Revue de l année. Année clôturée le vendredi 31 décembre Marchés mondiaux

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1 Année clôturée le vendredi 31 décembre 2014 Marchés mondiaux INDICES BOURSIERS 31 Dec Dec 13 % var. INDICES BOURSIERS 31 Dec Dec 13 % var. CAN : S&P/TSX ,4 Suisse : SMI ,5 É.-U. : INDU ,5 Japon : NKY ,1 É.-U. : SPX ,4 Hong Kong : HSI ,3 Nasdaq : CCMP ,4 Thaïlande : SET ,3 Brésil : IBOV ,9 Malaisie : KLCI ,7 Mexique : MEXBOL ,0 Singapour : STI ,2 RU : FTSE ,7 Taïw an : TWSE ,1 Euro Stoxx 50 : SX5E ,2 Corée : KOSPI ,8 Allemagne : DAX ,7 Manille : PCOMP ,8 France : CAC ,5 Australie : AS ,7 Pays-Bas : AEX Allshare ,6 Chine : Shanghai ,9 Italie : FTSE MIB ,2 Inde : Sensex ,9 PRODUITS 31 Dec Dec 13 % var. DEVISES 31 Dec Dec 13 % var. Or $ US/oz 1184,9 1205,7-1,7 U.S./CAD 0,86 0,94-8,5 Pétrole $ US/baril 53,3 98,4-45,9 CAD/EURO 1,40 1,46-4,3 U.S./BP 1,56 1,66-5,9 REND. OBLIG. 31 Dec Dec 13 var. JY/U.S. 119,70 105,32 13,7 Gouv. Canada 10 ans 1,79 2,77-0,98 Euro/BP 1,29 1,20 7,2 B. du T. amér. 10 ans 2,17 3,01-0,83 U.S./Euro 1,21 1,38-12,2 Gouv. Allemagne 10 ans 0,54 1,94-1,40 JY/BP 186,95 174,08 7,4 Gouv. Japon 10 ans 0,33 0,74-0,41 Gouv. Canada 30 ans 2,34 3,24-0,91 B. du T. amér. 30 ans 2,75 3,94-1,19 Source : Datastream. Les rendements des indices sont exprimés en devise locale. Tous les rendements sont indiqués sous forme de prix et ne comprennent pas les dividendes. PAGE 1

2 CANADA Le marché boursier canadien a avancé de 7,4 % en 2014, parce que le nouvel élan de l économie mondiale et le maintien de la politique monétaire accommodante ont ravivé la confiance des investisseurs pendant la période. Les actions canadiennes ont obtenu d excellents résultats, tirant parti de la reprise économique mondiale. L augmentation des dépenses des ménages canadiens et la forte hausse des exportations ont également redonné confiance aux investisseurs. Cependant, ces gains ont été en partie contrebalancés pendant la deuxième moitié de 2014 par la chute marquée du prix du pétrole, qui constitue une forte proportion des exportations du Canada. Huit des dix secteurs de la classification GICS ont progressé en 2014, avec en tête les secteurs des produits de consommation de base et des technologies de l'information, tandis que le secteur de l'énergie est celui qui a perdu le plus de valeur. La croissance économique s est poursuivie en 2014, soutenue par l'augmentation des exportations et des dépenses de consommation. Cependant, la demande intérieure a diminué au troisième trimestre de 2014 et le taux de croissance annualisé est passé à 2,8 %, contre un taux de croissance de 3,6 % au deuxième trimestre. La Banque du Canada a laissé son taux directeur inchangé en 2014, soit à 1,0 %. La banque centrale a déclaré que l économie canadienne n a pas encore atteint son plein potentiel de production et que l inflation devrait diminuer dans un proche avenir. Les prix à la consommation ont augmenté substantiellement en Statistique Canada a déclaré que les prix ont grimpé dans chacune des grandes catégories de l indice des prix à la consommation par rapport à il y a un an, à l exception du prix du transport, dont la chute est attribuable à la baisse marquée du prix de l essence. En novembre 2014, le taux d inflation annualisé s établissait à 2,0 %, après avoir plafonné à 2,4 % en juin et en octobre, car la chute du prix de l énergie a entraîné les prix dans son sillage baissier. Le taux d inflation s élevait à 1,2 % à la fin de Le marché de l emploi s est amélioré en Le taux de chômage a reculé à 6,6 % en novembre, par rapport à 7,0 % en janvier, en raison de la création d emplois pendant l année. La balance commerciale s est transformée en un excédent de 100 millions $ en octobre 2014, contre un déficit de 256 millions $ en janvier, grâce notamment à la croissance des exportations, qui a été plus forte que celle des importations. Cependant, pendant la deuxième moitié de l année, les exportations ont subi les contrecoups de la baisse du prix et du volume des produits énergétiques. PAGE 2

