Observatoire Des Entreprises de la Moselle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Observatoire Des Entreprises de la Moselle"

Transcription

1 Observatoire Des Entreprises de la Moselle Baromètre semestriel de conjoncture 2 ème semestre 212 Synthèse conjoncturelle Janvier 213 Chambre de et d Territoriale de la Moselle 1-12 Avenue Foch - BP METZ CEDEX 1 - Tél Fax Courriel : information@moselle.cci.fr Chambre de et d de Région Lorraine 1 Viaduc Kennedy - CS NANCY CEDEX - Tél Fax Courriel : ccir@lorraine.cci.fr 1

2 Méthodologie L Observatoire Des Entreprises de la Moselle est une émanation de l ODEL (Observatoire Des Entreprises Lorraines) mis en place par la Chambre de et d de Région Lorraine. Les résultats présentés dans cette étude sont issus d une exploitation des données, relatives au département de la Moselle, à partir de la dernière enquête semestrielle de conjoncture. Un échantillon de 2 4 entreprises mosellanes, de 5 salariés et plus des secteurs de l industrie, du, du commerce et des services marchands, a été sondé du 2 décembre 212 au 21 janvier 213. Les traitements ont été réalisés sur la base de 425 réponses, ce qui représente un taux de retour de 17,7 % des entreprises interrogées. Les entreprises répondantes emploient au total environ 28 salariés. Un redressement a été effectué afin d assurer une bonne représentativité du panel des répondants par secteur d activité et par taille d établissements. effectif salarié. Les indices sont exprimés sous forme de soldes représentant la différence entre le pourcentage des réponses indiquant une amélioration et celui témoignant d une détérioration. Ces renseignements d ordre qualitatif ne prétendent pas se substituer aux indicateurs macro-économiques, mais permettent de savoir si, d après le plus grand nombre de chefs d entreprise interrogés, il y a eu amélioration, stabilité ou dégradation de la situation au cours de la période étudiée. Outre qu elles devancent, souvent largement, la parution des indicateurs statistiques «lourds», les réponses des chefs d entreprise permettent de mesurer précisément les fluctuations de l activité économique et d estimer son évolution à court terme. Répartition des entreprises répondantes par secteur d activité Les analyses de cette observation sont donc à considérer non seulement pour les entreprises répondantes mais également pour l ensemble des entreprises du département répondant aux critères de l enquête. 2 1 Chaque série d indicateurs du baromètre est pondérée par le poids de l entreprise en * Source : INSEE, champs ICS Panel ODE Moselle Total Moselle* La Chambre de et d de Région Lorraine et la Chambre de et d Territoriale de la Moselle remercient les 425 chefs d entreprise qui ont répondu à l enquête du baromètre de l Observatoire Des Entreprises Lorraines. Le document régional est adressé à toutes les entreprises répondantes du panel. Reproduction autorisée sous réserve de l indication des sources fournies et de l Observatoire Des Entreprises Lorraines (ODEL) de la Chambre de et d de Région Lorraine. 2

3 Conjoncture Résultats d ensemble Le niveau d activité Le second semestre 212 confirme le net ralentissement de la croissance déjà enregistré au début de l année dans le département de la Moselle et les anticipations pessimistes formulées en juin 212. En effet, un repli sensible du niveau d activité est constaté par 27 % des répondants (17 % seulement lors de la précédente mesure), contre 28 % d avis favorables (-2 points). L indicateur synthétique du solde d opinions est à peine positif et proche de l équilibre. Cette évolution paraît plus défavorable que la moyenne régionale où on observe également un nouveau recul de l activité mais de moindre ampleur pour 26 % des répondants contre une progression pour 29 %. Cette situation témoigne du maintien d un climat conjoncturel morose et de l incertitude qui pèse sur l évolution de la demande adressée aux entreprises. Les ventes sur le marché intérieur régressent pour 41 % des répondants contre une hausse pour 18 % (respectivement 25 % et 24 % six mois auparavant). Le retrait de la demande internationale perdure pour un tiers des entreprises et témoigne des difficultés persistantes rencontrées par les exportateurs sur les marchés des principaux partenaires. Ce contexte d atonie de la croissance, induit une sous-utilisation des capacités de production pour 35 % des répondants (29 % en juin 212), tandis que l outil n est plus saturé que pour 8 % des entreprises contre 11 % au premier semestre 212. Les stocks de produits finis se sont allégés pour 1 % des établissements contre un alourdissement pour 14 % (-7 points). Ils retrouvent un niveau normal selon trois dirigeants sur quatre. Evolution semestrielle du niveau d activité des entreprises mosellanes Evolution du niveau d activité dans les départements lorrains Meurthe-et-Moselle Meuse 2ème semestre 211 Moselle 1er semestre 212 Vosges Evolution de l activité des entreprises mosellanes Niveau d'activité Ventes totales Ventes à l'export Capacité de production Stock de produits finis Carnet de commandes Lorraine 2ème semestre ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre 212 3

