UN FERTILISANT UNIVERSEL EXCEPTIONNEL À LA SANTÉ DE LA TERRE ET DES JARDINS

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1 UN FERTILISANT UNIVERSEL EXCEPTIONNEL À LA SANTÉ DE LA TERRE ET DES JARDINS BACTERIOSOL Jardin Procédé Marcel Mézy Ce granulé fabrique rapidement de l humus sur tous les types de sols et sous tous les climats. Il réduit considérablement les nitrates dans les légumes et dans l eau et fixe le carbone. Des milliers d agriculteurs l utilisent, certains depuis plus de quinze ans. ILS TÉMOIGNENT

2 SOMMAIRE Chaque jour, la terre nous donne raison : Les cultivateurs et un scientifique témoignent LE PROCÉDÉ DE FERTILISATION MARCEL MÉZY Page 3 Pages 4 & 5 Page 6 Un produit professionnel au service des particuliers Des performances environnementales inégalées Efficace sur tous les sols et pour toutes les plantations LES TÉMOIGNAGES D UTILISATEURS PROFESSIONNELS À TRAVERS LA FRANCE Page 7 MARAÎCHAGE - Nord : Olivier Dubois à Templeuve Pages 8 & 9 MELONS - ASPERGES - Allier : Dominique Marchal à Gannay sur Loire Pages 10 & 11 POMMES DE TERRE - HARICOTS - POIS - Pas-de-Calais : Alexandre Rivenet, Les Attaques Pages 12 & 13 ENDIVES - Nord : Jean-Claude Mazingarbe à Sainghin en Mélantois Page 13 SALADES - CHOUX - Nord : Didier Wexsteen à Winnezeele Pages 14 & 15 CHOUX-FLEURS - Côtes d Armor : Philippe et Sophie Le Rolland à Kermaria à Sulard Pages 16 & 17 ÉCHALOTES - SALSIFIS - Finistère : Jean-Luc Cueff et Jean-Yves Acquiter à Plounévez-Lochrist Pages 18 & 19 POMMES GOLDEN DU LIMOUSIN - Haute-Vienne : Michel Texier à Saint-Yriex la Perche LES TÉMOIGNAGES D EXPERTS Page 20 AGRONOME : Marcel Mazoyer (Professeur à l Université Paris XI) Page 21 CINÉASTE : Jean-Paul Jaud ( Réalisateur du film NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT ) LA PRÉSENTATION DU PRODUIT À LA VENTE Page 22 LA GAMME : Les conditionnements, la PLV 2

3 UN PRODUIT PROFESSIONNEL AU SERVICE DES PARTICULIERS BACTÉRIOSOL est unique. il garantit les rendements, les saveurs, contribue à la santé alimentaire et à la qualité de l environnement. BACTÉRIOSOL a été inventé en Aveyron dans les années 80 par Marcel Mézy, un paysan chercheur. Ce fertilisant est utilisé par des milliers d agriculteurs et ce depuis plus de 15 ans. Il apporte une solution unique et efficace à la fertilisation naturelle des sols. Des producteurs d endives et de pommes de terre du Nord aux vergers de pommes Golden du Limousin en passant par les champs d asperges et de melons de l Allier, son efficacité exceptionnelle n est plus à prouver. BACTÉRIOSOL JARDIN est au service des particuliers depuis fin UNE INVENTION RECONNUE ET PRIMÉE PAR UN JURY DE PROFESSIONNELS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE. BACTÉRIOSOL Jardin a reçu le GRAND TROPHÉE D OR ECOPRODUIT 2009 dans le cadre des ECOTROPHÉES DU CADRE DE VIE organisés par le Groupe de Presse J (Challenge annuel ; 60 dossiers analysés en mai 2009 par un jury de 24 professionnels du développement durable ). TV UNE INVENTION CONSACRÉE PAR LES MÉDIAS Hormis la presse agricole, Marcel Mézy a fait l objet de nombreux reportages dans les médias régionaux et nationaux depuis Respectivement baptisé Alchimiste de la terre au journal de 13 h sur TF1, Homohumus par le MONDE2 ; FRANCE-SOIR, OUEST-FRANCE, LA DÉPÊCHE DU MIDI, MIDI-LIBRE, RUSTICA ont donné une bonne place dans leurs colonnes à cette invention en avance sur son temps. PRESSE 3

4 DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES INÉGALÉES Une action efficace et naturelle BACTÉRIOSOL améliore la structure et la fertilité des sols en créant rapidement de l humus. Les éléments nutritifs fixés sous forme humique ou sous forme liée à l humus, restent disponibles pour nourrir les plantes au moment où elles en ont vraiment besoin. Ainsi fixés sur le complexe argilo-humique, ils sont moins lessivés et donc, réduisent la pollution des eaux et diminuent fortement les nitrates dans les légumes. Réduit considérablement les nitrates dans les légumes et dans l eau. La quantité d humus optimise la fertilité naturelle des sols. Sa présence prouve que le sol est vivant et en bonne santé. BACTÉRIOSOL est répandu en surface. Les granulés se désagrègent plus ou moins rapidement selon la température et le degré d humidité. La transformation de la matière organique en humus commence, développant ainsi le complexe argilo-humique qui retiendra les éléments fertilisants en limitant leur déperdition polluante pour la nappe phréatique. Eau Matière organique MOINS DE NITRATES Lumière - Air CARBONE CO2 AZOTE BACTERIOSOL permet de réduire l arrosage. Son action aère le sol, offrant ainsi à la terre une bonne porosité pour mieux retenir l eau par temps sec. Avec le temps, la terre devient également plus facile à travailler. ÉCONOMIES D EAU Azote (N), Phosphore(P), Potasse(K), Magnésium, Calcium, Soufre,Fer etc ( 60 éléments) Moins de nitrates HUMUS Action des vers, champignons, bactéries Minéraux Roche mère N a p p e p h r é a t i q u e 4

5 DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES INÉGALÉES Un véritable puits de carbone réduisant les rejets de CO2. Lors du processus de photosynthèse le CO2 de l'air est capté. BACTERIOSOL fixe ce carbone dans le sol en le recyclant. Il enrichit ainsi la réserve nutritive du sol qui permettra aux racines de se nourrir régulièrement et naturellement. Le bon développement racinaire optimisera l échange sol-plante en éléments minéraux et en eau, assurant une bonne croissance à la plante. Cette fixation de carbone, grâce au BACTERIOSOL, se voit nettement sur la partie 1 de ce test réalisé dans du sable, la matière organique évoluant en humus et créant ainsi de la nourriture pour la plante. MOINS DE REJETS DE CO BACTERIOSOL TÉMOIN ESSAI SUR SEMIS DE GAZON DANS DU SABLE ( après 6 semaines ) 1 / Rétention du carbone 2 / Aération - porosité 3 / Développement racinaire 4 / Densité de la plante AUGMENTATION DE LA FERTILITÉ DU SOL 5

