Qualité de la prise en charge médicale des Ehpad en Midi-Pyrénées

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Qualité de la prise en charge médicale des Ehpad en Midi-Pyrénées"

Transcription

1 Qualité de la prise en charge médicale des Ehpad en Midi-Pyrénées RESULTATS REGION Situation à 18 mois 1

2 SOMMAIRE Introduction Caractéristiques des échantillons (Ehpad et résidents) Evolution de la filière Evolution des indicateurs qualité

3 INTRODUCTION Rappels et caractéristiques du projet Objectifs et méthode de l enquête Cadre d exploitation et analyse 3

4 Rappels et caractéristiques du projet L ARS, le Gérontopôle de Midi-Pyrénées et l ORS se sont associés dans le cadre d un projet de recherche-action régional et partenarial en faveur du développement de la qualité de la prise en charge médicale en Établissement d Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (Ehpad). De cette initiative est né le projet IQUARE, Impact de la Démarche Qualité sur l évolution des pratiques et le déclin fonctionnel des résidents en Ehpad. Objectifs visés par le projet IQUARE L intervention proposée repose sur l hypothèse qu une démarche d auto-évaluation de la qualité en accompagnée d une restitution critique à l et d un soutien renforcé contribue à l amélioration des pratiques de soins et de leur organisation au sein de la structure. Principes généraux du projet Le projet associe deux types d approches complémentaires, celle du Gérontopôle et celle de l ARS, tant dans l état des lieux que dans l accompagnement. Il porte à la fois sur les pratiques de soins individuelles, institutionnelles et sur les organisations. Basées sur un bilan et une analyse dans ces différents champs, des actions seront conduites par les partenaires dans leurs champs respectifs. La démarche repose sur le volontariat des Ehpad de la région Midi-Pyrénées Programme d intervention Le programme d intervention est composé de 3 grandes phases : Une phase DIAGNOSTIC : Elle démarre avec l organisation d une enquête T0, réalisée auprès des équipes des Ehpad volontaires (directeurs, médecins coordonnateurs et infirmier(e)s référent(e)s). Cette enquête comprend un volet institutionnel portant sur les organisations et un volet résident permettant de mesurer des indicateurs de suivi de la qualité proposés par l ANESM et la HAS autour de thématiques gériatriques majeures (démence, troubles du comportement, contention, ostéoporose, chutes, nutrition, escarres, douleur) et d évaluer les pratiques relatives à la prescription médicamenteuse et à la filière de soin, L exploitation des informations recueillies permet ainsi de dresser un état des lieux global régional, départemental et par de la prise en charge médicale des résidents à travers l exploration de différents axes (profil résidents, pratiques de soin, organisation interne, filière gériatrique ). Ces données sont ensuite restituées : - d une part de manière individuelle aux Ehpad ayant participés à l enquête T0. Ces données ne sont pas communiquées à l ARS. Chaque directeur et médecin coordonnateur d Ehpad reçoit les résultats de son établissement, directement de l ORS. - d autre part, de manière collective et partagée à l échelle régionale et départementale auprès de l ensemble des professionnels impliqués dans la démarche. Une phase ACCOMPAGNEMENT : L accompagnement proposé par les pairs(les gériatres hospitaliers) et les délégations territoriales à l échelle des territoires sélectionnés, les bassins de santé, repose avant tout sur le principe d évaluation concertée et formative. A partir du diagnostic, des pistes d actions susceptibles d améliorer la prise en charge médicale des résidents peuvent être définies. Un accompagnement spécifique est alors proposé aux Ehpad dans le but de soutenir la mise en œuvre de ces actions d amélioration. Pour cela, deux types d accompagnement sont mis en place de façon concomitante et complémentaire : un accompagnement individuel des Ehpad participants est organisé par le gériatre hospitalier de la filière et un accompagnement collectif impliquant de nombreux partenaires est organisé par la délégation territoriale du département. Seule une partie des Ehpad ayant participé à la phase de diagnostic bénéficie de cet accompagnement. La répartition des Ehpad 4

