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1 cés Les chiffres du commerce 0 Étude réaisée par a Chambre de commerce et d industrie de Essonne n Repères n Urbanisme commercia n évoution n bian démographique n consommation des ménages n commerce de proximité n commerces de 00 à 000 m n grande distribution aimentaire n grande distribution spéciaisée n commerce de pus de 00 m n centres commerciaux n commerce non sédentaire n associations de commerçants n empois saariés dans e commerce 0 des CDAC n réforme de urbanisme commercia n Régementation n accessibiité des commerces n TLPE n Conjoncture 0 n enquête de fin d année n e-commerce n créations et défaiances d entreprises commerciaes et artisanaes avri 0

2 Repères L'évoution démographique Source : INSEE 0 Popuation en miiers Année Essonne Ie-de-France France 007 0,0 8, 6 7, , 6, 6,0 Évoution + 0, % + 0, % + 0, % Le potentie de consommation des ménages essonniens On constate que IDC du poste automobie est inférieur à 00, c est-àdire inférieur à a moyenne nationae. On note une corréation très importante entre a densité du réseau de transports en commun et a faibesse de Secteurs IDC : ainsi, Paris totaise un IDC de 7, es Hauts-de-Seine 88, et a Seine et-marne 0. On reève une baisse de ensembe des IDC et des marchés potenéquip. de a personne 60 ties entre 00 et, qui refètent une baisse de a consommation Équip. de a maison 06 8 des ménages. Pour anayser cette baisse, vérifiée sur ensembe de Ie de-france, i est important de rappeer que es IDC varient seon pusieurs facteurs : a région, e type d habitat, a taie des ménages, âge Restauration du chef de famie, e niveau de revenu, de même que a catégorie Services ** socioprofessionnee de a personne de référence. Ainsi, évoution démographique, es nouveaux arbitrages de consommation, ou encore a crise Automobie économique, expiquent a baisse notabe des IDC Enfin, on souigne que es IDC essonniens sont reativement proches de ceux de a Seine-et-Marne, et cea en raison notamment de a structure de offre Source : INSEE 0 commerciae des deux départements qui est assez simiaire. En effet, équipement commercia rentre égaement en igne de compte * Indice de disparité de consommation : IDC ** Services : activités de nettoyage, réparations (hors automobie), coiffure, soins/beauté, dans es IDC, confirmant adage seon eque offre crée sa propre demande. Pour exempe, un département aux offres de restauration abonbanchisseries dantes comme Paris enregistre un IDC de 6 pour e poste restauration, contre seuement pour a Seine-et-Marne. A inverse, à Paris, IDC L indice de disparité de a consommation permet de prendre en compte es spécificités du poste équipement de a maison n est que de 76, contre pour a ocaes en matière de consommation. Ainsi, es essonniens dépensent en aimentaire % de pus que a moyenne nationae Seine-et-Marne, où a densité par habitant d étabissements de ce secteur est pus importante. (qui est de 00). Indice de disparité de consommation* Marché potentie (M ) En nombre Secteur d activité Le commerce de proximité Notre département compte 66 étabissements de commerce et de services de moins de 0 saariés. Le commerce de proximité comprend par définition es commerces aimentaires spéciaisés (bouangeries-pâtisseries, boucheries-charcuteries, poissonneries ), es commerces d aimentation générae, es superettes, es commerces sur éventaires et marchés, es traiteurs, es cafés-tabacs, es commerces de ivres, journaux et papeterie, es pharmacies. Par services de proximité, on entend es coiffeurs, es instituts de beauté... Is proposent des produits et des services quasi quotidiennement achetés ou utiisés par es ménages. Is ont généraement une surface de vente réduite ou moyenne. Un commerce de proximité peut appartenir à un commerçant indépendant (isoé ou organisé) ou faire partie d un commerce intégré (superette par exempe). Restaurants traditionnes Restaurants rapides Équipement de a personne Services (cordonnerie, beauté...) 66 Pharmacies Cafés/tabacs Banques 0 Assurances Agences immobiières Agences de voyages Autres commerces non aimentaires (auto...) Agences de travai temporaire Source : fichier CCI Essonne Part en %