3 ÉTATS-UNIS Les marchés boursiers américains ont inscrit des gains appréciables en Les indices Dow Jones, Nasdaq et S&P 500 ont avancé respectivement de 7,5 %, 13,4 % et 11,4 %, grâce à l amélioration de la croissance économique, aux politiques monétaires accommodantes et à l augmentation des bénéfices des sociétés. Cependant, ces gains ont été partiellement contrebalancés par la recrudescence de volatilité attribuable à l intensification des tensions géopolitiques et aux craintes d un ralentissement de la croissance économique mondiale au milieu de l'année. L économie américaine a pris de l allant en 2014, soutenue par les fortes dépenses de consommation et les investissements des entreprises. L économie américaine a enregistré un taux de croissance annualisé de 2,7 % au troisième trimestre de 2014, comparativement à 2,6 % au trimestre précédent. Le PIB a enregistré un taux de croissance de 5,0 % au troisième trimestre et de 4,6 % au deuxième trimestre, après une contraction de 2,1 % au premier trimestre attribuable au mauvais temps. En 2014, la Réserve fédérale américaine s est engagée à maintenir sa politique monétaire accommodante et à ne pas modifier le taux des fonds fédéraux, qui est demeuré à 0,25 %. La fin d'octobre 2014 a marqué la fin des achats mensuels d actifs. Le taux d inflation aux États-Unis a augmenté pendant la première moitié de 2014, pour culminer au taux annualisé de 2,1 % en mai. Toutefois, pendant la deuxième moitié de l année, le taux d inflation a diminué, pour s établir à un taux annualisé de 1,3 % en novembre, en raison de la chute du coût de l'énergie. Dans l'ensemble, le coût de l'énergie a reculé de 4,8 % sur douze mois. Le taux de chômage a régressé de façon marquée en 2014, s établissant à 5,8 % en novembre, son plus bas niveau en six ans, alors qu il s élevait à 6,6 % en janvier. La baisse du taux de chômage est principalement attribuable à la vigueur de l embauche à l échelle nationale par suite de l amélioration des perspectives économiques. L indice de confiance des consommateurs américains, compilé par Thomson Reuters/Université du Michigan, a progressé en 2014, parce que la baisse du prix de l essence a fait augmenter les attentes. L indice s établissait à 93,6 points en décembre 2014, son plus haut niveau en près de huit ans, par rapport à 82,5 points en décembre PAGE 3

