Le Comportement du consommateur

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le Comportement du consommateur"

Transcription

1 Le Comportement du consommateur (vis-à-vis du médicament générique) Exposé présenté par : MM. Tafer Mounir et Tafer Zoheir Groupe SAIDAL / Université de Béchar Algérie 1

2 SOMMAIRE Page Introduction 3 I. Approche du marché par la demande. 5 II. Les variables explicatifs du comportement d achat... 8 III. Les étapes du processus de la décision d achat.. 11 IV. Les facteurs infuant sur le comportement d achat du médicament générique... Conclusion Références bibliographiques. 16 2

3 Introduction: L étude du «Marché», au sens large du terme, est une étape nécessaire qui doit précéder l établissement et l exécution de la stratégie Marketing. Il est donc vital pour l entreprise d étudier les caractéristiques de l ensemble des acteurs économiques (publics), susceptibles d exercer une infuence (positive ou négative) sur les ventes du produit «A», et de modifer la structure des parts de marché de l ensemble des entreprises produisant des biens de la même famille que «A». Donc, pour être complète, une étude de marché n est complète que si elle comprend : l étude de l environnement, l étude de l image de l entreprise, l étude de la concurrence, l étude de la distribution et l étude des consommateurs. L étude de l environnement : L environnement de l entreprise exerce une infuence certaine sur son activité et sur son développement. Sa maitrise ou du moins sa connaissance doit permettre de déceler à temps, les opportunités à saisir et les menaces éventuelles. L étude de l environnement peut être conduite à différents niveaux, énoncés et expliqués dans le tableau ci-dessous : domaines. Technologique Politique Juridique Socio-économique Culturel L étude de l évolution des progrès techniques, des recherches en cours, des nouveaux matériaux, des nouvelles technologiques, etc., conditionnent toute décision de création de produits nouveaux. L analyse du degré de stabilité politique, des risques de nationalisation, du degré d intervention des pouvoirs publics dans la vie économiques, sont autant de données indispensables avant toutes décisions d exportation ou d implantation dans un pays étranger. L application des lois, décrets et règlements, existants ou en projet, conduit les entreprises à modifer les produits existants ou à innover. L évolution du pouvoir d achat, du taux de chômage, de la structure de la population, de la composition de la famille et plus généralement du niveau de l activité économique, doivent être pris en compte par l entreprise. L étude des traditions, des valeurs, des croyances des individus composant la société est indispensable pour toute entreprise qui envisage de créer de nouveaux produits, de modifer ou de créer de nouvelle forme de distribution, de lancer une compagne de publicité, bref, pour toute action du Marketing-Mix. 3

4 L étude de l image de l entreprise : Elle permet de savoir comment est perçue l entreprise, tant de l intérieur par ses salariés et ses actionnaires, que de l extérieur, par ses différents partenaires (clients du présent et du futur). L entreprise peut également mener des études de notoriété, notamment pour évaluer l impact et le degré d effcacité de sa communication. L étude de la concurrence : Ou «veille commerciale», qui vise à identifer les concurrents directs, d analyser leurs stratégies commerciales et d évaluer leurs performances futures. L étude de la distribution : Etape nécessaire pour connaître le poids relatif des différents circuits, leurs avantages et leurs inconvénients; et pouvoir ainsi défnir les pratiques commerciales des distributeurs. L étude du consommateur : Ces études permettent de répondre aux questions concernant les clients (actuels et potentiels de l entreprise), en déterminant leur nombre, leur âge, leur style de vie, leur attentes, et surtout, leur comportement d achat, c'est-à-dire, les facteurs qui ont une infuence directe sur leurs habitudes, leurs décisions, etc., et qui a travers cet exposé succinct, nous allons nous efforcer d analyser. 4

