Henri Dunant. Le fondateur de la Croix Rouge. Projet 2013/2014 Didac Genève, C. Ramos De Pascale Knörr

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1 Henri Dunant Le fondateur de la Croix Rouge Projet 2013/2014 Didac Genève, C. Ramos De Pascale Knörr 1/14

2 Table des matières 1! Introduction... 3! 1.1! Raisons du choix du projet... 3! 1.2! Courte description du projet... 3! 2! La vie d Henri Dunant... 4! 2.1! Ses parents... 4! 2.2! Naissance... 4! 2.3! Jeunesse à la campagne... 4! 2.4! Scolarité... 4! 2.5! Engagement pour l Union Chrétienne de Jeunes Gens (UCJG)... 5! 2.6! Le mouvement genevois du Réveil... 5! 2.7! Compagnie des Colonies suisses de Sétif... 5! 2.8! Se présenter chez Napoléon III... 6! 2.9! Un Souvenir de Solférino... 6! 2.10! Un petit comité privé fait la politique internationale... 7! 2.11! Le Comite des Cinq... 7! 2.12! Contenu de la Convention de Genève pour l amélioration du sort des militaires blessés... 9! 2.13! 1867 (Catastrophe! ruiné!)... 10! 2.14! Dunant dans la ville de Paris ( )... 10! 2.15! ! 2.16! ! 2.17! ! 2.18! ! 2.19! ! 2.20! ! 2.21! ! 3! Interview... 12! 4! Comparaison des deux musées (Heiden et Genève)... 13! 4.1! Heiden... 13! 4.2! Genève... 13! 5! Conclusion... 14! 6! Bibliographie détaillée... 14! 2/14

3 1 Introduction 1.1 Raisons du choix du projet J ai cherché une personne très connue qui a habité à Genève. Après ma recherche, je me suis tournée vers Monsieur Henri Dunant, parce que j aime bien son engagement social. Il est le fondateur de la Croix Rouge mais aussi de l Union Chrétienne de Jeunes Gens. Ça m a fait plaisir parce que je voulais bien apprendre quelque chose de plus d Henri Dunant. Et d ailleurs je vais commencer un apprentissage d assistante médicale cet été. Autrement, j aime bien des personnes qui font un bon engagement pour les hommes qui ne sont pas privilégiés. Je tiens à faire quelque chose pour les autres. 1.2 Courte description du projet Je me suis décidée à vous présenter la vie d Henri Dunant dès sa naissance jusqu à sa mort. En plus, il y a une interview avec Monsieur Lüthi qui était mon professeur à Teufen en second cycle, parce qu il a déjà travaillé pour la Croix Rouge. Je voulais bien découvrir ses expériences et comment il avait trouvé l organisation de la Croix Rouge. J ai visité les deux musées à Heiden et à Genève et après j ai comparé les deux. 3/14

4 2 La vie d Henri Dunant 2.1 Ses parents Les parents d Henri, Jean- Jacques Dunant et Anne- Antoinette Nancy Colladon se sont mariés le 20 juin Tous deux étaient issus de familles genevoises pieuses, calvinistes et estimées. Jean-Jacques Dunant était un négociant qui faisait de bonnes affaires, membre du Grand Conseil et de la Chambre des tutelles et curatelles de Genève. Anne-Antoinette ( Nancy ) Colladon était la fille d Henri Colladon, maire d Avully, député au Grand Conseil de Genève et directeur du Bureau de Bienfaisance. 2.2 Naissance Jean-Henri Dunant est né le 8 mai 1828 à 20 h 30 dans une imposante maison genevoise. Son père est âgé de 39 ans, sa mère de Jeunesse à la campagne En novembre 1828, la jeune famille Dunant-Cilladon déménage vers Montbrillant dans une maison de campagne. Les quatres frères et sœurs d Henri sont nés dans cette résidence. Ils ont eu la chance d avoir une enfance très heureuses, avec un père compréhensif et intelligent, et une mère très tendre, et avec une vue magnifique sur le Mont-Blanc. 2.4 Scolarité A dix ans, Henri entre au Collège Calvin. Il a un long chemin pour aller à l école, au retour il déjeune à midi chez sa tante Sophie- Elisabeth. Henri ne terminera finalement pas le Collège, parce qu il était trop mauvais à l école. Il préfère la religion. Il poursuit sa formation avec d autres enfants. 4/14

