Plan d'évaluation du. Programme Expérimental. d'echange de Kits en Officine. de l'agglomération lyonnaise

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1 Plan d'évaluation du Programme Expérimental d'echange de Kits en Officine de l'agglomération lyonnaise Mars 2002 Dr Denis Fontaine, Directeur d'études

2 1 LA REDUCTION DES RISQUES ET LE PROGRAMME D'ECHANGE DE KITS EN OFFICINE L'échangede kits d'injectionest une action de réduction des risques pour les usagers de drogues par voie intraveineuse (UDI ou "injecteurs"). Il vise à réduire le risque infectieux et notamment celui de transmission du Virus de l'immunodéficience Humaine (VIH) et des Virus de l'hépatite B et C (VHB, VHC) en facilitant l'accès à du matériel d'injection stérile à usage unique. Les UDI courent un risque élevé d'infection par ces virus en raison d'échange, de "prêt" ou de réutilisation de matériel d'injection (seringues et aiguilles, mais aussi cupule et filtre), ou de partage de produit ou d'eau. Ceci justifie une action spécifique auprès d'eux. L'échange de kits prend place aux côtés d'autresmoyens de réduction des risques que sont la vente libre des seringues, la création du Stéribox (puis du Stéribox2 ) et la mise en place des traitements de substitution par la méthadone et la buprénorphine. Par rapport à la simple vente de kits ou de seringues, l'échange de kits présente l'avantage de la récupération du matériel usagé, ce qui limite les risques de réutilisation et d'accidents avec exposition au sang pour l'entourage ou d'autres personnes en cas d'élimination dans les ordures ménagères ou d'abandon du matériel sur la voie publique. L'échangeen pharmacie se justifie car 90% du matériel utilisé par les UDI est délivré en officine, contre 10% par les associations de réduction des risques. Plusieurs expériences ont eu lieu en France, et une journée nationale de l'échangede seringues en pharmacies a été organisée à Lyon en mars Ces expériences, ainsi que celles d'autres pays, ont montré qu'un tel programme peut recueillir l'adhésion des personnes concernées (les pharmaciens, les UDI et les associations de réduction des risques) et ainsi réduire les risques sans pour autant inciter à l'usage de drogues injectables. Le Programme d'echangede Kits en Officine est une première expérience dans le Rhône. Il sera basé sur l échange de Stéribox2. Auparavant, il y a eu une tentative d'échange de pochettes en pharmacie sous l'impulsion de RuptureS en L'association RuptureS a depuis 1994 son propre programme d'échange de seringues (dans deux lieux fixes ou en intervention de rue et dans sa "Boutique"), mais comme ailleurs, les UDI du Rhône s'approvisionnent pour l'essentiel en pharmacies. Trois autres programmes associatifs existent à Lyon (Pause Diabolo, Médecins du Monde et Cabiria). Il existe aussi quatre distributeurs automatiques sur Lyon et Villeurbanne, fréquemment hors service. Ce programme expérimental sera mis en place début 2002, après une étude de faisabilité, dans douze pharmacies volontaires de l'agglomération lyonnaise réparties en trois groupes (Lyon 9 ème, Rillieux-la-Pape et grandes pharmacies). Il sera évalué en continu tout au long de l'expérience, puis au bout d'un an de fonctionnement, afin de tirer des leçons sur son intérêt, sa pérennité et sa reproductibilité. Ce document a pour but d'organiserl'évaluationde cette expérience, afin de prévoir les recueils de données nécessaires. Il a été construit d'abord lors de réunions avec les promoteurs du programme, RuptureS et la Caisse Primaire d'assurance Maladie de Lyon (CPAM), sur la base de la logique d'intervention qu'ils ont défini. Une recherche bibliographique (Cf. annexe) et des contacts téléphoniques ont ensuite permis de compléter et de valider les indicateurs choisis. Le tableau de la page suivante récapitule le cadre logique du programme : les ressources qui seront mobilisées, les activités qui seront mises en place, tant en direction des 12 officines volontaires que des UDI, les résultats (ou objectifs) et les impacts (autres conséquences possibles du programme) qui sont attendus.

