N 24 mai 2012 Ponction de liquide amniotique : audit de pratiques professionnelles Contexte Matériel et méthode Résultats
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- Clarisse Malo
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1 Ponction de liquide amniotique : audit de pratiques professionnelles P. Battagliotti*, G. Le Maout**, A. Vernioles**, C. Chapuis* *Equipe Sectorielle de Prévention du Risque Infectieux Lyon-Rhône Hôpital Henry Gabrielle, Villa Alice, 20 route de Vourles Saint Genis Laval cedex **Hôpital de Sainte Foy-lès-lyon, 78 chemin de Montray Sainte Foy-lès-lyon N 24 mai 2012 Contexte L amniocentèse est un geste invasif à haut risque infectieux pour la mère et l enfant qu elle porte car l infection du liquide amniotique peut survenir si des mesures d hygiène adaptées ne sont pas observées. Ces complications sont rares mais entraînent immanquablement la perte du fœtus et des conséquences psychologiques dommageables pour la mère. La SF2H a émis des recommandations en 2010 concernant les mesures incontournables à appliquer pour un geste endo-utérin à haut risque par voie abdominale comme l amniocentèse. Les praticiens de l Hôpital de Sainte-Foy-les-lyon, établissement public lyonnais, ont souhaité que soient évaluées leurs pratiques sur ce thème. Matériel et méthode Les objectifs de cet audit sont d évaluer les pratiques professionnelles lors d une ponction de liquide amniotique : préparation de la patiente; tenue des opérateurs et hygiène des mains ; modalités pratiques de la ponction du liquide amniotique. La population étudiée est composée de l ensemble des médecins obstétriciens de l établissement pratiquant ce type de geste. La méthode de recueil de données est à la fois prospective car basée sur l observation directe du soignant pendant le geste et rétrospective quant à la traçabilité de la préparation préopératoire. Il n existe pas de protocole concernant ce type de geste au sein du service. Le référentiel de l étude a donc été construit à partir des recommandations publiées. Résultats Neuf actes d amniocentèse ont été observés, pratiqués par cinq médecins différents. Tous les obstétriciens de l Hôpital de Sainte Foy-les-lyon réalisant des ponctions de liquide amniotique ont donc été observés au moins une fois sur ce type de geste. La présence d un aide (étudiant en médecine) est effective lors de sept situations. Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 1
2 Préparation de la patiente La tenue des patientes au bloc opératoire est composée systématiquement d une chemise d opéré propre, d une coiffe et complétée par le non port de bijoux. Toutes les patientes déclarent s être douchées à domicile avec un savon antiseptique (de type povidone iodée), conformément à l ordonnance qui leur a été remise au préalable. L amniocentèse nécessite une antisepsie en 5 temps : il est observé que la phase de détersion est systématiquement réalisée par une infirmière ou un aide-soignant à l aide d un savon antiseptique. La phase d antisepsie est systématiquement réalisée par l opérateur en tenue stérile avant la pose des champs stériles, en deux séquences voire trois. Le produit utilisé est la povidone iodée dermique. L essuyage de l antiseptique est observé 4 fois (4/9). Tenue des opérateurs Tous les opérateurs observés pratiquent une hygiène des mains de type lavage chirurgical avant la réalisation du geste, l habillage est conforme aux recommandations (habillage stérile). Modalités du geste de ponction L échographe est systématiquement dépoussiéré avant l entrée en salle d intervention. Le matériel utilisé est stérile, conformément aux recommandations : champ pour le drapage, housse de protection pour la sonde d échographie, gel monodose, seringue pour ponction. La mise en place de la housse est réalisée sans faute d asepsie dans toutes les situations observées ; le changement de gants juste avant la ponction n est pas