7 - ETUDE SUR L AGRICULTURE
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- Alain Meloche
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1 7 - ETUDE SUR L AGRICULTURE Décembre 2006
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3 Sommaire 1. Introduction 3 2. Etat initial Le contexte 3 Contexte climatique 3 Contexte départemental de l agriculture 3 Situation générale de l agriculture dans la zone d étude Le système agraire 3 La répartition communale des exploitations sur l aire d étude 3 Communes remembrées 4 Taille moyenne des exploitations 4 Pratiques agricoles 4 Synthèse sur les évolutions du secteur agricole Les produits labellisés 6 L importance des AOC et IGP 6 Les produits labellisés Enjeu agriculture 7 Répartition générale 7 Enjeu agriculture fort sur l aire d étude Impact Sensibilité 9 Sensibilité moyenne 9 Sensibilité forte 9 3. Comparaison des fuseaux 11 Répartition des activités agricoles 11 Sensibilité 13 Conclusion Annexes 14 Révisé le 05/12/06 Page 1 sur 17
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5 1. INTRODUCTION 2. ETAT INITIAL 2.1. Le contexte Contexte climatique Pour le thème Agriculture, l analyse de l état initial se base sur les fiches comparatives des années 1979, 1988 et 2000 du recensement général agricole 2000 (RGA 2000) et sur les données Corine Land Cover, fournissant des indications sur la répartition du couvert végétal et donc par extension le type d exploitation des sols. L analyse faite est communale. La surface exploitée de référence considérée, la SAU ou Superficie Agricole Utile, est celle qui est communale et non celle dite des exploitations. La carte «Agriculture» reprend ainsi : l occupation du sol par les différentes activités agricoles (culture, prairies, zones agricoles hétérogènes), la taille moyenne des exploitations par communes, le rapport de la SAU communale sur la superficie du territoire communal, indiquant l importance des surfaces consacrées à l agriculture. Le Nord Cotentin bénéficie d un climat océanique caractérisé par des pluies fréquentes, des températures douces et des vents importants. La zone de production dans l aire d étude est donc caractérisée par un milieu naturel particulier : la pluviométrie, les températures, le réseau hydrographique dense et ramifié, la présence de vallées expliquent la forte implantation des prairies Le système agraire La répartition communale des exploitations sur l aire d étude travers la pression foncière exercée par l'étalement (urbain) de l'agglomération cherbourgeoise. Une des conséquences de ce phénomène est la déprise agricole inégalement ressentie par les communes inclues dans le périmètre d'étude. Le système agraire reste à dominante herbagère avec une nette progression des cultures fourragères destinées à l élevage. Les cultures céréalières progressent, les parcelles s agrandissent. 129 agriculteurs conduisent des parcelles situées dans la zone d étude, selon la répartition communale suivante (source : DDAF de la Manche, 2006) : COMMUNES DE L AIRE D ETUDE NOMBRE EXPLOITANTS PART COMMUNALE DES EXPLOITANTS SUR L AIRE D ETUDE Cherbourg-Octeville Equeurdreville-Hainneville Flottemanville-Hague Hardinvast La Glacerie Martinvast Nouainville Querqueville Sideville Sainte-Croix Hague Tollevast Contexte départemental de l agriculture Situation générale de l agriculture dans la zone d étude L'agriculture manchoise s'appuie sur quatre activités principales : le lait, la viande bovine, les légumes de primeur et l'exploitation des produits de la mer. D après le RGA 2000, 58% du territoire concerné par l aire d étude est dédié à l agriculture. Le secteur est donc très important pour l économie mais aussi dans son occupation des sols. Malgré tout, les mutations du monde agricole dans le Nord Cotentin s'observent, essentiellement à travers la progression des cultures céréalières face à un élevage extensif traditionnellement prédominant, mais aussi à Tonneville Tourlaville TOTAL Les communes d Equeurdreville-Hainneville et Flottemanville-Hague possèdent le plus grand nombre d exploitants sur l aire d étude. La Glacerie se positionne en troisième position, mais les sièges d exploitations des agriculteurs recensés sur la commune de La Glacerie se situent pour la plupart (10 sur 15) à l Est de la zone d étude. Les chiffres donnés ne sont réellement significatifs que si l on considère la localisation des sièges d exploitations, spécifiée sur la carte placée en annexe. Révisé le 05/12/06 Page 3 sur 17