3 3 Tableau : Cadre logique du programme d'échange de kits en officine du Rhône RESSOURCES Partenaires directement impliqués : RuptureS, Pharmacies volontaires, CPAM, Département d'écologie urbaine de la Ville de Lyon Partenaires associés à l'action : Conseil de l'ordre et syndicats des pharmaciens, politiques (Municipalités, conseillers d'arrondissement, conseillers généraux, Courly, Préfecture du Rhône), organismes santé et social (DDASS, Réseau Ville Hôpital Toxicomanie, CSST, associations, DSU, personnes relais, institutions de quartier) Matériel : véhicule RuptureS + parking ; local administratif et de stockage à RuptureS Financement : plusieurs financeurs, pour création / diffusion des outils de communication et achat de kits, conteneurs ACTIVITES et GROUPES-CIBLES A destination des 12 pharmacies volontaires (3 groupes : Rillieux, Lyon 9 ème et pharmacies grand passage de l'agglomération) : Sensibilisation / formation des pharmaciens responsables d officine et des équipes officinales (6 séances, dont 3 initiales). Intervention de RuptureS tous les quinze jours dans les pharmacies (contact, élaboration, ravitaillement, changements de conteneurs, récupération conteneurs pleins). Elimination des déchets par le Département d'ecologie urbaine Lyon. A destination des UDI ("injecteurs") fréquentant les pharmacies volontaires : Mise en place avec les pharmacies volontaires d un protocole de récupération de matériels d'injection usagés et de dispensation gratuite de Stéribox en échange, incluant un dialogue pharmacien usager. Création et diffusion d'outils de communication spécifiques : notice expliquant le protocole, affiche, autocollant sur le Stéribox2. RESULTATS ATTENDUS Réduction de la prise de risque infectieux (et notamment VHC et VIH) des usagers de drogue par voie intraveineuse (UDI) par l'utilisation systématique de matériel de préparation et d'injection stériles. IMPACTS ATTENDUS Diminution de l'incidence des infections à VIH, VHC, VHB, septicémies et infections cutanées chez les usagers de drogue par voie intraveineuse (UDI). Changements de pratiques d'utilisation des drogues des UDI : moins de drogues injectables, recours à la substitution. Diminution des risques infectieux dans l'environnement dus à des objets piquants-coupants potentiellement contaminés (lieux publics, ordures ménagères). Regard social moins stigmatisant pour les UDI et réciproquement meilleure perception du pharmacien comme acteur de santé publique par les UDI.

4 4 2 CRITERES ET INDICATEURS D'EVALUATION DU PROGRAMME Les critères et indicateurs de ressources, d'activitéset d'implantation(d'atteintedes groupescibles) sont destinés à l'évaluationcontinue en cours de programme, pour en permettre le pilotage. Il sont présentés en premier ( 2.1 et 2.2). Les critères et indicateurs de résultat et d'impactsont destinés à l'évaluationfinale en fin de programme, éventuellement avec comparaison de la situation avant. Ils sont présentés ensuite ( 2.3 et 2.4). Pour chacun de ces quatre niveaux sont présentés en colonne : les critères (les dimensions de la question étudiée), les indicateurs (les variables à mesurer), les sources qui permettront de documenter ces indicateurs. 2.1 EVALUATION DES RESSOURCES Critères Indicateurs Sources de données 1. Partenaires : Disponibilité et Noms des personnes et Textes, accord de chaque partenaire partenaires impliqués, conventions, pour réaliser l'action (partenaires déclarations des partenaires. entretiens avec directs) ou pour relayer partenaires. l'information sur le programme (partenaires associés). 2. Matériel : Disponibilité du véhicule RuptureS et du parking ; Aménagement du local administratif et de stockage RuptureS. 3. Financement : Accord de chaque financeur, disponibilité du financement, transparence de l'utilisation des fonds. % jours de disponibilité du véhicule RuptureS. Local administratif et de stockage RuptureS utilisé et adéquat. Financement : Convention signées, dates réception, montant versé / montant prévu, comptabilité analytique conforme au projet. Carnet d utilisation et d'entretien du véhicule, observation. Conventions, courriers, relevés de compte, comptabilité analytique. L'évaluationdes ressources est simple. Elle fait appel essentiellement aux courriers et conventions signés entre partenaires, à l'observationdu matériel et des locaux, ainsi qu'aux documents comptables. Les données à enregistrer en continu sont l'étatde marche du véhicule (carnet d'entretien) et la comptabilité. Seule l'analyse du partenariat nécessite de réaliser des entretiens individuels ou de groupe.

