L EYJAFJÖLL. Radiographie d un volcan qui a du panache. Géologie. 70] Géologie Pour la Science - n Juin Michel Detay
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1 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 70 Terre (Géologie) Géologie L EYJAFJÖLL Radiographie d un volcan qui a du panache Michel Detay L éruption du volcan islandais Eyjafjöll a provoqué une paralysie aérienne sans précédent depuis les attentats du 11 septembre Mais d autres éruptions bien plus puissantes sont à craindre. L ESSENTIEL Un gigantesque nuage de cendres produit par le vocan islandais Eyjafjöll a paralysé le trafic aérien européen durant une semaine en avril C est le contact de la lave et du glacier surmontant le volcan qui a produit ce nuage. Ce type d éruption cause des inondations catastrophiques. Un tel scénario pourrait se reproduire au sommet du Katla, le volcan voisin. D autres volcans liés au même système tectonique risquent de se réveiller. L e 20 mars 2010, l Eyjafjöll s est réveillé peu avant minuit, après 187 ans de sommeil. Ce volcan du Sud de l Islande, à quelque 130 kilomètres de Reykjavik, est couvert par l Eyjafjallajökull, le «glacier des montagnes des îles» (Eyja : îles; fjalla ou fjöll : montagnes; jökull : glacier), nommé ainsi, car il domine les îles Vestmann, situées à une trentaine de kilomètres au Sud-Ouest. Après une première phase éruptive dite effusive, caractérisée par une dizaine de fontaines de lave de style hawaïen d une centaine de mètres de hauteur, le volcan est entré le 14 avril dans une seconde phase, explosive. En effet, le contact de la glace et de la lave à plus de degrés a provoqué des explosions et l émission d immenses volutes de vapeur d eau, de gaz et de matériaux magmatiques, jusqu à plusieurs kilomètres d altitude. Poussé par le vent, l énorme panache a gagné l Europe. Or, très riches en silice, certaines particules volcaniques ont un effet abrasif. Elles érodent le fuselage, les ailes et les pare-brise des avions, peuvent fondre dans la chambre de combustion des réacteurs et s y déposer sous la forme d une pâte siliceuse. Cette pâte vitrifiée bouche alors la sortie d air sur les ailettes. Un système de sécurité, destiné à éviter une trop forte pression dans le compresseur, fait caler le moteur. L avion est alors en panne de réacteurs. Ainsi, en 1991, six des 16 avions commerciaux entrés en contact avec le nuage de cendres du Pinatubo, aux Philippines, ont eu leurs moteurs endommagés, dont plusieurs Boeing 747 transportant des centaines de passagers. En connaissance de cause, et par prudence, plusieurs pays européens ont interdit toute circulation aérienne. Le 19 avril 2010, on dénombrait vols annulés et plus de six millions de voyageurs bloqués partout dans le monde. Début mai, le nuage interrompait encore quelques centaines de vols dans le Nord de l Europe. Est-ce la fin de l histoire? Peut-être pas, car ce n est sans doute que le premier épisode d une longue série, du moins à une échelle de temps de quelques décennies. Le Katla, un volcan dix fois plus important, 1. LE 14 AVRIL 2010, un magma riche en silice entre en contact avec la glace de l Eyjafjallajökull et transforme l éruption effusive initiale en éruption explosive. Un panache de vapeur d eau (blanche), de gaz et de cendres volcaniques (noires) a atteint 11 kilomètres d altitude, avant de se propager. 70] Géologie Pour la Science - n Juin 2010
2 T. Boeckel pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 71