observé. La fixation de la sonde au champ stérile par des bandes adhésives est observée dans la plupart des situations (5/9). La sonde est tenue par l aide opératoire pendant la ponction lors de 5 observations (5/7). L ablation de la seringue est réalisée sous contrôle échographique pour toutes les observations sauf une. Discussion Tout en restant modeste et tributaire de l activité à un moment donné, le nombre d observations a permis d inclure dans cette étude tous les praticiens concernés. L analyse des résultats permet de dégager des points forts : c est ainsi que la prise en charge des patientes est réalisée au bloc opératoire, ce qui permet en effet de bénéficier de conditions aseptiques optimum pour la réalisation du geste, conformément aux recommandations en matière d hygiène hospitalière. Le principe d asepsie progressive est respectée par l introduction en salle d un échographe dépoussiéré au préalable avec un détergent désinfectant, la tenue de bloc étant respectée aussi bien par les professionnels que par les patientes. Les autres résultats permettent de dégager des axes d amélioration : Antisepsie cutanée La multiplicité observée des passages de l antiseptique (2 voire 3 fois) a pour conséquence immédiate un séchage médiocre avant de poser les champs. C est bien pourtant le temps de contact de l antiseptique avec la peau qui détermine son efficacité. La gestuelle de l essuyage est donc à proscrire. Les recommandations en vigueur sont en faveur de l utilisation d un antiseptique alcoolique et non pas dermique. On observe que la non attente de séchage de l antiseptique empêche l adhérence des champs stériles et entraîne donc une moins bonne protection localement de la zone de ponction. Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 2
3 Changement de gants Il est observé qu aucun opérateur ne change de gants juste avant de pratiquer la ponction de liquide amniotique. La nécessité d introduire un dispositif invasif quel qu il soit dans une cavité stérile, même pour une courte durée, nécessite l usage de gants parfaitement stériles au plus près du geste pour prévenir le risque infectieux. Il serait donc souhaitable de changer systématiquement de gants après l installation du drapage et du matériel à utiliser, ceci juste avant de piquer l abdomen de la patiente. Autre point de discussion : le port du masque chirurgical par la patiente en salle d intervention Une seule patiente porte un masque chirurgical en salle d intervention. Ce point est pourtant intéressant à aborder car la position en décubitus dorsal au ras des champs stériles et le fait des échanges verbaux entre la patiente et les intervenants dans la salle facilitent la dispersion des micro-gouttelettes émises et donc la contamination de ces champs. Il semble logique que dans une enceinte où chacun se doit d avoir un comportement adapté pour lutter contre l aérobiocontamination, les patientes conscientes soient également équipées d un masque. Cette précaution peut être envisagée dans un souci de cohérence des mesures à appliquer quelque soit l activité qui se déroule dans cette salle. Conclusion Cette démarche d évaluation des pratiques professionnelles met en évidence le respect de pratiques essentielles à la prévention du risque infectieux lors d une ponction de liquide amniotique. Sa réalisation en bloc opératoire reste un atout majeur pour ce type de geste. Certaines pratiques à améliorer ont été prises en compte comme les pratiques d antisepsie et le changement de gants juste avant le geste de ponction. Cette étude a été suivie d une présentation des résultats en réunion médicale et en instance du CLIN. Elle a permis d engager un travail pluridisciplinaire au sein du bloc par la rédaction d un protocole. Bibliographie Recommandations Lignes directrices canadiennes modifiées sur le diagnostic prénatal Techniques de diagnostic prénatal. Comité de génétique de la Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada Amniocentesis and chorionic villus sampling. Royal College of Obstétriciens and Gynaecologists Guide pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales en maternité. SFHH. V3/ Surveiller er prévenir les Infections Associées aux Soins. SFHH Fiche technique Réseau périnatal AURORE : fiche intitulée «Préparation cutanée avant amniocentèse et choriocentèse». (validation 2011). Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 3
