ETUDE DE LA QUALITE DE L AIR A KOUROU (ZI de Pariacabo du 10/10/2012 au 23/11/2012)

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1 2012 ETUDE DE LA QUALITE DE L AIR A KOUROU (ZI de Pariacabo du 10/10/2012 au 23/11/2012) AJ/KPP/ORA Guyane Réf : 10/12/C/K 28/12/2012

2 Sommaire Introduction... 3 I. Présentation de la campagne de mesure ) Equipement utilisé pour la surveillance de la qualité de l air ) Site de la campagne de mesure... 5 II. Résultats de la campagne de mesure ) Conditions météorologiques... 6 a. Les vents... 6 b. La température et l humidité relative ) Résultats par polluants... 7 a. Le dioxyde de souffre... 7 b. Les oxydes d azotes... 7 c. L ozone... 7 d. Les particules en suspension de moins de 10 µm de diamètre... 7 III. Discutions des résultats ) Bilan de la qualité de l air ) Origine principale de la pollution de l air... 9 a. Etude de la variation journalière des polluants dans l air... 9 b. Etude des concentrations en particules Conclusion Liste des figures Liste des sigles et acronymes utilisés Annexes Annexe I : fiches d informations sur les polluants surveillés par l ORA de Guyane Annexe II : définition des seuils réglementaires Annexe III : définition des personnes sensibles

3 Introduction Le laboratoire mobile de l ORA a été installé du 10/10/2012 au 23/11/2012 au sein des services techniques de Kourou, afin de connaître l état de la qualité de l air dans la zone industrielle de Pariacabo. Une surveillance continue des particules en suspensions 1 (PM10), de l ozone (O 3 ) et des oxydes d azote (NOx) a été réalisée. 1 Dans ce rapport, poussière, particule, PM10 et aérosol sont synonymes 3

4 I. Présentation de la campagne de mesure 1) Equipement utilisé pour la surveillance de la qualité de l air Le laboratoire mobile, destiné à la Surveillance de la, a pour but de fournir un bilan de la pollution atmosphérique des sites sélectionnés. Le véhicule est équipé de 4 analyseurs permettant de mesurer les oxydes d azotes (NO X, NO et NO 2 ), l ozone (O 3 ), les particules en suspension de moins de 10 µm de diamètre (PM10) et le dioxyde de soufre (SO 2 ). Équipements : 1analyseur d oxydes d azote SERES 1 analyseur d ozone SERES 1 analyseur de poussières TEOM 1 centrale d acquisition des données 1 modem GSM 1 climatiseur 1 onduleur 1 mât télescopique 1 anémomètre-girouette (Hors Service lors de l étude) 1 sonde de température et d humidité relative Caractéristiques techniques: Longueur: 4,4 m Largeur: 1.8m Hauteur: 2,2m (Tête de prélèvement et mat météo replié) Mat météo télescopique: 6 m Poids en charge: 2135 kg Alimentation électrique: 32A max Transmission des données par GSM data 4

5 2) Site de la campagne de mesure Le laboratoire mobile a été placé aux services techniques de la ville de Kourou, dans la zone industrielle de Pariacabo. Figure 1 : emplacement géographique du laboratoire mobile à Kourou 5