3 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 72 M. Detay 2. LE 27 MARS 2010 VERS 21 HEURES, l Eyjafjöll poursuivait la phase effusive de son éruption, caractérisée par la projection de lave en hauteur (au centre) et de petites coulées (au premier plan). Un cône volcanique s est formé ainsi au col de Fimmvördu, dans une zone située à l Est de la caldeira et non recouverte par le glacier. Reykjavík Eyjafjöll Dorsale de Reykjanes L AUTEUR Michel DETAY, géologue, préside Schematics Ltd. Hong Kong. Dorsale de Kolbeinsey est situé à une vingtaine de kilomètres à l Est de l Eyjafjöll. Il est aussi surmonté d un glacier, et le contact du magma et de la glace déclencherait une éruption explosive qui émettrait un énorme nuage de cendres. En outre, elle provoquerait une débâcle glaciaire, c est-à-dire un gigantesque déferlement d eau, de glace et de boue. Après avoir décrit la nature de l éruption de l Eyjafjöll, nous examinerons ses conséquences et les arguments qui font redouter un futur scénario catastrophe. Le feu sous la glace Le 27 mars, après plusieurs heures de conduite sur le glacier, je suis arrivé, avec mon confrère islandais Björn Hróarsson, en surplomb du site, à mètres d altitude, par 28 C. Une pluie de scories avait déjà transformé la surface neigeuse du glacier en un désert de cendres noires. Malgré nos casques, nos lunettes et des masques à gaz, les gaz éruptifs rendaient insupportable tout séjour de plus de quelques minutes près du cratère. L arrivée de coulées de lave sur la glace (voir la figure 3) produisait de gigantesques panaches blancs de vapeur d eau. Le30 mars, lorsque nous sommes revenus, l intensité de l éruption n avait pas baissé et conservait ce caractère non explosif. L Eyjafjöll, qui culmine à mètres environ, est un strato-volcan : il consiste en un empilement de strates de laves, de cendres et d autres matériaux pyroclastiques. L Eyjafjallajökull, la calotte glaciaire qui le surmonte, couvre 78 kilomètres carrés pour environ 200 mètres d épaisseur. Le volcan est formé d une caldeira de 2 500mètres de large, vaste dépression que l on observe au sommet de certains édifices volcaniques. Les volcanologues islandais considèrent l Eyjafjöll comme l un des volcans les moins actifs et les moins dangereux de l île. Il est entré en éruption à trois reprises au cours des temps historiques. La première fois en l an 550 ; la deuxième éruption, en 1612, a éjecté un kilomètre cube de matériaux. La troisième, de 1821 à 1823, était une éruption fissurale sous-glaciaire qui a déclenché une inondation, ou débâcle glaciaire, de quatre kilomètres cubes ce phénomène est nommé jökulhlaup («course de glacier») en Islande. Les deux dernières éruptions ont été suivies d une éruption du volcan voisin, le Katla, qui est surmonté du glacier Mýrdalsjökull («le glacier du marais»). L Eyjafjöll se manifestait depuis 16 ans par une multitude de séismes, dont plusieurs milliers au cours des semaines précédant l éruption. Ainsi, entre le 3 et le 5 mars, on a enregistré plus de séismes, dont quelques-uns avaient une magnitude supérieure à 3 sur l échelle de Richter. L épicentre de ces derniers se situait entre 7et10 kilomètres sous le volcan. À qui sait lire les sismographes et autres balises GPS (qui repèrent les déplacements de terrain), ils racontaient que la chambre magmatique se remplissait. Cette poche est située quelques kilomètres sous le cratère ; le magma s y accumule, monte en pression et y mature avant, éventuellement, de remonter en surface. Cette montée en pression s est d abord traduite par une dizaine de «fontaines de lave» de style hawaïen, qui projettent la lave en hauteur. La lave se déversait à l Est du cratère hors d une fissure fendant sur 500 mètres de long la bande de terre séparant le Mýrdalsjökull et l Eyjafjallajökull, au niveau du col du Fimmvördu, à environ mètres d altitude. Le 14 avril, a commencé la deuxième phase de l éruption, plus violente. La fissure s est brusquement allongée jusqu à mesurer deux à trois kilomètres de long. Elle a alors rejoint les cratères historiques de l Eyjafjöll. Ce faisant, elle a traversé des zones sous-glaciaires, ce qui a fait entrer le volcan dans une phase explosive. Le caractère explosif d un volcan peut être lié au dégazage du magma. Quand, 72] Géologie Pour la Science - n Juin 2010
