La période de Latence et l Adolescence Cours de psychologie. I.F.S.I. École Rockefeller A. NEGRO-MOREL

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1 La période de Latence et l Adolescence Cours de psychologie I.F.S.I. École Rockefeller A. NEGRO-MOREL 1

2 Latence et Adolescence Deux périodes de la vie humaine et de l évolution psychique de l enfant qui précèdent l âge adulte Chronologiquement situées : Entre la petite enfance, à la fin de la période oedipienne (vers 5, 6 ans) et l entrée dans la maturité 2

3 LA PERIODE DE LATENCE Quelques définitions : Latent Latence Période de Latence 3

4 Définitions de l adjectif Latent : Ce qui est latent est : Potentiellement présent mais non encore apparent Inconscient, caché à la conscience (exemple : le contenu latent des rêves) 4

5 Deux définitions de la latence : 1. Botanique : Condition d'une graine ou d'une plante dont les fonctions vitales paraissent temporairement suspendues 2. Médecine : Inactivité apparente. phase de latence d'une maladie. C est la période d incubation qui précède l apparition des symptômes d une maladie 5

6 La période de Latence «Période qui va du déclin de la sexualité infantile jusqu'au début de la puberté et marque un temps d'arrêt dans l'évolution de la sexualité» (Laplanche - Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse) Elle commence à la fin de la période oedipienne (vers 5, 6 ans) et se termine à la puberté (environ 12 ans) 6

7 C est une période entre deux crises : - La crise oedipienne - La crise adolescente Renvoie à la théorie du développement psycho-affectif en deux temps et à la notion d après-coup C est une période d autonomisation et de développement cognitif 7

8 L enfant sort de la période oedipienne Il s est construit en référence a une double différences : la différence des sexes et la différence des générations L Intériorisation des interdits et des idéaux parentaux permet le développement du Surmoi et de l Idéal du Moi 8

9 l'activité libidinale est en quelque sorte en sommeil : les désirs et les fantasmes des phases précédentes sont l objet d'une vague massive de refoulements. Des formations réactionnelles apparaissent. L'énergie pulsionnelle est transformée, Les pulsions changent de nature affective : de revendicatrices elles deviennent tendres et dévouées. 9

10 L enfant se détourne d une recherche de satisfaction directe : par la sublimation il peut se tourner davantage vers le monde et la connaissance. L enfant prend de l autonomie au sein de la famille. Grâce à cette nouvelle capacité psychique il peut mettre en latence ses désirs sans renoncer à une réalisation possible dans le futur. C est ce qu on appelle «l âge de raison». 10

11 L intégration des règles du Surmoi va permettre : Au Moi de se renforcer A l enfant de développer ses capacités. L enfant a à sa disposition un certains nombres de règles de comportement et de communication. Ce sont des repères qui vont lui permettre d affronter diverses situation sociales. 11

12 Plus indépendant de ses parents il pourra s engager dans l exploration et la découverte progressive du monde social. Son autonomisation progresse et lui permet l acquisition de nouvelles connaissances par ces expériences en dehors de la famille : A l école Dans l espace social Dans d autres familles 12

13 A l école Du point de vue de la socialisation il se confronte à : - une organisation collective différente de sa famille - des modèles de relation aux adultes différents - d autres enfants, supports de nouvelles identifications - l organisation du groupe d enfants 13

14 Dans l espace social En grandissant, son environnement social s élargit : - Le terrain de jeu extérieur - La rue, le chemin de l école - Le magasin Il découvre des règles communes auxquelles tout le monde est soumis. 14

15 Il découvre, d abord dans sa famille, la «structure familiale» Les positions de parents et d enfants sont relatives Dans les autres familles La découverte d autres habitudes et règles l amènent à relativiser le mode d organisation de sa famille et progressivement de sa culture 15

16 Au niveau cognitif : L activité représentative, la possibilité de réaliser les choses en symboles Les règles scolaires vont lui demander de : - restreindre sa motricité - se passer de la perception Ce qui lui permet d accéder à la période opératoire du développement intellectuel 16

