Louise Arbour Combattante et philanthrope. N o 424. Les musées en mutation. Vous avez dit cyberdépendance?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Louise Arbour Combattante et philanthrope. N o 424. Les musées en mutation. Vous avez dit cyberdépendance?"

Transcription

1 La revue des dplômés de l Unversté de Montréal les DIPLômés N o 424 PRINTEMPS 2013 Les musées en mutaton Vous avez dt cyberdépendance? Benoît Melançon entre Dderot et Maurce Rchard Poste-publcatons / Conventon numéro Louse Arbour ENTREVUE Combattante et phlanthrope

2 5 MoT DE LA PRéSIDENTE DE L ASSOCIATION L Unversté et ses dplômés 6 ACTUALITÉS UdeM 8 Vértés et mensonges sur la cyberdépendance 12 LeS musées en MUTATIon 24 Flash recherche les DIPLÔMÉS ENTREVUE 16 Louse Arbour Combattante pour les drots de la personne 20 BENOÎT MELANÇON Entre Dderot et Maurce Rchard SOMMAIRE 26 RECHERCHE Le peuplement préhstorque des Amérques s est fat en tros phases Les femmes rêvent aux aragnées, les hommes aux extraterrestres 30 PHILANTHROPIE et donateurs 38 ENTRE NOUS STEVEN GUILBEAULT 22 sébasten kfoury La passon des bêtes 42 ENTRE GUILLEMETS 45 CARABINS 56 NOS DISPARUS 58 CARNET DU RECTEUR La planète est pette, voyons grand 46 NOMINATIONS ET DISTINCTIONS les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _3

3 MOT DE LA PRÉSIDENTE DE L assocaton L Unversté et ses dplômés: Des rôles catalyseurs par excellence 70 e annversare du pavllon Roger-Gaudry Le 3 jun 1943, l Unversté de Montréal naugurat son nouveau campus sur le flanc nord du mont Royal, sur le ste d une ancenne carrère de perre dont la Vlle de Montréal avat fat don à l Unversté. Le magnfque bâtment d nspraton Art déco est l œuvre du grand archtecte Ernest Cormer (Polytechnque 1906) et la majestueuse tour de l édfce s est rapdement mposée comme le symbole vsuel de l Unversté de Montréal. Le pavllon porte aujourd hu le nom de Roger-Gaudry, en l honneur du premer recteur laïque de notre unversté. En 2013, deux expostons célèbreront le 70 e annversare de l Unversté sur la montagne. Au moment de l nauguraton, le recteur de l époque, M gr Olver Maurault, écrvat : «Elle est mantenant debout, cette grandose unversté ssue des rêves généreux de nos prédécesseurs.» Hommage à nos deux lauréates de l Ordre du mérte L Unversté de Montréal est un mportant facteur de changement dans notre socété et une grande parte de ce mouvement est amorcé par ses dplômés. À l occason du Gala de l Ordre du mérte, nous nous apprêtons à honorer deux dplômées qu représentent cet déal de dépassement de so au bénéfce de la communauté. Mchèle Vau-Chagnon et Ncole Marcl-Gratton mértent toute notre admraton pour le traval colossal qu elles ont accompl au cours des dernères années. Elles ont créé Le Phare Enfants et Famlles, pus ont vellé à la constructon et la mse en servce de la Mason André-Gratton, le seul centre de sons pallatfs pédatrques au Québec. En plus d avor excellé dans leurs mleux professonnels respectfs, ces deux vsonnares ont rassemblé en un temps record une équpe de professonnels, de bénévoles et de donateurs afn de concrétser un projet qu change vértablement la qualté de ve d une multtude d enfants et de parents du Québec. En leur remettant l Ordre du mérte des dplômés de l Unversté de Montréal, nous voulons non seulement exprmer toute la ferté qu nous anme, mas auss leur sgnfer, au nom des enfants, de leurs parents et de toute la communauté, notre apprécaton et notre reconnassance. En termnant, je me permets d établr un parallèle entre la célèbre tour de notre unversté qu fat rayonner la connassance et les nouvelles dées et le phare qu dffuse pour tous sa lumère benvellante. Le phare nous rassure et nous encourage à poursuvre notre route tout en nous ndquant la bonne drecton. Pour les enfants qu dovent affronter des réaltés et des échéances d adultes, Le Phare Enfants et Famlles peut apaser et assurer une certane sérénté. Pour leurs parents, l offre un souten apprécable, une possblté de répt et la certtude que tout a été fat pour mantenr la qualté de ve de leurs enfants jusqu à la fn. Comme d autres dplômés de notre établssement, Mchèle Vau-Chagnon et Ncole Marcl-Gratton ont vértablement changé les choses et c est avec un vf plasr que nous vous convons à leur rendre hommage le 9 ma prochan au Hall d honneur du pavllon Roger-Gaudry. ASSOCIATION DES DIPLÔMÉS DE L UdeM CONSEIL D ADMINISTRATION Lous Bernatchez, présdent du consel Danelle Dansereau, présdente de l Assocaton Antonne Boly-Bousquet, premère vce-présdente et vce-présdente aux actvtés honorfques Perre Sauvé, vce-présdent aux fnances Glles Legault, vce-présdent aux actvtés sococulturelles et régonales Elzabeth Deschamps, vce-présdente aux communcatons Suzanne Bsallon, vce-présdente aux servces aux membres Carolne Varn, admnstratrce Gnette Bergeron, admnstratrce Chrstan Samosette, admnstrateur Mare-Élane Gulbault, admnstratrce Fabola Tassy, admnstratrce Jean Renaud, admnstrateur Alexandre Dore, admnstrateur Mchel Sant-Laurent, secrétare général REPRÉSENTANTES DES DIPLÔMÉS AU CONSEIL DE L UdeM Louse Roy, chancelère Lse Fournel, admnstratrce REVUE LES DIPLÔMÉS Édteur : Mchel Sant-Laurent Publcté : Responsable : Mara Medrano Collaboraton : Mrelle Leroux, «Entre gullemets» et «Nomnatons et dstnctons» Impresson : Transcontnental Interweb nc. PUBLIÉE PAR LE BUREAU DES COMMUNICATIONS ET DES RELATIONS PUBLIQUES Drectrce des publcatons : Paule des Rvères Coordonnateur : Danel Barl Journalstes : Danel Barl Matheu Dauphnas Smon Dotte Martne Letarte Domnque Nancy Matheu-Robert Sauvé Photographes : Claude Lacasse Bernard Lambert Conceptrce-graphste : Mchelle Huot Concepteur-graphste : Domnque Tesser Infographste : Jean-Franços Szakacs Révson lngustque : Sophe Cazanave Poste-publcatons Conventon n o SIÈGE SOCIAL 3744, rue Jean-Brllant, bureau 480 C.P. 6128, succursale Centre-vlle Montréal (Québec) H3C 3J7 Téléphone : Sans fras : Télécopeur : Courrel : dplomes@umontreal.ca Les auteurs des artcles publés dans Les dplômés conservent l entère responsa blté de leurs opnons. Toute reproducton est autorsée à condton de mentonner la source et les auteurs. ISSN Dépôt légal D Bblothèque et Archves natonales du Québec Bblothèque et Archves Canada Publée deux fos l an Trage : Ce magazne est conforme à la nouvelle orthographe Nous devons en effet beaucoup aux génératons précédentes, mas La présdente nous avons auss d mportantes Danelle responsabltés à l égard des 50 Dansereau génératons futures. De ce pont de vue, la campagne de fnancement Lngustque et traducton Campus Montréal nous nterpelle 1978 et 1980, FEP 1983 tous. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _4 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _5 _5

