This article appeared in a journal published by Elsevier. The attached copy is furnished to the author for internal non-commercial research and
|
|
- Hippolyte Goulet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 This article appeared in a journal published by Elsevier. The attached copy is furnished to the author for internal non-commercial research and education use, including for instruction at the authors institution and sharing with colleagues. Other uses, including reproduction and distribution, or selling or licensing copies, or posting to personal, institutional or third party websites are prohibited. In most cases authors are permitted to post their version of the article (e.g. in Word or Tex form) to their personal website or institutional repository. Authors requiring further information regarding Elsevier s archiving and manuscript policies are encouraged to visit:
2 Revue française d allergologie 49 (2009) Analyse sémiologique et orientation diagnostique devant un dysfonctionnement rhinosinusien chronique Chronic rhinosinusitis: Analysis of symptoms and diagnosis P. Bonfils Département d ORL et de chirurgie cervicofaciale, hôpital européen Georges-Pompidou, 20, rue Leblanc, Paris, France Disponible sur Internet le 5 mars 2009 Résumé Les dysfonctionnements rhinosinusiens (DRS) chroniques (rhinosinusite chronique) sont une affection fréquente affectant 13 % de la population ; c est une des causes les plus fréquentes de consultation médicale. Les DRS chroniques sont définis par une inflammation de la muqueuse des cavités nasosinusiennes et doivent être analysés sur des bases anatomiques ; trois pathologies peuvent être individualisées en fonction de leur atteinte anatomique touchant la cavité nasale, une atteinte localisée de certains sinus, une atteinte diffuse des cavités nasosinusiennes. Obstruction nasale, rhinorrhée, perte de l odorat et douleur faciale sont les symptômes dominants. L examen tomodensitométrique (TDM) et la fibroscopie nasale donnent des renseignements importants dont il convient de connaître les avantages et les limites. # 2009 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. Mots clés : Rhinosinusite chronique ; Examen tomodensitométrique ; Fibroscopie nasale ; Rhinite ; Rhinosinusite diffuse ; Sinusite localisée Abstract Chronic rhinosinusitis (CRS) is a common disorder affecting approximately 13% of the population, and one of the most common reasons that individuals seek medical care. Defined as any inflammation of the mucosal lining of the nose and paranasal sinuses, CRS analysis must be based upon anatomical considerations. Three pathologies may involve either nasal fossa, or localized sinuses cavities, or diffuse nasosinusal cavities. The diagnosis of CRS has been based on symptoms that have been categorized as nasal obstruction, rhinorrhea, smell loss, facial pain. Computed tomography (CT) and nasal fibroscopy provide complementary information, each has advantages and potential drawbacks. # 2009 Elsevier Masson SAS. All rights reserved. Keywords: Chronic rhinosinusitis; Computed tomography; Nasal fibroscopy; Rhinitis; Diffuse rhinosinusitis; Localized sinusitis 1. Introduction «Tout ce qui est simple est faux. Tout ce qui est compliqué est inutilisable». Paul Valéry. Les maladies chroniques rhinosinusiennes sont d une grande fréquence. On estime qu elles affectent environ 20 % de la population. C est avec le mal de dos, l HTA et la dépression, l un des motifs les plus fréquents de consultation en médecine générale. Le diagnostic d une pathologie rhinosinusienne chronique se fait en trois temps : Adresse pierre.bonfils@egp.ap-hop-paris.fr. un diagnostic positif ; un diagnostic topographique ; un diagnostic étiologique. 2. Pour comprendre 2.1. Pour comprendre : les bases anatomiques [1] L étude de l anatomie des cavités nasales et sinusiennes permet de comprendre la classification des dysfonctionnements rhinosinusiens (DRS) (Fig. 1). Ces cavités comprennent : la cavité nasale dont la paroi médiale est la cloison nasale et la paroi latérale supporte les cornets nasaux ; /$ see front matter # 2009 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. doi: /j.reval