4 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 73 en régime effusif, la remontée du magma est lente, le gaz s échappe lentement. Cependant, la pression du magma diminue lorsqu il s élève. Le mélange de magma et de gaz se dilate, ce qui accélère son ascension. Ainsi, d infimes variations dans la pression de la chambre magmatique entraînent de fortes variations de la vitesse, de la pression et de la teneur en gaz, jusqu à faire passer l éruption en régime explosif. Dans le cas de l Eyjafjöll, les explosions ont été déclenchées par la nature acide (riche en silice et plus visqueuse) du magma et par son contact avec de l eau ou de la glace. En effet, la sublimation de la glace le passage direct de l état solide à l état de vapeur d eau s accompagne d une augmentation du volume et de la pression du gaz produit, autrement dit d une explosion. Le 14 avril, après l agrandissement de la fissure initiale, c est donc l eau provenant de la fonte du glacier qui a fait entrer l Eyjafjöll dans sa phase explosive. Une telle éruption mêlant le feu et l eau est dite phréatomagmatique. C est alors que s est formé le nuage qui a bloqué le trafic aérien. Des téphras plus légers que l air À peine formé, ce nuage s est élevé jusqu à 11 kilomètres, c est-à-dire jusqu aux premières couches de la stratosphère. Il consistait en un aérosol composé de vapeur d eau, de divers gaz volcaniques et de fragments de roche solide, les téphras, ou pyroclastes, éjectés par le volcan. Dans toute éruption explosive, la taille de ces fragments varie de plusieurs mètres, dans le cas de certaines bombes volcaniques, à quelques micromètres pour les plus fines particules, les cendres. Ainsi, 72 heures après le début de la seconde phase éruptive, l Institut des sciences de la Terre islandais estimait que l Eyjafjöll avait déjà émis 150 kilomètres cubes de téphras. Non compactés, ces matériaux correspondraient à 70 à 80 kilomètres cubes de magma. La production moyenne de magma a atteint un débit 10 à 20 fois supérieur à celui de la première phase éruptive : 750 tonnes par seconde. À l Institut islandais des sciences de la Terre, des géologues ont analysé un échantillon de cendres. Près d un quart mesuraient moins de dix micromètres, tandis que la plupart variaient de 10 à 146 micromètres ; un autre quart comprenait des cendres de 146 à 294 micromètres. La finesse et donc la légèreté de ces cendres expliquent la hauteur atteinte par le nuage. En moyenne, il a évolué à proximité de l Islande à quelque mètres d altitude. Au bout d une semaine, dès qu a été consommé le «carburant» du volcanisme explosif, la glace surplombant la fissure éruptive, l éruption de l Eyjafjöll a cessé d être phréatomagmatique. Le volume de pyroclastes émis en a été considérablement réduit, même si l éruption se poursuivait. Quelles ont été finalement les conséquences de cet épisode volcanique? On se a b c M. Detay 3. LORS DE SA PREMIÈRE PHASE, l éruption de l Eyjafjöll était caractérisée par un style hawaïen, avec des fontaines de lave dont les jets atteignaient une centaine de mètres de hauteur (a, le 30 mars). Des panaches de vapeur apparaissaient lorsque la lave entrait en contact avec de l eau. Le glacier surmontant la plus grande partie du volcan (a, au premier plan) était couvert d une fine couche de projections pyroclastiques, ou téphras. Le 27 mars, la coulée de basalte, pauvre en silice et de faible viscosité, avance sur la glace (b). Le 30 mars, la coulée, plus visqueuse, et constituée de blocs de lave en partie refroidis, poursuit son avancée (c). Pour la Science - n Juin 2010 Géologie [73