4 Calendrier vaccinal à l intention des Professionnels du Service Maternité Docteur Marie-Agnès DENIS, Médecine et Santé au Travail, Service du Professeur Alain BERGERET, Hôpital Femme Mère Les vaccinations s inscrivent dans une démarche globale de prévention : des infections nosocomiales ( I.N.) : infections : soignants soignés et / ou, des risques infectieux associés aux soins : transmis par voie aérienne ou effraction cutanée. Les vaccinations des personnels soignants sont Soit Obligatoires Soit Recommandées Soit Rencontrées à titre tout à fait exceptionnel BCG Article L du code de la Santé Publique Test de référence : Intra-Dermo Tuberculinique ou Tuber test à 5 UI/l obligatoire à l entrée dans la profession. Vaccination BCG même ancienne exigée à l embauche : preuve écrite de cette vaccination ou cicatrice en rapport avec ce vaccin. Pas de revaccination par le BCG (décret du 30/06/2004).bien que la réglementation n ait pas été modifiée Un avis du HCSP recommande avis du 5 mars 2010 du HCSP) La levée de l obligation vaccinale par le BCG pour : - Les professionnels de santé et/ou - Les étudiants des carrières Sanitaires et Sociales, NB = Maintien du test tuberculinique comme test de référence, lors de la prise de poste de ces personnels. Une vaccination par le BCG au cas par cas pour les personnels très exposés tuberculino-négatifs : - Personnels de soins - en contact répété avec patients tuberculeux -Personnels des laboratoires - qui travaillent sur les cultures de mycobactéries Test IGRA (Interferon Gamma Release Assays) (Avis du 01 juillet 2011 du HCSP : relatif à l utilisation des tests de détection de la production de l interféron gamma.) Deux types de tests immunologiques explorent les réponses immunes spécifiques contre le B.K. : L intradermo réaction à la tuberculine (IDR) Les tests in vitro de sécrétion d interféron : tests IGRA (Interféron Gamma Release Assays) IDR ou tests IGRA, ne doivent être utilisés que pour le seul diagnostic de l infection tuberculeuse latente et uniquement dans l objectif de la traiter. Pour le personnel de santé (y compris stagiaires et étudiants), Réaliser un test IGRA de référence lors de l embauche : si IDR > 5 mm Limiter la réalisation des tests IGRA en surveillance, quelque soit le niveau de risque tuberculeux d un service, aux seuls cas Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 4
5 DT Polio Hépatite B d exposition documentée à un cas index contagieux. Rappel sur la Tuberculose Transmission : aérienne par inhalation de particules infectantes. Les facteurs de contagiosité : Liés au patient : - Tuberculose pulmonaire ou laryngée : lésions étendues, excavées, toux+++, mise en route d un traitement. Risque de contamination +++, si présence de BAAR à l examen direct ou moindre risque si seule la culture est positive. Liés à la nature des contacts : - Manœuvres : d intubation - de fibroscopie - autopsie - d expectoration induite Importance de la durée de l exposition +++ Risque d infection pour les contacts : Il est estimé par la détection de la production d interféron gamma ou, par l évolution de l IDR à 8-12 semaines d intervalle. Mesures préventives : Masques de protection respiratoire pour les soignants (FFP1, voire FFP2.) Sur signalements d infections nosocomiales (IN) reçus de 2001 à 2007 à l'institut de Veille Sanitaire, 62 cas de tuberculose (dont 45 % consécutifs à l'infection d'un personnel soignant). Article L du code