Qu est ce que peut apporter une étude ALARA formalisée des exposi8ons professionnelles dans le secteur médical?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Qu est ce que peut apporter une étude ALARA formalisée des exposi8ons professionnelles dans le secteur médical?"

Transcription

1 Qu est ce que peut apporter une étude ALARA formalisée des exposi8ons professionnelles dans le secteur médical? Exemple de l u*lisa*on du Fluor 18 en médecine nucléaire pour les examens de TEP Chris*an Lefaure consultant Résumé d une étude de cas préparée par Christian Lefaure consultant avec l aide de Sebastien Balduyck du CHU de Toulouse. Certaines données ont été fournies par David Celier de l IRSN et sont issues de la thèse de Thomas Geoffrey. D autres proviennent de l étude ORAMED, du site AIEA RPoP ou d une étude de poste de H Visseaux à Grenoble. Les données de coûts proviennent d une enquête auprès des réseaux régionaux de PCR en France. 1 Premières journées du RPCirkus Lyon, 21, 22 Novembre 2013

2 Introduc8on l application «formelle» de la procédure d optimisation est devenue très courante dans le domaine nucléaire, il n en va pas de même dans les autres secteurs, en particulier dans le secteur médical où: l optimisation de l exposition des patients correspond souvent à la seule réduction des expositions aussi bas que possible sans perte d information diagnostique ; l optimisation des expositions professionnelles correspond souvent à une analyse approfondie de l efficacité de diverses actions de protection sans autant formaliser les autres critères de choix. Que se passerait il si on appliquait de façon systématique la procédure d optimisation ou procédure ALARA aux expositions professionnelles dans le médical? C est à cette question qu ont voulu répondre plusieurs études de cas réalisées pour l AIEA en 2012 dont celle sur l utilisation du 18 F pour les examens TEP 2

3 La procédure ALARA Etude méthodologique Sur données réelles 3

4 Pourquoi et Comment u-liser le Fluor 18 dans les procédures diagnos-ques? La tomographie par émission de positron ou TEP, mesure des fonctions importantes de l organisme comme le flux sanguin, et le métabolisme du glucose, pour aider à évaluer le fonctionnement des organes et des tissus. Le traceur radioactif généralement utilisé avec le TEP est le fluor 18, émetteur β +, qui produit des photons de 511 kev dus à l annihilation. L utilisation du TEP après l injection de glucose marqué au 18 F permet de dresser une cartographie de la consommation du glucose, et ainsi de localiser les tumeurs. 4

5 Pourquoi et Comment u-liser le Fluor 18 dans les procédures diagnos-ques? L utilisation du TEP après l injection de glucose marqué au 18 F permet de dresser une cartographie de la consommation du glucose, et ainsi de localiser les tumeurs. Fixation normale 5 Fixation anormale métastases osseuses

6 Quels sont les enjeux en termes de radioprotec8on des travailleurs? Le Fluor 18 étant l un des radionucléides les plus irradiants en médecine nucléaire Y a t il un risque d avoir des expositions professionnelles élevées? ) Si oui quand et où? Quel est le système qui doit être optimisé? 6

7 Conclusions sur les enjeux Des estimations théoriques dans la littérature montrent que, sans actions de protections, les limites de dose pour les travailleurs, peuvent être rapidement atteintes: en quelques jours pour la dose efficace et quelques heures pour la dose aux extrémités; et ce essentiellement par l exposition externe avec une charge de travail «normale» au service du TEP. Les observations pratiques de l étude ORAMED montrent qu en réalité en Europe la limite de dose extrémités est atteinte pour plus d un quart des intervenants et que la dose efficace reste encore aussi, quoique moins souvent, un sujet crucial. C est pourquoi la nécessité de réaliser une étude d optimisation complète formalisée demeure essentielle. Il faut noter aussi que les estimations montrent que dans les cas les plus pessimistes, la dose effective due à une succession de 2 à 3 contaminations par mois n excèdera pas 1 msv par an 7

8 Quelles sont les actions de protection envisageables aux différentes étapes depuis la réception du Fluor 18 dans le service jusqu à la gestion des effluents, en prenant en compte l examen TEP lui même? 8

