Contexte conjoncturel. Indicateur du Climat des Affaires

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1 Tendances régionales Les entreprises en Languedoc-Roussillon- Midi-Pyrénées Contexte conjoncturel Indicateur du Climat des Affaires Un indicateur du climat des affaires permet une lecture rapide et simplifiée de la situation conjoncturelle. Il résume par une variable synthétique l évolution des soldes d opinion qui présentent des évolutions similaires dans le temps. En hausse, il traduit une amélioration du climat conjoncturel ; en baisse, sa dégradation. 100 = moyenne de longue période Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées ICA Languedoc-Roussillon ICA France ICA Midi-Pyrénées ICA France Contexte national Après une année 2014 atone, le climat des affaires s est légèrement redressé en L activité reste toutefois en deçà de son niveau moyen de longue période dans tous les grands secteurs d activité, industrie, services et construction. La reprise progressive de l activité en zone Euro a bénéficié à l économie française, mais a été atténuée par le ralentissement des pays émergents. Au niveau national, l impact économique des attentats meurtriers de janvier et novembre a globalement été temporaire et limité à certains secteurs des services marchands. En 2015, le PIB a progressé de 1,1 %, après une croissance de 0,2 % en La contribution au PIB de la demande intérieure hors stocks est de 1,1 point en 2015 après 0,5 en Cette progression provient en grande partie de la hausse de la consommation des ménages (+1,4 %, après +0,6 % en 2014), elle-même portée par une amélioration globale du pouvoir d achat. L investissement des entreprises a poursuivi sa progression (+2,0 % en 2015 comme en 2014), soutenu par le CICE et le dispositif de suramortissement. L investissement des ménages a reculé de nouveau, mais moins fortement qu en 2014 (-3,0 % après -5,3 %) : le marché de l immobilier neuf reste mal orienté en dépit du dispositif Pinel. La variation de stocks a contribué positivement à la croissance (+0,2 point), contrairement au commerce extérieur (-0,1 point). Le solde des échanges extérieurs de marchandises s est amélioré, mais reste déficitaire (-46 milliards d euros entre décembre 2014 et novembre 2015, après -58 en 2014). Les exportations se sont intensifiées, sous l effet simultané de la baisse du taux de change de la monnaie unique et de la bonne tenue de l activité de nos partenaires commerciaux. Le solde des échanges extérieurs de services est quant à lui positif, mais un peu moins élevé qu en Le taux de chômage reste élevé en 2015 (10,5 % comme en 2014). Les prix à la consommation sont restés stables en variation annuelle, après +0,5 % en La faiblesse de l inflation est notamment le fait du repli des prix des produits pétroliers et des autres matières premières. Dans ce contexte, la BCE a adopté des mesures d assouplissement quantitatif, qui ont fait reculer les risques déflationnistes et ont soutenu l activité économique (impact de +0,3 % sur le PIB). L accès des entreprises au crédit bancaire a été dans l ensemble aisé en 2015, la situation des TPE apparaissant à cet égard relativement moins favorable que celle des plus grandes entreprises. Tous les graphiques de ce document sont réalisés à partir des données collectées par la Banque de France. Reproduction autorisée en citant la source.

2 4, CA total 3,8% 0,9% 0,7% Synthèse En 2015, les chiffres d affaires des entreprises industrielles de la région se sont inscrits en progression de par rapport à l exercice précédent. Les plus fortes hausses ont été observées dans le matériel de transport (+7,6%) et dans le secteur des équipements électriques, électroniques et autres machines (+5,). La croissance a été plus modérée dans les industries agroalimentaires (+1,7%) et dans la fabrication des autres produits industriels (+1,), dont les évolutions divergent selon les branches. Les effectifs ont légèrement augmenté (+0,9%) grâce aux recrutements effectués dans le matériel de transport et les industries agroalimentaires. L investissement a faiblement progressé (+0,). Pour, les chefs d entreprise tablent sur une croissance d activité comparable à celle de 2015 (+3,8%), sur une consolidation des effectifs (+0,7%) et sur une hausse des budgets d investissements (+1). Construction , 0,9% -1, -1,7% Production Dans le BTP, la production s est encore contractée (- 1,). L activité a reculé dans les travaux publics (-) mais une reprise s est dessinée dans le bâtiment (+0,3 %). Les effectifs ont baissé (-1,7%). Les investissements ont fortement diminué (-23,). L activité devrait être mieux orientée en et enregistrer une croissance de 1,. Le bâtiment serait à l origine de ce redressement (+1,8%) alors que les travaux publics parviendraient à limiter la baisse de la production (-0,6%). Les effectifs (+0,9%) devraient bénéficier de cette légère reprise de l activité. Services marchands 1 3, 2, 2, Les services aux entreprises ont enregistré une croissance de 3, de leur chiffre d affaires. Tous les secteurs ont vu leur activité progresser. Le secteur des services a apporté une contribution positive à l emploi (+). Les investissements ont reculé de manière inégale selon les branches. CA total Les prévisions tablent sur une nouvelle augmentation des courants d affaires (+) et de l emploi (+2,). Banque de France - Les entreprises en LR-MP Bilan Perspectives Page 2 sur 11