de la Santé Publique 3 cas de figure : Patient vacciné et rappel fait preuve écrite sur carnet de vaccination Patient vacciné et rappel non fait faire rappel DTPolio tous les 10 ans (1/10 d anatoxine diphtérique, pour les rappels chez l adulte) Patient non vacciné administrer 2 injections à 1 mois d intervalle et rappel 1 an après, puis tous les 10 ans. Article L du code de la Santé Publique arrêtés du 6 mars 2007 Deux arrêtés visent à protéger personnels et patients, vis-à-vis de la transmission de ce virus, par un soignant qui en serait porteur chronique. Le 1 arrêté = - relatif à la liste des élèves et étudiants des professions médicales et pharmaceutiques : médecin - chirurgien dentiste - pharmacien - sage-femme. - autres professions de santé : infirmier - infirmier spécialisé - masseur kinésithérapeute - pédicure-podologue - manipulateur radio médicale - aide-soignant - ambulancier - auxiliaire de puériculture - technicien en analyses biomédicales Le 2 arrêté = relatif aux conditions d immunisation A - Les personnes visées par le précédent article - sont considérées comme immunisées contre l hépatite B, si au moins l une Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 5
6 Grippe saisonnière des conditions suivantes est remplie : Attestation médicale ou carnet de vaccination - prouvant que la vaccination contre l hépatite B a été menée à son terme selon le schéma recommandé : - Vaccination avant l âge de 13 ans pour les professions médicales, pharmaceutiques et infirmières. - Vaccination avant l âge de 25 ans pour les autres professions de santé. Présentation d une attestation médicale - prouvant que la vaccination contre l hépatite B a été menée à son terme et d un résultat, même ancien, indiquant que les anticorps anti-hbs étaient présents à un titre >100 mui/ ml Présentation d une attestation médicale - prouvant que la vaccination contre l hépatite B a été menée à son terme et de résultats prouvant que si des AC anti-hbs sont présents à une concentration comprise entre 10 et 100 mui/ml, l Ag HBs est simultanément indétectable par des méthodes sensibles B - Si aucune des conditions n est remplie et si le titre des AC anti-hbs est inférieur à 10 mui/ml - les mesures à mettre en œuvre sont subordonnées aux résultats de la recherche de l AG HBs : Si l AG HBs est non détectable : La vaccination doit être faite, ou reprise, jusqu à détection d AC antihbs, sans dépasser 6 injections (soit, 3 doses additionnelles à la primo-vaccination). L absence de réponse à la vaccination n est définie que par un dosage du taux d AC 1 à 2 mois après la 6 injection. Si déjà 6 doses ou plus ont été reçues, sans dosage d AC, l indication d une dose de rappel sera suivie 1 à 2 mois après, d une nouvelle recherche d AC. En l absence de réponse à la vaccination, les postulants ou les professionnels peuvent être admis ou maintenus en poste, sans limitation d activité, mais ils doivent être soumis à une surveillance annuelle des marqueurs sériques du virus de l hépatite B (AG HBs et AC anti- HBs). Si l AG HBs est détecté dans le sérum : Il n y a pas lieu de procéder à la vaccination Les recommandations concernant le vaccin contre les virus grippaux saisonniers peuvent : évoluer en fonction des données épidémiologiques. faire l objet de recommandations actualisées non incluses dans le calendrier vaccinal. On distingue, 2 types de recommandations : Recommandations générales : La vaccination contre la grippe est vivement recommandée chaque année pour : les personnes âgées de 65 ans et plus. Recommandations particulières : La vaccination est recommandée chez : Les personnes, y compris les enfants à partir de l âge de 6 mois et les femmes enceintes atteintes des pathologies suivantes : Affections broncho-pulmonaires chroniques Insuffisance respiratoires chroniques obstructives ou restrictives y compris les maladies neuromusculaires à risque de décompensation respiratoire, les malformations : des voies aériennes supérieures ou inférieures - pulmonaires -de la cage Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 6