5 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 74 NASA/GSFC/METI/ERSDAC/JAROS NASA/GSFC/JPL a b 4. APRÈS UN TRAITEMENT DANS L INFRAROUGE, le panache de cendres apparaît en rouge sur cette photographie (a) réalisée le 15 avril par le satellite Terra de la NASA. Il est accompagné d un nuage de glace (en bleu). Un autre instrument montre, le 19 avril, deux zones d éjection de la lave (b, points rouges) : la bouche éruptive responsable du panache de cendres (à gauche) ; et la première zone éruptive ouverte le 20 mars (au centre). Le glacier Mýrdalsjökull, qui recouvre le Katla, est visible à droite. souviendra longtemps de la mésaventure des millions de passagers bloqués par l interdiction des vols aériens, et des pertes de centaines de millions d euros des compagnies aériennes et des pouvoirs publics. Toutefois, l éruption a eu aussi des conséquences pour la population islandaise. De l eau, de la boue et des cendres Dès le début de l éruption de l Eyjafjöll, les autorités locales, prudentes, avaient fait évacuer 600 personnes : plusieurs jökulhlaups les débâcles glaciaires déjà évoquées à propos de l éruption de 1821 se sont produits, notamment le 14 avril avec des débits de à mètres cubes par seconde. Ces vagues d eau et de boue peuvent être catastrophiques (voir l encadré page 76). Outre les pertes d exploitation pour les agriculteurs, de nombreuses routes ont été coupées par les inondations. Par ailleurs, des composés chimiques adhèrent à la surface des téphras. Ils peuvent se révéler dangereux pour l homme et l environnement. En 1693, par exemple, le fluor contenu dans les téphras d un autre volcan en éruption, l Hekla, a L Islande est située au-dessus de la dorsale médioatlantique, qui sépare la plaque lithosphérique eurasienne et la plaque nord-américaine. Dans l axe de la dorsale, la remontée de laves basaltiques provenant du manteau terrestre crée un nouvelle croûte océanique, tandis que les deux plaques lithosphériques divergent d environ un centimètre par an (on parle d expansion océanique). Une chaîne volcanique sous-marine se forme alors, dont le relief peut atteindre 1500 mètres de hauteur par rapport au plancher océanique. L île a émergé il y a environ 20 millions d années parce qu un «point chaud», zone où le magma Eyjafjöll Intrusion de magma Conduits de lave Glacier Eyjafjallajökull Éruption au col de Fimmvördu UNE GÉOLOGIE AGITÉE Connexions possibles Glacier Mýrdalsjökull Katla Chambre magmatique Dôme de laves du Katla remonte depuis le manteau inférieur le long d un «panache mantellique», a produit dans l axe de la dorsale un colossal volume de laves qui s est accumulé au-dessus du relief sous-marin. Du fait du mouvement des plaques lithosphériques, ce point chaud, qui libérait du magma au niveau de la partie occidentale de l île il y a 20 millions d années, se situerait aujourd hui sous le glacier Vatnajökull, à l Est. Les études structurales, géophysiques et géochimiques ont montré que la dorsale médioatlantique sous-jacente (nommée dorsale de Reykjanes au Sud, dorsale de Kolbeinsey au Nord) se divise, sous le territoire islandais, en trois zones de rift (voir la figure ci-contre à droite) : au Sud, la zone volcanique occidentale (ZVO) et la zone volcanique orientale (ZVE), et au Nord la zone volcanique septentrionale (ZVS). Au Sud, les zones volcaniques orientale et occidentale sont reliées par une série de failles transformantes de direction Ouest-Est de 70 à 80 kilomètres de long, la zone sismique sud-islandaise (ZSSI). Là, surviennent régulièrement des séismes atteignant parfois une magnitude de 7 sur l échelle de Richter. L éruption de l Eyjafjöll a ainsi été précédée de milliers de petits séismes. Les résultats récents de l Institut des sciences de la Terre et du Centre volcanologique nordique (IES-NVC) permettent