4 actualtés UdeM actualtés UdeM John Parsella, drecteur exécutf de Campus Montréal Campus Montréal: c est part! La plus ambteuse campagne jamas lancée dans la Francophone La grande campagne de fnancement de l Unversté de Montréal, HEC Montréal et Polytechnque Montréal, la plus ambteuse campagne jamas menée par un établssement unverstare de la Francophone, est entrée dans sa phase publque. Dès le dévolement de la campagne, à la fn de l automne 2012, près de 200 M$ étaent déjà amassés. Cet hver, la Banque Natonale a annoncé un don de 10 M$, le plus substantel jamas fat par cette entreprse. Pour son présdent, Lous Vachon, le geste représente «une sute logque de l engagement de la Banque à l égard de la jeunesse, de l éducaton et de l entrepreneurat». Ce montant sera consacré à la créaton d un centre d entrepreneurat. À quo servront les dons? Les tros établssements ont cblé des projets et des secteurs à prvléger pour les années à venr. Le plus mportant de ces projets vse le souten aux étudants. Le montant des bourses, tout partculèrement aux cycles supéreurs, où les dffcultés fnancères sont le prncpal facteur d abandon, sera accru et un fonds de bourses de 140 M$ sera consttué. L ensemble des sommes recuelles servra à donner un nouvel élan aux tros. Par alleurs, les tros établssements créeront des nsttuts, notamment un nsttut des matéraux de ponte et des nanotechnologes, où seront regroupés des chmstes, des physcens, des ngéneurs et des gestonnares, ans qu un nsttut de la recherche opératonnelle. Des ressources nouvelles pourront être njectées dans certans secteurs clés où travallent déjà des chercheurs réputés. Renforcer la culture phlanthropque «La culture phlanthropque n est pas encore soldement ancrée au Québec, rappelle le recteur de l UdeM, Guy Breton, et, dans un monde où les appels aux dons sont nombreux et où les bonnes causes ne manquent pas, nous voulons que les Québécos réalsent que la cause de l éducaton supéreure content en quelque sorte toutes les autres. En effet, la recherche et une solde formaton ouvrent la porte à des mondes nsoupçonnés autant pour l ndvdu que pour la socété.» Le drecteur exécutf de Campus Montréal, John Parsella, soulgne quant à lu à quel pont l unon des forces de l UdeM, de HEC Montréal et de Polytechnque Montréal, sous le chapeau de Campus Montréal, lu parat prmordale et cohérente. «Ce regroupement smplfe la ve des donateurs. Après tout, nous partageons tous le même campus, non?» L Unversté de Montréal entend fare en sorte que son nstallaton dans l arrondssement d Outremont contrbue à l améloraton des quarters avosnants. La collaboraton avec la Vlle de Montréal à cette fn s nscrt dans un mouvement nord-amércan d nserton des campus dans les communautés. La transformaton de l ancenne gare de trage a débuté par la réhabltaton envronnementale et se poursuvra cette année par la constructon d nfrastructures muncpales. La Vlle de Montréal a pour sa part élaboré un plan de développement urban, économque et socal des secteurs vosns du futur campus. Ce plan, ssu d une démarche de planfcaton partcpatve avec les ctoyens, propose des mesures concrètes pour le verdssement du ste, l apasement de la crculaton et le Une nouvelle faculté vot le jour Pour la premère fos en 40 ans, une nouvelle faculté a été créée à l Unversté de Montréal. L École de santé publque devent en effet une école facultare. Par ce geste, l UdeM démontre toute l mportance qu elle accorde à la santé publque. Cette faculté regroupera des professeurs de tros départements de santé de la Faculté de médecne auxquels s ajouteront éventuellement des professeurs d autres facultés pour y mener des actvtés d ensegnement et de recherche dans une perspectve nterdscplnare. La msson de la faculté demeure la préventon des malades ayant une nfluence sur les populatons et la survellance de la santé de ces populatons. L école mantent également ses projets de coopératon nternatonale, notamment en Haït et avec l Unté de santé nternatonale. L UdeM à Outremont un effet dynamsant manten de la dversté économque et socale des quarters. Déjà, un terran vacant dans le secteur de Parc-Extenson a été acqus par la Vlle, qu entend le transformer en parc. Les premers pavllons unverstares abrtant les départements de chme, de physque, de géographe et de scences bologques ouvrront en 2017 et formeront le cœur d un campus qu nteragra avec son mleu. L UdeM parm les melleures du classement du Tmes Hgher Educaton L Unversté de Montréal poursut sa progresson dans le palmarès du Tmes Hgher Educaton en passant au 84 e rang des melleures unverstés du monde. L an derner, elle état à la 104 e place et en 2010 à la 134 e, un bond de 50 places en deux ans. «Cette reconnassance du très haut calbre de notre unversté est un facteur de rayonnement nternatonal et d attractvté pour Montréal et le Québec», s est réjou le recteur, Guy Breton, à l occason de la publcaton du document en octobre derner. Le classement du Tmes Hgher Educaton s appue sur une sére d ndcateurs tels les revenus, les publcatons, le nombre de ctatons, l envronnement d apprentssage, le rapport étudantsprofesseur et le nombre de dplômés. Les perspectves nternatonales, sot le nombre de professeurs et d étudants étrangers de même que le nombre de collaboratons nternatonales, sont auss prses en compte, et davantage que par le passé, ce qu explque en parte le bond de l UdeM. L Unversté est par alleurs au cnquème rang mondal pour ce qu est des unverstés francophones, mas elle est au premer rang des établssements généralstes de langue françase. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _6 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _7