6 II. Résultats de la campagne de mesure 1) Conditions météorologiques Les conditions météorologiques ayant une influence sur la dispersion et la transformation des polluants, il est important de les prendre en compte lors d une étude de la qualité de l air. - Plus la lumière et la température seront élevées et plus la dégradation des composés organiques volatils et des oxydes d azote par des réactions avec les radicaux hydroxyles seront importantes et généreront de l ozone. - Plus la vitesse du vent sera forte, et meilleure sera la dispersion des polluants dans l atmosphère. De même, la direction des vents influe sur leur déplacement. - Plus il y aura de pluie, et meilleur sera le lessivage de l atmosphère, entrainant une diminution des concentrations en polluants dans l air. Il y a soit incorporation du composé qui se solubilise dans la goutte d eau, soit abattement par effet mécanique des polluants qui sont ensuite transférés dans les sols et les eaux de surfaces. Cependant, la donnée pluviométrique n étant pas mesurée par la station météo équipant le laboratoire mobile, ce paramètre n a pas pu être pris en compte lors de cette étude. a. Les vents Les appareils de la station météorologique permettant de mesurer les caractéristiques des vents se sont révélés être défectueux, ce qui nous a obligé à invalider ces données. b. La température et l humidité relative Température Humidité relative Valeur moyenne 27.1 C 79% Ecart type Valeur maximale 30.9 C 96% Date d observation 31 octobre 23 et 27 octobre Valeur minimale 21.5 C 53% Date d observation 16 novembre 31 octobre Figure 2 : valeurs de température et d'humidité relative La température moyenne relevée de 27.1 C, et le taux d humidité relatif de 79%, correspondent à des valeurs normales pour le climat équatorial humide de Guyane. Les conditions climatiques entrainent des difficultés pour l utilisation de certains appareils, qui peuvent, par exemple, voir leur durée de vie fortement diminuer en raison des taux d humidité très importants. 6

7 2) Résultats par polluants 2 a. Le dioxyde de souffre Pour des raisons techniques, les données en souffre ont été invalidés. b. Les oxydes d azotes Les oxydes d azote sont, à Kourou, principalement générés par la circulation automobile. Au cours de la campagne de mesures la concentration moyenne en oxyde d azote a été de 7.2 µg/m 3 et la concentration moyenne en dioxyde d azote de 17.7 µg/m 3. La valeur limite de protection de la santé humaine étant de 40 µg/m 3 en moyenne annuelle pour le dioxyde d azote, leur impact sur la santé a été limité lors de notre campagne d étude. c. L ozone Certains polluants dits précurseurs d ozone, tels que les oxydes d azote et les composés organiques volatils se transforment sous l action du rayonnement solaire et donnent naissance à l ozone. A Kourou, les précurseurs proviennent généralement du trafic routier. Les concentrations maximales en ozone surviennent lorsque les températures et l ensoleillement sont élevés. En conséquence, le profil annuel de l ozone révèle que les plus fortes teneurs sont observées durant la saison sèche, lorsque l ensoleillement est au plus haut. Au cours de la campagne de mesure, la moyenne relevée a été de 29.7 µg/m 3, ce qui respecte les valeurs cibles réglementaires. d. Les particules en suspension de moins de 10 µm de diamètre La concentration moyenne en particules au cours de la campagne de mesure a été de 26.0 µg/m 3 ce qui est inférieur à l objectif de qualité qui est de 30 µg/m 3 en moyenne annuelle. Le seuil d information et de recommandation a été dépassé 1 fois en raison du fort taux de particules présent dans l air lors de la journée du 20 novembre. 2 Les comparaisons avec des valeurs réglementaires ne sont présentées ici qu à titre indicatif 7

8 24/10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /10/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/ /11/2012 Indice de la qulaité de l'air Membre de la Fédération ATMO III. Discutions des résultats 1) Bilan de la qualité de l air IQA Qualité de l'air considérée comme moyenne Qualité de l'air considérée comme mauvaise Figure 3 : indice de la qualité de l'air Indice da la qualité de l'air 13% 3% 3% 14% 67% Très bon Bon Moyen Médiocre Mauvais Figure 4 : proportion des indices de la qualité de l'air La qualité de l air a été très bonne et bonne durant 70% de la campagne de mesure. Le seuil d information et de recommandation a été dépassé 1 fois en raison de concentration en particules élevée. 8

