ENQUETE NATIONALE SUR. LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE Février 2015

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1 ENQUETE NATIONALE SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE Février 2015

2 Contexte & Justification Le Mali : Pays sahélien, enclavé et structurellement vulnérable à l insécurité alimentaire et à la malnutrition Economie fortement dépendante du secteur primaire (agriculture, élevage, chasse et sylviculture pour 68.0% de la population active) Crises en série (crise pastorale en 2010, sécheresse en 2011, éclatement d un conflit armé dans le nord en dégradation de la situation sécuritaire + situation/soudure pastorale préoccupante) avec pour conséquence : une détérioration des conditions de vie de la population des pertes importantes pertes au niveau des moyens de subsistance (bétail, récoltes, sources de revenus, emploi, réduction des activités économiques, etc.) Une érosion significative de la résilience des ménages affectés/vulnérables Nécessité d effectuer un suivi régulier de : l insécurité alimentaire et nutritionnelle ; l évolution des moyens de subsistance ; et, des stratégies de survie des ménages Besoin indispensable d actualiser les informations (re-définition/planification des interventions)

3 Objectifs Mettre à jour des indicateurs clé de la sécurité alimentaire Analyser/apprécier la situation de la sécurité alimentaire et les moyens d existence Produire des informations fiables et de qualité qui seront utilisées lors du prochain du Cadre Harmonisé Apporter une réponse objective aux questions suivantes : Qui est en situation d insécurité alimentaire ou de vulnérabilité? Combien de personnes sont en situation d insécurité alimentaire ou de vulnérabilité? Où vivent ces personnes? Pourquoi sont-elles en situation d insécurité alimentaire ou de vulnérabilité? Que peut-on faire pour améliorer leurs conditions de vie et renforcer leurs moyens de subsistance

4 Méthodologie Enquête à couverture nationale (District de Bamako non inclus) Echantillon aléatoire, stratifié et tiré à 2 degrés (par l INSTAT) Unités primaires : 871 Section d énumération (SE/Grappes - RGPH 2009) sélectionnées avec une probabilité proportionnelle à la taille (nombre de ménages) Unités secondaires : les ménages (12 ménages sélectionnés dans chaque SE à probabilité égale à partir de la liste des ménages établie suite au dénombrement des ménages inclus les 2 ménages prévus pour les cas éventuels de remplacement) Base de sondage : base des SE de l INSTAT issue du RGPH fichier village avec leur rattachement aux zones de moyens d existence (ZME) du SAP Représentativité des données (principalement de sécurité alimentaire) globalement assurée au niveau de chacun des 49 cercles, des 8 régions, de 12 zones de moyens de subsistance et du milieu de résidence (urbain vs rural)

5 Organisation de l enquête Mobilisation de : 65 équipes de 4 personnes (un chef d équipe, 3 enquêteurs, un chauffeur) soit 260 enquêteurs, 65 chefs d équipes et 65 véhicules/chauffeurs. Formation des agents sur 4 jours pour les enquêteurs (au niveau de 3 centres : Bamako, Mopti et Gao) Test de présélection lors du recrutement, tests de connaissance pendant la formation, enquête pilote (sélection/recrutement des agents de terrain) Supervision rapprochée et permanente des équipes assurée sur le terrain tout au long de la phase de collecte des données en partenariat avec les responsables régionaux du SAP, le staff du PAM, de la FAO, de FEWS NET et près d une dizaine d organisations et ONGs partenaires membres du Cluster Sécurité Alimentaire et parties prenantes à cette évaluation (GARDL, ACF-Espagne, Islamic Relief Worldwide, DRC, CISV, ADRA-Mali, World Vision, Save the Children, CSPEEDA, OXFAM et AVSF).

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7 Taux de réalisation 98.6% des SE sélectionnées ont pu être enquêté (soit 859 SE). Le reste n a pu l être pour des raisons de sécurité (Banamba, Nara, Niono, Goundam et Niafunké) 8,586 ménages enquêtés à travers le Mali Prise du périmètre brachial de près de 15,500 enfants (des ménages enquêtés)

8 Limites Résultats non représentatif à l échelle des communes Représentativité statistique des résultats susceptibles d être amoindri pour le cercle de Goundam (taux de réalisation de l ordre de 69% lié à des problèmes de sécurité) District de Bamako non inclus dans l échantillon de l ENSAN MALI de Février 2015

9 Questions sur les ASPECTS METHODOLOGIQUES?

10 PRINCIPAUX RESULTATS Caractéristiques sociodémographiques condition de vie et indice de bien être des ménages au Mali

11 Statut des ménages : Présence de ménages déplacés pour des raisons sécuritaires à Ségou, Mopti, Gao, Tombouctou et Kidal 96.7% des ménages sont des résidents. Les ménages déplacés représentent 2.1%. Ils sont principalement localisés dans : la région de Ségou (0.6%) pour des raisons à la fois économiques et sécuritaires (surtout en ce qui concerne le cercle de Niono - probablement en lien avec les récentes attaques de Nampala) ; les régions de Kayes (0.4%) et de Koulikoro (0.3%) pour des raisons essentiellement économiques ; les régions de Mopti (0.3%), de Gao (0.2%), de Tombouctou (0.1%) et de Kidal (0.1%) surtout pour des raisons sécuritaires. S agissant des ménages retournés (0.9%) ; ils se trouvent surtout à Tombouctou (0.5%) et Gao (0.2%).

12 Profil des chefs de ménage : Les ménages dirigés par des femmes plus nombreux dans le Nord Les ménages dirigés par des hommes (94.3%) âgés en moyenne de 53 ans sont plus nombreux. Une proportion très élevée de ménages dirigés par des femmes dans les cercles du nord du pays en proie à des problèmes d insécurité (cas de Goundam % ; Bourem % ; Tessalit % ; Tombouctou % ; Youwarou % et Tin-Essako %). Trois cinquièmes (59.9%) de ces femmes chefs de ménages sont veuves. 92.5% des chefs de ménages sont mariés : dont les 38.5% qui sont polygames. La proportion de ménages dirigés par des veufs/veuves est de 5.2%. 53.4% n ont aucun niveau d éducation et 31.0% sont seulement alphabétisés.