17 Ce qu il ne peut accomplir dans l acte il va pouvoir l accomplir dans la représentation Il peut entrer dans la symbolisation Il peut transférer dans le langage ce qui s effectuait par les jeux perceptivo-moteurs Ses capacités cognitives se développent C est parce qu il a assimilé la loi sociale que la lecture, en temps que code, est accessible 17

18 Avec l apprentissage de la lecture et de l écriture il découvre les règles du langage Il perfectionne ses outils de communication et de symbolisation que sont le langage et le graphisme Sa confiance dans le symbolique et son intérêt pour le champ culturel grandissent 18

19 Les avancées de l autonomie sont discontinues et faites d allers et retour L enfant latent doit dépasser progressivement le conflit entre désir d apprendre et peur de ne pas être à la hauteur. Les adultes devront contenir ses angoisses pour qu il prenne confiance dans ses capacités d apprentissage. Se confronter au monde social mobilise beaucoup d énergie, cela implique frustration et renoncement 19

20 L enfant à cet âge reste très dépendant des adultes et il aura besoin : - de retrouver un mode relationnel enfantin - que ses parents acceptent ces mouvements régressifs pour l accompagner dans la construction d assises narcissiques suffisamment solides. C est à ses conditions qu il sera assez bien structuré psychiquement pour aborder la phase suivante du bouleversement de l adolescence 20

21 L ADOLESCENCE Selon son étymologie latine adolescere veut dire «grandir». Adolescence signifie «être grandissant» et désigne la croissance au moment même ou elle a lieu. Adultus vient aussi d adolescere et désigne «celui qui a traversé l adolescence» L adolescence est donc de l ordre d un passage et l adolescent un être en train de changer 21

22 Entre la puberté et la maturité Ses limites sont floues et changeantes en fonction des individus, des sociétés et des époques. Si l évènement déterminant l entrée dans l adolescence reste le même, la puberté L accès à la maturité répondra aux différents critères de la société dans laquelle vit l individu Mais ce passage se situe toujours à l articulation des trois champs concernant l humain : le biologique, le psychique et le social 22

23 L adolescence dans l histoire et les cultures La puberté existe depuis aussi longtemps que l homme existe Cet âge de la vie à toujours été considérée avec méfiance par les sociétés car c est le moment où l inceste et le parricide deviennent possibles Pour ouvrir à l exogamie et séparer de l enfance des rites d initiation souvent brutaux ont été organisés par les diverses sociétés 23

24 Dans les sociétés traditionnelles et dans la plupart des religions ce passage se déroule au travers de rites définis, organisés selon des mythes et soutenus symboliquement à un niveau collectif. L initiation de la puberté est collective et obligatoire pour tous les jeunes Des cérémonies marquent sans ambiguïté la transition de l enfance à l âge adulte 24

25 Dans les sociétés d ancien régime «les enfants entraient plus tôt dans la vie adulte que dans les sociétés primitives» «Ils passaient directement et sans intermédiaire des jupes des femmes au monde des adultes». P. Ariès, L enfant et la vie familiale sous l ancien régime, Paris, Plon, 1960 l enfant est un adulte en miniature La segmentation des âges de la vie est progressive L enfance, distincte de la petite enfance, apparaît à la fin de cette période avec l apparition de vêtements différents de ceux des adultes 25

26 L adolescence devient une réalité sociale seulement dans la seconde moitié du XIXe siècle grâce à plusieurs facteurs : - le développement de la scolarisation - les progrès de la médecine - la fin progressive du travail des enfants 26

27 D abord le fait des milieux favorisés, l adolescence s étend ensuite à l ensemble de la société pour devenir un phénomène de masse depuis la fin de la seconde guerre mondiale. De simple passage entre l enfance et l âge adulte elle est devenue un âge de la vie à part entière. Faire de l adolescence un processus de maturation physique, psychologique et social est l avancée bénéfique d une société développée. 27