3 P. Bonfils / Revue française d allergologie 49 (2009) Fig. 1. A. Examen TDM de la face chez un sujet sain. Coupe coronale passant par le méat moyen (Mm), le sinus maxillaire (SM) et le sinus frontal (SF). B. Coupe axiale passant par le cristallin avec la lame basale du cornet moyen (surlignée en blanc) séparant le sinus ethmoïdal antérieur (EA) du sinus ethmoïdal postérieur (EP). C. Coupe sagittale avec la lame basale du cornet moyen (surlignée en blanc) séparant l ethmoïde antérieur (EA) de l ethmoïde postérieur (EP). S : sinus sphénoïdal. les sinus paranasaux assemblés en deux groupes en fonction de leur voie de drainage : les sinus antérieurs et les sinus postérieurs de la face : les sinus antérieurs (sinus maxillaire, sinus ethmoïdal antérieur et sinus frontal) se drainent dans la cavité nasale au niveau du méat moyen situé dans le tiers antérieur de la cavité nasale en dehors du cornet nasal moyen. Cette voie de drainage commune aux sinus antérieurs de la face explique que l infection d un de ces trois sinus peut s étendre aux deux autres, les sinus postérieurs (sinus sphénoïdal, sinus ethmoïdal postérieur) se drainent dans la cavité nasale au niveau du récessus sphéno-ethmoïdal situé dans le tiers postérieure de la cavité nasale en dedans du cornet nasal moyen. Cette voie de drainage commune aux sinus postérieurs de la face explique que l infection d un de ces deux sinus peut s étendre à l autre, les sinus antérieurs sont séparés des sinus postérieurs de la face par une lame osseuse «hermétique» : la lame basale du cornet moyen. Cette lame osseuse n est pas franchissable par les processus infectieux. Une infection localisée dans les sinus antérieurs ne peut donc pas «passer» dans les sinus postérieurs. Seule une tumeur peut lyser cette lame. Ainsi, on peut distinguer trois entités distinctes : la cavité nasale, les sinus antérieurs et les sinus postérieurs de la face Pour comprendre : la classification des dysfonctionnements rhinosinusiens (DRS) chroniques Les DRS sont soit saisonniers, soit perannuels. Mettons de côté la pathologie «saisonnière» dont les manifestations cliniques évocatrices reposent sur la classique unité de temps, de lieu et d action. Ce sont les rhinites allergiques saisonnières (maintenant dénommées «intermittentes»). Le diagnostic est un diagnostic d interrogatoire et ne requiert aucun bilan radiologique. La classification des DRS «perannuels» repose sur l étude anatomique. On distingue trois entités cliniques.
4 172 P. Bonfils / Revue française d allergologie 49 (2009) Les pathologies de la cavité nasale Dans les pathologies de la cavité nasale, les sinus sont sains : ce sont les «rhinites chroniques perannuelles» (maintenant dénommées «persistantes») Les pathologies «localisées» à un ou plusieurs sinus de la face Ces sinusites localisées atteignent soit les sinus antérieurs, soit les sinus postérieurs mais l atteinte ne peut pas être à la fois antérieure et postérieure. Il s agit d une maladie focale dont la diffusion s explique par l anatomie. Ainsi, si l infection naît dans le sinus maxillaire, elle peut entraîner un blocage inflammatoire au niveau du méat moyen et diffuser aux deux autres sinus antérieurs (le sinus frontal et le sinus ethmoïde antérieur) réalisant le tableau de pansinusite antérieure. Néanmoins, dans une telle pathologie, les sinus postérieurs ne seront jamais touchés. À l opposé, si l infection naît dans le sinus sphénoïde, elle peut entraîner un blocage inflammatoire au niveau du récessus sphéno-ethmoïdal et diffuser à l autre sinus postérieur : le sinus ethmoïdal postérieur, réalisant le tableau