6 EFFICACE SUR TOUS LES SOLS ET POUR TOUTES LES PLANTATIONS Économique et facile à utiliser S épand en surface avec un léger arrosage par temps sec. Une poignée au mètre carré, au semis, à la plantation, au repiquage et en entretien tous les ans. S utilise efficacement toute l année en extérieur comme en intérieur. Des résultats très rapides EFFETS CONSTATÉS Plantes alimentées régulièrement, plus saines et plus robustes Meilleure résistance aux maladies Meilleure résistance à la sécheresse Meilleur enracinement (densité et profondeur) Abondance des récoltes Plus de saveurs dans les légumes et dans les fruits Donne plus d éclat aux fleurs et aux plantes vertes Plus de densité et meilleur enracinement pour le gazon et les pelouses Des effets visibles au niveau du sol EFFETS CONSTATÉS Sol vivant, bien aéré, offrant une excellente porosité et permettant d économiser l eau en limitant l arrosage. Terre progressivement plus souple et plus facile à travailler. Restructure les sols agressés chimiquement ainsi que les sols terrassés après construction. BACTÉRIOSOL s utilise toute l année en extérieur comme en intérieur. 6

7 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T MARAICHER IL FAUT QU ON LE FASSE PLUS SAVOIR Nord Olivier Dubois Gaec Dubois frères à Templeuve (Nord) 3 hectares en légumes 20 hectares en grandes cultures Installé depuis 12 ans En terme de sécheresse, j ai moins besoin d arroser, il y a moins d exigences de la part du légume. «Nous sommes deux frères en Gaec sur des cultures maraîchères. Nous vendons directement sur cinq marchés de la région lilloise. Notre production est très diversifiée : tomates, aubergines, poivrons, carottes, poireaux, endives de terre, oignons, choux. Nous venons de commencer le panais et nous allons élargir la gamme avec le rutabaga. J avais entendu parler du Bactériosol par des endiviers qui en disaient beaucoup de bien. Ils parlaient de l amélioration de la structure du sol, des racines, de la qualité du produit. Nous nous sommes dits : pourquoi pas? d autant que par rapport à l engrais dont le prix ne cessait de monter, nous étions en recherche d une autre démarche. Mais nous étions quand même avant tout dans une démarche environnementale. Pour entrer dans une logique comme la nôtre, il faut déjà avoir la volonté de faire bouger les choses. Nous cherchons sans cesse à améliorer plutôt qu à entretenir. Cette année, on fait toutes nos surfaces en Bactériosol. J ai déjà senti les premiers effets. Au printemps, sur les salades et les épinards, c était flagrant. Tout d abord l aspect : c était plus vert, plus luisant. Notre objectif, c est d améliorer la qualité, la présentation, le goût. Il faut faire du «beau» naturel Sur les marchés, les gens savent comment nous travaillons. Nous pourrions envisager de passer en bio mais ça me paraît un peu cher en terme de main-d œuvre. Nous serions obligés de vendre trop cher. Je préfère rester en raisonné. C est mon frère qui fait les marchés. Il fait état du mode de culture que nous pratiquons. Il faut qu on le fasse plus savoir mais ce n est pas facile de faire passer l information. Il faut trouver la bonne formule. À la conservation, les carottes se déshydratent moins. Je ne mets plus de phosphore ni de potasse sur l exploitation ; huit tonnes que je ne mets plus. A la place, je mets trois tonnes de Bactériosol pour une campagne. L économie réalisée est de 3 500e par rapport à la facture d engrais de l année dernière. Je n ai pas mis le moindre insecticide cette année. Je peux résumer ainsi mes premières constatations : A l arrachage, sur les carottes et les pommes de terre, on s aperçoit que la terre ne tient pas dessus. Les pommes de terre sont plus calibrées, plus régulières. Les carottes sont plus orange, plus colorées, leur peau est plus brillante. À la conservation, les carottes se déshydratent moins. Elles gardent leur eau. C est l effet du non-stress de la racine. Je n ai pas mis le moindre insecticide cette année. En terme de sécheresse, j ai moins besoin d arroser, il y a moins d exigences de la part du légume. D habitude, mes carottes, je les mets là où je peux arroser. Cette fois-ci, je les ai mises en plaine et j ai eu des carottes et des panais magnifiques». 7

8 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T Allier MELON ASPERGE BIO AU NIVEAU GOÛT DES MELONS, L AMÉLIORATION A ÉTÉ FLAGRANTE EARL LA REGIE Dominique Marchal 44 ans A Gannay sur Loire (Allier) 60 hectares dont 10 ha de cultures légumières (asperges, melons) et le reste en céréales (blé, colza, orge). A succédé à son père il y a 11 ans. Ça veut dire que la terre a retrouvé sa vraie nature, toute sa souplesse. Dominique Marchal est un homme curieux de tout. Avant de revenir dans sa Sologne Bourbonnaise pour succéder à son père Jacques, 67 ans aujourd hui, il a fait un vrai tour de France professionnel en tant que salarié agricole. Issoire dans le maïs et la betterave, les Landes dans les carottes et le maïs, c est finalement dans la région de Béziers qu il découvrira la culture de l asperge et du melon. Adepte du Bactériosol depuis son installation, aujourd hui, ce sont ces deux produits phares avec le label Bio qu il propose chaque semaine sur plus d une douzaine de marchés de la région. Président au niveau national d un groupement de 80 producteurs d asperges, il est un précieux ambassadeur du concept SOBAC. «Il y a douze ans, mon père avait rencontré Raymond Fabre, un des co-gérants de la SOBAC. Ils avaient discuté et il s était dit : Pourquoi pas? Mon père a toujours eu conscience qu il y avait moyen d améliorer les choses. L année suivante, quand je me suis installé, j ai dit à mon père qu on allait essayer. Je voulais qu on fasse une partie en Bactériosol et l autre en conventionnel. Je voulais voir des résultats avec analyses de terre, être sûr que ma terre ne s appauvrit pas. En 2003, nous avons donc fait moitié-moitié et en 2005 nous étions à 100% en Bactériosol. Je disais à mon père, 8 qui était d ailleurs entièrement d accord avec moi : «On ne va pas en rester là, il faut qu on persévère. Il faut avancer dans la vie». La plus nette amélioration, je l ai constatée quand je suis passé en bio, il y a trois ans. Le plus spectaculaire, ça a été au niveau de la structure du sol. L amélioration a été fulgurante dès la première année. Je suis persuadé que ce processus fonctionne d autant mieux qu il n y a pas de pesticide et autre produit phytosanitaire. En plus, j ai tout de suite apprécié la simplification dans le travail. Je pouvais faire tous les apports en une seule fois pour toute la saison. Je me suis très vite rendu compte que la vie microbienne reprenait le dessus. Il y a des endroits sur l exploitation où l eau stagnait, été comme hiver. Avec le passage en Bactériosol et l arrêt conjugué des pesticides et autres produits, ça a été fini. Avant, je décompactais tous les ans et l eau restait. Là, ça fait trois ans que je n ai plus décompacté et il n y a plus d eau. Ça veut dire que la terre a retrouvé sa vraie nature, toute sa souplesse. La moitié de mon chiffre d affaires se fait en vente directe soit ici sur l exploitation, soit sur les marchés. J ai des vendeurs et nous faisons entre 12 et 15 marchés par

