LA DISSOLUTION DES GAZ L'ACCIDENT DE DECOMPRESSION

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1 LA DISSOLUTION DES GAZ L'ACCIDENT DE DECOMPRESSION Les gaz sont solubles dans les liquides. Cette propriété est à l origine des accidents de décompression (A.D.D.) qui menacent le plongeur. Le but principal de ce cours est de savoir ce qu'il faut faire pour éviter l'accident très grave que peut être l ADD. Il faut aussi être capable de reconnaître un accident de décompression (d'abord chez vous-même, mais aussi chez les autres) car nous verrons plus loin que la rapidité d'intervention est alors primordiale. En effet, en temps que N2, vous allez évoluer en palanquée autonome jusqu'à 20 m, et donc gérer par vous-même votre décompression. Par ailleurs, en compagnie d'un guide de palanquée, vous allez pouvoir effectuer des plongée jusqu'à 40 m, espace dit " lointain " où la pression ambiante élevée rend les problèmes de décompression encore plus cruciaux - ce que vous devez aussi être capable de gérer en cas de perte de votre palanquée. 1. LA DISSOLUTION DES GAZ Bases physiques Les gaz sont solubles dans les liquides : lorsqu'un gaz et un liquide sont mis en contact, une partie de ce gaz se dissout dans le liquide. Mais ce phénomène n est pas instantané: rapide au début, il diminue progressivement pour se stabiliser. Gaz Il se crée alors un état d équilibre ou le liquide ne peut plus dissoudre de gaz supplémentaire : à cet état d'équilibre, on dit que le liquide est saturé par le gaz, il est à saturation. Liquide A saturation et à température constante, la quantité de gaz dissout dans un liquide dépend de la pression du gaz au-dessus du liquide (loi de Henry) 1

2 Plus la pression est forte, plus la quantité de gaz dissout est grande et inversement. Par ailleurs le gaz dissout dans le liquide exerce une certaine pression à l intérieur du liquide : on appelle cette pression la tension (T) A saturation, la pression P du gaz au dessus du liquide est égale à la tension du gaz dissout dans le liquide. Application à la plongée : A saturation P = T L'air que nous respirons est composé d'environ 80 % d'azote et 20 % d'oxygène. Au niveau des poumons, l'air est en contact avec le sang. C'est par là que s'effectuent les échanges gazeux nécessaires au corps (absorption d'oxygène, rejet de gaz carbonique). Mais par là également, tous les autres gaz composant l'air inspiré - et en particulier l'azote- vont aussi transiter. En fonction de la pression de l'air inspiré, l'azote et l'oxygène vont donc être plus ou moins dissous dans le sang, et dans les différents organes (le corps est en majeure partie constitué de liquide!). Même absorbé en plus grande quantité, l'oxygène est en grande partie consommé par l'organisme et ne s accumule pas. En revanche, l'azote n'est pas utilisé par l organisme. Il va s accumuler progressivement en cours de plongée. Il faudra l'évacuer par un mécanisme inverse au cours de la remontée. C est le comportement de l azote que nous considérerons exclusivement désormais. En surface : En surface, le sang est saturé d'azote à la pression atmosphérique. P = T = 0.8bars (cf. cours sur pressions partielles) A la descente : Lorsque la pression du gaz augmente au-dessus du liquide, la quantité de gaz dissoute dans le liquide augmente. Mais le phénomène est progressif et il va s'écouler un certain temps avant d'atteindre le nouvel état d'équilibre. Pendant cette période transitoire, le liquide est en sous-saturation (il continue d'absorber du gaz). Sous saturation = P > T C'est ce qui se passe en plongée à la descente : la profondeur augmente, la pression de l'air inspiré (qui est la pression ambiante) augmente. L'organisme est en sous-saturation, donc de l'azote supplémentaire commence à se dissoudre. 2