5 dosser «Mes ams vont mourr s je qutte le jeu mantenant», cre l enfant de neuf ans en gnorant les pressants appels au souper de sa mère. Vous avez dt cyberdépendance? La passon des jeunes pour les jeux en lgne peut devenr obsessve, mas l serat trop tôt pour parler d une cyberdépendance «Il en va du jeu en lgne comme de l alcool et de la nourrture ; l faut que chaque famlle se donne des règles», soulgne Louse Nadeau. «À table! Olver, vens manger. Une mnute, maman, je dos tuer les zombes», répond mon fls de neuf ans qu joue à Mnecraft, un jeu en lgne très populare auprès des jeunes de son âge. Dx mnutes plus tard, l n a toujours pas rejont les autres membres de la famlle pour le souper. Olver semble ncapable de délasser son unvers vrtuel. «Mes ams vont mourr s je les lasse mantenant!» cre-t-l. Est-l cyberdépendant? «La passon des jeunes pour les jeux en lgne peut devenr obsessve, pathologque dans certans cas, mas on ne peut pas vrament encore parler de cyberdépendance, lance Louse Nadeau (baccalauréat et matrse en psychologe 1970 et 1973). La cyberdépendance n a pas d exstence nosologque; elle n est pas ncluse dans le DSM-IV, le Manuel dagnostque et statstque des troubles mentaux, et ne le sera pas dans la prochane édton à paratre. La recherche est présentement nsuffsante pour qu on pusse établr des sgnes clnques dstnctfs.» Mas cela ne veut pas dre que les psychologues ne reçovent pas de patents aux prses avec des problèmes de cyberdépendance, notamment des jeunes hommes pour qu la seule réalté qu compte est vrtuelle. Toutefos, la professeure ttulare du Département de psychologe de l Unversté de Montréal crot que le problème est nettement exagéré. «Les cas de cyberdépendance sont rares et très fortement médatsés», déplore-t-elle. Le phénomène est suffsamment rare pour que la chercheuse et ses collègues aent ms tros ans à recruter des partcpants aux prses avec des troubles assocés à leur utlsaton d Internet. «Sur le plan de la recherche, l y a beaucoup de documentaton sur le thème, sgnale-t-elle, mas les travaux comportent des lmtes mportantes. Il est actuellement dffcle de dégager ce qu se rapporte à l usage d Internet et ce qu tent d autres problèmes que présentent les personnes qu vennent chercher de l ade.» En 2009, l équpe de M me Nadeau a réuss à jondre une soxantane de cyberdépendants qu avaent frappé à la porte des centres de réadaptaton en dépendance du Québec. Ces personnes fasaent une utlsaton excessve de jeux vdéos d acton et d aventure, de stes pornographques ou de stes de relatons vrtuelles. L étude a évalué leurs utlsatons d Internet et des nouvelles technologes ans que les dffcultés qu en découlent dans toutes les sphères de leur ve. Tros rencontres avec des ntervenants ont également perms de dscuter des cas de cyberdépendance qu avaent été tratés par les clncens. Les prncpaux résultats de ces travaux sont dévolés dans un ouvrage nttulé La cyberdépendance: état des connassances, manfestatons et pstes d nterventon. Ce qu en ressort, c est que la cyberdépendance se dvse en deux volets dstncts qu touchent dfférents types de clentèle. Le premer est l unvers des jeux, ceux auxquels on joue seul ou en mode multjoueur, et le second est celu des relatons vrtuelles. «Dans les deux cas, Internet devent un leu où l on peut avor une autre ve, devenr qu l on veut et nteragr avec des gens qu on n oserat peut-être pas aborder dans la vrae ve», commente Louse Nadeau, qu a drgé cette étude. Les téléphones cellulares, les ordnateurs portables et les termnaux mobles (plus connus sous le nom de téléphones ntellgents) peuvent eux auss créer une accoutumance. Certans abonnés sont branchés en permanence. Même la nut, l leur arrve de se réveller pour lre une note, envoyer un message texte ou capter un message audo. Mas seule la cyberdépendance partage au mons une les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _8 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _9

6 Les membres du cabnet de campagne caractérstque avec d autres dépendances, notamment aux drogues et à l alcool: la perte de lberté. Selon les experts, l exsterat quatre champs lés à la dépendance au Web: les jeux vdéos d acton et d aventure, les jeux de hasard et d argent, la pornographe et les relatons vrtuelles. Les travaux de M me Nadeau lassent volontarement de côté le volet pornographque. «On ne touche pas à cette problématque, pusqu l s agt de problèmes manfestement assocés à la sexualté et non aux dépendances», précset-elle. Les jeux de hasard et d argent en lgne sont auss exclus, car cela relève du jeu pathologque. En chosssant d explorer la cyberdépendance des gens sous l aspect du jeu vdéo et des réseaux socaux, elle a entre les mans un sujet potentellement très rche et rempl de mystère. Dépendance au monde vrtuel, problème réel Depus 15 ans, le psychologue Jean-Perre Rochon reçot dans son cabnet des vctmes de dverses dépendances: drogues, alcool, pornographe De plus en plus, des cyberdépendants le consultent. «La technologe a créé une nouvelle source de dépendance, dt-l. Le cyberdépendant est rvé à son sège, parfos jusqu à 20 heures par jour, et a perdu presque tout contact avec la réalté.» Qu sont-ls? Des jeunes hommes prncpalement, âgés de 16 à 35 ans, qu ont commencé à navguer pour le plasr, mas qu sont devenus adeptes de jeux en lgne. Les massve multplayer onlne role playng games (meux connus sous le sgle MMORPG), tels Dark Age of Camelot, Guld Wars ou EverQuest, attrent des joueurs des quatre cons du monde et engendreraent une partcpaton compulsve. La concepton même de ces jeux fat en sorte qu on demande toujours plus de temps au joueur afn que son personnage vrtuel devenne pussant. À 19 ans, J.M., un clent de Jean-Perre Rochon (matrse en psychologe 1986), obtenat des notes convenables au cégep jusqu à ce qu l se lasse happer par le jeu Guld Wars. Tands qu l progressat parm les skalds et les Knörrs, l a délassé ses études et a fnalement raté son année. «Les cyberdépendants sont un peu comme des toxcomanes. Ils ne consomment pas de substances qu les droguent, mas ls ont la même atttude de fute devant la réalté de leur exstence», mentonne l auteur du lvre Les accros d Internet. «La dépendance à Internet concerne le monde vrtuel, mas le problème, lu, est réel. On trate actuellement 75 personnes qu souffrent de ce type de dépendance, affrme Jacques Coullard, drecteur du Centre Dollard- Cormer, le plus grand centre de recherche unverstare sur les dépendances du Québec. Depus 2008, nous y offrons des servces de meux en meux adaptés aux cyberdépendants.» Rupture avec la famlle «À ce jour, les études sur la cyberdépendance comportent des lmtes nhérentes à la nouveauté du phénomène. Par exemple, on ne connat pas ben son évoluton: est-ce transtore ou chronque?» soulgne Louse Nadeau. La lauréate du prx Mare-Andrée-Bertrand travalle depus une trentane d années dans le domane de la recherche et de l nterventon relatvement aux substances psychoactves. Elle a d alleurs occupé pendant deux ans les fonctons de drectrce de la recherche scentfque au Centre Dollard-Cormer et a acqus une solde réputaton en matère de tratement des dépendances et des troubles mentaux qu leur sont souvent assocés. À son avs, l usage excessf d Internet a des effets négatfs encore méconnus, à commencer par les troubles du sommel. Le prncpal problème ne serat toutefos pas le rsque de souffrr d une dépendance. Elle fat le parallèle avec la télévson en rappelant la crante qu a entranée cette technologe au mleu du sècle derner. «À cette époque, la télévson état allumée en permanence dans pluseurs des masons du Québec. L écoute se fasat en famlle. Cela n a pas fat de vous n de mo des accros de la télé pour autant.» Mas à l heure des cellulares et des portables, la tendance est à l éclatement: chacun regarde son émsson à son heure et à des endrots dfférents. De même, l adepte de jeux en lgne est solé devant son écran. «Pour certans, cela peut être un refuge, une rupture avec la famlle. Mas pour la majorté des usagers, c est une forme ndspensable de communcaton avec les autres qu permet au contrare de garder le contact, ndque M me Nadeau. Il en va d Internet comme de l alcool, de la nourrture et des jeux, l faut que chaque famlle se donne des règles pour évter qu un plasr devenne un problème.» n Domnque Nancy Des jeunes hommes, âgés de 16 à 35 ans, ont commencé à navguer pour le plasr, mas sont devenus adeptes de jeux en lgne. Nous avons chos Campus Montréal Nous unssons nos efforts pour mener la plus grande campagne de fnancement de l hstore de HEC Montréal, de Polytechnque Montréal et de l Unversté de Montréal. Ensemble, elles forment le 1 er complexe unverstare du Québec. Un OBJECTIF 500 $ Nous sommes résolument engagés à soutenr l ensegnement supéreur et la recherche. Car c est en cultvant les talents d c, en attrant ceux d alleurs et en générant des nnovatons et des découvertes scentfques dans tous les domanes que nous rendrons le monde melleur. Marc-André Blanchard McCarthy Tétrault Hélène Brsebos SDK et assocés Claude Chagnon Fondaton Luce et André Chagnon Lous R. Chênevert Unted Technologes Perre Dufour Ar Lqude Robert Dutton Admnstrateur de socétés Jean Gauln Admnstrateur de socétés Serge Gendron Acer AGF nc. Chrstane German Groupe German Hosptalté nc. Monque Jérôme-Forget Osler Amr Karm Les Industres Polykar nc. Jean Lamarre Lamarre Consultants Perre Langlos Heenan Blake Monque Leroux Mouvement Desjardns Paul Lévesque Pfzer Jacques Parsen Astral Meda nc. et Astral Rado Perre Pomerleau Pomerleau Réjean Robtalle Banque Laurentenne Louse Roy Unversté de Montréal Ank Shooner Menkès Shooner Dagenas Letourneux Archtectes Franços-Charles Sros Telesystem ltée Lous Vachon Banque Natonale Luc Vlleneuve Samson Bélar Delotte & Touche campus-montreal.ca Les coprésdents Geoffrey Molson Présdent et chef de la drecton Club de hockey Canaden, Centre Bell et Evenko Therry Vandal Présdent-drecteur général Hydro-Québec L honorable Louse Arbour Présdente-drectrce générale Internatonal Crss Group Hélène Desmaras Présdente du consel et chef de la drecton Centre d entreprses et d nnovaton de Montréal Mchael Saba Présdent et chef de la drecton Casse de dépôt et placement du Québec les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _10 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _11