5 I. Approche du marché par la demande : Pour analyser un marché, il existe plusieurs approches, dont l une d elle consiste à se pencher sur le coté «demande», et où l entreprise cherche à cerner tous les aspects relatifs à ses clients réels ou potentiels, représentés par la fgure qui suit : Figure 1.1 : «La typologie des clients dune entreprise donnée» Marché Potentiel Marché actuel Non consommateurs relatifs Non consommateurs absolus Marché de l entreprise Marché de la concurrence Source : Evrard et alli, 1993, «Market, Etudes et recherches en Marketing», Nathan, Paris, p29. Remarque : Les non consommateurs absolus sont les personnes qui ne peuvent pas consommés le produit pour des raisons physique, morales ou religieuse. Les non consommateurs relatifs, sont en deux genres : o Involontaires : qui ne peuvent consommer certains produits, pour des raisons liées à un pouvoir d achat insuffsant, ou à un manque d information o Volontaires : qui refusent de consommer certains produits pour des raisons culturelles, sociales, religieuses ou psychologiques. Les consommateurs qu ils soient volontaires ou involontaires, relatifs ou absolus, agissent certes différemment, mais sont tous soumis aux mêmes facteurs d infuence, en d autres termes, ils réagissent de manières différentes mais sont régis par des facteurs identiques, à la base desquels nous trouvons deux éléments inhérents à la nature même de l être humain : le besoin et la motivation. 5

6 I.1. Les besoins et leurs classifcations : Le besoin, ou sentiment de privation qui porte à désirer un bien ou un service, peut revêtir plusieurs formes que de nombreux auteurs ont cherché à classer en différentes catégories de besoins. Ces classifcations proposent des pistes pour expliquer la consommation d un produit ou analyser la structure d un marché. Parmi les classifcations des besoins les plus couramment employées en Marketing, nous retiendrons la «classifcation de Maslow», mise au point par le psychologue Américain «Abraham Maslow» au début des années 50 du siècle dernier. Il à illustrer les besoins par une pyramide à degrés, appelé «Pyramide de Maslow», et dont la fgure suivant en donne une représentation : Figure 1.2 : «Classifcation des besoins selon Maslow» Source : 6

7 I.2. Les Motivations : Quant aux motivations, ce sont les pulsions qui poussent à l achat et qui sont censés satisfaire un ou plusieurs besoins. Lors d un achat, le choix des consommateurs est guidé par des motivations positives, mais peut être freiné aussi par d autre appelées «motivation négatives». Les principales motivations des deux types sont reportées dans le tableau suivant : Tableau 1.1 : «Les motivations positives et négatives conditionnant le choix d achat» Motivations Positives Force psychologique qui pousse à l achat Motivations Négatives Force psychologique qui empêche l achat Type objectifs Exemples Type Objectifs Exemples Ressentir du Sentiment de Sentiment d attraction, Ne pas aller à plaisir obtenir de culpabilité vis à vis Hédoniste pour les loisirs et la Inhibition l encontre des la vie des de certaine restauration. valeurs morales. plaisirs. gourmandise. Oblatif Autoexpression Etre important pour les autres, offrir et rendre service. Apparaître tel que nous sommes où voudrons être. / La peur Envie de s habiller ou de se coiffer de certaine façon. Diffculté réelle ou imaginaire relatif à l emploi des produits Sentiments de danger ou de manque d assurance. / / / Source : Evrard et alli, Op.Cit, p131. En fait, besoins, motivations et les autres traits liés à la personnalité de l individu, ne suffsent pas à eux seuls à expliquer le comportement du consommateur ; car de par sa nature «grégaire», l être humain vit en interaction avec les autres membres de la société, et il existe donc des interactions entre les deux parties (individu/les autres individus). C est de ces éléments que nous allons consacrer la prochaine section de cet exposé. 7

8 II. Les variables explicatifs du comportement d achat Tout individu cherche à maximiser son utilité, c'est-à-dire à obtenir le plus possible avec le moins de dépenses. Cependant, ce raisonnement rationnel n a pas toujours cors, d un autre coté, l étude du comportement du consommateur et des facteurs l infuençant est beaucoup trop vaste pour être abordé dans un exposé d une dizaine de pages, nous avons décidé alors, de nous intéresser qu a une facette du comportement du consommateur, celui du «comportement d achat», que nous allons disséquer en plusieurs sous sections, et commençons par la décision d achat : II.1. La décision d achat : Elle résulte d un certain nombre de variables individuelles (propres à l individu) et sociologiques (résultat des interactions entre l individu et les autres individus de la société de laquelle il fait partie). a- Les variables individuels : La personnalité : elle permet de distinguer un individu dans son unité, sa singularité, sa permanence. L image de soi : la possession de tel ou tel produit peut constituer un moyen d exprimer sa personnalité et de s auto-exprimer. Les attitudes : c est la tendance de l individu à évaluer d une certaine façon un objet. Elle est composée des croyances ou éléments cognitifs qui recouvrent ce que la personne sait de l objet ; du sentiment ou élément affectif qui correspond à ce que la personne pense de l objet et de la prédisposition ou élément cognitif qui indique ce que la personne est prête à faire pour se procurer l objet. Il se peut aussi que les expériences passées jouent un rôle. 8