4 Les carnets de commandes se dégarnissent davantage pour 48 % des répondants, en baisse encore sensible par rapport à la précédente période (37 %). Ils sont jugés moyens par 42 % des entreprises. Cette situation hypothèque un retour rapide de la croissance pour le premier semestre 213. La situation financière des entreprises mosellanes (Répartition en % d entreprises) Marges Rentabilité La situation financière Trésorerie Tous les indicateurs financiers révèlent, d un semestre à l autre, la même fragilité qui touche les entreprises. Ainsi, les marges se réduisent pour 48 % des répondants (4 % auparavant) contre une stabilité pour 47 % (54 en juin 212). La rentabilité est jugée plus fragile par 39 % des dirigeants (36 % auparavant) contre une amélioration pour 11 % (17 % lors de la précédente mesure). La trésorerie paraît plus faible pour 37 % des répondants sans changements par rapport au premier semestre et reste stable pour 55 %. L amélioration est observée dans seulement 8 % des établissements. La situation financière est jugée normale par un dirigeant sur deux (45 % en juin 212). Toutefois, l évolution des avis défavorables reste pratiquement similaire à la précédente période (31 %). L emploi Après le net fléchissement de l emploi observé au premier semestre 212, on assiste actuellement à un nouveau recul mais de plus grande ampleur : la baisse des effectifs touche 26 % des établissements, en hausse de 1 points tandis que l accroissement concerne seulement 6 % (15 % auparavant). La stabilité prévaut dans 67 % des entreprises. La baisse de l emploi reste corrélée avec les résultats enregistrés ou prévus par les entreprises. Ainsi, parmi celles qui jugent actuellement leur niveau d activité faible ou moyen, un tiers s oriente vers une réduction de ses effectifs contre seulement 5 % pour celles dont les résultats sont satisfaisants. Situation financière Satisfaisant Moyen Faible Evolution de la situation financière des entreprises mosellanes Marges Rentabilité Trésorerie Situation financière ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre 212 Evolution semestrielle de l emploi des entreprises mosellanes

5 Au troisième trimestre 212, on dénombre salariés dans le secteur concurrentiel mosellan (source : Urssaf Acoss) soit une diminution de -,8 % (après seulement -,1 % en juin 212) contre -1,1 % dans les autres départements lorrains et -,2 % au niveau national. Le recours au travail temporaire s est également inscrit à la baisse pour 39 % des répondants contre 32 % lors de la précédente mesure. 49 % gardent un effectif stable. Evolution de l emploi dans les entreprises lorraines Meurthe-et-Moselle Meuse Moselle Vosges Lorraine La baisse des effectifs en Moselle est plus sensible qu au plan régional où un quart des entreprises déclarent une réduction de l emploi contre un accroissement pour 12 %. L investissement A l instar de l emploi, le taux de croissance des programmes d investissement reste orienté à la baisse pour 29 % des entreprises contre 23 % auparavant. La hausse des projets est signalée par 16 % des établissements, sans changements. Le solde d opinions demeure négatif avec une tendance plus défavorable qu au premier semestre 212. La baisse des dépenses d investissement est observée dans 36 % des entreprises dont le niveau des ventes est jugé moyen ou faible contre seulement 1 % pour les établissements dont l activité est jugée satisfaisante (29 % de hausse dans cette dernière catégorie). La réduction de l investissement dans le département de la Moselle est équivalente à la moyenne mesurée au niveau régional. En Lorraine, le repli s est également accentué avec une contraction des investissements pour 32 % des entreprises. Evolution semestrielle de l investissement des entreprises mosellanes ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre Evolution de l investissement dans les entreprises lorraines Meurthe-et-Moselle Meuse Moselle Vosges Lorraine ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre 212 5