4 EUROPE CONTINENTALE Les marchés boursiers européens ont obtenu des résultats mitigés en 2014, l instabilité géopolitique en Ukraine et au Moyen-Orient, ainsi que la détérioration de la conjoncture économique en Europe, ont continué de nuire à la reprise dans la région. Les indices DJ Euro Stoxx 50 et DAX de l Allemagne ont progressé respectivement de 1,2 % et 2,7 % pour l année. Par contre, l indice CAC de la France a perdu 0,5 % de sa valeur. L économie de la zone euro a enregistré un taux de croissance de 0,2 % au troisième trimestre, après une hausse de 0,1 % au deuxième trimestre. Les dépenses des ménages et les dépenses publiques ont soutenu la croissance économique, tandis que les investissements et le commerce extérieur ont eu l effet contraire. Toutefois, la croissance des deux derniers trimestres a été plus lente que celle du premier trimestre, car la détérioration de la conjoncture économique a continué de saper la reprise dans la région. La production industrielle de la zone euro est demeurée léthargique pendant la majeure partie de 2014, parce que la demande des consommateurs et la demande d exportations ont continué de fléchir. Ce ralentissement a touché la majorité de la zone euro, ce qui a soulevé des doutes quant à la viabilité de la reprise économique de la région. En octobre, la production industrielle a augmenté d à peine 0,7 % sur douze mois. La Banque centrale européenne a abaissé son taux directeur à deux reprises en 2014, le ramenant à un plancher record de 0,05 %, pour relancer l économie de la région et éviter que la baisse du taux d inflation ne nuise à la croissance économique. En 2014, le taux de chômage de la zone euro est demeuré près du sommet de 12,0 %, parce que le ralentissement soutenu de la croissance économique paralyse le marché du travail. Le taux de chômage a légèrement diminué pendant la première moitié de l année, soit à 11,5 %. Le taux d inflation de la zone euro a continué de baisser en 2014, frôlant un taux annualisé de 0,3 % en novembre, soit le taux le plus bas depuis plusieurs années, contre 0,8 % en janvier. Cependant, par rapport au mois précédent, les prix à la consommation ont reculé de 0,2 % en novembre, ce qui a fait craindre que les forces déflationnistes ne nuisent à la reprise économique de la région. PAGE 4

5 ROYAUME-UNI Le marché boursier du Royaume-Uni, représenté par l indice FTSE 100, a perdu 2,7 % de sa valeur en L instabilité géopolitique accrue et la chute du prix du pétrole ont pesé sur la croissance économique du pays. La croissance économique s est accentuée en L économie a progressé de 0,7 % au troisième trimestre. L augmentation de la consommation des ménages et des dépenses gouvernementales ont été les principaux moteurs de cette croissance économique. La croissance enregistrée au troisième trimestre a suivi des taux de croissance sur douze mois de 0,6 % et 0,8 % aux premier et deuxième trimestres respectivement. La Banque d Angleterre a continué d utiliser la politique monétaire pour soutenir la reprise économique. Elle a maintenu son taux directeur à 0,5 % en 2014, soit le même taux qu en 2013, et son programme d achat d actifs à 375 milliards, financé par l émission de réserves de la Banque centrale. Le taux de chômage du Royaume-Uni a continué de diminuer tout au long de Il a atteint son plus bas niveau en cinq ans en octobre, soit 6,0 %, contre 7,1 % en janvier. L amélioration du marché du travail tient au fait que les entreprises ont continué d embaucher plus de travailleurs. La production industrielle du Royaume-Uni a augmenté en Sur une base annuelle, la production industrielle a avancé de 1,1 % en octobre, grâce à la production des secteurs minier et manufacturier. Huit des 13 sous-secteurs qui composent le secteur manufacturier ont enregistré une croissance annuelle, les plus fortes hausses provenant des sous-secteurs des aliments et boissons et de l alcool. Le taux d inflation du Royaume-Uni a continué de diminuer en 2014 et a atteint son plus bas niveau en cinq ans, soit un taux annualisé de 1,0 % en novembre, par rapport à 1,9 % en janvier. Ce recul est principalement attribuable à la baisse du prix de l énergie, en particulier du carburant, et des fruits et légumes. PAGE 5