5 5 2.2 EVALUATION DES ACTIVITES ET D'IMPLANTATION Activités à destination des 12 pharmacies volontaires : Critères Indicateurs Sources de données 1. Recrutement des 12 Nom et adresse des pharmacies Conventions. pharmacies, volontaires et protocole choisi. Entretiens ou implication de chacune Déclarations sur qualité de la relation questionnaires pour dans l'action, avec UDI, facilité et sécurité de la pharmaciens et satisfaction des équipes récupération auprès des usagers, équipes officinales officinales pour ce problèmes rencontrés avec UDI, gêne mode de des autres clients, qualité des fonctionnement avec produits, volonté de continuer, les UDI. suggestions d'amélioration. 2. Respect du calendrier des activités (sessions de formation, passages de RuptureS dans les pharmacies). 3. Formations : bon déroulement, participation, assiduité et satisfaction des participants, atteinte des objectifs pédagogiques. 4. Interventions de RuptureS dans les pharmacies : satisfaction des équipes officinales et de RuptureS. 5. Bon remplissage des outils de suivi. 6. Elimination des déchets : Respect du cahier des charges pour l'élimination sans risque. Volume des déchets traités. Comparaison entre activités prévues et réalisées : sessions de formation, interventions bi-mensuelles de RuptureS dans les pharmacies. Salles et matériel adéquat, intervenants présents, Nombre de présents à chaque séance / nombre d'invités, intérêt pour le contenu et pour le déroulement et atteinte des objectifs pédagogiques déclarés par les participants et perçus par formateurs. Satisfaction déclarée des équipes officinales et de RuptureS sur chaque activité : contact, résolution de problèmes, approvisionnement, échange de conteneurs. % d'outils de suivi bien remplis. Conformité du processus d'élimination par rapport au cahier des charges. Satisfaction déclarée du Dept Ecologie Urbaine de Lyon et de RuptureS sur le mode de fonctionnement. Quantités traitées chaque mois. Document de projet, programmation des activités, calendrier de réalisation. Fiches de présence, carnet de bord des formations, questionnaire en fin de formation, entretiens avec les formateurs et les participants. Entretiens ou questionnaires avec équipes officinales et RuptureS. Observation des outils de suivi. Entretien avec le Dept Ecologie Urbaine de Lyon et de RuptureS, observation sur site. Fiche de mouvement des déchets

6 6 Activités à destination des UDI fréquentant les pharmacies volontaires : Critères Indicateurs Sources de données File active d'udi, volume mensuel de Stéribox2 dispensés et récupérés (estimation à partir du poids des déchets). 1. Adhésion des UDI au système d'échange de seringues. Enquête sur file active, fiches de stock des Stéribox2, fiche de mouvement des déchets, système SIAMOIS. 2. Satisfaction des UDI pour ce mode de fonctionnement des pharmacies. 3. Qualité des outils de communication créés (notice, affiche, autocollants). Déclarations des UDI sur le nombre de kits utilisés, la qualité de la relation avec l'équipe officinale, la qualité des Stéribox2, la qualité de l'information, la proximité, les horaires, la facilité de la récupération, les problèmes rencontrés avec les équipes officinales, la volonté de continuer, les propositions d'amélioration. Présentation attrayante, information lisible, simple, juste, non stigmatisante pour les UDI, élaboration participative. Déclaration des UDI sur connaissance et appréciation de l'outil. Entretiens et/ou questionnaires auprès des UDI. Observation des outils de communication. Entretiens avec UDI et RuptureS. L'évaluationdes activités et d'implantationdans les pharmacies et auprès des UDI fait essentiellement appel à des données enregistrées en continu et à des enquêtes par entretiens ou questionnaires. Les outils de suivi à mettre en place et à remplir tout au long du projet sont : 1. Un calendrier prévisionnel des activités, élaboré régulièrement (tous les 2 ou 3 mois), 2. Dans les pharmacies, les fiches de stock, pour enregistrer les sorties de kits dans le cadre du protocole d'échange et hors protocole (dispensation payante). Un récapitulatif mensuel sera fait pour chaque pharmacie. 3. A RuptureS, un carnet de bord du programme, tenu au jour le jour avec la date de chaque activité (formation ou visite de pharmacie) et le nom de la personne qui remplit le carnet. Pour chaque formation seront indiqués, la pharmacie et les personnes concernées (présentes et absentes), les intervenants, le déroulement de la séance et les remarques faites par les participants, les intervenants et les organisateurs à la fin de la séance. Chaque visite de pharmacie sera indiquée avec le type d'activité réalisée et les éventuels problèmes qui ont été traités. 4. Une fiche de mouvement des déchets, créée par RuptureS pour chaque pharmacie, avec le poids des déchets recueillis, le numéro du conteneur et la date. Un récapitulatif mensuel sera fait pour chaque pharmacie. Une fiche de mouvement supplémentaire enregistrera les dépôts des déchets au Département d'ecologie Urbaine avec les mêmes informations.

7 7 Les enquêtes ponctuelles concerneront : 1. Les pharmaciens et équipes officinales, par un questionnaire d'évaluationde la formation initiale, puis en fin de programme sous forme d'entretiende groupe et de questionnaire pour analyser leur implication et leur satisfaction par rapport au programme. 2. Les autres acteurs du programme (membres de RuptureS impliqués dans les activités, intervenants des formations et Département d'ecologie urbaine), par entretien, pour évaluer leur activité spécifique et leur satisfaction par rapport au programme. 3. La file active des UDI sera évaluée approximativement au lancement du programme sur une période de deux semaines par le comptage des UDI venant acheter du matériel d'injection(auxquels le pharmacien propose d'adhérerau programme), ainsi que trois autres variables : sexe, tranche d'âge,client régulier ou non. La même évaluation sera répétée en fin de programme pour tous les UDI auxquels du matériel d'injectionest dispensé, en ajoutant la variable échange selon le protocole / achat de matériel d'injection. 4. Les UDI seront interrogés directement au moyen d'unautoquestionnaire anonyme préaffranchi qui leur sera remis en même temps que les kits, afin d'évaluerleur satisfaction par rapport au programme. Cette modalité sera testée en début de programme pour vérifier le taux de retours des questionnaires. Des entretiens plus qualitatifs seront faits avec des UDI qui fréquentent la Boutique de RuptureS, sur leur satisfaction par rapport au programme et leur appréciation des outils de communication. D'autres données seront recueillies par observation des conventions, des outils de communication et des outils de suivi. Les informations sur la vente de matériel d'injection 1 et le nombre de personnes en traitement de substitution 2 en officine dans le département du Rhône seront recueillies auprès du système SIAMOIS (Système d'informationsur l'accessibilitéau Matériel Officinal d'injectionet de Substitution). Le niveau d'analyseétant plus grand que les zones d'intervention,les données extraites de SIAMOIS concernent plus le contexte que l'évaluation du programme. 2.3 EVALUATION DES RESULTATS Critères Indicateurs Sources de données 1 shoot = 1 seringue Déclaration des UDI sur l'utilisation de Enquêtes par + 1 stéricup stériles. seringues stériles à usage unique, de matériel entretiens et Pas de prêt / emprunt stérile à usage unique (Stéricup, filtre), le questionnaires auprès de seringue ni de "prêt" ou "l'emprunt" de seringues ou des UDI. matériel d'injection. matériel, le nombre moyen d'utilisation d'une Comparaison avant seringue ou de matériel. après. L'évaluationdes résultats (des objectifs) du programme seront évalués chez les utilisateurs du programme. Il s'agitdonc d'unemesure de l'utilité,et non de l'efficacitéauprès de l'ensemble des UDI, ce qui ne serait ni pertinent (ce programme est à petite échelle) ni faisable (cette population n'est pas connue précisément). 1 Stéribox et seringues Becton-Dickinson 1ml (qui représentent 4/5 du marché des seringues, et sont essentiellement utilisées par les diabétiques, sauf pour le conditionnement individuel fait pour les UDI). 2 Méthadone ou buprénorphine (Subutex ).

