Conférence de presse Colloque 26 et Chiffres pour le Luxembourg
|
|
- Angèline Labelle
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conférence de presse Colloque 26 et Chiffres pour le Luxembourg Obésité de l adulte: Dans l étude ORISCAV-LUX réalisée par le Centre d Etudes en Santé pour le compte du Ministère de la Santé, il apparait que dans la population entre 18 et 69 ans résidant au Luxembourg, 33 % est en surpoids et 21 % est obèse, soit un total de 54 % de la population concernée par la pathologie de l obésité. obésité surpoids Figure III-1: Distribution de l Indice de Masse Corporelle entre 18 et 69 ans. N=1431. Source : ORISCAV-LUX (CRP-Santé) Cette même étude montre que les hommes sont plus touchés que les femmes par l obésité et le surpoids entre 18 et 69 ans au Luxembourg.
2 Figure III 2: Prévalence de chaque catégorie de poids en fonction du genre entre 18 et 69 ans. N = Source : ORISCAV-LUX (CRP-Santé) L obésité évolue avec l âge malheureusement. Il y a donc lieu de s y intéresser très tôt et de proposer aux personnes des programmes d Education Thérapeutique très tôt. Figure III 3: Pourcentage de l obésité et du surpoids en fonction de l âge entre 18 et 69 ans. N = 1431 ; Source : ORISCAV-LUX (CRP-Santé)
3 Obésité de l enfant: Les enfants ne sont malheureusement pas épargnés par le surpoids et l obésité au Luxembourg. L Indice de Masse Corporelle (IMC) calculé par le poids (kg) sur la taille au carré (m 2 ) permet d'estimer la corpulence d'une personne adulte de 18 à 65 ans. Des diagrammes spécifiques pour les enfants de 0 à 18 ans sont disponibles. Le rapport de l étude HBSC (Health Behaviour of School Children )2006, organisée dans 42 pays par l Organisation mondiale de la santé, base le rapport IMC pour les jeunes sur le travail de Cole et al. selon les recommandations de l International Obesity Task Force (IOTF) et nommées «IOTF cut-offs». Mais attention dans l étude HBSC ce sont les enfants eux-mêmes qui estiment leur surpoids ou obésité. Il est démontré que l IMC auto-rapporté entraîne des sousestimations de surpoids et d obésité. La mesure de la taille (sans les chaussures) et du poids (sans les habits) étaient auto-déclarées par les jeunes. Dans ce rapport HBSC 2006, 11% des filles et 14% des garçons de 11 ans s estiment en surpoids ou obèses. Pour les enfants de 13 et respectivement 15 ans ce sont 10% et 9% des filles, 15% et 16% des garçons. Pour ces deux dernières tranches d âge, il existe une différence significative entre les sexes. La médecine scolaire quant à elle peut produire des chiffres plus précis puisque les enfants sont pesés et mesurés lors de chaque visite en médecine scolaire. Selon le rapport de la médecine scolaire 2000/2001(datant de déjà plus de 10 ans) incluant les enfants du post-primaire, 13,4% des filles et 13,2% des garçons souffraient de surcharge pondérale; 7,4% des filles et 10,1% des garçons souffraient d obésité. Dans la tranche d âges de 12 à 18 ans, constituant les effectifs les plus représentatifs de la population adolescente, les proportions de surcharge pondérale étaient de 13,5% pour les filles et de 13,5% pour les garçons. Les proportions d obésité étaient de 7,6% pour les filles et de 10,4% pour les garçons. Il existe d autre part une corrélation entre le régime scolaire et l obésité, aussi bien chez les filles que chez les garçons. L obésité augmente de l enseignement secondaire (régime B1) au secondaire technique (régime B2, technique et formation de technicien) et de ce dernier à l enseignement secondaire technique (régime B3, polyvalent et professionnel). En effet, par rapport à une fille dans le régime B1, une fille dans le régime B2 a 2 fois plus de risque d être obèse; une fille dans le régime B3 a un risque 3,1 fois plus élevé.