de pansinusite postérieure. Mais dans ce cas, les sinus antérieurs ne seront jamais touchés Les pathologies «diffuses» des sinus de la face : les rhinosinusites diffuses Une telle atteinte qui ne respecte pas l anatomie de séparation des sinus antérieurs et postérieurs ne peut s expliquer que par une maladie inflammatoire «diffuse» de la muqueuse nasale et sinusienne. Cette atteinte de la muqueuse respiratoire nasale dans son ensemble est souvent associée à une atteinte de la muqueuse respiratoire pulmonaire (triade de Widal) Le diagnostic positif valeur de l interrogatoire [2 4] Le diagnostic «positif» d un dysfonctionnement rhinosinusien chronique est un «diagnostic exclusivement d interrogatoire». Il doit être posé devant la présence de certains symptômes que l on peut regrouper en trois syndromes : un syndrome respiratoire : obstruction nasale, rhinorrhée antérieure, rhinorrhée postérieure, éternuements, pesanteurs et douleurs de la face ; un syndrome sensoriel : dysosmie (trouble de l odorat) quantitative et/ou qualitative. La dysosmie qualitative est essentiellement une hyposmie, voire une anosmie. La dysosmie qualitative est essentiellement une cacosmie, c est-à-dire la perception d une mauvaise odeur dans le nez, odeur parfois perçue par l entourage ; un syndrome tumoral : épistaxis, même modérés, déformation faciale, troubles orbitaires (exophtalmie, paralysie oculomotrice), mobilité anormale des dents. La présence d un élément sémiologique du syndrome tumoral doit faire craindre une tumeur bénigne ou maligne et conduire rapidement à un avis spécialisé ORL. Les DRS chroniques «perannuels» associent un syndrome respiratoire et sensoriel. Leur mode de révélation peut être schématisé Les symptômes sont permanents (profil 1) Le diagnostic est facile Les symptômes sont «en apparence» intermittents (profil 2) Le patient consulte uniquement lors de crises souvent fortes (qu il dénomme souvent «sinusite»). Le tableau est celui d une rhinosinusite aiguë. Néanmoins, lorsque de tels épisodes se déroulent plus de trois fois par an, il ne faut plus parler de rhinosinusite aiguë «à répétition» mais rechercher une maladie chronique sous-jacente. Dans ce contexte, l interrogatoire du patient permet souvent de retrouver des symptômes perannuels que le patient ne signalera plus spontanément car ces symptômes sont devenus pour lui d une grande banalité (discrète obstruction nasale chronique, mouchage quotidien, rhinorrhée postérieure à bas bruit, discrète perte de l odorat etc...). La présence de ces symptômes modérés à bas bruit, souvent oubliés, doit faire porter le diagnostic de DRS chronique. À quoi sert l interrogatoire? Il a trois buts : affirmer un diagnostic positif ; orienter vers un diagnostic topographique. En effet, si la plupart des symptômes n ont aucune valeur d orientation topographique (obstruction nasale, rhinorrhée antérieure et postérieure, éternuements), certains ont une forte valeur sémiologique d orientation : l anosmie signe la «rhinosinusite diffuse», la cacosmie et les douleurs violentes de la face signent la «sinusite localisée antérieure» de la face. suivre l évolution sous traitement. La cotation des symptômes dans une maladie chronique est essentielle car les patients ne se souviennent jamais de leur état lors de la dernière consultation. Une cotation simple peut être proposée : coter «0» quand le symptôme n existe pas, coter «1» quand le symptôme est modéré, coter «2» quand le symptôme est sévère. Dans ce cadre, le patient le signale le plus souvent spontanément. On peut alors résumer l observation par une suite de lettres et de chiffres : ON1, RA0, RP2, D0, ET0, OD2 (ce qui signifie obstruction nasale modérée, pas de rhinorrhée antérieure, rhinorrhée postérieure sévère, pas de douleur faciale ni d éternuements, perte de l odorat sévère) Le diagnostic topographique valeur de l examen tomodensitométrique (TDM) des cavités nasosinusiennes Le diagnostic topographique devant un DRS chronique perannuel est une étape fondamentale. Il repose avant tout sur l examen TDM qui doit être demandé de la manière suivante : coupes axiales et coronales ; sans injection de produit de contraste ;