5 2.5 Engagement pour l Union Chrétienne de Jeunes Gens (UCJG) A côté de son apprentissage de banquier, Henri Dunant, avec l âgé de vingt-et-un ans, il a esseyer de trouvé les gens dans son âgé pour faire des biens. Comme ca, il faut avoir une organisation. Avec ses amis genevois de la Young Men Christian Assoction (YMCA), il fonde en 1852 L Union Chrétienne de Jeunes Gens de Genève. Il a voulu échanger les idées avec les groupes de l YMCA d Edinbourg à Beyrouth. 2.6 Le Mouvement Genevois du Réveil On présume, que le jeune Henri Dunant a fréquenté l école du dimanche. Celui-là a été fondé par le pasteur Louis Gaussen. Henri Dunant était très influencé par la théologie de Gaussen. 2.7 Compagnie des Colonies suisses de Sétif Henri Dunant a travaillé chez la banque Lullin et Sautter. Là, il a fait la connaissance de concessionnaires de la Compagnie genevoise des Colonies suisses de Sétif. Les instituts de crédit suisses font des spéculations financières. Ils s engagent avec des sommes énormes en France et dans les colonies françaises d Afrique du Nord. 5/14

6 2.8 Se présenter chez Napoléon III Parce qu il y avait des problèmes énormes avec la Compagnie de Colonie, Dunant fait un voyage en Italie pour se présenter chez Napoléon III. Le 24 juin : L expérience de la bataille de Solférino influence beaucoup Henri Dunant. Il est témoin des mauvaises situations pour les milles blessés. Spontanément, il a décidé d aider les blessés de tous les côtés. 2.9 Un Souvenir de Solférino Deux ans après les événements, Dunant écrit son livre «Un Souvenir de Solférino». La première édition, tirée à 1600 exemplaires, paraît en novembre Elle n est pas à vendre. Henri Dunant envoie l ouvrage à des maisons princières, à des gouvernements, à des militaires de haut rang et à des amis. Le livre commence par la description de la bataille. Ensuite vient un rapport sur la situation des soldats blessés, et l insuffisance des secours. Dunant décrit les conséquences directes de la guerre pour les soldats. Sa conclusion se concentre sur deux questions : «N y aurait-il pas moyen, dès le temps de paix, de constituer des sociétés dont le but serait de donner des soins aux blessés en temps de guerre par des volontaires?» «Ne serait-il pas à souhaiter qu un congrès formulât quelque principe international, conventionnel et sacré qui servirait de base à ces sociétés?» Henri Dunant a été accueilli au «Comité international permanent» de Genève et là il a reçu de l aide pour son projet. 6/14

7 2.10 Un petit comité privé fait la politique internationale, 1 er septembre 1863 Le «Comité international permanent» envoie à des personnes importantes en Europe une invitation pour une conférence. L idée du projet était de s occuper des blessés en temps de guerre. Dunant parle personnellement de ce projet de convention à des princes régnants, des chefs militaires et des médecins de campagne dans dix capitales européennes août 1864 Douze nations mettent la «Convention de Genève», à l Hôtel de Ville de Genève Le Comité des Cinq Les hommes suivant : Gustav Moynier, Guillaume Henri Dufour, Jean Henri Dunant, Louis Appia et Théodore Maunoir Cinq mettent leur temps libre et leur argent pour aider les blesses dans la guerre. Le général Dufour était le président, Moynier le vice-président et Dunant le secrétaire. Leur nom était «Comité international permanent» ; plus tard, le nom était «Comité international de secours pour les militaires blessés». 7/14

8 Gustav Moynier ( ) Juriste, excellent organisateur, fondateur de la Société suisse de Statistique et très engagé sur le plan social. Guillaume Henri Dufour ( ) Premier général suisse, fondateur de l Ecole militaire de Thoune ou il forme surtout le prince Louis Napoléon Bonaparte (Napoléon). Jean-Henri Dunant Auteur d Un Souvenir de Solférino. Louis Appia ( ) Docteur en médecine et célèbre chirurgien militaire. Pendant les guerres en Italie, il s est occupé des victimes de Solférino. Théodore Maunoir ( ) Docteur en chirurgie, qui a appris à Paris, Londres et Genève. 8/14

9 2.12 Contenu de la Convention de Genève pour l amélioration du sort des militaires blessés Les articles 1 à 3 Des secouristes volontaires ont la permission d intervenir et de s occuper des blessés. Ils sont reconnus et doivent être protégés. L article 4 Tous le materiel reste la propriété de la Croix Rouge. L article 5 Les habitants du pays qui portent secours au militaires blessés, sont également reconnus neutres. L article 6 Tous le militaires blessés ou malades sont soignés. Ils retournent aux avant-postes ennemis ou dans leur pays. L article 7 Tous les secouristes doivent porter des uniformes et des brassards avec les signes de la Croix Rouge. Les articles 8 à 10 Il y a des normes, qui règlent l application de la Convention. 9/14