28 Le corps au premier plan : Maturation biologique et sexuelle L adolescence débute par un processus physiologique : La puberté désigne la maturation des organes sexuels qui aboutira à la capacité de reproduction Elle commence en général entre 9 et 14 ans avec un âge moyen à 12 ans 28

29 Transformations physiques Pour les filles, la puberté débute par le développement des seins, l'apparition des poils pubiens et l'élargissement des hanches. Elle se poursuit par une augmentation marquée de la taille, la mue de la voix et l apparition des menstruations. Pour les garçons, cela commence par une augmentation du volume des testicules, suivie de l'apparition des premiers poils pubiens, de changements dans l'apparence du pénis et d'éjaculation de sperme lors d'«émissions nocturnes». La poussée de croissance s accompagne d un élargissement des épaules. La voix mue et les premiers poils apparaissent sur le visage. Toutes ses transformations sont imposées, obligatoires et subies et vont donner à l adolescent une nouvelle morphologie 29

30 L adolescence va être le temps d inscription dans un corps sexué, dans une identité sexuelle irréversible : masculinité et féminité en sont les aboutissements il s agit à la fois de la conquête d une identité et d un renoncement La question de la différence des sexes et les angoisses de castration vont être réactivées 30

31 La capacité orgasmique Cette possibilité d éprouver un plaisir nouveau va modifier l ensemble du rapport au plaisir La pulsion découvre l objet sexuel Un nouveau but sexuel est donné Les zones érogènes se subordonnent au primat de la zone génitale 31

32 L adolescent va explorer ce potentiel orgasmique par la masturbation Plusieurs enjeux : -apprivoisement des sensations de son corps et de ses fantasmes, -contrôle et maîtrise de sa capacité à se donner et à éprouver du plaisir. -préparation au plaisir partagé par la double position actif- passif 32

33 C est ce qui va marquer le passage d une sexualité prégénitale à une sexualité génitale Ce qui fera la différence entre sexualité infantile et sexualité adulte Les deux courants, tendre et sensuel, devront progressivement s intégrer 33

34 - Cela va remettre en jeu l oedipe dans son double. versant incestueux et parricidaire - Car cette maturation rend possible physiologiquement la rencontre sexuelle -La protection de l immaturité disparaît et cela génère de l angoisse 34

35 Les expériences de l enfance vont prendre un sens dans l après coup L enfant pouvait pressentir un autre sens des choses mais il ne pouvait pas les comprendre car elles supposent une expérience subjective qu il n avait pas. S.Ferenczi parle de la confusion de langues entre l adulte et l enfant. Du langage de la passion et du langage de la tendresse. Car l expérience de la sexualité génitale infiltre le rapport au plaisir et au delà le rapport au monde de l adulte 35

36 Les modifications profondes du corps, l intégration de l identité sexuelle, l accès à la sexualité génitale (qui amène la potentialité de la reproduction) marquent une étape de la vie sans retour possible Ce changement de statut devra être élaboré psychiquement par l individu qui en vit les conséquences narcissiques et relationnelles L adolescence est un travail de réaménagement des relations infantiles et du rapport au monde 36

37 Cette réorganisation profonde de tous les secteurs de la vie intrapsychique et relationnelle provoque une crise. Cette crise, moment de rupture et de changement demande une transformation proche d une métamorphose 37

38 Mais cette transformation ne peut s effectuer d un seul coup. Les différentes problématiques sont intriquées. Elles se développeront dans des mouvements d aller-retours qui permettront l intégration progressive des changements 38

39 Modification du rapport à soi - les modifications corporelles s imposent à l adolescent, son corps manifeste subitement une nature autre qui lui fait vivre un sentiment d étrangeté difficile à exprimer - L écart entre image interne et «externe» provoque une tension identitaire - la question de l image du corps, du corps identitaire, qui fait que l on se reconnaît et que l on est reconnu vient au premier plan. - C est la fin de la «quiétude» de la latence et le début d une période de labilité émotionnelle. 39