5 entre groupe accompagné (= intervention forte, continue et spécifique) et groupe non accompagné (= intervention légère) se fait en fonction du bassin de santé d appartenance. Une phase BILAN : A l issue de la phase d accompagnement et de la mise en œuvre des actions d amélioration, un deuxième temps d enquête est organisé selon les mêmes modalités que celles réalisées à T0 et auprès de l ensemble des Ehpad ayant répondu à T0, qu ils aient bénéficiés ou non de l accompagnement. L exploitation de ces données permet une analyse comparative des résultats entre les 2 temps d enquête et entre les 2 groupes d Ehpad (avec et sans intervention). Schéma général du projet Sélection des Ehpad Appel à candidature L enquête est réalisée auprès d Ehpad qui se sont portés candidats, de manière volontaire, pour participer à la démarche qualité proposée dans le cadre du projet IQUARE. Les délégations territoriales de l ARS (DT) ont été chargées de recenser, au niveau de leur département, les Ehpad candidats préalablement informés par courrier du lancement du projet. Sélection des résidents Protocole d échantillonnage L enquête repose pour partie sur l étude d un échantillon de résidents constitué par les médecins coordonnateurs de chaque structure volontaire parmi les résidents présents dans l établissement au démarrage de l enquête T0. Tous les résidents, indépendamment de leur état de santé, âge ou degré de dépendance, peuvent être retenus pour participer à cette enquête à condition d être accueilli au sein de l Ehpad depuis au moins 30 jours au moment de l échantillonnage. Ce dernier est réalisé par tirage au sort à partir d une liste «aléatoire» des résidents permettant d éviter que ces derniers ne soient ordonnés en fonction de critères pouvant biaiser le tirage au sort. La taille de l échantillon dépend de l effectif total des personnes accueillies en hébergement permanent dans l Ehpad. 5

6 Un identifiant unique est attribué à chaque résident inclus dans l enquête par le médecin coordonnateur qui conserve la liste des résidents inclus et le code correspondant afin de pouvoir renseigner les données concernant ces mêmes résidents lors du 2 ème temps d enquête. Pour la deuxième phase d enquête réalisée 18 mois après la première, l échantillon constitué initialement est conservé et les données sont recueillies selon 3 modalités : Le questionnaire est à nouveau renseigné pour l ensemble des résidents inclus à «T0» et toujours présents à «T18» Pour les résidents sortis d étude entre les deux temps d enquête (décès, transferts, retour au domicile ) le questionnaire n est pas à renseigner. Cependant pour ces derniers les motifs de sortis sont précisés. Le remplacement des résidents sortis d étude, selon les même modalités que l échantillonnage initial (tirage au sort à partir d une liste aléatoire) avec attribution d un nouveau code, est à réaliser pour compléter l échantillon ; les questionnaires sont également à renseigner pour ces «nouveaux» résidents. Le nombre de résidents «présents/vivants» dans l échantillon à «T0» et «T18» est identique. Sélection des bassins «Accompagnés» L accompagnement est prévu en deux vagues et est initialement conduit pour une partie des bassins de la région, et donc sur une partie des Ehpad, afin de répondre à un principe de réalité (en regard des moyens d intervention) et à un choix méthodologique (évaluation comparative à 18 mois entre Ehpad accompagnés et Ehpad non accompagnés). Les Ehpad participant à l étude IDEM (étude de recherche clinique centrée sur la prise en charge de la démence et conduite parallèlement à IQUARE) sont exclus de cet accompagnement afin d éviter que les résultats des travaux de recherche engagés soient biaisés. Le 2 ème groupe d des bassins non accompagnés sera accompagné dans un 2 ème temps après l enquête T18. Les critères de choix des premiers bassins accompagnés ont ainsi été définis : - présence d une équipe de gériatres volontaires - filière gériatrique existante - nombre d participants suffisants - dynamique territoriale en place L accompagnement concerne tous les participant au projet dans un même bassin afin de favoriser une dynamique cohérente et une mobilisation d acteurs de proximité. L accompagnement lors de la 1 ère vague a porté sur 1, 2 ou 3 bassins par département. 6

7 Objectifs et méthode de l enquête Objectifs spécifiques de l enquête A T0 l enquête a permis de dresser un état des lieux de la prise en charge des résidents au sein des Ehpad de Midi-Pyrénées (à travers une description des profils des résidents, des pratiques de soins et de leur organisation dans les structures). A T18, il s agit d observer l évolution des pratiques de soin et leur organisation au sein des Ehpad entre T0 et T18 tout en permettant la comparaison des tendances entre les établissements accompagnés et les établissements non accompagnés. Parallèlement à cela, ce sont les répercussions du projet sur l état des résidents qui seront appréciés à partir de l évolution de la dépendance mesurée sur la cohorte des résidents présents à T0 et encore présents à T18 : Comparaison de l évolution des différents items du GIR réalisé entre les deux périodes entre les résidents des Ehpad accompagnés et non accompagnés participants au recueil de données Comparaison avec l évolution à 1 an des GIR des résidents d Ehpad ne participant pas à l étude IQUARE (= enquête complémentaire actuellement en cours) Support de l enquête = un portail de saisie en ligne Un portail dédié à l étude «IQUARE» a été développé afin de permettre la saisie en ligne des différentes informations de manière auto-administrée et la récupération automatique et sécurisée de ces données par l ORSMIP en charge de leur traitement. Un accès individuel au portail IQUARE, sécurisé par un mot de passe unique, est prévu pour chaque professionnel impliqué dans la démarche : Directeur de l Ehpad, Médecin Coordonnateur et Infirmier Coordonnateur. Questionnaires pour le recueil des données Le contenu et les modalités de cette enquête ont été définis conjointement par le Gérontopôle, l'agence Régionale de la Santé, l'observatoire Régional de la Santé et des représentants des médecins coordonnateurs (test et validation des questionnaires élaborés dans le cadre de cette enquête). L enquête repose sur 2 volets complémentaires : Un volet Institutionnel Un questionnaire élaboré sous forme de «Fiche Etablissement» permet de décrire les caractéristiques de l établissement dont : - les capacités en lits (hébergement permanent, unité protégée, places PASA) - le degré de dépendance et le besoin en soins (GMP-PMP) - les professionnels intervenant (ratios, qualification, relations avec les médecins généralistes) - les liens avec la filière gériatrique et psychiatrique (accès avis/hospitalisation) - la gestion des médicaments - l organisation de la prise en charge au niveau de l animation, des soins dentaires, du suivi des chutes et de la préparation des repas - le dossier de soins informatisé - le développement de projet de soins personnalisé 7