9 Le style de vie : le style de vie d un individu est la résultante globale de son système de valeur, de ses aptitudes et activités et de son mode de consommation. Une étude effectuée par un centre de recherche Français (Le CCA), a permit de démontrer qu il existe dans la plupart des pays du monde, mais dans des proportions différentes, cinq styles de vies différents : Les matérialistes (dont le souci majeur est la défense de leurs intérêts), Les échos centrés (qui essayent de fuir devant les diffcultés de la vie et qui dépensent de façon souvent ostentatoire), Les décalés (anticonformistes et cherchent à profter au maximum de la vie), Les activistes (élites animés de grandes ambitions personnelles et préférant plus l action à la réfexion), et enfn, Les rigoristes (très attachés aux valeurs traditionnelles et qui souhaitent constituer un patrimoine pour leur progéniture). b- Les variables sociologiques : Résultantes ou causes des interactions individu/société que nous avons évoqué précédemment. Nous distinguons de ce fait quatre niveaux d interactions : Les groupes : un groupe est formé de personnes qui partagent un certain nombre de voyance et de valeur commune, exemple : les amis, les collègues de travail, les associations, les leaders d opinion,,etc. La famille : le comportement d achats varie selon l âge et la situation familiale. Le processus d achat familial dépend de la répartition des rôles au sein de la famille ainsi que du produit. La culture : ou l ensemble des croyances et des habitudes communes à des personnes qui partagent un même héritage de valeur. C est ce qui explique en partie les 9

10 différences qui peuvent exister dans les structures de consommation entre pays ou régions. Les classes sociales : ce sont les principales catégories de décomposition d une société. Ils sont constitués de groupes homogènes de personnes et se structurant à partir de variables tel que : le niveau d éducation, la formation, la profession, le revenu, le type et le lieu d habitation. II.2. Les participants à la décision : Dans une situation d achat donné, plusieurs acteurs peuvent intervenir en infuençant le processus d achat ou le comportement d achat. On distingue généralement comme acteurs : L inspirateur ou l instigateur, qui est à l origine de l achat du produit et qui intervient en amont du comportement d achat. L inspirateur peut être une personne matérielle ou élément immatériel ou mystique. Le prescripteur, qui recommande ou ordonne l acquisition du produit. Contrairement à l inspirateur, le prescripteur à une «existence physique». Le conseiller, qui guide l acheteur (amis ou parent), l oriente et peut parfois le détourner du produit. Le décideur, à qui revient la décision d acheter et donc de trancher, et de décider du volume à acheter. L acheteur, qui procède à l acte d achat proprement dit, pour son propre compte ou pour le compte du consommateur fnal. 10

11 L utilisateur ou consommateur fnal, censé faire usage du produit acheté pour couvrir un besoin ou assouvir un désir. II.3. Les différentes situations d achats possibles : L importance et la complexité du processus d achat, dépendent du type du produit acheté : banal, c'est-à-dire commun, ou anormal, dans le sens où il est destiné à une certaine frange de la population. Le tableau qui suit, décrit sommairement les processus d achat liés à ces deux types de produits : Tableau 1.2 : «Les situations d achat selon la nature du produit» Type de bien acheté Degré d implication Nature de l achat Besoins d information Degré de différenciation de marque Nombre d intervenant dans la décision Banale Faible Routinier Faible Faible Peu important Anormale technique Fort Inhabituel Fort Fort Important Source : Ingold.P, 1995, «Promotion des ventes et action commerciales», Edition Vuibert, Paris. p209. III. Les étapes du processus de la décision d achat : L analyse des étapes du processus de la décision d achat, permet une meilleure compréhension du comportement d achat de consommateur. Et d un autre coté, de situer les éléments traités précédemment dans un contexte commun. Ces étapes sont au nombre de quatre : Prise de conscience d un besoin : le besoin peut être exprimé en latent (caché) conscient ou inconscient. Dans tout les cas il se traduira par un état de tension que l individu cherchera à faire disparaître. Rechercher d information : plus le risque d achat est important, plus le besoin d information sera grand. Les sources d information peuvent être personnelle (famille, amis ), 11