6 JAPON L indice Nikkei a progressé de 7,1 % pendant l année, comparativement à un gain de 56,7 % l année précédente. Le ralentissement économique aux deuxième et troisième trimestres de 2014 a miné la confiance des investisseurs et nui au marché boursier. Puis, l'indice a monté en flèche lorsque la Banque du Japon a adopté de nouvelles mesures de relance monétaire. L'économie du Japon a enregistré un taux de croissance négatif annualisé de 1,9 % au troisième trimestre de 2014, après une croissance négative annualisée de 6,7 % au deuxième trimestre de 2014; la consommation et les investissements ont dégringolé après l augmentation de la taxe de vente, qui est passée de 5,0 % à 8,0 % en avril L augmentation de la taxe de vente visait à réduire le fardeau de la dette du pays. Le PIB du pays a augmenté au taux annualisé de 5,8 % au premier trimestre de La production industrielle du Japon a été plus élevée pendant la première moitié de 2014, surtout au premier trimestre, en raison d'une poussée de la demande avant l entrée en vigueur de l augmentation de la taxe de vente en avril. Cependant, la croissance a ralenti par la suite, et elle a même chuté de 3,8 % et de 0,8 % sur douze mois en novembre et en octobre, respectivement, en lien avec la diminution de la demande. La Banque du Japon a maintenu son taux directeur autour de zéro à 0,1 % dans l espoir de relancer la croissance économique. En octobre, elle a décidé d assouplir sa position en annonçant son intention d élargir la base monétaire à raison de quelque 80 mille milliards par année, comparativement à une augmentation annuelle de 60 à 70 mille milliards par année auparavant, principalement pour écarter la menace de la déflation. Le taux de chômage du Japon a légèrement diminué en 2014, chutant à 3,5 % en novembre 2014, par rapport à 3,7 % en janvier 2014, étant donné que le nombre d'emplois disponibles a augmenté. Le taux d inflation du Japon a augmenté pendant la première moitié de 2014, parce que la hausse de la taxe de vente a entraîné une hausse des prix généralisée. Cependant, il a commencé à diminuer pendant la deuxième moitié de l année, ce qui montre à quel point la Banque centrale a du mal à atteindre son taux d inflation cible de 2,0 %. PAGE 6

7 ASIE-PACIFIQUE, HORS JAPON Les marchés asiatiques ont gagné du terrain en Le marché boursier de la Chine a été l un des plus dynamiques de 2014, l indice composé de Shanghai terminant l année en hausse de 52,9 %, étant donné que les investisseurs ont de plus en plus confiance que les autorités de Beijing vont continuer de stimuler l économie au moyen de mesures de relance monétaire. L indice avait perdu 6,7 % de sa valeur en L indice Sensex de l Inde a clôturé en hausse de 29,9 %, du fait que les investisseurs ont repris confiance parce qu ils attendaient, et ont élu, un gouvernement réformiste. L indice Hang Seng de Hong Kong a avancé de 1,3 %, alors qu il avait inscrit un gain de 2,9 % un an plus tôt. L économie des pays asiatiques (excluant le Japon) a continué d enregistrer une croissance modérée en Le PIB de la Chine a augmenté au taux annualisé de 7,3 % sur douze mois au troisième trimestre de 2014, ce qui est inférieur au taux de croissance de 7,7 % enregistré au quatrième trimestre de L économie a progressé de 7,4 % au premier trimestre de 2014 et de 7,5 % au deuxième trimestre. L'économie de l'inde a enregistré un taux de croissance de 5,3 % sur douze mois au troisième trimestre de 2014, comparativement à 4,6 % et 5,7 % aux premier et deuxième trimestres de 2014, respectivement. L économie avait enregistré un taux de croissance annualisé de 4,6 % au quatrième trimestre de Le taux de croissance de la production industrielle des principaux marchés asiatiques est demeuré plutôt bas en 2014 en raison des taux d intérêt élevés et de la faiblesse de la demande des consommateurs et de la demande d exportations. La production industrielle de la Chine a augmenté de 7,2 % sur douze mois en novembre, comparativement à 9,7 % en décembre La production industrielle de l Inde a légèrement augmenté pendant la majeure partie de Or, elle avait chuté de 4,2 % sur douze mois en octobre 2014, parce que la production du secteur manufacturier a diminué, signe que l économie risque de continuer d'éprouver des difficultés, même si les investisseurs s attendent de plus en plus à une forte remontée. Le taux d inflation des principaux pays asiatiques, notamment la Chine et l Inde, est demeuré élevé pendant la première moitié de Cependant, il a diminué vers la fin de l année, par suite de la chute du prix du pétrole. L indice annuel des prix à la consommation de la Chine a augmenté de 1,4 % sur douze mois en novembre 2014, comparativement à une hausse de 2,5 % en janvier L indice des prix de gros de l Inde a avancé de 1,8 % sur douze mois en octobre, contre 6,4 % en janvier La Banque centrale de l'inde a relevé son taux directeur en janvier 2014, le faisant passer de 7,75 % à 8,0 %, essentiellement dans le but de contenir les pressions inflationnistes. Cependant, elle a indiqué qu il pourrait baisser dès le début de la nouvelle année si l inflation diminue. La Banque populaire de Chine a abaissé son taux directeur à un an de 40 points de base, pour le ramener à 5,6 % en novembre 2014, dans le but d'intensifier sa campagne pour favoriser la croissance dans la deuxième puissance économique mondiale, qui est en voie d'enregistrer sa plus faible croissance en près de 25 ans. PAGE 7