6 Communes remembrées Taille moyenne des exploitations Vue depuis le hameau Herouet, vers Le Pont- Martinvast : au premier plan des labours sur pente faible, au second plan un paysage bocager parsemé de groupements d habitat Pratiques agricoles Panorama général Les données techniques fournies par la DDAF concernant les remembrements réalisés dans les communes de la Manche depuis 1991 révèlent le fait que seule la commune de Sideville fut concernée dans la zone d étude : en 1994, les parcelles de cette commune ont été regroupées, leur nombre passant de 904 à 309. La taille moyenne des exploitations dans le périmètre d étude est de 22.6 ha. Or en Normandie, la taille moyenne d'une exploitation est de 46 hectares, ce qui est proche de ce que l'on observe au niveau national (47 ha). Cette différence est à mettre en relation avec le système agraire particulier de l aire d étude : le parcellaire est structuré par le bocage et certaines exploitations accueillent divers types d agriculture (exploitations dites «hétérogènes» ou «mixtes»). Elles sont ainsi généralement peu étendues. Ainsi, la carte «Agriculture» met en avant le fait que le territoire de la partie Ouest/Sud Ouest de la zone d étude se présente comme étant le plus agricole. Les communes de Sainte Croix-Hague et de Flottemanville-Hague se distinguent par la taille moyenne des exploitations communales dépassant les 35ha. La taille moyenne des exploitations de Tonneville et Sideville se situent autour de 30 ha. La structure agricole est particulièrement éclatée sur la commune de Nouainville : la taille moyenne des exploitations est de 15 ha pour un rapport surface agricole utile communale/surface totale communale de 4/5. Ce rapport est donc important, il révèle la prédominance d un système agraire extensif et hétérogène. Dans la zone couverte par le périmètre d étude, les pratiques agricoles actuelles sont essentiellement les suivantes : l élevage bovin, qui a permis à la filière laitière de s imposer ; l élevage porcin et caprin moins importants, le premier bénéficie toutefois du label Indication Géographique Protégée (IGP) Porc Fermier ; l élevage de volailles de moindre importance également, bénéficiant de l appellation Indication Géographique Protégée (IGP) «Volailles de Normandie» ; des cultures fourragères. Ces activités dominent les espaces agricoles. Cependant, les exploitations dédiées aux cultures, notamment céréalières, progressent. Elevage et évolution De nettes évolutions sont observées dans le RGA2000 entre 1988 et Par ailleurs, le cheptel bovin est projeté à la baisse en 2015 à l échelle départementale par l Agence de l Eau Seine Normandie. Les mutations du monde agricole se poursuivent et la disparition des exploitations s accompagne d une déprise agricole plus ou moins fortement ressentie selon les communes. Cependant, au sein des communes de Sainte Croix-Hague, Tonneville, et Flottemanville-Hague, l élevage bovin est prédominant dans le secteur agricole et maintient son activité à la hausse. L augmentation des cultures fourragères confirme cette tendance. L activité économique est principalement centrée sur l agriculture et la production laitière sur le territoire couvert par les communes de Sideville, Martinvast, Hardinvast, Nouainville et Tollevast. La filière lait est importante dans la région mais le nombre de laiteries diminuerait dans l est. Les spécialités fromagères classées AOC (Appellation d Origine Contrôlée) «camembert de Normandie» et «Pont l Evêque» permettent cependant le maintien de certaines d entre elles. L obtention de ces labels a de nombreux avantages dans le contexte actuel. En effet, le consommateur, après avoir recherché une réassurance sanitaire sur le produit, est aujourd'hui davantage demandeur d'informations sur les conditions d'élevage. Il est aussi preneur notamment d'informations sur l'origine géographique et plus particulièrement, sur la zone d'élevage de l'animal, associant à cette indication géographique une image sur les conditions de production de l'animal. Dans ce contexte de consommation, les démarches d'identification géographique (Appellation d'origine Contrôlée AOC en France et Indication Géographique Protégée IGP) pourraient présenter un intérêt pour les filières viande souhaitant valoriser des produits issus d'un territoire. Révisé le 05/12/06 Page 4 sur 17
