Méthode française qui permet d'apprécier les performances dans les services publics.
|
|
- Isaac Aubin Martineau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES COMPTES DE SURPLUS Méthode française qui permet d'apprécier les performances dans les services publics. Vise à mesurer la valeur créée par l'activité de l'entreprise dans ses rapports avec tous les acteurs internes et externes et comment ce surplus dégagé par l'entreprise a été partagé entre ces partenaires. La productivité globale Le PCG définit la productivité globale de l'entreprise comme le rapport de la production totale sur l'ensemble des facteurs de production, pondérés selon leur participation aux coûts. Le surplus de productivité globale La méthode place l'entreprise dans ses relations avec tous les partenaires économiques extérieurs ainsi qu'avec les acteurs internes à l'organisation. Elle permet d'analyser les rapports de force et de négociation. Répond aux questions : comment a été obtenu le surplus de productivité globale (si il y en a un)? Qui a bénéficié de ce surplus? Le surplus est une variation d'une année sur l'autre et non une mesure absolue. La période 1 est la période traitée, la période 0 est la période de référence. Une relecture du compte de produits et charges Les produits sont uniquement ceux d'exploitation. Les facteurs sont les moyens de production. on ne retraite pas les charges de la comptabilité générale. Chaque élément (produit ou facteur) est décrit par l'expression d'un prix et d'un nombre d'unités physiques ou d'un taux et d'une assiette. Si P et F sont les quantités des produits et des facteurs et p et f les prix ou taux unitaire, alors le compte de résultat = somme Pipi = somme Fifi Les expressions de prix font référence à des prix moyens sur la période considérée. Le solde du compte de produits et charges (EBE ou résultat d'exploitation) et traité comme un facteur (ou produit en cas de perte) qui exprime la rémunération du facteur capital. Biais : l'inflation et la qualité La méthode des comptes de surplus utilise la même approche que la décomposition des écarts en écarts sur qté et sur prix.
2 - 1ère étape : définition des variations la variation d'une année sur l'autre est : (P1-P0) p0 + (p1-p0) P Schéma 2ème étape : productivité et surplus Le spg est la différence (< ou>) entre volume des pdts et volume des facteurs. C'est donc la différence, entre deux périodes, entre les excédents de qté produites et les excédents de qtés consommées, ces qtés étant évaluées en coûts ou prix constants. SPG = som p varp - som f var F Le surplus de productivité totale L'ensemble des charges de l'entreprise sont simultanément des coûts pour l'entreprise et des ressources pour certains bénéficiaires (fournisseurs, salariés, apporteurs de capitaux, banque, Etat) Un avantage est le supplément de valeur obtenu, du fait des variations de prix, par les acheteurs de produits de l'entreprise, ou par les agents économiques qui lui procurent ses facteurs de production. SURPLUS DE PRODUCTIVITE GLOBALE I.Principes généraux Le SPG mesure la variation de la productivité globale, c est à dire le gain ou la perte qui existe dans la combinaison des moyens de production et calcul la contribution de chaque moyen de production à la variation de cette productivité. Il représente la différence, positive ou négative, entre volume des produits et volume des facteurs. Chaque différence etant pondérée à prix constant. L inflation devra donc être supprimée. SPG = SOMME(P1-P0)*p0-(F1-F0)*f0 P1 = quantité du produit année1, P0 = quantité du produit année0 p0 = prix du produit année0, f0 = prix du facteur année0 F1 = quantité du facteur année1, F0 = quantité du facteur année0
3 Un SPG négatif indique une dégradation de la performance économique de l entreprise. En cas de stockage, les Sf sont considérés comme des produits et les SI comme des facteurs. II.Compte de surplus et productivité totale Le compte de surplus permet de répondre à deux question : - quelle est la performance de l entreprise? => Mesure du SPG par les avantages. - qui a bénéficié de cette performance et qui y a contribué? => Mesure du SPT répartition du SPG. On calcul des supplements de valeurs obtenus (avantages), en fonction des variations de prix pour chaque partenaire interne ou externe à l entreprise. Avantage = (f1-f0)*f1-(p1-p0)*p1 La somme des avantages est égale au SPG (sorte de calcul d un écart sur coût). Le compte de surplus regroupe au débit, ceux qui profite d un avantage de productivité et au crédit, ceux qui contribuent à créer cette avantage. Les stocks sont regroupés en un seul poste. Total débit = total crédit = SPT surplus de productivité total Le SPT représente le montant réparti est le montant disponible de productivité.