9 Durée début 15 mm + 90 mm + 45 to 60 mm Durée Totale 2h30 to 3h Quelles sont les étapes de l interven8on? 1/ Réception, déballage et manipulation du 18 F 2/ Préparation de la seringue 3/ Transport de la seringue jusqu à la salle d injection 4/ Injection du 18 F 5/ Retrait de la seringue 6/ Le patient est au repos 7/ Accompagnement du patient au TEP 8/ Installation du patient dans le TEP 9/ Réalisation de l examen TEP 10/ Retrait et départ du patient une approche analy8que Aucun contact SORTIE 9

10 Quelles op8ons de protec8on pour chaque étape? étapes Réduction du débit de dose et du risque decontamination Réduction du VTE Réduction du VTE et du DDD Protections collectives dose externe EPI Exposition interne Déballage et manipulation du 18 F Blindage du flacon Blindage de la pièce de stockage Gants Préparation de la seringue Blindage du flacon Forceps Protect. bio. de la seringue Cellule blindée avec BAG Gants Buvard absorbant Cellule blindée avec boites à gants (BAG) Formation au bon usage des Prot. Bio. et à la manipulation du 18 F Outil totalement automatique et blindé pour la préparation et l injection du 18 F Transport de la seringue Protect. bio. de la seringue Chariot blindé ou «valise «blindée» Gants 10

11 Quelles op8ons de protec8on pour chaque étape? étapes Réduction du débit de dose et du risque decontamination Réduction du VTE Réduction du VTE et du DDD Protections collectives dose externe EPI Exposition interne Injection du 18 F Retrait de la seringue Protect. bio. de la seringue Ecran mobile blindé Ecran mobile blindé Gants et masque Gants et masque Utilisation d un cathéter Utilisation d un cathéter Formation au bon usage des Prot. Bio et aux bons gestes Formation au bon séquencement des opérations Outil totalement automatique et blindé pour la préparation et l injection du 18 F Repos patient Système Audio Video Going to PET Fléchage sur le sol (vieilles installations) Système Audio Video Installation et examen TEP Distance gants Système Audio Video 11

12 Comment en œuvre la procédure formalisée? La procédure ALARA va maintenant être complètement mise en œuvre deux fois 1/ une première fois pour les options classiques de radioprotection (blindages, formation ) qui correspondent à la plupart des situations possibles dans le monde. Dans ce cas la situation de référence sera une opération totalement manuelle sans actions de protection 2/ une deuxième fois comme une nouvelle étape possible: est il encore raisonnable (ou Quand est il raisonnable? ) d installer un système totalement automatique de préparation et d injection? Dans ce cas la référence sera la «situation classique optimisée» Pour simplifier, cette étude de cas n intégrera pas la gestion des effluents ni le stockage initial Ce cas montre que la mise en œuvre de la procédure ALARA n est jamais strictement ni définitivement définie. Il faut toujours rester flexible en 12 fonction du contexte et de son évolution potentielle.

13 La première applica8on de la procédure d op8misa8on Les actions «classiques» sont toutes faisables Elles peuvent toutes être considérées comme complémentaires (cad qu elles peuvent être mises en œuvre ensemble) Elle n ont ni impact sur la dose au patient ni (ou très peu) sur les conditions de travail non radiologiques La phase de quantification va donc essentiellement se focaliser sur l efficacité et les couts de chaque option ou 13 combinaison d options.

14 Les doses de référence pour un examen diagnos8que sans ac8ons de protec8on. étape Durée d exposition au F18 Temps de présence près du patient doses extrémités dose efficace préparation 3 minutes dont seulement 1,5 au contact 20 x 1,5 = 30 msv + 1,5 x 20/200 = 0,15 0,005 x 30 > 0,15 msv + ε transport 0,5 minute au contact 0,5 minute au contact = 10 msv 0,005 x10< 0,05 msv + ε injection 1 minute au contact 20 msv 0,005 x 20 = 0,1 msv+ ε Repos du patient De 0 à 1 mm au contact De 0 à 4 µsv (220/60) 2 µsv en moyenne Retrait du cathéter 1 minute au contact 4 µsv Installation dans le TEP et examen De 1 à 5 mm à 1 mètre ( ou même plus près) De 0,3 µsv À 20 µsv TOTAL >60 msv 0,3 msv 14

