Place de l hormonothérapie dans le traitement du cancer de prostate métastatique
|
|
- Stéphanie Beauséjour
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Volume 18 - Septembre Numéro 5 Journal de l Association Française d Urologie, de l Association des Urologues du Québec, et de la Société Belge d Urologie Progrès en Urologie (2008), Suppl. 7, S332 S337 Progrès en Urologie ISSN X GESTION DES MÉTASTASES DU CANCER DE LA PROSTATE Place de l hormonothérapie dans le traitement du cancer de prostate métastatique Role of hormonotherapy in the treatment of metastatic prostate cancer T. Lebret 1, A. Méjean 2,3 1 Service d Urologie, Hôpital Foch, Faculté de médecine Paris-Île-de-France-Ouest, UVSQ 2 Service d Urologie, Université Paris Descartes 3 Service d Urologie, Assistance Publique Hôpitaux de Paris, Hôpital Necker MOTS CLÉS Cancer de prostate ; Métastase ; Hormonothérapie ; Luteinising hormonereleasing hormone agonist; Anti-androgènes ; Androgènes Résumé La privation androgénique reste le traitement de référence de première intention du cancer de prostate à la phase métastatique. Basés sur les agonistes de la LHRH, les schémas thérapeutiques peuvent varier en incluant le blocage androgénique maximum, le traitement intermittent ou les associations avec d autres drogues comme les œstrogènes. Ces différents schémas conduisent à des manipulations hormonales variées. En première intention, dès la confirmation diagnostique des métastases, le traitement immédiat par alhrh en continue est considéré comme la meilleure option, le traitement intermittent peut être une option alternative Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. KEYWORDS Prostate cancer; Metastasis; Hormonotherapy; Luteinising hormonereleasing hormone agonist; Anti-androgen; Androgen Summary Androgen privation is considered as the referent first line treatment for metastatic prostate cancer. Based on LHRH agonist, different therapeutic schedule included maximum androgenic blokage, intermittent treatment and associations with other drugs like oestrogen leading to possible hormonal manipulations. Since metastasis is confirmed, immediate treatment with continue LHRH agonist is the French Association of Urology (AFU) AFU recommendations treatment for metastatic prostate cancer but intermittent treatment can be considered as an option Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. Depuis les travaux de Charles Huggins dans les années 1940, le traitement de l adénocarcinome de prostate métastatique repose sur l hormonothérapie [1, 2]. En effet, si l on exclut les formes rares de cancer indifférencié, la suppression androgénique reste la pierre angulaire de la prise en charge de l adénocarcinome prostatique en première intention à ce stade de la maladie. En fait, la base de ce traitement repose sur la privation hormonale qui induit l apoptose de la cellule tumorale sur le site primitif mais également au niveau de la métastase. Tous types de cancers de prostate confondus, malgré un taux de réponse initiale de plus de 85 %, ceux-ci vont néanmoins évoluer vers l hormono-résistance qui signe une étape importante dans l évolution de la maladie avec alors, une survie moyenne de 18 mois [3]. Correspondance. Adresses t.lebret@hopital-foch.org (T. Lebret) ; arnaud.mejean@nck.aphp.fr (A. Méjean) Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
2 Hormonothérapie dans le traitement du cancer de la prostate métastatique S333 Dans la prostate, la testostérone produite par les cellules de Leydig du testicule stimulées par les hormones lutéiniques (LH), est convertie en dihydrotestostérone (DHT) par l action de la 5α réductase [4, 5]. La DHT, puissant androgène, se lie aux récepteurs hormonaux prostatiques pour stimuler les cellules tumorales. L androgéno-suppression a donc une action directe sur les cellules tumorales en induisant leur apoptose. Malheureusement, ce traitement n est actif que temporairement avant que n apparaisse le stade d androgéno-indépendance où les cellules reprennent leur croissance effrénée en l absence de stimuli androgénique qui leur était auparavant nécessaire. La castration chirurgicale et les œstrogènes ont été les premiers traitements hormonaux proposés. En 1971, après avoir travaillé sur les récepteurs de la LH-RH, Andrew Schally synthétisa le premier agoniste [6, 7]. Cet agoniste de la LH-RH (alhrh) permettait alors d obtenir une castration médicale efficace. Ce traitement s est ensuite naturellement imposé face à la castration