7 thoracique. Maladies respiratoires chroniques susceptibles d être aggravées ou décompensées par une affection grippale, dont : asthme - bronchite chronique - bronchectasie - hyper réactivité bronchique. Dysplasies broncho-pulmonaires Mucoviscidose Cardiopathies congénitales cyanogènes ou avec HTAP et / ou une insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque grave Valvulopathie grave Trouble du rythme grave justifiant un traitement au long cours Maladies des coronaires Antécédents d AVC Formes graves des affections neurologiques et musculaires : myopathies - polio - myasthénie - maladie de Charcot Paraplégies et tétraplégies, avec atteinte diaphragmatique Néphropathies chroniques graves et syndromes néphrotiques Drépanocytoses -Thalasso-drépanocytose Diabètes de type 1 et 2 Déficit immunitaire primitif ou acquis Les personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ainsi que dans un établissement médico-social d hébergement quelque soit leur âge L entourage (familial, nourrices, tous les contacts réguliers) des nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave ainsi définis : prématurés, enfants atteints de cardiopathies congénitales, de déficit immunitaire congénital, de pathologies pulmonaires, neurologiques ou neuro-musculaires, ou d une affection de longue durée En milieu professionnel Professionnels de santé Tout professionnel en contact régulier et prolongé avec des personnes à risque de grippe sévère NB = Risque pour un patient de développer un syndrome grippal : X 5 s il est exposé à au moins 1 soignant contagieux X 18 s il est exposé à au moins 1 patient contagieux X 35 s il est exposé à 1 malade et 1 soignant contagieux. Etude d'observation, menée à HEH entre 2004 et 2007, publiée en 2011 dans Archives of Internal Medecine Coqueluche Recommandations générales : Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 7
8 Rougeole- Oreillons- Rubéole (vaccin ROR) Pratiquée avec le vaccin acellulaire combinée à d autres valences Rattrapage coquelucheux avec un vaccin quadrivalent dtcapolio sera proposé chez l adulte n ayant pas reçu de vaccination contre la coqueluche au cours des 10 dernières années, notamment à l occasion du rappel décennal diphtérietétanos-polio de ans. En l état actuel des connaissances, notamment sur la durée de protection et la tolérance de doses répétées, il n y a pas lieu d administrer plus d une dose de vaccin quadrivalent dtcapolio chez l adulte. NB = Persistance d une incidence élevée de cas de coqueluche observés chez de très jeunes nourrissons contaminés par des adolescents ou de jeunes adultes. Recommandations en milieu professionnel Vaccination par un vaccin quadrivalent dtca Polio à l occasion d un rappel décennal dtpolio : Pour les personnels soignants dans leur ensemble, y compris dans les établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes, Aux étudiants des filières médicales et paramédicales, Rattrapage vaccinal de tous les professionnels en contact avec des nourrissons trop jeunes pour avoir reçu 3 doses de vaccin coquelucheux : - personnel médical et paramédical : des maternités - des services de néonatologie - des services de pédiatrie prenant en charge des nourrissons de moins de 6 mois. - personnel de la petite enfance NB : Pour l ensemble de ces personnels, le délai minimal séparant une vaccination dtpolio de l administration du vaccin quadrivalent dtcapolio peut être ramené à 2 ans. En cas de survenue de cas groupés en collectivité, ce délai peut être ramené à 1 mois (source = rapport du HCSP relatif à la CAT devant 1 ou plusieurs cas de coqueluches). Remarque : De 2008 à 2010, 89 épisodes de coqueluche dans les établissements hospitaliers français, le personnel soignant étant le plus souvent à l origine des