8 AMÉRIQUE LATINE Les marchés boursiers de l Amérique latine ont obtenu des résultats mitigés en L indice Ibovespa du Brésil a reculé de 2,9 % en raison de la faible croissance régionale et de la forte baisse du prix des produits de base, comparativement à une baisse de 15,5 % en D autre part, l indice MEXBOL du Mexique a avancé de 1,0 %, comparativement à une perte de 2,2 % enregistrée l année précédente. L économie mexicaine a poursuivi sa croissance en 2014, et ce, à un rythme plus rapide qu en Au cours des trois premiers trimestres de 2014, l économie a enregistré des taux de croissance respectifs de 1,8 %, 1,6 % et 2,2 % sur douze mois, comparativement à 0,6 %, 1,6 % et 1,3 % sur douze mois aux trois premiers trimestres de La Banque centrale du Mexique a abaissé son taux directeur une fois en 2014, pour le ramener à 3,0 %, alors qu elle l avait réduit à trois reprises en Cette baisse de taux avait pour but de favoriser la croissance et les investissements en réduisant les coûts d emprunt. Le marché de l emploi du Mexique s est amélioré en 2014, le taux de chômage chutant à 4,5 % en novembre, après avoir atteint 5,5 % en juillet. La baisse du taux de chômage découle principalement d une hausse de l embauche dans les secteurs de l'agriculture et du commerce de détail. Cependant, le taux de chômage, à 4,5 %, était légèrement plus élevé en novembre qu'à la fin de 2013, alors qu'il s'établissait à 4,3 %. L économie brésilienne a progressé au début de 2014, mais s est contractée pendant la deuxième moitié de l année. L économie a enregistré un taux de croissance de 1,9 % au premier trimestre de 2014 et s'est contractée de 0,9 % et de 0,2 % sur douze mois aux deuxième et troisième trimestres de 2014 respectivement, comparativement à des taux de croissance de 1,8 %, 3,3 % et 2,2 % au cours des trois premiers trimestres de La Banque centrale du Brésil a relevé son taux directeur à cinq reprises en 2014, pour le porter à 11,75 %, par rapport à 10,00 % à la fin de Ce sont les craintes entourant une augmentation des pressions inflationnistes qui ont incité la Banque centrale à agir de la sorte. Le taux de chômage du Brésil a atteint 5,1 % en février 2014, par rapport à 4,3 % à la fin de 2013, après quoi il a chuté à 4,8 % en novembre. La baisse du taux de chômage montre que les facteurs démographiques ont atténué l incidence du ralentissement de l économie locale sur le marché du travail. Sauf indication contraire, Datastream est la source de toutes les données du présent document. Toutes les opinions exprimées sont celles de Fidelity Investments. Ce document est publié par Fidelity Investments Canada s.r.i. et il ne peut être reproduit ou distribué sans la permission de Fidelity Investments. Veuillez lire le prospectus d un fonds et consulter votre spécialiste en placements avant d investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis; leur valeur est appelée à fluctuer fréquemment et le rendement passé pourrait ou non être reproduit. Les investisseurs verseront des frais de gestion et des charges et pourraient devoir verser des commissions ou des frais de maintien; de plus, ils pourraient réaliser un profit ou subir une perte. Toute mention d une société en particulier n apparaît qu à titre d exemple. Une telle mention ne constitue pas une recommandation d achat ni de vente et n indique d aucune façon le contenu du portefeuille de n importe quel Fonds Fidelity. Fidelity Investments est une marque déposée de FMR LLC. PAGE 8

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