3 Au fond : Au fond, au cours de la plongée, de l'azote continue de se dissoudre. T augmente progressivement. NB : En plongée loisir, les durées de plongée ne sont pas suffisantes pour que l organisme atteigne un état de saturation. Bien que ce terme soit couramment utilisé, c est un petit abus de langage de dire que l on se sature au cours de la plongée. A la remontée : A l'inverse, lorsque la pression du gaz diminue au-dessus du liquide, une partie du gaz dissout dans le liquide repasse à l'état gazeux. Pendant la période transitoire avant d'arriver au nouvel état d'équilibre, le liquide est en sur saturation. Sur saturation = P < T C'est ce qui se passe à la remontée : la pression ambiante diminuant, l'organisme se trouve en état de sur saturation, l'azote commence donc à repasser à l'état gazeux. Cette évolution peut se faire de deux façons : Si la remontée ne se fait pas trop vite, c'est-à-dire si la pression diminue de façon progressive, l'azote repasse progressivement à l'état gazeux et est évacué au niveau des poumons. Le dégazage est contrôlé. La différence entre P et T n est pas trop importante Il peut parfois être nécessaire de s'arrêter avant la surface pour laisser à l'azote le temps de s'évacuer par les poumons : ce sont les paliers de décompression. NB : Lorsque l on remonte après une plongée et que les protocoles de décompression ont été respectés, il persiste dans l organisme une certaine quantité d azote résiduel, sans danger pour l organisme. Cet azote résiduel mettra 12 heures pour être évacué totalement. Il faut en tenir compte et il nécessitera certaines précautions durant cette période Si la pression au-dessus du liquide diminue trop vite, on arrive à une situation où le dégazage est brutal et anarchique et se produit sous forme de bulles dans le liquide. La différence entre P et T est devenue trop importante. Le seuil à partir duquel la différence entre P et T devient trop importante pour permettre un dégazage progressif s appelle le seuil de sur saturation critique. En plongée, c'est ce qui peut se passer si la remontée est trop rapide : la variation de pression étant trop brusque, certains composants de l'organisme sont en sur saturation critique et l'azote dégaze brutalement à l'intérieur des tissus : c'est l'accident de décompression (couramment appelé ADD). 3

4 Les bulles d'azote vont former bouchon en empêchant certaines zones d'être irriguées par le sang, et endommager les tissus dans lesquels elles vont se former. Cet accident peut être très grave et même mortel. 2. L ACCIDENT DE DECOMPRESSION Les symptomes Ils dépendent des tissus atteints. Attention l'accident de décompression est très sournois au sens que ses effets ne sont pas immédiats. Les symptômes peuvent apparaître entre la sortie de l'eau et les 12 heures suivantes. Certains accidents aigus sont déjà possibles au palier. Les symptômes et la gravité de l'add dépendent de la localisation de la bulle... a. Accidents cutanés : Puces et moutons Ces démangeaisons et boursouflures sont bénins mais peuvent annoncer un accident grave. b. Accidents ostéo articulaires : Bends Une douleur lancinante à une articulation, un membre ou un muscle débouchant vers une immobilisation due à la douleur. c. Accidents neurologiques - Fatigue générale, pâleur, angoisse. - Déficit musculaire (hypomotricité) - Douleur violente au niveau des omoplates ou des vertèbres lombaires. - Fourmillement dans les membres ou les jambes. Engourdissement. - Impossibilité d'uriner. - Nystagmus (les yeux qui se "promènent" d'où impossibilité de fixer son regard) - Perte des sens. - Paralysie partielle (monoplégie, hémiplégie, tétraplégie ou paraplégie). - Paraplégie due à un dégazage au niveau de la moelle épinière. 4