7 Chrstne Berner, professeure au Département d hstore de l art et d études cnématographques Les musées en mutaton Pour jouer son rôle, le musée d aujourd hu dot savor sédure son publc «Lorsqu ls vennent au musée, les gens nous donnent une dsponblté ntellectuelle et émotonnelle. C est très préceux.» Nathale Bondl Les samouraïs s apprêtent à qutter Ponte-à-Callère et les Beatles à y fare leur entrée. L exposton multméda sur les créatons du couturer Jean Paul Gaulter a attré une foule record l y a deux ans au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) et elle est depus en tournée à l étranger. Elle semble ben lontane l époque où la tâche du conservateur consstat à prendre son de la collecton permanente et à y chosr des pèces à montrer aux vsteurs. Aujourd hu, le musée dot transmettre le savor à ses dfférents publcs mas également les sédure. «Les musées vvent un grand paradoxe, ndque d emblée Chrstne Berner, professeure au Département d hstore de l art et d études cnématographques de l Unversté de Montréal. Ils dovent d un côté préserver leur collecton permanente toujours plus mposante et de l autre satsfare les publcs assoffés de nouveautés. Les vsteurs exgent des musées qu ls soent de plus en plus spectaculares, qu ls offrent un roulement de grandes expostons.» Le déf est majeur, surtout pour les musées du Québec qu, contrarement à d autres, ont peu de pèces de classe mondale à prêter. Pour attrer la nouveauté, ls dovent user de stratége. Des projets d envergure nternatonale Francne Lelèvre, fondatrce et drectrce générale du Musée d archéologe et d hstore de Montréal Ponte-à-Callère, est partculèrement fère d avor réuss en 2003 à fare venr d Israël les manuscrts de la mer Morte. «Jamas Israël n avat lassé sortr les manuscrts grand format, raconte-t-elle. Le Brtsh Museum nous avat appelés et nous avat demandé: Vous êtes qu, vous? Ça avat fat parler.» Le jour où M me Lelèvre a décdé que le Musée présenterat les manuscrts, elle s est donné cnq ans pour effectuer le traval préparatore avant de fare la grande demande. «Nous ne sommes pas dans le club des grands musées qu échangent des pèces; l faut donc fare valor d autres atouts et savor négocer pour réussr à se taller une place parm les grands», affrme M me Lelèvre, qu a obtenu sa lcence ès lettres, concentraton Hstore, à l Unversté de Montréal en Un musée se dot d avor des projets qu débordent du cadre natonal. «Produre de grandes expostons nous permet d aller chercher des membres, de fare vvre le musée, dt Nathale Bondl, drectrce et conservatrce en chef du MBAM. Le marché est pett c; l serat mpossble pour nous de monter de parelles expostons sans partenares à l étranger qu la présenteront par la sute. Pour les ntéresser, l faut avor de bonnes dées et un savor-fare. C est ce que nous exportons et le publc local en bénéfce.» Les expostons de portée nternatonale fdélsent ans les vsteurs régonaux. «De plus, même s les tourstes nous vstent pour en apprendre plus sur Montréal, pour vor son leu de fondaton, les grandes expostons sont souvent l élément déclencheur qu les amènera chez nous», déclare Francne Lelèvre. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _12 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _13

8 «Jamas Israël n avat lassé sortr les manuscrts grand format. Le Brtsh Museum nous avat appelés et nous avat demandé: Vous êtes qu, vous? Ça avat fat parler.» Francne Lelèvre, fondatrce et drectrce générale du Musée d archéologe et d hstore de Montréal Ponte-à-Callère Photo: Le Pgeon. Les rôles du musée Pour survvre dans l ndustre culturelle touffue de Montréal, les musées dovent ans concevor une offre qu réponde aux attentes de leurs dfférents publcs. «Il y a les connasseurs, les collectonneurs, les amateurs, les gens qu ne connassent pas du tout l art, les tourstes Une parte des célèbres manuscrts de la mer Morte qu, en été, représentent 50% de la clentèle des musées», soulgne Chrstne Berner. Laboreux, dans un tel contexte, de défnr les rôles du musée actuel. «Une rupture décsve a eu leu à la fn des années 60, alors qu on a désacralsé le musée, qu état jusqu alors très classque, encyclopédque et éltste», explque Carolne Bergeron, qu a ensegné la nouvelle muséologe dans le programme de matrse en muséologe offert conjontement par l UdeM et l UQAM. Les musées accuellent mantenant des groupes scolares et organsent des atelers. «On a fat entrer les gens dans le musée, on les fat mantenant partcper, vvre une expérence autour des œuvres», ajoute M me Bergeron. Un élément mportant en cette ère où tout peut être vu et apprs sur Internet. «Nous souhatons amener nos vsteurs à amer l hstore de Montréal, à vor la vlle dfféremment et construre des ponts entre la socété d accuel et les néo-montréalas, fat observer Francne Lelèvre. Il dot rester quelque chose au vsteur lorsqu l sort du musée.» Ce pett plus se stue souvent au-delà des œuvres présentées. «Chaque projet dot porter un message fort qu peut se déclner au quotden. Par exemple, l œuvre de Jean Paul Gaulter porte un message profondément humanste, multculturel, de tolérance», mentonne Nathale Bondl, hstorenne de l art dplômée de l École du Louvre et de l Insttut natonal du patrmone de Pars qu a reçu en 2011 l nsgne du Mérte de la Faculté des arts et des scences de l Unversté. «De nos jours, le musée ne détent plus la vérté mas une vérté», déclare Carolne Bergeron. «Le vsteur peut amer ou pas notre proposton, ça lu appartent, mas l dot apprendre quelque chose, soutent Nathale Bondl, qu écrt elle-même pluseurs textes des expostons produtes par le MBAM. Le vsteur dot sentr que le musée a fat appel à toutes les ressources possbles pour qu l pusse entrer en contact avec l art, avec les œuvres. Lorsqu ls vennent au musée, les gens nous donnent une dsponblté ntellectuelle et émotonnelle. C est très préceux. Nous devons y fare très attenton et la trater avec le plus grand respect. Nous ne sommes pas dans le dvertssement.» n Martne Letarte L exposton sur les créatons du couturer Jean Paul Gaulter en 2011 a attré une foule record au MBAM. Le MBAM a nauguré en 2012 ses nouveaux studos Art et éducaton Mchel de la Chenelère, destnés aux écoles, aux famlles et aux organsmes communautares. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _14 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _15