chirurgicale, avec le développement de nombreuses variantes commerciales : triptoréline, gosériline, leuproréline et buseréline. Il y a encore quelques années, le traitement du cancer de prostate métastatique se résumait à un traitement hormonal en attendant l apparition de «l hormono-résistance» inéluctable, avant de proposer des chimiothérapies peu efficaces en espérant un gain de survie de quelques semaines. Avec la meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques et l accroissement de la pharmacopée ce schéma est devenu caduque. Il existe maintenant plusieurs lignes d hormonothérapie et des nouvelles molécules pour permettre de mieux contrôler l évolution «naturelle» du cancer de prostate. Un traitement par alhrh, suivi d un blocage androgénique maximum, puis du retrait des antiandrogènes pour ensuite proposer l association aux œstrogènes avant la prescription du docetaxel est un exemple de schéma actuel de prise en charge thérapeutique bien loin de la simple pulpectomie irréversible des années L apparition de nouvelles molécules telles que les inhibiteurs de l endothéline ou telles que celles des thérapies ciblées ouvrent le champ à d autres investigations et donc à de nouvelles approches qui permettront, espérons le, de gagner encore quelques mois ou quelques années de vie. Le thérapeute doit néanmoins se rappeler que ce gain de survie doit être associé à un maintien d une qualité de vie décente en utilisant non seulement la pharmacopée (bisphosphonate par exemple), mais aussi tous les moyens pour lutter contre la sédentarité. Souvent il est possible de faire appel à l entourage ou aux aides sociales pour combattre l isolement de ces patients métastatiques souffrant d une maladie prostatique que l on se doit de considérer comme chronique. Au cours du traitement, l urologue doit être présent en formant avec l infirmière et le médecin traitant une équipe qui régulièrement rencontre à tour de rôle le patient, avec chacun sa fonction propre [8, 9]. Quel traitement de première intention? La castration chirurgicale permet d obtenir très rapidement une chute de la testostéronémie jusqu à moins de 10 % de la valeur normale. Les œstrogènes induisent également une chute de la testostérone mais les effets secondaires importants de ce traitement ont conduit à son abandon en première ligne de traitement hormonal [10, 11]. En fait, face à ces deux premières options, l utilisation des agonistes de la LHRH (alhrh) s est maintenant imposée comme le traitement de référence de première intention du cancer de prostate métastatique. Les alhrh obtiennent, après 3 à 4 semaines de traitement, des taux de testostérone équivalents à la castration chirurgicale. Par son action agoniste, ce traitement médical entraîne dans les premiers jours après son administration un relargage temporaire d androgènes qui entraîne l effet flare up. Celui-ci est rarement symptomatique et peu être négligé dans la plupart des cas, cependant, en cas de maladie très évoluée (polymétastatique, PSA > 500), il peut être évité par l utilisation pendant quelques jours d anti-androgènes en néoadjuvant ; cela permet en effet d éviter une «poussée» symptomatique (LUTS ou douleurs de métastases osseuses). En fait, ce phénomène était surtout important il y a encore quelques années, lorsque les patients étaient vus a des stades très évolués de la maladie. Aujourd hui, le plus souvent il n est pas obligatoire d avoir recours à cette bithérapie compte tenu de la faible masse tumorale généralement présente au moment de l installation du traitement. Après un mois de traitement, les alhrh entraînent à la fois une diminution de LH et de testostérone. Les antagonistes de la LHRH ont également été proposés pour éviter tout phénomène de flare mais, à ce jour, peu d études permettent de les proposer en première intention. L injection mensuelle, trimestrielle ou semestrielle, en fonction de la galénique, d alh- RH permet ensuite d obtenir au long cours un taux faible et stable d androgènes. De très nombreuses études ont montré l équivalence de ces trois types de traitement (orchidectomie, œstrogène et alh-rh) en terme d efficacité de baisse de la testostéronémie [12-15]. La facilité d emploi et la réversibilité du traitement médical face à la castration chirurgicale psychologiquement agressive, et les faibles effets secondaires comparés aux œstrogènes ont donc conduit naturellement à recommander de première intention l utilisation en monothérapie les alh-rh. Le traitement