6 Résultats par secteur d activité Le niveau d activité Les évolutions sectorielles révèlent un ralentissement généralisé de la croissance actuelle dans tous les secteurs d activité. La baisse paraît sensible dans le et les services après une progression continue enregistrée depuis trois semestres. Le recul touche 26 % des entreprises (12 % seulement six mois auparavant) contre une progression pour 25 %. La décélération est globalement plus modérée dans l industrie grâce à un maintien de l activité dans l agro-alimentaire et les biens d équipement. Le commerce surtout de détail enregistre un nouveau repli après un début d année déjà orienté à la baisse. Evolution du niveau d activité des entreprises mosellanes (par secteur d activité, solde des opinions favorables-défavorables) er semestre 211 2ème semestre 211 1er semestre 212 Ensemble 2ème semestre 212 L emploi Evolution de l emploi dans les entreprises mosellanes (par secteur d activité, solde des opinions favorables-défavorables) Le solde de l emploi est négatif dans tous les secteurs. La réduction des effectifs s accentue dans l industrie, le commerce et les services pour plus de 26 % des entreprises, contre 24 % dans le. La stabilité est toutefois signalée dans près de 7 % des établissements Ensemble La situation s est nettement dégradée par rapport au premier semestre où le rythme de réduction de l emploi était inférieur à la moyenne lorraine L investissement Les investissements se sont contractés davantage dans le et les services avec une baisse pour respectivement 38 % et 35 % des répondants (27 % et 2 % seulement au premier semestre 212). Les projets d équipement sont pratiquement à l équilibre dans la plupart des branches industrielles avec une réduction pour un quart des établissements contre une hausse pour 24 %. -6 1er semestre 211 2ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre 212 Evolution de l investissement dans les entreprises mosellanes (par secteur d activité, solde des opinions favorables-défavorables) Ensemble Les programmes sont également orientés à la baisse dans 21 % des entreprises commerciales (28 % en juin 212) contre une amélioration pour seulement 7 % er semestre 211 2ème semestre 211 1er semestre 212 2ème semestre 212 6

7 Prévisions à 6 mois Les chefs d entreprise anticipent un nouveau ralentissement de l activité au premier semestre 213. Le retrait serait plus sensible sur le marché intérieur selon les estimations de 44 % des entrepreneurs contre une progression pour 13 % (respectivement 31 % et 25 % pour les débouchés à l export). Les projets d investissement garderaient un rythme nettement défavorable dans les 6 mois à venir avec à une progression pour seulement 16 % des dirigeants contre une baisse pour 36 %). Les prévisions sur le plan de l emploi resteraient orientées à la baisse dans 3 % des établissements contre une hausse pour 7 %. Une large majorité (63 %) garderait un effectif stable. Le solde du recours au travail temporaire est nettement négatif avec un moindre recours anticipé par 45 % des répondants. Les indicateurs financiers resteraient très fragiles avec une dégradation des marges pour un établissement sur deux et des difficultés de trésorerie persistantes pour 36 %. Les prix de vente s orienteraient à nouveau vers une baisse plus modérée pour 27 % des entreprises contre une hausse pour 21 % (1 % actuellement). Les perspectives du climat général des affaires (opinions sur l environnement économique des entreprises) sont, pour le troisième semestre consécutif, plus pessimistes : la proportion d entreprises qui s attend à une évolution défavorable représente 49 % des répondants (environ 6 % dans le commerce et 57 % dans le ) contre seulement % d avis opposés. Baromètre des tendances actuelles et prévisionnelles à 6 mois des entreprises mosellanes Ventes totales Ventes à l'export Effectifs Travail temporaire Actions de formation Investissements Prix de vente Marges Trésorerie er semestre 212 2ème semestre 212 Prévisions Perspectives d évolution à 6 mois de l environnement général des entreprises mosellanes Cette tendance suggère une stagnation de la croissance de l activité à un niveau très faible au premier semestre S13 7

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

4 CHIFFRES À RETENIR

4 CHIFFRES À RETENIR Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013

Plus en détail

Enquête sur les investissements dans l industrie

Enquête sur les investissements dans l industrie Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Toujours pas de reprise

Toujours pas de reprise 2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont  N 4 N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité

Plus en détail

CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012

CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012 CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012 Le AFIC Etudes 2014 www.afic.asso.fr MÉTHODOLOGIE Étude d impact économique et social (2013) Les statistiques sont établies

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

Effet «La Marseillaise»

Effet «La Marseillaise» DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Un outil de progrès pour les PME/PMI Lorraines

Un outil de progrès pour les PME/PMI Lorraines Un outil de progrès pour les PME/PMI Lorraines UN ACCéLéRATEUR DE CROISSANCE UN RÉSEAU DE PROGRÈS EN RÉGION PSL est né en 1997 à l initiative de 4 Grandes Entreprises lorraines soucieuses de contribuer

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

Accès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan?