8 Un volet Résident : Pour chaque résident de l échantillon constitué par le médecin coordonnateur une «Fiche Résident» doit être renseignée et la «Fiche Traitement» anonymisée de ce dernier doit être transmise à l ORSMIP. Cela permet ainsi de recueillir des informations sur : - le profil des résidents accueillis (âge, sexe, ancienneté dans l institution, niveau de dépendance, pathologies diagnostiquées telles que démence, maladie psychiatrique, troubles du comportement, ostéoporose ) - l organisation de la filière médicale (provenance des résidents, hospitalisations dont recours aux urgences ) - la prise en charge de la démence et des troubles du comportement (évaluation cognitive-évaluation des TC Traitement) - l identification de la dépression - la prise en charge de la douleur et de la fin de vie (évaluation traitement) - la prise en charge de l ostéoporose (ATCD de fracture traitement) - la prise en charge des chutes (réexamen des prescriptions) - la prévention des escarres (évaluation du risque) - les pratiques en termes de contention (prescription-réévaluation) - le suivi de la nutrition (pesées régimes) - les pratiques en matière de prescription et surveillance médicamenteuses et médecine préventive (nombre de lignes thérapeutiques, prescription de psychotropes, associations inappropriées, réévaluation des prescriptions, recherche de clearance, vaccinations) En parallèle, les fiches traitement de ces mêmes résidents sont transmises à l ORSMIP qui se charge de leur saisie en interne. L ensemble des données ainsi recueillies permet de mesurer les indicateurs qualité proposés par l ANESM et l HAS. Définition des indicateurs de qualité Les indicateurs retenus pour suivre la qualité de la prise en charge médicale sont ceux proposés par l ANESM (Agence nationale de l évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux) ou par l HAS (Haute autorité de santé), validés ou en cours de validation. Ils permettent de s interroger sur les pratiques en matière de prévention des risques et de prise en charge de problèmes de santé spécifiques. Ils sont regroupés en 5 chapitres : - Démence, troubles du comportement et de l humeur, pathologies psychiatriques - Chutes, contention - Nutrition, escarre, - Douleur, fin de vie - Prescription médicamenteuse Quelle que soit la thématique abordée, sont précisés : - Des indicateurs d alerte qui fournissent une indication sur la fréquence de situations à risque, de problèmes, ou de pratiques qui doivent conduire à s interroger et ne peuvent être interprétés qu avec la mesure de l indicateur de maîtrise. Ils objectivent un niveau de risque potentiel. - Des indicateurs de maitrise qui permettent d apprécier le niveau de mise en œuvre des actions, la qualité des pratiques cliniques. C est une mesure dynamique et prospective qui traduit la gestion du risque, la qualité des pratiques cliniques et son évolution. - Des indicateurs de contexte qui participent à l interprétation des précédents indicateurs. Les indicateurs de pratique clinique Alerte et Maîtrise - IPC AMI - permettent de repérer les situations à risque (Alerte) et de mettre en œuvre les actions d amélioration (Maîtrise). Ce couple Alerte / Maîtrise fournit une information de haute pertinence médicale, synthétique et référencée sur les enjeux (alerte) et sur la qualité de la prise en charge au bénéfice du patient (maîtrise). Il est donc nécessaire d associer autant que possible des indicateurs d alerte (IA) et indicateurs de maîtrise (IM) et des variables explicatives (VE) afin d analyser, discuter les résultats et engager des actions d accompagnement. 8