9 ENTREVUE Louse Arbour combattante pour les drots de la personne elle a opté pour le drot sans trop y réfléchr, mas, dès qu elle a ms les peds en classe, elle a su qu elle ÉTAIT à sa place. Elle s est découvert une PASSIon pour le drot pénal. Louse Arbour a chos le drot «par défaut», sans connatre le traval des juges n des avocats. «On dsat à l époque que le drot mène à tout pourvu qu on en sorte!» racontet-elle. La jurste de réputaton nternatonale état lon de se douter que son dplôme en drot de l Unversté de Montréal (1970) la mènerat jusqu aux charners du Rwanda et de la Bosne comme procureure générale des trbunaux pénaux nternatonaux, à la Cour suprême du Canada, au Haut-Commssarat aux drots de l homme des Natons unes et aujourd hu à l organsaton non gouvernementale Internatonal Crss Group (ICG), actve dans la préventon et la résoluton de conflts armés. Cette femme occupée a par alleurs accepté d être l un des cnq coprésdents de la grande campagne de fnancement Campus Montréal, ce qu réjout le drecteur exécutf de l opératon, John Parsella: «Louse Arbour s engage dans la cause de l éducaton et elle est un modèle pour les jeunes.» Le dscours de Louse Arbour est emprent d un profond amour du drot et son esprt crtque demeure vf. Longtemps convancue que le drot nternatonal se portat ben pusqu l avat fat de grands progrès, elle a changé d avs récemment à la rencontre du Forum économque mondal à Davos. «J a vu tous les progrès réalsés dans d autres les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _16 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _17

10 «Les conflts sont nombreux, mas le pre, c est l nerte.» domanes comme les communcatons et les technologes mltares. Par comparason, je trouve que le drot n a pas avancé tant que ça; on radote un peu», a-t-elle affrmé en entreten téléphonque de son bureau à Bruxelles. Elle donne l exemple de deux conflts sur lesquels l ICG travalle: celu des revendcatons terrtorales entre la Chne et le Japon dans la mer de Chne, où se trouvent des ressources naturelles, et celu dans le golf de Gunée, où la pratere et le trafc de drogues sont monnae courante. «Dans le premer, les deux partes ne semblent pas avor d ntérêt à régler le conflt par la voe jurdque, alors que dans le second, c est le chaos. Pour ces deux dossers, le drot n a ren à offrr», déplore-t-elle. Mas elle ne désespère pas pour autant et contnue son combat pour les drots de l homme avec l ICG présent sur le terran pour analyser les conflts, travaller sur des solutons et nfluencer les décdeurs. «Les conflts sont nombreux, mas c est toujours mons décourageant lorsqu on essae de fare quelque chose. Le pre, c est l nerte», crot-elle. En poste à l ICG depus 2009, Louse Arbour reconnat que le contexte de traval état tout à fat nouveau pour elle. «Avec les Natons unes, lorsque j allas à Kaboul, je voyageas dans un véhcule blndé accompagnée de gardes de sécurté armés. Mantenant, je me promène en pette voture et je vas dans des gtes tourstques. Avec l ICG, on vot un autre vsage des pays.» M me Arbour, à l été 2005, alors qu elle état à la tête du Haut-Commssarat aux drots de l homme des Natons unes. Elle vstat le vllage de Fengolo, en Côte d Ivore, qu avat été le théâtre de volences ethnques peu de temps auparavant. l ex-yougoslave et le Rwanda. «Je ne connassas pas le drot de la guerre, mas ls cherchaent un juge blngue, donc ça m a adée», explque-t-elle. Devenue par la sute juge à la Cour suprême du Canada, Louse Arbour croyat rentrer au pays pour de bon. Elle a prs part à des décsons controversées, notamment celle d accorder le drot de vote aux détenus. Pus, Kof Annan lu a offert le poste de haute-commssare aux drots de l homme. «Je ne pouvas pas avor de congé à la Cour suprême, donc j a refusé. Quelque temps plus tard, j a mentonné cette hstore à quelqu un et le débat a été relancé. J a fnalement rappelé Kof Annan pour accepter le poste et j a fat mes valses. Je sus accro au changement.» Mas elle est encore plus accro à l nconnu. «J adore arrver dans un envronnement où je ne comprends ren! Je ne sus pas très perfectonnste. Une fos que j a ben sas le contexte, je m ntéresse à autre chose que je ne connas pas.» Ben maln donc celu qu devnera de quo sera fat l avenr de Louse Arbour. n Martne Letarte L attrat de l nconnu Louse Arbour a opté pour le drot sans trop y réfléchr, mas, dès qu elle a ms les peds en classe, elle a su qu elle état à sa place. Elle s est découvert une passon pour le drot pénal et c est ce qu elle a ensegné pendant une dzane d années à la Osgoode Hall Law School de l Unversté York, à Toronto. Le doyen de l époque, Harry Arthurs, l a recrutée en 1972, alors qu elle état clerc pour le juge Lous-Phlppe Pgeon, de la Cour suprême du Canada. «Les portes commençaent à s ouvrr pour les femmes et Harry Arthurs état un homme très avant-gardste. J avas 25 ans, je ne parlas presque pas anglas et l m a offert d ensegner le drot pénal dans cet établssement prestgeux. Ça a été le plus grand saut culturel de ma carrère», ndque Louse Arbour, âgée de 66 ans. Quand elle a été nommée à la Cour suprême de l Ontaro, encore très peu de juges venaent du mleu de l ensegnement. «Ce fut une chance nouïe. La Charte canadenne des drots et lbertés état entrée en vgueur et elle a amené une ouverture du champ d acton sans précédent pour les juges.» Après s être fat remarquer dans des conférences sur les drots de l homme à l étranger, Louse Arbour a reçu un appel nespéré des Natons unes pour devenr procureure des trbunaux pénaux nternatonaux pour coprésdente de Campus Montréal Louse Arbour a accepté la coprésdence de la campagne générale du Bureau du développement et des relatons de fnancement commune de l Unversté de Montréal, avec les dplômés de l UdeM, Chantal Thomas, un taux de Polytechnque Montréal et HEC Montréal. Baptsée Campus partcpaton élevé chez les donateurs de la communauté Montréal, la campagne a comme objectf d amasser un unverstare envoe un sgnal postf aux grands mécènes: dem-mllard de dollars pour appuyer les tros établssements dans leur msson d ensegnement et de recherche. Campus Montréal, une adhéson à la cause qu aura un «Nous souhatons suscter un vértable engagement envers «Lorsque j a qutté Montréal en 1971, je dsas toujours effet d entranement, dt-elle. Pour y arrver, l faut auss que je venas de Montréal, mas que j habtas temporarement à Ottawa, pus à Toronto, pus un peu partout, les legs et autres formes de dons planfés qu sont plus fare connatre les dfférentes formules qu exstent, comme explque Louse Arbour. Je ne sus pas bonne pour accessbles qu on le crorat à premère vue. Le rôle de planfer mon avenr, mas dans mon esprt l est clar que M me Arbour dans la campagne sera justement d ouvrr j allas rentrer un jour. Quelle belle façon de réntégrer de nouveaux horzons.» la vlle que de revenr là où tout a commencé: l UdeM. Elle partage son rôle avec Hélène Desmaras, présdente Je peux ans dre tout ce que j y a reçu; c est le fondement du consel et chef de la drecton du Centre d entreprses de mon envronnement professonnel.» et d nnovaton de Montréal, Geoff Molson, présdent et Depus qu elle drge l Internatonal Crss Group, chef de la drecton du Canaden, du Centre Bell et d Evenko, Louse Arbour peut drectement mesurer l mportance Mchael Saba, présdent et chef de la drecton de la Casse de la phlanthrope. de dépôt et placement du Québec, et Therry Vandal, «Donner est un geste de soldarté, sgnale-t-elle. Il faut présdent-drecteur général d Hydro-Québec. «Louse moblser les gens qu ont des moyens fnancers, qu veulent Arbour apporte un rayonnement mas surtout une expérence unque au sen de ce groupe formdable, soulgne donner, mas qu ne savent pas où. Nous devons auss aller chercher des dons plus modestes.» le drecteur exécutf de la campagne, M. Parsella. Nous M me Arbour encouragera la partcpaton du plus grand sommes extrêmement heureux de sa partcpaton.» n nombre de donateurs à la campagne. Pour la drectrce M.L. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _18 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _19