Accès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan? Direction générale des Statistiques Direction des Enquêtes et statistiques sectorielles Direction générale des Études et des Relations internationales Direction des Études microéconomiques et structurelles

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr. SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie Décembre 2012 Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie La situation financière des entreprises artisanales et le recours aux banques Région Haute-Normandie Depuis novembre 2011,

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:

Plus en détail

CA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION

CA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION CA CEBATRAMA 10 décembre 2014 CONJONCTURE TP 2014 2 TRAVAUX REALISES : L ACTIVITE POURSUIT SA BAISSE AU 3T 2014/13 12,0 11,5 11,0 milliards d'euros constants - prix 2013 2011 2012 2013 2014 +4,3% -1,7%

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» 193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux

Plus en détail

Tablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel

Tablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel Communiqué de presse Septembre 2013 Tablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel La tablette : toujours plus complémentaire à la télévision et au smartphone 70% des

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION

ENQUÊTE DE SATISFACTION Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

Le crédit bancaire au secteur privé

Le crédit bancaire au secteur privé Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique

Plus en détail

Conseil Spécialisé Horticole

Conseil Spécialisé Horticole Conseil Spécialisé Horticole Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières CER France 6 juin 2014 Observatoire économique des exploitations Horticoles et pépinières exercice

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

Avertissement. Signes conventionnels utilisés

Avertissement. Signes conventionnels utilisés Dossier Avertissement Les résultats et analyses présentés dans la vue d ensemble, dans les fiches sectorielles et dans la plupart des fiches thématiques sont, sauf mention contraire, définis sur la base

Plus en détail

La lettre de l IMSEPP

La lettre de l IMSEPP La lettre de l IMSEPP N 22 05 décembre 2013 La trésorerie des entreprises en novembre : Les difficultés d accès au financement s atténuent. Novembre 2013 : ce document présente l analyse détaillée des

Plus en détail

Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité

Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité Page 1 de 6 CRIME ET CHÂTIMENT Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité Les répondants du Québec sont plus enclins que tous les autres répondants

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

Date de diffusion publique : 4 septembre, 2012

Date de diffusion publique : 4 septembre, 2012 En règle générale, les Canadiens sont confiants de pouvoir reconnaître les signes d une urgence médicale, mais ils sont moins certains d avoir les compétences nécessaires pour intervenir. Quatre Canadiens

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

LA BANQUE DES PARTICULIERS ET DES ENTREPRISES

LA BANQUE DES PARTICULIERS ET DES ENTREPRISES LA BANQUE DES PARTICULIERS ET DES ENTREPRISES PARLONS DE LA BANQUE... LA BANQUE DES PARTICULIERS ET DES ENTREPRISES 2014 Retrouvez les chiffres actualisés sur fbf.fr SOMMAIRE 1 DES RÉSEAUX BANCAIRES AU

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS

Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS Journée d information et d échanges organisée par l Equipe de droit social, UMR 7354 DRES La prévention des facteurs de pénibilité,

Plus en détail

Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse

Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse Éclairage Les PME sont une composanteimportante du commerce extérieur suisse Au coursdes deux dernières décennies, l intégration de l économie suisse au reste de la planète s estquasiment accrue chaque

Plus en détail

Médiation nationale du crédit aux entreprises. Observatoire du financement des entreprises

Médiation nationale du crédit aux entreprises. Observatoire du financement des entreprises Médiation nationale du crédit aux entreprises Observatoire du financement des entreprises Rapport de Gérard RAMEIX sur l accès au financement des TPE Septembre 2011 Paris, le 13 juillet 2011 Par lettre

Plus en détail

L ENGAGEMENT SOLIDAIRE

L ENGAGEMENT SOLIDAIRE 2016, la loi change, pas nos valeurs (Accord National Interprofessionnel) LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ OBLIGATOIRE POUR TOUS LES SALARIÉS EN QUESTIONS LE GUIDE Complémentaire santé obligatoire pour tous les

Plus en détail

Electricité - Plomberie

Electricité - Plomberie Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire

Plus en détail

Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 2013

Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 2013 Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 15, rue Maréchal Foch 56100 Lorient I Tél 0820 220 440 I Fax 02 97 21 88 85 I Email contact@fymconseil.com I Site www.fymconseil.com SA au capital

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en

Plus en détail

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1 N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages

Plus en détail

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -

Plus en détail

CUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation

CUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation CUSTOM SOLUTIONS SA Société anonyme au capital de 4.863.050 Siège Social : 135, avenue Victoire Z.I. de Rousset-Peynier 13790 ROUSSET RCS AIX EN PROVENCE B 500 517 776 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC Par: Jean-Pierre Brun, professeur Éric Plante, Professionnel de recherche Sondage par: Léger Marketing Mars 2004 DÉFINITION DU HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE

Plus en détail

Association nationale de la meunerie française

Association nationale de la meunerie française Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

ANALYSE CONJONCTURE ÉDITO SOMMAIRE

ANALYSE CONJONCTURE ÉDITO SOMMAIRE Novembre 2010 ANALYSE & Santé au travail - Étude élaborée en partenariat entre le Centre de Gestion de la fonction publique territoriale de la Charente-Maritime et Dexia Sofcap ÉDITO À l échelon national,

Plus en détail

Règlement interne de la Société suisse de crédit hôtelier

Règlement interne de la Société suisse de crédit hôtelier Règlement interne de la Société suisse de crédit hôtelier (Règlement interne de la SCH) du 26 février 2015 Approuvé par le Conseil fédéral le 18 février 2015 L administration de la Société suisse de crédit

Plus en détail

Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières

Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières > ÉDITION avril 2015 Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières Résultats 2013 LES ÉTUDES DE Présentation de l'étude 4 Objectifs de l'étude Méthode Échantillon Echantillon

Plus en détail

Baromètre de l innovation Janvier 2015

Baromètre de l innovation Janvier 2015 Baromètre de l innovation Janvier 2015 Les pratiques culturelles des français et leurs usage s numériques Un baromètre BVA Syntec numérique Sondage réalisé par pour le Méthodologie Recueil Enquête réalisée

Plus en détail

PREMIER TRIMESTRE TERMINÉ LE 31 MARS 2010 CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI 2010 FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR

PREMIER TRIMESTRE TERMINÉ LE 31 MARS 2010 CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI 2010 FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR TERMINÉ LE 31 MARS CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR MISE EN GARDE Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs concernant le Fonds de placement immobilier

Plus en détail

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...

Plus en détail

rapport annuel de l observatoire de l épargne réglementée

rapport annuel de l observatoire de l épargne réglementée 2013 rapport annuel de l observatoire de l épargne réglementée Observatoire de l épargne réglementée Observatoire de l épargne réglementée Code courrier : 043-2521 31 rue Croix-des-Petits-Champs 75049

Plus en détail

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr

Plus en détail

France : une croissance ralentie, des PME peu profitables

France : une croissance ralentie, des PME peu profitables Trimestriel n 34 Octobre 2012 France : une croissance ralentie, des PME peu profitables L économie française traverse une phase de ralentissement durable. Les PME, essentiellement tournées vers le marché

Plus en détail

Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009?

Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Note expresse N 61 juin 2009 Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Moteur essentiel du dynamisme économique réunionnais, la commande publique a contribué

Plus en détail

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise

Plus en détail

du Bâtiment Emplois d avenir, contrats de génération : les armes anti-chômage édito sommaire un trait d union de votre Centre de Gestion Agréé

du Bâtiment Emplois d avenir, contrats de génération : les armes anti-chômage édito sommaire un trait d union de votre Centre de Gestion Agréé 2 e Trimestre Aquitaine du Bâtiment de votre Centre de Gestion Agréé édito Face à la montée inquiétante du chômage et alors qu un quart des jeunes de à 2 ans est sans travail et/ou sans formation ni diplôme,

Plus en détail

Résultats de l enquête auprès des agents immobiliers 1) Indice de Perception du marché IMmobilier (IPIM) OCTOBRE 2013

Résultats de l enquête auprès des agents immobiliers 1) Indice de Perception du marché IMmobilier (IPIM) OCTOBRE 2013 Résultats de l enquête auprès des agents immobiliers 1) Indice de Perception du marché IMmobilier (IPIM) OCTOBRE 2013 1. Perspectives sombres pour le marché immobilier en 2014 selon les agents immobiliers

Plus en détail

Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire

Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire Evelyne GURFEIN Comptes consolidés IAS IFRS et conversion monétaire, 2007 ISBN-10 : 2-7081-3760-3 ISBN-13 : 978-2-7081-3760-8 Chapitre 7 Les normes IAS/IFRS et leur impact Quelle question? «Bonjour, je

Plus en détail