12 commerciale (publicité, presse spécialisée) ou lié à d éventuelles expériences propres passées. Evaluation des différentes solutions possibles : avant de prendre une décision défnitive, le consommateur devra faire un inventaire des différentes possibilités qui s offre à lui. Prise de décision : une fois les différentes solutions possibles évaluées, le consommateur devra opérer un arbitrage entre elles, en fonction des facilités de paiement accordées, des services rendus et de la qualité de sa relation avec le vendeur. Evaluation post-achat : après l achat et la consommation (ou l utilisation) le consommateur pourra éprouver soi un sentiment de satisfaction, soit un sentiment d insatisfaction. Dans le premier cas, il sera amené à racheter le produit et à faire part de sa satisfaction à son entourage, sinon, il ne rachètera pas le produit et n hésitera pas à faire part de son mécontentement autour de lui. IV. Les facteurs infuant sur le comportement d achat du médicament générique: Nous partons du principe que l achat d un médicament qu il s agisse d un «générique» ou d une «molécule mère», correspond à un besoin physiologique, du moment que l utilisateur du médicament aspire à rétablir ou à conserver le bon fonctionnement de son organisme. Quant aux motivations, celles qui sont dites «négatives» sont à notre sens celles qui sont le plus en rapport avec les médicaments générique : en effet, «le peur» peut pousser le consommateur à opter pour «la molécule mère», étant convaincu qu une «copie» ne peut rivaliser avec «un original», du point de vue performances (effets), ou que le générique peut provoquer des effets indésirables ou être dangereux pour la santé. 12

13 Pour ce qui est des variables qui infuent le plus sur le comportement d achat du médicament générique, ils sont à notre humble avis, les suivants : L image de soi : une personne imbue d elle-même ou un individu sujet au «snobisme», pourrait rechigner à acheter un médicament générique, car ce dernier étant relativement moins cher que la molécule mère, ceci pourrait sembler pour le snob ou le mégalomane comme un signe de médiocrité du produit, et qui est donc destiné aux médiocres, aux pauvres ou à tous ceux que notre «consommateur» refuse d être assimilé. L attitude : et surtout ce qui a trait aux croyances, pas toujours valables, mais profondément ancrées dans l esprit des consommateurs. Par exemple, un médicament générique produit par une frme nationale peut être considérer d une qualité moindre, par le simple fait qu il est justement produits par une frme nationale. Le mythe de «l exotique est surement bon, le local est forcément mauvais», malheureusement très répondu dans notre société, peut infuer sur l achat des médicaments génériques. Le style de vie : Il est diffcile de déterminer si le médicament générique est plus adopté par un style que par un autre. La famille : il est certain qu elle peut infuer sur la décision d achat du générique, surtout si on considère le critère «taille», car il est évident qu une famille nombreuse a plus de chance d opter pour un médicament générique, étant donné qu il est généralement moins cher et qu il permet de dégager un pouvoir d achat susceptible d être utiliser à d autres fns. La classe sociale : qui conditionne le revenu perçu et qui renvoi donc à l idée que nous avons exposé avec le facteur «famille» et qui concerne le pouvoir d achat. Quant aux participants à la décision d achat, ils sont à notre avis au nombre de trois (du moins les plus importants) : 13