9 Cadre d exploitation et analyse L analyse des variations de l ensemble des indicateurs sélectionnés est réalisée à l échelle régionale à partir des données récupérées pour les deux types de «populations» (accompagné/non accompagné). En préalable, le profil de chaque échantillon, accompagné et non accompagné, tant au niveau des structures que des résidents inclus, est détaillé à T0 et T18. Cette partie permet de connaître les populations sur lesquelles le travail a été mené au cours des deux temps de l enquête ; il ne s agit pas de faire état de l évolution des populations en Ehpad. Les résultats sont ici présentés de manière descriptive selon deux grands axes : Filière gériatrique Indicateurs qualité Les Ehpad IDEM (autre étude de recherche clinique en Ehpad actuellement menée par le Gérontopôle) ayant participé au deux temps d enquête ne sont pas conservés dans l analyse réalisée du fait de leur implication dans un autre projet de recherche clinique. Leurs résultats sont néanmoins traités et restitués de manière individuelle. Des exploitations complémentaires sont en cours de réalisation: une étude statistique analytique de l évolution des indicateurs recueillies (comparaison des deux groupes d Ehpad) afin d apprécier l impact de l intervention sur les pratiques professionnelles contribuant à l évaluation globale du projet une analyse approfondie des prescriptions médicamenteuses une analyse de l évolution du déclin fonctionnel des résidents (enquête GIR) 3) Evolution des GIR 9

10 1. CARACTERISTIQUES DES ECHANTILLONS Caractéristiques des Ehpad participants Profils des résidents inclus à T0 et à T18 10

11 CARACTERISTIQUES DES PARTICIPANTS résidents Diagramme de flux de la participation finale des Ehpad 11

12 Répartition départementale des participants aux deux temps d enquête Ehpad non accompagnés Ehpad accompagnés TOTAL Hors Idem IDEM TOTAL Avec Idem 09 ARIEGE AVEYRON HAUTE-GARONNE GERS LOT HAUTES-PYRENEES TARN TARN ET GARONNE TOTAL PARTICIPANTS AU TOTAL par rapport à l enquête initiale = - Hors IDEM : 163 Ehpad sur les 175 de départ ont participé aux 2 enquêtes (soit 93%) - Avec IDEM : 176 Ehpad sur les 203 de départ ont participé aux 2 enquêtes (soit 87%) Répartition départementale des n ayant pas participé à l enquête T18 (Ehpad sortis de l analyse régionale finale) Ehpad non accompagnés Ehpad accompagnés TOTAL Hors Idem IDEM TOTAL Avec Idem 09 ARIEGE AVEYRON HAUTE-GARONNE GERS LOT HAUTES-PYRENEES TARN TARN ET GARONNE TOTAL PARTICIPANTS AU TOTAL par rapport à l enquête initiale = - Hors IDEM : 12 Ehpad sur les 175 de départ n ont pas participé à l enquête T18 (soit 7%) - Avec IDEM : 27 Ehpad sur les 203 de départ n ont pas participé à l enquête T18 (soit 13%) 12

13 Répartition des participants (T0-T18) par bassin de santé Bassins de santé Total Ehpad par bassin Non Accompagnés Accompagnés ARIEGE AVEYRON HAUTE- GARONNE GERS LOT HAUTES- PYRENEES TARN TARN ET GARONNE FOIX LAVELANET PAMIERS SAINT-GIRONS DECAZEVILLE ESPALION MILLAU RODEZ SAINT AFFRIQUE VIL. DE ROUERGUE CORNEBARRIEU MURET SAINT-GAUDENS ST JEAN L UNION TOULOUSE VIL. DE LAURAGAIS AUCH CONDOM L ISLE JOURDAIN NOGARO CAHORS FIGEAC GOURDON SAINT CERE BAGNERES LANNEMEZAN LOURDES TARBES-VIC ALBI CASTRES MAZAMET LAVAUR MOISSAC MONTAUBAN TOTAL PARTICIPANTS AU TOTAL : 163 PARTICIPANTS répartis sur les 33 bassins de santé de la région 13

14 Comparaison des deux groupes à partir des résultats de l enquête initiale T0 Caractéristiques des Ehpad ayant participé à l enquête initiale et finalisé l étude (T0 et T18) NON n % n % n % Total Statut Public Privé non lucratif Privé lucratif Tarif appliqué Partiel Global Habilité Aide Sociale Capacité installée en hébergement permanent Lits moyen (en nb) Répartition des Ehpad en fonction des lits installés 30 lits à 60 lits à 100 lits > 100 lits avec UP avec PASA GMP Médiane des GMP Minimum Maximum Données manquantes PMP Médiane des PMP Minimum Maximum Données manquantes GIR Moyen Pondéré - PMP : PATHOS Moyen Pondéré - UP = Unité Protégée - PASA = Pôle d Activités et de Soins Adaptés 14

15 Turn-over de l équipe Ehpad entre les deux temps d enquête Turn over des professionnels de l Ehpad directement impliqués dans l étude IQUARE depuis l enquête initiale (mai-juillet 2011) NON n % n % n % Total Changement de Direction Médecin coordonnateur IDE coordonnateur Autre difficulté évoquée ou changement dans l Ehpad Médecins, infirmiers coordonnateurs et personnel paramédical aux deux temps de l enquête Equivalent temps plein (ETP) de Médecins, d Infirmiers coordonnateurs et du personnel paramédical (ETP pour 10 résidents) NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Médecin coordonnateur Moyenne Minimum Maximum Données manquantes IDE coordonnateur Moyenne Minimum Maximum Données manquantes Personnel infirmier Moyenne Minimum Maximum Données manquantes