contaminations. Recommandations générales Forte diminution de l incidence de la rougeole jusqu en 2008, depuis l augmentation de la couverture vaccinale, avec l arrivée du vaccin contre la rougeole introduit dans le calendrier vaccinal français en Une épidémie de rougeole sévit en France depuis 2008, de par un taux de couverture vaccinale insuffisant pour éliminer la maladie (en 2007 seulement 90 % ont eu une dose à l âge de 24 mois), et un rattrapage vaccinal insuffisant laissant un nombre important d adolescents et de jeunes adultes non immunisés. Entre le1 janvier 2008 et le 1 décembre 2010, ont été notifiés plus de 7000 cas. La distribution des cas en fonction de l âge a évolué entre 2008 et 2010 : - Une augmentation de la proportion de personnes âgées de moins d un an et de 20 à 29 ans est notée Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 8
9 - Parmi les cas déclarés en 2010, la proportion des personnes vaccinées avec 1 dose atteint 22% chez celles nées entre 1980 et 1991, et n est que de 12 % pour l ensembles des cas. L augmentation de la couverture vaccinale à 2 doses des enfants avant l âge de 2 ans, l administration plus précoce de la seconde dose et le rattrapage des sujets réceptifs (adolescents et jeunes adultes) devraient permettre à terme l interruption de la transmission de la rougeole ainsi que des oreillons et de la rubéole. Recommandations en milieu professionnel : Les personnes nées avant 1980, non vaccinées et sans antécédents connus de rougeole ou de rubéole, qui exercent des professions de santé en formation, à l embauche ou en poste, devraient recevoir 1 dose de vaccin trivalent ROR. Les personnes travaillant dans des services accueillant des patients à risque de rougeole grave (immunodéprimés) devraient être vaccinées en priorité. Les professionnels en charge de la petite enfance devraient aussi recevoir une dose de vaccin trivalent ROR. Avis du HCSP du 11 févier 2011 : Les personnes nées depuis 1980 doivent avoir reçu 2 doses de ROR. Pour l ensemble de ces personnels dont les antécédents de vaccination ou de rougeole sont incertains, la vaccination peut être pratiquée sans qu un contrôle sérologique préalable soit systématiquement réalisé. Au contact d un cas, il est recommandé l administration d une dose de vaccin trivalent : - A tous les personnels susceptibles d être ou d avoir été exposés pour lesquels il n existe pas de preuve biologique de rougeole antérieure ou qui n ont pas reçu auparavant une vaccination complète à 2 doses. - Cette vaccination, si elle est réalisée dans les 72 heures qui suivent un contact avec un cas, peut éviter la survenue de la maladie.elle reste préconisée même si ce délai est dépassé. Varicelle Avis du HCSP du 5 juillet 2007 Recommandations particulières - la vaccination généralisée contre la varicelle des enfants à partir de l âge de 12 mois n est pas recommandée. - la vaccination contre la varicelle est recommandée pour : Les adolescents de 12 à 18 ans - n ayant pas d antécédents cliniques de varicelle ou dont l histoire est douteuse. Les femmes en âge de procréer - notamment celles ayant un projet de grossesse, et sans antécédent clinique de varicelle. NB : un contrôle sérologique préalable peut être pratiqué dans ces cas. Les femmes n ayant pas d antécédent clinique de varicelle - (ou dont l histoire est douteuse) dans les suites d une première grossesse. Les adultes de plus de 18 ans exposés à la varicelle - immunocompétents, sans antécédents de varicelle ou dont l histoire est douteuse, dans les 3 jours suivant l exposition à un patient en éruption. NB : le contrôle de la sérologie est facultatif. Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 9