14 o Le prescripteur : dans notre cas, il s agit des médecins qui prescrivent ou non les médicaments génériques à leurs patients. o Le conseiller : c est comme on la dit celui ou ceux qui en connaissance de cause, peuvent inciter le consommateur à se procurer le produit, conseiller n est pas imposer, est dans le cas du générique, on peut dire que ce rôle est des pharmaciens, qui peuvent recommander à un malade de prendre le médicament générique à la place de la molécule mère. o L acheteur enfn, est selon nous le dernier acteur qui puisse agir sur la demande du médicament générique. Une fois sur place (dans la pharmacie), il peut ou non suivre les recommandations du conseiller (pharmacien) et d acheter ou non ce qui lui a été imposé par le prescripteur (le médecin). Aussi, la nature même du médicament générique, qui ne peut être considéré comme un «produit banal», mais plutôt comme un «produit technique», exige qu un effort important soit mis sur l information et sur le positionnement du produit. 14

15 Conclusion : Le comportement du consommateur n est pas une science exacte, et son étude n est pas une chose aisée, cependant il existe des constantes communes à l ensemble des consommateurs, car somme toute le comportement humain est certes conditionné par les expériences vécues, par le milieu dans lequel évolue l individu, mais aussi par des éléments semblables et présent dans tout un chacun. Donc, la compréhension de ces facteurs collectifs, permet dans une certaine mesure d infuer le comportement du consommateur et son comportement d achat. Dans le cas du médicament générique, et d après notre argumentation, nous pouvons dire qu il existe des facteurs qui favorisent l acquisition du médicament générique, et d autres qui au contraire dissuadent les consommateurs de s en procurer. Ainsi et pour renforcer les «facteurs favorisants» et réduire de l impact des «facteurs défavorisants», un accent particulier doit être mis sur la politique de communication de l entreprise qui fabrique ou commercialise le générique, tant en amont, c'est-à-dire auprès des professionnels de la santé (médecins et pharmaciens) et par l intermédiaire des «informateurs médicaux» ; qu auprès du grand public (les consommateurs) par le biais de campagnes publicitaires d envergure, ciblées et étudiée pour toucher le point névralgique de tout un chacun : sa bourse!. 15

16 Références bibliographiques : 1.Evrard et alli, 1993, «Market, Etudes et recherches en Marketing», Nathan, Paris 2. Ingold.P, 1995, «Promotion des ventes et action commerciales», Edition Vuibert, Paris. 3. Lendrevie.L, 2000, «Mercator», 6 ème édition, DALLOZ, Paris. 4. Solomon.M, 2005, «Comportement du consommateur», 6 édition, PEARSON, Paris. ème 16

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU

ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU 1 CHAPITRE 3: L ASYMÉTRIE D INFORMATION NOTIONS IMPORTANTES: Asymétrie d information Antisélection (ou sélection

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

LA PYRAMIDE DES BESOINS VERSION 2.0

LA PYRAMIDE DES BESOINS VERSION 2.0 AGENCE DE COMMUNICATION INTERACTIVE LA PYRAMIDE DES BESOINS VERSION 2.0 MM Création 32 Avenue de Wagram 75 008 Paris Tél : 01 45 74 76 00 Fax : 01 45 74 95 06 E-mail : jn@mmcreation.com Site : www.mmcreation.com

Plus en détail

RGROSS R.GROSS 11/09/2007

RGROSS R.GROSS 11/09/2007 1 1.2 La démarche mercatique RGROSS / 2 La mercatique Un état d esprit qui consiste à se placer systématiquement du point de vue du consommateur afin de satisfaire au mieux ses besoins. Unedémarche qui

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Niveau : 1 ère Année Master Enseignant : KHERRI Abdenacer Date : 13/04/2015 Site web : www.mf-ehec.jimdo.com Durée : 1 heure 30 minutes

Plus en détail

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments :

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments : S A N T É P U B L I Q U E RAPPORT SYNTHÈSE Évaluation des effets du programme Les médicaments : Oui Non Mais! En santé après 50 ans Depuis janvier 1997, la Direction de santé publique s est associée à

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

LES PARTICULARITES DU PROCESSUS DECISIONNEL D ACHAT SUR LE MARCHE D ASSURANCES 511

LES PARTICULARITES DU PROCESSUS DECISIONNEL D ACHAT SUR LE MARCHE D ASSURANCES 511 LES PARTICULARITES DU PROCESSUS DECISIONNEL D ACHAT SUR LE MARCHE D ASSURANCES 511 Petrescu Marian Faculté de Commerce Ioncică Maria Faculté de Commerce Petrescu Eva-Cristina Faculté de Marketing Ioncică