7 Un élevage plus diversifié L élevage bovin, dont celui des vaches laitières, prédomine mais il connaît un ralentissement dans le reste de l aire d étude, parallèlement à la progression des élevages de brebis, porcins et volailles : l élevage de porc est en progression, notamment dans les communes de Flottemanville-Hague et Sideville ; l élevage de volaille et l élevage de brebis sont en progression au sein des communes de Tourlaville, Sideville, Martinvast, Hardinvast, Nouainville et Tollevast. L élevage de volailles est la seule activité d élevage qui se maintienne dans la commune de Querqueville. L activité est particulièrement importante et en croissance dans les communes de Tonneville, Nouainville et Flottemanville Hague. Cette activité est ainsi soutenue par l existence du label Volailles IGP 1 pour les raisons évoquées précédemment. L élevage de volaille subit toutefois une chute sévère entre 1988 et 2000 dans les communes de Tollevast (avec un effectif qui passe de 828 têtes en 1988 à 283 en 2000) et de Hardinvast (avec une chute de têtes à 3000 têtes en 12 ans). On peut noter l absence d une réelle valorisation agricole intensive exprimée par l absence d élevage hors sol intensif. D autre part, il est à signaler la croissance de l élevage des équidés dans les communes de Flottemanville-Hague, Hardinvast, Tollevast, Tonneville et Sideville. Synthèse sur les évolutions du secteur agricole Autres On assiste à une progression des cultures céréalières dans l aire d étude, notamment dans les communes de Sideville, Martinvast, Hardinvast, Nouainville, Tollevast et Equeurdreville-Hainneville. Dans la commune d Equeurdreville-Hainneville par exemple, la surface exploitée pour les labours, cultures de blé tendre, orge, escourgeon et surtout de maïs fourrage et ensilage, a fortement progressé, plus que doublé entre 1988 et 2000: la surface dédiée à cette activité agricole est passée de 112 ha à 264 ha. Notons que le nombre d exploitations y a diminué (23 exploitations en 1979, 17 en 1988 et 14 en 2000). Ces évolutions expriment une tendance à l intensification agricole dans le cadre de cette activité. La commune de Hardinvast est également concernée par cette évolution : entre 1988 et 2000 la surface de terres labourables est passée de 171 ha à 264 ha et celle des espaces toujours en herbe de 493 ha à 269 ha. Les vergers de pommiers occupent de petites parcelles dans la vallée du Trottebec. L activité maraîchère reste marginale dans le secteur étudié : en chute, elle reste présente dans la commune de Tourlaville, des légumes frais, dont les carottes, sont produits sur 44 ha en 2000 contre 121 ha en La sylviculture est inexistante sur la zone d étude. Malgré la progression des cultures de blé tendre, le système agraire de la zone d étude reste à dominante herbagère avec une nette progression des cultures fourragères. Quelques moutons en pâture au nord de Sideville, au pied du Bois du Mont du Roc Les principales mutations du monde agricole dans le Nord Cotentin que l on peut observer sont les suivantes : les cultures de labours, principalement céréalières, progressent face à un élevage extensif traditionnellement prédominant ; la pression sur le secteur agricole s accroît avec la pression foncière exercée par : l'étalement (urbain) de l'agglomération cherbourgeoise, le vieillissement et la baisse de la population agricole : sur les communes de Martinvast, Tollevast, Hardinvast, Flottemanville-Hague, Querqueville, Cherbourg- Octeville, la population agricole diminue fortement, les exploitants ont majoritairement plus de 55 ans. Cultures 1 Indication Géographique Protégée Légèrement moins axée sur l élevage bovin, cette branche de l agriculture est en cours de diversification dans l aire d étude. D une façon générale, les céréales possèdent une bonne place sur les pentes faibles. La pression foncière directement liée au mitage urbain, impulsée depuis la ville de Cherbourg, est forte. Des zones de lotissements sont en projet, notamment sur la commune de Sideville. Une des conséquences de cette pression est la déprise agricole inégalement ressentie par les communes de la zone d étude. La déprise agricole se manifeste notamment par l abandon de l exploitation agricole sur les parcelles en forte pente généralement colonisées par les fougères. Révisé le 05/12/06 Page 5 sur 17