8 8 La méthode avant après sera utilisée, ce qui signifie une enquête auprès des UDI au lancement du programme et une après un an, qui permettra la comparaison. Cependant, cette comparaison devra tenir compte de l'évolution possible des UDI fréquentant les pharmacies. En effet, il a été observé que le programme peut attirer un public ayant plus de pratiques à risque. Ceci pourrait faire croire à un effet pervers du programme. 2.4 EVALUATION D'IMPACT Critères Indicateurs Sources de données 1. Diminution de l'incidence des Suivi de l'incidence des Indicateur non infections à VIH, VHC, VHB, infections à VIH, VHC chez disponible. septicémies et infections les UDI. DDASS cutanées chez les usagers de Déclarations nouveaux cas de drogue par voie intraveineuse sida dans le Rhône (UDI). 2. Changements de pratiques d'utilisation des drogues des UDI : moins de drogues injectables, recours à la substitution. 3. Diminution des risques infectieux dans l'environnement (lieux publics) dus à des objets piquants-coupants potentiellement contaminés. 4. Meilleures relations pharmacies UDI : Regard social moins stigmatisant pour les UDI et réciproquement meilleure perception du pharmacien comme acteur de santé publique par les UDI. Déclarations des UDI sur usage des drogues injectables et substitution. Nombre seringues ramassées dans les lieux publics comparé à d'autres déchets type bouteilles par type de récupération. Déclarations des UDI sur la perception du pharmacien et réciproquement des équipes officinales sur la perception des UDI, nombre d incident dans l'officine avec les UDI. Entretiens ou questionnaires auprès des UDI. Registres services voirie, Contrat local de sécurité. Entretiens ou questionnaires auprès des UDI et équipes officinales, carnet de bord du programme. L'évaluationde l'impactsanitaire de ce programme n'estpas possible compte tenu du système d'information actuel et de la petite échelle de cette expérience. Les seules données disponibles sont celles des déclarations de nouveaux cas de sida (et non de séropositivité) dans le Rhône. Il s'agit donc plus de données de contexte que de données d'évaluation. L'évaluationde l'impactfera appel à des enquêtes auprès des UDI pour analyser les éventuels changements d'usagedes drogues injectables, le recours à la substitution et les relations pharmacies UDI. Les équipes officinales seront interrogées sur les relations pharmacies UDI. Il s'agiralà encore d'évaluationavant-après, au moyen de questionnaires et d'entretiens(avec les pharmaciens et des UDI fréquentant RuptureS). Les éventuels incidents avec les UDI seront signalés par les pharmaciens lors des visites de RuptureS et seront enregistrés sur le carnet de bord du programme.

9 L'impactsur le risque environnemental sera documenté à partir des registres des services de voirie et des Contrats locaux de sécurité, en comparant le nombre mensuels de seringues et aiguilles ramassés dans les zones concernées par le programme avec le nombre d'autres objets comme les bouteilles. 9

10 10 CONCLUSION L'évaluation du Programme d'echange de Kits en Officine aura deux grands volets. Le premier concerne l'évaluation des "efforts" déployés par les acteurs du programme pour mettre en place les activités et rejoindre les deux groupes cibles du programme : les 12 pharmacies volontaires et les UDI qui les fréquentent. Cette évaluation portera sur les ressources, les activités et leur atteinte de ces deux groupescibles. Il s'agira essentiellement d'une autoévaluation menée sur la base de documents de gestion et d'outilsde suivi des activités et des mouvements de kits neufs et usagés. Les outils de suivi à créer sont indiqués dans le tableau ci-dessous. Des enquêtes en fin de programme permettront d'analyserplus en détail la satisfaction des différents partenaires dans leur rôle propre. Le second volet concerne l'évaluationdes effets du programme. Il sera donc centré sur les deux groupes-cibles que sont les UDI et les équipes officinales. Il sera basé principalement sur des enquêtes au moyen d'entretienset/ou de questionnaires pour appréhender les changements qui ont eu lieu d'abord dans les prises de risque des UDI (qui sont les objectifs du programme) mais aussi dans les impacts attendus au niveau de l'usagede drogue et des relations entre pharmacies et UDI. Il s'agirade données recueillies avant la mise en place du programme et à la fin de celui-ci. Des relevés sur l'abandonde déchets à risque sur la voie publique seront également faits auprès des services de voirie. En pratique, les outils de suivis, les enquêtes et recueils de données à prévoir sont les suivants : Les outils de suivi à créer : Acteur concerné Nom de l'outil Contenu Tous Calendrier prévisionnel Activités programmées pour les deux ou trois mois à venir. RuptureS Carnet de bord Activités réalisées : formations et visites pharmacies essentiellement (Cf. texte). Incidents éventuels avec UDI dans les pharmacies. RuptureS RuptureS RuptureS Pharmacies Fiches de mouvement des déchets Comptabilité du programme Carnet d'entretien du véhicule Fiches de stock des kits Une fiche de collecte par pharmacie + une fiche de dépôt au Dept d'ecologie Urbaine avec date, numéro de conteneur collecté et poids. Recettes, dépenses, avec date, montant et affectation. Périodes de non disponibilité du véhicule. Entrées et sorties de kits avec récapitulatif mensuel en différenciant suivant le protocole d'échange ou hors protocole (vente).

11 11 Les enquêtes à réaliser avant le programme 3 : Estimation de file active des UDI par pharmacie (au moment de l'implantationdu protocole d'échange). Relations UDI pharmacies. Description des UDI : caractéristiques générales, prises de risque avec le matériel d'injection, relations UDI pharmacies (autoquestionnaire, modalité à valider). Les enquêtes à réaliser après le programme : Estimation de file active des UDI par pharmacie (en différenciant dans et hors protocole d'échange). Description des UDI : caractéristiques générales, prises de risque avec le matériel d'injection,relations UDI pharmacies. Changements déclarés dans cette prise de risque et dans l'usage de drogues injectables et dans la relation UDI pharmacies. Satisfaction des UDI adhérent au programme pour ce mode de fonctionnement des pharmacies. Appréciation des outils de communication. Satisfaction des équipes officinales pour ce mode de fonctionnement avec les UDI. Relations pharmacies UDI. Satisfaction des autres acteurs concernés et leur implication dans le partenariat. Les données plus générales à recueillir auprès d'autres systèmes d'information : Matériel d'injectionet bouteilles collectés sur la voie publique par les municipalités dans les zones du programme. Système SIAMOIS (InVS) : dispensation de matériel d'injectionet de substitution en officine dans le Rhône (ou échelle inférieure si disponible). DDASS : déclaration des nouveaux cas de sida dans le Rhône. 3 Ne sont pas prises en compte ici les étapes du recrutement des pharmacies volontaires, qui reposent sur une enquête auprès des pharmacies et des réunions de présentation avec les pharmacies et les instances professionnelles.

12 12 BIBLIOGRAPHIE 1. Ascode, Apothicom, Croix Verte et Ruban Rouge, RuptureS. Journée nationale de l'échangede seringues en pharmacie. Les actes de la journée, Lyon, CHS St Jean de Dieu, 26 mars Lyon, RuptureS, 2001, 55 p. 2. Ascode. Point échange seringues en Pyrénées-Orientales. Etude préalable de faisabilité. Perpignan, Ascode, mars 1999, 5 p. + annexes. 3. Bonnet N., Beauverie P., Gaudoneix-Taieb M. et coll. Evolution de l'implicationdu pharmacien d'officine dans la prévention des dommages liés à l'usage de drogues et la dispensation des traitements de substitution. Bulletin de l'ordredes Pharmaciens, 2001, (370), Cormont P. Evaluation du programme "échange de seringue et distribution de préservatifs" pour la CPAM et la DDASS des Deux-Sèvres. Copas, Lille, mars 2000, 19 p. 5. Emmanuelli J. Programmes d'échangesde seringues et réduction des risques chez les usagers de drogues dans le monde développé : états des lieux et mise en perspective. Documents du CESAMES, Paris, CNRS, 2001, (8), 79 p. 6. Emmanuelli J. Contribution à l'évaluationde la politique de réduction des risques. SIAMOIS. Description, analyse et mise en perspective des données de ventes officinales de seringues et produits de substitution en France de 1996 à Saint-Maurice, InVS, novembre 2000, tome 1 = 55 p, tome 2 = 93 p. 7. Emmanuelli J., Lert F., Valenciano M. Caractéristiques sociales, consommations et risques chez les usagers de drogue fréquentant les programmes d'échangede seringues en France. Paris, OFDT Inserm U88 InVS, Etude 18, 1999, 62 p. 8. Institut de Veille Sanitaire. Surveillance du sida en France. Situation au 30 septembre Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, novembre 2001, (47), Rioufol J.F. Vers une évaluation de la politique de réduction des risques. Revue documentaire Toxibase, 1999, (1),

13 13 Calendrier prévisionnel des Formations à l attention des responsables et des équipes d Officines Lieux : Locaux de la CPCAM de Lyon Séance 1 : Présentation projet P.E.E.K.O Intervenants : Ruptures / ASCODE + Un pharmacien du réseau PEMI-PO (Perpignan) / CRIPS : Patrick Pelège / Eliott Imbert ( APOTHICOM) Objectifs : Présentation détaillée du protocole : assurance, validation des engagements des pharmaciens et buffet dinatoire (Schering-Plough) Séance 2 : (module de 3h00) Animateur modérateur : CRIPS Intervenants : RuptureS Shering-Plough Thémes : Information médicales VHC et Réduction des Risques Public : Responsable d officines Mercredi 24 avril 2002 (19h30 à 23h00) locaux de la CPAM Lyon 3 Dans la semaine du : 12 au 17 mai 2002 Proposition de date : Le jeudi 16 mai Séance 3 : Relation du Pharmacien avec l usager de drogues Intervenant : RuptureS Dans la semaine du : 20 au 25 mai 2002 Proposition de date : Le jeudi 23 mai Public : Equipe officinale Séance 2 ( collective ) : - Résumé et présentation du programme P.E.E.K.O - VHC,VIH et réduction des risques Dans la semaine du : 27 mai au 1er juin 2002 Proposition de date : Le jeudi 23 mai Séance 3 : (dans chaque officine) Relation du pharmaciens avec l usagers de drogues Proposition de date : Durant le mois de juin Les séances de formation supplémentaires 4 et 5 seront programmés fin septembre-début octobre Thématique retenues : Information sur les réseaux de soins et de prises en charge / intervenant pressentie Dr Genoud / Réseau Ville-Hôpital Une première évaluation du projet : Démarrage en juillet 2002

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