13 Profil des ménages: Education : baisse du taux de fréquentation des enfants âgés de 7-14 ans par rapport à la précédente année scolaire (ENSAN 2014). Taille moyenne : 9 personnes 49.1% de sexe féminin 16.9% d enfants de moins de 5 ans 30.3% d enfants âgés de 5-14 ans 50.8% de personnes potentiellement dépendantes (enfant, adolescents, troisième âge) Education : 55.9% des enfants de 7-14 ans sont scolarisés Soit une baisse du taux de fréquentation scolaire de l ordre de 16.7% par rapport à la précédente année scolaire (ENSAN Septembre 2014) Raisons : Difficulté économique, travail de l enfant, absence d école (surtout dans les régions du nord - cas de Kidal où c est la première raison évoquée 84.9%)

14 Profil des ménages : Un ménage sur cinq a au moins une femme allaitante 2.2% des ménages ont au moins une personne handicapées (physiques ou mentales) ; 6.7% des ménages ont au moins un orphelin âgé de moins de 18 ans ; 5.2% des ménages ont au moins une femme enceinte ; 20.4% des ménages ont au moins une femme allaitante ; 3.7% des ménages ont au moins une personne chroniquement malade ; le chef de ménage en fait partie pour un cinquième des ménages concernés ; 0.1% des ménages ont au moins une personne qui souffre de maladies telles que la tuberculose, la lèpre, le SIDA.

15 Conditions de vie des ménages 1/3 Pas de changement notable au cours des 6 derniers mois Logement : deux tiers (66%) des ménages vivent dans des concessions à plusieurs logement dont ils sont propriétaires (90.9%) principalement sans titre (78.3%); Le nombre moyen de pièces à usage d habitation est de 5 Les murs sont en banco (73.3%); le sol est cimenté (21.0%) ou en terre battue (72.5%); le toit entôle (33.9%) ou en banco (51.1%) Source d énergie : Lampes torches (56.4%) ou panneaux solaires (27.6%) pour l éclairage et Bois de chauffe (85.7%) pour la cuisson WASH EAU : 71.7% des ménages ont accès à une source d eau améliorée pour leur approvisionnement en eau La recherche est une tâche essentiellement menée par les femmes (92.1%) et les filles (54.9%) Le volume d eau potable recueilli au niveau des sources d eau améliorées est de 14.1 litre par jour et par personne Le point d eau se trouve dans le logement pour 23.6% des ménages et à moins de 30 minutes du logement pour 55.4% Un tiers (35.5%) des ménages traite leur eau de boisson avant de la boire : utilisation de l eau de javel ou du chlore et/ou filtrage de de l eau avec un linge ou tissu des chiffres 2 à 3 fois plus importants que ceux issus de la dernière ENSAN EFFET EBOLA?

16 Conditions de vie des ménages 2/3 Pas de changement notable au cours des 6 derniers mois WASH - Lieu d aisance : Latrine commune (54.6%); latrine privée (21.7%) la nature (15.6%) Seuls 4.7% des ménages utilisent des latrine améliorées Seules 38.7% de ces latrines se trouvaient dans un état de propreté acceptable (observations faites par les enquêteurs) WASH - Pratique de lavage des mains Pas d endroits spécifiques pour 72.3% des ménages Présence du savon sur le lieu dédié pour 65.1% des ménages Moment de lavage : avant de manger ou de donner à manger (80.4%); au sortir des toilettes ou après les selles (66.9%); après avoir manger (64.9%); après avoir nettoyé l enfant qui était au toilettes (58.1%); avant de faire manger l enfant (56.0%) et avant de préparer les repas (51.4%)

17 Conditions de vie des ménages 3/3 Pas de changement notable au cours des 6 derniers mois WASH - Assainissement : Ordures ménagères jetées dans une compostière (27.9%), dans la nature (27.0%), déposées dans un tas d immondices (19.8%) ou dans la rue (14.1%) Eaux usées déversées dans la rue (34.3%), dans la nature (27.1%), dans la cour (26.6%) Possession de biens/équipements Téléphone (81.4%); Radio (71.0%); Charrette (56.2%); Vélo (52.5%); Moto (49.2%) et Téléviseur (25.9%) Indice de bien-être économique des ménages Synthèse des informations sur les conditions de vie des ménages réalisée via une analyse factorielle en composantes principales (ACP) Prise en compte des biens possédés ainsi que du cadre de vie (logement, WASH, etc.) Répartition des ménages en 5 quintiles (Très faible, Faible, Moyen, Elevé, Très élevé)

18 Selon l indice de richesse basé sur les biens possédés par les ménages ainsi que leurs conditions des vies : les ménages du Nord plus pauvres que ceux du Sud

19 PRINCIPAUX RESULTATS SOURCE DE REVENUS ET MOYENS D EXISTENCE (Elevage, Agriculture, Crédit, Dépenses & Approvisionnement)

20 Contextualisation de la période de collecte des données Récoltes de contre saison (riz, maraîchage) et présence de bétail dans le Gourma et les zones de pâturages méridionales Figure 4 : Calendrier agricole de FEWS NET associé aux périodes de collecte des données ENSAN

21 ELEVAGE

22 Pratique de l élevage 81,6% des ménages possèdent du bétail La pratique de l élevage concerne surtout le milieu rural : 85% des ménages contre 52% en milieu urbain. Taille & Typologie du cheptel : 5 bovins et 9 petits ruminants Au niveau régional, les ménages ayant le plus de bovins sont situés par ordre d importance dans les régions de Kidal, Sikasso et Mopti. les régions où les ménages ont le plus de petits ruminants sont Kidal (70 petits ruminants en moyenne) et Gao (18 petits ruminants) ; La volaille est principalement possédée dans les régions du sud et du centre du pays. Le nombre moyen de volaille possédée est d environ 10 (la médiane étant de 3). L élevage porcin est pratiqué dans tout le pays, notamment à Sikasso et Ségou, excepté les

23 Contrainte de l élevage L insécurité perturbe le fonctionnement des marchés et limite l accès au marché Manque de débouchés pour la commercialisation (70.6% des ménages) - contrainte principale pour toutes les régions du pays (sauf Kidal) Manque de moyens financiers (39.0%) Problèmes d intrants vétérinaires (37.2%) principalement dans la région de Kidal (cercles de Tessalit %, Kidal %) ainsi que dans les cercles de Bandiagara (71.0%) et Kita (68.6%) Vol & Insécurité (28.2%) - principalement dans les cercles de Gourma-Rharous (95.3%), Niafunké (73.4%) et Ansongo (71.2%) Problèmes d alimentation et d abreuvement (24.0%)

24 Condition d élevage: Mauvais à très mauvais état du pâturage dans les régions du Nord (Tombouctou et Gao) Etat des pâturages Au niveau national, 52% des communautés interrogées jugent moyen à bon l état actuel des pâturages. A contrario, 48% des ménages le jugent mauvais à très mauvais. Au niveau régional, l état actuel des pâturages des régions de Gao (88%) et Tombouctou (92%) est jugée mauvais à très mauvais. Au niveau cercle, l état des pâturages est jugé mauvais à très mauvais principalement dans les cercles de Gourma-Rharous, Niafunké, Ansongo et Diré (100%), Abeibara, Goudam et Niafunké (92%), Tombouctou (81%), Youwarou (90%), Menaka et Gao (87%), Bourem et Yélimané (91%), Kolokani (93%).

25 Condition d élevage Abreuvement, production laitière mauvais pastorales du Nord (Gao et Tombouctou) dans certaines zones Conditions d abreuvement Bonnes à moyennes par plus des deux tiers des communautés (71%). Mauvaises à très mauvaises dans les zones de moyens d existence du plateau Dogon (72%), de la zone nomadisme (83%) et de la zone pastoralisme et nomades (43%). Production laitière Mauvaise à très mauvaise par deux tiers des communautés (67%). En particulier à Tombouctou (96%) et Gao (90%). Cercles de la bande sahélienne (Nioro, Yélimané, Nara et Niono), du nord de Mopti (Youwarou et Douentza) ainsi que le cercle d Abeïbara dans la région de Kidal.

26 Soudure pastorale : Précoce dans certaines zones pastorales du Nord (Gao et Tombouctou) et serait plus difficile cette année Soudure pastorale Au niveau national, près de trois cinquièmes des communautés (59%) estiment que la soudure pastorale sera plus difficile cette année. Les zones de moyens d existence les plus affectées sont la zone nomade et commerce transsaharien (100%), riz fluvial et élevage transhumant (91%), pastoralisme nomade et transhumant (79%). En termes de précocité ; au niveau national, une communauté sur deux (50%) prévoit une soudure plus précoce cette année. Cette précocité concernerait principalement les communautés de Gao (100%) et de Tombouctou (89%). Les raisons d une mauvaise à très mauvaise situation pastorale sont essentiellement le manque de pâturages (51%) et le manque d eau (27%).

27 Ressources pastorales : Actuellement insuffisantes et très fortement sous pression Ressources en bourgou jugé insuffisante pour 84% des communautés Ressources en pâturage jugé insuffisante pour 64% des communautés Ressources en points d abreuvement (eau) jugé insuffisante pour 42% des communautés CONSEQUENCE = PRESSION INHABITUELLE CETTE ANNEE SUR LES RESSOURCES AGROPASTORALES DES COMMUNAUTES STRATEGIES PRIVILEGIEES par les communautés pour faire à cette situation Achat inhabituel d aliment bétail (38% des communautés) Transhumance inhabituel (27%) Déstockage du bétail (18%)

28 Transhumance du bétail Précocité de la transhumance et mauvais état d embonpoint du bétail dans certaines zones pastorales du Nord (Gao et Tombouctou) Transhumance du bétail Près de la moitié (47%) des communautés la juge normale cette année comparativement aux années précédentes. Contre 38% des communautés interrogées qui la juge anormalement précoce - principalement dans les régions de Tombouctou et Gao où elle aurait été amorcée depuis les mois de janvier et février. Le reste des communautés (15%) la juge anormalement tardive. Pas de changement/modifications des axes habituels de transhumance (pour 9 communautés sur 10) Embonpoint du bétail - reflet de l impact des conditions d élevage sur les animaux - jugé : bon par 29.3% des ménages ; moyen par 55.2% des ménages ; et, mauvais par 15.5% des ménages. Les régions les plus concernées sont Tombouctou (46.3%), Gao (30.5%).

29 Evolution du cheptel : Diminution des effectifs (en termes d UBT) de 16.2% au cours des 6 derniers mois à cause de la mortalité excessive ainsi que des ventes excessives Baisse du cheptel pour 58.9% des ménages au cours des 6 derniers mois. Le nombre moyen d UBT est passé de 6.6 à 5.5 entre septembre 2014 et Février 2015 Les baisses d effectifs concernent surtout les cercles Djenné (-28.1%); Tin-Essako (- 17.0%), Ménaka (-11.9%), Douentza (-11.3%), Youwarou (-10.2%) et Niafunké (-7.6%) Les raisons de la baisse : Mortalité excessive et vente excessive particulièrement dans les cercles de Ménaka (12.4% de taux de mortalité); Gourma-Rharous (17.3%) et Niafunké (24.5%)

30 PECHE

31 Pêche Campagne piscicole jugée mauvaise à très mauvaise Situation mauvaise à très mauvaise (73% des communautés) principalement sur toute la bande du fleuve et du Delta du Niger cercles de Bourem, Ansongo, Niafunké, Goundam, Gourma-Rharous, Niono et Baraouéli Raisons Faible crue (38% des communautés) Faible niveau de reproduction des espèces (26%) Manque de matériel de pêche (10%) Manque d encadrement du personnel (5%) Insécurité - spécifique à Gao (9%) Stratégies pour faire face à cette situation Recours à d autres activités (40%) La migration vers d autres pêcheries (23%) Développement de la pisciculture (15%)

32 AGRICULTURE

33 Pratique de cultures de contre-saison - 1/2 Implication d une faible proportion de ménages 35.0% de ménages pratique l agriculture de contre-saison Principalement le maraîchage (26.4%) dans les régions de Kayes (44.6%), Sikasso (31.5%), Koulikoro (26.6%), Ségou (25.5%) et Mopti (20.1%) Faiblement dans les régions du nord (moins de 10% des ménages - sauf à Diré : 34.4%) Céréales irriguées (9.2%) - principalement dans les zones du lac et du delta (23.6%) ainsi que de l Office du Niger (33.4%) Culture de décrues (8.9%) - principalement dans les régions de Tombouctou (25.7%) et Kayes (18.8%) Raison de la non pratique de cultures de contre-saison N ont jamais pratiqué ce type de cultures (26.7%) Manque de moyens financiers (16.6%) Manque d eau en lien avec la faible de la pluviométrie (15.2%) Manque/Indisponibilité des terres cultivables (12.1%) Manque/Insuffisance de main d œuvre (8.1%)