10 (Catastrophe! ruiné!) A l âge de 39 ans, Dunant n a pas d argent. A Paris, il apprend la faillite de son entreprise. Sa famille et ses amis genevois perdent beaucoup d argent. Il n ose plus d aller à Genève, même pas lorsque sa mère bien-aimée est à l article de la mort. Il se trouve dans un état de chagrin. Dunant ne pouvait plus être le secrétaire de l international comité de la Croix Rouge. À Paris, il va recevoir une médaille d or pour ses bénéfices Dunant dans la ville de Paris ( ) Dunant organise les secours de la ville occupée par les Allemands. Il demande aux différents gouvernements de regarder plus strictement les règles de la Convention de Genève. Il aide les personnes en danger Dunant vit dans la pauvreté à Stuttgart, Rome, Corfou, Bâle et Karlsruhe. De Londres, il envoie une lettre à sa famille à Genève, parce qu il est sans espoir Sa famille lui envoie de l argent chaque mois et il prend domicile à Heiden en Suisse Il y a d une section de la Croix Rouge à Heiden. 10/14

11 Dunant doit aller à l hôpital et écrit ses mémoires Il a recu le premier prix Nobel de la paix Dunant va obtenir «la doctor honoris causa» de la Fédération des Médecins octobre 1910 Henri décédé à Heiden. 11/14

12 3 Interview J ai fait l interview avec mon professeur Monsieur Lüthi. Pour pouvoir travailler chez la croix rouge : Il faut avoir un diplôme universitaire Passer des tests et des entretiens Avoir moins de 35 ans Monsieur Lüthi a travaillé à la Croix Rouge, parce qu il a voulu travailler dans des autres pays. Il a voulu aider des victimes de guerre et aussi faire quelque chose qu il n avait jamais fait. Il a trouvé les idées d Henri Dunant très bonnes. Il a commencé à travailler quand il avait 34 ans. Pendant quatre ans, il a travaillé pour la Croix Rouge, dont 2 ans dans une prison. Les prisonniers n avaient pas respecté le gouvernement ou avaient brutalisé quelqu un. Son travail y était le suivant: Enregistrer les prisonniers, comme ça les soldats ne pouvaient pas torturer les prisonniers. Aussi suivre et contrôler le droit international de la guerre. S occuper des gens dans le camp de réfugiés Transporter les personnes qui étaient mortes Les projets d agriculture Faire de la publicité Mettre des prothèses à disposition Il a sauvé beaucoup de vies pendant des années. Il y a un événement qui est resté dans sa mémoire. Il avait un prisonnier dans la jungle. Monsieur Lüthi a voulu aller avec la famille du prisonnier dans la jungle pour lui rendre visite. Mais ce n était pas facile, il y a eu besoin de 7 mois pour y aller. Il a dû chercher des contacts avec les employés locaux. Pour Monsieur Lüthi il y avait deux situations dangereuses: Il était très dangereux de voyager, aussi en autobus, parce qu on ne savait jamais s il y avait des mines, parce qu elles étaient partout. Afghanistan : Quelquefois, ils s en allaient dans un bistro en Afghanistan. Une fois une de ses amis était là lorsqu un homme était entré avec un pistolet et tout à coup il a commencé à tirer. Beaucoup de personnes sont mortes. Monsieur Lüthi aime les idées de la Croix Rouge, mais il n est pas sûr d encore travailler une fois pour la Croix Rouge. 12/14

13 4 Comparaison des deux musées (Heiden et Genève) 4.1 Heiden Le musée est consacré à la personnalité et à l œuvre d Henri Dunant. On peut voir les mémoires à l initiateur et le fondateur de la Croix Rouge ainsi que ses visions pour une terre sans guerre et sans misère. On remarque vraiment que Dunant a pour but la bonne harmonie entre les nations et entre les individus. 4.2 Genève Ce musée nous montre qu il est nécessaire à notre époque d avoir des organisations comme la Croix Rouge. Il y a douze personnes qui parlent de leurs mémoires. Le musée est très moderne avec beaucoup de détails. Il est très important de ne pas séparer la famille et la nature. Je croix que le musée à Genève est plus intéressant pour les jeunes-hommes parce qu on peut faire des jeux et regarder des films. Autrement, on a la possibilité de faire la connaissance avec des hommes qui ont été sauvés pendant la guerre. Celui à Heiden montre la vie d Henri Dunant et l histoire importante de la Croix Rouge. 13/14

14 5 Conclusion Le devoir était de faire un seul travail, de planifier, exécuter et le terminer à une certaine date. J ai été très contente d avoir la possibilité de choisir moi-même le sujet du projet. J aime bien les personnes qui font quelque chose pour les hommes et la terre. J estime beaucoup ce qu Henri a fait pour les hommes et je peux aussi être au bienfait pour les hommes. Les musées à Heiden et à Genève sont très originaux, j étais enthousiaste apprendre de nouvelles choses. J ai été très heureuse d avoir l aide de mes parents et de mon professeur. J ai beaucoup appris et je suis très contente de mon travail. 6 Bibliographie détaillée J ai pris presque toutes mes informations dans les deux musées. Les photos et quelques informations qui me manquaient, je les ai prises de l internet (Google et Wikipedia). 14/14