hormonal a pour but de diminuer le taux de testostérone circulante. Initialement, le seuil avait été défini par la FDA (Food and Drud Administration) à 50 ng/dl (0,5 ng/ml) [16]. Depuis, au vu de l ensemble des publications sur les alhrh et les comparaisons avec l orchidectomie, pour beaucoup, ce taux doit être abaissé à 0,2 ng/ml [17]. Malheureusement, sans qu on n en connaisse la cause exacte, parfois la castration chimique ne permet pas d obtenir ce taux de testostérone. Environ 10 % des patients sous analogue de la LH-RH ont des taux trop élevés [18]. Avant de parler d androgéno-résistance, il est donc important de vérifier l efficacité du traitement par le dosage de la testostérone. La question parfois soulevée sur l hormonothérapie immédiate versus l hormonothérapie différée a surtout été étudiée sur les patients non métastatiques. Une seule grande étude provenant du Medical Research Council portant sur 934 patients comportait 500 patients avec une atteinte métastatique. Dans cette étude, les résultats en terme de survie ont montré qu il n y avait pas de différence à débuter l hormonothérapie immédiatement plutôt que d attendre que la métastase apparaisse symptomatique [19]. À l opposé, un bénéfice net a été constaté sur la survenue des complications des métastases (fracture pathologique, compression médullaire, obstruction urétérale). Ces derniers éléments plaident en faveur d un traitement
3 S334 immédiat en cas de métastases connues, il paraît de plus psychologiquement difficile de ne pas traiter un patient présentant des métastases prouvées radiologiquement. Anti-androgène blocage anti-androgenique maximum En remplacement ou en association avec les alh-rh, les anti-androgènes (AA) sont également largement prescrits dans le traitement du cancer de prostate. En monothérapie, pour les patients non métastatiques, mais avec une tumeur à haut risque ou localement avancée, le bicalutamide en monothérapie a montré qu il permettait d obtenir une survie équivalente à l orchidectomie. À l opposé, en cas de cancer de prostate avec atteinte métastatique, ce schéma thérapeutique ne peut pas être proposé car il a été prouvé que les AA en monothérapie sont moins efficaces que la castration chirurgicale [20]. La notion de blocage androgénique complet ou plutôt maximum (BAM) a été développée dans les années 1980 [21, 22]. L action princeps des AA sur les récepteurs androgéniques prostatiques, associée à la diminution de la testostéronémie par les alh-rh, laissait espérer un effet thérapeutique optimum. En fait, les AA permettent de bloquer l action du résidu de testostérone circulant, pouvant provenir des androgènes surrénaliens. Plus de patients ayant un cancer de prostate métastatique ont été inclus dans près de 30 études randomisées prospectives pour comparer la castration (chimique ou chirurgicale) et le BAM [23, 24]. Une récente méta-analyse a repris l ensemble de ces résultats, il apparaît qu il n existe pas de bénéfice à l association conduisant au BAM pour les patients ayant des métastases prouvées [25]. Le traitement intermittent Le traitement intermittent a été suggéré pour, d une part limiter les effets secondaires chez les patients traités au long court, et d autre part diminuer le risque «d accoutumance» de la cellule prostatique à l hormonothérapie et éviter ainsi de sélectionner les clones de cellules résistantes [26]. Il faut distinguer le traitement séquentiel où les périodes de traitement et les périodes de fenêtres thérapeutiques sont définies à l avance, et le traitement intermittent proprement dit où les alh-rh sont administrés en fonction du taux de PSA. Lorsqu un certain seuil de PSA est atteint les alhrh sont injectés (période on) et ils sont arrêtés lorsque ce taux est redescendu (période off). Les critères d arrêt et de reprise du traitement varient beaucoup dans la littérature, mais le plus souvent le seuil de PSA à 4 ng/ml est choisi. À l origine, sur un modèle animal (souris) où un modèle de cancer hormono-sensible a été développé, Bruchovsky a testé ce schéma thérapeutique. Au bout de cinq cycles on et off il a pu montrer qu il retardait l apparition de l androgéno-résistances de 51 ± 3 jours à 147 ± 25 j [27, 28]. Peu de temps après, sur une lignée cellulaire de cancer prostatique humain hormonosensible (LNCaP), les mêmes constatations ont été réalisées (77 j vs 26 j), au bout de 15 semaines le PSA du groupe traité par une hormonothérapie continue était multiplié par 7 alors T. Lebret, et al. que dans