de proposer une reconstitution théorique de la récente éruption. La première phase de l éruption a émis un basalte à olivine caractéristique d une origine profonde (environ 25 kilomètres). Après un arrêt temporaire de la migration du magma vers six à dix kilomètres de profondeur, le magma a émergé le long d une fissure latérale du volcan, au col de Fimmvördu (voir la figure ci-contre). Après 24 jours d éruption continue à l embouchure de cette fissure, la seconde phase de l éruption était caractérisée par un magma acide, de 74] Géologie Pour la Science - n Juin 2010
6 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 75 causé une mortalité importante parmi les truites, les saumons et les animaux de ferme. Compte tenu de ce risque, les autorités ont recommandé aux personnes se rendant dans la zone de l éruption de porter un masque et des gants. Il ne semble pas que l eau de ruissellement ait été contaminée. Toutefois, la zone recouverte de cendres est l un des greniers de l Islande, et aussi une région de patûre des moutons, chevaux islandais et des bovins ; la région fournit 12 pour cent de la production laitière. Par chance, l éruption s est produite à une époque où les animaux ne sont pas en liberté dans les champs. L Autorité vétérinaire et sanitaire islandaise a cependant fait analyser des échantillons, prélevés le 19 avril. L analyse a révélé la présence de 850 milligrammes Plaque nord-américaine Reykjavík Dorsale de Reykjanes Zone sismique ZSSI ZVO Hekla type trachyandésite. Les caractéristiques de ce second magma résulteraient à la fois de la cristallisation fractionnée naturelle du magma initial, mais aussi d un mélange contenant des basaltes à olivine d origine profonde et des dacites d origine plus superficielle représentant essentiellement des résidus de l éruption de Ce mélange serait ensuite remonté pour déboucher au Sud-Ouest de l éruption initiale, dans le cratère historique de l Eyjafjöll. L Eyjafjöll et le Katla sont situés en dehors de la zone de divergence des plaques, située plus au Nord. Ces deux volcans sont dits intraplaques (ils appartiennent à la plaque eurasienne). Leurs de fluor par kilogramme de cendres. Or, d expérience, une concentration trois fois inférieure suffit à causé des empoisonnements chez l animal. Le 21 avril 2010, les autorités ont donc recommandé de protéger les animaux restés dehors dans les zones où retombaient des téphras. Un dernier risque notable concerne les populations locales : il s agit des éclairs produits par les éruptions volcaniques, particulièrement par les éruptions phréatomagmatiques (voir la figure 5). Ces éclairs proviennent de l électricité statique portée par les molécules de gaz et les particules en suspension. Ainsi, les archives islandaises ont conservé depuis 1715 le souvenir du foudroiement de deux personnes, qui vivaient pourtant à 30 kilomètres du Katla, alors en éruption. Akureyri Eldgjá ZVE Katla Dorsale de Kolbeinsey Laki Mýrdalsjökull Eyjafjöll Iles Vestmann Zone de fractures de Tjörnes Krafla ZVS Grímsvötn Vatnajökull Plaque eurasienne éruptions dépendraient de la remontée de magma du point chaud islandais et de l influence de la zone de failles ZSSI. Pour autant, les deux volcans semblent connectés à la zone volcanique orientale par des fissures qui, par endroits, les relient aux chaînes volcaniques de l Eldgjá et du Laki, typiques d un volcanisme de rift, et où se sont produites les éruptions les plus importantes. Leur existence expliquerait d une part, que deux des éruptions de l Eyjafjöll ont précédé celles du Katla, en 1612 et 1823; d autre part, que l éruption de l Eldgjá de a été produite par une fissure qui s est agrandie sur le flanc Nord du massif du Katla. La crise de l Eyjafjöll nous a rappelé que la population européenne vit... «sur un volcan». Si