3 Chiffre d affaires 1 7,6% 4, 3,8% 1,7% 3, 5, 1,6% 3,9% 1, 4,6% INDUSTRIE Ind. alimentaires Equip. électr. et électro. Mat. de transport Autres produits industriels Le chiffre d affaires de l industrie régionale a progressé (+) en Les quatre secteurs ont enregistré une croissance de leur activité. Les industries agro-alimentaires ont globalement connu une légère augmentation de leurs chiffres d affaires. Les évolutions ont été différentes selon les filières. Les industries de la transformation-conservation des fruits et légumes et la fabrication de produits de boulangerie-pâtisserie ont été les plus actives. A l inverse, le secteur de la transformation-conservation des viandes a marqué un léger repli. Les industries d équipements électriques et électroniques et autres machines ont enregistré une progression de 5,2 % de leurs chiffres d affaires. La fabrication de produits informatiques et électroniques et la fabrication de machines et équipements ont été particulièrement bien orientées. Dans le matériel de transport, les chiffres d affaires ont augmenté de 7,6 %. L activité a été soutenue dans la branche automobile qui a affiché une hausse de 7%. La branche aéronautique et spatiale a également bien performé avec une croissance de 7,7%. Dans la fabrication d autres produits industriels, l activité a globalement progressé (+1,) mais les évolutions ont été contrastées dans les différentes branches : baisse dans le textile et l habillement et dans la fabrication de produits en caoutchouc et en plastique ; croissance dans les autres branches, avec toujours une hausse marquée dans la filière usinage et traitement des métaux. Les prévisions dans l industrie pour s inscrivent dans le prolongement de l année écoulée avec une progression du chiffre d affaires qui serait proche de 3,8%. La croissance serait un peu plus homogène entre les branches. Les industries agro-alimentaires devraient être plus dynamiques mais la hausse attendue pourrait pâtir des conséquences de la grippe aviaire sur les filières de transformation et conservation. La stabilité attendue de la production dans l industrie automobile pèserait sur le dynamisme de la branche matériels de transport alors même que l aéronautique bénéficierait encore d une activité soutenue. Le ralentissement de la croissance des équipements électriques et électroniques serait principalement imputable à la baisse d activité des fabricants de machines et équipements pour l industrie parapétrolière. Enfin, les autres produits industriels pourraient bénéficier d un redémarrage progressif des filières amont de la construction. Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 3 sur 11

4 Exportations 1 6, 7, 7, 2, 3, 4, 4, -1, - -2,8% INDUSTRIE Ind. alimentaires Equip. électr. et électro. Mat. de transport Autres produits industriels Les exportations ont globalement progressé de 6,. Le matériel de transport et les équipements électriques et électroniques ont bénéficié d une demande étrangère active. La croissance a été plus modérée dans l agroalimentaire et les autres produits industriels. Les prévisions pour sont plus mesurées (+2,), avec des contributions négatives de l agroalimentaire et des équipements électriques et électroniques. 2, 0,9% 0,7% 1, 0, -0, 0, 1, 0,8% -0, - INDUSTRIE Ind. alimentaires Equip. électr. et électro. Mat. de transport Autres produits industriels Les effectifs industriels se sont légèrement confortés (+0,9%). Comme au cours des années précédentes, le secteur du matériel de transport a été le plus actif grâce, notamment, aux embauches du secteur automobile (+). L industrie agroalimentaire affiche également de bons résultats en la matière (+1,), grâce au dynamisme des filières de la transformation des fruits et légumes et de la fabrication de produits de boulangerie-pâtisserie. Les prévisions d embauche pour sont très prudentes (+0,7%) ; la plupart des secteurs anticipent une stabilité, ou une très légère augmentation de leurs effectifs. Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 4 sur 11

