On appelle organes des sens : les yeux, les oreilles, les fosses nasales, la langue, la peau.
|
|
- Luc Pierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vue, ouïe, odorat, toucher et goût sont les 5 sens qui renseignent le cerveau sur ce qui se passe à l extérieur du corps. Les organes sensoriels renferment une multitude de cellules nerveuses motrices. Des messages provenant de sources distinctes sont captés par des récepteurs différents et transmis au cerveau par les nerfs sensitifs. Les organes des sens On appelle organes des sens : les yeux, les oreilles, les fosses nasales, la langue, la peau. Chacun de ces organes est spécialisé : adapté pour recevoir avec le maximum d efficacité un stimulus externe adéquat : - Lumière pour les yeux - Vibrations sonores pour les oreilles - Molécules chimiques pour les fosses nasales et la langue Le toucher est plus diversifié : plusieurs types de sensibilité. Sensibilité : au contact léger, à la pression, à la température, à la douleur. Les 5 sens L œil et la vue La vue est sans doute le plus important de nos sens. Ce sont les yeux qui permettent au corps de se déplacer qui nous renseignent sur l environnement en captant les rayons lumineux réfléchis par
2 les objets regardés. Ces rayons lumineux pénètrent dans l œil par la pupille puis le cristallin qui les concentre sur la rétine en une image renversée transmise au cerveau sous forme de signaux électriques A n a t o m i e d e l œ i l Le globe oculaire est une sphère creuse formée de 3 couches : la sclère, solide enveloppe externe composant le blanc de l œil ; à l avant elle devient transparente et forme la cornée, puis une couche colorée dont la partie avant est appelée iris. Enfin la couche tapissant l intérieur du globe oculaire appelée rétine. Les cellules photosensibles de la rétine envoient des informations au cerveau par le nerf optique. Le rond noir au milieu de l iris s appelle la pupille. Le cristallin se trouve derrière la pupille, protégé à l avant par un liquide et à l arrière par une matière gélatineuse transparente. Ces deux substances contribuent à donner sa forme au globe oculaire. Une fine membrane transparente, appelée conjonctive protège la partie visible de l œil et forme le revêtement interne des paupières. Cils et paupières font obstacle aux poussières et les larmes nettoient en permanence la conjonctive. M é c a n i s m e d e l a v i s i o n - Réceptionner les rayons lumineux - Conduire les rayons lumineux sur la rétine pour former une image nette constituée d une multitude de points lumineux qui arrivent au même endroit - Transformer les points lumineux en influx nerveux pour être transmis au cerveau, responsable de l analyse et de l interprétation des images visuelles. En arrivant sur la rétine, les rayons lumineux stimulent les cellules visuelles : cônes et bâtonnets qui réagissent en créant un influx nerveux. L image qui arrive sur la rétine est petite et renversée. L influx nerveux créé par les cônes et les bâtonnets est transmis aux cellules nerveuses puis au nerf optique et gagne le chiasma optique où une partie des fibres nerveuses s entrecroise de telle façon que chaque hémisphère cérébral reçoive des influx provenant des deux yeux et arrive enfin au cerveau. L e s a n o m a l i e s d e l a v i s i o n Elles sont dues à une déformation du globe oculaire ou à la perte d élasticité du cristallin.