9 01:00 02:00 03:00 04:00 05:00 06:00 07:00 08:00 09:00 10:00 11:00 12:00 13:00 14:00 15:00 16:00 17:00 18:00 19:00 20:00 21:00 22:00 23:00 24:00:00 Concentration en µg/m3 Membre de la Fédération ATMO 2) Origine principale de la pollution de l air a. Etude de la variation journalière des polluants dans l air NO NO2 O3 PM10 Figure 5 : variation journalière des concentrations en polluants Le profil journalier 3 des polluants mesurés illustre l influence de l activité anthropique 4 sur la qualité de l air à Kourou. Le matin : Entre 6h et 9h du matin, une augmentation des concentrations en PM10 et, de façon plus nuancée, des oxydes d azotes, est relevée. C est la conséquence de l activité humaine du début de journée, avec notamment une circulation automobile importante. De plus, il a été observé de nombreux pics en aérosols, dépassant les 80 µg/m 3. De telles concentrations ne peuvent pas s expliquer par la seule circulation automobile, ce qui démontre qu il y a d autres sources importantes de pollutions (activité industrielle, feux sauvages ) Certains polluants dits précurseurs, tels que les oxydes d azote et les COV se transforment sous l action du rayonnement solaire entrainant la synthèse de molécules d ozone. Ces polluants étant principalement émis par l activité automobile, qui est à son maximum entre 7h et 9 h du matin, nous observons un accroissement de la concentration en O 3 un peu après le début de cette période. 3 Toutes les valeurs ont été moyennées pour avoir le profil journalier de la qualité de l air 4 Correspond à l activité humaine 9

10 Concentration en µg/m3 Membre de la Fédération ATMO L après-midi : Durant l après-midi, les concentrations en oxydes d azotes augmentent une nouvelle fois de 14h à 18h en raison de la densification de la circulation automobile en cette phase de la journée, relative aux déplacements «site de travail, site d habitation». Le soir : Comme lors de la matinée, un pic important en particule est observé entre 20h et 22h. Seulement, lors de cette période, l activité anthropique dans la zone est relativement faible. Les concentrations relevées peuvent être dues à des feux sauvages, ou à une activité autre anthropique émettant des polluants lors de cet intervalle du jour. b. Etude des concentrations en particules De nombreux pics de concentrations en particules ont été relevés les matins entre 6h et 9h ainsi que les soirs de 20h à 22h 5. Les graphiques ci-dessous présentent les résultats obtenus lors des périodes où cette tendance a été importante PM10 Figure 6 : concentration en PM10 du 24 au 28 octobre 5 Ceci n est qu une interprétation globale des résultats. Il y a aussi eu des pics de concentrations en dehors de ces tranches horaires. 10

11 Concentration en µg/m3 Concentration en µg/m3 Membre de la Fédération ATMO PM10 Figure 7 : concentration en PM10 du 4 au 7 novembre PM10 Figure 8 : concentration en PM10 du 13 au 18 novembre 11

12 Concentration en µg/m3 Membre de la Fédération ATMO PM10 Figure 9 : concentration en PM10 du 20 au 22 novembre Les plus forts taux en particules ont été observés lors de la journée du 20 novembre, avec une concentration moyenne journalière de 74µg/m 3, correspondant à une qualité de l air mauvaise 6. Les augmentations brusques de particules dans la zone d étude pourraient être dues à l activité industrielle présente à proximité du périmètre d étude, même si une grande partie des émissions de polluants sont observées après 20h. En outre, les nombreux feux sauvages 7 ayant eu lieu lors de la saison sèche peuvent être à l origine de ces brusques augmentations de concentration en aérosols. Le graphique ci-dessous montre les concentrations moyennes glissantes en PM10 sur 24h. Les données présentées sous cette forme peuvent être comparées aux valeurs réglementaires qui sont basées sur une échelle de 24 heures. Le seuil d information et de recommandation est dépassé lors de la fin de la campagne de mesure, ce qui signifie que lors de cette période les personnes sensibles 8 ont pu ressentir des gênes en raison de la pollution de l air. 6 Indice 9 7 Feux de broussailles, de décharges 8 Voir annexe III 12