4 Par rapport à un garçon dans le régime B1, un garçon dans le régime B2 a 1,8 fois plus de risque d être obèse; un garçon dans le régime B3 a un risque 1,9 fois plus élevé. L étude «Santé, motricité, activité physique des jeunes 2004»,réalisée par le Ministère de l Education Nationale, le Ministère de la Santé et le Département ministériel des Sports, plus récente et ayant aussi pratiqué des mesures de la taille et du poids, démontre que 19.7% des jeunes et adolescents au Luxembourg sont en surpoids ou obèses. Les élèves sont déjà en surpoids ou obèses en primaire dont 15% des filles et 20.1% des garçons. Dans l enseignement secondaire, 13.4% des filles et 13.2% des garçons sont en surpoids et 7.4% des filles et 10.1% des garçons sont obèses. Ces chiffres sont déterminants car une obésité à l adolescence continue d évoluer si elle n est pas prise en charge et les complications de l obésité apparaissent très tôt à l âge de jeune adulte, telles que l hypertension artérielle, le diabète ou les dyslipidémies (trop de graisses dans le sang), induisant des maladies cardiovasculaires précoces. Diabète chez l adulte : Le diabète continue inexorablement sa croissance d année en année au Luxembourg. Dans l étude DIABECOLUX réalisée par le Centre d Etudes en Santé pour les besoins du Ministère de la Santé, à partir des données de la Sécurité Sociale, la prévalence de diabète traité au Luxembourg a été calculée entre 2000 et 2006 (pourcentage de personnes résidant au Luxembourg recevant un traitement pour un diabète) sur la population totale résidante. En 2006, 4 % de la population résidant à Luxembourg était traitée pour un diabète. Il est estimé qu en 2011, la prévalence du diabète traité a continué d augmenter et qu elle atteint désormais plus de 5 % de la population résidant à Luxembourg.
5 Figure III 4: Evolution de la prévalence du diabète de types 1 et 2 en fonction du genre. N= Source : Etude DIABECOLUX (CRP-Santé) Toutefois, dans une autre étude ORISCAV-LUX menée par le CRP-Santé pour le compte du Ministère de la Santé, des analyses de sang ont été réalisées aux participants et il a été montré que 1.5 % de la population entre 18 et 69 ans est diabétique mais ne le sait pas ou ne le traite pas médicalement. Il faut noter de plus que le diabète évolue avec l âge, d où la nécessité de participer à tout âge à des programmes de dépistage (organisés chaque année au Luxembourg en novembre) car ce n est pas parce que l on n est pas diabétique en 2005 que l on ne le deviendra pas en Figure 5: Evolution de la répartition des diabétiques selon leur classe d'âge. N= Source : DIABECOLUX (CRP-Santé)
6 Le diabète chez l enfant et l adolescent au Luxembourg L analyse de la base de données médico-administrative de la Caisse Nationale de Santé permet d identifier le nombre de jeunes de moins de 18 ans traités avec de l insuline seule ou des anti-diabétiques oraux ou par association de ces deux thérapies. Cette analyse a été faite sur la période allant de 2000 à Au total, 110 jeunes diabétiques sont traités au Luxembourg. Ce chiffre est stable entre 2003 et La majorité des enfants diabétiques de moins de 18 ans suivent un traitement par insuline, et peuvent de ce fait être considérés comme diabétiques de type 1. Toutefois, il faut noter que des enfants de moins de 18 ans sont aujourd hui déjà traités pour un diabète de type 2 lié aux modes de vie (comportement nutritionnel et activité physique). Là encore, il y a probablement plus d enfants diabétiques mais certains le sont sans avoir été encore diagnostiqué. Données fournies par le Centre d Etudes en Santé sur base des études réalisées au Luxembourg. Pour des informations complémentaires joindre Marie-Lise Lair, Directrice du Centre d Etudes en Santé par mail marie-lise.lair@crp-sante.lu
Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich
Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailAnalyse des données de l année scolaire 2008/2009. Résultat d un projet soutenu par Promotion Santé Suisse. Rapport final Août 2010
Monitoring des données concernant le poids des enfants et des adolescents dans les cantons des Grisons, du Valais, du Jura, de Genève et de Bâle-Ville et des villes de Fribourg, Berne et Zurich Analyse
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailDEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO)
DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) 1 OBESITE 2 OBESITES DE GRADE III ou MORBIDE, espérance de vie limitée 3 ans (grade II) à 10 ans (grade III)*
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailUne vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...
Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données
Plus en détailChallenges. Seniors. des. Dossier de presse. Village santé
Challenges des Seniors Dimanche 9 octobre 2011 Dossier de presse Epreuves challenges Village santé Activités déc couvertes Contact presse : Direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière Direction de la Santé et de la Population de la Wilaya d'alger Etablissement Public
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailActions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée
Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailet de suivi de la corpulence des enfants
CALIMCO Logiciel d'évaluation et de suivi de la corpulence des enfants version 2.0 1 / 8 1.Introduction En 2004, un logiciel, CalIMCo, produit dans le cadre du PNNS, a été diffusé sous forme de CD Rom
Plus en détailQuels sont les indicateurs socio-sanitaires utiles pour la promotion de la santé en milieu scolaire? Ce que nous apprend la littérature
Secteur des Sciences de la Santé UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Institut de Recherche Santé et Société Quels sont les indicateurs socio-sanitaires utiles pour la promotion de la santé en milieu
Plus en détailAPPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION
APPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION Créer son profil 2 Autorisation Health Kit (sous ios 8 uniquement) Autoriser Thomson Healthcare à écrire et à lire des données de santé 3 Création Profil
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailDépistage et gestion du diabète
Dépistage et gestion du diabète Plateforme du diabète Table des matières > Dépistage du diabète 32 millions de diabétique en Europe... 5 Le diabète, ça n arrive pas qu aux autres 6 Les Mutualités Libres
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailGMON. Health Monitor GMON. Medizin & Service GmbH
GMON Health Monitor GMON Medizin & Service GmbH Sommaire Version 0.2.5 Introduction 4 Définition du terme «Health Monitor»...4 Le système «Health Monitor»...4 Maux de société 6 La santé de tous en danger!...6
Plus en détailCAHIER SPÉCIAL www.contrelediabete.fr Nathalie Ferron
CAHIER SPÉCIAL 2 e Semaine nationale de prévention du diabète Se prémunir contre le diabète Du 3 au 9 juin 2013 aura lieu partout en France la seconde Semaine nationale de prévention du diabète organisée
Plus en détailDEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE MEDICALE, C EST POSSIBLE!
DEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE MEDICALE, C EST POSSIBLE! Journée de la Fondation Cœur et Artères 23 septembre 2009 Palais du Luxembourg Paris DEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRepenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.
Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailBILAN MSPU du Véron 12 rue des roches 37420 Avoine
BILAN MSPU du Véron 12 rue des roches 37420 Avoine Bilan 2012/2013. Synthèse des actions Préambule : Compte tenu de la taille de la MSPU du Véron, du nombre d acteurs impliqués, les échanges interprofessionnels
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLa santé des élèves de 11 à 15 ans en France Données françaises de l enquête internationale Health Behaviour in School-aged Children (HBSC)
La santé des élèves de 11 à 15 ans en France Données françaises de l enquête internationale Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) Dossier de presse Septembre 2008 Sommaire Introduction...3 Les
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailCATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE
CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE Durée : 3h00 Un concours ou un examen de catégorie B exige un champ de connaissances élargi
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailAlso available in English under the title: Report from the National Diabetes System: Diabetes in Canada, 2009.
Le diabète au Canada : Rapport du Système national de surveillance du diabète, 29 Promouvoir et protéger la santé des Canadiens grâce au leadership, aux partenariats, à l innovation et intervention en
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailMISE EN PLACE D UN SYSTÈME DE SUIVI DES PROJETS D INTÉGRATION DES TIC FORMULAIRE DIRECTION RÉGIONALE DE COLLECTE DE DONNÉES
MISE EN PLACE D UN SYSTÈME DE SUIVI DES PROJETS D INTÉGRATION DES TIC FORMULAIRE DIRECTION RÉGIONALE DE COLLECTE DE DONNÉES Nom de la région (direction régionale) : Nom du directeur régional : Adresse
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailTableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion
Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailNutriSTEP MD Vérification du progrès des détenteurs de licence. Quatrième étude de cas. Comté d Oxford, Ontario. Automne 2009
NutriSTEP MD Vérification du progrès des détenteurs de licence Quatrième étude de cas Comté d Oxford, Ontario Automne 2009 Lancement de la mise en œuvre Avril 2008 Localisation géographique Comté d Oxford,
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailMALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES
LES MALADIES DU CŒUR ET LES MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES PRÉVALENCE, MORBIDITÉ ET MORTALITÉ AU QUÉBEC DIRECTION PLANIFICATION, RECHERCHE ET INNOVATION UNITÉ CONNAISSANCE-SURVEILLANCE OCTOBRE 2006 AUTEUR
Plus en détailEnquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines
Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers
Plus en détailpour filles indigènes et rurales au Guatemala Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés. Résultat social du projet
Système communautaire pour filles indigènes et rurales au Guatemala "Les femmes portent la moitié du ciel" "Une éducation pour la transformation sociale" Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés.
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailDiplôme Personal Trainer et spécialisations FORMATION AGREEE PAR LE DISPOSITIF CHEQUES FORMATION DE LA REGION WALLONNE. www.leaderfit.
Diplôme Personal Trainer et spécialisations FORMATION AGREEE PAR LE DISPOSITIF CHEQUES FORMATION DE LA REGION WALLONNE www.leaderfit.be 0494.61.81.04. (de Belgique) - 621.24.99.48. (du Luxembourg) - 06.24.65.06.18.
Plus en détailSanté des enfants et des adolescents
Santé des enfants et des adolescents Propositions pour la préserver Expertise opérationnelle 2 e édition Ce document constitue la deuxième édition de l expertise opérationnelle réalisée par un groupe
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLaurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailAnalyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes
Analyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes (PA2002-006) Rapport synthèse 2 Points saillants Luc Chiasson Enseignant-chercheur Cégep de Lévis-Lauzon
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailLa consommation d édulcorants. Effets sur la santé des enfants et des adolescents
Promotion Santé Suisse Document de travail 22 La consommation d édulcorants. Effets sur la santé des enfants et des adolescents Aperçu de la littérature et recommandations Mai 2014 Promotion Santé Suisse
Plus en détail