Au nombre des principes fondateurs sur lesquels la Convention sur les armes chimiques prend appui figure
|
|
- Edith Bergeron
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ORGANISATION POUR L INTERDICTION DES ARMES CHIMIQUES Œuvrer ensemble pour un monde libéré des armes chimiques Fiche Documentaire 9 Promouvoir le développement économique et technique grâce à la chimie Au nombre des principes fondateurs sur lesquels la Convention sur les armes chimiques prend appui figure le libre échange de produits chimiques mais aussi de l information concernant les applications pacifiques de la chimie. Comme précisé dans le Préambule de la Convention, la promotion de ces activités vise à renforcer le développement économique et technologique de tous les États parties. Cela dit, l article I de la Convention interdit aux États parties d aider ou d encourager de quelque manière que ce soit un État partie à fabriquer des armes chimiques. La Convention limite également la fabrication de nombreux produits chimiques à double emploi, c est-à-dire de produits chimiques pouvant servir à la fabrication d armes chimiques mais aussi à des fins pacifiques. Pour veiller à ce que ces restrictions ne constituent pas, dans le domaine de la chimie, un obstacle aux activités non interdites par la Convention, celle-ci intègre des dispositions prévoyant l application de la Convention de manière à ne freiner ni le développement, ni la coopération et les échanges internationaux dans le domaine de l utilisation pacifique de la chimie. La Convention précise également les droits et obligations des États parties concernant les échanges de produits chimiques et d informations. Les États parties ont le droit de mener des recherches sur et de fabriquer, acquérir, transférer et utiliser des produits chimiques, y compris des produits chimiques toxiques, à condition de ne pas être en violation des dispositions de la Convention. Ils ont également le droit de participer pleinement aux échanges de produits chimiques, de matériel et d informations sur les applications à des fins industrielles, agricoles, de recherche, à des fins médicales et pharmaceutiques et à toute autre fin non interdite par la Convention. national ou international, qui freineraient les échanges ou le développement technologique dans le domaine de la chimie utilisée à des fins pacifiques. La législation nationale doit être compatible avec les buts de la Convention; les mesures incompatibles avec la Convention sont strictement interdites. Certains volets de la Convention servent à faciliter les échanges de produits chimiques entre États parties. L obligation faite aux États parties d éliminer les obstacles au transfert de matériels et d informations favorise les échanges, tout comme le fait les restrictions apportées aux échanges de produits chimiques entre États parties et États non parties à la Convention. La Promotion 2013 du des scientifiques associés, en compagnie du Directeur général de l OIAC Par ailleurs, les États parties sont tenus de faciliter les échanges de produits chimiques et de s abstenir de mettre en place des restrictions ou contrôles, aux plans Comme indiqué dans la Fiche documentaire 7, s agissant des produits chimiques inscrits aux trois tableaux prévus par la Convention, il est interdit de
2 s d appui administrés par l OIAC Descriptif Bénéficiaires des scientifiques associés Cours de renforcement des capacités analytiques d appui aux conférences d appui aux projets de recherche d appui aux stages d aide aux laboratoires Crée en 2000, ce programme facilite le renforcement des capacités, l application nationale de la Convention par l industrie et favorise les meilleures pratiques en matière de fabrication de produits chimiques et de sûreté. Crée en 2004, ce programme aide les diplômés en chimie analytique à acquérir un complément d expérience concrète de l analyse des produits chimiques visés par l application nationale de la Convention. Crée en 1997, ce programme facilite l échange d information scientifique et technique, apporte un appui financier à l organisation de conférences, d ateliers et de séminaires sur des thèmes intéressant la Convention et facilite la participation à ce genre de rencontre. Crée en 1997, ce programme aide les projets de recherche à petite échelle dans des pays spécifiques, dans le souci du développement des connaissances scientifiques et techniques dans le secteur de la chimie à des fins industrielles ou agricoles, à des fins de recherche, à des fins médicales ou à d autres fins pacifiques en relation avec la Convention. Des scientifiques et des ingénieurs de pays en développement mènent des recherches de pointe dans des laboratoires de pays avancés. Crée en 1997, ce programme a pour vocation d améliorer les compétences techniques des laboratoires travaillant dans le domaine de l analyse et du suivi de produits chimiques. 