3 La myopie = globe trop allongé ou cristallin trop convergent. L image se produit en avant de la rétine. La vision éloigné est floue. L hypermétropie = globe trop court ou cristallin trop aplati. L image se produit derrière la rétine. La vision proche est floue. L astigmatisme = défauts de courbure du globe oculaire. Vision déformée des objets. Le toucher On peut fermer les yeux, se boucher le nez et les oreilles et rester en contact avec le monde extérieur grâce au sens du toucher. Les récepteurs de la peau ne sont pas sensibles seulement au contact, il existe plusieurs types de récepteurs réagissant directement au chaud, au froid, aux différentes textures, à la pression ou à la douleur. La peau est composée de l épiderme et du derme. 2 couches principales divisées en plusieurs couches. Le derme, situé sous l épiderme, est la partie la plus importante de la peau. Il est composé de 3 couches, la couche papillaire, superficielle, composée de papilles. Chaque papille contient des vaisseaux sanguins et des terminaisons nerveuses. La couche conjonctive, moyenne, représente les trois quarts du derme. Elle est
4 faite de tissu conjonctif, riche en fibres conjonctives et élastiques, baignant dans du collagène substance nourricière et, la couche basse ou hypoderme, dite graisseuse. La peau possède aussi des glandes sudoripares et les glandes sébacées, des poils, et des nerfs. Ces nerfs se réunissent pour former le nerf sensitif qui va au cerveau. L e s f o n c t i o n s d e l a p e a u - Organe du toucher - Organe de protection : la peau est un bon isolant. Elle protège des agressions extérieures, des agressions microbiennes, de l agression solaire, de l eau - Organe d échanges : la peau permet des échanges gazeux respiratoires et des échanges thermiques - Organe excréteur de déchets : les glandes sudoripares ont un rôle complémentaire à celui des reins, elles participent à l épuration de l organisme. - Organe producteur de vitamine D : les cellules grasses de l épiderme transforment leur cholestérol en vitamine D, dont le rôle antirachitique est essentiel. L ouïe Les oreilles servent à entendre mais aussi à garder l équilibre. Chaque oreille est composée de 3 parties : oreille externe (pavillon), oreille moyenne et oreille interne.
5 Les récepteurs de l ouïe et de l équilibre se trouvent dans l oreille interne, à l intérieur de la tête, juste en dessous du globe oculaire. Les bruits sont des vibrations qui se propagent dans l air ou dans l eau. La forme de l oreille externe est adaptée à la collecte des ondes sonores qui pénètrent dans le conduit auditif jusqu au tympan. Le tympan est une fine membrane située au fond du canal auditif. Quand les ondes sonores heurtent le tympan, il se met à vibrer comme la peau d un tambour et transmet ces vibrations à 3 osselets formant un pont dans l oreille moyenne : le marteau, l enclume et l étrier. Ce dernier osselet est relié à une autre membrane, la fenêtre ovale, située à l entrée de l oreille interne. La fenêtre ovale transmet les vibrations au limaçon, tube enroulé en forme de coquille d escargot, rempli de liquide, qui contient de milliers de cellules réceptrices pourvues de cils, certains de ces cils captent les sons graves et d autres les sons aigus. Les cellules transforment les informations sonores reçues en signaux électriques assimilables par le cerveau, ils se propagent jusqu à une région du cerveau spécialisée dans l audition. L odorat Les récepteurs de l odorat tapissent la paroi supérieure de la cavité interne du nez : les fosses nasales. Ils sont recouverts de cils enrobés d une substance gluante : le mucus. Des molécules odorantes (petites particules chimiques) flottant dans l air inspiré, viennent se dissoudre dans le mucus et exciter les récepteurs olfactifs. Un message est alors envoyé au cortex cérébral par les neurones sensitifs. Le cerveau est capable d identifier les odeurs. Notre sens de
6 l odorat est assez limité, mais nous sommes quand même capables d identifier plusieurs milliers d odeurs. Le rôle de la muqueuse qui secrète du mucus est de : réchauffer l air, de l humidifier, d arrêter les poussières et de détruire les microbes. Pour qu une substance ait une odeur il faut : - qu elle soit gazeuse - ou qu elle émette une vapeur capable de se dissoudre dans le mucus Le goût La langue est couverte de petits amas de cellules sensorielles : les papilles gustatives. Certaines substances chimiques des aliments se dissolvent dans la salive et stimulent les papilles gustatives, ce qui permet de distinguer différents goûts. Les messages émis par les récepteurs sont transmis à une région spécifique du cerveau par les nerfs sensitifs. Les différents goûts sont détectés par des papilles gustatives distinctes qui ne sont pas uniformément réparties à la surface de la langue. Goût et odorat sont étroitement liés. Les messages nerveux La diversité des signaux reçus est grande, mais il semble qu il n y ait qu un seul type de messages sensitifs qui sont les messages nerveux. Le message nerveux sensitif est composé de signaux identiques en amplitude et en durée mais dont la fréquence varie. On pense donc que tous les messages sensitifs sont codés en modulation de fréquence : la fréquence instantanée et dynamique des potentiels d action permet de distinguer les messages sensitifs entre eux.