9 semaine. Avant mon passage en Bio, les clients me posaient beaucoup de questions. En fait, la crise de la vache folle a provoqué une prise de conscience chez le consommateur. Il y a encore 5-6 ans, je leur disais qu être bio en asperges, c était de l utopie. Je pensais que les produits phytosanitaires étaient indispensables. Et en fait, on les a remplacés par des méthodes différentes. Nous sommes 80 producteurs regroupés en France et nous sommes conseillés par un technicien qui suit 23% de la production mondiale d asperges. C est «Monsieur Asperges Monde» Il nous a aidés à produire le plus naturellement possible, du fait qu on travaillait avec Bactériosol, le pas a été beaucoup plus facile à franchir que pour certains, surtout pour les melons. C est grâce à mes clients que j ai eu cette prise de conscience et je crois que si je n étais pas passé en bio, j aurai eu plus de mal à réaliser à quel point le Bactériosol était bon. J ai toujours été au top en asperges. Les clients les ont toujours trouvées excellentes. Mais au niveau du goût des melons, l amélioration a été flagrante. Même chose au niveau de la conservation. Pour convaincre un maximum de producteurs du bien-fondé de notre démarche, le chemin est encore long et semé d embûches. Il y a deux ans, le responsable de ILS TÉMOIGNENT la coop, qui était à l école avec moi m a dit entre quatre yeux : je pense quand même que c est l avenir. C est une belle victoire, ça fait plaisir. Quant aux agriculteurs du coin, il y a beaucoup de jalousie. Je sais que quand j ai repris l exploitation familiale, nombreux sont ceux qui ne me donnaient pas deux ans avant que je mette la clé sous le paillasson. J ai fait ma première journée «Portes ouvertes» en avril dernier. J étais content de montrer ce que je faisais. Deux cents personnes qui étaient très, très intéressées sont venues. Ils n ont pas cessé de me poser des questions pendant toute la journée. Je n en revenais pas. Il n y a rien de plus gratifiant que de pouvoir apporter une réponse à ses clients. Dans toutes les questions, il y avait le souci de la santé. J étais fier de leur dire comment je travaillais. Ce jour-là, j ai pris conscience que je ne travaillais pas pour rien, qu il y avait des gens qui étaient à l écoute. L an dernier, je suis allé à une journée «Portes Ouvertes» dans la région de Nantes chez un producteur qui travaille avec le procédé SOBAC. C est ce jour-là que j ai eu le sentiment d appartenir à une même et grande famille. Nous sommes tous dans une même logique. J ai toujours été au top en asperges. Les clients les ont toujours trouvées excellentes. Mais au niveau du goût des melons, l amélioration a été flagrante. Même chose au niveau de la conservation. Nous avons un regard nouveau sur notre terre. En travaillant comme je le fais, je la sens vivante. Il faut être plus proche de sa terre, plus vigilant qu avant. Il faut aussi être encore plus fin technicien. Si je devais convaincre quelqu un de passer en Bactériosol, je resterais très terre-à-terre, c est le cas de le dire. Je l emmènerais sur le terrain voir des choses qu il ne connaît pas. Pour le convaincre je lui ferais voir un profil de sol d une terre traitée avec Bactériosol et un profil en traditionnel. Quand il verrait la vie qu il y a d un côté par rapport à l autre, quand il verrait la différence au niveau de la structure des sols, il n y aurait même pas besoin de faire d autres commentaires. C est tellement parlant» PRESSE 9

10 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T POIS POMME DE TERRE HARICOT Pas de Calais TIENS, MA TERRE REVIT Alexandre Rivenet Les Attaques (Pas de Calais) 300 hectares dont 80 ha de plants de pommes de terre, 16 ha de pois, 10 ha de haricots, 35 ha de betteraves, 140 ha de céréales, 25 ha de lin textile, 30 ha de fèveroles Installé depuis permanents et un apprenti J ai tout de suite vu des choses spectaculaires. «J ai commencé par hasard. Un voisin m a dit : c est pas mal, le sol évolue bien. C était il y a cinq ans. On avait eu des années très humides auparavant avec des sols amorphes, lourds, une vraie catastrophe. On avait résolu le problème avec le chimique, en mettant les plantes sous perfusion et on y arrivait toujours, même si c était de plus en plus dur à cultiver. On s est dit : il y a quelque chose à faire. On a pris conscience qu on travaillait notre sol à l envers. On mettait du chimique à outrance et en plus, il fallait de plus en plus de puissance pour travailler la terre. Le sol ne fonctionnait plus. Cela m est apparu comme une évidence : il fallait revenir à un respect du sol et à un travail plus facile. En 2004/2005, j ai rencontré Raymond Fabre, un des co-gérants de la Sobac. Il m a convaincu. Le gros problème que nous avions sur nos sols, c était le manque de matière organique. Nous avons du sable qui brûle la matière organique, cela ne pouvait donc pas évoluer dans le bon sens. Raymond nous a dit : ce n est pas parce que tu as du sable que tu brûles la matière organique. C est parce que tu mets du chlore, de l acide que ça brûle d autant plus et que tu détruis la vie microbienne. Dès la première année, j ai utilisé Bactériosol sur les plants de pommes de terre, les haricots et le lin. J ai tout de suite vu des choses spectaculaires. Sur la culture 10 du lin, en végétation je n ai pas vu de défaut, je n ai pas vu les zones humides que j avais avant et qui étaient dépressives. Au niveau de la structure, j ai eu un lin parfait. Sur les haricots, c était exactement la même chose. Pour les pommes de terre, je l ai vu en sortie, à leur présentation. On avait eu un automne humide et j ai vu des remontées de vers de terre en surface, chose qui avait disparu depuis longtemps. En plus, je n ai plus jamais eu d eau sur la parcelle. ça m a étonné et je me suis dit : tiens, ma terre revit. En rendement, en lin j étais mieux. En haricots, j étais très bien et en pommes de terre, je n avais pas de changements en rendement mais une terre beaucoup plus facile à travailler. L année suivante, mêmes constats avec une grande facilité de travail et la disparition de l eau sur les parcelles. En plus, avec les analyses, on voit que nos teneurs n ont pas bougé, que ce soit en phosphore ou en potasse. On est quasiment pareil, on voit la matière organique évoluer. Bien sûr qu il faut faire savoir les bienfaits de ce procédé Je ne mets plus de fumure de fond, que du Bactériosol et de l azote. Le sol c est un grand réservoir, mais il faut savoir l utiliser. Comme nous sommes sur des terres gagnées sur la mer des polders, elles sont très riches en calcium et ça bloquait