329 scientifiques associés d Afrique (135), d Asie (97), d Amérique latine (60), d Europe orientale (32) et d Europe occidentale et d autres États (5) ont participé à ce programme. 532 chimistes d Afrique (218), d Asie (111), d Amérique latine (99), d Europe orientale (94) et d Europe occidentale et d autres États (10) ont bénéficié de ce programme participants d Afrique (641), d Asie (448), d Europe orientale (387), d Amérique latine et des Caraïbes (249) et d Europe occidentale et d autres États (333) ont bénéficié de ces rencontres. De plus, l OIAC a financé des rencontres en Afrique (60), en Asie (56), en Europe orientale (47), en Amérique latine (21) et en Europe occidentale et dans d autres États (77). 503 projets en Afrique (179), en Asie (163), en Europe orientale (9), en Amérique latine (148) et en Europe occidentale et dans d autres États (4) ont bénéficié de ce programme. À ce jour, 134 stagiaires d Afrique (79), d Asie (24), d Europe orientale (9), d Amérique latine (20) et d Europe occidentale et d autres États (2) ont bénéficié de l appui de l OIAC. 92 laboratoires en Afrique (48), en Asie (19), en Europe orientale (8), en Amérique latine (16) et en Europe occidentale et dans d autres États (1) ont bénéficié de ce programme. d échange de matériel Ce programme facilite le transfert de matériel usagé mais en état de marche entre établissements des pays industriels et laboratoires et autres établissements d enseignement relevant du secteur public dans les pays en développement. 75 transferts ont été effectués : en Afrique (32), en Asie (9), en Europe orientale (13), en Amérique latine (19) et en Europe occidentale et dans d autres États (2). Sensibilisation de l industrie (Sûreté et sécurité chimiques) Crée en 2009, ce programme est constitué d ateliers visant à familiariser les États parties avec les approches modernes de la gestion de la sûreté et de la sécurité, de la culture de la sûreté et de la gestion et du maniement des produits chimiques, plus particulièrement dans les petites et moyennes entreprises. 641 participants d Afrique (65), d Asie (487), d Europe orientale (2), d Amérique latine et des Caraïbes (83) et d Europe occidentales et d autres États (4) ont assisté à un atelier.
3 Participants à un cours sur la gestion de la sûreté chimique, à l intention des États parties d Afrique transférer aux États non parties les produits du tableau 1; le transfert de produits chimiques du tableau 2 aux États non parties est interdit depuis Le transfert de produits chimiques du tableau 3 à des États non parties n est autorisé qu à des fins pacifiques, et doit être conforme au certificat d utilisation finale délivré par l État destinataire. Dans l optique de promouvoir les échanges entre les États parties, l Organisation pour l interdiction des armes chimiques (OIAC) œuvre à encourager le libre échange de produits chimiques, de matériel et d informations ayant trait à l application intégrale de la Convention. L appui apporté par l OIAC Pour faciliter la coopération internationale et l application de la Convention, le Secrétariat technique de l OIAC organise une multitude de programmes pour appuyer les autorités et les scientifiques des États parties, axés principalement sur les pays en développement et les pays dont l économie est en transition. Les activités relèvent de l une de deux grandes catégories : le renforcement des capacités humaines et techniques des États parties dans les domaines ayant trait à l application de la Convention et le développement de la chimie à des fins pacifiques. Renforcement des capacités dans l optique de l application de la Convention Dans le souci de renforcer la capacité des États parties à appliquer intégralement la Convention, le Secrétariat déploie des efforts pour améliorer les compétences techniques des laboratoires de chimie analytique. L une des modalités de cette aide consiste à apporter un appui aux laboratoires souhaitant être désignés par l OIAC pour l analyse des échantillons prélevés lors des inspections. (Si les inspecteurs de l OIAC l estiment nécessaire, les échantillons prélevés sur un site d inspection peuvent être confiés à des laboratoires extérieurs désignés par l Organisation). Pour être ainsi désignés, les laboratoires sont tenus de réussir une série de tests d aptitude organisés par l OIAC. Le Secrétariat appuie la formation du personnel, des visites aux laboratoires désignés, des stages dans des laboratoires internationaux - dont le Laboratoire de l OIAC situé à Rijswijk (près de La Haye). Le Secrétariat finance également des visites d experts aux laboratoires d États parties dans le but d évaluer, entre autres choses, les mesures techniques à long terme qu il faut pour aider les laboratoires à répondre aux normes pour être désignés par l OIAC.