10 Toute personne sans antécédent de varicelle - ou dont l histoire est douteuse et dont la sérologie est négative, en contact étroit avec des personnes immunodéprimées NB : Les sujets vaccinés doivent être informés de la nécessité, en cas de rash généralisé, d éviter les contacts avec les personnes immunodéprimées pendant 10 jours. Les enfants candidats receveurs - dans les 6 mois précédant une greffe d organe solide, sans antécédents de varicelle ou dont l histoire est douteuse et dont la sérologie est négative NB : Sérologie négative avec 2 doses à au moins 1 mois d intervalle et en pratiquant une surveillance du taux d AC après la greffe. Remarque : toute vaccination chez une jeune femme en âge de procréer doit être précédée d un test négatif de grossesse et, selon les données de l AMM, une contraception efficace de 3 mois est recommandée après chaque dose de vaccin. Recommandations en milieu professionnel La vaccination contre la varicelle est recommandée pour les personnes sans antécédent de varicelle ou dont l histoire est douteuse et dont la sérologie est négative, qui exercent les professions suivantes : Professionnels en contact avec la petite enfance : crèches et collectivités d enfants Professions de santé en formation : à l entrée en 1 année des études médicales ou paramédicales - à l embauche - ou à défaut, déjà en poste, en priorité dans les services accueillant des sujets à risque de varicelle grave : immunodéprimés, services de gynéco-obstétrique, néonatologie, pédiatrie, maladies infectieuses, néphrologie. NB : les sujets vaccinés seront informés de la nécessité d une éviction de 10 jours en cas de rash généralisé. Hépatite A, Leptospirose, Infections invasives à Méningocoque non B, Papillomavirus humains, Infections invasives à Pneumocoque, Rage, Typhoïde CONCLUSION Commandements du médecin du travail Dans l application du calendrier vaccinal - strictement veillera Dans la réalité des vaccinations reçues - toujours vérifiera Dans les convocations et rappel des personnels en cas d absentéisme - jamais n omettra Dans l écoute des personnels et des patients hospitalisés - en aucun cas ne négligera Dans le souci du bien-être des personnels et patients - toujours à l esprit gardera Dans l étude et l application de l évolution scientifique - régulièrement te plongera Dans la pratique quotidienne - rigueur, toujours rigueur, encore rigueur.répétera Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 10
11 Catherine HAOND, Michel BERLAND AGENDA Intitulé date Lieu, organisation Contact Journée à thème du collège national des sages femmes 2ème colloque Interrégional: grossesse et alcool de la femme enceinte, savoir agir ensemble Congrès des Sociètés Médico-Chirurgicales de Pédiatrie XXIIIèmes journées de la SF2H 4 juin 2012 PARIS - ASIEM 6, rue Albert de Lapparent PARIS 5 juin RENNES 6 au 9 juin Bordeaux 6 au 8 juin Lille Grand Palais 1 bd des Cités Unies Euralille C.E.R.C. 7 rue du Capitaine Dreyfus FRANCONVILLE (France) Tél , fax a.deshons@wanadoo.fr Association SAFFrance, prévention des conséquenses de l'alcool pendant la grossesse, 7 rue de la Plaine, Giberville Tél.: , congres@saffrance.fr, Europa Organisation, 19 allée Jean Jaurès PB , Toulouse Ced'"x 06 Tél.: , Fax: , pediatrie2012@europa-organisation.com, Europa Organisation 19, allée Jean Jaurès - BP Toulouse cedex 6 France Tél. : Fax : europa@europa-organisation.com 11èmes Journées Européennes de la Société Française de Gynécologie 4th Annual SERGS Meeting on Robotic Gynaecological Surgery in conjunction with 3rd French Annual Meeting of the French Speaking Group in Robotic Gynaecological Surgery 37èmes journées de l'association Nationale des puéricultrices XXIIIème congrès de l Association européenne de médecine périnatale JPECHO èmes Journées parisiennes d'échographie 7 au 9 juin PARIS 13 au 15 juin 13 au 15 juin 13 au 16 juin 21 au 23 juin Cercle Militaire de Garnison Marseille Espace congrès de La Rochelle quai Louis Prunier Palais des Congrès Paris Paris - Faculté de médecine 45 rue des Saints Pères PARIS Laurie LARWENCE - Société CCC - 32 rue de Paris PARIS - Tél.: Fax: Contact: l.larwence@societeccc.fr Site: Com&Co, Etienne Jarry 9 boulevard Kabylie Marseille (Tél Fax ejarry@comco.com, C.E.R.C. 7 rue du Capitaine Dreyfus FRANCONVILLE (France) Tél , fax a.deshons@wanadoo.fr MCA EVENTS SRL, 34 Via Binda, Milano, Tél , Fax , info@mcaevents.org, JS Congrès TEL FAX jscongrès@wanadoo.fr Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 11