11 tous les éléments fertilisants. La décision de supprimer la fumure de fond a été prise lors d une deuxième étape. On ne met plus d engrais starter. Les cultures démarrent moins vite mais sur le long de la campagne, elles se rattrapent énormément et aujourd hui j estime qu on a des rendements supérieurs avec un sol plus facile à travailler. Je respecte ma terre et elle me respecte. Avec Bactériosol, la terre filtre mieux et l eau remonte mieux aussi. L année dernière, je n ai pas irrigué alors que c était une année assez sèche. Les plantes n étaient pas stressées. J ai arrosé sur des parcelles de pommes de terre que je prends en location et qui avaient pour la première fois du Bactériosol. Sur celles qui en avaient reçu plusieurs fois, je n ai pas irrigué. Bien sûr qu il faut faire savoir les bienfaits de ce procédé. Nous laissons les autres agriculteurs venir vers nous et nous dire : Mais qu est ce qu il se passe sur ton exploitation? Ça n allait plus et aujourd hui on voit de belles cultures et il n y a plus d eau sur tes parcelles? La prise de conscience du sol, c est un cumul de réflexions. L agriculteur va évoluer beaucoup plus vite que le système commercial. Pour lui, la plante sous perfusion, ça lui convient très, très bien. Je suis encore un peu jeune en utilisation de Bactériosol pour faire un constat sanitaire précis, mais vu que la plante est moins stressée, elle est évidemment moins malade. C est comme nous. Par rapport à la consommation d intrants, je suis en avance. Quant à l évolution de mon sol, je suis parti dans le bon sens. Quand je repense d où je suis parti J avais fait le constat que mon sol n allait plus. J étais conscient qu il n y avait plus d activité microbienne. Là-dessus, il a fallu redémarrer. ILS TÉMOIGNENT Avec l hiver qu on a eu cette année, vous seriez venu ici il y a sept ou huit ans, il y avait un lac tout autour de l exploitation alors que là, il n y a pas du tout d eau. En fait, c est le concept Sobac qui m a séduit au départ plus que le produit. C est l agriculture qui va amener le bouleversement, qui va faire bouger les Chambres. C est la base qui va remonter l information et déstabiliser l Establishment. On a utilisé aveuglément le chimique tant qu on n a pas eu la connaissance d autre chose. Mais c est sûr qu on avait conscience qu on allait dans le mur. «Nous n héritons pas de la terre de nos parents, nous l empruntons à nos enfants», cette phrase de Saint-Exupéry va très bien avec le produit. Marcel Mézy a dû être pris pour un doux rêveur au début mais aujourd hui c est lui qui a raison et la politique est avec lui. Il faudrait un label «agriculture raisonnée» pour être reconnus et que commercialement, nous puissions valoriser nos productions. Je pense que dans l avenir, il faudrait fédérer l ensemble des agriculteurs qui utilisent Bactériosol, créer des groupes d animations au niveau des régions. Il ne faut pas qu on ait peur de montrer ce qu on fait. Au contraire, il faut qu on en soit fier. De toute façon, si l agriculteur n est pas prêt dans sa tête à recevoir ce produit, il ne faut pas le mettre entre ses mains, parce que c est une démarche globale. Peut-être qu il leur faut comme moi descendre au plus bas pour prendre conscience de toutes ces choses essentielles» Aujourd hui j estime qu on a des rendements supérieurs avec un sol plus facile à travailler. PRESSE 11

12 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T ENDIVES Nord CE QUE JE VOIS AVANT TOUT, C EST MON PORTEFEUILLE Jean Claude Mazingarbe Gaec Mazingarbe à Sainghin en Mélantois (Nord) 150 hectares Endivier La racine est tellement riche qu elle continue à pousser. «C est le président de France Endive dont je suis administrateur qui, un jour, alors que nous étions en voiture ensemble, m avait parlé de Bactériosol. Il m avait dit : «C est un produit qu on apporte à la terre et qui donne un coup de fouet au niveau de la vie microbienne». C était il y a cinq ans. Dans la foulée, j ai rencontré quelqu un de la Sobac. On a bien discuté et j ai compris que c était des micro-organismes qu on remettait dans le sol et qui en amélioraient la structure. Cette année-là, j en ai pris quatre tonnes. J ai fait des essais moi-même sur des parcelles d endives bien délimitées. C est à l arrachage que j ai vu les premières différences. Là où il y avait eu du Bactériosol, dans un champ qui collait un peu, ça s arrachait bien et les racines étaient propres et belles. J ai attaqué là où il n y avait pas de Bactériosol à la même vitesse, c est à dire à 3-3,5 km/h mais au bout de cinquante mètres j ai été obligé d arrêter. La racine était enrobée de terre. J ai réduit la vitesse, je suis passé à 2 km/h et même un peu moins. C était un peu mieux, mais il y avait encore de la terre sur la racine et elles n avaient pas la même régularité. La deuxième année, j ai mis du Bactériosol Renforcé sur pratiquement toutes mes terres à endives : 150 kilos/ha pour les précoces, 100/120 kilos pour les tardives. La racine récoltée est beaucoup plus riche et a beaucoup plus de vigueur. En salle de forçage, il a fallu que je baisse la température à -2,5 /-3 dans l air ambiant, là où avant j étais à -1. La racine est tellement riche qu elle continue à pousser il faut donc plus la refroidir pour stopper la croissance. Au niveau des intrants chimiques, les engrais complets c est terminé et on diminue en azote. Je me rappelle que mon professeur de production végétale nous disait que pour le maïs il fallait et 100, à savoir 100 unités d acide phosphorique, 100 de potasse et 100 d azote. Au départ on est pris dans ces schémas et on est sceptique. Et puis quand on vous explique le phénomène Bactériosol, vous comprenez que l acide phosphorique et la potasse, c est dans la roche-mère et qu en y associant Bactériosol c est tout un phénomène de transformation qu on remet en route. C est un concept qu il faut réussir à se mettre dans la tête et il faut faire des essais soi-même. Maintenant, je n y vois plus que des effets positifs. 12

