Le traitement des cancers thyroïdiens différenciés. Les inhibiteurs des tyrosine kinases dans les cancers thyroïdiens

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le traitement des cancers thyroïdiens différenciés. Les inhibiteurs des tyrosine kinases dans les cancers thyroïdiens"

Transcription

1 d o s s i e r t h é m a t i q u e Cancers de la thyroïde : Les inhibiteurs des tyrosine kinases dans les cancers thyroïdiens Tyrosine kinase inhibitors in thyroid cancer Frédéric Illouz* P o i n t s f o r t s Les inhibiteurs de tyrosine sont actuellement proposés dans le traitement des cancers thyroïdiens métastatiques après les traitements conventionnels. Certains d entre eux ont démontré une efficacité en termes de réduction tumorale et de survie sans progression, mais pas encore en termes de survie globale. Il peut exister une discordance entre la réduction des marqueurs biologiques et la réponse tumorale radiologique. Les effets indésirables généraux, digestifs ou cutanés sont présents et nécessitent une surveillance rapprochée. Les facteurs pronostiques sont encore peu connus, ce qui doit motiver l inclusion des patients dans des essais thérapeutiques. Mots-clés : Cancers thyroïdiens Inhibiteurs des tyrosine kinases Réponse tumorale Survie sans progression. Keywords: Thyroid cancer Tyrosine kinase inhibitors Tumor response Progression-free survival. Les inhibiteurs des tyrosine kinases (ITK) semblent être des traitements intéressants dans la prise en charge des cancers thyroïdiens. Ils ciblent une ou plusieurs molécules tyrosine kinase(s) [TK] ou leurs voies de signalisation, modulant ainsi directement ou indirectement l oncogenèse (1). La voie de signalisation des RAS/ RAF/MAP kinases ainsi que la voie PI3 kinase/akt sont impliquées dans l oncogenèse des CDT. Le CMT résulte dans la très grande majorité des cas d une mutation de proto-oncogène RET, récepteur tyrosine kinase. La signalisation intracellulaire de RET s effectue également par la voie des MAP kinases. L angiogenèse joue un rôle important dans la croissance tumorale et des métastases. Les récepteurs du VEGFR et du PDGFR sont des récepteurs tyrosine kinase et sont également la cible des ITK. Cette revue analyse les différentes molécules qui ont été ou sont en cours d évaluation. Le carcinome médullaire thyroïdien Les études in vitro permettent déjà d apprécier l importance de l inhibition sur le récepteur RET sauvage ou sur RET muté, permettant de sélectionner les molécules a priori les plus intéressantes en pathologie (1, 2). Le tableau I résume les principales études. * Service EDN, Centre de référence des pathologies de la réceptivité hormonale, CHU d Angers. Le traitement des cancers thyroïdiens différenciés (CTD) repose sur la chirurgie et sur l iode 131 thérapeutique, alors que le cancer médullaire thyroïdien (CMT) doit bénéficier d une thyroïdectomie totale avec un curage ganglionnaire. Les chimiothérapies classiques sont peu actives en cas de lésions métastatiques, ce qui a amené à évaluer les thérapies moléculaires ciblées. Rationnel pour les thérapies ciblées Motesanib (AMG706) Il cible les TK impliquées dans les processus vasculaires (VEGFR, PDFGR) ainsi que RET non muté. L essai de phase II principal a concerné 91 sujets porteurs d un CMT localement avancé ou métastatique, soit progressif soit symptomatique (3). Selon les critères RECIST, seuls 2 % des patients obtiennent une réponse partielle, mais 76 % ont une diminution des lésions cibles. Près de 50 % des patients ont une maladie stable ( 24 semaines). Le plus intéressant est que le motesanib (125 mg/j) permet une stabilité tumorale chez 21 % des patients qui présentent une maladie progressive dans les 6 mois précédent l entrée dans l étude. La survie sans progression (SSP) est de 48 semaines. Les résultats semblent meilleurs chez les patients sans mutation RET. Le motesanib améliore initialement la diarrhée et permet une réduction des taux de calcitonine et d ACE. Les effets indésirables de grades 3 ou 4 sont fréquents (diarrhée, asthénie, HTA, anorexie, nausées). L absence d effet in vitro connu du motesanib sur RET muté suggère que >>> 210