11 PROFILprofesseur Benoît Melançon entre dderot et maurce rchard Au baseball, la balle frappée au sol, le «roulant», aurat pu s appeler le «lapn» s une recommandaton de l abbé Étenne Blanchard en 1920 avat été retenue par l usage. Il en est de même du terme «gobeur» préféré à celu, aujourd hu courant, de «receveur». Le sport lu-même aurat pu se nommer «balle au camp». Volà des trouvalles de l nfatgable auteur du blogue «L orelle tendue», Benoît Melançon, professeur au Département des lttératures de langue françase, qu a déterré les travaux de l homme d Églse (2000 mots blngues par l mage, un dctonnare vsuel en gravures monochromes datant de près d un sècle) dans une lbrare de lvres ancens. Le blogueur fat partager à ses lecteurs un de ses dadas: le vocabulare sportf. Il cause également boxe et hockey, évdemment; l auteur des Yeux de Maurce Rchard (Fdes, 2012) en est frand. Il est de plus queston de lectures recommandées. Multtâche avant l heure, Benoît Melançon est entré avec joe dans l ère numérque même s, à la base, l avat été engagé par l Unversté de Montréal en sa qualté de dx-hutémste. Il aurat donc pu ne jamas qutter Rousseau et Voltare de toute sa carrère unverstare. Son doyen n aurat ren dt, mas l auteur de Dderot épstoler (Fdes, 1996) se serat prvé de son plus grand plasr. «Ce qu m ntéresse, ce sont les mots», dt-l lorsqu on le pousse à résumer en une formule le pont commun entre ses champs d nterventon. Les dplômés lu ont posé quelques questons. Pouvez-vous placer par ordre d mportance ces actvtés de votre quotden: édteur, blogueur, professeur, chercheur, auteur, drecteur? Impossble. Ces fonctons ne s opposent pas; elles se complètent et se nourrssent mutuellement, s équlbrent. Je ls quelque chose, je le partage sur Twtter; je développe mon propos dans «L orelle tendue». Cela provoque des réactons et commentares. Plus tard, le sujet peut devenr un chaptre de lvre ou un sujet de cours ou de sémnare. Ce qu m ntéresse, ce sont les mots. Ceux qu s écrvent, se parlent, se tradusent. Et les mots sont dans une pérode faste; l n y en a jamas tant eu autour de nous. Justement, comment vont les mots à une époque où les messages écrts sont de plus en plus laconques et fourmllent de fautes? Je ne fas parte n des «catastrophstes» n des «jovalstes». La qualté de la langue est plutôt bonne, à mon avs, dans la mesure où l on respecte les nveaux de langage et les Le franças n est PAS une MATIère parm d autres; c est PAR elle que se construt notre rapport au monde. stuatons de communcaton. Ou, l y a des fautes dans les textos et les courrels. Mas on n écrt pas nos travaux de recherche dans cette langue-là. Les travaux que je reços dans mes cours sont d excellente qualté, souvent ben melleure que celle d l y a 10 ou 20 ans. Il arrve ben sûr que le nveau de langage dans les publctés me dérange. Dans une réclame de Bell, on fat dre à un personnage: «Qu qu vent» Cette volonté de mmer ce qu on magne être la langue populare me semble ben paresseuse. S l me fallat formuler un souhat, c est que l Unversté reste exgeante envers les étudants, notamment envers les futurs matres. Le franças n est pas une matère parm d autres; c est par elle que se construt notre rapport au monde. Cela dt, l y a au mons tros sècles qu on nous annonce un dépérssement généralsé de la qualté de la langue françase. S ces crantes avaent été fondées, nous ne saurons plus comprendre un seul texte du passé. En un an, vous avez gagné les prx André-Laurendeau et Georges-Émle-Lapalme; c est sans compter les nombreux prx lttérares pour Les yeux de Maurce Rchard. Qu est-ce qu vous attend mantenant? Ces deux prx sont mportants, car ls récompensent ma contrbuton scentfque [André-Laurendeau] et ma contrbuton culturelle [Georges-Émle-Lapalme]. Or, ce sont les deux pôles de ma ve professonnelle. Je n a pas l ntenton de m arrêter pour autant! Ces dstnctons me forcent à me renouveler et à explorer des terrans nconnus. J a auss de veux projets, dont la bblographe du 18 e sècle, que je sus à établr depus 20 ans. J a beaucoup de plasr à chosr des auteurs et à travaller des manuscrts dans le cadre de mes fonctons de drecteur scentfque des Presses de l Unversté de Montréal. J a auss des engagements à ttre de conférencer. Et mon traval de drecteur de département et de professeur fat que je ne m ennue jamas. n Matheu-Robert Sauvé les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _20 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _21