7 Dans tous les cas, l excitation d un récepteur fait naître des messages nerveux qui se propagent sur la fibre nerveuse issue du récepteur. La perception est une activité mentale qui permet d identifier et de désigner ce qui est perçu. Elle a lieu dans le cerveau, et fait intervenir la mémoire. Le cerveau est spécialisé en plusieurs aires : aire visuelle, aire auditive, aire gustative, aire tactile, si l une de ces aires est lésée cela engendre des conséquences physiques, par exemple, une lésion sur une partie de l aire tactile peut supprimer la sensibilité d une partie du corps. Lorsqu un individu est en mouvement, son cerveau et aussi les autres centres nerveux, reçoivent des messages nerveux qui proviennent des différents organes des sens, élaborent les réponses motrices en envoyant des messages nerveux aux muscles. Les messages nerveux ne sont pas purement et simplement conduits des organes des sens aux muscles. Les centres nerveux tiennent compte dans leur réponde des expériences antérieures (mémoire), de tous les stimuli internes et de l ensemble des stimuli externes. Les mouvements Les mouvements peuvent être volontaires ou involontaires. Un mouvement volontaire est précédé d une intention d exécuter le mouvement. Les mouvements involontaires appelés mouvements réflexes ont lieu sans intention de les exécuter. Dans les mouvements réflexes on distingue les réflexes innés et les réflexes acquis. Les réflexes innés existent chez tous les êtres humains sans apprentissage. Ils sont prévisibles, immuables, fixés héréditairement et liés à un stimulus déterminé. On trouve parmi ces réflexes innés les réflexes d équilibration, les mouvements respiratoires, la régulation réflexe de l activité cardiaque. Ces réflexes assurent sans intervention du cerveau, d importantes fonctions de la vie de relation (relation avec le milieu extérieur) et de la vie végétative (celle qui permet le maintien en vie des organes). Les réflexes acquis résultent d une éducation ou d un apprentissage. Ces comportements ne sont pas innés. Ces réflexes, pour se maintenir doivent être
8 entretenus. Chaque nouveau réflexe acquis crée une nouvelle liaison nerveuse fonctionnelle et fait intervenir le cerveau. Généralement, réflexes acquis et réflexes innés s enchaînent et donnent naissance à des comportements automatiques tels que la marche ou l écriture. Ils exigent une coordination complexe assurée par le centre nerveux qui intègre toutes les informations qu il reçoit. Merci à FannyPoésie sur intellego.fr
Le sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailVous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de ľouïe Exercices de consolidation 120 minutes, moyen 2009-0303
=1 Vous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de ľouïe Exercices de consolidation 120 minutes, moyen Objectif Permettre aux apprenants d approfondir des connaissances essentielles
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailSéquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision
Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailEnseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales
Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail
Plus en détailQu est-ce que la communication?
Ressources Qu est-ce que la communication? Fiche 24 Du latin «comunicare», qui veut dire «être en commun» ou «être en relation», la communication a fait l objet de recherches et d études pour devenir une
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailComment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye
CCOLLEGE YCLE 3 CCYCLE 3 OLLEGE Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye Éditions Le Pommier, 2009 Objectifs
Plus en détailLes vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés
Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailCommunication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014
Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal
Plus en détailACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS
Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire
Plus en détailRISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR
RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailPRÉSERVEZ DES MAINTENANT VOTRE AUDITION!
Par leur durée et leur intensité, les sons de la nature ne constituent pas un danger pour notre audition. Mais l'homme a créé des sources sonores capables de détruire l'oreille. Ainsi, la musique écoutée
Plus en détailL éclairage naturel première partie : Principes de base
Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailConstruisons en aluminium pour les générations futures
Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailLunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE
TECHNIQUE MAQUILLAGE 20 Lunettes et Maquillage Comment se maquiller quand on porte des lunettes ou des lentilles? Quelle monture privilégier en fonction de sa forme de visage? Quelles couleurs choisir?