2 >>> Tableau I. Principaux ITK évalués dans les cancers médullaires thyroïdiens. Molécules Cibles moléculaires Réponse tumorale Motesanib VEGFR, PDGFR, KIT, RET RP : 2 % ST : 50 % Vandetanib VEGFR, EGFR, RET RP : 20 % ST : > 50 % Vandetanib contre placebo VEGFR, EGFR, RET RP : OR 5,4 ST : OR 2,6 Sorafénib VEGFR, RET, BRAF RP : 6 % ST : 88 % Sunitinib VEGFR, PDGFR, RET RP : 35 % ST : 57 % Imatinib BCR-ABL, PDGFR, KIT RP : 0 % ST : 26,7 % XL184 RET, VEGFR2, MET RP : 29 % ST : 68 % RP : réponse partielle ; ST : stabilité tumorale ; OR : Odds-ratio. Survie sans progression Les inhibiteurs des tyrosine kinases Remarques 48 semaines ST 21 % chez les patients progressifs Résultats peut-être meilleurs chez les RET- Non atteinte > 27,9 mois Non atteinte, > 19,8 mois Patients RET+ Résultats non corrélés aux mutations Références bibliographiques [nombre de patients] Schlumberger (3) [n = 91] Wells (4) [n = 30] 90 % de CMT sporadiques Wells (5) [n = 331] 17,9 mois CMT sporadiques Arrêt du bras CMT héréditaires 49 semaines CMT progressifs radiologiques ou biologiques Lam (6) [n = 16] De Souza (7) [n = 23] - Mêmes résultats dans l étude (9) De Groot (10) [n = 15] - Étude de phase I, motivant une étude de phase III en cours Kurzrock (11) [n = 34] l effet du motesanib serait davantage un effet antiangiogénique, via son action sur les VEGFR et le PDGFR plutôt que sur RET. Vandetanib (Zactima ) Le vandetanib a une action antiangiogénique par ses cibles (VEGFR, EGFR) ainsi qu une action sur RET. Une étude de phase II récemment publiée a évalué son action antitumorale (critères RECIST) à la dose de 300 mg/j chez 30 patients porteurs d un CMT RET+ métastatique ou localement avancé (4). Une réponse partielle confirmée est retrouvée chez 20 % des patients, avec une durée médiane de 10,2 mois. Plus de 50 % présentent une stabilité ( 24 semaines). Ces résultats ne sont pas corrélés aux mutations de RET. La médiane de SSP est de 27,9 mois à la date du blocage des données. Une réduction des taux de calcitonine et d ACE est fréquemment obtenue. Les effets indésirables sont responsables d un arrêt du traitement chez 23 % des patients (HTA, allongement du QT, troubles digestifs, asthénie). L essai de phase III randomisé ZETA, vandetanib contre placebo, a été présenté lors de l ASCO 2010 (5). Parmi les 331 patients étudiés, 90 % présentaient un CMT sporadique. Le suivi médian de 24 mois permet une prolongation de la SSP (hazard-ratio de 0,45) sans que la médiane soit encore atteinte pour le groupe sous vandetanib. Le taux de réponse partielle correspond à 45 %, soit un odds-ratio de 5,4, et le vandetanib permet une augmentation du taux de stabilité ( 24 semaines). Ainsi, il est possible de classer le vandetanib comme la thérapie ciblée la plus intéressante chez les patients porteurs de CMT sporadique ou familial. Sorafénib (Nexavar ) Le sorafénib est un antiangiogénique qui cible également RET. Il a été récemment évalué (dose médiane de 600 mg/j) dans le cadre de CMT métastatiques ou localement avancés, héréditaires ou sporadiques (le plus souvent RET+) dans une étude de phase II (6). L étude n a pas été poursuivie pour les CMT héréditaires, mais l action antitumorale du sorafénib est présente chez les 16 CMT sporadiques : 6 % de réponse partielle et 88 % de stabilité, notamment chez les patients évolutifs. La SPP est de 17,9 mois. La réponse tumorale n est pas corrélée à la réduction précoce de la calcitonine et de l ACE, ni à la SUV max du 18 FDG-TEP. Les effets indésirables de grade supérieur ou égal à 3 sont fréquents (diarrhées, HTA, infections, troubles hématologiques). Sunitinib (Sutent ) Le sunitinib cible notamment les VEGFR, le PDGF et RET. Il n existe pas à ce jour de grande étude publiée sur l action du sunitinib dans le CMT. De Souza et al. ont rapporté une étude de phase II qui évalue l action du sunitinib (50 mg/j par cycle de 4 à 6 semaines) chez 23 patients qui présentaient un CMT progressif radiologique ou biologique (le plus souvent RET+) [7]. Une réponse partielle est retrouvée chez 35 % des sujets, avec une durée médiane de 37 semaines, et une stabilité dans 57 % des cas pour une durée de 32 semaines. La SSP est de 49 semaines. Le sunitinib semble efficace parmi les patients mutés M918T. La toxicité est celle rapportée dans les autres essais avec le sunitinib. Afin de bloquer de multiples voies d activation, une association 211