13 ILS TÉMOIGNENT C est sûr qu on a pris de l avance sur nos collègues restés en traditionnel. C est vrai qu il faut réapprendre aux gens la vie de la terre. On a longtemps pensé que la terre était une structure qui était là pour nourrir la plante et la faire pousser. Que c était un support. Il faut réapprendre à tous que ce support, il vit. Qu il ne suffit pas de lui apporter que des patates et de la viande. Qu il lui faut aussi un légume, un petit gâteau, un peu de sucre, une boisson. Un sol, c est comme ça : il faut l aider à développer tout ce qu il peut donner. Le produit prend de l ampleur, on commence à en parler autour de nous. J ai un voisin qui fait du plant de pommes de terre qui s y est mis. Il dit que ses premières constatations sont incroyables, qu il arrache beaucoup moins de terre, qu il met beaucoup moins de doses d engrais et qu il gagne énormément en régularité de tubercules et enfin, qu il obtient un tonnage supérieur. J ai un cousin qui utilise Bactériosol pour ses poireaux et ses carottes. Il me dit que c est surtout en carottes que c est incroyable, au niveau du calibre et de la régularité du produit. C est sûr qu on a pris de l avance sur nos collègues restés en traditionnel. A la fois, je ne suis pas dans une logique bio, je ne me vois pas revenir à la binette pour désherber. Mais en culture raisonnée, nous pouvons réduire les intrants de façon spectaculaire. Sur les prairies, nous avons commencé il y a trois ans. Avant, on prenait un engrais spécial pâtures. Acide phosphorique, potasse, un peu de magnésie, un peu d azote, ça nous coûtait très cher. Sur une pâture, j ai fait un essai : moitié Bactériosol, moitié engrais spécial. En fin de campagne, c était impressionnant de voir comment le trèfle était revenu. Et puis, en février, malgré un hiver froid, on a des pâtures qui sont vertes. Un sol beaucoup plus homogène Mais ce que je vois quand même avant tout, c est mon portefeuille. Depuis que j utilise Bactériosol, c est indéniable, j ai un gain financier important. Quand avant on était à 130/140 euros de coût à l hectare, aujourd hui on est à 100 euros. Il y a un gain de temps et donc une économie avec le tracteur grâce à un sol beaucoup plus homogène. Nous avons un tonnage final plus important et enfin, au niveau de la régularité des racines d endives, la différence est incroyable. et quand il constate ce genre de phénomène avec un sol qui absorbe à nouveau l eau, un sol qui a retrouvé toutes ses caractéristiques, il dit à l agriculteur : «T as mis des bébêtes?» C est comme ça qu il appelle le Bactériosol. Il ne se rappelle jamais du nom» Il me dit que c est surtout en carottes que c est incroyable, au niveau du calibre et de la régularité du produit. Aujourd hui je regarde ma terre différemment. Nord SALADES CHOUX FLEURS N O 1 EN QUALITÉ ET EN QUANTITÉ Didier Wexsteen à Winnezeele (Nord) 45 hectares dont : 12 hectares de pommes de terre, 15 hectares de blé, 15 hectares de choux et salades «J ai commencé par le biais de Bonduelle qui a implanté le produit dans la région. J ai commencé par faire une parcelle d essais et l année suivante au vu des résultats, j ai passé toute l exploitation en Bactériosol. Depuis sept ans, j ai supprimé tous les apports de phosphore et potassium. Avec le recul, je vois maintenant les résultats. En salades «Iceberg» j ai un beau produit, N 1 en qualité et en quantité. Je suis le meilleur producteur de la coopérative en salades «Iceberg». Travailler avec Bactériosol, ça s apprend. Ce n est pas le même travail qu avec des engrais chimiques. Il faut plus adapter ses semis, ne pas travailler en période froide, il faut jongler avec les traitements. En un mot, il faut être plus à l écoute de sa terre. Je fais salades par an et choux-fleurs. Nous faisons des analyses régulières sur nos terres et c est vrai qu en traditionnel on n est pas suivi comme ça. Avec Bonduelle, je suis parti dans les premiers. Dès qu on m en a parlé, j ai eu envie de le faire. Je sentais qu il y avait un truc à faire» Un sol qui a retrouvé toutes ses caractéristiques. En fait, aujourd hui je regarde ma terre différemment. Une anecdote pour finir : j ai un entrepreneur qui arrache les betteraves pour moi. Il n y a pas longtemps il y a eu une bonne averse de 4/5 millimètres. Il a attendu une demi-heure et il a repris à l arrachage. Lui, il sait à quoi c est dû, 13

14 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T CHOUX FLEURS Côtes d Armor NOUS NOUS SOMMES RÉCONCILIÉS AVEC NOS TERRES Philippe Le Rolland 37 ans Sophie 30 ans A Kermaria Sulard (Côtes d Armor) 66 hectares Sur notre maïs le système racinaire était hyper développé et allait en profondeur. Sur le bassin versant du Guindy-Jaudy, la ferme de Philippe et Sophie Le Rolland n est qu à un petit quart d heure de l exploitation de Claude Henry, installé à Coatascorn et qui leur a montré le chemin pour entrer dans une nouvelle démarche agricole. Jeunes agriculteurs, ils ont tout de suite été séduits et sont maintenant sur le point de passer en bio. Lorsqu elle parle de son premier ensilage au volant du tracteur, Sophie en rit encore : «Il y en a un dans l équipe qui n est jamais revenu. Il n a pas supporté de voir une femme au volant. Il ne risque pas de revenir puisque cette année nous étions deux!...». Le déclic, c est quand nous sommes allés chez Claude Henry. En 2003, année de sécheresse, juste avant de tourner chez lui, sur le caillou il y avait une parcelle de maïs qui aurait dû être toute flétrie et elle se portait à merveille. Nous lui avons fait part de notre étonnement. Il nous a répondu : «C est grâce au Bactériosol que j utilise pour enrichir ma terre». Maurice Duault, un commercial de la Sobac, est venu nous voir peu de temps après. Il nous fait un cours d agronomie. Il nous a rafraîchi la mémoire par rapport à ce qu on avait 14 appris à l école mais qu on avait complètement zappé en suivant nos techniciens agricoles. Avec Sophie quand nous nous sommes rencontrés, nous avions la même philosophie de notre métier. Nous n avons pas mis longtemps à sauter le pas puisque notre objectif était de réduire au maximum les engrais chimiques. Depuis 4-5 ans, nous sommes d ailleurs arrivés à trois tonnes d ammonitrate sur 66 hectares alors que nous étions à plus de 15 tonnes. Quand on sortait de l école, nous étions formatés. J ai démarré en céréales avec 350 kilos de complet d office, deux passages à 150 kilos d ammonitrate à chaque fois, plus un désherbage, un raccourcisseur et un ou deux fongicides. Dès que j ai fait mon premier essai Bactériosol sur le maïs, j ai tout de suite compris. Maurice a arraché un plant de maïs chez nous et j ai demandé à mon voisin qui est en traditionnel (engrais minéral et starter) de faire la même chose chez lui. Sur le nôtre, le système racinaire était hyper développé et allait en profondeur. Chez le voisin, c était l intraveineuse : deux grosses racines en surface, juste sous la

15 graine. Celui du voisin démarre plus vite mais au final le nôtre est plus beau. Et en rendement, pas de soucis. Au départ nous étions à douze tonnes et nous sommes passés à 15 tonnes. Sur les pâtures, c est encore plus criant. Dès la première année en Bactériosol, on a vu qu il n y avait plus du tout de refus de la part des vaches. Deux ans auparavant, on avait acheté un girobroyeur pour essayer de tenir les parcelles propres. Il est en stand-by au fond de la cour. On n a plus rien à broyer sur les parcelles, ce sont les vaches qui les entretiennent. Il n y a plus l effet de surazote localement qui faisait que les vaches refusaient. Pourtant, à l oeil, on se disait : On va les changer de parcelle, il n y a plus rien à bouffer. En fait, ça continuait à pousser gentiment et il y avait cent pour cent de la parcelle à pâturer. Avec les refus, ça descend souvent à pour cent. Nous sommes producteurs de lait et de légumes. Dans le chou-fleur, il y a certaines variétés qui sont sensibles aux bactéries et aux champignons. Donc il fallait faire un fongicide dessus. Ça fait cinq ans qu on n en fait plus et nos choux sont sains. Depuis deux ans, les engrais azotés sur les choux, c est terminé. Nous sommes en conversion bio et cette année nous avons mis du chou après un précédent pauvre, une orge. Il y a eu un prélèvement de terre qui a été fait, il restait 30 unités d azote disponibles dans le sol. Normalement avec ça, un chou n aurait jamais pu arriver au bout. Nous avons fait juste un apport en lisier de bovins qui n est pas très riche en azote avec du Bactériolit * et nous avons laissé faire le sol. Avec tous les lessivages que nous avons eus cet hiver, les choux ont ILS TÉMOIGNENT continué de pousser, tranquillement. Les feuilles sont bien dures, bien fermes et résistantes aux agressions extérieures. Les champignons, avec le vent, passent sur ma parcelle, mais ils n arrivent pas accrocher. C est une harmonie d ensemble. La terre est beaucoup plus aérée. Tout l hiver dans nos champs de choux-fleurs, ça ne colle pas aux bottes. Le soir quand nous allons livrer à la coopérative, on voit les autres tracteurs, les roues pleines de boue. Quand ils voient le nôtre, ils demandent si on a passé le Kärcher avant de venir livrer. Ce n est pas si anodin que ça en a l air Il faut que les gens comprennent que le sol vit et que ce n est pas la plante qu il faut nourrir mais le sol. Oui, nous sommes persuadés d être en avance. Et puis nous avons eu la chance de rencontrer des gens qui nous ont transmis cette philosophie. J ai eu deux parcelles en essais «reliquats d azote» sur le bassin versant du Guindy-Jaudy. Quand il y a eu les résultats de la parcelle ensemencée en Bactériolit, un ingénieur m a appelé. Il voulait un rendez-vous pour m expliquer comment je devais m y prendre pour avoir moins de reliquats d azote dans mon sol et m apprendre à travailler. En fait c était de l azote qui était en profondeur, qui n avait pas été lessivé. Il aurait dû être dans l eau ou dans l air Pour eux, j avais forcément trop azoté pour qu il y ait de tels reliquats. Je lui ai dit que cette terre, ça faisait trois ans qu elle n avait pas reçu un minéral mais il ne voulait pas l entendre. Il faut que les gens comprennent que le sol vit et que ce n est pas la plante qu il faut nourrir mais le sol. La prise de conscience est en train de se faire par obligation via les bassins versants où il faut restreindre il fallait faire un fongicide dessus. Ca fait cinq ans qu on n en fait plus et nos choux sont sains. les quantités d intrants. Cette année nous avons fait nos choux en bio, zéro traitement sauf un insecticide en bactéries. Le technicien phyto m avait dit : «Ils vont être plombés tes choux». On a eu zéro perte. Avec Bactériosol, nous avions déjà une base solide. Le passage en bio n a été qu une continuité. Nous nous sentons tellement mieux maintenant. Nous nous sommes réconciliés avec nos terres» *BACTERIOLIT est un additif de compostage contenant des minéraux naturels et une sélection de végétaux naturels compostés. BACTERIOLIT active rapidement la tranformation biologique des fumiers et lisiers en humus. PRESSE 15

16 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T ÉCHALOTES SALSIFIS Finistère AVEC LA SOBAC, NOUS SOMMES RETOURNÉS À L ÉCOLE Jean-Luc Cueff, 52 ans Jean-Yves Acquiter, 48 ans Plounévez-Lochrist (Finistère) 30 hectares Producteurs de légumes (Echalotes, choux-fleurs, salsifis) En plus les échalotes avec Bactériosol avaient un goût plus prononcé que les autres. En cet après-midi de février, Jean-Luc Cueff et Jean-Yves Acquiter ont un petit moral à cause des conditions météo extrêmes de ce Finistère Nord qui connaissait alors une pluviométrie record, empêchant tout travail sur les terres. Avec des cours de l échalote qui se sont effondrés (5 centimes d euro le kilo d échalotes à la vente quand le prix de revient est de 40 centimes), ils attendent des jours meilleurs mais ne sont pas du genre à se plaindre. Ils préfèrent parler de l aventure engagée avec la Sobac voici maintenant près de douze ans. «Quand on a arrêté l élevage, nous n avions plus de fumier. Nous achetions du fumier dans une ferme mais ça revenait très cher. Nous en avons parlé à notre fournisseur en produits phyto et en engrais qui est revenu un jour avec Erwan Allain, ingénieur à la Sobac. C était en novembre 98. Tout a démarré à ce moment là. Erwan nous a expliqué le Bactériosol. Nous avons tout de suite été convaincus. Nous en avons mis sur toute la ferme à part un hectare. Très vite nous nous sommes surpris à regarder différemment comment produire, à regarder comment travaillait notre terre. Cette année-là, quand nous avons commencé, la Sobac s est très bien comportée. En général quand on nous vend quelque 16 chose, les gens viennent et après on ne les voit plus. On sentait qu à la Sobac, ils connaissaient leur produit, ils connaissaient la terre. En fait, nous avions quasiment oublié tout ça et nous sommes retournés à l école grâce à eux. Nous avions coupé une parcelle de deux hectares en deux. Un hectare avec Bactériosol, un sans. Nous avions choisi de l échalote parce que c est une culture qui, quand elle n est pas contente, elle le dit. Elle est sensible aux maladies, au climat. Nous en avons prélevé deux échantillons que nous avons laissés pendant une semaine dans le hangar, à sécher. Au bout d une semaine celles qui étaient traitées au Bactériosol avaient arrêté leur croissance alors que les autres continuaient à pousser et donc à se vider. Avec le Bactériosol, les fanes avaient séché. Sans, elles étaient remontées et avaient continué leur végétation. Après, en récolte, on a pris trois sacs de 20 kilos sur les deux parcelles. On les a mis dans une chambre ventilée pendant quatre jours dans un silo. On les a rentrées au mois d août et ressorties début décembre. Avec Bactériosol, elles avaient perdu 13 % de poids par rapport aux autres. Il y avait plus de matière sèche et donc moins d eau. En plus les échalotes avec Bactériosol avaient un goût plus prononcé que les autres.

17 Très vite, la deuxième chose que nous avons remarquée, c est la souplesse du sol. Nous avons fait part de toutes nos constatations à un ingénieur agronome de la Chambre d agriculture, mais il ne nous croyait pas. Une technicienne de la Chambre est venue ensuite faire des prélèvements dans la parcelle sans notre autorisation, mais on n a jamais eu les résultats. Les seules choses qu ils nous ont demandées c est si on avait bien travaillé les deux parties de la même façon, le même jour, avec les mêmes outils. C est donc qu ils avaient bien vu une différence. On ne met plus du tout d engrais complet alors qu avant pour les échalotes, c était 800 kilos. La désinfection du sol, ça nous coûtait très cher (1500 euros à l ha), on a tout arrêté. L azote pour les choux fleurs, on a dû diminuer de 80%. Le légume, on le vend tellement au ras du prix de revient qu il faudra bien diminuer les coûts de production. La tendance s inversera par la force des choses. C est par le prix des engrais que ça va se faire. L azote est un dérivé du pétrole et si le pétrole devient rare, le prix de l azote va monter. Si on fait le bilan au niveau des échalotes, c est limpide : on gagne 13% de produit fini, on gagne en qualité de conservation et on gagne bien sûr en coût de traitements. Il y a quelques années, les maladies avaient fait des ravages chez les producteurs d échalotes. La plupart étaient entre 50 et 100% de pertes quand nous on restait à 20% de déchets. ILS TÉMOIGNENT Nous on a eu la chance d avoir cette prise de conscience La prise de conscience est loin d être générale. Nombreux sont ceux qui se disent qu on ne change pas quelque chose qui marche. Ils ont encore de la marge pour apporter plus de chimique à leurs terres. Nous on a eu la chance d avoir cette prise de conscience, de se dire que même si les résultats étaient bons, on irait dans le mur. On voyait qu on allait perdre notre terre. En travaillant comme on le fait aujourd hui, il n y aurait pas grand chose à faire pour virer au bio. Mais nous restons persuadés qu entre le bio et le traditionnel il reste une large place pour une agriculture raisonnée. Il faut aussi penser aux familles qui n auront jamais les moyens d acheter du bio mais qui ont le droit de prétendre à manger sainement. C est vrai que c est du boulot une exploitation comme la nôtre. Mais comme me l a dit un jour un client : ce que vous avez et qui est inestimable, c est la liberté. C est vrai, même si c est une liberté qui coûte cher» On gagne en qualité de conservation Il faut aussi penser aux familles qui n auront jamais les moyens d acheter du bio mais qui ont le droit de prétendre à manger sainement.. FLEURS EXPÉRIMENTATIONS COMPARATIVES SUR ROSIERS À LA ROSERAIE D ANJOU SAISON 2010 AVEC AVEC SANS SANS 17