4 Le commentaire du SPG se décompose en 3 phases : situer le SPG (< ou > à 0), analyse des tiers qui ont bénéficié de l avantage puis analyse de ceux qui y ont contribué. III.Critique de la méthode 1).Avantages Le SPG est un indicateur plus précis que le résultat car il permet de dégager les bénéfices de tous les intervenants alors que le résultat ne concerne que les actionnaires. De plus, il permet de mesurer les rapports de force avec les éléments externes et de mieux juger le pouvoir du responsable dans la négociation avec les tiers. 2).Inconvenients La décomposition en Q*PU n est pas toujours évidente, elle est parfois artificielle (Généralement : DAP = Vo*tx d amort, Int = Emp*tx d int, Rtat = Kpropres*tx de rent fi, Imp et taxes =?*indice, IS = rtat fiscal*tx d is). De plus, le SPG repose sur l analyse de variations mais les stocks sont déjà des variations au compte de résultat. Des Couts Préétablis à la méthode des Surplus de Productivité Ces 2 méthodes ont pour finalité d'analyser la performance de l'activité de l'entreprise, globalement ou par secteurs, en faisant apparaitre l'impact de la productivité et l'impact des stratégies tarifaires, ainsi que l'effet combiné de ces 2 paramètres. La méthode des coûts préétablis, la plus ancienne, est plus particulièrement axée sur l'observation de l'évolution des charges spécifiques à une production, en distinguant les différents éléments qui en composent le prix de revient. Elle était surtout significative quand le niveau de la main d'oeuvre directe était un paramètre essentiel. Le Taylorisme justifiait tout à fait son opportunité. Les progrès techniques et l'évolution systémique des organisations limitent l'intérêt de cette analyse aux catégories de tâches où la travail manuel opérationnel est encore incontournable et peu générateur d'économie d'échelle. Exemple : Prévisions : Production de 1000 éléments qui devraient mobiliser : 2h x1000 = 2000 hres de travail à 30 l'heure. Coût budgeté pour ce poste de frais = Réalisation : Production de 1100 éléments. Révision de la prévision initiale : 2hx1100 = 2200h x 30 = Donc écart présumé (manque) sur Budget lié au volume = Défavorable En fait, la production Réelle a nécessité 1980 hres au lieu de 2200 mais le tarif horaire a été
5 de 32, soit un coût total réel de On considèrera que, globalement,l'opération donne un écart favorable par rapport à la prévision réajustée, donc, que le tarif unitaire majoré a sans doute permis un meilleur rendement. L''écart entre la prévision révisée en fonction de la production réelle et le coût réel constaté est favorable de : = Evidemment il faudra néanmoins prévoir une anticipation du financement excédentaire. L'écart favorable s'analysera en écart sur : quantité de main d'oeuvre ( )30 = Favorable écart sur : tarif ( 32-30) 1980 = Défavorable = 2640 favorable Cette méthode trouve ses limites quand l'évolution des coûts n'est pas en corrélation linéaire avec les éléments qui les composent, ce qui est le cas le plus fréquent en période de sous-activité avec des ouvriers mensualisés. De plus, elle ne fait pas apparaître avec évidence les bénéficiaires de l'amélioration des performances globales. La méthode des Surplus, à ce titre, est nettement plus instructive. Analysant le résultat, elle s'intéresse tout autant aux produits qu'aux charges et fait apparaitre les éventuelles anomalies du partage des richesses crées par l'activité entreprise. Exemple : Ventes N = 1000 x 50 = Ventes N+1 = 990 x 60 = l'écart de 9400 favorable sera analysé ainsi : Ecart de Productivité ( ) x 50 = 500 défavorable Avantage obtenu sur les clients : (60-50) x 990 = 9900 favorable. Globalement = 9400 favorable. Cependant on observe que l'augmentation de résultat n'est pas liée à l'amélioration de l'activité (au contraire) mais à l'effet tarif. L'entreprise ne crée en valeur ajoutée que ce qu'elle soustrait à ses clients (pour ce poste). Il est fort probable qu'en continuant la démarche on constate une diminution de frais de personnel (en pourcentage du Chiffre d'affaires) non pas inhérente à une diminution des temps de travail mais liée à des avantages obtenus par l'entreprise sur les tarifs de rémunération de ses agents grâce à des restructurations, déplacement de sites et embauche d'agents sur un marché du travail moins onéreux etc. Les avantages obtenus par les uns étant évidemment ceux accordés (ou plutôt prélevés) sur les autres, Chaque fois que l'enrichissement des partenaires de l'entreprise s'amoindrit, ces tiers étant aussi ses clients dont le pouvoir d'achat diminue, on rentre dans la spirale descendante. L'Entreprise donne encore un certain temps l'apparence de bien se porter mais sa productivité en baisse est masquée, au niveau des résultats apparents, par sa stratégie des tarifs jusqu'à ce que la compensation ne soit plus possible et la chute précipitée. L' impossibilité de distribuer des dividendes, symptôme ultime appelé "crise financière". Pour finaliser l'analyse suivant cette méthode : - La différence de résultat par rapport à une année de référence, après neutralisation des variations de tarifs, est appelée : SPG = Surplus de Productivité Globale - La Somme SPG + Avantages obtenus grâce aux effets tarifs favorables à l'entreprise ( augmentation/clients ou diminution / charges) est appelé Surplus Total. Le Surplus Total couvre le montant des avantages dits accordés (effets tarifs favorables aux tiers) et la variation du Résultat d'exploitation ( de préférence R. courant net d'impôt). Aujourd'hui il semble que les capacités de production soient quasiment illimitées (grâce à l'amélioration des techniques). La nouvelle organisation sociétale doit s'inquiéter de restituer un pouvoir d'achat à la collectivité, non seulement par solidarité avec les populations de futurs indigents, mais encore parce que c'est la condition de survie du système de libre-échange seul rempart contre l'anarchie et son corollaire, la révolte et les violences arbitraires, manifestations de colère, qui l'accompagnent.
Les corrigés des examens DPECF - DECF
48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détail- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES
- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables
Plus en détailDESCRIPTIF DU DOCUMENT. Déploiement Nouveau système de rémunération au 01.01.2009-13 ème salaire
13 EME SALAIRE 13 EME SALAIRE - ETAT DE GENEVE Confidentiel Etat de Genève 23/01/2009 DESCRIPTIF DU DOCUMENT Phase du projet Domaine État du document Version actuelle Déploiement Nouveau système de rémunération
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailAnnexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION
FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailCHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE
Plus en détailDCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier
DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif Dossier 1 - Diagnostic financier 1. Intérêt des tableaux de flux de trésorerie - Analyse de l évolution de la trésorerie Les tableaux de flux
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailLE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES
LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.