12 PROFIL dplômé Sébasten Kfoury la passon des bêtes Dplômé de la Faculté de médecne vétérnare de l Unversté de Montréal (2000, 2001) et connu du grand publc comme l anmateur de l émsson estvale Anmo, le D r Kfoury a pu observer le progrès accompl par la médecne des anmaux de compagne depus une vngtane d années au Québec et se réjout du sens des responsabltés dont font davantage preuve aujourd hu les proprétares d anmaux. «Les gens sont beaucoup plus respectueux de leur anmal», estme-t-l. Vor les choses autrement L émsson Anmo, qu l anme depus tros ans à Rado- Canada, est le frut de sa propre vson du rapport avec l anmal. «J a toujours eu la passon des anmaux. Dans cette émsson, je voulas aller au-delà de l approche habtuelle centrée sur le marketng et suscter cette même passon pour la relaton avec l anmal. J a chos de montrer l arrère-scène de la médecne vétérnare, la réalté des sons et la face cachée des couts de cette médecne. Pluseurs jugent négatvement la relaton symbotque que certans entretennent avec l anmal; je voulas auss dssper ce préjugé.» En janver derner, une verson pour enfants fondée sur la même approche, Brgade Anmo, a vu le jour. Le succès que ces deux émssons ont remporté leur a perms de fare des petts à l étranger; l an prochan, TV5 dffusera une sére de quatre documentares, Bêtes cureuses, qu abordera les dfférentes formes de relaton entre l human et les anmaux dans dverses cultures. Lorsque nous l avons rencontré à l Hôptal vétérnare de la Rve-Sud, le D r Kfoury arrvat tout juste d un séjour en Inde pour le tournage du premer documentare. «Pour les Occdentaux, l être human a un drot sur l anmal, mas les Indens ont une autre vson des choses: pour eux, l anmal a drot au benêtre et à l amour. Nous voulons confronter ces deux vsons», soulgne le vétérnare. Après l Inde, ce sera le tour du Japon, d Israël et de la Chne. Une étrange symbose Cette étrange symbose entre l human et l anmal est unque; aucune autre espèce que l être human ne s entoure d ndvdus d autres espèces pour son smple plasr avec les responsabltés que cela entrane. Sébasten Kfoury y vot l expresson de l mmense potentel affectf de l être human. «L homme a d abord été un prédateur, pus a domestqué les anmaux et développé un len d affectvté qu l a condut à une relaton personnelle avec l anmal», avance le vétérnare. Au fl des mllénares, une coévoluton des anmaux de compagne et de l human s en est suve. «Nos anmaux de compagne sont très doués pour comprendre nos comportements ou sentr nos états d âme, que ce sot à partr de notre langage corporel, de nos mmques ou peut-être même de nos phéromones.» S l anmal est un vecteur d empathe et peut compenser un manque de relatons socales, le vétérnare est donc convancu des benfats de la zoothérape. «Sans être mraculeuse, la zoothérape est un catalyseur d émotons. L anmal amélore l état de l autste, par exemple, et lu procure un melleur sommel. L anmal apporte des éléments que les autres humans ne peuvent fournr.» Peut-on avor cette passon pour nos ams les bêtes et être carnvore? N en déplase à certans, Sébasten Kfoury ne lève pas le nez sur un bon steak. Mas l tent à mettre à son menu quelques repas végétarens chaque semane. «C est par convcton que la terre ne pourrat nourrr l humanté tout entère s nous étons tous carnvores et parce que nous n avons pas beson de manger autant de vande», déclare-t-l. À pene 12 ans après l obtenton de son dplôme, le médecn admnstre aujourd hu, avec cnq collègues, deux centres d urgence ouverts jour et nut à Brossard et à Laval et regroupant de nombreux spécalstes, dont des chrurgens, des oncologues et des cardologues, ans que deux clnques de médecne générale à Laval et à Sant-Eustache. Au total, ces centres regroupent quelque 300 vétérnares et techncens en santé anmale. n Danel Barl Les anmaux rendent les êtres humans melleurs, affrme le vétérnare. «Je sus responsable pour ma rose», dsat le Pett Prnce. Sébasten Kfoury, lu, est responsable pour son anmal. «Quand on a un anmal de compagne, l faut savor être responsable de sa santé et de son benêtre», déclare-t-l. À ses yeux, le contact avec les anmaux «rend les êtres humans melleurs et plus empathques à l égard de leurs semblables. L anmal nspre le respect et accentue notre sens de l entrade.» les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _22 Photo de Jean Berner trée de l émsson Anmo. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _23

13 FLASH RECHERCHE FLASH RECHERCHE Découverte d une planète sans ÉTOILE Les enfants de FAIBLE POIDS RÉUSSISSENT mons ben à l ÉCOLE Les enfants qu, entre quatre et sept ans, ont un fable ndce de masse corporelle (IMC) éprouvent plus de dffcultés scolares à hut ans. Ils accusent également, à un test cogntf, un retard de cnq ponts sur ceux qu ont un IMC équlbré. C est ce que révèle une recherche postdoctorale de Sherr Bsset réalsée au Département de psychoéducaton. La chercheuse n a observé aucune corrélaton négatve entre le surpods et la réusste scolare. Mons de matère grse chez les PSYCHOPATHES Des crmnels volents à tendance psychopathque présentent pluseurs anomales dans leur développement cérébral, dont un volume neuronal plus fable dans des zones assocées aux émotons et au rasonnement moral. C est ce que montrent pluseurs travaux en magere cérébrale fats auprès d enfants et d adultes et auxquels a partcpé Shelagh Hodgns, professeure au Département de psychatre de l UdeM. La chercheuse soulgne l mportance de dstnguer les comportements antsocaux avec et sans psychopathe afn d élaborer des modes d nterventon adaptés à chaque cas. Sortr du placard est bon pour la SANTÉ Selon une recherche du Centre d études sur le stress human (CESH) de l Insttut unverstare en santé mentale de Montréal, les homosexuels des deux sexes qu affchent ouvertement leur orentaton ont un nveau de cortsol mons élevé que ceux et celles qu ne sont pas «sorts du placard». Leurs taux de stress, d anxété, de dépresson et d épusement professonnel en sont d autant dmnués. L expresson de son orentaton homosexuelle devrat donc être consdérée sous l angle de la santé publque, soulgne la professeure Sona Lupen, drectrce du CESH. Alors que les étoles dotées de planètes susctent un vf ntérêt chez les astronomes, une équpe nternatonale annonce la découverte d une planète... sans étole! L exstence de tels astres ayant échappé à la gravté d une étole état prédte par les théores sur la formaton des étoles, mas l s agt du premer cas où l on a pu établr qu l s agt ben d une planète et non d une étole nane brune. La découverte a été fate par une équpe canado-européenne dont font parte quatre chercheurs du Département de physque de l UdeM, sot les doctorants Jonathan Gagné et Lson Malo et les chercheurs Étenne Artgau et Loïc Albert. Les réseaux SOCIAUx au temps d Homo sapens Le succès d Homo sapens dans sa dsperson rapde l y a de à ans n est pas dû à une ntellgence supéreure à celle de l homme de Néandertal n à de melleures technques de chasse, mas à la créaton d objets symbolques qu lu ont perms d étendre ses relatons socales sur de très vastes terrtores. Ces relatons étendues ont à leur tour exercé un effet de sélecton propce au sens de l orentaton par «boussole cérébrale». Ce scénaro, fondé sur les dernères découvertes et avancé par Arane Burke, du Département d anthropologe, fgure au palmarès des 10 découvertes de 2012 du magazne Québec Scence. Les sons maternels modfent le génome Des études n vtro et en magere par résonance magnétque effectuées tant chez le macaque que chez l être human montrent que les sons maternels ont un effet détermnant sur l expresson de nombreux gènes lés aux comportements. La prvaton de sons ou des agressons dans le jeune âge modfent la méthylaton de l ADN et entranent une dmnuton de producton de sérotonne, ce qu engendre des comportements volents. L équpe nternatonale à la source de cette observaton ncluat pluseurs membres du Groupe de recherche sur l nadaptaton psychosocale chez l enfant, dont la doctorante Nadne Provençal, codrgée par Rchard E. Tremblay. Gardere: gare AU SURPOIDS! Les enfants qu fréquentent la gardere ou qu sont gardés par un membre de la famlle élarge présentent près de 50% plus de rsques de souffrr d embonpont ou d obésté entre 4 et 10 ans que ceux gardés à la mason par leurs parents. Cette dfférence ne s explque pas par des facteurs tels le statut socoéconomque des parents ou l ndce de masse corporelle de la mère, affrment les auteurs de l étude menée au Centre de recherche du CHU Sante-Justne. Les causes de ce surpods pourraent être lées à l almentaton et à l actvté physque. Les punases de lt ACCROISSENT l anxété Les punases de lt, dont la présence crossante à Montréal nquète les servces de santé publque, ne font pas qu altérer la qualté du sommel; l nsecte envahsseur est auss une cause d anxété et de dépresson. Une recherche entreprse au Département de médecne socale et préventve par Stephane Rebecca Susser et son drecteur Stéphane Perron montre que ceux qu sont aux prses avec ces locatares ndésrables présentent jusqu à cnq fos plus de symptômes d anxété que ceux dont le logement n est pas nfesté. Cet aspect du problème dot être prs en consdératon dans la lutte contre ce fléau, estment les chercheurs. Ces capsules sont trées d artcles de l hebdomadare Forum et de communqués du Bureau des communcatons et des relatons publques de l UdeM, qu peuvent être consultés sur le ste nouvelles.umontreal.ca/forum. les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _24 les DIPLÔMÉS PRINTEMPS 2013 _25