3 d o s s i e r t h é m a t i q u e Cancers de la thyroïde : du sunitinib avec le bortézomib a été proposée chez 7 patients avec un CMT. Les résultats sont encourageants, avec deux réponses partielles et quatre stabilités tumorales (8). Imatinib (Glivec ) L imatinib pourrait être intéressant car il inhibe l autophosphorylation de RET. Deux études ont été publiées en 2007, rapportant des cas de patients porteurs d un CMT progressif. Chez 9 patients traités par imatinib (600 mg/j), une stabilité à 6 mois (selon RECIST) est objectivée chez 6 individus et à 12 mois chez 1 patient (9). Dans l étude de De Groot et al. évaluant 15 patients traités par imatinib ( mg/j), seule une stabilisation supérieure à 24 semaines est objectivée chez 4 patients, sans réponse partielle (10). Comparativement aux autres ITK, l imatinib ne semble pas être un traitement prometteur dans le CMT. XL184 Le XL184 est un ITK multicible en cours d évaluation dans un essai randomisé de phase III contre placebo. Les résultats d un essai de phase I à long terme dans le CMT ont été rapportés lors de l ASCO 2010 (11). Sur 34 patients, une réponse partielle confirmée est présente chez 29 % et 68 % des patients ont une réponse partielle confirmée ou une stabilisation supérieure ou égale à 6 mois. Cette réponse semble rapide mais ne paraît pas corrélée à la chute de la calcitonine ni à la présence de mutation RET. Les effets indésirables sont de type asthénie, syndrome mains-pieds, diarrhée ou HTA. Les carcinomes thyroïdiens différenciés (tableau II) Motesanib (AMG706) Une grande étude de phase II multicentrique a évalué l action du motesanib (125 mg/j) chez 93 patients porteurs d un CTD (dont 61 % de papillaire) métastatique, progressif selon RECIST et résistant à l iode (12). Une réponse partielle est obtenue chez 14 % des patients, une stabilité chez 67 %, et 35 % des patients obtiennent une stabilité supérieure à 24 semaines. Une diminution de taille de la tumeur est objectivée chez 74 % des patients. La durée moyenne de la réponse est de 32 semaines et la SPP de 40 semaines. La thyroglobuline diminue chez 81 % des sujets. Les réponses tumorales ne sont pas différentes selon le type histologique de CDT ni selon la présence de mutation BRAF. Sorafénib (Nexavar ) Par son ciblage sur les VEGFRs et BRAF, le sorafénib semble particulièrement intéressant dans les CDT. Plusieurs essais de phase II ont été réalisés. Kloss et al. ont analysé l effet du sorafénib (800 mg/j) chez 41 patients porteurs d un carcinome papillaire métastatique résistant à l iode 131 (13). Une réponse partielle (critères RECIST) d une durée médiane de 7,5 mois est objectivée chez 15 % des patients et un bénéfice clinique (réponse partielle ou stabilité) est obtenu chez 56 %. Le sorafénib permet d obtenir une SSP de 15 mois. Près de 80 % des patients ont une réduction des taux de thyroglobuline supérieure à 25 %. L étude immunohistochimique en cours de traitement montre, chez certains patients, une réduction de la phosphorylation des VEGFR et d ERK Tableau II. Principaux ITK évalués dans les carcinomes thyroïdiens différenciés. Molécules Cibles moléculaires Réponse tumorale Motesanib VEGFR, PDGFR, KIT, RET RP : 14 % ST : 67 % Sorafénib VEGFR, EGFR, RET RP : 15 % RP + ST : 56 % Sorafénib VEGFR, EGFR, RET RP : 25 % ST : 34 % Sorafénib et sunitinib Axitinib VEGFR, EGFR, RET, PDGFR RP : réponse partielle ; ST : stabilité tumorale ; SSP : survie sans progression. RP : 20 % ST : 60 % Survie sans progression Remarques 40 semaines CDT progressifs 61 % papillaires, 18 % oncocytaires et 16 % folliculaires 15 mois Étude immunohistochimique intratumorale en cours de traitement Références bibliographiques [nombre de patients] Sherman (12) [n = 93] Kloos (13) [n = 41] 58 semaines Aucune réinduction du captage iodé Hoftijzer (14) [n = 31] 19 mois SSP avant traitement : 4 mois 13 étaient sous sorafénib RP : 31 % 18,1 mois SSP de la cohorte entière comprenant aussi 11 CMT, 2 anaplasiques et 1 insulaire Cabanillas (15) [n = 15] Cohen (17) [n = 45] 212

4 Les inhibiteurs des tyrosine kinases ainsi que de l expression du VEGF, démontrant l effet intratumoral du sorafénib. La réinduction du captage iodé par le sorafénib a été étudiée chez 31 patients avec un CDT métastatique progressif ou localement avancé, réfractaire à l iode 131 (14). À 26 semaines de traitement, aucune réinduction du captage n est obtenue, mais 25 % des patients ont une réponse partielle et 34 % une stabilité tumorale. La SSP est de 58 semaines mais reste plus faible chez les patients avec des métastases osseuses. La réduction de la thyroglobuline est maximale à 3 mois et suit le plus souvent la réponse radiologique. Dans une étude rétrospective, 15 patients porteurs d un CDT progressif (8 papillaires et 7 folliculaires) ont été traités par sorafénib ou sunitinib (15). Une réponse partielle (selon RECIST) est obtenue chez 20 % des patients et une stabilité chez 60 %. Les lésions pulmonaires semblent plus sensibles que les lésions ganglionnaires, alors que les lésions pleurales ou osseuses semblent réfractaires au traitement. La SSP passe de 4 mois avant traitement à 19 mois sous ITK. À 2 ans, 67 % des patients sont encore en vie. La réduction de la thyroglobuline est corrélée à la réponse radiologique. Les effets indésirables sont ceux attendus, avec notamment une atteinte cutanée. Suite à ces résultats, un essai de phase III a été débuté. Un essai de phase I qui associe le sorafénib et le tipifarnib a récemment été présenté (16). Cette association pourrait être intéressante par le double blocage de la voie RAS, puisque le tipifarnib est un inhibiteur de la farnésyl transférase, enzyme permettant l activation de RAS. Les résultats sur le CDT semblent prometteurs, avec 86 % de patients stables et 7 % en réponse partielle, avec une réponse durable supérieure à 6 mois chez 87 % et une SSP de 20 mois. Les effets indésirables sont importants, car un tiers des patients n a pas atteint les 8 semaines de traitement. Axitinib L axitinib cible les VEGFRs et, par cette action antiangiogénique, est responsable de l effet antitumoral. Son évaluation en phase II (10 mg/j) a concerné des cancers thyroïdiens métastatiques, dont 50 % sont des papillaires et 25 % sont des folliculaires (les autres étant des médullaires et des anaplasiques) [17]. Même si 25 % des patients n ont pas eu d évaluation tumorale, la plupart obtiennent une réduction tumorale. Chez les patients avec un CDT, une réponse partielle (critères RECIST) est objectivée dans 31 % des cas, y compris chez les patients qui ont bénéficié d une chimiothérapie antérieure. La SSP est de 18,1 mois, sans que la SSP spécifique des CDT soit précisée. L étude pharmacodynamique montre, à 12 semaines du traitement, une majoration du VEGF et une réduction des récepteurs solubles au VEGF, sans qu il soit possible de mettre ces résultats en parallèle avec l effet antitumoral compte tenu du faible nombre de patients. Les effets indésirables les plus fréquents sont l asthénie, la diarrhée, l anorexie avec perte de poids et l HTA. Conclusion Les ITK sont des molécules prometteuses dans les cancers thyroïdiens, mais leur place reste à définir. Le NCCN (National Comprehensive Cancer Network) propose de les discuter chez les patients métastatiques après échec des traitements conventionnels, bien qu aucune AMM ne soit encore validée (18). Les études de phase III sont encore peu nombreuses pour évaluer la pertinence de chaque molécule. D autres molécules comme le pazopanib sont également prometteuses. Les questions actuelles portent encore sur les effets indésirables de ces molécules, qui peuvent limiter leur utilisation, ainsi que sur les schémas thérapeutiques à proposer. L association de différents ITK entre eux pourrait être nécessaire afin d optimiser le blocage des différentes voies de signalisation activées dans l oncogenèse et de minimiser les résistances au traitement. Enfin, la meilleure compréhension de l oncogenèse et des corrélations génotype/histologie de chaque tumeur permettra de sélectionner les patients à traiter. Cela met en valeur l importance du recrutement dans les essais thérapeutiques. 213