15 Les doses de référence sans ac8ons de protec8on. Les doses précédemment calculées pour un examen aboutiraient à atteindre: - La limite de dose extrémités en moins de 9 examens - La limite de dose efficace en moins de 67 examens Ce type d examen ne peut être réalisé sans optimiser la protection des travailleurs 15

16 Efficacité et coût du protège seringue Non Oui ou ORAMED: Eurados winter school 18 F: (le mieux: 8 mm W) 5 mm W donne en moyenne un facteur de protection de 10 Le coût est d environs 3 k 16

17 Efficacité et coût de la cellule blindée pour la prépara8on Il y a différents types de cellules blindées, Mais l utilisation d une cellule vise à réduire la dose efficace d un facteur 33 et à supprimer totalement le risque de contamination durant la phase de préparation Le coût d achat de ce type de cellule avoisine 100 à110 k Le même type de données sur l efficacité et les coûts est recueilli pour chaque option Picture SB data Toulouse university hospital 17

18 18

19 Synthèse des critères pour les options à coût nul Action 1 Installer le système video et audio Réduction de la dose travailleur Suppression de doses inutiles 2 Optimiser la quantité de 18 F Modifie toutes les doses dans la même proportion 3 Maintenir le blindage sur le flacon durant la préparation 4 Avoir le bon comportement - Quand il est nécessaire d être près du patient, rester à un mètre minimum - Quand on tient la seringue, ne pas la prendre près de l aiguille - quand on procède au retrait de la seringue, si l on utilise un cathéter, d abord rincer puis retirer. Impact sur la dose patient NON Modifie toutes les doses dans la même proportion Complementarités C avec toutes les autres C avec toutes les autres > jusqu à 5 fois NON C avec toutes les autres Réduit la dose efficace Réduit la dose extrémités Réduit la dose extrémités et le risque de contamination C avec toutes les autres 19

20 Conclusion pour les options à coût nul Toutes les actions réduisant les doses pour un coût nul sont complémentaires L une d entre elle réduit en même temps la dose travailleur et celle du patient Aucun autre critère n a besoin d être pris en compte La référence pour l optimisation doit donc inclure toutes ces options dans la situation de base tant pour le processus de prise de décision que pour les formations Regardons maintenant les options coûteuses 20

21 Tableau de synthèse des facteurs de réduction de dose pour les options à coût non nul. Dose aux extrémités Dose Efficace Risque de Contamination C ous 1 gants Aucun effet Aucun effet Réd. Totale pour externe C avec toutes 2 masque Aucun effet Aucun effet Réd. Totale pour inhalation C Sauf 5 3 forceps > 10 > 10 faible C avec toutes 4 prot bio. seringue > 10 >10 Pas l objet C avec toutes 5 cellule blindée avec BAG 6 buvard Aucun effet? 7 chariot ou valise blindé(e) Aucun effet >33 Réd totale pendant préparation 2 à 3 ordres de grandeur Aucun effet? 2 à 3 ordres de grandeur Reduction en post préparation Pas l objet 8 cathéter 4 4 Réd totale pendant le retrait de la seringue 9 écran mobile Aucun effet 2 à 3 ordres de grandeur Pas l objet C avec toutes C avec toutes C avec toutes C avec toutes C avec toutes 10 formation suppl. Meilleure pratique pour toutes options Meilleure pratique pour toutes options Meilleure pratique pour toutes options C avec toutes Il est intéressant de noter que presque toutes les options sont complémentaires 21

22 Calcul des coûts annuels (gestion des rejets exclus) Hypothèses: 2000 examens par an; 3 intervenants le coût d exploitation annuel = coût par examen x 2000 amortissement= investissement/ durée de vie Actions Coût d expoitatio n par examen Coût d investissement coût d exploitation annuel Amortissement annuel Coût total annuel 1 gants 2 masque 3 forceps 4 prot bio. seringue 0, , ,5 2, cellule blindée avec BAG buvard chariot ou valise blindé(e) cathéter 9 écran mobile 10 formation suppl