8 2.3. Les produits labellisés L importance des AOC et IGP Les produits labellisés Les AOC, ou Appellation d Origine Contrôlée, et IGP, ou Indication Géographique Protégée, constituent des indicateurs nous permettant de mettre l accent sur l enjeu agricole : l élevage est traditionnellement prédominant, la filière lait et la filière viande bénéficient de labels, la culture de pommes est également une des activités agricoles caractéristique de la région même si elle n est que modérément développée dans notre zone d étude. Le tableau suivant recense les labels AOC et IGP existants sur les produits de l aire d étude : LABEL PRODUIT COMMUNES CONCERNEES PAR LE LABEL rigoureux de critères d élevage : élevage en plein air, alimentation à base de céréales et abattage à un âge minimum fixé pour chaque espèce. - L IGP Porc Fermier labellise cette race locale, exploitée dans certaines communes de la zone d étude (voir tableau précédent), pour les caractéristiques traditionnelles de son élevage : parcours extérieur et alimentation en céréales produites dans la région. Cette caractéristique souligne par la même occasion l importance des cultures de maïs fourrage dans la région. - L IGP Cidre de Normandie : La Normandie est l une des deux principales régions de France de culture du pommier à cidre et d élaboration du cidre. Les vergers de pommiers couvrent de petites parcelles, dans la vallée du Trottebec notamment. AOC Filière lait CAMEMBERT DE NORMANDIE PONT L EVEQUE Toutes les communes de l aire d étude Toutes les communes de l aire d étude sauf Querqueville La présence de ces labels dans la zone d étude conforte l importance donnée au secteur agricole. IGP Filière viande VOLAILLE DE NORMANDIE Toutes les communes de l aire d étude PORC FERMIER DE NORMANDIE Toutes les communes de l aire d étude IGP Filière pommes CIDRE DE NORMANDIE Toutes les communes de l aire d étude Le lait produit dans la zone de production dispose d une spécificité conférée par l autonomie fourragère des exploitations et le recours relativement important au pâturage (au moins 6 mois par an) ainsi que l utilisation de d animaux de race normande, aux aptitudes fromagères reconnues. La douceur du climat et la forte disponibilité en surfaces en herbe favorisent en effet le pâturage. - L AOC Camembert de Normandie : l aire d exploitation s étend sur les régions de Basse Normandie et de Haute Normandie, - L AOC Pont-l évêque s étend sur toute la région Basse-Normandie, la région Haute-Normandie et dans le département de la Mayenne. - L IGP Volailles de Normandie concerne plusieurs communes de la zone d étude (voir tableau précédent). Ce label garantit le respect Révisé le 05/12/06 Page 6 sur 17
9 2.4. Enjeu pour l agriculture Répartition générale Aux marges de l agglomération cherbourgeoise, la zone agricole s étend de façon assez hétérogène sur le territoire : la prédominance des prairies est évidente, mais le territoire qu elles occupent est morcelé : les cultures, de céréales notamment, parsèment l aire d étude ; les exploitations dites «mixtes» ou «hétérogènes», qui supposent la combinaison des activités d'élevage et de cultures (zones de vergers combinés au pâturage par exemple), sont d importance non négligeable ; les boisements n occupent environ que le dixième de la surface concernée ; les landes s étendent sur une surface très limitée, moins du cinquième de la surface concernée, aux deux extrémités de l aire d étude ; enfin, les infrastructures, de transport notamment, quadrillent le territoire selon une disposition en étoile autour de la ville de Cherbourg. Ces axes structurants sont accompagnés de zones urbanisées. Enjeu agriculture fort sur l aire d étude La présence de l agriculture est variable selon les communes composant l aire d étude. Sur la carte «Agriculture», le rapport de la surface agricole utile, ou surface exploitée, à l échelle de la commune sur la superficie totale de cette dernière rend compte du poids des pratiques agricoles sur le territoire. L enjeu est notamment fonction de ce rapport. Ainsi, on peut constater que la zone d étude est caractérisée par un enjeu agricole fort à très fort sur les communes de Tonneville, Hardinvast et Tollevast où l agriculture occupe 2/3 des terres communales, Martinvast avec 3/4 de surface destinée aux activités agricoles, et Sainte Croix Hague, Nouainville, Flottemanville Hague avec une proportion de 4/5. L enjeu agricole est en revanche plutôt faible sur les territoires communaux de Cherbourg-Octeville, avec 1/6 de la surface totale de la commune occupé par ce secteur d activité, et Tourlaville, avec 1/4 de superficie dédiée aux exploitations agricoles. Le bocage présent sur le territoire couvert par l aire d étude concerne encore une part importante des surfaces exploitées. Un fond de prairies fauchées ou pâturées domine le paysage agricole. Un exemple d exploitation mixte : un verger pâturé par des vaches normandes à l est de Martinvast Révisé le 05/12/06 Page 7 sur 17
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