le groupe du traitement intermittent il ne l était que de 1,9 seulement [29]. Ces résultats n ont pas été retrouvés ensuite par l équipe de l université de Washington qui sur la lignée LuCaP ne retrouva pas de bénéfice au traitement intermittent [30]. D autres modèles ont également retrouvés une survie inférieure dans le groupe traité par l hormonothérapie intermittente [31, 32]. Le bénéfice attendu par l hormonothérapie intermittente réside en la possibilité de retour temporaire de la testostéronémie à la normale [33]. En fait, il a été montré que celle-ci retrouve le seuil inférieur de la normale de 4 à 20 semaines après l arrêt du traitement [34, 35]. En pratique, ce retour à la normale dépend de la longueur de la période où le traitement a été donné. Dans l étude de Hall par exemple, après un traitement de deux ans par alh-rh, le retour à la normale ne s est pas effectué avant six mois [36]. Dans une étude prospective sur 68 patients qui ont reçu un traitement hormonal en moyenne pendant neuf mois, la médiane de normalisation de la testostéronémie était à 7 mois. À 3, 6 et 12 mois respectivement 28 %, 48 %, et 74 % des patients avaient retrouvé une testostéronémie normale [37]. Plus la période de traitement avant l arrêt de l alhrh était importante, plus la testostéronémie a mis longtemps pour redevenir normale. Au fil du temps, il ne semble pas exister d épuisement de ce retour à la normale. Dans l équipe de Crook, 73 % des patients retrouvaient une testostéronémie normale après le premier cycle, 71 % après le second [38]. À l opposé, Olivier Bouchot, ne rapporte que 19 % de retour à la testostéronémie antérieure après 6,7 mois de traitement [39]. Dans cette étude, tous les patients étaient métastatiques, ce qui explique probablement la différence avec les autres études où, en général, moins de 20 % des patients étaient M+. Pendant la période off, de nombreuses études se sont intéressées à la qualité de vie. Il en ressort que dans beaucoup de domaines, spécialement sur la libido, les bouffées de chaleur, le bien-être et le sentiment d énergie retrouvée, les patients témoignent d un très net bénéfice [39-42]. De plus, il a été montré que le traitement intermittent diminuait la perte de la masse osseuse mesurée par la DMO et, à ce titre, montrait un intérêt particulier chez les patients traités au long cours [43]. Si le traitement intermittent apporte un bénéfice en termes de qualité de vie qu en est-il du bénéfice attendu sur le retard à l hormonorésistance? La première étude publiée a été réalisée par le groupe de Vancouver sur 47 patients dont la moitié était métastatique. Seuls 15 patients ont fini le deuxième cycle (le premier ayant duré en moyenne 73 semaines et le second 75 semaines). Les auteurs rapportent un net bénéfice sur les effets secondaires et au total 15 % des patients avaient progressé vers l hormono-résistance avec un temps moyen de progression de 166 semaines [44-46]. Depuis de nombreuses autres études ont été publiées, l hétérogénicité des populations étudiées (premier ou deuxième intention de traitement, patients métastasés ou non, après radiothérapie, après prostatectomie ), les schémas thérapeutiques et surtout la variabilité des paramètres choisis pour la reprise du traitement ainsi que le type de traitement (alh-rh, BAM ) rendent les comparaisons très aléatoires (Tableau 1). Néanmoins il est possible de synthétiser quelques données simples. Premièrement sur les études qui ont un long suivi, il apparaît que la durée des cycles «off» diminue au cours de l évolution des cycles successifs [47-51]. Deuxièmement,
4 S335 T. Lebret, et al. Tableau 1. Principales séries de patients traités par hormonothérapie intermittente. Études année N PSA Median Indication pour période off Goldenberg [34] (10 N+ ; 14 M+) 158,0 (moyenne) Indication pour période on PSA < 4 dépend du PSA initial <10: PSA >2, : PSA 5-15 >20: PSA Patients ayant fini le 1 er cycle Temps du 1 er cycle (median-mois) Période off durée (mois) (%) Patients ayant fini le 2 nd cycle Temps du 2 nd cycle (median-mois) Durée de traitement (mois) (%) 63 % 17 7,0 (41 %) 31 % 17,4 7,7 (45 %) Higano [35] (2 N+ ; 5 M+) 25 PSA < 4 Dépend du PSA initial PSA < 10 : rising PSA : PSA > 100 : PSA % 15,8 6,0 (38 %) 9% 21 10,0 (51 %) Grossfeld [53] si tt local PSA < 0,1 Pas de tt local PSA < 4 > 50 % du PSA initial 100 % 17 9,0 (53 %) 85 % 14,5 7,0 (48 %) Crook [38] (4 N+ ; 35 M+) >10 PSA % 15 8,0 (52 %) 37 % 14,4 7,0 (48 %) Kurek [40] PSA < 0,5 pt1b, PSA > 