23 Classement des combinaisons d options par les coûts annuels pour des «phases indépendantes Nous pouvons considérer qu il y a quatre phases quasi indépendantes en termes de radioprotection et pour lesquelles on peut effectuer une étude d optimisation indépendante (cela réduit énormément le nombre de combinaisons d options à considérer): La préparation Le transport L injection et L examen au TEP SCAN (mais aucune option à coût non nul ne correspond à cette 4ème phase) Nous allons classer les options et combinaisons d options par ordre de coût croissant dans chacune des phases (ici uniquement pour la préparation). Une option est commune aux trois premières phases: la protection de la seringue. Nous affecterons un tiers du coût à chaque phase (300 /3= 100 par an) 23

24 Classement des combinaisons d options par coûts annuels croissants pour la phase de préparation Action référence forceps buvard Protège seringue For + Prot Ser gants masque Cellule blindée For + Prot Ser + Cell Blind Coût total annuel 0 2, , ,5 Dans un premier temps nous ne prendrons pas en compte le buvard le masque et les gants pour étudier le coût efficacité en matière de dose efficace externe Les autres actions sont toutes complémentaires 24

25 Coût de la dose efficace marginale épargnée dans ma phase de préparation Action référence forceps protège seringue Coût total annuel Fact. red dose Dose collective annuelle HmSv Delta coût (a) Delta dose (b) Ratio a/b par HmSv Raisonable? 2, , ,01 OUI For + Prot ,5 0 Rejeté ser Cellule 102,5 15 x 15 1, ,7 5,3 Oui Blindée Rejeté For + Prot ser + Cell Bl 10102,5 15 x 15 x 33 0, , NON au regard de la seule dose efficace externe L utilisation du forceps et du protège seringue sont très raisonnables 25 La cellule blindée n est pas justifiée au vu de la seule réduction de dose efficace

26 Quel est l impact de la réduction des doses aux extrémités (toutes phases)? Les actions qui sont raisonnables au vu de la dose efficace seront maintenant considérées comme partie de la nouvelle référence ( à savoir toutes les actions envisagées sauf la cellule blindée et le cathéter). La cellule blindée n aura pas d impact sur les doses aux extrémités; cette partie de l étude ne justifiera donc pas non plus de retenir cette option. Dans le cas de l utilisation du cathéter la réduction du temps d exposition d un facteur 4 pendant l injection va réduire d autant l exposition aux extrémités. Est ce suffisant pour justifier cette utilisation? Le critère ne sera plus d être raisonnable mais de permettre de ne pas dépasser la limite de dose aux extrémités. 26

27 Quel est l impact de la réduction des doses aux extrémités (toutes phases)? Phase préparation transport Action Dose collective annuelle par phase HmSv référence Cumul de dose coll annuelle optimum 266 P =266 Référence Dose individuelle annuelle si 3 intervenants injection optimum 2,6 P + T =268,6 Référence Ref = protège seringue (+ écran mobile) 2666 P + T+ I = La situation n est pas acceptable car la Limite de dose (500 msv) est dépassée Ref + catheter 2666/4 = 666,7 935,3 311 L utilisation du cathéter qui n est pas raisonnable au vu de la réduction de dose efficace apparait nécessaire pour maintenir les 3 intervenants au dessous de la limite extrémités (nous n avons pas pris en compte ici la possibilité que cela donne aussi de rincer la seringue avant de la retirer) 27

28 28

29 Options classiques recommandées après la première optimisation (I) La plupart des options classiques doivent être recommandées car elles sont raisonnables du point de vue de la réduction de la dose efficace; le cathéter apparait comme nécessaire pour maintenir les doses aux extrémités en dessous des limites, mais dans ce cas elles restent quand même élevées et proches des limites. Les gants, le buvard et le masque, bien que les risques de contaminations n induisent que de faibles doses, peuvent être considérés comme des bonnes pratiques au vu de leur faible coûts (le plus coûteux étant l usage des masques qui atteint 600 par an). La réduction des doses efficaces ne peut justifier l utilisation des cellules blindées. Il faut alors se concentrer sur l impact en matière de réduction des risques de contamination et prendre en compte conjointement les deux facteurs dose externe et dose interne. Mais là encore cela ne suffit pas de notre point de vue à justifier un tel investissement. 29