34 Perspective des récoltes de contre-saison - 2/2 Elle sera probablement moyenne dans le sud et mauvaise dans le nord 31.8% de ménages étaient entrain de récolter (au moment de l enquête) Les perspectives sont jugées : Bonne (22.4%) Moyenne (52.8%) Mauvaise à très mauvaise (24.7%) - surtout dans les régions de Tombouctou (71.5%) et de Gao (66.0%) Raisons avancées par les ménages pour expliquer les mauvaise perspectives de récolte Manque d eau (42.7%) - notamment à Tombouctou (44.9%) et Gao (51.0%) Manque de moyens financiers (12.3%) principalement à Sikasso (26.7%), Mopti (20.9%) et Ségou (18.5%) Faible crue (11.5%) principalement dans la région de Tombouctou (30.8%) Manque d intrants agricole (12.2%) notamment à Sikasso (30.5%) La pauvreté des sols (9.4%) notamment à Koulikoro (30.9%)

35 SOURCES DE REVENUS & GROUPES DE MOYENS DE SUBSTANCE

36 Sources de revenus des ménages Tributaires de l agriculture et de l élevage & Faiblement diversifiés Principales AGR actuelles des ménages : Production/Vente de produits agricoles (hors maraîchage) % de ménages concernés Production/Vente de produits d'élevage % Production/Vente de produits maraîchers % Transferts d argent % Petits métiers (menuisier, maçons, plombier, tailleur, etc.) % etc. Faible diversification des sources de revenus : habituellement 2 (en moyenne) Contraintes pesant sur les AGR : manque d opportunité d emploi (31.8%); manque de capacité financière (28.7%) et perte de moyens de production (23.4%) L insécurité constitue une contrainte économique importante dans le nord (Kidal %; Tombouctou - 28%; Gao -14%) Revenus actuels assez proches des revenus actuels Apport mensuel des revenus actuels: en moyenne francs CFA (la médiane étant de ) Revenus médians en hausse de 50% en comparaison avec les chiffres de l ENSAN de Septembre 2014 mais existence de grandes disparités entre les cercles : baisse des revenus médians des ménages principalement Bla (-51%), Youwarou (-46%); San (-42%); Yorosso (-41%); Abaïbara (-38%); Tominian (-25%);

37 Stabilité & Evolution des revenus des ménages Revenus plus instables et en baisse dans les régions du nord avec plus de très pauvres du fait de l insécurité Stabilité des revenus Evolution des revenus Très instable Plus ou moins stable Stables Baisse Stable Hausse 17.8% 62.3% 19.9% 39.0% 40.2% 20.8% Revenus plus instables à Tombouctou (34.5%) et à Gao (25.0%) La baisse des revenus concernent plus des trois cinquièmes de ménages à Bourem, Ménaka, Diré, Niafunké, Ansongo et Gourma-Rharous Autoclassification des ménages de type HEA Contribution au revenu global du ménage Très pauvres Pauvres Moyens Nantis Femme Enfants de moins de 15 ans 6.6% 23.4% 67.1% 2.9% 15.5% 3.0% Plus de TP dans les régions de Tombouctou (19.9%), Gao (12.7%) et Kidal (11.1%) Contribution des femmes plus importantes dans les régions de Gao (19.3%), de Sikasso (18.8%) et Koulikoro (18.4%)

38 Groupes de moyens de subsistence (GMS) Méthodologie de construction des GMS : Vise à synthétiser les sources différentes sources de revenus (habituelles) des ménages et à les regrouper en tenant compte de leur contribution par rapport aux revenus globaux ainsi que de leur diversité Application de techniques statistiques multivariées : Analyse en composantes principales (ACP) puis recours à une analyse en classification non hiérarchiques (ACNH) Résultats Définition de 16 groupes de moyens de subsistance

39 PRINCIPAUX GROUPES DE MOYENS DE SUBSISTANCE (basés sur les sources de revenus habituelles Des ménages Ouvrier / Travailleur journalier agricole 1,9% Orpaillage 2,3% Production/Vente des produits maraîchers 4,5% Ouvrier / Travailleur journalier non agricole 3,9% Pension/Retraite 1,1% Production/Vente de produits de la pêche 2,9% Artisanat 2,7% Aides/Dons/Mendicité/Dettes 2,5% Autre 4,0% Production/Vente de produits agricoles (hors maraîchage) 36,5% Commerce/Revente des produits (Grossistes) 3,8% Petits métiers (menuisier, maçons, plombier, tailleur, etc.) 6,1% Salarié (Fonctionnaires, Agents de l'etat, autres employés) 6,1% Transfert d'argent 6,2% Petit commerce 7,0% Production/Vente de produits d'élevage 8,4%

40 Profil des groupes de moyens de subsistance (GMS) GMS Contribution aux revenus % de femmes CM % de TF (HWI) Revenus actuels médians Dépenses médianes Part des dépenses alimentaires Production/Vente de produits agricoles (hors maraîchage) Agriculture (81.0%) 2,3% 15,8% ,0% Production/Vente de produits d'élevage Elevage (78.1%) 3,5% 41,7% ,6% Petits commerçants Petit commerce produits alimentaire (39.9%) ou non alimentaire (44.4%) 14,8% 19,2% ,4% Transfert d'argent Transfert d argent (69.9%) 13,0% 20,1% ,7% Salarié (Fonctionnaires, Agents de l'etat, autres employés) Salaire (87.4%) 8,0% 2,7% ,4% Petits métiers (menuisier, maçons, plombier, tailleur, etc.) Commerce/Revente des produits (Grossistes) Ouvrier / Travailleur journalier non agricole Petits métiers (82.7%) 2,6% 15,3% ,2% Commerce de gros (49.9%), Transport (23.0%) 11,4% 10,8% ,2% Travail non agricole (82.8%) 3,4% 39,1% ,9%