6 après PR, PSA > 3 59 % 20 11,6 (58 %) 29 % 17 8,0 (47 %) Strum [52] (NR N+ ; 9 M+) 9,1 PSA < 0,01 PSA > 5 82 % 34,5 17,0 (48 %) 28 % 31,4 14,0 (30 %) Bouchot [39] (43 M+) 47 PSA < 4 PSA > % 18,7 6,7 (36 %) 81 % 11,9 3,8 (32 %) De Leval [51] (2 N+ ; 10 M+) 21 PSA < 4 PSA > % 12,2 8,3 (58 %) 62 % 9,6 6,9 (61 %) Prapotnich [49] (16 N+ ; 43 M+) PR 14,7 RTH 30,5 M +33,4 PSA < 4 PSA > 20 cinétique PSA >5/mois 79 % 19,6 9,8 (68 %) 39 % 14,3 9,7 (68 %) Youssef [50] (8 N+; 9 M+) 11,4 PSA > % 17,4 9,4 (54 %) 54 % 14 8,0 (57 %) Pether [47] (11 N+ ; 23 M+) 18,5 PSA < 4 89 % 22 11,6 (53 %) 51 % 20 10,2 (51 %) De la Taille [48] (moyenne) Après PR < 0,01 Après XRT, PSA < 1 PSA < 4 Après PR, PSA > 4 sinon PSA > % 21,6 10,5 (49 %) 43 % 14,2 6,8 (48 %) Albrecht [42] (4 N+ ; 103 M+) 100 % >20 80 % > % réduction du PSA et < 20 > 50 % du PSA nadir et PSA > % 8,7 3,3 (38 %) 45 % 7,7 3,7 (49 %) Sato [41] (8 N+. 13 M+) 36 PSA < 4 63 % 19,1 10,7 (56 %) 12 % 16,9 8,6 (51 %) Peyromaure [33] RTH 3,8 sans RTH 4,5 3 mois après PSA indétectable PSA >4 100 % 14 12,9 8,0 (57 %) 8,0 (62 %) 89 % ,0 (50 %) 8,0 (57 %) Youssef [50] (8 N+; 9 M+) 11,4 PSA > % 17,4 9,4 (54 %) 54 % 14 8,0 (57 %)
5 S336 plus la maladie est évoluée et plus la progression vers l androgéno-résistance apparaît vite. Par exemple, dans l étude de Youssef [50], la survie sans progression pour les patients qui avaient une rechute biologique, une récidive locorégionale ou des métastases osseuses était respectivement de 80 %, 67 % et 45 %. De même, dans l étude d Albrecht les patients pouvaient être groupés en fonction de la sévérité de l atteinte métastatique et très nettement les mêmes conclusions étaient retrouvées [42]. Sur un grand nombre de patients (n = 146), Alexandre de la Taille enfin, a constaté un taux de survie sans progression biologique de 93 % et 52 % respectivement sur les patients sans et avec métastases (p = 0,004) [48]. Dans cette même étude, des facteurs pronostiques ont pu être définis : le score de Gleason > 7, une première durée de traitement off de moins de un an, un âge inférieur à 70 ans. Ils sont tous en faveur d une hormono-résistance rapide associée à une survie sans progression courte. En attendant les résultats des études en cours (SWOG- 9346, l étude canadienne CTG PR.7, les études portugaises SEUG-9401 et -9901, et l étude TULP), la seule étude randomisée publiée portait sur 68 patients qui étaient randomisés après trois à six mois de traitement hormonal lorsque le PSA était inférieur à 4 pour recevoir soit un traitement hormonal continu, soit intermittent [51]. Dans cette étude, le seuil de reprise du traitement était arbitrairement choisi à 10 ng/ml de PSA. Les résultats étaient en faveur du traitement intermittent mais le petit nombre de patients inclus interdit de pouvoir analyser plus finement les sous populations, il semble néanmoins que la présence de métastases soit un élément moins favorable pour le traitement intermittent. Si en terme de survie sans progression ou en terme de survie globale il n existe pas de bénéfice net prouvé pour le traitement intermittent, la majorité des études sont, par contre, en sa nette faveur en ce qui concerne l amélioration de la qualité de vie. Le traitement intermittent doit donc être préférentiellement proposé aux patients sexuellement actifs, disciplinés et compliants à la surveillance et surtout aux patients qui répondent bien au traitement hormonal dès le premier cycle [52, 53]. Conflits d intérêt : T Lebret : activités de conseil pour AstraZeneca, Ipsen pharma et Novartis. A Méjean : aucun. Références [1] Huggins C, Hodges CV. Studies on prostatic cancer: I. The effect of castration, of estrogen and of androgen injection on serum phosphatases in metastatic carcinoma of the prostate J Urol 2002;168:9-12. [2] Huggins C, Hodges CV. Studies on prostatic cancer: I. The effect of castration, of estrogen and of androgen injection on serum phosphatases in metastatic carcinoma of the prostate J Urol 2002;167: [3] Pound CR, Partin AW, Eisenberger MA, Chan DW, Pearson JD, Walsh PC. Natural history of progression after PSA elevation following radical prostatectomy. JAMA 1999;281: [4] Steers WD. 5alpha-reductase activity in the prostate. Urology 2001;58: [5] Rossi D, Tostain J. Déficit androgénique lié à l âge et vieillissement masculin. Rapport du congrès AFU Prog Urol 2004;14: T. Lebret, et al. [6] Schally AV, Kastin AJ, Arimura A. Hypothalamic follicle-stimulating hormone (FSH) and luteinizing hormone (LH) -regulating