Plus en détailIPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente
IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailUniversité Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailLa Photographie - Page 1 / 13
La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détail4. Dangers principaux
4. Dangers principaux Toutes machines fixes ou portatives et appareils représentent un danger plus ou moins important si toutes les dispositions concernant la sécurité du travailleur ne sont pas prises
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailESSOURCES PÉDAGOGIQUES
2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes
Plus en détailBandes Critiques et Masquage
Bandes Critiques et Masquage A. Almeida Licence Pro Acoustique et Vibrations Octobre 2012 Au Menu Au programme 1 Observations du masquage 5 Application du masquage 2 Conséquences du Masquage 3 Interprétation
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détail«Tous les sons sont-ils audibles»
Chapitre 6 - ACOUSTIQUE 1 «Tous les sons sont-ils audibles» I. Activités 1. Différents sons et leur visualisation sur un oscilloscope : Un son a besoin d'un milieu matériel pour se propager. Ce milieu
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailLe Lipocontrol contre les amas graisseux
Extrait du BLOG VOTRE BEAUTE Le Lipocontrol contre les amas graisseux La lipolyse laser, nous vous en avions parlé dans la rubrique "Moi j'ai osé" du Votre Beauté de juin 2007. En une seule séance, sans
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 50
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 50 SANTÉ ET SÉCURITÉ AOUT 2014 Francis MINIER Inspecteur santé et sécurité au travail Secrétariat : Brigitte BARRIER poste 46 73 Fax : 02 38 79 42 34 ou 02
Plus en détailRecommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps.
Recommandations de bon usage Recommandations de bon usage des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs Juillet 2011 Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147
Plus en détail5.2 Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème
. Théorème de Fourier et Transformée de Fourier Fourier, Joseph (788). Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème Théorème «de Fourier»: N importe quelle courbe peut être décomposée en une superposition
Plus en détailC est quoi la surdité? Une histoire à partager entre petits et grands
C est quoi la surdité? Une histoire à partager entre petits et grands Découvre dans ce livre des réponses aux questions que les enfants et les parents se posent sur la surdité. Qui es-tu? Prénom Nom Ton
Plus en détailNotions d acoustique contexte réglementaire et solutions de prévention
Réduire le bruit au travail : des solutions de prévention 29 octobre 2008 Notions d acoustique contexte réglementaire et solutions de prévention Hubert FINCK Ingénieur Conseil Les enjeux Le bruit concerne
Plus en détailQuestions - utilisation
FAQ NAO (FR) FRANÇAIS Questions - utilisation - Puis-je savoir dans quel mode je suis (REACTIVE LIGHTING ou constant) lorsque ma lampe est sur ma tête? Oui, il vous suffit de mettre un doigt sur le capteur.
Plus en détailCours n 2 d Energétique SON, COULEUR ET ONDES DE FORME. Toute reproduction partielle ou totale est interdite sans autorisation écrite des auteurs.
Cours n 2 d Energétique SON, COULEUR ET ONDES DE FORME Toute reproduction partielle ou totale est interdite sans autorisation écrite des auteurs. SOMMAIRE I LA COULEUR... 2 1.1 Le spectre de la lumière
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailCours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité
1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLa sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions?
Etablir un croquis du circuit d alimentation énergétique et un croquis du circuit ACOT-02 1/4 Problématique : Nous connaissons ce qu est un système d alarme, sa fonction et les différents éléments qui
Plus en détailGUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie
GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie Mise en garde Le rôle de l Association paritaire de santé et de sécurité du travail, secteur imprimerie et activités connexes
Plus en détailLe son est une vibration aérienne, une onde, qui se caractérise par sa hauteur (aigu ou grave) et son intensité (son fort, son faible).
«À force d écouter la musique trop fort, on finit par l entendre à moitié» Dossier de presse octobre 2008 1 Sommaire Les jeunes de plus en plus exposés aux risques auditifs... p.3 Le fonctionnement de
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailVous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de l ouïe Questions et réponses importantes 2009-03 1
Vous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de l ouïe Questions et réponses importantes Objectif Offrir aux enseignants et aux apprenants l accès à des connaissances essentielles dans
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailLa Perception Auditive
La Perception Auditive (cours P.A.M.U.) Alain Goyé Janvier 2002 Département TSI Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications TABLE PHYSIOLOGIE ET PERCEPTION DE L INTENSITÉ SONORE 3 1. Acoustique et
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailDes ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie
Seconde Thème santé Activité n 3(expérimentale) Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Connaissances Compétences - Pratiquer une démarche expérimentale pour comprendre le
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailErgonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva
Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva SICPPT fédéral AFFILIES Comité de gestion SIPPT 1 SIPPT SIPPT n 2 EMPREVA Management Office
Plus en détail