Plus en détail

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans FAIREBOUGERLES9-13.org 1 LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans TABLE DES MATIÈRES 3 4 5 DONNÉES SOCIO- DÉMOGRAPHIQUES HABITUDES MÉDIATIQUES ET DE CONSOMMATION EN MATIÈRE DE MODE DE VIE PHYSIQUEMENT

Plus en détail

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui

Plus en détail

Analyse en temps réel du trafic des Internautes

Analyse en temps réel du trafic des Internautes Analyse en temps réel du trafic des Internautes Toute entreprise doit être en mesure d analyser le trafic de son site web et d obtenir une vue précise de son efficacité en temps réel SOMMAIRE Aperçu p.

Plus en détail

Principes d AdWords. Quelques mots de présentation. Une audience large : les réseaux de ciblage. Réseau de recherche

Principes d AdWords. Quelques mots de présentation. Une audience large : les réseaux de ciblage. Réseau de recherche 3 Principes d AdWords Les deux premiers chapitres de ce livre, plutôt généraux, ont présenté l univers d Internet et de la publicité en ligne. Vous devriez maintenant être convaincu de l intérêt d une

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

Créer son entreprise - 2012. Marketing. Les bases Les premières démarches. GENILEM www.genilem.ch

Créer son entreprise - 2012. Marketing. Les bases Les premières démarches. GENILEM www.genilem.ch Créer son entreprise - 2012 Marketing Les bases Les premières démarches 1 Créer son entreprise - 2012 A la fin du cours, vous serez en mesure de savoir ce qu est le marketing vous poser les bonnes questions

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST?

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST? 1 Chapitre Chapitre Le coaching «Ils jouent un jeu. Ils jouent à ne pas jouer un jeu. Si je leur montre que je le vois, je briserai les règles et ils me puniront. Je dois jouer leur jeu, qui consiste à

Plus en détail

Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie

Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne

Plus en détail

Notions de MARKETING à l usage des ingénieurs (Niveau 1 - EPITA Ing 1)

Notions de MARKETING à l usage des ingénieurs (Niveau 1 - EPITA Ing 1) Notions de MARKETING à l usage des ingénieurs (Niveau 1 - EPITA Ing 1) Entrepreneur Consultant Senior Mentor Conférencier Enseignant reader sur www.bleam.it www.arfi.tel Jean-Luc ARFI Copyright ARFI Jean-Luc

Plus en détail

Lucie, Laurent et Elodie

Lucie, Laurent et Elodie Lucie, Laurent et Elodie Elo Relations Publiques D éf n itio n Les relations publiques se défnissent comme un ensemble de techniques de communication destinées à donner une image favorable à une personne

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Pas d installations ou d équipement particuliers.

Pas d installations ou d équipement particuliers. COURS MAM1010 : Niveau : Préalable : Description : Paramètres : MARKÉTING ET GESTION Débutant Aucun L élève acquiert des notions de base en gestion et en markéting et donne des indications sur les meilleures

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

Introduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée

Introduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités

Plus en détail

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine

Plus en détail

Jour 1. Origines et évolution du marketing

Jour 1. Origines et évolution du marketing Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,

Plus en détail

Recommandez Sunrise. Un partenaire de confiance.

Recommandez Sunrise. Un partenaire de confiance. Recommandez Sunrise Un partenaire de confiance. Soins de longue durée et soins pour personnes semi-autonomes Soins pour personnes souffrant de l Alzheimer ou éprouvant des troubles de la mémoire Soins

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

Le Québec, terre de traduction

Le Québec, terre de traduction Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE

I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE SUIVI D UN PROJET D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE : LES DIFFICULTÉS D APPLICATION DU CADRE NORMATIF DANS LE MONDE BANCAIRE Le poste que j occupe au sein du service d archives du Crédit Lyonnais qui sont désormais

Plus en détail

Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014

Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014 Le FAQ de Syntec Conseil en Relations Publics 2014 Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les relations avec les publics Ce FAQ a été réalisé à la suite de rencontres entre des professionnels