hormone:structure, physiology, and clinical studies. Fertil Steril 1971;22: [7] Schally AV, Arimura A, Kastin AJ, Matsuo H, Baba Y, Redding TW, et al. Gonadotropin-releasing hormone: one polypeptide regulates secretion of luteinizing and follicle stimulating hormones. Science 1971;173: [8] Lebret T, Bouregba A. Roles of the urologist and nurse from the perspective of patients with prostate cancer receiving luteinizing hormone-releasing hormone analogue therapy. BJU Int Jun 11. [9] Bouregba A, Lebret T. Le cancer de prostate, l urologue, le patient et le traitement. Ann Urol 2007;41:S [10] Cox RL, Crawford ED. Estrogens in the treatment of prostate cancer. J Urol 1995;154: [11] Tombal B. What is new in hormone therapy for prostate cancer. Eur Urol 2008;4: [12] Parmar H, Edwards L, Phillips RH, Allen L, Lightman SL. Orchiectomy versus long-acting D-Trp-6-LHRH in advanced prostatic cancer. Br J Urol 1987;59: [13] Turkes AO, Peeling WB, Griffiths K. Treatment of patients with advanced cancer of the prostate: phase III trial, zoladex against castration; a study of the British Prostate Group. J Steroid Biochem 1987;27: [14] Soloway MS, Chodak G, Vogelzang NJ, Block NL, Schellhammer PF, Smith JA Jr, et al. Zoladex versus orchiectomy in treatment of advanced prostate cancer: a randomised trial. Zoladex Prostate Study Group. Urology 1991;37: [15] Botto H, Rouprêt M, Mathieu F, Richard F. Multicentre randomized trial comparing triptorelin medical castration versus surgical castration in the treatment of locally advanced or metastatic prostate cancer. Prog Urol 2007;17: [16] Oefelein MG, Feng A, Scolieri MJ, Ricchiutti D, Resnick MI. Reassessment of the definition of castrate levels of testosterone: implications for clinical decision making. Urology 2000;56: [17] Tombal B, Jasiensky S, Debie B et al. Is there a significant difference in testosterone level after surgical castration, goserilin or triptorelin? Eur Urol Suppl 2007;6:87;abstract n 260. [18] Oefelein MG, Cornum R. Failure to achieve castrate levels of testosterone during luteinizing hormone releasing hormone agonist therapy: the case for monitoring serum testosterone and a treatment decision algorithm. J Urol 2000;164: [19] Immediate versus deferred treatment for advanced prostatic cancer: initial results of the Medical Research Council Trial. The Medical Research Council Prostate Cancer Working Party Investigators Group. Br J Urol 1997;79: [20] Iversen P, Tyrrell CJ, Kaisary AV, Anderson JB, Van Poppel H, Tammela TL, et al. Bicalutamide monotherapy compared with castration in patients with nonmetastatic locally advanced prostate cancer: 6,3 years of followup. J Urol 2000;164: [21] Labrie F, Dupont A, Belanger A, Lacoursiere Y, Raynaud JP, Husson JM, et al. New approach in the treatment of prostate cancer: complete instead of partial withdrawal of androgens. Prostate 1983;4: [22] Labrie F, Dupont A, Giguere M, Borsanyi JP, Belanger A, Lacourciere Y, et al. Advantages of the combination therapy in previously untreated and treated patients with advanced prostate cancer. J Steroid Biochem 1986;25: [23] Laufer M, Denmeade SR, Sinibaldi VJ, Carducci MA, Eisenberger MA. Complete androgen blockade for prostate cancer:what went wrong? J Urol 2000;164:3-9. [24] Maximum androgen blockade in advanced prostate cancer: an overview of the randomised trials. Prostate Cancer Trialists Collaborative Group. Lancet 2000;355: [25] Prostate Cancer Trialist s Collaborative Group: Maximum androgen blockade in advanced prostate cancer: an overview of the randomized trials. Lancet 2000;355: [26] Isaacs JT, Coffey DS. Adaptation versus selection as the mechanism responsible for the relapse of prostatic cancer to androgen ablation therapy as studied in the Dunning R-3327-H adenocarcinoma. Cancer Res 1981;41:
6 Hormonothérapie dans le traitement du cancer de la prostate métastatique S337 [27] Bruchovsky N, Rennie PS, Coldman AJ, Goldenberg SL, To M, Lawson D. Effects of androgen withdrawal on the stem cell composition of the Shionogi carcinoma. Cancer Res 1990;50: [28] Akakura K, Bruchovsky N, Goldenberg SL, Rennie PS, Buckley AR, Sullivan LD. Effects of intermittent androgen suppression on androgen-dependent tumors. Apoptosis and serum prostate-specific antigen. Cancer 1993;71: [29] Sato N, Gleave ME, Bruchovsky N, Rennie PS, Goldenberg SL, Lange PH, et al. Intermittent androgen suppression delays progression to androgen-independent regulation of prostatespecific antigen gene in the LNCaP prostate