Plus en détailRépartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs
Répartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs Coûts et caractéristiques de la consommation Plan de travail 1. Retour sur le suivi de la rencontre du 17 mai 1.1 Illustration
Plus en détailNC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés
NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailBILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :
BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 20 JUILLET 2012 DELIBERATION N CR-12/05.340 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'économie sociale
Plus en détailDeuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances
Deuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances UNE ILLUSTRATION DU PROBLEME DE TRADUCTION DES GAINS DE PRODUCTIVITE EN GAINS DE RENTABILITE DANS
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailLes intérêts des comptes courants d associés Novembre 2013
Les intérêts des comptes courants d associés Novembre 2013 Les Intérêts des Comptes Courants d Associés- Généralités 2 PAGES Généralités 3 Champs d application 5 La libération totale du capital 6 Le taux
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailChapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT
Chapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT I. MOUVEMENTS COMPTABLES Nous avons vu que le Bilan représente la photographie de la situation de l entreprise à une date donnée : chaque opération nouvelle
Plus en détailLes Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011
Les Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011 Pôle Formation CCI COLMAR SOGEX Thème du jour animé par Giovanni TERRANA Consultant en droit social Associé INTRODUCTION Présentation du cabinet SOGEX:
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailD.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE
D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailAPS 4 : CREATION D'ENTREPRISE
APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux
Plus en détailLES AMORTISSEMENTS : CALCULS ENREGISTREMENTS
LES AMORTISSEMENTS : CALCULS ENREGISTREMENTS PRESENTATION DES MODES D AMORTISSEMENT Exemple 1 : CAS D UN AMORTISSEMENT VARIABLE On acquiert le 04/08/N une machine-outil pour une valeur HT de. Cette machine,
Plus en détailRachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC
Mars 2005 Rachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC La majeure partie des avoirs financiers des propriétaires de petite entreprise est souvent immobilisée dans les actions d
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailCOMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base
Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailLa Chambre régionale des comptes, après avoir examiné la réponse à ses. observations provisoires qu'elle vous avait adressées le 8 juin 1998 sur
Monsieur le Président, La Chambre régionale des comptes, après avoir examiné la réponse à ses observations provisoires qu'elle vous avait adressées le 8 juin 1998 sur la gestion de la mutuelle de retraite
Plus en détailCHAPITRE 9 : SYSTEME MINIMAL DE TRESORERIE
423 CHAPITRE 9 : SECTION 1 : PRINCIPE DU SYSTEME MINIMAL DE TRESORERIE Les très petites entreprises (T.P.E.), dont le chiffre d'affaires ne dépasse pas les seuils fixés par le présent Acte uniforme, distincts
Plus en détailChapitre 8 : Les provisions
Comptabilité générale IG 3 Cours et TD : Marie Musard Année 2007-2008 Chapitre 8 : Les provisions Cours Les provisions correspondent à des pertes ou des charges simplement prévisibles : la constitution
Plus en détailGestion du budget familial-1
Gestion du budget familial-1 Qu est-ce qu un budget? A quoi cela sert-il? C est un plan prévisionnel qui nous sert à bien gérer notre argent dans le temps. Le budget est un tableau qui enregistre pour
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailAFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL. Exercice clos le 31 décembre 2014
AFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL Exercice clos le 31 décembre 2014 Code ISIN : Part A : FR0011619345 Part B : FR0011619352 Part C : FR0011619402 Dénomination : AFIM MELANION DIVIDENDES Forme juridique
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailComptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA
Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailGROUPE TXCOM 10 AV DESCARTES ZI DU PETIT CLAMART 92350 LE PLESSIS ROBINSON
Tel : 33 (0)1 30 83 91 70 Fax : 33 (0)1 30 83 91 71 7, rue du Parc de Clagny 78000 Versailles FRANCE 10 AV DESCARTES ZI DU PETIT CLAMART 92350 LE PLESSIS ROBINSON COMPTES CONSOLIDES Arrêté au 30 juin 2012
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailNorme internationale d information financière 9 Instruments financiers
Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d
Plus en détailInitiation à la Comptabilité
Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailLA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011
LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?
Plus en détailHistorique. Avantages de la FPA
Historique Depuis 1991, les membres de l APESS peuvent profiter d une formule de placement individuelle avantageuse. Cette formule de placement a été élaborée par les responsables du service placement
Plus en détailCOMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
Plus en détailDOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE
DOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE SOMMAIRE I. PRÉSENTATION DU PORTEUR DE PROJET. PAGE 3 I.1- Présentation générale I.2- Situation familiale I.3- Scolarité et formation professionnelle II.