13 Concentration en µg/m3 Membre de la Fédération ATMO PM10 (moyenne journalière glissante) Seuil d'alerte Seuil d'information et de recommendation Figure 10 : Evolution de la moyenne glissante en PM10 sur 24h Conclusion Lors de la campagne de mesure qui s est déroulée dans la zone de Pariacabo, à Kourou, la qualité de l air a été bonne et très bonne pendant 70% du temps de surveillance. Cependant, le seuil d information et de recommandation a été dépassé 1 fois en raison de fortes concentrations en particules. De nombreux pics de concentrations en aérosols se sont répétés les matins entre 6h et 9h, ainsi que les soirs de 20h à 22h. Cela pourrait s expliquer par des émissions de polluants dues aux nombreux feux de broussailles et de décharges provoqués lors de la saison sèche, ou encore en raison de l activité industrielle de sociétés situées dans la zone de Pariacabo. 13

14 Liste des figures Figure 1 : emplacement géographique du laboratoire mobile à Kourou 5 Figure 2 : valeurs de température et d'humidité relative 6 Figure 3 : indice de la qualité de l'air 8 Figure 4 : proportion des indices de la qualité de l'air 8 Figure 5 : variation journalière des concentrations en polluants 9 Figure 6 : concentration en PM10 du 24 au 28 octobre 10 Figure 7 : concentration en PM10 du 4 au 7 novembre 11 Figure 8 : concentration en PM10 du 13 au 18 novembre 11 Figure 9 : concentration en PM10 du 20 au 22 novembre 12 Figure 10 : Evolution de la moyenne glissante en PM10 sur 24h 13 Liste des sigles et acronymes utilisés COV : Composé Organique volatil IQA : Indice de la NO : monoxide d azote NO 2 : dioxide d azote NOx : oxydes d azotes, correspondant principalement au NO et NO 2 O 3 : ozone ORA : Observatoire Régional de l Air PM10 : particule de moins de 10 µm de diamètre SO 2 : dioxyde de soufre Dans le rapport, PM10, aérosol, particule et poussière sont synonymes 14

15 Annexes Annexe I : fiches d informations sur les polluants surveillés par l ORA de Guyane Les effets DIOXYDE d AZOTE (NO 2 ) Sur la santé Le NO 2 est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Sur l environnement Les NO X participent aux phénomènes des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont ils sont l un des précurseurs, et à l'atteinte de la couche d ozone stratosphérique comme à l effet de serre. Objectif de qualité 40 µg/m³ en moyenne annuelle civile Valeurs limites pour la protection de la santé humaine Niveau critique annuel d'oxydes d'azote pour la protection de la végétation Seuil de recommandation et d information Seuils d alerte Les effets Valeur limite pour la protection de la santé humaine 200 µg/m³ en moyenne horaire à ne pas dépasser plus de 18 fois par année civile 40 µg/m³ en moyenne annuelle civile 30 µg/m³ en moyenne annuelle civile 200 µg/m³ en moyenne horaire en moyenne horaire dépassé pendant 3 heures 400 µg/m³ consécutives ou si 200 µg/m 3 en moyenne horaire à J-1 et à J, et prévision de 200 µg/m 3 à J+1 MONOXYDE de CARBONE (CO) Sur la santé Le CO se fixe à la place de l oxygène sur l hémoglobine du sang, conduisant à un manque d oxygénation de l organisme (cœur, cerveau ). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s aggravent avec l augmentation de la concentration de CO (nausée, vomissements...) et peuvent, en cas d exposition prolongée, aller jusqu au coma et à la mort. Sur l environnement Le CO participe aux mécanismes de formation de l ozone troposphérique. Dans l atmosphère, il se transforme en dioxyde de carbone CO 2 et contribue à l effet de serre. 10 mg/m³ soit µg/m³ DIOXYDE de SOUFRE (SO 2 ) Objectif de qualité 50 µg/m³ en moyenne annuelle civile Valeurs limites pour la protection de la santé humaine 350 µg/m³ 125 µg/m³ 15 pour le maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures en moyenne horaire à ne pas dépasser plus de 24 fois par année civile en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de 3 fois par année civile