tumour model. J Steroid Biochem Mol Biol 1996;58: [30] Buhler KR, Santucci RA, Royai RA, Whitney SC, Vessella RL, Lange PH, et al. Intermittent androgen suppression in the LuCaP prostate cancer xenograft model. Prostate 2000;43: [31] Trachtenberg J. Experimental treatment of prostatic cancer by intermittent hormonal therapy. J Urol 1987;137: [32] Russo P, Liguori G, Heston WD, Huryk R, Yang CR, Fair WR, et al. Effects of intermittent diethylstilbestrol diphosphate administration on the R3327 rat prostatic carcinoma. Cancer Res 1987;47: [33] Peyromaure M, Zerbib M. Traitement intermittent du cancer de prostate. Ann Urol 2005;39: [34] Goldenberg SL, Bruchovsky N, Gleave ME, Sullivan LD, Akakura K. Intermittent androgen suppression in the treatment of prostate cancer: a preliminary report. Urology 1995;45: [35] Higano CS, Ellis W, Russell K, Lange PH. Intermittent androgen suppression with leuprolide and flutamide for prostate cancer: a pilot study. Urology 1996;48: [36] Hall MC, Fritzsch RJ, Sagalowsky AI, Ahrens A, Petty B, Roehrborn CG. Prospective determination of the hormonal response after cessation of luteinizing hormone-releasing hormone agonist treatment in patients with prostate cancer. Urology 1999;53: ;discussion [37] Nejat RJ, Rashid HH, Bagiella E, Katz AE, Benson MC. A prospective analysis of time to normalization of serum testosterone after withdrawal of androgen deprivation therapy. J Urol 2000;164: [38] Crook JM, Szumacher E, Malone S, Huan S, Segal R. Intermittent androgen suppression in the management of prostate cancer. Urology 1999;53: [39] Bouchot O, Lenormand L, Karam G, Prunet D, Gaschignard N, Malinovsky JM, et al. Intermittent androgen suppression in the treatment of metastatic prostate cancer. Eur Urol 2000;38: [40] Kurek R, Renneberg H, Lübben G, Kienle E, Tunn UW. Intermittent complete androgen blockade in PSA relapse after radical prostatectomy and incidental prostate cancer. Eur Urol 1999;35: [41] Sato N, Akakura K, Isaka S, Nakatsu H, Tanaka M, Ito H, et al;chiba Prostate Study Group. Intermittent androgen suppression for locally advanced and metastatic prostate cancer: preliminary report of a prospective multicenter study. Urology 2004;64: [42] Albrecht W, Collette L, Fava C, Kariakine OB, Whelan P, Studer UE, et al. Intermittent maximal androgen blockade in patients with metastatic prostate cancer: an EORTC feasibility study. Eur Urol 2003;44: [43] Higano C, Shields A, Wood N, Brown J, Tangen C. Bone mineral density in patients with prostate cancer without bone metastases treated with intermittent androgen suppression. Urology 2004;64: [44] Goldenberg SL, Gleave ME, Taylor D, Bruchovsky N. Clinical Experience with Intermittent Androgen Suppression in Prostate Cancer: Minimum of 3 Years Follow-Up. Mol Urol 1999;3: [45] Hurtado-Coll A, Goldenberg SL, Gleave ME, Klotz L. Intermittent androgen suppression in prostate cancer: the Canadian experience. Urology 2002;60:52-6. [46] Pether M, Goldenberg SL. Intermittent androgen suppression. BJU Int 2004;93: [47] Pether M, Goldenberg SL, Bhagirath K, Gleave M. Intermittent androgen suppression in prostate cancer: an update of the Vancouver experience. Can J Urol 2003 Apr;10 (2): [48] De La Taille A, Zerbib M, Conquy S, Amsellem-Ouazana D, Thiounn N, Flam TA, et al. Intermittent androgen suppression in patients with prostate cancer. BJU Int 2003;91: [49] Prapotnich D, Fizazi K, Escudier B, Mombet A, Cathala N, Vallancien G. A 10-year clinical experience with intermittent hormonal therapy for prostate cancer. Eur Urol 2003;43:233-39;discussion [50] Youssef E, Tekyi-Mensah S, Hart K, Bolton S, Forman J. Intermittent androgen deprivation for patients with recurrent/ metastatic prostatecancer. Am J Clin Oncol 2003;26:e [51] de Leval J, Boca P, Yousef E, Nicolas H, Jeukenne M, Seidel L, et al. Intermittent versus continuous total androgen blockade in the treatment of patients with advanced hormone-naive prostate cancer: results of a prospective randomized multicenter trial. Clin Prostate Cancer 2002;1: [52] Wright JL, Higano CS, Lin DW. Intermittent androgen deprivation: clinical experience and practical applications. Urol Clin North Am 2006;33: [53] Miller JI, Ahmann FR, Drach GW, Emerson SS, Bottaccini MR. The clinical usefulness of serum prostate specific antigen after hormonal therapy of metastatic prostate cancer. J Urol 1992;147:
Prévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailY A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE?