Plus en détail1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé
1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé Il convient tout d abord de s entendre sur le vocabulaire et de s assurer que l on parle de la même chose. Le terme «marge» est ambigu. Couramment utilisé dans le langage
Plus en détailImposition des sociétés
Imposition des sociétés Introduction L imposition des sociétés est un sujet qui revêt une grande importance pour toute personne qui s occupe de planification financière ou successorale. La mise en place
Plus en détailNorme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31
Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture
Plus en détailPROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE
PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques
Plus en détailRésultats annuels 2013 en forte croissance
Communiqué de presse - Clichy, 25 mars 2014, 18h Résultats annuels 2013 en forte croissance Chiffre d affaires en hausse de 5,3% à 420,7 M Résultat opérationnel en hausse de 31,7% à 43,4 M Résultat net
Plus en détailModule 02 - Leçon 04 : Evaluation des stocks
Module 02 - Leçon 04 : Evaluation des stocks L'article L 123-12 du Code de commerce oblige toute personne physique ou morale ayant la qualité de commerçant de réaliser au moins une fois tous les 12 mois
Plus en détailRèglement. Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions
Règlement Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions 2013 Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions Champ d application : Type : Suisse règlement Responsable du contenu
Plus en détailRapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale
Plus en détailGdsCompta. Logiciel de comptabilité générale
GdsCompta Logiciel de comptabilité générale CARACTERISTIQUES Logiciel sous Windows Fonctionne sous Windows XP, Vista, 7 et 8 Multi-dossier De la saisie des écritures au bilan, une comptabilité complète.
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détail- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT
- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT Objectif(s) : o Approfondissement du tableau de financement : Pré-requis : variation du Fonds de Roulement Net Global (F.R.N.G.) ; variation du Besoin
Plus en détailPrévoyance individuelle (piliers 3a/3b) Assurance vie mixte
Prévoyance individuelle (piliers 3a/3b) Assurance vie mixte Une solution individuelle souple, combinant la constitution d un capital à long terme et une couverture appropriée du risque. Prévoyance mixte:
Plus en détailRelatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation Avis n 2003-07 du 24 juin 2003 Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites Sommaire 1 - Présentation du Fonds de
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23
NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles
Plus en détailCycle de production et cycle des déchets
Cycle de production et cycle des déchets la solution informatique et gestionnaire de SISTEMA AMBIENTE DIGITALIS S.r.l. www.sistemaambiente.net digitalis@iride.to.it 1 La solution informatique donne la
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailTableau synthétique des différentes aides au bénéfice des personnes handicapées. Document réalisé par la MDPH 04 Mise à jour : mai 2013 1
Tableau synthétique des différentes aides au bénéfice des personnes handicapées Document réalisé par la MDPH 04 Mise à jour : mai 2013 1 Prestations financières pour adultes handicapés Prestation financière
Plus en détailM. BONUS Louis. mercredi 15 octobre 2014. Le 10/11/2014
M. BONUS Louis mercredi 15 octobre 2014 1 Sommaire Sommaire... 2 La méthode de raisonnement... 3 Le graphique... 4 Le tableau de synthèse... 4 Les données saisies... 19 Les tableaux intermédiaires de calcul...
Plus en détailTHÈME. Imposition des produits. Exercice 1. Produits d exploitation
Imposition des produits THÈME 1 Exercice 1 Produits d exploitation L entreprise Pan est spécialisée dans la vente de panneaux solaires. Elle a vendu des panneaux courant novembre N à divers clients. Les
Plus en détailObjet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire.