elle s est achevée sans catastrophe majeure et sans décès qui lui soit directement imputable, ce n est peut-être que provisoire. Les volcanologues se demandent en effet si l éruption de l Eyjafjöll ne pourrait se propager au volcan Katla, avec des conséquences d une ampleur bien supérieure à celle de l éruption actuelle. Le Katla dormira-t-il encore longtemps? Le Katla est situé au centre du glacier Mýrdalsjökull, près de huit fois plus grand que l Eyjafjallajökull avec une superficie de 596 kilomètres carrés. Situé à une vingtaine de kilomètres à l Est de l Eyjafjöll, il a la réputation d être l un des volcans les plus dangereux d Islande et l un des plus puissants du monde. En effet, il entre en éruption assez régulièrement, tous les 40 à 80 ans environ, en produisant des volumes de lave et de cendres considérables. Une vingtaine d éruptions ont été répertoriées au cours des 11 derniers siècles. La dernière en date, en octobre 1918, a duré environ trois semaines. Sa caldeira, d une superficie d environ 110 kilomètres carrés, est recouverte par une couche de glace d une épaisseur d environ 400 mètres. De ce fait, les débâcles déclenchées par ses éruptions sont particulièrement monstrueuses, convoyant de gigantesques quantités d eau, de glace et de boue. Ainsi, quelques heures après son début, l éruption de 1918 a produit une débâcle de à mètres cubes par seconde, soit deux fois le débit de l Amazone, à l Est du volcan, dans la plaine du Mýrdalssandur! Deux autres jökulhlaups plus restreints sont survenus en 1955 et 1999, apparemment en raison d une recrudescence de l activité volcanique. L Eyjafjöll et le Katla étant voisins et dans la même zone tectonique (voir l encadré ci-contre), des volcanologues et géophysiciens comme Páll Einarsson, de l Institut des sciences de la Terre islandais, redoutent que l éruption du premier ne réveille le second, comme cela s était produit en 1612 et en Par ailleurs, les deux volcans sont reliés au système tectonique et volcanique du Laki et de l Eldgjá, deux grandes fissures volcaniques au Nord-Est du Mýrdalsjökull. Or ces fissures sont responsables Pour la Science - n Juin 2010 Géologie [75
7 pls_392_p000000_eyjafjoll.xp_jjp_0505 7/05/10 12:25 Page 76 Les Jökulhlaups : des inondations catastrophiques Les jökulhlaups (littéralement «courses glaciaires») sont des inondations catastrophiques liées à une éruption sous-glaciaire et au déversement brutal de l eau par vidange brusque du lac glaciaire. Il s agit d une forme de lahar, terme indonésien désignant une coulée boueuse d origine volcanique. L un des jökulhlaups les plus gigantesques est survenu le 29 septembre 1996 lorsque le volcan Grímsvötn est entré en éruption sous le glacier Vatnajökull (le «glacier des rivières»), le plus important glacier d Europe, avec ses kilomètres carrés et 400 à mètres d épaisseur de glace. À cette date, l éruption sousglaciaire provoque la fonte des glaces sur une hauteur de 600 mètres, le long d une fissure de trois kilomètres et demi de longueur et de 500 mètres de largeur. Le lac du centre de la caldeira atteint alors un volume critique de trois kilomètres cubes. Le 5 novembre 1996, à 8h30 du matin, le jökulhlaup se déclenche dans la plaine du Skeiðarársandur. Très vite, le débit de la rivière Skeiðará augmente, pour être multiplié par 100 en deux heures, et des blocs de glace, pouvant atteindre 15 mètres de hauteur, sont charriés. Cinquante kilomètres séparent le Grímsvötn du lieu où se produit l inondation. Après 52 heures de crue, dans la nuit du 7 au 8 novembre 1996, le phénomène s achève, les glaces au contact de la lave ayant fondu. Quelques chiffres permettent de mesurer l ampleur du phénomène : le débit de la rivière est passé de 70 à mètres cubes par seconde (soit 180 fois le débit moyen de la Seine), et