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

CHAPITRE 1 ER : LES FONDEMENTS DU MARKETING

CHAPITRE 1 ER : LES FONDEMENTS DU MARKETING CHAPITRE 1 ER : LES FONDEMENTS DU MARKETING A. HISTORIQUE DU MARKETING L économie de production il suffit de produire pour entreprendre et réussir Le chef d entreprise ne se préoccupe que des problèmes

Plus en détail

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009

Plus en détail

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Index A n o 9 CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Fondement législatif Articles 650, 651 et 654 de la Loi sur les sociétés d assurances (la «Loi») Définitions

Plus en détail

Propension moyenne et marginale

Propension moyenne et marginale Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population

Plus en détail

CEM: les comptes d épargne médicale

CEM: les comptes d épargne médicale CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart

Plus en détail

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux

Plus en détail

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002

Plus en détail

UNE NOUVELLE MENACE : LA PUB-ILLICITE OU QUAND LA PUBLICITE SERT DE PASSERELLE A LA CYBER CRIMINALITE

UNE NOUVELLE MENACE : LA PUB-ILLICITE OU QUAND LA PUBLICITE SERT DE PASSERELLE A LA CYBER CRIMINALITE UNE NOUVELLE MENACE : LA PUB-ILLICITE OU QUAND LA PUBLICITE SERT DE PASSERELLE A LA CYBER CRIMINALITE La plupart des services gratuits web que nous utilisons aujourd hui -des moteurs de recherche aux emails,

Plus en détail

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007) Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -

Plus en détail

Si j étais né ailleurs, seraisje différent?

Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Compétence ou problématique abordée : Identifier ce qui m a conditionné, ce qui m a construit : - au plan éducatif - au plan social - au plan culturel Concepts

Plus en détail

SEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation

SEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation Pour repenser son organisation au sortir d'un plan de départs volontaires, l'industriel SEPR a "osé" solliciter la participation de ses salariés. Avec succès. Réflexions de Pierre Casadei, Directeur des

Plus en détail

Cette notice dresse un panorama des différents types de campagnes marketing automatisées et de leur mise en œuvre.

Cette notice dresse un panorama des différents types de campagnes marketing automatisées et de leur mise en œuvre. A l image de la chaine de montage d une voiture, les actions marketing tendent à s automatiser afin d optimiser le temps et l argent investis. On appelle «automation marketing» ou marketing automatisé,

Plus en détail

Techniques d accueil clients

Techniques d accueil clients Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit

Plus en détail

FAILLITE ET RESTRUCTURATION

FAILLITE ET RESTRUCTURATION 139 FAILLITE ET RESTRUCTURATION Selon la législation constitutionnelle canadienne, le gouvernement fédéral exerce un contrôle législatif exclusif sur les faillites et l insolvabilité. Au Canada, les procédures

Plus en détail

AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT

AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT «Un enseignant ou une culture ne créent pas un être humain. On n implante pas en lui la capacité d aimer, d être curieux, de philosopher, de symboliser ou d être

Plus en détail

assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace

assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace Notre vision Desjardins Assurances est un acteur canadien important en assurance collective, reconnu pour son

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

Étape 1 : Renforcer la littératie financière des aînés

Étape 1 : Renforcer la littératie financière des aînés Soumission Ottawa 03 juillet 2014 Vers l adoption d une stratégie nationale pour la littératie financière Étape 1 : Renforcer la littératie financière des aînés Entraide budgétaire Ottawa a participé et

Plus en détail

Management Interculturel

Management Interculturel Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.