4 Une assistance analogue est également fournie aux laboratoires souhaitant améliorer leurs capacités sans pour autant rechercher le statut de laboratoire désigné de l OIAC. Outre une aide à la formation du personnel, à l organisation de stages et à la participation à des conférences, le Secrétariat peut aider à la mise en place de systèmes d assurance de la qualité ou à l élaboration de manuels de qualité. Le Secrétariat est à même de donner des conseils aux États parties sur les meilleures pratiques et les technologies les mieux adaptées à la destruction d armes chimiques, y compris les armes chimiques anciennes et les armes chimiques abandonnées, ainsi que sur les spécifications techniques et le matériel d inspection. De nombreux logiciels sont à la disposition des laboratoires et des institutions spécialisées des États parties, dont des bases de données et logiciels de chimie analytique qui assurent la sécurité des données relatives aux déclarations et permettent l échange de données entre les États parties et l OIAC. Promouvoir la chimie à des fins pacifiques En administrant ainsi une multitude de programmes, services et projets, le Secrétariat technique favorise le développement de la chimie à des fins non interdites par la Convention. Il s agit pour l OIAC de faciliter l échange d information, de matériel et de produits chimiques et de favoriser leur utilisation pacifique. Dans le cadre de son d appui aux conférences, par exemple, le Secrétariat aide à financer des conférences consacrées à des thèmes relatifs à la Convention, et ce dans les pays en développement et les pays dont l économie est en transition, et favorise la participation de scientifiques de ces pays à des rencontres internationales. Des financements sont également possibles pour aider des scientifiques d autres États parties à assister à des rencontres internationales tenues dans les pays en développement. Le programme d appui aux stages administré par l OIAC met des crédits à la disposition de scientifiques et d ingénieurs - là encore, principalement originaires de pays en développement - pour qu ils puissent travailler, pour des périodes fixes, dans des institutions de recherche de pays industrialisés. Outre que ce programme L une des missions fondamentales de l OIAC consiste à promouvoir l utilisation pacifique de la chimie permet aux scientifiques qui le suivent d acquérir une précieuse expérience, il permet de créer des relations de collaboration entre chercheurs des pays industrialisés et ceux des pays en développement. Sont également encouragées les visites de chercheurs d un pays en développement à l autre. Le des scientifiques associés prépare des chimistes et ingénieurs chimistes des États Membres à des fonctions techniques au sein du Secrétariat ou à des postes ayant trait à l application de la Convention dans leur propre pays. Le cours de neuf semaines donne aux participants une occasion précieuse : celle d être exposés aux travaux de l OIAC et aux pratiques modernes qui ont cours dans le milieu de la chimie industrielle. Le programme offre notamment une formation en génie chimique dans une université réputée, suivie par trois semaines d expérience pratique en entreprise, dans une usine moderne de produits chimiques. Il se termine par des exposés par les participants euxmêmes, dans les locaux de l OIAC. Tous les ans, le Secrétariat dispense un cours de renforcement des capacités analytiques destiné au personnel de l industrie, des établissements d enseignement et des laboratoires d État. Ce cours, d une durée de deux semaines, couvre la théorie et la pratique des techniques utilisées en chimie analytique. Il vise à faciliter l analyse des produits chimiques concernés par l application nationale de la Convention et l adoption de bonnes pratiques de laboratoire. Le Secrétariat assure également la prise en charge partielle de divers programmes de recherche dans les pays en développement. L un quelconque des secteurs suivants peut prétendre à ce type de financement: technologies de destruction des produits chimiques dangereux respectueuses de l environnement ; nouvelles méthodes d analyse pour les produits chimiques toxiques ; produits moins dangereux que les produits chimiques inscrits aux tableaux prévus par la Convention ; traitements médicaux en cas d exposition accidentelle aux produits chimiques dangereux ; projets visant à favoriser le développement durable. Les projets sont choisis et administrés par le biais du OIAC d appui aux projets de recherche. Les séminaires organisés dans le cadre du programme sur la gestion de la sûreté et de la sécurité chimiques
5 donnent aux États Membres et à leur industrie les outils et connaissances qu il leur faut pour mitiger les risques résultant d accidents dans l industrie chimique et les risques de terrorisme. Le programme est axé sur les petites et moyennes entreprises, que l on familiarise avec les pratiques modernes utilisées dans l industrie chimique, y compris les initiatives mondiales comme le programme Responsible Care. Coopération avec d autres organisations chimique, des établissements universitaires, des organismes de financement et des organismes internationaux d aide au développement. Ainsi, grâce à cette coopération, le Secrétariat renforce la mise en œuvre de ces programmes. Pour renforcer les liens avec les parties prenantes à la Convention, le Secrétariat organise tous les ans une réunion des autorités nationales et des représentants de l industrie chimique, qui se tient juste avant la session annuelle de la Conférence des États parties. Dans l optique d une meilleure application de la Convention, le Secrétariat entretient des relations avec de nombreuses organisations, dont des associations - tant nationales qu internationales - représentant l industrie OIAC Johan de Wittlaan JR La Haye Pays-Bas Tél : media@opcw.org Mars 2016 /opcwonline /opcw /opcwonline /opcw
Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6
CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance
Plus en détailASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application *
RÉUNION DES ÉTATS PARTIES À LA CONVENTION SUR L INTERDICTION DE LA MISE AU POINT, DE LA FABRICATION ET DU STOCKAGE DES ARMES BACTÉRIOLOGIQUES (BIOLOGIQUES) OU À TOXINES ET SUR LEUR DESTRUCTION BWC/MSP/2009/MX/INF.4
Plus en détail:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME)
########### : La présente annexe descriptive au diplôme (supplément au Université de La Rochelle diplôme) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES.