16 NON Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 AS, AMP ou auxiliaires faisant fonction d AS Moyenne Minimum Maximum Données manquantes Auxiliaires faisant fonction d AS Moyenne Minimum Maximum Données manquantes

17 PROFIL DES RESIDENTS INCLUS A T0 ET T18 Répartition des résidents dans «l échantillon T18» Devenir à T18 des résidents initialement inclus dans l enquête T0 et Nouveaux résidents inclus (1 + 2) Résidents inclus à T0 dont NON Présents T0-T18 (1) % % % Sortis entre T0-T18 (3) dont % % % Décès % % % Changement Ehpad % % % Transfert USLD % % % Retour au domicile % % % Données manquantes Nouveaux inclus à T18 (3) Résidents inclus à T18 (1 + 3) Sexe et âge Données sociodémographiques T0 des résidents constituant l échantillon initial NON n % n % n % Total résidents Sexe Homme Femme Age Classes d âge < 60 ans ans ans ans ans et Age moyen Données manquantes

18 Données sociodémographiques T18 des résidents constituant l échantillon final NON n % n % n % Total résidents Sexe Homme Femme Age Classes d âge < 60 ans ans ans ans ans et Age moyen Données manquantes Provenance et ancienneté Origine et durée de séjour T0 des résidents constituant l échantillon initial NON n % n % n % Total résidents Provenance des résidents Domicile Service de soins (court séjour ou SSR) Autre Ne sais pas Durée de séjour moyenne (en années) Données manquantes

19 Origine et durée de séjour T18 des résidents constituant l échantillon final NON n % n % n % Total résidents Provenance des résidents Domicile Service de soins (court séjour ou SSR) Autre Ne sais pas Durée de séjour moyenne (en années) Données manquantes Niveau de dépendance Répartition en Groupes Iso-Ressources (GIR) T0 des résidents constituant l échantillon initial NON n % n % n % Total résidents GIR GIR GIR GIR GIR GIR Données manquantes Répartition en Groupes Iso-Ressources (GIR) T18 des résidents constituant l échantillon final NON 19 n % n % n % Total résidents GIR GIR GIR GIR GIR GIR Données manquantes

20 2. EVOLUTION DE LA FILIÈRE Liens avec les médecins généralistes Organisation des soins bucco-dentaires Hospitalisations Accès à une expertise gériatrique et psychiatrique Gestion des médicaments (PUI et lien avec officine de ville) 20

21 Relations avec les médecins généralistes Les médecins généralistes (MG) intervenant dans les à T0 et à T18 NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Médecins généralistes Nb moyen par Ehpad Minimum Maximum Données manquantes Ehpad ayant des MG sous contrats (n, %) 51 (59.3) 59 (68.6) 43 (55.8) 51 (66.2) 94 (57.7) 110 (67.5) Données manquantes Ehpad ayant présenté les résultats Iquare T0 aux MG (n, %) 42 (50.0) 36 (47.4) 78 (48.7) Données manquantes Evolution de la coordination avec le médecin généraliste dans les Ehpad entre T0 et T18 NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Rencontre systématique d une IDE lors des visites % Données manquantes Retranscription des observations par les MG Toujours à souvent % Parfois à rarement % Données manquantes

22 Organisation des soins dentaires Evolution de l organisation des soins dentaires dans l Ehpad entre T0 et T18 NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Convention avec un chirurgien-dentiste % Données manquantes Intervention d un dentiste dans l Ehpad % Données manquantes Intervention UFSBD, Domident ou autre % Données manquantes Hospitalisations Evolution de la filière à travers l hospitalisation des résidents au cours de l année entre T0 et T18 NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb total Résidents Nb total d hospitalisation Données manquantes Résidents hospitalisés au moins une fois dans l année % Données manquantes Classes d hospitalisation Au cours de l année, les résidents ayant eu : Aucune hospitalisation % hospitalisation % à 4 hospitalisations % > 5 hospitalisations % Données manquantes

23 NON Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Délais d hospitalisation <3jours entre 2 hospitalisations parmi les résidents hospitalisés au moins deux fois % Données manquantes Pour les hospitalisations en situation aigue et parmi les résidents hospitalisés au moins une fois, résidents admis au moins une fois : Dossier de liaison d urgence (DLU) Aux urgences % En gériatrie % En psychiatrie % Autre % Mis en place % Données manquantes Utilisé % NSP - Données manquantes