16 Niveau critique pour la protection de la végétation 20 µg/m³ Seuil de recommandation et d information 300 µg/m³ en moyenne horaire Seuil d'alerte 500 µg/m³ en moyenne horaire pendant 3 heures consécutives Les effets en moyenne annuelle civile et en moyenne sur la période du 1er octobre au 31 mars PARTICULES (PM 10 ) Sur la santé Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Sur l environnement Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l'environnement les plus évidentes. Objectif de qualité 30 µg/m³ en moyenne annuelle civile Valeurs limites pour la protection de la santé humaine Seuil de recommandation et d information Seuil d'alerte Les effets Objectif de qualité pour la protection de la santé Objectif de qualité pour la protection de la végétation Valeur cible pour la protection de la santé humaine 50 µg/m³ en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de 35 fois par an 40 µg/m³ en moyenne annuelle civile en moyenne journalière selon modalités de 50 µg/m³ déclenchement par arrêté du ministre chargé de l'environnement en moyenne journalière selon modalités de 80 µg/m³ déclenchement par arrêté du ministre chargé de l'environnement OZONE (O 3 ) Sur la santé L O 3 est un gaz agressif qui pénètre facilement jusqu aux voies respiratoires les plus fines. Il provoque toux, altération pulmonaire ainsi que des irritations oculaires. Ses effets sont très variables selon les individus. Sur l environnement L O 3 a un effet néfaste sur la végétation (sur le rendement des cultures par exemple) et sur certains matériaux (caoutchouc...). Il contribue également à l'effet de serre. 120 µg/m 3 pour le maximum journalier de la moyenne sur 8 heures pendant une année civile µg/m³.h 120 µg/m³ Valeur cible pour la protection de la végétation µg/m³.h Seuil de recommandation et d information 180 µg/m³ en moyenne horaire Seuil d'alerte 240 µg/m³ en moyenne horaire Seuils d'alerte pour la mise en 1er seuil : 240 µg/m³ en AOT40, calculée à partir des valeurs sur 1 heure de mai à juillet maximum journalier de la moyenne sur 8 heures à ne pas dépasser plus de 25 jours par année civile (en moyenne sur 3 ans) en AOT40, calculée à partir des valeurs sur 1 heure de mai à juillet (en moyenne sur 5 ans) moyenne horaire pendant 3 heures consécutives 16

17 œuvre progressive de mesures d urgence 2 e seuil : 300 µg/m³ 3 e seuil : 360 µg/m³ moyenne horaire pendant 3 heures consécutives en moyenne horaire Annexe II : définition des seuils réglementaires Objectif de qualité : un niveau à atteindre à long terme et à maintenir, sauf lorsque cela n est pas réalisable par des mesures proportionnées, afin d assurer une protection efficace de la santé humaine et de l environnement dans son ensemble ; Valeur cible : un niveau à atteindre, dans la mesure du possible, dans un délai donné, et fixé afin d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou l environnement dans son ensemble ; Valeur limite : un niveau à atteindre dans un délai donné et à ne pas dépasser, et fixé sur la base des connaissances scientifiques afin d éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou sur l environnement dans son ensemble ; Seuil d'information et de recommandation : un niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé humaine de groupes particulièrement sensibles au sein de la population et qui rend nécessaires l émission d informations immédiates et adéquates à destination de ces groupes et des recommandations pour réduire certaines émissions ; Seuil d'alerte : un niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé de l ensemble de la population ou de dégradation de l environnement, justifiant l intervention de mesures d urgence. 17

18 Annexe III : définition des personnes sensibles Les personnes considérées comme sensibles sont (Source : : Les enfants : à moins de 8 ans, leur appareil respiratoire est encore en développement, ils sont plus fragiles. Les personnes âgées : en diminuant avec l âge, leurs capacités et leurs défenses respiratoires les rendent plus sensibles aux effets de la pollution de l air. Les asthmatiques, les allergiques : les polluants de l air ont des effets très irritants sur leurs muqueuses. Les insuffisants respiratoires, les malades du cœur : leur état de santé les rend particulièrement vulnérables aux effets de la pollution, dont ils doivent impérativement se protéger. Les fumeurs : la pollution renforce l irritation déjà produite par le tabac. Les sportifs : une intense activité physique, qui peut engendrer une consommation d air jusqu à quinze fois plus importante qu au repos, expose plus fortement à l effet des polluants. 18

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