Plus en détailProgramme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP)
Strategié de renforcement du potentiel de recherche dans les pays en développement via l octroi de bourses pour la formation à la recherche et pour la réintégration Bourses de Formation à la Recherche
Plus en détailUNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL
UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes
Plus en détailAccord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008
Accord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, CGT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailTitre du MASTER : Lettres, Langues et Sciences humaines Mention : Sciences de l Information et Métiers de la Culture Spécialité : Archivistique
Titre du MASTER : Lettres, Langues et Sciences humaines Mention : Sciences de l Information et Métiers de la Culture Spécialité : Archivistique Objectifs et Débouchés Ce Master professionnel propose, outre
Plus en détailGuide des inspections de l OIAC concernant les produits chimiques des tableaux 2 et 3
1. But Guide des inspections de l OIAC concernant les produits chimiques des tableaux 2 et 3 Le présent guide a pour objectif d aider les entreprises à préparer les inspections de l Organisation pour l
Plus en détailFaculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis
UNIVERSITE TUNIS EL MANAR Faculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis Campus Universitaire-2092-EL MANAR2 Tél: 71 872 600 Fax: 71 885 350 Site web: www.fst.rnu.tn Présentation
Plus en détailTABLE DE MATIERES. Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?...
TABLE DE MATIERES Qu est-ce que SADCAS? Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?... En quoi les Organismes d Accréditation peuvent être bénéfiques jusqu aux derniers utilisateurs?.. Le
Plus en détailMaîtrise universitaire d études avancées (MAS) en pharmacie hospitalière. Dossier de présentation et programme
Maîtrise universitaire d études avancées (MAS) en pharmacie hospitalière Dossier de présentation et programme V6/30.04.07: annule et remplace V5 de avril 2006 TABLE DES MATIERES Page 1. Préambule 3 2.
Plus en détailContrôle des connaissances. Licence professionnelle Notariat
Contrôle des connaissances Licence professionnelle Notariat Approuvé par : - Le Conseil de Gestion de l Ecole de Droit du 9 juin 204 - Le Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire de l Université d
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLOME
SUPPLEMENT AU DIPLOME Préambule : «Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES. Le supplément vise à fournir des données
Plus en détailCursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire. Une autre façon d accéder au métier d ingénieur
Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire Une autre façon d accéder au métier d ingénieur Un Réseau National de 28 CMI Le réseau FIGURE Formation en InGenierie par des Universités de
Plus en détailVos contacts GUIDE DE L EMPLOYEUR. Régime d assurance complémentaire Santé
Vos contacts Pour tous renseignements ou questions relatives : aux cotisations : contacter votre caisse de MSA, pour toute autre question : contacter l ANIPS au 09 69 32 34 27 (numéro non surtaxé). de
Plus en détailDROIT- ECONOMIE - GESTION. Sciences économiques. Sciences économique Santé, Emploi - Formation
2012-2016 Niveau : MASTER Année Domaine : Mention : DROIT- ECONOMIE - GESTION Sciences économiques M1 Spécialité : Sciences économique Santé, Emploi - Formation 60 ES Volume horaire étudiant : 302 h 87
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE
LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier
Plus en détailPRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté»
PRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté» Ce référentiel s adresse à toutes les actions de formation pouvant être dispensées dans
Plus en détailLICENCE PHYSIQUE, CHIMIE EN L3 :
SCIENCES & TECHNOLOGIES - SANTÉ ET STAPS LICENCE EN L : - Parcours : «Chimie» (Dunkerque) - Parcours : «Physique, Sciences-Physiques, Electronique et Instrumentation» (Calais) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS
Plus en détailDélibération n 407/CP du 23 mai 1995 relative aux bourses territoriales de formation professionnelles continue
Délibération n 407/CP du 23 mai 1995 relative aux bourses territoriales de formation professionnelles continue Historique : Créée par Délibération n 407/CP du 23 mai 1995 relative aux bourses territoriales
Plus en détailListe des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique
Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors
Plus en détailLe challenge du renforcement des compétences. La qualité du service après vente : un enjeu stratégique. Un partenariat ambitieux avec l OFPPT
SOMMAIRE Le challenge du renforcement des compétences 2 La qualité du service après vente : un enjeu stratégique 2 Un partenariat ambitieux avec l OFPPT 3 Une meilleure adéquation entre la formation et