24 Accès à une expertise gériatrique/psychiatrique Evolution de la filière à travers l accès à des avis/expertises pour la prise en charge des résidents entre T0 et T18 NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Accès à AVIS GERIATRIQUE Très facilement à facilement % Difficilement à jamais % Données manquantes HOSPIT GERIATRIQUE Très facilement à facilement % Difficilement à jamais % Données manquantes AVIS PSYCHIATRIQUE Très facilement à facilement % Difficilement à jamais % Données manquantes HOSPIT PSYCHIATRIQUE Très facilement à facilement % Difficilement à jamais % Données manquantes AVIS OU INTERVENTION POUR DOULEUR/SOINS PALLIATIFS Très facilement à facilement % Difficilement à jamais % Données manquantes Intervention régulière d un psychiatre ou IDE psychiatrique dans l Ehpad % Données manquantes

25 Liens et partenariats avec le secteur sanitaire Liens et partenariats signalés à T18 par les Ehpad (nouvel item données non disponibles pour T0) NON n % n % n % Total Existence d un partenariat formalisé avec : Service de Gériatrie Service de Psychiatrie Données manquantes Contact extérieur identifié : Gériatrie Psychiatrie Soins palliatifs/douleur HAD Données manquantes Gestion des médicaments Evolution du circuit du médicament au sein des Ehpad entre T0 et T18 NON 25 Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Ehpad rattaché à une PUI % Données manquantes Préparation des piluliers sous responsabilité d un pharmacien de ville % Données manquantes Liste limitative pour les MG Liste existante % Données manquantes Liste connue % NSP -Données manquantes Liste utilisée % NSP -Données manquantes PUI = Pharmacie à Usage Interne

26 3. EVOLUTION DES INDICATEURS QUALITÉ Démence - troubles du comportement et de l humeur - pathologies psychiatriques Chutes - contention Nutrition - Escarres Douleur - Fin de vie Prescription médicamenteuse 26

27 DEMENCE - TROUBLES DU COMPORTEMENT ET DE L HUMEUR - PATHOLOGIES PSYCHIATRIQUES des résidents Évaluation cognitive et diagnostic de la maladie d Alzheimer en NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents estimés déments % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Parmi les résidents estimés déments Diagnostiqués % Non diagnostiqués % NSP-Données manquantes Evaluation cognitive Parmi l ensemble des résidents % NSP-Données manquantes Parmi les résidents estimés déments % NSP-Données manquantes Ehpad ayant mis en œuvre un projet de soin spécifique de prise en charge des résidents déments % NSP-Données manquantes

28 Évaluation des troubles du comportement et de l humeur - Pathologies psychiatriques NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents présentant des troubles du comportement (déambulation, cris, fugue, agressivité) % NSP - Données manquantes Résidents ayant une maladie psychiatrique avérée % NSP - Données manquantes Résidents ayant une dépression diagnostiquée % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Mesure d évaluation des TC Parmi l ensemble des résidents % NSP-Données manquantes Parmi les résidents estimés déments % NSP-Données manquantes Parmi les résidents ayant des TC % NSP-Données manquantes Mesure d évaluation des TH Parmi l ensemble des résidents % NSP-Données manquantes Parmi les résidents estimés déments % NSP-Données manquantes Parmi les résidents ayant des TC % NSP-Données manquantes VARIABLE DE CONTEXTE Ehpad disposant d un psychologue salarié % Données manquantes TC : Troubles du comportement - TH : Troubles de l humeur 28

29 CHUTES-CONTENTION des résidents Prévention des chutes en NON 29 Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents ayant chuté au cours de l année parmi les résidents présents depuis au moins 1 an % NSP - Données manquantes Résidents ayant chuté la semaine précédente % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Fiches de chute en Ehpad Fiches mises en place % NSP-Données manquantes Analyse systématique des fiches % NSP-Données manquantes Exploitation annuelle des fiches % NSP-Données manquantes Réexamen de la prescription à la suite d une chute ou autre évènement intercurrent parmi les résidents ayant chuté au cours de l année % NSP-Données manquantes VARIABLE DE CONTEXTE Participation à un atelier d activité physique (T18) Parmi l ensemble des résidents % NSP - Données manquantes Parmi les résidents ayant chuté % NSP - Données manquantes

30 Prescription de la contention en NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents contenus % NSP - Données manquantes Résidents contenus avec barrières au lit % NSP - Données manquantes Résidents contenus au fauteuil % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Résidents contenus au fauteuil Parmi les résidents côtés A ou B à transfert et/ou déplacement (GIR) % NSP-Données manquantes Parmi les résidents déambulants ou fugueurs % NSP-Données manquantes Parmi les résidents ayant chuté % NSP-Données manquantes Prescription de la contention pour les résidents contenus % NSP-Données manquantes Existence d une démarche concertée et formalisée dans l Ehpad pour la réévaluation des contentions physiques % NSP - Données manquantes