5 Investissements ,8% , 15,7% -3, 25, 1,8% INDUSTRIE Ind. alimentaires Equip. électr. et électro. 6,8% -11,8% Mat. de transport 0, 10, Autres produits industriels Les dépenses d investissement ont peu varié en Seul le secteur des matériels de transport s est démarqué de cette tendance en affichant une augmentation de 6,8%. L effort d investissement a davantage porté sur du matériel de production que sur l immobilier d entreprise. Les programmes d investissements pourraient être plus fournis en, à l exception des matériels de transport qui semblent disposer de moyens de production suffisants pour absorber la hausse de production attendue. Rentabilité d exploitation (soldes d opinions bruts en %) Evolution 36% % 1 La rentabilité d exploitation s est améliorée en 2015 pour 4 des entreprises interrogées, s est maintenue pour 36%, et s est dégradée pour 2. L analyse par secteur fait toutefois ressortir quelques différences par rapport à l évolution d ensemble. Dans la fabrication de matériels de transport notamment, près des deux tiers des chefs d entreprises font état d une amélioration de leur rentabilité et seulement 10 % d une baisse. L agroalimentaire est le secteur qui enregistre la plus forte diminution de la rentabilité (près d un tiers des sociétés interrogées). Les prévisions sont prudentes, dans l ensemble la stabilité prévaudrait. Seules 1 des entreprises anticipent une nouvelle dégradation de leur rentabilité. Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 5 sur 11

6 Tableaux synthétiques sectoriels s agricoles et alimentaires Équipements électriques et électroniques 8% 7% 7, 1,7% 1, 6% 5, - 1,8% CA Total dont CA export Eff totaux -3, Invest - CA Total dont CA export -0, Eff totaux Invest Fabrication de matériel de transport Fabrication d autres produits industriels 8% 7% 6% 7,6% 7, 6,8% 4, CA Total dont CA export 2, Eff totaux Invest - 1, CA Total dont CA export -0, Eff totaux 0, Invest Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 6 sur 11

7 Construction Production 2,6% 1, 0, 1,8% 1, 1, -1, -0,8% -0,6% - -6% -5, Total Construction Bâtiment Gros Œuvre Second Œuvre Travaux Publics La baisse d activité du secteur de la construction a été d une ampleur mesurée (-1,). Dans le bâtiment, si la production a retrouvé un peu de dynamisme dans le second œuvre (+), le gros œuvre a encore vu son activité fléchir de 0,8%. Pour les travaux publics, le recul a été significatif (-). Les prévisions des chefs d entreprises sont plus encourageantes. La reprise dans le bâtiment (+1,8%) se confirmerait, notamment dans les entreprises du gros œuvre (+2,6%). Les fortes baisses dans les travaux publics seraient derrière nous avec un repli de la production de 0,6% seulement. 0,9% 1,7% 2, - -1,7% -2, -1, -0, -0, -1,7% - -6% -4, Total Construction Bâtiment Gros Œuvre Second Œuvre Travaux Publics Dans la construction, les effectifs ont diminué de 1,7%. Globalement, le repli a été plus fort dans le bâtiment, et tout particulièrement dans le gros œuvre (-). Une nouvelle baisse des effectifs est intervenue dans les travaux publics (-0,). En, l emploi se conforterait de 0,9%, grâce aux embauches dans le bâtiment (+1,7%). Par contre, les travaux publics continueraient à détruire de l emploi (-1,7%). Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 7 sur 11

8 Construction Investissements 2 8,9% -2-9, -23, -24,7% -12, -20, -7, -21, -4,9% -4-36,8% -6 Total Construction Bâtiment Gros Œuvre Second Œuvre Travaux Publics Les dépenses d investissement ont fortement reculé ; seul le gros œuvre affiche une évolution positive. Aucune reprise significative n est envisagée par les chefs d entreprise pour. Rentabilité d exploitation (soldes d opinions bruts en %) Evolution Dans un environnement où la concurrence est restée très vive, la rentabilité du secteur de la construction s est encore affaiblie ; 3 des entreprises annoncent une diminution de leur rentabilité. Cet indicateur est homogène sur les trois branches, avec toutefois un positionnement légèrement plus défavorable dans les travaux publics (38% des sociétés ont connu une baisse de rentabilité). Pour, 64 % des entreprises anticipent un maintien de leur rentabilité et 13 % une nouvelle dégradation de leurs marges. Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 8 sur 11