12 SFAR 2012 Journées Henri PIGEAUD (Journées de Gynécologies et Obstétrique de Lyon) 19 et 22 septembre 20 et 21 septembre Paris Centre de Congrès de Champfleuri à Champagne au Mont d'or SFAR 2012 / MCI France, 24 rue Chauchat, Paris Tél.: , Fax: , contact@sfar.org, Pr. Georges Mellier HFME GHE 59 Bd Pinel Bron Ce E43x g E41rges.mellier@chu-lyon.fr Secrétariat Universitaire: Tél et Fax evelyne.dacosta@chu-lyon.fr Journées Infogyn au 6 octobre Parc des Expositions de Tarbes Bd Kennedy TARBES Madame Martine Lascoumettes, Infogyn Tél Fax martine@infogyn.com 9ème congrès "Femmes et cancer" 10 au 12 octobre Biarritz Team 5 Communication 39, rue Molitor Paris Tel /23 /22 Fax team5@numericable.fr 42 ème journées nationales de la Société Française de Médecine Périnatale 17 au 19 octobre Palais des Congrès Montpellier Journée Réseau MATER 18 octobre Lyon 8èmes Journées Daniel Dargent et 9ème Congrès de la S.C.G.P. 9ème Journée des Réseaux de Santé Périnatale en Rhône- Alpes 32èmes Journées Nicolas Guéritée d'endocrinologie 34èmes Journées de la Société Française de Sénologie et de Pathologie Mammaire 8 au 10 novembre 23 novembre 23 et 24 novembre 14 au 16 novembre Lyon Chambéry Paris Paris C.E.R.C. 7 rue du Capitaine Dreyfus FRANCONVILLE (France) Tél , fax a.deshons@wanadoo.fr CCLIN Sud Est tél : Mme Dominique Simao de Souza , , dominique.simao-desouza@chu-lyon.fr, Réseau Périnatal des 2 Savoies, Centre Hospitalier de Chambéry, B.P. 1125, Chambéry Cedex, Tél.: , Fax: , rp2s@ch-chambery.fr, JS Congrès TEL FAX jscongrès@wanadoo.fr Inscription en ligne sur le site ou bulletin d inscription à retourner à : SFSPM 2012 c/o COLLOQUIUM Jeanne Parent rue de Nancy PARIS (+33 (0) (0) sfspm@clq-group.com Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 12
13 La campagne «Dans les accouchements par voie basse : un sondage évacuateur bien fait!» bat son plein! Louis AYZAC Parce que le phénomène d infection urinaire nosocomiale liée au sondage évacuateur n est pas maitrisé dans les accouchements voies basses du fait en particulier de l augmentation de fréquence des péridurales, le comité de pilotage du réseau a donc décidé de lancer une campagne d information sur la bonne pratique du sondage évacuateur dans les accouchements par voies basse. Cette campagne comprend : 1) La mise en place d un audit sur la pratique du sondage évacuateur 2) L utilisation d une affiche d information, d une fiche technique et d un diaporama sonorisé sur le sondage évacuateur 3) Une nouvelle mesure par l audit sur la pratique du sondage évacuateur L affiche d information, la fiche technique, le diaporama sonorisé et le matériel pour réaliser l audit sont disponibles à l adresse : Le retour des données de l audit au CCLIN Sud Est doit avoir lieu au plus tard le 30 juillet Adresses utiles Conseil National de l Ordre des Sages Femmes : CERDAM Centre de Ressource Documentaire pour l Allaitement Maternel : Nosobase Hygiène Hospitalière et Infections nosocomiales: SFHH Société Française d Hygiène Hospitalière : Appel à communications Afin que ce bulletin devienne un lieu privilégié d'échange entre les maternités du Sud-Est, n'hésitez pas à nous faire parvenir de courts textes (1 page Word, taille de caractères 12) traitant de vos expériences ou bien exposant vos problèmes et interrogations. Responsable de publication : Louis AYZAC Pour tout renseignement contacter le CCLIN* Sud-Est Tel : Fax : cclinse@chu-lyon.fr Site Internet : *Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales Réseau Mater / CCLIN Sud-Est 13
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