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailCodirecteur international en assurance-maladie PÉROU
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailRÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS. Juillet 2006
RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS Juillet 2006 Préambule Considérant qu en juin 2004, à l occasion de la Onzième session de la
Plus en détailAssurance Responsabilité Professionnelle Ingénierie Industrielle et Conseil en Technologie (hors SSII) Questionnaire ASSURES
Assurance Responsabilité Professionnelle Ingénierie Industrielle et Conseil en Technologie (hors SSII) Questionnaire 1 - ASSURES ASSURES Nom(s) ou Raison(s) sociale(s) de l ensemble des entités à assurer
Plus en détailLe Cadre Européen des Certifications: les principaux défis. Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010
Le Cadre Européen des Certifications: les principaux défis Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010 1 Intégrations Europass ECTS ECVET CEC (EQF) Validation Système des crédits Cadre National des Certifications
Plus en détailASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK. Politique sur l éducation professionnelle continue
ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK Politique sur l éducation professionnelle continue Approuvée à la réunion annuelle juin 1997/modification approuvée par le Conseil le 1 mai 1999/des
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES
Plus en détailAIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges
Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE
Plus en détailPROGRAMMES DONT LES UNIVERSITES PARTENAIRES SONT DIPLOMANTES. N.B : DIPLOME DE TECHNICIEN SUPERIEUR(DTS) : équivaut au BAC+2
PROGRAMMES DONT LES UNIVERSITES PARTENAIRES SONT DIPLOMANTES 1. MAHATMA GANDHI UNIVERSITY 2. INSTITUT SUPERIEUR DE BURKINAFASO N.B : DIPLOME DE TECHNICIEN SUPERIEUR(DTS) : équivaut au BAC+2 PROGRAMMES
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailMENTION DROIT. U3-POIP 2010/2011 poip.aix@univ-cezanne.fr
FACULTE DE ET DE SCIENCE POLITIQUE 3 AV ROBERT SCHUMAN 13628 AIX-EN-PROVENCE CEDEX 1 LICENCE DOMAINE : /ÉCONOMIE/GESTION MENTION OBJECTIFS Acquisition et maîtrise des bases juridiques fondamentales Apprentissage
Plus en détailMASTER 2 MENTION DROIT DU PATRIMOINE, PARCOURS DROIT DES ASSURANCES
MASTER 2 MENTION DROIT DU PATRIMOINE, PARCOURS DROIT DES ASSURANCES RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : DROIT DE L'ENTREPRISE
Plus en détailMODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES. Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance»
MODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES Année universitaire 2015 2016 Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance» I Dispositions générales I.1.
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE
LICENCE PROFESSIONNELLE Composante : IUT d EVRY Département Génie Thermique et Energie Domaine : DEG / STS Mention : Métiers de l'immobilier : gestion et développement de patrimoine immobilier Parcours
Plus en détailDakar, Sénégal 5-9 Mars 2006. Dr Joël Keravec MSH/RPM Plus - Brésil et représentant le Globa
éminaire pour les onsultants Francophones - estion des Approvisionments et des Stocks pour VIH, la TB et le Paludisme Assurance Qualité des Médicament s Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006 Dr Joël Keravec MSH/RPM
Plus en détailOrdonnance du Conseil des EPF sur les taxes perçues dans le domaine des Ecoles polytechniques fédérales
Ordonnance du Conseil des EPF sur les taxes perçues dans le domaine des Ecoles polytechniques fédérales (Ordonnance sur les taxes du domaine des EPF) Modification du 3 mars 2011 Le Conseil des Ecoles polytechniques
Plus en détailRISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95
RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 PUBLIC CONCERNE Responsables, cadres technico-commerciaux, chefs de chantier «preneurs de permis» et chefs d équipe des entreprises ayant à intervenir dans
Plus en détailDisciplines. Ecoles - facultés - titres délivrés. UNIL - Faculté des lettres. Maîtrise universitaire ès Lettres
Masters de l UNIL, de l EPFL et de la HES-SO de référence, répondant sans restriction aux conditions d admission au Diplôme d enseignement pour le degré secondaire II Ecoles - facultés - titres délivrés
Plus en détailHandisup / Janvier 2014 : Extrait de la liste des profils de jeunes diplômés en situation de handicap en recherche d'expériences professionnelles
Handisup / Janvier 2014 : Extrait de la liste des profils de jeunes diplômés en situation de handicap en recherche d'expériences professionnelles Recherche de stage page 1 à 6 1 future assistante manager
Plus en détailDéveloppeur de talents. École Universitaire de Management. Cultivez votre. différence!]