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013 abtat L e m a g a z n e d e s l o c a t a r e s d H a b t a t N o r d D e u x - S è v r e s N 10 - Avrl 2013 Zoom sur... L habtat adapté...page 2 Parthenay, Sant-Paul : 3 assocatons,1 quarter...page 8

Plus en détail

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

Pour avoir les idées plus claires...

Pour avoir les idées plus claires... ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

être étudiant à Annecy et son agglomération

être étudiant à Annecy et son agglomération être étudant à Annecy et son agglomératon 2014 2015 photo extrate de l exposton «1 tot 2 gnénératons, d un regard à l autre...» Le Logement nter génératonnel soldare est une forme de logement alternatve.

Plus en détail

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009 Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes

Plus en détail

Étudiants à l université: Une bulle d air pour les Facultés de médecine

Étudiants à l université: Une bulle d air pour les Facultés de médecine N 327 1 er novembre 2010 RUBRIQUE QSous- Rubrque LaQunzane Bmensuel de la communauté unverstare de l'ucl www.uclouvan.be/laqunzane Étudants à l unversté: Gel des drots d nscrpton jusqu en 2014-2015, gratuté

Plus en détail

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008 N 1 en Ile-de-France Sécu étudante Centre 617 Complémentares santé Pack Smerep Avec la Smerep, smplfez-vous la ve! 2007/2008 Ce document est édté et dffusé dans le cadre de la conventon passée entre l

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune Servce de la recherche en éducaton / DIP, Genève - Prévsons localsées d effectfs de l ensegnement prmare TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU

Plus en détail

Précision de rigueur

Précision de rigueur 08_ AJUSTEUR Matheu Mossec, en tran de monter une structure chez ASTF à Mérgnac Esprt carré J a découvert le méter et trouvé ma vocaton. À 36 ans, Matheu a eu un premer méter mécancen mas avec une partcularté

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web

Plus en détail

être étudiant à Annecy et son agglomération

être étudiant à Annecy et son agglomération être étudant à Annecy et son agglomératon 2013 2014 Le Logement nter génératonnel soldare est une forme de logement alternatve. Une personne retratée vous met à dsposton une chambre et l accès à sa cusne

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité DU 11 AU 17 NOVEMBRE 2010 NO 106 l 3 www.moneyweek.fr Captez les profts de la publcté sur moble avec ces 2 valeurs Évaluez votre couverture contre le rsque dollar Les Lettons élsent l austérté Hértage

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le gude pratque pour y parvenr 1 2 3 4 Il n est pas facle d arrêter de fumer. Il s agt de renoncer à une habtude quotdenne soldement nstallée, de changer de comportement Celaprenddu tempset sefat généralement

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

SYNTH~SE. Rapport -1 -

SYNTH~SE. Rapport -1 - SYNTH~SE. La msson de l'inspecton Générale des Fnances a procédé à ('aname écoqomjgue du fonctonnement de 37 professjons et actyltés ré&j.ementées. Elles ont été sélectonnées sur la base de leur pods dans

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

Et pour vos clients, bénéficiez de services

Et pour vos clients, bénéficiez de services P R O D U I T t s vous travallez aujourd hu avec les outls de deman? a eston lectron ue de ocuments s erts om ta les F I C H our les calement con ue les + produts our num rser rodure classer arta er rechercher

Plus en détail

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS TRBUNAL DE GRANDE NSTANCE DE PARS 18 chambre 2ème secton N RG : 09/11087 N MNUTE : 1 contradctore Assgnaton du : 02 Jullet 2009 JUGEMENT rendu le 13 Janver 2011 Expédtons exécutores délvrées le : 13 JAN.

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

L enfant qui somatise

L enfant qui somatise L A P S Y C H I A T R I E D E L E N F A N T E T D E L A D O L E S C E N T L enfant qu somatse 2 par Johanne Bovn et Genevève Teller Évelyne a 10 ans, et sa mère consulte pour la trosème fos en un mos pour

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle intelligence télévisuelle.

The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle intelligence télévisuelle. The new Art of Smart. Loewe Art. La nouvelle ntellgence télévsuelle. Desgn et technologe. My Perfect Entertanment. 1 Les nouveaux télévseurs Art allent le melleur de la technologe à un desgn mnmalste.

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

n 9 janvier / février 2014 Bonne Année à toutes et à tous!

n 9 janvier / février 2014 Bonne Année à toutes et à tous! n 9 janver / févrer 2014 Bonne Année à toutes et à tous! P UBlcté sommare Sosy, la ve 04 >Nos ams d Ashbourne présents sur le Marché de Noël 05 >Un carrefour à feu pour la sécurté des Soséens > Soyez vglants!

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Troubles musculosquelettiques liés au travail comment établir le lien?

Troubles musculosquelettiques liés au travail comment établir le lien? L O M N I P R A T I C I E N, L E M É D E C I N D E S T R A V A I L L E U R S! Troubles musculosquelettques lés au traval comment établr le len? par Roger Roy 3 Nathale, 40 ans, est journalère dans une

Plus en détail

Une offre pléthorique de formations diplômantes adaptées aux CGPI

Une offre pléthorique de formations diplômantes adaptées aux CGPI Page 1/5 PROFESSON Compétences Une offre pléthorque de formatons dplômantes adaptées aux CGP Afn de parfare ou de valder leurs compétences, les consels en geston de patrmone ndépendants ont à leur dsposton

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail