Examen de l état des connaissances en science et en recherche sur les effluents municipaux

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1 Examen de l état des connaissances en science et en recherche sur les effluents municipaux Examen des méthodes de traitement existantes et nouvelles Examen des pratiques de gestion optimale pour le traitement des eaux usées Sommaire Le présent rapport traite des tâches 2 et 3 du projet du CCME intitulé «Examen de l état des connaissances en science et en recherche sur les eaux usées municipales». Le rapport sur la tâche 1 a été publié en juin Les objectifs des tâches 2 et 3 sont les suivants : 1. (Tâche 2) Préparer un sommaire annoté des méthodes de traitement existantes et nouvelles qui s appliquent aux polluants classiques, aux substances nocives et aux nouveaux polluants recensés dans le rapport sur la tâche 1. Ces méthodes seront évaluées en fonction de leur applicabilité à une diversité de conditions climatiques, de milieux, de régions et d eaux réceptrices au Canada. 2. (Tâche 3) Examiner les pratiques de gestion optimale pour résoudre des problèmes particuliers concernant le traitement des eaux usées municipales, dont les suivants : infiltration dans les réseaux d égout municipaux; réduction et traitement du trop-plein des égouts séparatifs (TPES) et des égouts unitaires (TPEU); gestion des déchets transportés tels que les boues, le lixiviat des sites d enfouissement et les eaux usées industrielles et commerciales; problèmes liés aux eaux usées dans les collectivités éloignées ou de petite taille, tels que les coûts de traitement et la gestion des polluants; rejet des effluents traités dans les milieux marins; problèmes liés au lagunage, tels que la formation de glace et l élimination de l ammoniaque en hiver et l enlèvement des algues en été; réduction du volume d eaux usées acheminées vers les stations d épuration par diverses technologies et des contrôles à la source, dont la récupération et la réutilisation de l eau; optimisation et mise à niveau du système de collecte; suivi du rendement des installations de traitement des eaux usées et contrôle de la qualité. Technologies standards et de pointe Les technologies standards et de pointe qui ont été examinées sont les suivantes : l élimination des nutriments par voie biologique, les bioréacteurs à membrane, le procédé par boues activées et cultures fixées intégrées, les bioréacteurs à lit mobile, la biofiltration aérée, la filtration sur sable, la filtration sur membrane (microfiltration, nanofiltration, osmose inverse), la précipitation chimique, les marais artificiels à écoulement en surface et les marais artificiels à écoulement souterrain. On s attend à ce que la plupart des technologies faisant appel à un procédé de traitement biologique avancé parviennent à éliminer plus efficacement les diverses substances que le procédé classique par boues activées nitrifiantes. Les marais artificiels pourraient s avérer moins efficaces pour éliminer les nutriments et les nouveaux contaminants. La précipitation chimique n est pas aussi efficace que les boues activées nitrifiantes pour enlever l ammoniaque et l azote. Sans désinfection, l élimination des nutriments par voie biologique n assurera pas une réduction adéquate des agents pathogènes mais, si elle est (c) Le Conseil canadien des ministres de l'environnement 2006 Page 1

2 combinée à un procédé de désinfection, le taux d élimination des pathogènes sera très élevé. Nous devons en savoir beaucoup plus sur les nouvelles technologies pour évaluer leur potentiel d élimination des diverses substances présentes dans les effluents municipaux. La plupart des procédés biologiques novateurs peuvent être utilisés dans des conditions fort diversifiées au Canada, en ce qui a trait aux rejets dans des milieux récepteurs divers (eaux salées, eaux douces, terre ferme), notamment dans les zones climatiques tempérées. En régions rurales, il se peut que les opérateurs ne soient pas toujours qualifiés ou ne disposent pas des ressources nécessaires pour exploiter des systèmes biologiques avancés. La précipitation chimique, procédé non biologique, pourrait ne pas abaisser les concentrations d ammoniaque aux niveaux requis, que ce soit pour prévenir l eutrophisation ou pour réduire la toxicité de l effluent. Les marais artificiels conviennent bien aux régions éloignées du Canada mais, en raison des périodes prolongées de gel qui caractérisent notamment les régions arctiques et subarctiques, il faudra stocker les eaux usées en hiver et les déverser dans les marais lorsque la température dépasse le point de congélation. En régions urbaines, le manque d espace limitera probablement le recours aux marais artificiels pour traiter les eaux usées. Nos connaissances sur l efficacité des procédés de traitement avancés, comme les bioréacteurs à membrane, les boues activées et les cultures fixées intégrées, les bioréacteurs à lit mobile et la biofiltration aérée, ainsi que la filtration sur sable et la précipitation chimique, sont fragmentaires en ce qui a trait à la réduction de la toxicité, des métaux, des pesticides, des HAP et des hydrocarbures. En outre, de nouveaux contaminants comme différents PPSP, parfums, produits ignifuges, composés perfluorés et autres substances préoccupantes sur le plan environnemental doivent être caractérisés en vue de leur élimination lors du traitement des eaux usées. Les capacités analytiques actuelles peuvent toutefois constituer un obstacle de taille à cet égard. De toute évidence, il faut en savoir beaucoup plus sur les technologies de pointe. Contrôle à la source Certains composés métalliques et organiques présents dans les eaux usées peuvent interférer avec les microorganismes qui entrent en jeu dans les procédés aérobies et anaérobies. Les concentrations des substances qui interfèrent avec les procédés biologiques varient habituellement de mg/l, ce qui est généralement supérieur à la plupart des substances présentes dans les eaux usées non traitées. Les matières solides en suspension dans la liqueur mixte des boues activées peuvent adsorber bon nombre des composés métalliques et organiques, de sorte que les concentrations sont beaucoup plus élevées que celles mesurées dans les eaux usées non traitées. La majeure partie des municipalités ont adopté un règlement sur l utilisation des égouts qui limite les concentrations et les quantités de substances rejetées dans les égouts municipaux en vue de leur traitement. En général, ce règlement s applique aux établissements commerciaux, comme les restaurants, et aux industries. Il vise à limiter les rejets de substances dans les égouts afin de prévenir toute surcharge dans les installations de traitement et tout déversement éventuel de substances toxiques dans les effluents. Les paramètres contrôlés sont généralement le ph, les matières d origine minérale ou synthétique extractibles aux solvants, les matières d origine animale ou végétale extractibles aux solvants, la demande biochimique en oxygène, les matières solides en suspension, le phosphore, l azote Kjeldahl total, les composés phénoliques, les chlorures et les sulfates, les fluorures, de nombreux métaux lourds et les cyanures. Certaines municipalités peuvent également limiter les concentrations d autres substances, comme les composés organiques. Le rejet dans les égouts municipaux d eau de refroidissement industrielle, qui peut contenir des myxobactéricides et des inhibiteurs de corrosion, et d eau de refroidissement non recyclée peut également être interdit en raison des problèmes associés aux substances toxique et à la charge hydraulique. Page 2

3 Parmi les matières dont la présence dans les eaux usées rejetées dans les égouts est strictement interdite figurent les carburants, les BPC, les substances très toxiques, les déchets radioactifs, les déchets liquides transportés, le lixiviat des sites d enfouissement, les déchets chimiques très dangereux, les déchets industriels dangereux, les déchets inflammables, les déchets anatomiques, les déchets contenant des BPC et les déchets réactifs. Les municipalités peuvent aussi mettre en œuvre des programmes de prévention de la pollution pour limiter le rejet de certaines substances dans les égouts. Le mercure des amalgames dentaires, l argent des radiographies dentaires et médicales et des déchets de traitement des photos, les huiles et les graisses des restaurants et des services d alimentation de grande envergure en sont des exemples. Il arrive que certaines substances, comme des métaux et des pesticides, ne puissent être facilement éliminées par des procédés secondaires (boues activées classiques non nitrifiantes). Dans ce cas, lorsque le traitement des eaux usées ne permet pas d obtenir des taux d élimination adéquats, le contrôle à la source peut s avérer la meilleure option pour prévenir les rejets dans les milieux récepteurs. Pratiques de gestion optimale Des pratiques de gestion optimale (PGO) ont été appliquées initialement en milieux urbains pour lutter contre les inondations et maîtriser les eaux de drainage. Plus récemment toutefois, des PGO ont été élaborées à des fins diverses, notamment pour traiter les eaux pluviales et protéger les eaux réceptrices. Diverses pratiques de gestion optimale peuvent être appliquées pour limiter l entrée de contaminants dans les milieux aquatiques. Les pratiques de gestion optimale visant à lutter contre les infiltrations d eau souterraine et d eau de surface font intervenir la maîtrise du ruissellement urbain et comprennent des contrôles réglementaires, des contrôles à la source, l aménagement de bassins de retenue, le recours à la végétation et des procédés de filtration. Elles peuvent généralement être utilisées dans toutes les régions du Canada, bien que les hivers rigoureux qui sévissent dans les régions nordiques puissent limiter le recours à certains pratiques, comme l aménagement de marais artificiels ou de dépressions gazonnées, à des rejets saisonniers intermittents. Les méthodes de réduction et de traitement du trop-plein des égouts unitaires (TPEU) comprennent le contrôle à la source, le contrôle des systèmes de collecte, le stockage, des procédés physiques (dégrillage et dessablage), la précipitation chimique, le traitement biologique et la désinfection. Elles conviennent à la plupart des régions du Canada. Les plans d assainissement visant à prévenir la contamination bactérienne des eaux de baignade récréatives incluent souvent la rétention des eaux pluviales. Les forts volumes d eau pluviale peuvent également être traités dans des installations d épuration des eaux usées équipées de bassins à boues activées à alimentation étagée. Dans le nord du Canada, le pergélisol peut constituer un facteur limitant dans le cas des technologies nécessitant la construction d ouvrages enterrés. Les trop-pleins d égout séparatif (TPES) peuvent avoir des causes multiples, dont la vétusté de l infrastructure, une conception inadéquate, l obstruction des conduites par des graisses ou de gros débris (branches et racines). La plupart des municipalités canadiennes sont confrontées au vieillissement de leur infrastructure. La mise en œuvre de programmes d utilisation des égouts permettra de réduire les problèmes d obstruction dus à l accumulation de graisses; les programmes d entretien des égouts, qui incluent le recours à des caméras de télévision et la tenue de registres d entretien, peuvent aider à repérer les endroits obstrués par les racines. Des programmes visant à prévenir ces problèmes peuvent être mis en œuvre partout au Canada. Page 3

4 Une recension documentaire ne nous a pas permis de trouver une pratique de gestion optimale pour le repérage et l élimination des intercommunications. La surveillance des débits par temps sec dans les égouts pluviaux afin de déceler toute trace de contamination constitue une première étape élémentaire. Le classement par secteur que privilégie la Ville d Edmonton constitue une approche pratique pour établir l ordre de priorité des secteurs d une municipalité où les écoulements parasitaires devront être réduits. Il semble que ces techniques pourraient être appliquées partout au Canada. L introduction de boues dans une station de traitement des eaux usées municipales semble avoir un impact plus considérable que le lixiviat de sites d enfouissement dans des stations d épuration mécanique qui utilisent des boues activées classiques ou l aération prolongée. La construction d un réservoir d équilibre et de stockage équipé d un biofiltre pour éliminer les odeurs est l un des éléments d une pratique de gestion optimale pour le traitement des boues dans une station d épuration des eaux usées. Le prédégrillage des boues avant leur arrivée à la station, tel que pratiqué dans le district régional de la capitale, peut être approprié. La contribution du lixiviat des sites d enfouissement municipaux au débit quotidien des installations de traitement des eaux usées est très faible. Les installations qui utilisent un procédé de nitrification sont présumées être capables d abaisser les concentrations aux niveaux cibles dans les effluents en hiver. De même, les étangs facultatifs satisferait à l objectif de qualité des effluents, à l exception de l azote ammoniacal. La construction d un réservoir d équilibre et de stockage équipé d un biofiltre pour éliminer les odeurs est l un des éléments d une pratique de gestion optimale pour le traitement des lixiviats dans une station d épuration des eaux usées. L utilisation de filtres à sable intermittents a été recommandée comme étape finale pour atteindre les concentrations cibles d azote ammoniacal dans l effluent des étangs facultatifs. L obtention d un financement adéquat pour atteindre les niveaux de traitement requis, l embauche et la rétention du personnel ainsi que la compréhension des procédés de traitement des eaux usées sont des problèmes auxquels sont souvent confrontées les petites municipalités au Canada, mais ces problèmes sont exacerbés dans le Nord canadien. Maintes ressources sont accessibles par l entremise d associations techniques, d organismes gouvernementaux et de portails Internet. Des fonds peuvent être