40 Cela provoque une centration narcissique - Inquiétude face aux modifications corporelles - Préoccupation de son intégrité - Interrogation sur ses capacité de séduction - Ce corps familier, étranger il va l interroger et le questionner par son comportement et par la manière dont il le traite tout autant que par l effet qu il produit sur les autres - Ces comportements peuvent s entendre comme un composé d affirmation de soi et de questionnements qui l aide à renoncer à son corps d enfant et à s approprier progressivement les changements 40

41 Modification des relations familiales L adolescent est pris entre deux angoisses humaines fondamentales : abandon et fusion «le syndrome insulaire» P. Jeammet La contradiction entre le désir de proximité et la distance avec ses parents amène opposition et ambivalence Séparation progressive et Idéal du Moi Ni trop près, ni trop loin Entre consensus et contrainte, la confrontation doit être tolérable. L acceptation de la différence éprouve la solidité des liens tissés dans l enfance 41

42 Processus de séparation des imagos parentaux infantiles Le travail psychique de renoncement aux liens infantiles avec les imagos intériorisés des parents provoque La perte d une partie de soi-même qui atteint la narcissisme La perte de la relation infantile, base de la sécurité affective C est une expérience intérieure bouleversante marquée par l ambivalence des sentiments Et le début d un long processus de désengagement psychique qui permettra la séparation et dans sa réussite la réconciliation avec ses premiers objets d amour «Le désenchantement» de l adolescence J. Guillaumin 42

43 Modification du rapport au monde Comme il remet en question les apparences dans sa famille, l adolescent va chercher l au-delà des apparences du monde dans lequel il vit - Son développement cognitif lui permet d accéder à la pensée hypothético-déductive. -Cela va lui permettre de s interroger sur : -la nature, la société, la pensée, la foi, l occulte - il acquiert un nouveau mécanisme de défense : l intellectualisation 43

44 Le lien aux autres, l appuis des pairs -Le groupe : permet de vivre une identité commune, de supporter le poids de l incertitude. C est un appui, un médiateur de la rencontre sexué -L ami(e), c est un(e) confident(e), complice L expérience de la solitude -Mixité et rencontre amoureuse 44

45 L accès à la maturité et la sortie de l adolescence Le travail intégratif des transformations de la puberté a permis à la sexualité génitale de s épanouir et à l identité sexuelle de se stabiliser. A travers la séparation d avec les objets parentaux et les remaniements identificatoires, l adolescent s est tourné vers les autre et vers des centres d intérêts divers; C est cette traversée qui permet l éclosion de sa pensée subjective et la naissance d une nouvelle force qui nourrira les réalisation de l âge adulte 45

46 La projection idéale s adaptant progressivement aux contraintes du réel, s équilibre entre ses aspirations et ses possibilités. Au niveau sociale, cela va lui permettre de choisir de manière autonome une activité investie par lui, Au niveau affectif, cette évolution lui donne la possibilité d une relation d amour stable, Deux signes de l accès à la maturité et au libre arbitre. 46

47 Quelques signes de santé d un jeune adulte au sortir de l adolescence d après Philippe Jeammet. «Il détient une bonne image de lui-même, s adapte, se projette dans l avenir avec une optique dynamique et investit en dehors des structures purement scolaires. Il est parvenu à une autonomie à la fois physique, psychologique et bientôt matérielle. Il a su accéder au plaisir par des intérêts situés au-delà de ses préoccupations ordinaires, en se soumettant au principe de la réalité du corps, du psychologique et du social.» 47

48 «Il n existe qu un remède à l adolescence et un seul et il ne peut intéresser le garçon ou la fille dans l angoisse. Le remède c est le temps qui passe et les processus de maturation graduels qui aboutissent finalement à l apparition de la personne adulte.» D.W. Winnicott 48

49 En Complément L adolescence et la règle de droit : des franchissements successifs 10 ans. consentement pour le changement de nom et l adoption. possibilité de prononcer des mesures éducatives (placement, liberté surveillée) ou des sanctions éducatives (stage de formation civique, mesure de réparation, interdiction de rencontrer la victime ). retenue judiciaire (12 heures maximum renouvelables une fois), s il existe des indices graves ou concordants et que l infraction en cause est punie d au moins cinq ans d emprisonnement 12 ans. carte jeunes SNCF. ouverture d un livret jeune à la banque, avec autorisation et procuration des parents ou tuteurs 13 ans. inscription sur le registre national des greffes. travail dans l exploitation agricole des parents et sous leur contrôle. garde à vue de 24 heures maximum, renouvelables une fois en cas de délit puni d au moins cinq ans d emprisonnement. contrôle judiciaire en matière criminelle et délictuelle sous certaines conditions possibilité de placement dans un centre éducatif fermé. détention provisoire en cas de crime (six mois renouvelables une fois) ou en cas de violation de l obligation de placement dans un centre éducatif fermé (quinze jours renouvelables une fois, un mois renouvelable une fois dans le cas d un délit puni de dix ans de prison). mesures et sanctions éducatives possibles, peines possibles avec application du principe de l excuse atténuante de minorité (les peines prononcées ne peuvent 49 dépasser la moitié des peines maximales prévues pour les adultes)

50 14 ans. autorisation d effectuer des travaux légers pendant les vacances scolaires. autorisation de conduire un deux-roues de 50 cm3 maximum 15 ans. majorité sexuelle. autorisation de se marier, avec le consentement des parents ou du conseil de famille, pour les filles. début de l apprentissage si justification d une fin de premier cycle de l enseignement secondaire. embarquement sur un navire comme professionnel. impossibilité d être adopté dans le cas d une adoption simple. passeport individuel 16 ans. fin de la scolarité obligatoire. conduite accompagnée et permis moto légère (moins de 125 cm3). autorisation d entrer dans un débit de boisson et de consommer du vin et de la bière. autorisation d acheter du tabac 1. possibilité de demander au juge des tutelles la convocation du conseil de famille 1 Cf. proposition de loi n 66 ( ) visant à restreindre la consommation de tabac chez les jeunes, adoptée par le Sénat le 11 février possibilité de demander l émancipation. ouverture et gestion d un compte bancaire à son nom. apprentissage, sans justification d une fin de premier cycle de l enseignement secondaire. entrée dans le monde du travail sous certaines conditions. garde à vue de 24 heures, renouvelable une fois. contrôle judiciaire pour les crimes et délits, possibilité de placement dans un centre éducatif fermé. détention provisoire jusqu à quatre mois (renouvelable deux fois) pour les délits, un an (renouvelable une fois) pour les crimes. possibilité de déroger, à titre 50 exceptionnel, au principe de l excuse atténuante de minorité

51 17,5 ans. engagement dans l armée 18 ans. majorité civile et pénale. permis de conduire (voiture, moto, poids lourds). droit de se marier pour les garçons. droit de conclure un PACS. droit de vote. possibilité d être élu à un mandat local. possibilité de donner ses organes. droit d acheter des spiritueux. droit d entrer dans les établissements de jeux et de jouer 20 ans. droit d acheter des alcools forts. âge limite de versement des allocations familiales aux parents 21 ans. permis D (véhicules affectés au transport de personnes). âge limite de versement du complément familial, des aides au logement (loi de financement de la sécurité sociale pour 2000) et des allocations familiales pour les familles de trois enfants et plus (loi de financement de la sécurité sociale pour 2003), aux parents 23 ans. possibilité de se présenter aux élections législatives, européennes et présidentielles 25 ans. fermeture du livret jeune 26 ans. droit au revenu de solidarité active 27 ans. fin du droit à la carte jeunes de la SNCF 51

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