41 Profil des groupes de moyens de subsistance (GMS) GMS Production/Vente des produits maraîchers Contribution aux revenus % de femmes CM % de TF (HWI) Revenus actuels médians Dépenses médianes Part des dépenses alimentaires Maraîchage (76.7%) 3,2% 24,0% ,1% Orpaillage Orpaillage (80.7%) 3,8% 15,6% ,9% Artisanat Artisanat (79.9%) 8,9% 32,9% ,1% Production/Vente de produits de la pêche Pêche (75.6%) 6,7% 23,7% ,9% Ouvrier / Travailleur journalier agricole Travail agricole (79.9%) 3,0% 21,6% ,3% Pension/Retraite Pension (75.5%) 17,3% 2,7% ,2% Aides/Dons/Mendicité/Dettes Aides/Dons (42.3%), Chasse/cueillette (20%), mendicité/dettes (11.7%) 13,9% 42,3% ,8% Autre Autre (85.5%) 6,7% 14,0% ,0% ENSEMBLE 5,7% 20.0% ,2%

42 Localisation géographique des GMS GMS Production/Vente de produits agricoles (hors maraîchage) Région KAYES KOULIKORO SIKASSO SEGOU MOPTI TOMBOUCTOU GAO KIDAL Total 25,6% 29,4% 57,8% 36,6% 39,6% 28,6% 8,3% 0,1% 36,5% Production/Vente de produits d'élevage 6,5% 6,1% 1,6% 7,7% 10,7% 19,2% 27,1% 50,5% 8,4% Petits commerçants 7,8% 9,1% 4,1% 6,8% 7,3% 6,2% 8,3% 14,9% 7,0% Transfert d'argent 14,7% 7,7% 2,1% 4,2% 4,8% 7,6% 3,8% 0,5% 6,2% Salarié (Fonctionnaires, Agents de l'etat, autres employés) 8,9% 8,7% 5,7% 5,4% 2,5% 2,7% 11,7% 3,6% 6,1% Petits métiers (menuisier, maçons, plombier, tailleur, etc.) 5,7% 8,2% 5,6% 6,3% 3,7% 8,8% 7,8% 1,2% 6,1% Commerce/Revente des produits (Grossistes) 2,7% 6,1% 2,9% 4,2% 1,9% 2,5% 8,7% 22,0% 3,8% Ouvrier / Travailleur journalier non agricole 3,1% 4,0% 1,6% 4,5% 5,0% 4,3% 8,2% 0,7% 3,9% Production/Vente des produits maraîchers 2,8% 5,9% 4,2% 5,0% 6,1% 1,7% 0,7% 0,2% 4,5% Orpaillage 6,9% 2,8% 3,2% 0,5% 0,1% 0,8% 0,0% 0,4% 2,3% Artisanat 1,2% 1,8% 1,2% 4,7% 5,3% 1,1% 1,6% 1,8% 2,7% Production/Vente de produits de la pêche 1,9% 1,4% 0,5% 3,2% 7,6% 3,0% 3,8% 0,4% 2,9% Ouvrier / Travailleur journalier agricole 3,4% 1,3% 2,3% 2,3% 0,9% 2,3% 0,5% 0,0% 1,9% Pension/Retraite 1,4% 1,2% 1,1% 1,3% 0,5% 0,6% 2,3% 0,8% 1,1% Aides/Dons/Mendicité/Dettes 3,1% 2,5% 2,7% 1,7% 1,2% 5,0% 6,0% 1,0% 2,5% Autre 4,5% 4,1% 3,5% 5,5% 2,9% 5,5% 1,3% 1,7% 4,0% Total 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100%

43 Sources actuelles d approvisionnement en nourriture 60,4% 77,8% 76,3% 81,6% Ces sources d approvisionnement des ménages sont différents des sources habituelles pour un cinquième (21.0%) des ménages principalement ceux des régions de Tombouctou (32.1%) et de Koulikoro (30.6%) 8,7% 9,3% 11,8% 5,1% 11,7% 9,5% 13,8% 14,5% 5,9% 8,8% 3,5% 2,3% L aide humanitaire constitue une source importante d approvisionnement dans le nord Propre production Dons sociaux Dons humanitaires Transferts/Envois des migrants Payement en nature Solidarité Marchés Autre ENSAN Septembre 2014 ENSAN Février 2015

44 Au cours des 12 derniers mois, période où les ménages n ont pas eu assez de nourriture pour répondre à leur besoins 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% TOMBOUCTOU GAO KIDAL Difficultés d approvisionnement croissant pour les ménages de la région de GAO Distorsions/Anomalie à Gao, Kidal et Tombouctou Août apparaît comme la période de pic de la soudure 0% Février 2014 Mars 2014 Avril 2014 Mai 2014 Juin 2014 Juillet 2014 Août 2014 Septembre 2014 Octobre 2014 Novembre 2014 Décembre 2014 Janvier 2015 KAYES KOULIKORO SIKASSO SEGOU MOPTI TOMBOUCTOU GAO KIDAL ENSEMBLE

45 Endettement des ménages Très important principalement dans les régions du nord et sert principalement à se procurer à manger Recours au crédit pour près d un ménage sur deux (45.8%) principalement dans les régions de Gao (69.1%), Tombouctou (59.1%) et Kidal (54.4%) Raisons de l endettement : Achat de nourriture (67.5% des ménages concernés); achat d autres produits non alimentaires (23.7%), Education/Santé (20.5%) et Achat d intrants agricoles (10.5%). Période de recours au crédit : pendant la soudure agricole (Juillet-Septembre : 39.6%) et toute l année pour 18.4% de ménages Source du crédit : la solidarité malienne (parents/amis %, Boutiquiers %) Modalité de remboursement : utilisation des revenus du travail (37.4%) ou de la vente des récolte (22.4%). La vente d animaux ou d autres actifs (13.5%) principalement pour les zones nomades/pastorale et le plateau Dogon => CONSEQUENCE : Erosion continue des moyens d existence & Affaiblissement de la résilience des ménages

46 PRINCIPAUX RESULTATS SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DES MÉNAGES et VULNÉRABILITÉ

47 Mesurer la sécurité alimentaire Définition: La sécurité alimentaire désigne une situation dans laquelle tous les individus ont, en tout temps, un accès physique, social et économique à une nourriture suffisante, saine et nutritive qui satisfait à leurs besoins et préférences alimentaires et leur permet de mener une vie saine et active. «Sommet mondial de l alimentation, 1996» Quatre concepts fondamentaux permettent de mieux saisir la notion de sécurité alimentaire : disponibilité, accessibilité, utilisation et stabilité.