3 Repères Comme e refètent nos centres-vies, e secteur de a banque s est fortement déveoppé (+ 60 % en ans), tout comme ceui des agences de travai temporaire (+ %). En revanche, a restauration, qu ee soit traditionnee ou rapide, connait un éger recu (-,7 %). Seon une étude réaisée en mai 0*, 6 % des moins de ans estiment que e centre-vie est un ieu agréabe pour se promener et 6 % des personnes interrogées, tout âge confondu, pensent que e centre-vie est pratique pour faire ses courses. «La génération hypermarché part à a retraite, a popuation vieiit, es ceues famiiaes écatent La proximité se déveoppe avec évoution démographique et géographique en compément des autres circuits de distribution»**. * Étude réaisée sur une période de deux ans, de mai à 0, par TNS Sofres. ** Source Credoc, mai 0 Les commerces de 00 à 000 m Étabissements Densité (m/ 000 habts) Surfaces en m Équipement de a personne Divers (beauté, auto...) Source : DGCCRF janvier 0 et janvier 0 On recense en Essonne, en 0, 7 commerces dont a surface est comprise entre 00 et 000 m². Avec 7 étabissements de pus qu en, a croissance des commerces de 00 à 000 m² est reativement faibe ( %). C est e secteur de aimentaire qui a connu a progression a pus importante, avec étabissements créés en an. Bien que e nombre d étabissements soit inchangé, on note un éger recu des surfaces de ventes pour es catégories équipement de a personne et divers (vente auto/moto, équipement auto ), dû à a fermeture de certains étabissements et à eur rempacement par des structures pus petites. La répartition de ces étabissements par secteur d activité est assez proche de cee des étabissements de pus de 000 m². L aimentaire arrive en premier, avec 7 étabissements, suivi de équipement de a maison. Viennent ensuite équipement de a personne et e secteur cuture/oisirs. La grande distribution aimentaire 7 Territoires I-d-F Hypermarchés Supermarchés Hard discount Cash&carry Tota GMS GMS en densité (m/ 000 hbts) Source : Panorama/Trade Dimension 0 et 0 Un hypermarché : point de vente dont a surface de vente est supérieure à 00 m² et qui propose un assortiment à dominante aimentaire. Un supermarché : point de vente dont a surface de vente est comprise entre 00 et 00 m² et qui propose un assortiment à dominante aimentaire. Un hard discount : point de vente proposant un assortiment à dominante aimentaire essentieement constitué de produits de base de marque distributeur ou sans marque et à bas prix. GMS : grandes et moyennes surfaces. supermarchés, hard discount et cash&carry, soit 0 magasins au tota, ont vu e jour en 0 en Essonne. On notera que notre département a connu a pus faibe progression en-ie-de France en nombre d ouverture de grandes et moyennes surfaces aimentaires. Cependant, a densité commerciae de Essonne en termes de GMS aimentaires reste supérieure à cee de Ie-de-France. En effet, Essonne est e deuxième département d Ie-de-France en termes de densité commerciae des grandes et moyennes surfaces aimentaires, juste derrière a Seine-et-Marne. D aieurs, e 77, e 78 et e ont une structure de GMS assez proche. Néanmoins, i est important de noter que, comparativement à ses voisins, Essonne compte un nombre moins important de supermarchés mais on y récence pus de hard discount.

4 Repères La grande distribution spéciaisée Étabissements Surfaces en m Densité (m/ 000 habts) dont bricoage dont jardinerie Équipement de a personne Divers Source : DGCCRF janvier 0 - surfaces supérieures à 000 m * L équipement de a maison ne comprend pas uniquement e bricoage et a jardinerie, mais égaement a décoration, es équipements éectroménagers, es meubes Que ce soit en nombre ou en surface de vente, e secteur de équipement de a maison se pace oin devant es secteurs de équipement de a personne et cuture/oisirs, représentant à ui seu pus de a moitié des grandes surfaces spéciaisées, et près de 7 % de a surface de vente. Le commerce de pus de 00 m Source : Panorama Trade Dimension - Niesen 0 Source : CCI Essonne - Direction dééguée déveoppement des territoires - 0 L an dernier, a grande distribution spéciaisée représentait étabissements, soit une croissance de 0,8 %. L ensembe des secteurs ont connu une évoution gobaement simiaire. En Essonne, a densité des étabissements de grande distribution spéciaisée est de m² pour 000 habitants.

5 Repères Les centres commerciaux L Essonne compte 7 centres commerciaux. Pour rappe, est considéré comme centre commercia un ensembe de boutiques regroupées autour d une ou pusieurs ocomotives (grande surfaces aimentaires et spéciaisées) assurant un fux de cientèe ou de prospects. Leur surface GLA* est d au moins 000 m² et/ou is totaisent au moins 0 magasins et services. Les centres commerciaux essonniens totaisent une surface de 0 60 m² GLA aant de 0 m² pour Mouin à vent à Ris-Orangis, jusqu à 8 0 m² pour Evry. Au tota ce sont 77 magasins! Quee que soit eur taie, on constate que es centres commerciaux regroupent généraement e même type d activités. Ainsi, on retrouve e pus souvent un hypermarché, ou supermarché, entouré de manière prédominante par des magasins d équipement de a personne, e pus souvent des enseignes. Les services (coiffeurs, saons de beauté, centres photo ) sont égaement réguièrement présents. Seon a taie des centres commerciaux, offre de restauration est pus ou moins importante. Un centre te qu Évry compte points de restauration. Le taux de vacance moyen en Essonne est de 6 %. Les centres commerciaux essonniens comptabiisant e pus de ocaux vides sont Va d Yerres (7 % de vacance, soit ocaux vides), Grand-Bois à Saint-Miche-sur-Orge (7 % de vacance, soit ocaux vides). En revanche, certains centres commerciaux ne comptent pas un seu oca vide, c est notamment e cas de Maison Neuve à Brétigny-sur-Orge et de Va d Oy à Vigneux-sur-Seine. * La surface commerciae utie, abrégée par es siges SCU ou GLA (pour angais gross easabe area), est a surface destinée à a vente de produits et/ou de services. Ainsi, dans un centre commercia, ee n incut pas es espaces dont es commerçants bénéficient coectivement. Le commerce non sédentaire Les marchés sont un moteur essentie dans a dynamique économique d un territoire. C est un ieu d échange, de conviviaité. Is répondent au besoin de proximité. En 0, notre département comptait 87 marchés répartis sur 6 communes. En ans, e nombre de marchés a augmenté de 0 %. En 006, nous recensions 78 marchés répartis sur vies. Depuis 00, e nombre de marchés s est stabiisé. Près de 80 % d entre eux se situent sur a partie nord de notre territoire (au-dessus de axe est/ouest Dourdan). Pus de a moitié d entre eux se tient au moins deux fois par semaine. En fonction de a taie des vies, du foncier disponibe, des habitudes de consommation, e nombre d exposants peut varier de à 0. Près de % des marchés sont de pein vent, 7 % sont couverts et % se tiennent sous hae. Les commerces non sédentiares sont de petites structures dont % ont moins de saarié. En 0, a CCI Essonne a déivré 677 cartes pour commerces ambuants. Les associations de commerçants En Essonne, i existe associations de commerçants (ou unions commerciaes), pus une fédération départementae. De fait, pus de 00 commerçants sont adhérents à une union commerciae. Si a grande majorité des associations de commerçants représente e com- merce de centre-vie, i existe aussi des unions commerciaes qui prennent pace au sein de centres commerciaux ou zones d activités commerciaes : à a Croix Banche, à Evry, à Viebon L'empoi saarié dans e commerce essonnien En nombre Secteur d activité 88 Restauration 8 8 Bars/tabacs 7 Auto/moto Équipement de a personne 8 Services (coiffure, banchisseries...) 68 Agences de travai temporaire 8 6 Pharmacies 8 Banques/assurances 6 Agences immobiières Agences de voyages Le commerce en Essonne pèse 67 empois saariés, soit % de empoi saarié du département. Le premier secteur empoyeur est aimentaire avec 88 saariés. Une part importante est occupée par es agences de travai temporaire, pus de empois, c est-à-dire pus que e secteur de a restauration. Cea souigne a tendance générae du marché du travai à a précarisation (contrats d intérim, contrats à durée déterminée ), iée à a conjoncture actuee. Entre et 0, et magré une situation économique difficie, empoi saarié dans e commerce essonnien a connu une progression de pus de %, représentant a création d un peu pus de 000 empois. VPC (vente par correspondance) Source : Pôe empoi (provisoire)

6 Urbanisme commercia La réforme de 'urbanisme commercia Le Sénat a adopté e mars 0, en première ecture, a proposition de oi reative à urbanisme commercia. La proposition vise à intégrer urbanisme commercia dans urbanisme de droit commun, mettant ainsi fin aux ois Royer et Raffarin et au système de doube autorisation qui avait ieu jusque à : une autorisation commerciae d un côté, et une autorisation d urbanisme cassique de autre pour e permis de construire. Dans es faits, es autorisations d impantations commerciaes de pus de 000 m² SHON se feront désormais à travers es permis de construire, ces derniers devant respecter des conditions d impantation définies par un document d urbanisme nouveau, e document d aménagement commercia (DAC). C est ce document qui déterminera es ocaisations préférentiees des commerces, en répondant aux exigences d aménagement du territoire en matière de revitaisation des centres-vies, de diversité commerciae, de maintien du commerce de proximité, de desserte en transports... Le DAC constituera e voet «commerce» des schémas de cohérence territoriae, document-maître en matière d urbanisme commercia. Si intercommunaité est dotée d un pan oca d urbanisme (PLU), ceui-ci jouera e rôe du SCOT en matière d urbanisme commercia. Une intercommunaité sans SCOT, ni PLU communautaire, pourra se saisir de a compétence en matière d urbanisme commercia et éaborer un DAC. Enfin, dans e cas où i n y a pas de structure intercommunae ou si intercommunaité n est dotée ni d un SCOT, ni d un PLU, ni d un DAC, es projets seront soumis à a commission régionae d aménagement commercia (CRAC) dès que eur surface hors œuvre nette dépassera 00 m². Ce texte n ayant pas été voté dans es mêmes termes par Assembée nationae et e Sénat, i n est à ce jour toujours pas définitivement adopté. L accessibiité des commerces La oi n 00-0 sur accessibiité, oi pour égaité des droits et des chances, a participation et a citoyenneté des personnes handicapées, a été pubiée e février 00. Ee donne 0 ans à a France pour se rendre accessibe à ensembe des citoyens, quees que soient eurs difficutés à se dépacer, à accéder au cadre bâti ou à eur ogement, ainsi qu à appréhender eur environnement. Cette nouvee régementation impose a remise en accessibiité de ensembe des étabissements recevant du pubic. Ainsi, es commerces ou es étabissements de service comme es agences bancaires, es bureaux de poste, es entreprises artisanaes, etc. (souvent cassés comme ERP* de e catégorie) devront être accessibes à tous au er janvier 0. Is devront avoir engagé des travaux de mise en conformité pour une partie du bâtiment où pourra être déivré ensembe des services dans e respect des artices R -- et. Artice R -- : cheminements extérieurs, stationnement des véhicues, conditions d accès et d accuei dans es bâtiments, es ocaux intérieurs et es sanitaires ouverts au pubic, équipements et mobiiers intérieurs, dispositifs d écairage et information des usagers. Artice R -- : étabissements et instaations comportant des cabines d essayage, d habiage et déshabiage et des caisses de paiement disposées en batterie. * Étabissement recevant du pubic La TLPE : taxe ocae sur a pubicité extérieure contact La TLPE est une taxe facutative qui est entrée en vigueur e er janvier 00. Depuis cette date, es communes ou es étabissements pubics de coopération intercommunae (EPCI) sont habiités à a percevoir sous certaines conditions. La TLPE concerne es supports pubicitaires fixes et visibes de toute voie ouverte à a circuation. Ee concerne toutes es entreprises, quee que soit a nature de eurs activités (commerciaes, industriees ou de services ). Ayez e réfexe CCI! commerce@essonne.cci.fr La oi de finances rectificative pour 0, du 8 décembre dernier, a repris pusieurs propositions communes de ACFCI (Assembée des chambres françaises de commerce et d Iindustrie), du CDCF (Consei du commerce de France), du Medef (Mouvement des entreprises de France) et de AMF (Autorité des marchés financiers) et particuièrement : e non cumu de TLPE, droit de voirie et redevance pour occupation du domaine pubic, pour tous es supports (y compris enseignes) a non appication de a TLPE pour es supports pubicitaires situés à intérieur d un point de vente exonération pour pusieurs supports : es supports ou parties de supports