18 L E S P R O F E S S I O N N E L S T É M O I G N E N T Haute Vienne POMME GOLDEN DU LIMOUSIN FORMATÉS DANS UN SYSTÈME Michel Texier, 50 ans à Saint-Yriex la Perche (Haute-Vienne) 45 hectares 15 hectares en pommiers Golden Le reste en prairies et céréales Travaille avec la Sobac depuis huit ans. «Ça suffit maintenant. On a assez profité du monde paysan qui nourrit la population, qui génère beaucoup d emplois en amont et en aval. Il enrichit les multinationales dans l agrochimie, dans la distribution et puis nous aujourd hui, on crèverait de faim? ça, c est parce qu un jour on a abandonné notre pouvoir. On l a laissé aux autres. On est même pas des ouvriers, on est des serfs. Quand on fait le bilan aujourd hui, c est catastrophique. Plus de 40% des exploitations sont dans le rouge. C est peutêtre notre modèle agricole qui doit disparaître, qui n est pas adapté. En 2002, Jocelyn de la Sobac m a parlé de redonner au sol sa capacité à nourrir la plante, il m a dit d oublier le sol-support. On revenait à l origine : c est le sol qui nourrit et qui est à l origine de la plante et non la chimie de l homme. Je pense que cette façon de faire dormait au fond de moi. L agriculture qu on pratique avec tant d intrants c est quelque chose qui n est pas dans la logique. J avais conscience qu il fallait permettre à la terre de donner ce qu elle était capable de donner sans passer son temps à la perfuser. J ai commencé par des essais. J ai fait une parcelle de pommiers et une de prairies. J ai tout de suite vu que ça avait l air intéressant. Le premier signe est assez paradoxal. On a l impression que ça ne pousse pas et quand on fauche, on a autant de rendement, avec une petite herbe très riche et très dense. Je ne chaule plus depuis 8 ans Sur le plus long terme, je fais des analyses de sols pour voir comment mes terres évoluent, pour savoir si j ai toujours des éléments fertilisants à disposition ou pas alors que je n amène rien. J ai poussé le raisonnement jusqu au bout, je n amène absolument rien. J ai fait des récoltes pendant quatre-cinq ans sans rien amener à ma terre à part du Bactériosol. Ou ça plongeait au niveau de la fertilité ou ça servait à quelque chose. Les techniciens quand ils voient mes analyses, ils ne savent plus quoi me dire tant les résultats sont bons. Le goût? C est trop subjectif pour affirmer qu il y a une amélioration. Mais il n y a pas de dégradation, ça c est sûr. Par contre au niveau maladies, il y en a une qui est un déséquilibre du fruit, un manque de calcium dans le fruit et qu on appelle le «Bitter Pit». C est une maladie superficielle, c est à dire que la pulpe en surface devient spongieuse. Je ne chaule plus depuis huit ans au niveau des pommiers et 18

19 I L S T É M O I G N E N T Tout ça est un problème de conscience. Si je vais dans le sens de moins utiliser d intrants, ce n est pas pour dépenser moins d argent au départ. C est plus pour offrir quelque chose de plus propre. ça m embêterait de savoir des choses et de continuer à empoisonner les gens. je n ai aucun problème de «Bitter Pit». Ça veut dire que sans amener de calcium ni de chaux, je n ai pas ces problèmes. Quand je dis ça aux ingénieurs, ils s arrachent les cheveux. Au niveau de notre coopérative on a pas mal de problèmes de «Bitter Pit» dans certaines exploitations et on avait fait venir un intervenant d un grand laboratoire. Il est clair que ceux qui chaulent le plus sont ceux qui ont le plus de problèmes de «Bitter Pit». Je constate simplement que ce n est pas en chaulant qu on va éradiquer le problème alors que c est une déficience en calcium. La question qu on se pose est simple : est-ce que chauler ne perturbe pas le sol à tel point que par la libération de certains éléments dans le sol, il n y a pas des interactions de blocage qui favorisent le «Bitter Pit»? J ai dit au laboratoire que j avais la réponse, que ça fait huit ans que je ne chaule pas et que je n ai pas de problème de cet ordre. J attends toujours une réponse de leur part. Ce sont pourtant des gens qui sont formés, qui sont ingénieurs. Deux ans après mes premiers essais je suis passé en Bactériosol sur l ensemble de l exploitation. Sur les prairies, la flore évolue. Sur une de mes prairies qui a quinze ans, quand j ai commencé à mettre du Bactériosol, j ai vu ressortir du trèfle violet. Des luzernes qui poussent par-ci, parlà. Le fumier se décompose beaucoup plus vite. Il a déjà bien travaillé quand on le sort. Il se composte plus vite. Il est plus vite friable. Dans les stabulations, il y a beaucoup moins d odeurs d ammoniaque, ça ne vous pique pas le nez comme avant. Dès la première année, j ai donc supprimé une quinzaine de tonnes de chaux et je ne mets plus du tout de phospho-potassique. Avant, c était sept-huit tonnes. Je continue à acheter un peu d azote, surtout pour les céréales. Sur les prairies, je n en mets pratiquement plus. Donc, il ne me reste plus qu à régler le problème pour éliminer l azote et avoir des prairies suffisamment riches en légumineuses. Dans cette optique, les méteils c est intéressant. Je ne veux pas faire d ensilage, je fais de l enrubannage, c est tout. Les gens autour regardent. Ils ne disent rien. Tous les techniciens de la coop, tous les producteurs savent comment je travaille. Plusieurs producteurs s y sont mis d ailleurs parce qu ils voyaient mes résultats. Et puis, huit ans, ça commence à parler. Aujourd hui, on produit trop cher, on est trop dépendant de l extérieur. Il nous faut revoir notre façon de produire. Qu on soit plus indépendant, plus autonome. Déjà, le fait d utiliser un produit comme ça, ça veut dire qu on ne peut plus faire n importe quoi derrière. On sait maintenant qu on peut se passer de produits chimiques sans voir une baisse de fertilité de nos sols. On regarde fatalement nos sols différemment quand on travaille de cette façon. Avant on ne descendait même pas du tracteur. Maintenant on essaie de comprendre. Tiens, il y a une plante qui pousse. Pourquoi elle pousse? On regarde le bouquin. On revient aux fondamentaux. Il y a toujours un gros scepticisme chez les agriculteurs trop formatés, trop dans un système où ils ne voient pas de porte de sortie. Les agriculteurs sont trop endettés aujourd hui, ils n ont plus de marge de manœuvre. Donc, ils produisent à tout va pour essayer de s en sortir. C est une sorte de fuite en avant assez pathétique. Avec la Sobac, nous sommes plus indépendants et ça permet de mieux gérer la production. Le Grenelle de l environnement, ce serait une bonne chose si au lieu de tuer les paysans, on leur donnait les moyens d être accompagnés vers une agriculture plus propre. On ne fait rien pour. On taxe l agriculteur qui utilise des produits phytosanitaires mais on ne lui donne pas de moyens de recherche pour mettre en place des solutions adaptées. Depuis vingt ans, dans la pomme, on travaille beaucoup là-dessus. Je n exclue pas du tout la possibilité de passer un jour en bio. Au niveau de notre coop, j ai participé à développer une activité bio en pommes. On a mis en place un verger bio pour essayer d attaquer ce créneau qui se développe. Si on maîtrise bien, ensuite les producteurs pourront se lancer dans une activité bio. Aujourd hui on ne peut pas rester fermés à tout ce qui se passe autour de nous, que ce soit le réchauffement de la planète, les problèmes liés au pétrole et donc à ses dérivés. C est l économie de nos exploitations qui est mise en jeu. Donc il faut qu on bouge. C est ce que je pense avoir fait en adoptant cette démarche. On sait maintenant qu on peut se passer de produits chimiques sans voir une baisse de fertilité de nos sols. 19