30 Options classiques recommandées après la première optimisation»(ii) La part la plus importante de la dose efficace pour un examen est l exposition due au patient pendant son repos et l installation dans le PET SCAN lui même. Elle peut atteindre 3 à 5 msv par intervenant (sous l hypothèse de 2000 examens annuels et 3 intervenants), tandis que la dose efficace reçue dans la phase de préparation sans cellule blindée n excédera jamais 2 mv par intervenant. L option formation supplémentaire, si elle permet de réduire de 33 à 50% les temps d exposition et d optimiser le positionnement pourrait permettre de gagner un nombre important de msv pour un coût n excédant pas 300 par homme msv épargné, cette option serait donc tout à fait raisonnable aussi 30

31 Deuxième mise en œuvre de la procédure ALARA: Y a t il de nouvelles options? Oui en particulier sont apparus plusieurs systèmes totalement automatisés pour la préparation, le transport et l injection. Ils permettent de réduire tant la dose efficace que la dose aux extrémités résiduelles durant ces phases, tout en supprimant complètement le risque de contamination. 31

32 Un système automate pour la préparation et l injection Carpule Système UniDose de TRASIS shielding : 50 mm lead 32 / 18 Appareil d Injection ( appellé «mug») Protection biologique: 24 mm W

33 Quan8fica8on des facteurs: le coût total annuel Le surcoût annuel sera la résultante de l amortissement du surcoût d investissement et du gain en coûts d exploitation lié à la réduction du coût d achat du 18 F qui arrive dans des flacons à plus grande contenance. Il sera fonction du nombre d examens réalisés 10 examens par jour durant 200 jours c.a.d examens par an aboutiraient à un surcoût négatif de -53 k par an Le surcoût resterait négatif dès lors que le service réalise plus de 500 examens par an ; en dessous il est positif mais reste très faible Data from Thomas Geoffray master in radioprotection

34 Analyse de l efficacité (I) Nous ferons l analyse sous l hypothèse de 2000 examens annuels En ce qui concerne l efficacité nous allons seulement regarder deux phases: la préparation et l injection car cette nouvelle option n aura aucun impact sur le transport (qui était déjà presque à dose nulle) ni sur l installation. 34

35 Analyse de l efficacité (II) Dose efficace Dose extrémités Coût Man msv msv K Préparation classique 1, ,1 automat ε 27 injection classique automat < Total 2 phases 2,3 < L automate même s il ne réduit pas beaucoup la dose efficace, permet de réduire fortement la dose extrémités: avec 3 intervenants la dose maximale individuelle sera inférieure à 100 msv au lieu de dépasser 300 msv Il n y a plus de risque de dépasser la limite et durant ces deux phases le risque de contamination est pratiquement annulé. Tout cela peut être obtenu à un coût nul ou même avec une grande réduction des coûts: c est une situation gagnant gagnant. 35

36 Analyse de l efficacité (III) Une analyse de sensibilité est elle u8le? Le nombre maxi d examens réalisé par jour est d environs 20 (ce nombre est cité plusieurs fois dans des articles par exemple sur des pratiques Japonaises). On attendrait ainsi 4400 examens par an si l on retient 220 jours ouvrés au lieu des 200 retenus précédemment. Dans ce cas la dose efficace reste inférieure à 2 HmSv pour les phases de préparation et injection. La dose collective extrémités atteint 585 HmSv, ce qui conduit à une dose individuelle de 293mSv avec 2 intervenants; 195 msv avec 3 intervenants et 146 msv avec 4 intervenants. Dans tous les cas de figure on reste largement dn dessous de la limite de dose Les coûts épargnés montent eux à 143 k Modifier le nombre d examens, de jours ouvrés, ou le nombre d intervenants ne changent pas les conclusions précédentes. 36

37 Conclusions générales Nous sommes resté sur une approche coût efficacité lors des deux analyses d optimisation formalisées. Dans de nombreux autres cas il est possible d introduire des analyse multicritères ( par exemple ici l amélioration ergonomique liée à la réduction du poids lorsque l on utilise le chariot pour le transport. La première séquence d optimisation a amené à recommander toutes les options classiques sauf la cellule blindée: en cela elle montre que l utilisation de la procédure d optimisation formalisée peut aboutir à un résultat différent des pratiques habituellement reconnues comme optimales. La deuxième séquence montre que l introduction d un automate (les problèmes de maintenance ou de panne n ont pas été oubliés) peut aboutir à des situations «win win»à la fois pour les coûts, les risques radiologiques mais aussi ergonomiques Le problème est alors de convaincre les décideurs de sortir d un cadre budgétaire qui sépare trop investissement et exploitation. 37

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE

ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE PENDANT LA PERIODE 2009-2011 RESUME Le bilan national des inspections des services de médecine nucléaire a été établi sur la

Plus en détail

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine

Plus en détail

«Actualités réglementaires en radioprotection»

«Actualités réglementaires en radioprotection» Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection

Plus en détail

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo hors TEP (1) Définition : acte à visée diagnostique utilisant des radionucléides artificiels administrés en sources non scellées

Plus en détail

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

Bases physiques de l imagerie en

Bases physiques de l imagerie en Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika

Plus en détail

NOTE N : Evaluation des rejets radioactifs gazeux des installations de production de radio-traceurs au moyen d un cyclotron. Note 10-004-F rév.

NOTE N : Evaluation des rejets radioactifs gazeux des installations de production de radio-traceurs au moyen d un cyclotron. Note 10-004-F rév. Note 10-004-F rév. 0 1/6 NOTE N : date: 10-004-F 18/12/2009 Traducteur: / Nombre de pages: 6 Nombre d annexes: / Evaluation des rejets radioactifs gazeux des installations de production de radio-traceurs

Plus en détail

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Directeur Dominique Le Guludec Tomographie d'emission MonoPhotonique (TEMP) Convention

Plus en détail

Comme les précédentes,

Comme les précédentes, dmt TC dossier médico-technique 106 Médecine et rayonnements ionisants: fiches d aide à l analyse des risques en médecine nucléaire Six nouvelles fiches d aide à l analyse des risques font suite à une

Plus en détail

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des

Plus en détail

Samuel Bassetto 04/2010

Samuel Bassetto 04/2010 Industrialisation Lean manufacturing 4.2 Réalisé avec V. FIGENWALD - SIEMENS Samuel Bassetto 04/2010 Plan de la partie 2 : Vers une production Lean 1. Valeur Ajoutée et Gaspillages Muda walk 2. Temps de

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3

Plus en détail

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Plus en détail

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif

Maîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif Maîtrise des Fournisseurs La CAEAR Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif 1 La CAEAR : Définition Commission interne au CEA, Elle a pour mission la présélection des entreprises

Plus en détail

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente

Plus en détail

Gamme de radioprotection portable intelligente CSP

Gamme de radioprotection portable intelligente CSP Gamme de radioprotection portable intelligente CSP solutions de mesure pour la sûreté, la sécurité et l environnement www.canberra.com Instruments et Sondes CSP CANBERRA La famille CSP (Sondes intelligentes

Plus en détail

L IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives

L IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté

Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol. De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Dossier : Sûreté nucléaire dans les installations du SCK CEN à Mol De l exploitation quotidienne à l évaluation périodique de la sûreté Illustration 1 : Les installations du SCK CEN à Mol Synthèse L exploitation

Plus en détail

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la

Plus en détail

Circulaire DGT/ASN n 04 du 21 avril 2010 relative aux mesures de prévention des risques d exposition aux rayonnements ionisants

Circulaire DGT/ASN n 04 du 21 avril 2010 relative aux mesures de prévention des risques d exposition aux rayonnements ionisants RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique NOR : MTST1011109C Circulaire DGT/ASN n 04 du 21 avril 2010 relative aux mesures de prévention des risques d exposition

Plus en détail

GUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION

GUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION GUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION G-121 LA RADIOPROTECTION DANS LES ÉTABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT, DE SANTÉ ET DE RECHERCHE Publie par la Commission de controle de l'energie atomique Mai 2000 Commission

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION

LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION NSTN Paul LIVOLSI 2 AVRIL 2014, CERN - GENÈVE DE QUOI PARLE T-ON? Sécurité Nucléaire Sûreté INB RADIOPROTECTION Prévention et lutte contre les actes de malveillance

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire Présentation des règles et procédures de travail en environnement nucléaire 1 Sommaire Les grandes lignes de la réglementation Le contrôle de l exposition aux rayonnements ionisants Les moyens de protection

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

Actions de l Autorité de Sûreté Nucléaire. Le contrôle de la dépollution & L information des publics

Actions de l Autorité de Sûreté Nucléaire. Le contrôle de la dépollution & L information des publics Actions de l Autorité de Sûreté Nucléaire Le contrôle de la dépollution & L information des publics Incident CEA Valduc - les conséquences en Ile-de-France 1 Pollution au tritium : Caractéristiques Demi-vie

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Gestion d un chantier nucléaire

Gestion d un chantier nucléaire Gestion d un chantier nucléaire Michel TACHON CEA - Marcoule Sommaire Généralités - phases d un chantier nucléaire -organisation Prise en compte des exigences de sûreté-sécurité-radioprotection Préparation

Plus en détail

L évaluation de la rentabilité d un investissement

L évaluation de la rentabilité d un investissement L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire

Plus en détail

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012 R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Simulation en aviation

Simulation en aviation Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Jauges nucléaires et sécurité au travail

Jauges nucléaires et sécurité au travail Jauges nucléaires et sécurité au travail Jauges nucléaires et sécurité au travail Jauges nucléaires et sécurité au travail INFO-9999-4 (F) Révision 2 Publié par la Commission canadienne de sûreté nucléaire

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

CONTROLES DEFAILLANTS Des contaminations radioactives à répétition

CONTROLES DEFAILLANTS Des contaminations radioactives à répétition CONTROLES DEFAILLANTS Des contaminations radioactives à répétition Personne ne contestera la nécessité de recycler les équipements périmés afin de limiter les prélèvements sur les ressources naturelles.

Plus en détail

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double

Plus en détail

MARS 2012 RÈGLES GÉNÉRALES DE RADIOPROTECTION DU CEA. Pôle maîtrise des risques Direction de la protection et de la sûreté nucléaire

MARS 2012 RÈGLES GÉNÉRALES DE RADIOPROTECTION DU CEA. Pôle maîtrise des risques Direction de la protection et de la sûreté nucléaire MARS 2012 RÈGLES GÉNÉRALES DE RADIOPROTECTION DU CEA Direction de la protection et de la sûreté nucléaire Préface La protection radiologique des travailleurs, du public et de l environnement est l affaire

Plus en détail

développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.

développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service

Plus en détail

Fine dosing Opti-feeder FD- SPA

Fine dosing Opti-feeder FD- SPA MICRO-DOSEURS PONDERAUX DE HAUTE PRECISION Fine dosing Opti-feeder FD- SPA MCPI Fine dosing est une technologie dédiée au dosage et saupoudrage de haute précision. La technologie MCPI Fine dosing est protégée

Plus en détail

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION

Plus en détail

Les leçons tirées de l accident de Fukushima feront éventuellement l objet d une version révisée dans le futur. H. Métivier SFRP

Les leçons tirées de l accident de Fukushima feront éventuellement l objet d une version révisée dans le futur. H. Métivier SFRP Revue des livres Radiation Protection and Safety of Radiation Sources: International Basic safety Standards, Interim edition, ISBN 978-92-0-120910-8, IAEA, Vienne 2011, 65. Elles étaient attendues, voici

Plus en détail

Surveillance dosimétrique Note législative

Surveillance dosimétrique Note législative VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion

Plus en détail

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité

Plus en détail

Conseil Stockage Logiciel Services Formation. Salle de stockage

Conseil Stockage Logiciel Services Formation. Salle de stockage Conseil Stockage Logiciel Services Formation Salle de stockage Améliorer la situation Le personnel infirmier ne devrait pas passer le tiers de son temps à des tâches administratives, ce temps serait bien