obtenus en participant à des projets de démonstration de technologies. Dans la plupart des pays développés, de long émissaires débouchant en eau profonde ou des stations de traitement secondaire permettent de régler les problèmes associés aux numérations bactériennes, aux teneurs élevées en nutriments qui peuvent contribuer à raréfier l oxygène dissous, aux matières plastiques flottantes et aux sédiments à fortes teneurs en métaux lourds, en pesticides et en d autres substances. Le traitement secondaire ou tertiaire des eaux usées présente des avantages pour l environnement en ce qui a trait à l élimination des nutriments et à la réduction des concentration de substances potentiellement toxiques, soit sous formes dissoutes soit associées aux solides en suspension. Contrairement aux villes des autres pays développés, les villes côtières canadiennes ne possèdent généralement pas d installations de traitement secondaire, mais la situation serait en train de changer, comme en témoignent les villes de Charlottetown et de Summerside, dans l Île-du-Prince-Édouard. À l exception d Iqaluit (population d environ 6500 habitants), aucune autre grande municipalité du nord du Canada n est établie sur le littoral maritime. Les courants dominants qui longent la côte est et la côte ouest du Canada ont tendance à pousser les eaux arctiques plus froides vers le sud, de sorte que les effluents aboutissent généralement dans des eaux marines froides. Les substances organiques présentes dans les eaux usées municipales rejetées dans des milieux marins arctiques (Océan Arctique, baie d Hudson) ont tendance à persister longtemps, car les processus de biodégradation et de volatilisation dans l atmosphère y sont lents (comparativement au sud du Canada). Page 4

5 Le lagunage en étangs facultatifs est l un des procédés de traitement les plus répandus dans les petites collectivités du Canada, et la plupart des problèmes qui y sont associés sont communs à toutes les localités. En hiver, l ammoniaque ne peut être éliminée par voie biologique; sa concentration dans les effluents déversés peut donc excéder les limites réglementaires. Des gaz toxiques, comme le sulfure d hydrogène, s accumulent sous la glace et dégagent des odeurs nauséabondes au printemps lorsque le couvert de glace se fragmente. Les effluents peuvent alors être toxiques. Le lagunage en étangs aérés est moins problématique en hiver, car l injection d air dans le bassin de tête empêche la glace de se former. Selon que la vidange est saisonnière ou continue, l effluent terminal peut présenter une létalité aiguë pour les organismes d essai. Le recours à certains dispositifs, comme des filtres à sable intermittents et des aérateurs statiques, peut réduire la toxicité et atténuer les problèmes d odeurs. Le contrôle à la source est une pratique que l on peut adopter partout au Canada pour réduire les flux d eaux usées. Des programmes d encouragement (subventions) ou de dissuasion (pénalités financières et amendes) peuvent être mis en œuvre. L installation d appareils de plomberie améliorés (toilettes à faible consommation d eau, pommes de douche à débit réduit) dans les nouveaux bâtiments peut réduire considérablement le volume d eaux usées. La récupération de l eau n est pas appliquée au Canada à l heure actuelle, mais compte tenu du réchauffement climatique qui semble s être amorcé, la récupération et la réutilisation de l eau semblent inévitables, comme c est déjà le cas dans le sud des États-Unis. Les municipalités canadiennes doivent entretenir leur infrastructure pour assurer la salubrité de l eau potable et l efficacité du traitement des eaux usées. En Ontario, il faudra investir entre 30 et 40 milliards de dollars au cours des 15 prochaines années pour réparer les réseaux d adduction d eau et d assainissement et les maintenir en bon état (Groupe d experts de la stratégie d investissement hydraulique, 2005). D autres provinces sont confrontées aux mêmes impératifs. Infraguide Canada a publié une série de règles de l art (ou pratiques de gestion optimale) que peuvent utiliser les municipalités pour évaluer l état de leur infrastructure et prendre les mesures qui s imposent. Les municipalités canadiennes peuvent procéder elles-mêmes à une analyse comparative par le truchement de programmes volontaires comme Qualserve, de l American Water Works Association. La certification ISO des installations de traitement des eaux usées en est encore à ses débuts au Canada. Aux États-Unis, ce type de gestion environnementale suscite de plus en plus d intérêt. Selon les municipalités qui ont obtenu la certification ISO 14001, les avantages qui en découlent sont multiples. Page 5

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