5 P. Bonfils / Revue française d allergologie 49 (2009) en dehors de toute poussée aiguë : le seul intérêt du TDM devant une pathologie rhinosinusienne aiguë est de rechercher une complication devant des signes cliniques inquiétants. Faire un TDM à visée de diagnostic topographique lors d un DRS chronique en pleine poussée conduit à surestimer considérablement les lésions et à méconnaître les causes exactes de la pathologie ; en dehors d un traitement corticoïde per os récent : faire un TDM à visée de diagnostic topographique lors d un DRS chronique après un traitement corticoïde conduit à sousestimer considérablement les lésions inflammatoires qui vont disparaître sous l effet du traitement et à méconnaître les causes exactes de la pathologie. Le TDM des sinus doit être fait en période de calme (au moins un mois après la dernière crise) et en dehors de tout traitement corticoïde récent (au moins un mois). Ainsi, les résultats du TDM peuvent être résumés en quatre points : le TDM des sinus est normal (Fig. 1). Cela signe l absence de sinusite chronique. Il s agit par conséquent d une rhinite chronique ; le TDM met en évidence des opacités affectant les sinus antérieurs de la face (Fig. 2) : il s agit d une sinusite antérieure de la face (maxillaire, frontale et/ou ethmoïdale antérieure) ; le TDM met en évidence des opacités affectant les sinus postérieurs de la face : il s agit d une sinusite postérieure de la face (sphénoïdale et/ou ethmoïdale postérieure) ; le TDM met en évidence des opacités diffuses des sinus antérieurs et postérieurs de la face, de manière bilatérale et à peu près symétrique : il s agit d une rhinosinusite diffuse (Fig. 3) dont la polypose nasosinusienne est l exemple typique. L examen clinique permet également d orienter le diagnostic topographique. Néanmoins, pour être efficace, il doit être réalisé avec un fibroscope à lumière froide, geste de consultation usuel pour un ORL. Cet examen peut révéler : la présence de secrétions plus ou moins purulentes dont le siège oriente vers une origine sinusienne antérieure ou postérieure ; la présence de polypes. Une forme particulière de rhinosinusite diffuse est la polypose nasosinusienne caractérisée par la présence de polypes dans les deux cavités nasales ; la présence d une tumeur. Ainsi, le TDM est un des éléments essentiels du diagnostic d un DRS chronique à condition d être réalisé dans de bonnes conditions. C est un examen de diagnostic et non de suivi thérapeutique. Ainsi, pour un patient : un seul TDM est utile. Il est inutile de répéter les examens Le diagnostic étiologique les bilans à réaliser Chaque entité diagnostique doit conduire à des investigations spécifiques permettant d orienter le diagnostic étiologique Les rhinites chroniques Les rhinites chroniques doivent mener à un bilan allergologique afin de différencier les rhinites allergiques des rhinites non allergiques. Les rhinites chroniques représentent environ 40 % des diagnostics des DRS perannuels Les sinusites localisées antérieures Les sinusites localisées antérieures doivent mener à un bilan dentaire : examen clinique dentaire, examen de débrouillage type panoramique dentaire et surtout dentascanner de grande fiabilité diagnostique pour les lésions des apex dentaires. La Fig. 2. Examen TDM de la face chez un patient ayant une sinusite antérieure de la face. Coupe axiale A et sagittale B avec une opacité occupant le sinus ethmoïdal antérieur (EA) mais laissant totalement libre le sinus ethmoïdal postérieur (EP). SF : sinus frontal ; S : sinus sphénoïdal. La lame basale du cornet moyen n est pas franchie (surlignée en blanc).