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

GL5 GLS5. Lève-personnes mobiles

GL5 GLS5. Lève-personnes mobiles GL5 GLS5 Lève-personnes mobiles Lève-personnes mobile GL5 Les lève-personnes mobiles GL5 sont les alternatives au sol des appareils de levage fixés au plafond de la gamme de produits Guldmann. Depuis plus

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

PENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie

PENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie PENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie Rigidité maximale et grande capacité Plages d'action presque illimités Modularité avec possibilité de choix Conception ergonomique Fiche complète de prises et access.

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Guide sur les rayons X et la radioprotection

Guide sur les rayons X et la radioprotection Guide sur les rayons X et la radioprotection Administration canadienne de la sûreté du transport aérien Canadian Air Transport Security Authority Auteurs : Tara Hargreaves, B.Sc., M.Sc. Reza Moridi, Ph.D.,

Plus en détail

1. LES ESTIMATIONS DE COÛTS DOIVENT ÊTRE EXHAUSTIVES ET FOURNISSENT AINSI UNE VUE D ENSEMBLE

1. LES ESTIMATIONS DE COÛTS DOIVENT ÊTRE EXHAUSTIVES ET FOURNISSENT AINSI UNE VUE D ENSEMBLE Les rejets radiologiques massifs diffèrent profondément des rejets contrôlés Ludivine Pascucci-Cahen, Momal Patrick Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), 31 av. Division Leclerc, 92260

Plus en détail

Efficace et ciblée : La surveillance des signaux de télévision numérique (2)

Efficace et ciblée : La surveillance des signaux de télévision numérique (2) Efficace et ciblée : La surveillance des signaux de télévision numérique (2) La première partie de cet article publié dans le numéro 192 décrit la méthode utilisée pour déterminer les points de surveillance

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône.

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône. DOSSIER DE PRESSE L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône 17 novembre 2014 Surveiller la radioactivité dans l environnement : les attentes

Plus en détail

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la

Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la Édition 2013 Charte de bonnes pratiques Préface Les situations accidentelles constatées, en France, dans le domaine de la radiographie industrielle ne se produisent heureusement que rarement. Pour autant,

Plus en détail

Distribution d électricité et réseaux souterrains

Distribution d électricité et réseaux souterrains Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure

Plus en détail

4795-00F-MAR15. Brochure de produit

4795-00F-MAR15. Brochure de produit 4795-00F-MAR15 Brochure de produit ParPlus et ParPlus Junior Assomption Vie, une des rares compagnies mutuelles d assurance vie au Canada, est fière d offrir ses plus récents produits d assurance vie entière

Plus en détail

Complément: Sources naturelles de rayonnement

Complément: Sources naturelles de rayonnement Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En

Plus en détail

Formation de la Personne Compétente en Radioprotection

Formation de la Personne Compétente en Radioprotection Formation de la Personne Compétente en Radioprotection Cécile Etard - INSTN SFRP - Cherbourg - 18/6/2004 1 Rappel «historique» Décret 86-1103 du 2 octobre 1986 Arrêté du 25 novembre 1987 Formation de 7

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

Objet : Radiofréquences émises par les compteurs intelligents : position des directeurs régionaux de santé publique du Québec

Objet : Radiofréquences émises par les compteurs intelligents : position des directeurs régionaux de santé publique du Québec Le 5 décembre 2013 Objet : Radiofréquences émises par les compteurs intelligents : position des directeurs régionaux de santé publique du Québec Vous retrouverez ci-dessous la position des directeurs régionaux

Plus en détail

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ

Plus en détail

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS 1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le

Plus en détail

Voulez-vous donner à vos clients la meilleure expérience possible en agence?

Voulez-vous donner à vos clients la meilleure expérience possible en agence? Voulez-vous donner à vos clients la meilleure expérience possible en agence? SOLUTIONS D AGENCE NCR Pour une expérience d agence financière plus moderne, intelligente et efficace. Experience a new world

Plus en détail