48 Les indicateurs de la sécurité alimentaire QUALITE DE LA DIETE SCORE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE / GROUPES DE CONSOMMATION DIVERSITE DE LA DIETE VULNERABILITE ECONOMIQUE (PAUVRETE) PART (%) DES DEPENSES TOTALES AFFECTEE A L ACHAT DE NOURRITURE DEPENSES TOTALES QUINTILES DE DEPENSES TOTALES INDICE DE RICHESSE STRATEGIES DE SURVIE INDICE DE STRATEGIES DE SURVIE (CSI) AUTRES STRATEGIES DE SURVIE

49 Indicateurs du CARI Indicateur Sécurité alimentaire Sécurité alimentaire limite Insécurité alimentaire modérée Insécurité alimentaire sévère Score de consommation alimentaire Acceptable N/A Limite Pauvre Part des dépenses alimentaires < 50% 50% - 65% 65% - 75% >= 75% Indice de stratégie de survie Aucune Stratégie de stress (vente d'actifs non productifs) Stratégie de crise (vente d'actifs productifs) Stratégies d'urgence (vente d'actifs productifs majeurs)

50 tratégies de survie et les pondérations utilisées Catégorie Stratégie Pondération Stratégies de stress (# 4) Stratégies de crise (# 3) Stratégies d'urgence (# 3) Acheter/ou emprunter de la nourriture à crédit 2 Emprunter de l'argent 2 Dépenser l'épargne 2 Vendre plus d'animaux que d'habitude 2 Vendre les actifs productifs 3 Retirer les enfants de l'école 3 Réduire les dépenses de santé et d'éducation 3 Envoyer des membres du ménage mendier 4 Vendre les dernières femelles 4 Vendre la maison, la parcelle de terrain ou le champ 4

51 éfinition des groupes de sécurité alimentaire Groupe de sécurité alimentaire Sécurité alimentaire Sécurité alimentaire limite Insécurité alimentaire modérée Insécurité alimentaire sévère Description des groupes Ménage capable de satisfaire ses besoins alimentaires et non alimentaires essentiels sans recourir à des stratégies d adaptation atypiques. Ménage qui a une consommation alimentaire tout juste adéquate sans recourir à des stratégies d adaptation irréversibles. Ne peut pas se permettre certaines dépenses non alimentaires essentielles. Ménage qui a une consommation alimentaire déficiente OU qui ne peut satisfaire ses besoins alimentaires minimaux sans recourir à des stratégies d adaptation irréversibles. Ménage qui a une consommation alimentaire très déficiente OU qui connait une perte très importante de ses moyens de subsistance qui vont conduire à des

52 PRINCIPAUX RESULTATS CONSOMMATION ALIMENTAIRE & VULNERABILITE

53 Plus de 1/4 des ménages à une consommation alimentaire inadéquate 74,8% 12,1% 11,8% 13,1% ,5% 17,8% Par rapport à la fin soudure (septembre 2014) la consommation alimentaire des ménages semble s être détériorée en période post récolte

54 Consommation alimentaire par groupes de moyens de subsistance et quintiles d indice de bien-être économique Consommation alimentaire inadéquate pour les ménages vivant: de la production/vente des produits maraîchers (43.8%) des aides/dons/mendicité/dettes (39.6%) du travail journalier non agricole (39.2%) de l artisanat (36.7%) de la production/vente de produits agricoles - hors maraîchage (33.1%) et d autres activités diverses non spécifiés (35.4%) Il en est de même pour ceux appartenant aux quintiles d indice de bienêtre économique les plus pauvres «Très pauvres» (41.7%) «Pauvres» (32.8%)

55 Evolution de la consommation alimentaire des ménages Très contrastée au cours des 6 derniers mois Evolution de la consommation alimentaire Cercles principalement concernés (% de baisse/hausse de Pauvre + Limite) Détérioration Différence statistiquement significative pour 14 cercles Bla (+41.7%) Nara (37.8%) Gourma-Rharous (+36.2%) Kita (+30.2%) Sikasso (+28.7%) Kolondiéba (+26.8%) Abeïbara (+ 22.8%) Tin-Essako (+22.3%) Ansongo (+22.1%) Douentza (+21.4%) Youwarou (19.9%) San (+17.0%) Bougouni (+14.4%) Baraouéli (+13,8%) Relative Stabilité Différence statistiquement non significatives pour 28 cercles Amélioration Différence statistiquement significative pour 7 cercles Kolokani (-28.0%) Bourem (-20.2%) Bandiagara (-15.3%) Koulikoro (-15.2%) Diéma (-14.1%) Gao (-13.0%) Niono (-11.1%)

56 Diversité alimentaire Faible dans le nord du pays Nombre moyen de groupes d aliments consommés : 6 groupes d aliments consommés (sur 12) la veille de l enquête - SDAM_12 5 groupes d aliments consommés (sur 7) au cours des 7 jours ayant précédé la collecte des données - SDA_7 La proportion de ménages ayant consommé moins de 4 groupes d aliments est de 5.8% au niveau national (SDAM_12) avec des disparités au niveau des : Régions et zons de moyens d existence : Cercles : Kita (24.6%), Gourma-Rharous (19.6%), Bourem (19.9%) Tin-Essako (17.8%) et Abéïbara (15.4%) GMS (diversité alimentaire plus faibles concernent un plus grand nombre de ménages pêcheurs, artisans ou vivant des aides/dons).