prescrits par une disposition égae ou régementaire ou imposés par une convention signée avec État es supports reatifs à a ocaisation de professions régementées es supports excusivement destinés à a signaisation directionnee apposés sur un immeube ou instaés sur un terrain et reatifs à une activité qui s y exerce ou à un service qui y est proposé es supports ou parties de supports dédiés aux horaires ou aux moyens de paiement de activité, ou à ses tarifs, dès ors, dans ce dernier cas, que a superficie cumuée des supports ou parties de supports concernés est inférieure ou égae à un mètre carré Cette oi confirme que pour es communes qui taxaient déjà a pubicité extérieure en 008, a progressivité du tarif appicabe pendant a période transitoire concerne égaement es enseignes (contrairement à a position adoptée par certaines communes, notamment cees ayant eu recours à des prestataires privés pour étabir des reevés des supports taxabes). Ee modifie égaement es conditions dans esquees es communes peuvent transférer a taxe à intercommunaité et prévoit que es communes et es EPCI pourront décider d exonérer de TLPE, totaement ou pour moitié, es dispositifs pubicitaires apposés sur es kiosques à journaux Informations égaes - Mise en page : communication CCI Essonne - Imprimeur : Wiaume Égret, 6 rue Denis Papin, 0 St Miche-sur-Orge - Éditeur : Chambre de commerce et d industrie de Essonne, cours Mgr Roméro, BP, 00 Évry cedex - Représentant éga : Thomas Chaudron - Directeur de a pubication : Bruno Maecamp - Rédaction conception : Éric Lopez, Juie Constant, Vaérie Beenoue - Dépôt éga à parution avri 0. imprimé sur papier recycé Cycus Print Régementation : zoom sur

7 Urbanisme commercia Le bian 0 de a CDAC En 0, dossiers ont été déposés en Commission départementae d aménagement commercia (CDAC). Aors que intégraité des projets présentés en avait été autorisée, seus 87 % des projets ont été acceptés en 0. En refusant projets sur es déposés, a CDAC a, cette année, montré sa voonté de revenir à une croissance pus raisonnée des surfaces de vente. Au fina, 6 66 m² de surface de vente ont été autorisés en 0. Par rapport à année dernière, e nombre de m² autorisés (qui était de 7 66 m²) a diminué de 6 %, mais reste magré tout éevé. Au niveau nationa, a surface autorisée par es CDAC-CNAC est de, miions de m²! L aimentaire et équipement de a maison sont es secteurs es pus présents parmi es projets présentés. 6 % des dossiers présentés portent sur des extensions de magasins ou de pôes commerciaux déjà existants. Un peu pus de 0 % des dossiers sont des créations ex nihio, e pus souvent dans e secteur de aimentaire et de équipement de a maison. Enfin, % des dossiers portent sur des modifications substantiees d autorisations déjà obtenues en CDAC. Les projets refusés portaient sur a création de centres commerciaux, souvent constitués d enseignes d équipement de a personne et d équipement de a maison. Ces centres commerciaux étaient essentieement impantés en périphérie des aggomérations, présentant ainsi un risque trop important de détournement de a cientèe des commerces de centre-vie. Ainsi, es membres de a CDAC affirment eur voonté de préserver e commerce de proximité. Nombre de projets autorisés Composante Surface de vente en m 7 6 Équipement de a personne Services 806 NC Source : préfecture de Essonne - Traitement CCIE Le nombre de composantes (0) est supérieur aux nombres de dossiers autorisés (0) car i peut exister pusieurs composantes dans un projet. Projets acceptés en CDAC en 0 Source : CCI Essonne - Direction dééguée déveoppement des territoires - 0 7

8 Conjoncture 0 L'enquête de fin d'année 0 : une année putôt satisfaisante Seon une enquête réaisée en janvier 0 par a CCI Essonne, 60 % des commerçants interrogés s estiment satisfaits, voire très satisfaits, de eur chiffre d affaires 0, aors qu is étaient seuement % à être satisfaits en. Pour pus de 7 % de notre pane, e CA 0 a connu une hausse significative, et pour % i est resté stabe. Quant à a fréquentation, près de % des commerçants ont noté qu ee avait augmenté par rapport à. 8 % des commerçants considèrent que a crise économique a eu un impact négatif sur e chiffre d affaires généré en 0. Des consommateurs à a recherche de prix toujours pus bas Les commerçants identifient cairement es changements des comportements d achats des ménages. En effet, is sont 6 % à s accorder sur e fait que a recherche de prix toujours pus bas est aujourd hui devenue a priorité de nombreux consommateurs. D aieurs, 66 % des commerçants interrogés reconnaissent que a modification des arbitrages budgétaires des ménages a eu un impact négatif sur eur activité. Le retour à utie et e fait maison deviennent égaement des critères importants pour es consommateurs, soucieux de consommer mieux et de dépenser moins. Des prévisions putôt pessimistes pour 0 Pus de 6 % des commerçants estiment que 0 ne sera pas meieure que 0, et près de % ne savent pas quoi attendre de cette année qui commence. Bien que es résutats enregistrés en 0 ne soient pas aarmants, es commerçants sembent avancer dans une période nébueuse. Beaucoup d entre eux expriment eurs incertitudes et e manque de visibiité. Le e-commerce Seon une étude réaisée par Tns Sofres, en 0, 6 % des personnes interrogées pensent qu Internet et es nouvees technoogies ont fait évouer eur façon de faire des achats. Presqu un quart de ces dernières ( %) s est déjà rendu dans des magasins pour voir ou essayer un produit avant d acheter sur Internet. 6 % de ces personnes interrogées ont moins de 0 ans et % appartiennent à a catégorie CSP+*. Seon Médiamétrie, e nombre de cyber-acheteurs a bondi de, miions sur un an. La France compte désormais 0, miions d acheteurs en igne. En, es dépenses en igne par habitant ont atteint en moyenne 08 euros. Pus de nouveaux sites marchands ont vu e jour au cours des douze derniers mois. Si cette progression se poursuit au même rythme, e e-commerce français devrait compter pus de sites en 0. En, e e-commerce a représenté, % des ventes totaes de détai en Europe. En 0, es sites marchands ont réaisé un chiffre d affaires de 7,7 miiards d euros, en hausse de % par rapport à. Les ventes d habiement sont en hausse de %, es ventes de produits techniques sont en hausse de 7 % en vaeur. Le secteur de e-tourisme affiche quant à ui une croissance de 6 % de janvier à septembre. * CSP+ ou PCS+ : professions et catégories socioprofessionnees Les créations et es défaiances d'entreprises commerciaes et artisanaes en 0 Nombre créations Part en % Nombre radiations Part en % 7,8, Restauration traditionnee 0,7 6,8 Restauration rapide 0 8,,7 Commerces non aimentaires 0,8 8, Services (cordonneries, banchisseries...) 6, 6,8 Pharmacies 0,, Cafés/tabacs,, Banques/assurances,7 0,8 Agences de travai temporaire 0 0,8 0, Agences immobiières 68, 7, Agences de voyages 6 0, 0 0 Secteur d activité VPC (vente par correspondance) 8 7,, Source : fichier étabissements CCIE 6 Au niveau nationa, toutes activités confondues, es créations d entreprises ont recué de % en 0 à 800 contre en. % d entre ees sont des autoentreprises et 8 % des entreprises individuees sont créées par des femmes. En Essonne, 7 commerces ont été à a fois créés et radiés au cours de année. Le nombre de créations réees est donc de 77. En aimentaire, pus de a moitié ( %) représente des créations ex nihio, % se font par des rachats de fonds, et % sont des reprises en ocation gérance ou par transfert. Un zoom sur es bouangeries : / se font par e rachat de fonds et un tiers par création pure. A inverse, 78 % des nouveaux commerçants non sédentaires sont des créations ex nihio. Concernant es CHR (cafés, hôtes, restaurants), % des restaurants dits traditionnes et 8 % des cafés/tabacs ont pour origine e rachat d un fonds aors que 68 % de a restauration rapide se fait de façon ex nihio. En non aimentaire, a tendance est inverse, on trouve une majorité de création ex-nihio (7 %), contre % de rachat de fonds. Un zoom sur équipement de a personne : deux secteurs d activité pèsent à eux seus 7 % des créations : es magasins d optique (8 %) et e commerce d habiement (7 %). I est à noter que es activités iées à automobie (vente, réparation, ocation...) représentent 6 % des créations. Les activités de services sont quant à ees des créations ex nihio à 66 %. On notera que a coiffure/beauté pèse pus de a moitié (7 %).

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