - Morbidité Un seul décès maternel enregistré (1,63 %) par choc hypovolémique. Bien que la mortalité maternelle soit basse, la morbidité est importante. 3 cas de suppuration pariétale. 5 de salpingectomie, 3 d annexectomiedont une de l annexe controlatérale donc une annexectomie bilatérale. Ces femmes sont condamnés à ne plus concevoir dans un contexte socio-culturel africain. Le retentissement psychosocial est donc important. La durée moyenne de séjour est de 6 jours (69 % des cas) et environ 50 % sont autorisées à sortir au 5ème jour de leur admission, 2 sont restées 12 et 14 jours. A long terme, le pronostic de la morbidité est difficile à apprécier d autant plus que les patientes sont perdues de vue ou ne peuvent bénéficier d un second look par cœlioscopie. La persistance des séquelles inflammatoires compromettent gravement l avenir obstétrical des patientes, cela relève de la procréation médicalement assistée non possible actuellement dans notre cadre de travail. III - COMMENTAIRES A. Des aspects épidémiologiques 1. La fréquence La fréquence de 6,43 % est une fréquence élevée par rapport à celle des études( antérieures au Niger - 0,93 % (6), elle est inférieure à certaines données de la littérature africaine (16 % (5,7 %), et même européenne qui varient entre 12 et 14 % (8, 9). L accroissement de cette fréquence par rapport aux études antérieures au Niger, pourrait s expliquer par la recrudescence des Maladies Sexuellement Transmissibles non traitées ou mal traitées à cause de l automédication qui n est pas rare. 2. De l âge et de la parité La majeure partie des patientes est âgée de 20 à 34 ans, l âge moyen est de 27 ans, nos résultats sont presque similaires à ceux de la littérature (10, 11). Quant à la parité, ce sont surtout les femmes jeunes souvent infertiles ou ayant tout au plus un enfant qui sont les plus exposées. La notion de stérilité comme facteur de risque est retrouvée par certains auteurs (12). B. Des aspects anatomo-cliniques Les facteurs de risque de G.E.U. restent les mêmes que dans la littérature : l âge jeune, la notion de M.S.T., la notion de stérilité primaire ou secondaire traitée ou non (5, 6, 12). Le diagnostic a été possible grâce à l examen clinique mais surtout la ponction du Douglas qui a été positive dans 95 % des cas. Ce geste simple revêt une grande importance dans nos pays où les moyens d investigation sont limités. Plusieurs auteurs africains la retiennent comme moyen de diagnostic des G.E.U. rompues (MOREAU et ZINSOU à Dakar) (5, 11). A l échographie, le contexte clinique, la vacuité utérine et l image annexielle douteuse ont orienté le diagnostic, selon certains auteurs toute image annexielle suspecte doit faire éliminer une G.E.U. jusqu à preuve du contraire (5). La clinique n est pas en reste, elle doit être d un grand apport ans nos pays en développement. Aspects anatomiques La G.E.U. ampullaire a été la plus fréquente, nos résultats corroborent ceux de la littérature (7, 13, 14), le siège est indifféremment à droite qu à gauche, dans notre série 31 fois à gauche et 30 fois à droite. La forme rompue prédomine 96 %, cela dénote de l arrivée tardive des patientes. L examen histologique et anatomo-pathologique des pièces opératoires n a pas été possible, car non adressé au laboratoire. Cela pose le problème de changement d attitude, souvent les médecins n ont pas ce réflexe, d autres fois c est un problème financier qui l explique. Les patientes n ayant pas la possibilité de payer les analyses, elles sont pour la plupart sans revenu. C. Du traitement La salpingectomie et l annexectomie ont été les actes chi-
5 369 rurgicaux les plus fréquentes 97 %. La conservation tubaire n a été possible que dans 3 %. Cela dénote la particularité de la G.E.U. dans les pays sous médicalisés. Cela pose également un problème d éducation pour la santé afin que les patients consultent tôt. En quelque sorte, il se pose le problème de diagnostic précoce de la G.E.U. en vue d une chirurgie conservatrice. D. Du pronostic Mortalité - Morbidité Mortalité : 1,63 % dans ce travail, ce chiffre est nettement inférieur à ceux de plusieurs auteurs (5, 7). cela s explique par la prise en charge des patientes qui s est beaucoup améliorée depuis la réfection et la restructuration du centre de référence, cadre de l étude. Cette mortalité peut être encore diminuée, avec un diagnostic précoce, une qualification des moyens d investigations. Morbidité : elle demeure préoccupante, les formes de G.E.U. rencontrées tardivement compromettent l avenir obstétrical des patientes. Dans un contexte socio-culturel