5 Cancers de la thyroïde : d o s s i e r t h é m a t i q u e R é f é r e n c e s 1. Le Tourneau C, Faivre S, Raymond E. New developments in multitargeted therapy for patients with solid tumours. Cancer Treat Rev 2008;34: Gramza AW, Patterson J, Peters J, Kaufman M, Wise S, Flynn D. Activity of novel RET inhibitors against RET genotypes associated with medullary thyroid cancer. J Clin Oncol 2010;28:15s (Suppl; abstr 5559). 3. Schlumberger MJ, Elisei R, Bastholt L et al. Phase II study of safety and efficacy of motesanib in patients with progressive or symptomatic, advanced or metastatic medullary thyroid cancer. J Clin Oncol 2009;27: Wells SA, Gosnell JE, Gagel RF et al. Vandetanib for the treatment of patients with locally advanced or metastatic hereditary medullary thyroid cancer. J Clin Oncol 2010;28: Wells SA, Robinson BG, Gagel RF et al. Vandetanib (VAN) in locally advanced or metastatic medullary thyroid cancer (MTC): a randomized, double-blind phase III trial (ZETA). J Clin Oncol 2010;28:15s (Suppl; abstr 5503). 6. Lam ET, Ringel MD, Kloos RT et al. Phase II clinical trial of sorafenib in metastatic medullary thyroid cancer. J Clin Oncol 2010;28: De Souza JA, Busaidy N, Zimrin A et al. Phase II trial of sunitinib in medullary thyroid cancer (MTC). J Clin Oncol 2010;28:7s (suppl; abstr 5504). 8. Harvey RD, Kauh JS, Ramalingam SS et al. Combination therapy with sunitinib and bortezomib in adult patients with radioiodine refractory thyroid cancer. J Clin Oncol 2010; 28:15s (Suppl; abstr 5589). 9. Frank-Raue K, Fabel M, Delorme S, Haberkorn U, Raue F. Efficacy of imatinib mesylate in advanced medullary thyroid carcinoma. Eur J Endocrinol 2007;157: De Groot JW, Zonnenberg BA, Van Ufford-Mannesse PQ et al. A phase II trial of imatinib therapy for metastatic medullary thyroid carcinoma. J Clin Endocrinol Metab 1997;92: Kurzrock R, Cohen EE, Sherman SI et al. Long-term results in a cohort of medullary thyroid cancer (MTC) patients (pts) in a phase I study of XL184 (BMS ), an oral inhibitor of MET, VEGFR2, and RET. J Clin Oncol 2010;28:15s (Suppl; abstr 5502). 12. Sherman SI, Wirth LJ, Droz JP et al. Motesanib Thyroid Cancer Study Group. Motesanib diphosphate in progressive differentiated thyroid cancer. N Engl J Med 2008;359: Kloos RT, Ringel MD, Knopp MV et al. Phase II trial of sorafenib in metastatic thyroid cancer. J Clin Oncol 2009;27: Hoftijzer H, Heemstra KA, Morreau H et al. Beneficial effects of sorafenib on tumor progression, but not on radioiodine uptake, in patients with differentiated thyroid carcinoma. Eur J Endocrinol 2009;161(6): Cabanillas ME, Waguespack SG, Bronstein Y et al. Treatment with tyrosine kinase inhibitors for patients with differentiated thyroid cancer: the M. D. Anderson experience. J Clin Endocrinol Metab 2010;95: Cabanillas ME, Kurzrock R, Sherman SI et al. Phase I trial of combination sorafenib and tipifarnib: The experience in advanced differentiated thyroid cancer (DTC) and medullary thyroid cancer (MTC). J Clin Oncol 2010;28:15s (Suppl; abstr 5586). 17. Cohen EE, Rosen LS, Vokes EE et al. Axitinib is an active treatment for all histologic subtypes of advanced thyroid cancer: results from a phase II study. J Clin Oncol 2008;26: thyroid.pdf Prochain dossier thématique à paraître en octobre 2010 Oxygène Physiolopathologie des organes endocrines Coordination : Bertrand Duvillier (Paris) 214

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche

Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Cancéro dig. Vol. 2 N 3-2010 - 199-204 199 10.4267/2042/34592 DOSSIER THÉMATIQUE : ANTIANGIOGÉNIQUES ET CANCER COLORECTAL MÉTASTATIQUE Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Update on novel

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Indication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique

Indication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France. dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,

Plus en détail

Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude clinique rétrospective sur six ans

Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude clinique rétrospective sur six ans Progrès en urologie (2013) 23, 184 194 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature

Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?

EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour

Plus en détail

Cancer colo-rectal : situation belge

Cancer colo-rectal : situation belge Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

clinique d un médicament

clinique d un médicament DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq

qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013

Plus en détail

Traitement du carcinome rénal métastatique

Traitement du carcinome rénal métastatique Progrès en urologie (2011) 21, 233 244 ARTICLE DE REVUE Traitement du carcinome rénal métastatique Treatment of metastatic renal cell carcinoma R. Thuret a,b, C. Maurin c,,m.sun a, P. Perrotte a, P.I.

Plus en détail

THERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011

THERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers

Plus en détail

Objectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay

Objectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay 2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

OBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?

OBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ:  OÙ EN SOMMES-NOUS  EN 2013? OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

GUSTAVE ROUSSY À L ASCO

GUSTAVE ROUSSY À L ASCO GUSTAVE ROUSSY À L COMMUNIQUÉ DE PRESSE 29 MAI 02 JUIN THÉRAPIES CIBLÉES www.gustaveroussy.fr/asco Communiqué de presse Gustave Roussy au 51 e congrès de l American Society of Clinical Oncology THÉRAPIES

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Carcinome rénal et nouvelles thérapies Association canadienne du cancer du rein. Denis Soulières, MD, MSc Hématologue et oncologue médical CHUM

Carcinome rénal et nouvelles thérapies Association canadienne du cancer du rein. Denis Soulières, MD, MSc Hématologue et oncologue médical CHUM Carcinome rénal et nouvelles thérapies Association canadienne du cancer du rein Denis Soulières, MD, MSc Hématologue et oncologue médical CHUM Objectifs: Données préalables Retour rapide sur les cytokines

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d

Plus en détail

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge

Plus en détail

Immunothérapie des cancers bronchiques

Immunothérapie des cancers bronchiques Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG

Plus en détail

Anormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules

Anormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules J Fran Viet Pneu 2015; 17(6): 1-53 2015 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info CrossRef: http://doi.dox:10.12699 JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale

M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)

Plus en détail

Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes

Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité

Plus en détail

Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer

Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes

Plus en détail

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire 12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe

Plus en détail

Polymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545

Polymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545 50 Polymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545 Les études sur les facteurs génétiques de susceptibilité au cancer différencié de la thyroïde sont rares et de petite taille. Réparation

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis

Plus en détail

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.

Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

LE CANCER DE LA PROSTATE l avenir

LE CANCER DE LA PROSTATE l avenir LE CANCER DE LA PROSTATE l avenir Dr Emmanuel ACHILLE HÔPITAL CLINIQUE CLAUDE BERNARD - METZ Réunion ONCOLOR - METZ le 02/10/07 Données chiffrées de l incidence l des cancers en France, 2000 Sein Prostate

Plus en détail

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN

Plus en détail

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes

Plus en détail

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients

Plus en détail

L identification d altérations. Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides

L identification d altérations. Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides AOÛT 2010 LE PRÉLÈVEMENT QUELLES MUTATIONS RECHERCHER? LA RECHERCHE

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim. Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr

Plus en détail

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)

Plus en détail

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009 traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE

Plus en détail

Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438

Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438 CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Prévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate

Prévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate 73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement

Plus en détail

CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE

CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE ERBITUX - cetuximab RÉFÉRENTIELS DE BON USAGE HORS GHS CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE Situations hors-amm pour lesquelles l insuffisance des

Plus en détail

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Thérapies ciblées des cancers :

Thérapies ciblées des cancers : Thérapies ciblées des cancers : Pr. Gilles VASSAL Directeur de la Recherche Clinique et Translationnelle Institut Gustave Roussy, Villejuif Thérapies ciblées du cancer: Conséquences pour le biologiste

Plus en détail

Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV

Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV INTRODUCTION Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au

Plus en détail