5 d. Accidents de l'oreille interne (accidents vestibulaires) Vertiges, nausées, audition difficile ou impossible. Dû à un dégazage dans l'oreille interne, ce qui perturbe l'audition et l'équilibre. Ces accidents sont souvent les prémices d'un accident cérébral. On le confond aisément avec un barotraumatisme de l'oreille (la douleur est présente uniquement dans le barotraumatisme). e. Accidents centraux - Accident cérébral Coma dû à la présence de bulles dans le cerveau. - Accidents cardiaques Infarctus du myocarde dû à un dégazage dans une artère coronaire. - Accident pulmonaire Insuffisance respiratoire aiguë due à un dégazage dans l'artère pulmonaire ou une de ses branches. Conduite à tenir Même en cas de léger soupçon, il ne faut pas hésiter à informer le directeur de plongée, qui organisera les secours. En effet, la rapidité des traitements est un facteur essentiel pour limiter la dérive vers un accident grave. Avoir honte de ce qui arrive et ne pas oser le dire, ou refuser de l'accepter, serait une très grave erreur. Un plongeur ayant un accident de décompression devra, le plus rapidement possible être pris en charge par les secours, pour éventuellement être évacué vers un centre possédant un caisson hyperbare, où il sera recomprimé. Pour cela il faut alerter rapidement les secours à terre par V.H.F. sur le canal 16 ou par téléphone. En attendant l évacuation mise sous oxygène (15 l/mn) faire boire de l'eau douce (1 à 2 litres) non gazeuse (s'il est conscient), pour fluidifier le sang et favoriser la circulation des bulles faire prendre de l'aspirine non effervescent (s'il est conscient et non allergique à l'aspirine), pour la même raison Il faudra également : noter les paramètres de sa plongée, éventuellement récupérer son ordinateur, en effet le traitement sera d'autant mieux adapté que le profil de la plongée sera connu précisément surveiller les autres membres de la palanquée et récupérer leurs ordinateurs 5

6 Prévention On a vu l'importance des variations de pression rapides et importantes : il faut donc impérativement respecter, en fonction de la procédure de décompression utilisée (table ou ordinateur) : la vitesse de remontée la durée des paliers la profondeur des paliers Mais il faut savoir que même en respectant parfaitement ce qui précède, le risque l'accident de décompression n'est pas complètement éliminé. Il existe un certain nombre de facteurs de risques à éviter. Pour utiliser correctement son moyen de décompression, il faut: éviter les profils " inversés " (qui consistent à terminer par la plus grande profondeur) éviter les plongées " yoyo " (descentes et montées multiples) ne pas plonger plus de deux fois par jour ne pas changer de procédure de décompression au cours de plongées successives En cours de plongée, des conditions défavorables entraînent une saturation plus grande : le froid, d'où la nécessité d'une combinaison adaptée des efforts excessifs : ne pas lutter en pleine eau contre le courant La manœuvre de Valsalva à la remontée (proscrite en cas de douleur dans les oreilles) peut favoriser la survenue d un ADD par augmentation de la pression intra thoracique. Les conditions suivantes sont des facteurs de risques pour l'add et pour la plongée en général; il faut absolument éviter de plonger dans le cas de : fatigue, manque de sommeil mauvaise forme physique, manque d'entraînement maladie stress consommation excessive d'alcool consommation de certains médicaments 6

7 Enfin, l'âge et l'obésité sont des facteurs de risque et doivent entraîner une prudence encore accrue : limitation de la fréquence, de la profondeur et de la durée des plongée. Enfin, pour éviter d'autres variations de pression possibles et d'autres perturbations des échanges gazeux, il faut appliquer les principes suivants pendant les 12 heures qui suivent une plongée: pas d'apnée après la plongée (pour éviter de recomprimer des bulles en cours d'évacuation dans les poumons) ne pas monter en altitude après la plongée (la pression de l'air diminue avec l'altitude, ce qui modifie l'évacuation de l'azote par le corps) pas d'avion après la plongée (la pression de la cabine est inférieure à la pression atmosphérique, et de plus il y a risque majeur en cas de dépressurisation brutale de la cabine) pas d'efforts après la plongée (pour ne pas perturber l'évacuation de l'azote) 7

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