9 Services aux entreprises Chiffre d affaires 6% 3, 2, 3, 2,7% 2, 4,8% 4, Ensemble des services Transports Hébergement Information et communication Activités spécialisées Les services aux entreprises ont enregistré une progression d activité (+3,) en Les branches des transports et des activités spécialisées ont été les plus dynamiques (+). Au sein des activités spécialisées, les sociétés d ingénierie ont affiché une croissance de 4,8%. La hausse plus modérée dans la branche information et communication (+2,) masque la bonne performance des sociétés informatiques (+4,). Les prévisions restent raisonnablement optimistes (+) pour. Le secteur de l informatique (+6,) apporterait une contribution importante à la croissance de l activité de l ensemble des services. Dans l ingénierie, les courants d affaires progresseraient à nouveau de 4,9%. 6% - 2, 2, 4, 1, -0, 0, 0,7% 3, 1,7% 2, - -6% Ensemble des services Transports Hébergement Information et communication Activités spécialisées Les effectifs ont été confortés dans la majorité des services (+), à la faveur de recrutements plus nourris dans les transports (+4,) et l ingénierie (+2,7%). Pour, la croissance des effectifs des services (+2,) serait tirée par l informatique (+4,) et, dans une moindre mesure, par l ingénierie (+2,). Banque de France - Les entreprises en LR-MP Bilan Perspectives Page 9 sur 11

10 Bilan 2015 Perspectives Services aux entreprises Investissements 2 14,9% ,7% -4,9% -1,7% -0,8% -22,7% -9, -4-34, -43, -6 Ensemble des services Transports Hébergement Information et communication Activités spécialisées Les investissements ont diminué en 2015 dans les différentes branches. Pour, seules les activités spécialisées annoncent une reprise de l investissement. Rentabilité d exploitation (soldes d opinions bruts en %)) Evolution 47% % 1 En termes de rentabilité d exploitation, la tendance générale est à un maintien, à l exception du secteur de l hôtellerierestauration et de l ingénierie où un quart des entreprises annoncent une diminution. En, les hausses de rentabilité seraient plus sensibles et les baisses moins importantes. La forte croissance de l activité des sociétés d informatique aurait peu d incidence sur la rentabilité (77% anticipent une stabilité). A l inverse, deux tiers des sociétés d ingénierie pourraient connaître une amélioration de leurs performances. Banque de France Les entreprises en LR-MP Page 10 sur 11

11 Méthodologie Cette enquête a été réalisée de mi-novembre 2015 à mi-janvier par les unités de la Banque de France de la région Languedoc-, auprès d un échantillon d entreprises et d établissements appartenant à l industrie, à la construction et aux services aux entreprises. Les questions ont porté sur l évolution de l activité, des effectifs, de la rentabilité et des investissements et sur les prévisions pour. Les résultats nous ont été communiqués sous forme de données brutes et les prévisions sous forme d estimations. À ce titre, cette étude demeure une enquête de tendance et reflète l état des anticipations des chefs d entreprise. La Banque de France tient à les remercier très sincèrement pour leur précieuse contribution. INDUSTRIE : TERMINOLOGIE s agricoles et alimentaires : produits laitiers, transformation de la viande, boulangerie-pâtisserie industrielles Équipements électriques et électroniques : produits informatiques et électroniques, équipements électriques, machines-outils Matériels de transports : aéronautique, spatial, automobile Autres produits industriels : textile-habillement-cuir, bois et papier, chimie, pharmacie, métallurgie, mécanique et usinage CONSTRUCTION : Bâtiment : gros œuvre et second œuvre Travaux publics SERVICES MARCHANDS : Transports et entreposage Hébergement Information et communication : édition et activités informatiques Activités spécialisées, scientifiques et techniques : ingénierie et études techniques, publicité, location de matériel, travail temporaire, nettoyage REPRESENTATIVITE Secteurs d activité Nombre d entreprises concernés Taux de couverture % Construction % Services % «Aucune représentation en reproduction, même partielle, autre que celles prévues à l article L et 3 a du code de la propriété intellectuelle ne peut être faite de la présente publication sans l autorisation expresse de la Banque de France ou, le cas échéant, sans le respect des modalités prévues à l article L dudit code» Retrouvez LA CONJONCTURE EN REGION, TENDANCES RÉGIONALES sur le site Internet de la Banque de France - Rubrique "Économie et statistiques" Jusqu au mois de juin, les analyses conjoncturelles des Directions Régionales de la Banque de France couvrent les périmètres des anciennes régions. À compter de juillet, les enquêtes porteront sur la région Languedoc- Banque de France - Les entreprises en LR-MP Bilan Perspectives Page 11 sur 11

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