6 174 P. Bonfils / Revue française d allergologie 49 (2009) Les sinusites localisées postérieures sont rares Les sinusites localisées postérieures sont rares (moins de 3 % des diagnostics) Les rhinosinusites diffuses Les rhinosinusites diffuses doivent mener à un bilan pulmonaire à la recherche d une hyperréactivité bronchique non spécifique lors d EFR avec un test à la métacholine. Des EFR simples ne suffisent pas dans ce contexte car elles sont souvent normales tandis que le test de provocation est pathologique. L association d une polypose nasosinusienne, d un asthme et d une intoléranceàl aspirineetauxains signe la maladie de Widal. Les rhinosinusites diffuses représentent environ 40 % des diagnostics des DRS perannuels. Il n y a aucun lien entre allergie et rhinosinusite diffuse. 3. Conclusion Le diagnostic positif, topographique et étiologique d un dysfonctionnement rhinosinusien repose sur une étude rigoureuse de l analyse des symptômes, de l examen fibroscopique endonasale qui doit être systématique et d un examen TDM des cavités nasosinusiennes qui doit être réalisé dans des conditions bien définies. On ne peut actuellement pas se contenter dans la prise en charge d un patient ayant un dysfonctionnement rhinosinusien perannuel d une simple étude de la symptomatologie sans une aide fibroscopique et TDM. Fig. 3. Examen TDM de la face chez un patient présentant une rhinosinusite diffuse. Coupe axiale A et sagittale B avec une opacité occupant aussi bien le sinus ethmoïdal antérieur (EA) que le sinus postérieur (EP) de façon bilatérale et symétrique. La lame basale du cornet moyen n est pas respectée (surlignée en blanc). présence au sein d une opacité du sinus maxillaire de microcalcifications plus ou moins étendues signe la présence d une aspergillose dont le traitement est exclusivement chirurgical. Les sinusites localisées antérieures représentent environ 20 % des diagnostics des DRS perannuels. Références [1] Bonfils P, Chevallier JM. Anatomie ORL,. 2 e ed., Éditions Flammarion; 2005, 428 pages. [2] Bonfils P, Halimi P, Le Bihan C, Norès JM, Avan P, Landais P. Correlation between nasosinusal symptoms and topographic diagnosis in chronic rhinosinusitis. Ann Otol Rhinol Laryngol 2005;114: [3] Bonfils P, Le Bihan C, Landais P. A clinical study of chronic perennial and permanent rhino-sinusal dysfunction. II. Clinical pattern of different pathologies. Ann Otolaryngol Chir Cervicofac 1999;116: [4] Bonfils P, Le Bihan C, Landais P. Semiologic study of chronic perennial and permanent paranasal sinus dysfunction. Prevalence of symptoms. Ann Otolaryngol Chir Cervicofac 1998;115:
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailArchived Content. Contenu archivé
ARCHIVED - Archiving Content ARCHIVÉE - Contenu archivé Archived Content Contenu archivé Information identified as archived is provided for reference, research or recordkeeping purposes. It is not subject
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailAPPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder
Page 1 APPENDIX 2 Provisions to be included in the contract between the Provider and the Obligations and rights of the Applicant / Holder Holder 1. The Applicant or Licensee acknowledges that it has read
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailDOCUMENTATION - FRANCAIS... 2
DOCUMENTATION MODULE CATEGORIESTOPMENU MODULE CREE PAR PRESTACREA INDEX : DOCUMENTATION - FRANCAIS... 2 INSTALLATION... 2 CONFIGURATION... 2 LICENCE ET COPYRIGHT... 3 SUPPORT TECHNIQUE ET MISES A JOUR...