B. Tombal 1, R.J. Opsomer 1, L. Renard 2 Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE? Résumé Correspondance : Pr. Bertrand Tombal Service d Urologie Cliniques universitaires
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailIndication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLe dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec
Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013 Lignes directrices du Collège des médecins du Québec juin 2013 Table des matières Pertinence de la mise à jour 4 Méthodologie 5 Synthèse de l analyse
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailIntérêt du TEP-FDG dans la prise en charge des métastases des cancers urologiques
Volume 18 - Septembre 2008 - Numéro 5 Journal de l Association Française d Urologie, de l Association des Urologues du Québec, et de la Société Belge d Urologie Progrès en Urologie (2008), Suppl. 7, S208
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailLa recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ
DOSSIER La recherche en urologie à l hôpital Foch............. p.2-4 ACTUALITÉ Inauguration du service d oncologie..........................p.5 Actualités de l hôpital Foch...................................p.6
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailLE CANCER DE LA PROSTATE l avenir
LE CANCER DE LA PROSTATE l avenir Dr Emmanuel ACHILLE HÔPITAL CLINIQUE CLAUDE BERNARD - METZ Réunion ONCOLOR - METZ le 02/10/07 Données chiffrées de l incidence l des cancers en France, 2000 Sein Prostate
Plus en détailIRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière
IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailÉvaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude clinique rétrospective sur six ans
Progrès en urologie (2013) 23, 184 194 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailEXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?
EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailC. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS
3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse
Plus en détailIDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION
vice Direction des Partenariats Internationaux Pôle Mobilités Prrogrramme de bourrses Intterrnattiionalles en Mastterr (MIEM) Intterrnattiionall Mastterr Schollarrshiip Prrogrramme Sorrbonne Parriis Ciitté
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailCOMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE
COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE Unité de Recherche Clinique Avec le soutien de Roche 2 3 Sommaire Avant-propos 3 Accueil 4 Généralités 6 1. Qu est-ce qu une étude clinique? 2. Pourquoi participer à une
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailRAPPORT FINANCIER SEMESTRIEL
RAPPORT FINANCIER SEMESTRIEL 2008 Ipsen 42, rue du Docteur Blanche 75016 Paris Téléphone : +33 1 44 30 43 43 Télécopie : +33 1 44 30 43 21 www.ipsen.com SOMMAIRE DU RAPPORT FINANCIER SEMESTRIEL 2008 I.
Plus en détailFaut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?
Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailCANCERS BRONCHO-PULMONAIRES
OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailExemple PLS avec SAS
Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailHarmonisation des Formations,
Dr. Jean-Jacques CABAUD Membre du Collège des enseignants et enseignements en transfusion sanguine Coordonnateur du Groupe «recherche et démarche qualité» de la SFTS Coordonnateur Régional d Hémovigilance
Plus en détailL approche de régression par discontinuité. Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011
L approche de régression par discontinuité Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011 Plan de la présentation L approche de régression par discontinuité (RD) Historique
Plus en détailRAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE
RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailLe robot da Vinci : miroir aux alouettes ou pierre philosophale
Le robot da Vinci : miroir aux alouettes ou pierre philosophale Ch.-H. Rochat SSU, Genève 8 Septembre 2006 Le robot Da Vinci Vision 3 D Robotique Précision 6 axes de rotation réduction du mouvement pas
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailRISK-BASED APPROACH IN CLINICAL TRIALS objectives historical and regulatory context. Valérie Journot INSERM, F-CRIN WP4d, Bordeaux
RISK-BASED APPROACH IN CLINICAL TRIALS objectives historical and regulatory context Valérie Journot INSERM, F-CRIN WP4d, Bordeaux Risk Management in clinical trials from trial monitoring to global risk
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailCystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique
AVIS D EXPERT Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique Dimitri Vordos, Guillaume Ploussard Service
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailPOUR DIFFUSION IMMÉDIATE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE UN NOUVEAU TRAITEMENT À ADMINISTRATION MENSUELLE CONTRE LA SCHIZOPHRÉNIE, ABILIFY MAINTENA MC (aripiprazole à libération prolongée pour suspension injectable), EST MAINTENANT OFFERT
Plus en détail' ( ) &" * +)&,! 0 1&,! ) 2334
! " #$ % & ' ( ) &" * +)&,! -. / 0 1&,! ) 2334 '& 56 7 8$, 9 4: -9'++ 5;3 '&56 7! #$ % &!! "" #! $ % %# #& % # # '%' #(" )'%#*+,-.*/0##%#%%#(1%' 2#'3'"4 ##%'5# #(" #'%''56# 3% "& 7# #/ 8''93:%#;%##(#
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détail