57 Dépenses Les ménages pauvres consacrent sont en moyenne plus de 70% de leurs dépenses à l achat de nourriture Niveau des dépenses Moyenne : francs CFA Médiane : francs CFA Part des dépenses consacrées à l alimentation : Moyenne : 63.2% Médiane : 65.3% Classes des parts de dépenses alimentaires : Supérieures à 65% pour un ménage sur deux (50.5%) La part des dépenses alimentaires est de plus de 70% pour les ménages pauvres. La part des dépenses alimentaires est de plus de deux tiers pour les ménages vivant de l élevage, des transferts d argent, du travail journalier (ouvrier agricole ou non), de l artisanat, de la pêche, des aides/dons

58 Principaux chocs subis au cours des 6 derniers mois Dépenses irrégulières de santé / Malade dans le ménage - 21,4% Déficit pluviométrique / Sécheresse - 19,6% Décès d'un membre de la famille, funérailles - 7,1% Hausse des prix des denrées alimentaires - 6,5% Perte de bétail irrégulière (mortalité, vol, ) - 6,3% Perte d'emploi/ Réduction ou irrégularité des salaires - 6,0% Remboursement de dettes - 5,8%

59 Stratégies des ménages pour faire face aux difficultés à trouver de manière suffisante la nourriture Stratégies des ménages : Pas de recours à des stratégies : 59.5% Recours à des stratégies de stress : 25.6% Recours à des stratégies de crise : 6.9% Recours à des stratégies d urgence : 8% Indice de stratégies de survie (réduit/simplifié) Moyenne actuellement à 2.4 (vs 3.7 lors de l ENSAN de septembre 2014) Plus élevé dans les régions du nord : Tombouctou (7.7), Gao (6.7) et Kidal (4.5) Plus élevé pour les ménages du quintile d indice de bien-être économique «Plus pauvres» (5.5) Plus élevé pour les pêcheurs (3.6), les travailleurs journaliers non agricole (5.0) et les ménages vivant des aides/dons (7.9) => Indice domestique de la faim (HHS) Pas de faim (HHS=0) : 93.8% Faible (HHS=1) : 2.5% Modérée (HHS : 2-3) : 3.4% Sévère (HHS : 4-5) : 0.2% Grave (HHS=6) : 0.1%

60 Assistance alimentaire 27% des ménages ont reçu au moins une assistance - principalement ceux du nord. Les Assistances ont portées essentiellement sur les distributions alimentaires gratuites, les soins de santé / médicaments gratuits et le C&V Les principaux donateurs sont respectivement les ONG, l Etat, PAM. Les ménages sont majoritairement bénéficiaire des appuis

61 PRINCIPAUX RESULTATS SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DES MÉNAGES

62 Prévalence de l insécurité alimentaire : 25 % des ménages maliens sont en Insécurité alimentaire dont les 3 % sont en insécurité alimentaire sévère En insécurité alimentaire modérée 22,3% En insécurité alimentaire sévère 3,1% En sécurité alimentaire 26,3% En sécurité alimentaire limite 48,3%

63 Evolution de la sécurité alimentaire - au niveau national 25,4% 26,3% 50,2% 48,3% 20,3% 22,3% Une évolution contrastée de la situation de sécurité alimentaire des ménages qui cache les importantes disparités qui existent entre les différentes régions, cercles et zones de moyens d existence 4,1% 3,1% En sécurité alimentaire En sécurité alimentaire limite En insécurité alimentaire modérée En insécurité alimentaire sévère ENSAN Septembre 2014 ENSAN Février 2015

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70 Evolution de l insécurité alimentaire - au niveau cercle Très contrastée au cours des 6 derniers mois Evolution de l insécurité alimentaire Cercles principalement concernés (% de baisse/hausse de Sévère + Modérée) Détérioration Différence statistiquement significative pour 9 cercles Baraouéli (+13.0%) San (+14.4%) Youwarou (+23.0%) Kita (+23.8%) Douentza (+24.2%) Bougouni (+24.9%) Nara (+25.9%) Bla (+28.7%) Gourma-Rharous (44.5%) Relative Stabilité Différence statistiquement non significatives pour 33 cercles Amélioration Différence statistiquement significative pour 7 cercles Kolokani (-29.1%) Bandiagara (-20.5%) Koulikoro (-18.4%) Diéma (-15.5%) Koutiala (-13.9%) Yélimané (-13.8%) Gao (-11.7%)

71 Profil des ménages en insécurité alimentaire Ménages pauvres : Deux cinquièmes (41.5%) des ménages du quintiles d indice de bien-être économique sont pauvres La proportion de ménages en insécurité alimentaire diminue en fonction de l amélioration du bienêtre économique (augmentation de la richesse) - 12% pour les ménages du quintile plus élevé Ménages dirigés par des femmes ou des personnes veuves Un tiers (32.2%) des ménages dirigés par une femme est en insécurité alimentaire (vs 25.0% pour les ménages dirigés par un homme) Un tiers (33.9%) des ménages dirigés par une personne veuve es en insécurité alimentaire => Ménages dirigés par des personnes à faible niveau d éducation (aucun ou simplement alphabétisée) 30.0% des ménages sans aucun niveau d éducation sont en insécurité alimentaire La proportion de ménages en insécurité alimentaire diminue à mesure que le niveau d éducation du chef de ménage augmente (seul 3.0% des ménages dirigés par une personne ayant un niveau d étude supérieur est en insécurité alimentaire) => Ménages vivant : du travail journalier (ouvrier non agricole %; ouvrier agricole %) des aides/dons (36.9%) du maraîchage (35.1%); de l artisanat (29.2%) de la pêche (29.2%) => Ménages ruraux la prévalence de l insécurité alimentaire est de 26.5% en milieu rural (vs 16.0% en milieu urbain)

72 PRINCIPAUX RESULTATS NUTRITION

73 NUTRITION & WASH L analyse a porté sur environ enfants de moins de 5 ans enquêtés dont 48.2% sont des filles contre 47,5% en septembre 2014.

74 Caractéristiques des enfants Région sexe masculin (%) Age moyen (mois) enfant Enfant allaité (%) SEPT FEV SEPT FEV SEPT FEV Kayes 54,3 56,6 29,76 25,86 31,1 45,1 KKORO 52,7 57,2 30,72 27,07 29,7 39,6 Sikasso 52,7 59,6 31,20 28,66 30,4 46,3 Ségou 51,3 50,3 31,01 29,59 27,4 37,6 Mopti 51,2 57,9 30,62 25,60 34,0 41,2 TBCTOU 55,1 52,9 32,12 28,16 24,5 33,0 Gao 51,8 58,4 30,32 24,17 34,8 50,1 Kidal 57,1 71,0 28,83 21,59 46,5 66,6 Ensemble 52,5% 51,8% 30,67 29,59 31,5% 35,0%