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailORL et Allergies. DESC Allergologie
ORL et Allergies. DESC Allergologie Mars 2012 Dr C. Colin Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale, Hôpital de la Croix Rousse, Lyon Rhinites et rhinosinusites Le patient Son NEZ obstruction nasale céphalées
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailDOCUMENTATION - FRANCAIS... 2
DOCUMENTATION MODULE SHOPDECORATION MODULE PRESTASHOP CREE PAR PRESTACREA INDEX : DOCUMENTATION - FRANCAIS... 2 INSTALLATION... 2 Installation automatique... 2 Installation manuelle... 2 Résolution des
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailItem 313. Epistaxis (avec le traitement) Objectifs pédagogiques
Item 313. Epistaxis (avec le traitement) I. DIAGNOSTIC POSITIF ET DE GRAVITE II. LES DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS : III. Conduite à TENIR, devant une épistaxis quelle que soit son importance. IV. TRAITEMENT
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES
Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007
1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 15 PROJET DE
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailRèglement relatif à l examen fait conformément à la Déclaration canadienne des droits. Canadian Bill of Rights Examination Regulations CODIFICATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Canadian Bill of Rights Examination Regulations Règlement relatif à l examen fait conformément à la Déclaration canadienne des droits C.R.C., c. 394 C.R.C., ch. 394 Current
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailAMENDMENT TO BILL 32 AMENDEMENT AU PROJET DE LOI 32
THAT the proposed clause 6(1), as set out in Clause 6(1) of the Bill, be replaced with the following: Trustee to respond promptly 6(1) A trustee shall respond to a request as promptly as required in the
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailRailway Operating Certificate Regulations. Règlement sur les certificats d exploitation de chemin de fer CODIFICATION CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Railway Operating Certificate Regulations Règlement sur les certificats d exploitation de chemin de fer SOR/2014-258 DORS/2014-258 Current to September 10, 2015 À jour
Plus en détailServices Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000
Boston Scientific S.A.S 14, place Georges Pompidou BP 32 78184 Saint Quentin en Yvelines Cedex France Tel 33 (0)1 39 30 49 00 Fax 33 (0)1 39 30 49 01 www.bostonscientific.com Objet : Information sur les
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailCheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations. Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) SOR/2002-39 DORS/2002-39 Current to
Plus en détailL imagerie dentaire 3 D.
L imagerie dentaire 3 D. Tomographie, tomodensitométrie, Scanner (Ct Scan), tomographie volumétrique à faisceau conique ou CBCT (Cone Beam Computerized Tomography) tous ce termes font appel à la reconstitution
Plus en détailTHÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.
École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailÉvaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie
Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine
Plus en détailNORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices
NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD CEI IEC 747-6-3 QC 750113 Première édition First edition 1993-11 Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets Partie 6: Thyristors Section trois Spécification
Plus en détailFondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance
Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance Célia Boyer Directrice exécutive de la Fondation Liège, le 2 décembre 2013 Quelques chiffres sur l usage d Internet en santé
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailGeneral Import Permit No. 13 Beef and Veal for Personal Use. Licence générale d importation n O 13 bœuf et veau pour usage personnel CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION General Import Permit No. 13 Beef and Veal for Personal Use Licence générale d importation n O 13 bœuf et veau pour usage personnel SOR/95-43 DORS/95-43 Current to June
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailConférence Bales II - Mauritanie. Patrick Le Nôtre. Directeur de la Stratégie - Secteur Finance Solutions risques et Réglementations
Conférence Bales II - Mauritanie Patrick Le Nôtre Directeur de la Stratégie - Secteur Finance Solutions risques et Réglementations AGENDA Le positionnement et l approche de SAS Notre légitimité dans les
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailInterest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Interest Rate for Customs Purposes Regulations Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes SOR/86-1121 DORS/86-1121 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailAUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE
AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE PURPOSE The Audit Committee (the Committee), assists the Board of Trustees to fulfill its oversight responsibilities to the Crown, as shareholder, for the following
Plus en détailFiled December 22, 2000
NEW BRUNSWICK REGULATION 2000-64 under the SPECIAL PAYMENT TO CERTAIN DEPENDENT SPOUSES OF DECEASED WORKERS ACT (O.C. 2000-604) Regulation Outline Filed December 22, 2000 Citation..........................................