31 NUTRITION-ESCARRES des résidents Suivi de l état nutritionnel des résidents en NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents ayant un poids renseigné sur deux mois consécutifs (calcul de la perte de poids possible) % Résidents présentant une perte de poids de 5 à 10 % sur 1 mois % Résidents présentant une perte de poids de plus de 10 % sur 1 mois % INDICATEURS MAITRISE Résidents ayant bénéficié d au moins 1 pesée lors du dernier trimestre % Résidents ayant bénéficié de 3 pesées lors du dernier trimestre % VARIABLE DE CONTEXTE Ehpad disposant d un matériel de pesée % NSP - Données manquantes Présence d un temps de diététicienne salariée % Données manquantes Ehpad pour lesquels le jeûne nocturne est > à 12h sans collation dans la soirée % NSP - Données manquantes Intervention d un dentiste dans l Ehpad % NSP - Données manquantes

32 Prévention des escarres en NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents présentant une escarre % NSP - Données manquantes Escarre acquise dans l Ehpad % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Résidents ayant bénéficié d une mesure de risque d escarre % NSP-Données manquantes VARIABLE DE CONTEXTE Résidents GIR % Résidents en fin de vie % NSP - Données manquantes Présence d un temps d ergothérapeute salarié % NSP - Données manquantes

33 DOULEUR-FIN DE VIE des résidents NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS ALERTE Résidents fin de vie % NSP - Données manquantes Résidents se plaignant de douleur % NSP - Données manquantes INDICATEURS MAITRISE Résidents ayant eu une mesure de la douleur Parmi l ensemble des résidents % NSP-Données manquantes Parmi les résidents douloureux % NSP-Données manquantes Parmi les résidents fin de vie % NSP-Données manquantes Résidents ayant une mesure actuelle de la douleur * % NSP-Données manquantes Résidents en fin de vie ayant une décision tracée de pec palliative % NSP-Données manquantes * Mesure actuelle : sur le dernier mois et uniquement pour les résidents se plaignant de douleur et/ou en fin de vie 33

34 PRESCRIPTION MEDICAMENTEUSE NON Nb total Temps d enquête T0 T18 T0 T18 T0 T18 Nb résidents inclus INDICATEURS MAITRISE Résidents dont la prescription a fait l objet d un réexamen concerté Parmi l ensemble des résidents % NSP-Données manquantes Parmi les résidents ayant chuté à S % NSP-Données manquantes Résidents ayant eu un calcul de la clearance de la créatinine lors des 12 derniers mois % NSP-Données manquantes Résidents vaccinés contre la grippe % NSP-Données manquantes Résidents vaccinés contre le pneumocoque % NSP-Données manquantes

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse Caractéristiques et recours aux soins des populations bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMU_C) : plus jeunes, plutôt féminines et en moins bonne santé En Midi-Pyrénées,

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Les permanences d accès aux soins de santé :

Les permanences d accès aux soins de santé : Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Midi-Pyrénées Les permanences d accès aux soins de santé : «Les PASS» en Midi-Pyrénées Mars 2003 Rapport réalisé dans le cadre de l évaluation

Plus en détail

Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011

Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un

Plus en détail

Observatoire des EHPAD

Observatoire des EHPAD Observatoire des EHPAD Janvier 2013 KPMG et les équipes Économie Sociale et Solidaire, Santé et Secteur Public sont heureux de vous présenter la nouvelle édition de l observatoire des EHPAD 1. Les évolutions

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 Règlement Intérieur Date : 6 novembre 2014 Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 OBJECTIFS - FINALITES DE L ORU-MiP Article 1. : Conformément à sa convention constitutive, la mission principale du GIP

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée

La prise en charge de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé L organisation et la planification

Plus en détail

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

1. Procédure d admission

1. Procédure d admission Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES

Plus en détail

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

livret d accueil Frais de santé

livret d accueil Frais de santé www.verspieren.com livret d accueil Frais de santé Santé Prévoyance Ce document n a pas de valeur contractuelle. Télétransmission, tiers-payant, décompte frais de santé un langage parfois compliqué pour

Plus en détail

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Programme régional de télémédecine

Programme régional de télémédecine e-santé Programme régional de télémédecine 2012 > Consultation réglementaire www.sante.midi-pyrenees.fr PRT > Programme régional Télémédecine Contexte p. 4 Les actions du premier Programme régional de

Plus en détail

HYDROELECTRICITE ARIEGEOISE

HYDROELECTRICITE ARIEGEOISE HYDROELECTRICITE ARIEGEOISE LES ENJEUX INSUFFISAMMENT CONNUS D UNE FILIERE PRESENTES PAR LA CCI LE 21 AVRIL DERNIER Parce que l histoire économique de l Ariège est étroitement liée à celle de la valorisation

Plus en détail

OFFRE RÉSERVÉE AUX entreprises, TPE/PME et indépendants. Le guide. santé. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!