75 PARTICIPATION A UNE SEANCE DE SENSIBILISATION/EDUCATION NUTRITIONNELLE Région sensibilisati on ou d'éducation nut. lavage des mains et hygiène encourager/p ratiquer l'allaitement maternel Manger des aliments variés Reconnaitre les signes de a malnutrition Bien utiliser les aliments KAYES 27,3% 84,97% 69,09% 64,50% 66,81% 65,97% KKORO 30,3% 74,24% 65,40% 58,22% 60,48% 57,04% SIKASSO 50,8% 86,93% 66,86% 58,68% 65,17% 64,87% SEGOU 30,9% 79,16% 61,37% 53,12% 58,13% 59,11% MOPTI 45,9% 90,57% 68,31% 64,90% 76,62% 67,66% TBCTOU 30,2% 88,86% 84,83% 67,35% 67,27% 71,84% GAO 38,5% 96,97% 91,36% 87,59% 87,66% 88,32% KIDAL 1,5% 100,00% 13,89% 33,92% 22,44% 42,39% Kidal au rouge (absence d intervenant) Dans 75 à 80% des cas, les agents de santé et de santé communautaire ont assuré les CCC auprès des ménages, et dans toutes les régions excepté Kidal.

76 PARTICIPATION A UNE SEANCE DE SENSIBILISATION EDUCATION NUTRITIONNELLE Région Encourager/ pratiquer l'allaitement maternel Agent de santé Agent de santé communautai re Agents d'une ONG Autre KAYES 69,09% 37,25% 43,06% 17,93% 5,65% KKORO 65,40% 35,45% 51,79% 22,83% 14,90% SIKASSO 66,86% 36,86% 52,54% 18,83% 6,25% SEGOU 61,37% 43,58% 48,98% 13,71% 11,80% MOPTI 68,31% 40,08% 55,74% 38,19% 11,69% TBCTOU 84,83% 41,77% 44,91% 30,42% 5,50% GAO 91,36% 65,73% 49,99% 36,04% 18,26% KIDAL 13,89% 12,91% 3,92% 1,96% 0,00%

77 PRATIQUE LAVAGE DES MAINS AU SAVON Utilisation du Au sortir Après avoir Avant de savon ou Avant des nettoyé manger détergent de Avant toilettes l'enfant ou de disponible préparer de faire / après qui était donner pour laver vos les manger les aux à Après le REGION mains repas l'enfant selles toilettes manger manger Jamais KAYES 68,0% 54,4% 57,9% 73,3% 61,2% 80,9% 64,2% 2,9% KKORO 58,5% 53,0% 57,3% 67,2% 58,2% 83,4% 67,8% 6,0% SIKASSO 70,1% 48,2% 57,5% 63,0% 56,2% 80,7% 59,8% 6,6% SEGOU 61,9% 51,1% 49,6% 64,1% 52,3% 74,6% 53,0% 5,8% MOPTI 66,9% 54,5% 57,7% 68,0% 61,0% 82,0% 73,8% 5,4% TBCTOU 49,0% 40,6% 57,8% 73,3% 64,1% 80,5% 70,4% 5,0% GAO 72,6% 53,2% 56,1% 59,8% 60,1% 82,3% 79,7% 8,8% KIDAL 65,8% 29,9% 34,6% 57,1% 61,5% 87,3% 84,2% 14,4%

78 ACCES A L EAU POTABLE Région volume d'eau/24h moyenne Femmes (15 ans +) Filles (-15 ans)? Garçons (-15 ans)? hommes (15 +) Kayes ,2% 51,2% 25,6% 14,5% KKORO ,5% 42,9% 29,0% 27,3% Sikasso ,3% 70,9% 30,8% 17,3% Ségou 93 93,9% 44,3% 25,5% 25,7% Mopti ,4% 68,1% 35,7% 22,9% TBCTOU ,2% 44,2% 29,9% 23,6% Gao ,6% 50,8% 43,9% 36,2% Kidal ,5% 26,0% 80,6% 96,1% ENSBLE ,6% 52,5% 36,2% 31,3%

79 TRAITEMENTS DE L EAU (%) REGION Traitement de l eau Filtrage Décantation Ebullition linge/ tissu Utilisati on d un filtre à eau Eau de javel Comprimés Désinfec Autre tion méthode solaire KAYES 37,2 2,9 0,2 44,2 2,7 45,1 3,9 0 0,9 KKORO 32,7 6,6 1,0 40,6 1,0 44,2 4,2 0 2,4 SIKASSO 43,8 5,9 0,5 15,9 1,4 74,7 0,8 0 0,8 SEGOU 45,4 3,0 0,4 37,8 2,1 54,9 0,9 0 0,9 MOPTI 28,7 3,8 0 27,2 2,1 58,8 5,8 0 2,3 TBCTOU 20,2 20,0 0 13,4 1,1 52,3 11,9 0 1,3 GAO 32,6 24,5 0,6 13,4 4,0 27,6 27,5 0 2,5 KIDAL 71,9 67,0 0,2 29,7 0,4 0,5 1,1 1,1 0

80 NUTRITION REGION l'enfant actuellement allaité? Nbre de repas la veille (enfant) Dans un programme de nutrition Maladie enfants KAYES 45,1% 3,7 6,1% 24,5% KKORO 39,6% 3,5 6,3% 23,4% SIKASSO 46,3% 3,6 4,7% 20,1% SEGOU 37,6% 3,9 4,4% 26,5% MOPTI 41,2% 3,9 2,3% 20,7% TBCTOU 33,0% 3,5 4,8% 27,9% GAO 50,1% 2,6 2,3% 29,4% KIDAL 66,6% 1,6 0,3% 33,2% ENSBLE 35,0% 3,6 3,9% 20,1% 3/13/

81 STATUT NUTRITIONNEL DES ENFANTS DE 6 à 59 MOIS SELON LE PB Région PB moyen Présence des œdèmes MNA MAS MAM Kayes 143,89 0,7% 4,0% 0,8% 3,3% Kkoro 143,21 1,8% 5,5% 2,7% 2,8% Sikasso 146,87 0,6% 3,6% 1,5% 2,1% Ségou 144,28 0,6% 5,3% 3,4% 1,9% Mopti 142,67 2,4% 8,0% 3,7% 4,3% Tbctou 146,30 1,4% 6,0% 1,8% 4,1% Gao 139,00 0,6% 6,3% 1,4% 4,9% Kidal 132,08 4,7% Mali 145,24 1,3% 7,3% 2,4% 4,9%

82 Merci

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