Plus en détailForthcoming Database
DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of
Plus en détailUtiliser un proxy sous linux
Utiliser un proxy sous linux Par LoiselJP Le 22/05/2013 Objectif Les systèmes d exploitation sont de plus en plus gourmand en ressource, notemment en consommation réseau. C est d autant plus vrai que Linux
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détail3 ème rencontre autour de la DCP
3 ème rencontre autour de la DCP Cette troisième rencontre a pu se dérouler à Reims grâce à Christine Pietrement et Gilles Denis, qui ont souhaité l organiser dans leur ville et que nous remercions pour
Plus en détailPAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire
PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailC H A P T E R 4 C H A P I T R E 4. (Assented to June 16, 2011) (Date de sanction : 16 juin 2011)
C H A P T E R 4 C H A P I T R E 4 THE PRESCRIPTION DRUGS COST ASSISTANCE AMENDMENT ACT (PRESCRIPTION DRUG MONITORING AND MISCELLANEOUS AMENDMENTS) LOI MODIFIANT LA LOI SUR L'AIDE À L'ACHAT DE MÉDICAMENTS
Plus en détailVMware ESX : Installation. Hervé Chaudret RSI - Délégation Centre Poitou-Charentes
VMware ESX : Installation VMware ESX : Installation Créer la Licence ESX 3.0.1 Installation ESX 3.0.1 Outil de management Virtual Infrastructure client 2.0.1 Installation Fonctionnalités Installation Virtual
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailn.paradoxa online, issue 3 May 1997
n.paradoxa online, issue 3 May 1997 Editor: Katy Deepwell 1 Published in English as an online edition by KT press, www.ktpress.co.uk, as issue 3, n.paradoxa: international feminist art journal http://www.ktpress.co.uk/pdf/nparadoxaissue3.pdf
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailSupport Orders and Support Provisions (Banks and Authorized Foreign Banks) Regulations
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Support Orders and Support Provisions (Banks and Authorized Foreign Banks) Regulations Règlement sur les ordonnances alimentaires et les dispositions alimentaires (banques
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailQuick Start Guide This guide is intended to get you started with Rational ClearCase or Rational ClearCase MultiSite.
Rational ClearCase or ClearCase MultiSite Version 7.0.1 Quick Start Guide This guide is intended to get you started with Rational ClearCase or Rational ClearCase MultiSite. Product Overview IBM Rational
Plus en détailFormation en Implantologie
COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques
Plus en détailGarage Door Monitor Model 829LM
Garage Door Monitor Model 829LM To prevent possible SERIOUS INJURY or DEATH from a closing garage door: NEVER permit children to operate or play with door control push buttons or remote control transmitters.
Plus en détailFirst Nations Assessment Inspection Regulations. Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION First Nations Assessment Inspection Regulations Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations SOR/2007-242 DORS/2007-242 Current to September
Plus en détailFÉDÉRATION INTERNATIONALE DE NATATION Diving
QUALIFICATION SYSTEM - 2 ND SUMMER YOUTH OLYMPIC GAMES - NANJING 2014 FÉDÉRATION INTERNATIONALE DE NATATION Diving A. Events (5) MEN S EVENTS (2) WOMEN S EVENTS (2) MIXED EVENTS (2) 3m individual springboard
Plus en détailTHE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002
2-aes THE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002 MOVED BY SECONDED BY THAT By-Law 19 [Handling
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailRULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5
RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS General Rules for Manner of Service Notices of Application and Other Documents 5.01 (1) A notice of application or other document may be served personally, or by an alternative
Plus en détail