Plus en détail

MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE

MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F.Adm.A., CMC Conseiller en gestion Direction de la gestion

Plus en détail

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie

Plus en détail

Discipline de trading

Discipline de trading Discipline de trading Module 6 Discipline de trading Le dernier module de notre programme souligne qu il est fondamental de vous imposer une discipline de trading rigoureuse et vous donne des conseils

Plus en détail

Réussir son affiliation

Réussir son affiliation David Sitbon Étienne Naël Réussir son affiliation Comment gagner de l argent avec Internet, 2012 ISBN : 978-2-212-55350-5 1 Comprendre que tout est marketing de rentrer dans le détail, il nous a semblé

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr. Attention :

Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr. Attention : Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr Ecueils à éviter Il ne faut surtout pas sous-estimer les changements culturels dans l'organisation des entreprises. D'un côté, la technologie

Plus en détail

PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE

PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE GOBERT 1 PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE 1. Perception et perception sociale Perception = processus par lequel l individu organise et interprète ses impressions sensorielles de façon à donner un sens

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs:

2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs: Motivation et performance sportive : une caractéristique commune des arbitres et entraîneurs de haut niveau Support théorique : Jean Pierre Famose EPS N 35 Arbitre et entraîneur deux acteurs du sport moderne

Plus en détail

Recruter et intégrer des seniors

Recruter et intégrer des seniors Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Enjeux Le recrutement de seniors correspond à des enjeux spécifiques pour les entreprises, que cette action relève d une politique affichée de lutte contre les

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I,

D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I, Introduction D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I, L Université de Yaoundé I a pour missions : - d élaborer

Plus en détail

OBJECTIFS : FÉDÉRER UNE COMMUNAUTÉ DE CONSOM ACTEURS VI. EXTRAITS DES RETOMBEES PRESSE DE L OPERATION 2014

OBJECTIFS : FÉDÉRER UNE COMMUNAUTÉ DE CONSOM ACTEURS VI. EXTRAITS DES RETOMBEES PRESSE DE L OPERATION 2014 SOMMAIRE I. ACAVU : MISSIONS ET AVANTAGES II. III. JEUX ET ANIMATIONS AU PROGRAMME OBJECTIFS : FÉDÉRER UNE COMMUNAUTÉ DE CONSOM ACTEURS IV. LE KIT DU PARTICIPANT! V. LE KIT DE l ANNONCEUR! VI. EXTRAITS

Plus en détail

Chaque étape est à prendre en considération. Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution

Chaque étape est à prendre en considération. Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution Chaque étape est à prendre en considération Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution Vue d'ensemble Avec l avènement de la publicité en ligne vint la promesse d une nouvelle ère digitale,

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION

LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION INTERNATIONAL CONFEDERATION OF INSPECTION AND CERTIFICATION ORGANISATIONS LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION QUI SOMMES NOUS ET QUE FAISONS NOUS? CEOC international est

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch

Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch Le 29 janvier 2015 Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch Campagne conducteur-d-elite.ch: suivre des cours, c est avoir une conduite plus sûre. L objectif de la campagne

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe Déclaré conforme à la loi Informatique et Libertés par la CNIL, le 30 mars 2005, suivant procédure prévue par l article 11-3 de la loi du 6 janvier 1978. CHARTE DE L E-MAILING Code relatif à l utilisation

Plus en détail

Fiche info-financière Assurance-vie pour la branche 23. AG Fund+ 1. Type d assurance-vie

Fiche info-financière Assurance-vie pour la branche 23. AG Fund+ 1. Type d assurance-vie Fiche info-financière Assurance-vie pour la branche 23 AG Fund+ 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Garanties En cas de

Plus en détail

L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL

L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Online Intelligence Solutions L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant

Plus en détail

Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse

Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette

Plus en détail

Le Dossier Médical Personnel et la sécurité

Le Dossier Médical Personnel et la sécurité FICHE PRATIQUE JUIN 2011 Le Dossier Médical Personnel et la sécurité www.dmp.gouv.fr L essentiel Un des défis majeurs pour la réussite du Dossier Médical Personnel (DMP) est de créer la confiance des utilisateurs

Plus en détail

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 U3 Corrigé Page 1 Sujet n 1 1. Indiquez les éléments pris en compte pour déterminer une cotisation d assurance. La prime dépend de : (3x0,5 pt = 1,5) - La fréquence

Plus en détail

I- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)?

I- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)? ARC/ HTTP://WWW.UNARC.ASSO.FR/ DOSSIER DU MOIS DE DECEMBRE 2008 Le contrôle quinquennal obligatoire des ascenseurs Le contrôle quinquennal des ascenseurs a été institué par l article 79 de la loi du 2

Plus en détail