Développeur de talents École Universitaire de Management Cultivez votre différence! L I.A.E de www.iae-grenoble.fr Depuis plus de cinquante ans, l IAE de forme à la fois des managers «double compétence»
Plus en détailCONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE
CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE Entre : L Université du Maine, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, représenté par son Président Monsieur Yves GUILLOTIN, assisté de
Plus en détailPlan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015
Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays
Plus en détailMASTER 2 MENTION DROIT DE L'ENTREPRISE, PARCOURS DROIT BANCAIRE ET FINANCIER
MASTER 2 MENTION DROIT DE L'ENTREPRISE, PARCOURS DROIT BANCAIRE ET FINANCIER RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : Droit de l'entreprise
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN PROTHÈSE DENTAIRE FORMATIONINITIALEET CONTINUE SUP DENTAIRE CRÉATIF 3 A N NÉ E S D E FOR MA T I ON
FORMATIONINITIALEET CONTINUE SUP DENTAIRE LES HERBIERS BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN PROTHÈSE DENTAIRE Diplôme de niveau IV OBJECTIFS Acquérir une culture professionnelle permettant une adaptation rapide
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailFormations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4)
Formations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4) DOCUMENT DE REFERENCE Ce document présente le contexte relatif à l organisation des formations «amiante sous-section 4» : Les compétences
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailUniversité de la Méditerranée, Aix Marseille II, à Marseille, Faculté de pharmacie FRANCE
NOM DE L ETABLISSEMENT : Université de la Méditerranée, Aix Marseille II, à Marseille, Faculté de pharmacie FRANCE NOM DU MASTER 2 : Master Professionnel en Prévention des risques et nuisances technologiques
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE SERVICE. Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) LOTS 1 ET 2
CHAMBRE DE METIERS ET DE L ARTISANAT DE VAUCLUSE HOTEL DE L ESPINE 35 RUE JOSEPH VERNET BP 40208 84009 AVIGNON CEDEX 1 MARCHE PUBLIC DE SERVICE Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES
Plus en détailSERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)
DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE
Plus en détailPROCEDURES D IMPORTATION
Royaume du Maroc Ministère de l Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies *** Département du Commerce Extérieur المملكة المغربية وزارة الصناعة والتجارة والتكنولوجيات الحديثة *** قطاع التجارة
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE D OBTENTION PAR EQUIVALENCE DU CERTIFICAT D APTITUDE A L HYPERBARIE (1) Secrétariat Certification Hyperbare
DOSSIER DE DEMANDE D OBTENTION PAR EQUIVALENCE DU CERTIFICAT D APTITUDE A L HYPERBARIE (1) Contact : Nathalie Hypert : nhypert@inpp.org Nota (1) - Dossier à adresser, suivant le cas, à la Direction Régionale
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE SUR LE SITE INTERNET www.ctbr67.fr. Applicables au 25 février 2013.
CONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE SUR LE SITE INTERNET www.ctbr67.fr Applicables au 25 février 2013. PREAMBULE Le Client s engage à lire attentivement les présentes Conditions Générales de Vente en
Plus en détailMASTER 2 MENTION MARKETING ET VENTE, PARCOURS MARKETING, INNOVATION ET TERRITOIRES
MASTER 2 MENTION MARKETING ET VENTE, PARCOURS MARKETING, INNOVATION ET TERRITOIRES RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : Marketing
Plus en détailREGLEMENT DE FORMATION DU PERSONNEL COMMUNAL
REGLEMENT DE FORMATION DU PERSONNEL COMMUNAL La formation professionnelle a pour objet de permettre aux agents d exercer de façon efficace les fonctions qui leur sont confiées en vue de la satisfaction
Plus en détailLA LICENCE D ENSEIGNEMENT (LE)
La licence d enseignement (LE) Licence d enseignement dans les matières reconnues par l Etat libanais comme disciplines d enseignement. Nombre de crédits : 40 crédits, capitalisables dans le CAPES, à effectuer
Plus en détailFinance, audit, conseil, industrie, grande consommation, distribution
Les secteurs qui recrutent Finance, audit, conseil, industrie, grande consommation, distribution On trouve des diplômés des écoles de commerce dans tous les secteurs d activité. C est l avantage qu offrent
Plus en détailMASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES. Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr
ARTS, LETTRES & LANGUES MASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION A l issue de la formation,
Plus en détailMASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE
MASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité : METIERS DE LA SANTE ASSOCIES
Plus en détailPar Me Eric Théroux. Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec
Par Me Eric Théroux Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec L Entente France-Québec sur la reconnaissance mutuelle des
Plus en détailDiplôme d expertise comptable (DEC)
Futurexpert.com Février 2015 Le Master Comptabilité Contrôle Audit (CCA) Une filière universitaire d excellence pour accéder aux métiers de l expertise comptable, du conseil, de l audit, de la gestion
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailRèglement organique d un fonds provincial d études
Interventions sociales Règlement organique d un fonds provincial d études BENEFICIAIRES Article 1 er Le fonds est destiné à octroyer les prêts à des jeunes gens bénéficiant ou non d une bourse d études
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA VILLE DE ROUEN
REGLEMENT RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA VILLE DE ROUEN 1/8 SOMMAIRE PREAMBULE... 3... 3 I.LES DISPOSITIONS RELATIVES AU COMPTE EPARGNE TEMPS APPLICABLES À LA VILLE DE ROUEN... 4 ARTICLE 1.LES BÉNÉFICIAIRES...
Plus en détailORGANIGRAMME DES ETUDES
ORGANIGRAMME DES ETUDES Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat de Qualification C.E.S.S. après la 7ème année Certificat de Qualification
Plus en détail*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de
*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de qualité et d excellence Par le Ministère de l Éducation
Plus en détailREGLEMENTATION PEDAGOGIQUE DES STAGES A L UNIVERSITE PARIS DESCARTES
REGLEMENTATION PEDAGOGIQUE DES STAGES A L UNIVERSITE PARIS DESCARTES Le présent règlement s appuie sur les lois, décrets et circulaires sur les stages publiés depuis 2006 et «La charte des stages» rédigée
Plus en détailLicence professionnelle Automatique et Informatique Industrielle, Automation et Robotique
Licence professionnelle Automatique et Informatique Industrielle, Automation et Robotique Contact Responsable de la formation Pierre LAGUILLAUMIE Tél. : 05 49 49 65 01 - Fax : 05 49 49 65 04 pierre.laguillaumie@univ-poitiers.fr
Plus en détailGENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS
MASTER SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE/STAPS GENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS Spécialité Risques Industriels et Maintenance www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION L objectif du master régional GSI
Plus en détailLA REFORME LMD EN COTE D IVOIRE :
LA REFORME LMD EN COTE D IVOIRE : Mise en œuvre et enjeux Pr Viviane KROU ADOHI Directeur Général de l Enseignement Supérieur Abidjan, février 2012 1 Définition LICENCE (bac +3) INTRODUCTION MASTER (bac+5)
Plus en détail[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année.
[Tapez un texte] QUALIFICATION VISEE Titre Responsable d Affaires Agroalimentaires, niveau I (JO du 22/07/2010) OBJECTIF PRINCIPAL DE LA FORMATION PUBLIC ET CONDITIONS D'ACCES Former des cadres de haut
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailORGANISATION POUR L'INTERDICTION
ORGANISATION POUR L'INTERDICTION DES ARMES CHIMIQUES CONVENTION SUR L'INTERDICTION DE LA MISE AU POINT, DE LA FABRICATION, DU STOCKAGE ET DE L'EMPLOI DES ARMES CHIMIQUES ET SUR LEUR DESTRUCTION OIAC CONVENTION
Plus en détailDirectives-cadres relatives à la formation continue en HES-SO. Le Comité directeur de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale,
Directives-cadres relatives à la formation continue en HES-SO Version du 9 mai 008 Le Comité directeur de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, vu la loi fédérale sur les hautes écoles spécialisées
Plus en détailAnnexe 5. CONTRAT CYBERPLUS PRO Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières
Annexe 5 Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières DESIGNATION DE L ENTREPRISE ci-après "le Client" Nom ou Dénomination sociale... représentée par.. (Nom et prénom du représentant
Plus en détailSCIENCES POUR L INGENIEUR
LICENCE SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE / STAPS SCIENCES POUR L INGENIEUR Parcours Maintenance Industrielle www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION La Licence Sciences Pour l Ingénieur (SPI) est une
Plus en détailLe contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»
GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
Plus en détailBOURSES D'ÉTUDES TOUTES LES PRESTATIONS PRÉVUES POUR LES BOURSIERS DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS
TOUTES LES PRESTATIONS PRÉVUES POUR LES BOURSIERS DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS SOMMAIRE Allocations page 3 Frais de voyage et de transport page 4 Assurance page 5 Hébergement page 5 Titre de séjour page 6
Plus en détailLE CURSUS ACADEMIQUE
PRESENTATION L Institut d études scéniques, audiovisuelles et cinématographiques (IESAV) est un établissement rattaché à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l Université Saint-Joseph de
Plus en détailARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES DES ARCHITECTES ENTRE L'ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC
ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES DES ARCHITECTES ENTRE L'ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC ET L'ORDRE DES ARCHITECTES DE FRANCE ARRANGEMENT EN VUE DE LA
Plus en détailRAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC
RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes
Plus en détailVendredi 6 mars 2015
Vendredi 6 mars 2015 Les rêves Le point d équilibre pour réfléchir à l orientation Les résultats Les capacités Les parcours ne sont pas forcément en ligne droite, Un projet se monte, se défait, se reconstruit
Plus en détailLOGISTIQUE DE PRODUCTION
BROCHURE LOGISTIQUE DE PRODUCTION Tél. : 024 423 96 50 1 INTRODUCTION Plus que jamais, les fonctions logistiques doivent évoluer et se développer afin d accroître la performance industrielle, par une meilleure
Plus en détailBaccalauréat universitaire (bachelor) en mathématiques et sciences informatiques
Baccalauréat universitaire (bachelor) en mathématiques et sciences informatiques CONDITIONS GENERALES Art. A 3 Baccalauréat universitaire en mathématiques et sciences informatiques 1. La Faculté décerne
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailBROCHURE. Tél. : 024 423 96 50 Email : info@ariaq.ch Web : www.ariaq.ch
BROCHURE Tél. : 024 423 96 50 1 INTRODUCTION Le Lean management est une démarche d amélioration continue : mettant le client et le collaborateur au cœur du changement de la performance de l entreprise
Plus en détailPrincipaux textes de référence :
Principaux textes de référence : Loi n 2006396 du 31 mars 2006 pour l égalité des chances (article 9 et 10). Décret n 2006757 du 29 juin 2006 portant application de l art.10 de la loi n 2006396 du 31 mars
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détail- SOCIETE immatriculée au RCS de.. sous le numéro... dont le siège social est situé. N Siret :. Représentée par M... en qualité de...
CONVENTION DE STAGE «A LA DECOUVERTE D UNE PROFESSION» pour personne mineure La présente convention est exclusivement réservée aux entreprises immatriculées au Registre du Commerce et des Sociétés de la
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES. Collectivités littorales. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Collectivités littorales www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Face à la complexification des règles et des procédures juridiques
Plus en détailLYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr
LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale
Plus en détailLe bac littéraire. Français et littérature Philosophie Littérature Littérature en langue étrangère Histoire et géographie LV1 LV2 Sciences EPS TPE
L APRES SECONDE LES BAC GENERAUX L enseignement y est théorique Une large place est accordée à l expression écrite Ils préparent à la poursuite d études supérieures longues Le bac littéraire Français et
Plus en détailProgramme de formation continue FPH dans le domaine de la pharmacie hospitalière
Programme de formation continue FPH dans le domaine de la pharmacie hospitalière Programme de formation continue FPH dans le domaine de la pharmacie hospitalière du 7 novembre 2001 Révisions 2008 / 2015
Plus en détailMBA SPéCIALISéS ADMISSIon BAC +3
ISG. make the world yours.* MBA Spécialisés Admission Bac +3 3 Les atouts des MBA Spécialisés de l ISG Les MBA Spécialisés sont des programmes d expertise destinés à former des professionnels rapidement
Plus en détailMaîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie
Maîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie Art. E1 Objet 1. La Faculté des sciences de l Université de Genève décerne le diplôme de Maîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie
Plus en détailREFORME DU SYSTEME D ENSEIGNEMENT DE LA CHAIRE UNESCO POUR LA CULTURE DE LA PAIX
REFORME DU SYSTEME D ENSEIGNEMENT DE LA CHAIRE UNESCO POUR LA CULTURE DE LA PAIX 1 HISTORIQ : La Chaire UNESCO pour la culture de la Paix dont la cérémonie inaugurale s'est déroulée à l'amphi de l'ensea,
Plus en détailBachelors Technologiques
Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie
Plus en détail