Raison Sociale : SIRET : Adresse : À, le / / Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire. Madame, Monsieur, La Direction de l'entreprise 1 a pris
Plus en détail... Shadow Manager. Manuel du participant. Simulation de gestion d entreprise
Shadow Manager......... Simulation de gestion d entreprise. Cette activité n a d intérêt que si elle est suivie dans son intégralité. Manuel du participant www.simulnet.com NOTE AUX PARTICIPANTS OBJET
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailSimulation d une économie monétaire (programmation impérative, sujet 3)
Simulation d une économie monétaire (programmation impérative, sujet 3) http://sfc-abm.org/students/mief/ 10 février 2014 Table des matières 1 Sujet 2 2 Description plus détaillée de la simulation 3 2.1
Plus en détailFusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48
Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement
Plus en détailGuide comptable. Les inscriptions comptables
Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble
Plus en détailLes charges de personnel
constituent généralement un élément important et significatif des charges de l'entreprise. Elles sont constituées : - de l'ensemble des rémunérations, - et des charges sociales et fiscales liées à ces
Plus en détailFiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie
Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne
Plus en détailRéglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance
Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes
Plus en détail2 Programme de formations ERP... 7
DOP-Gestion SA Rue du Château 43 CP 431 2520 La Neuveville CH Tél. +41 32 341 89 31 Fax: +41 32 345 15 01 info@dop-gestion.ch http://www.dop-gestion.ch 1 Prestations de service ERP... 3 1.1 Conditions
Plus en détailContrôle de la masse salariale & contrôle de gestion sociale
Contrôle de la masse salariale & contrôle de gestion sociale Analyses, prévisions et pilotage PEOPLE BASE CBM Compensations & Benefits Management Le contrôle et la gestion de la masse salariale Toute société
Plus en détailPRODUITS D EXPLOITATION
RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut
Plus en détailafférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation - Avis N 2002-11 du 22 octobre 2002 afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix Sommaire I - Rappels
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailETATS FINANCIERS CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2013 1/44
Groupe ETATS FINANCIERS CONSOLIDES AU 31 DECEMBRE 2013 1/44 Groupe 2/44 Groupe 3/44 Groupe 4/44 Groupe 5/44 6/44 NOTES AUX COMPTES CONSOLIDES 7/44 SOMMAIRE NOTE 1. DESCRIPTION DE L'ACTIVITE... 9 NOTE 2.
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailEpargne Retraite Entreprise (Recherche du type de produit le mieux adapté)
Epargne Retraite Entreprise (Recherche du type de produit le mieux adapté) 1-Objectifdelasimulation Lorsqu'elle met en place une stratégie de rémunération qui ne se limite pas à la seule augmentation de
Plus en détailDocuments comptables : bilan, compte de résultat et annexe
Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE GESTION DE PARIS M.B.A. ESG ENSEIGNANT : KHODJA S.
ECOLE SUPERIEURE DE GESTION DE PARIS M.B.A. ESG ENSEIGNANT : KHODJA S. AVRIL 2008 LE BILAN Le bilan est une sorte d inventaire général de l entreprise établi à un moment donné (généralement le 31 Décembre
Plus en détailLes Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales
En clair COMPLÉMENTAIRES SANTÉ / PRÉVOYANCE Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales Quand la Prévoyance vous appartient. Sommaire Exonération des cotisations Sociales...
Plus en détailBulletin fiscal. Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE
Bulletin fiscal Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Lors de l achat d une résidence, plusieurs personnes ont emprunté de leur REER par le biais du Régime d accession à la propriété. Toutefois, peu de
Plus en détailTSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES
TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailChapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan
Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailETATS FINANCIERS CONSOLIDES
ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 DECEMBRE 2002 BILANS CONSOLIDES Avant répartition ACTIF Note au 31 décembre au 31 décembre au 31 décembre en millions d'euros 2002 2001 2000 Immobilisations incorporelles
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES
CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES Société ADS SA au capital de 17 756 460,00 RCS Chambéry n B 076 520 568 Siège social : Chalet des Villards- Arc
Plus en détail