20 U N S C I E N T I F I Q U E T É M O I G N E MARCEL MAZOYER Ingénieur agronome, forestier et expert en économie agricole, professeur à l Université PARIS XI, rédacteur en chef du dernier Larousse agricole, professeur émérite de développement agricole à l Institut National Agrononomique Paris Grignon Il a été chef du département d économie et de sociologie rurale de l INRA ( ) et président du comité du programme de la FAO ( ). Pendant cinquante ans on a oublié l importance et le rôle des micro-organismes du sol. Le professeur Marcel Mazoyer nous parle de son étude effectuée en Bretagne dans des élevages laitiers et de ses conclusions sur l emploi de la technologie Bactériosol /Bactériolit *. Quelle était la finalité de cette enquête effectuée auprès d une trentaine d exploitations situées dans les Côtes d Armor? Marcel Mazoyer : L objectif de cette étude consistait à comparer les résultats techniques et économiques d exploitations utilisant les produits Bactériosol et Bactériolit depuis au moins trois ans et d autres qui n en utilisent pas mais qui pratiquent des systèmes d exploitation parmi les plus performants. Toutes ces exploitations ont des vaches laitières et se situent dans le même secteur géographique en Bretagne. Quelles ont été vos conclusions? M.M. : D un point de vue économique, le gain à l hectare était de 28 euros pour les utilisateurs de Bactériosol et Bactériolit. Et c était de surcroît à un moment où les prix des intrants chimiques traditionnels étaient nettement moins élevés qu aujourd hui. Ce qui veut dire qu aujourd hui, la marge serait encore plus grande. M.M. : Incontestablement. D où vient ce gain non négligeable à l hectare? M.M. : Sur cette étude nous prouvons que la réduction d azote est de l ordre de 48% entre les utilisateurs de Bactériosol et Bactériolit et les autres et que la réduction des pesticides est de 36%. Cette technologie permet d avoir des systèmes moins coûteux en intrants, avec une meilleure valorisation des pâturages mais tout aussi rémunérateurs. Les avantages ne sont pas que d ordre économique? M.M. : Avec Bactériosol et Bactériolit, on repeuple en micro-organismes les sols et on réduit les épandages d intrants chimiques qui sont agressifs vis à vis des micro-organismes. Bactériosol et Bactériolit reconstituent une micro-flore et une micro-faune qui se multiplient et améliorent la composition du sol. La teneur du sol en matières organiques texturantes augmente. Les microorganismes végétaux vont se développer en absorbant les excès de nitrates qu ils vont incorporer à leur propre matière organique. Le foisonnement des microorganismes végétaux absorbe et fixe les nitrates et les autres sels minéraux (ainsi d ailleurs que le carbone) qui sont ainsi soustraits au lessivage et qui ne sont plus entraînés dans les nappes, dans les cours d eau et dans la mer. Tout cela a un effet positif sur la structure du sol et va permettre à la matière organique de bonne qualité (l humus) d augmenter. Avantageuse sur le plan économique, synonyme de réduction massive d intrants chimiques, pourquoi cette technologie Bactériosol / Bactériolit n est pas plus mise en avant? M.M. : Parce que pendant cinquante ans on a oublié l importance et le rôle des micro-organismes du sol. Cela ne s apprenait plus guère dans les écoles et ne faisait pratiquement plus partie de la vulgarisation. Les sciences et techniques dominantes se sont trop désintéressées de ça pendant plusieurs décennies. La période semble pourtant propice pour développer un tel produit. M.M. : Oui mais il ne faut pas rêver, l intérêt de Bactériosol et Bactériolit échappe encore à beaucoup de personnes. C est un produit qui n est encore compris et admis que par une minorité. Mais l avenir devrait être plus souriant. Il va bien falloir corriger les excès de l agriculture conventionnelle. On s intéressera forcément de plus en plus aux avantages de ces produits innovants. Mais les freins sont encore nombreux. M.M : Mais c est normal! Bactériosol et Bactériolit présentent de gros avantages pour l agriculteur qui, pour un niveau de production égal ou supérieur, fait des économies d intrants. Par contre, il n est pas à l avantage des marchands d intrants traditionnels, dont le chiffre d affaires baisse quand les agriculteurs en viennent à utiliser Bactériolit et Bactériosol. Sans compter que beaucoup de coopératives et d autres institutions professionnelles sont aussi concernées. Ces freins sont faciles à comprendre. 20 Quand on voit les mesures qui sont ou vont être prises au niveau gouvernemental concernant tous les intrants chimiques, on se dit que la prise de conscience environnementale va se généraliser. Qu en pensez-vous? M.M. : L écoute des agriculteurs pour ces produits est réelle. Une partie des producteurs est consciente de tous les excès qui ont été commis depuis des décennies même si ce n est pas encore la majorité. Mais ceux qui pensent qu on est arrivé au bout d un système avec les méthodes traditionnelles sont de plus en plus nombreux. Bactériosol et Bactériolit ont donc un véritable potentiel M.M. : C est incontestable. D ailleurs avec ces produits, l amélioration de la santé animale et des composts est manifeste. Les composts sont d une qualité évidente par rapport aux lisiers ou fumiers non-traités. Reste maintenant à l institution Sobac à passer à l échelon supérieur au niveau structurel afin de porter la bonne parole partout en France et à l étranger. *BACTERIOLIT est un additif de compostage contenant des minéraux naturels et une sélection de végétaux naturels compostés. BACTERIOLIT active rapidement la tranformation biologique des fumiers et lisiers en humus.

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