africain, cela détermine un retentissement psycho-social important. CONCLUSION La grossesse extra-utérine est l une des principales urgences de la maternité centrale d Niamey. Tous les praticiens doivent penser à cette affection devant out signe évocateur. la meilleure conduite est dans la prévention des MST et une prise en charge de toute femme en activité génitale dans les sept premières semaines d aménorrhée permettant ainsi un diagnostic précoce et d envisager un geste cœlio-chirurg i - cal conservateur de la trompe. La vulgarisation et la possibilité de faire certaines techniques d investigation tels que l échographie, le dosage des BHCG, la cœlioscopie seraient d un bon apport. Ceci permettrait d améliorer le pronostic de la G.E.U. et de réduire la morbidité et la mortalité. BIBLIOGRAPHIE 1 - H. DE TOURRIS, R. HENRION, M. DELEFCOUR Abrég illustré de gynécologie obstétrique, 6è Edition Masson P I. LANSAC, P. LECOMTE Gynécologie pour le praticien. 2e Edition - SIMEP - P H.G. ROBERT, R. PALMERS, G. BOURY Précis de gynécologie, 2e édition Masson p IDI NAFIOU Contribution à l étude des grossesses extra-utérines avancées - à propos de 6 cas à la maternité centrale de Niamey. Thèse pour le Doctorat en Médecine, 1982 : n MORREAU J.C., RUPARIL, L. DIOUF A., MENDES V., BAH M.D., DIADHIOUF. Aspects épidémiologiques et anatomo-cliniques des grossesses extrautérines (G.E.U.). au CHU de Dakar. Dakar Médical, 1995, 40, 2 : BOUKARY BOUWAYE AISSA Contribution à l étude des aspects épidémio-cliniques des grossesses extra-utértines. Etude prospective à propos de 84 cas observés à la maternité centrale de Niamey. Thèse pour le Doctorat en Médecine, Niamey, 1986, N PICAUD A., NLOME-NZE A..; OGOWET IGUMU N., FAYE A., LOUNDOU J. La grossesse extra-utérine. Etude de 509 cas traités chirurgicalement au CHU de Libreville. J. Gynécol. Obstét. Biol. Reprod. 1989, 18 : COSSARD F., DAGUIN M.L. BRUNE La grossesse extra-utérine. Le journal des agrégés, 1983, 16 : HAUUG J.P., MADELENAT P. La grossesse extra-utérine aujourd hui. Revue prat., 1987, 37, (39) : GILLET J.S., OLIVERO J.F., GABAUDE B., SIMONE F. Aspects épidémiologiques de la G.E.U. et attitude thérapeutique. A propos de 200 cas en série continue. Rev. Fr.Gynécol. Obstet. 1987, 82, 7 (9) : ZINZOU D., ALIHONOU E., SYLLA S., MENSAHA, SIMAGA D., LAWSON G. A propos d une série de 123 grossesses extra-utérines chez l africaine à Dakar. Bull. Soc. Méd. Afr. Nre-Lgue Frse, 1975, 163 : CISSE C.A.T. Profil épidémiologique de la stérilité conjugale au C.H.U. de Dakar : Etude rétrospective de 7 ans (janvier décembre 1988). Thèse Méd. Dakar, 1990, n DUBUISSON J.B., AUBRIOT F.X.N, VACHER LAVENU M.C., PICHARD C., HENRION R. Salpingite chronique et grossesse extra-utérine - résultats de l étude histologique de 215 grossesse tubaires. J. Gynéc. Obstét. Biol. Reprod. 1987, 16, MOGUEY A.S., DIA A. MBAYE E.M., DIOP A., RUGWIZANGOGA E., TOURE C.T. Etude statistique de 265 grossesse extra-utérines. Dakar Médical 1983, 3 (28) :
Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailLES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques
LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailComprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches
Comprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches 2002 Sommaire Introduction 4 1 Le cancer de l ovaire 10 2 Le diagnostic 21 3 Les traitements
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDROITS A L ASSURANCE MATERNITE
I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailIncontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement
Incontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement Isabelle Aubin UFR Paris 7 Cinq propositions pour une meilleure prise en charge en médecine générale de l incontinence
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailMédecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques
Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailBourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes
Objectifs Bourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes Le Fond pour la santé des femmes (FSF) à pour objectif principal de développer et soutenir financièrement des actions de formation d information
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailpour les citoyens non communautaires
Progetto cofinanziato da UNIONE EUROPEA Fondo Europeo per l Integrazione dei Cittadini dei Paesi Terzi pour les citoyens non communautaires www.inmp.it TABLE DES MATIÈRES Glossaire 2 Informations générales
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détail