une vague de trois à cinq mètres de hauteur a déferlé dans la plaine, faisant déborder le lit de la rivière sur une largeur de 50 kilomètres ; le flot boueux charriant 100 millions de tonnes de matériaux volcaniques a formé une traînée de 15 kilomètres de long dans l océan Atlantique. Le montant total des dégâts s est élevé à 15 millions de dollars. T. Boeckel 5. D INTENSES DÉCHARGES électriques se produisent lors des éruptions, notamment dans les nuages de cendres d origine phréatomagmatique, comme ici le 17 avril au-dessus de l Eyjafjöll. BIBLIOGRAPHIE E. Sturkell et al., Katla and Eyjafjallajökull volcanoes, Dev. in Quaternary Sciences, vol. 13, pp. 5-21, R.M. Trigo et al., Witnessing the impact of the Laki eruption in the Southern hemisphere, Climatic Change, vol. 99, pp , T. Thordarson et A. Hoskuldsson, Iceland, Ed. Terra, T. Thordarson et al., New estimates of sulfur degassing and atmospheric mass-loading by the 934 AD Eldgjá eruption, Iceland, J. Volc. Geoth. Res., vol. 108, pp.33-54, A. Gudmundsson, Dynamics of volcanic systems in Iceland : Example of tectonism and volcanism at juxtaposed hot spot and mid-ocean ridge systems, Annu. Rev. Earth Planet. Sci., vol. 28, pp , des deux plus grandes éruptions historiques. Celle du Laki (ou Lakagigar), de juin 1783 à février 1784, a été déclenchée par l ouverture d une fissure de 27 kilomètres, le long de laquelle se sont formés 130 cônes volcaniques. À l extrémité de cette fissure, le volcan Grímsvötn est resté actif de 1783 à On estime que l éruption a produit 15 kilomètres cubes de lave basaltique, d acide fluorhydrique et de dioxyde de soufre; 250 mégatonnes de dioxyde de soufre auraient été émises dans l atmosphère, soit trois fois les émissions industrielles annuelles en Europe et l équivalent, tous les trois jours, d une éruption comme celle du Pinatubo, en Vers d autres réveils? En Islande, l éruption du Laki a entraîné la mort de 80 pour cent du cheptel de moutons et de 50 pour cent du reste du bétail. La famine a causé la mort de plus de 20 pour cent de la population. L émission de dioxyde de soufre coïncidant avec des conditions climatiques inhabituelles, un épais brouillard contenant de l acide sulfurique s est répandu sur l Europe occidentale, provoquant des milliers de morts entre l été 1783 et l hiver En outre, les aérosols créés ont entraîné un refroidissement dans tout l hémisphère Nord, caractérisé par plusieurs hivers très rigoureux en Europe. L éruption de l Eldgjá (la «gorge de feu»), de 934 à 940, moins bien connue, représente la plus importante source de pollution volcanique des temps historiques. Les volumes de lave émis par cette fissure de 50 kilomètres de long peuvent être comparés à un mur de 35 mètres de large, de 540 kilomètres de long (la distance de Paris à Berlin) et d un kilomètre de haut. L éruption a dissipé dans l atmosphère 219 millions de tonnes de dioxyde de soufre, 20 fois plus que le Pinatubo. L histoire géologique de l Islande suggère donc que l éruption de l Eyjafjöll pourrait n être que la première étape d un désordre de bien plus grande ampleur, dans un avenir géologique plus ou moins proche. Dans cette hypothèse, cet événement aux répercussions mondiales aura été relativement mineur. Qu en sera-t-il lors de l éruption d un supervolcan comme Yellowstone, dans le Wyoming, qui devrait être 100 fois plus forte que celle du Laki? Et lors de la mise en place de «trapps», ces très grands épanchements basaltiques de plus d un million de kilomètres cubes de lave (équivalents à Laki)? À l aune de ces événements, qui ne sont pas improbables, l éruption de l Eyjafjöll n aura été qu une répétition. Et pas seulement pour la gestion du trafic aérien européen 76] Géologie Pour la Science - n Juin 2010
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