OFFRE RÉSERVÉE AUX entreprises, TPE/PME et indépendants. Le guide. santé. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! OFFRE RÉSERVÉE AUX entreprises, TPE/PME et indépendants Le guide santé www.menagesprevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! On a toujours du mal à s y retrouver dans les principes de s de santé. Et si on

Plus en détail

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Laissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services

Laissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services Laissez-nous prendre soin de vous Recrutement - Intérim - Services affirmer Nos différences Adecco Medical, filiale santé du leader mondial des solutions RH, a bâti une relation de confiance avec ses clients,

Plus en détail

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité

Plus en détail

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN

Plus en détail

ENQUETE ACCES AUX SOINS

ENQUETE ACCES AUX SOINS ENQUETE ACCES AUX SOINS Attention!! Cette liste des questions posées dans l enquête est présentée à titre d information : la saisie doit se faire en ligne sur le site de l UNCCAS (www.unccas.org) PAGE

Plus en détail

Projet de service. Dispositif C.L.I.C ENJEUX DU PROJET

Projet de service. Dispositif C.L.I.C ENJEUX DU PROJET ENJEUX DU PROJET GARANTIR LE RESPECT des personnes aidées, la qualité et l adéquation des actions en fonction des besoins et attentes exprimées, ainsi que la continuité et le suivi de celles-ci ; DEFINIR

Plus en détail

Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux

Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de

Plus en détail

Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine

Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE

UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts

Plus en détail

Projet de communication

Projet de communication PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication

Plus en détail

Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011

Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011 Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre de la régulation médicale Mars 2011 Définitions Processus médical de prise en charge Centre de régulation médicale

Plus en détail

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et

Plus en détail

Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer

Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer La lettre de L observatoire Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer Novembre 203 - Numéro double 28-29 La fin de vie suscite depuis plusieurs années des questionnements

Plus en détail

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise

Plus en détail

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION Garanties Agir Santé 2013 Garanties Agir Santé 1/4 Garanties Agir Santé 2013 PRESTATIONS HOSPITALISATION SECTEUR CONVENTIONNE Frais de séjour Honoraires (ADC, ADA, ATM, ACO, ADI et ADE) (par année d adhésion

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76. 2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire

Plus en détail

Notice d utilisation 2013. Complémentaire santé groupe. Tisséo. À destination de l ensemble du personnel

Notice d utilisation 2013. Complémentaire santé groupe. Tisséo. À destination de l ensemble du personnel Notice d utilisation 2013 Complémentaire santé groupe Tisséo À destination de l ensemble du personnel Être adhérent Harmonie Mutuelle, c est s appuyer sur la force d un leader national Harmonie Mutuelle,

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT 2014 / 2018

PROJET D ETABLISSEMENT 2014 / 2018 PROJET D ETABLISSEMENT 2014 / 2018 EHPAD «Roger Besson» BP 3 03150 SAINT-GERAND -Le- PUY - tél : 04 70 99 73 60 fax 04 70 99 83 61 mr.stgerand03@wanadoo.fr - www.ehpad-ssiad-saintgerandlepuy.fr 1 ERE PARTIE

Plus en détail

Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse

Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette

Plus en détail

L ARTISANAT 1 ère entreprise de France. L apprentissage : Passeport pour l emploi

L ARTISANAT 1 ère entreprise de France. L apprentissage : Passeport pour l emploi L ARTISANAT 1 ère entreprise de France L apprentissage : Passeport pour l emploi le cad de la chambre de Métiers et de l artisanat des conseillers spécialistes de l apprentissage et de l emploi l apprentissage

Plus en détail

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION. Garanties Agir Santé France - Maroc 2015 Résidents au Maroc. Crédit photos Shutterstock LLC

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION. Garanties Agir Santé France - Maroc 2015 Résidents au Maroc. Crédit photos Shutterstock LLC Garanties Agir Santé France Maroc 2015 Résidents au Maroc Crédit photos Shutterstock LLC Gamme France Maroc 2015 Garanties Agir Santé Gamme France Maroc 2015 Résidents au Maroc PRESTATIONS AGE LIMITE A

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

La formation comme levier de changement des pratiques

La formation comme levier de changement des pratiques Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3

Plus en détail

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition

Plus en détail

PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES

PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour

Plus en détail

Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider

Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela

Plus en détail

O R M A T I O N PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 EN 7 AXES CENTRE WWW.ANFH.FR

O R M A T I O N PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 EN 7 AXES CENTRE WWW.ANFH.FR WWW.ANFH.FR CENTRE PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 F O R M A T I O N S EN 7 AXES ANFH Centre - Programme Régional 2015 ASSOCIATION NATIONALE POUR LA FORMATION PERMANENTE DU PERSONNEL HOSPITALIER EDITO Dans

Plus en détail