INTRODUCTION...3 CHAPITRE I : L ENTREPRISE ET SON ORGANISATION...4. I. L entreprise et son environnement...4. II. L entreprise et sa structure...

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1 INTRODUCTION...3 CHAPITRE I : L ENTREPRISE ET SON ORGANISATION...4 I. L entreprise et son environnement...4 II. L entreprise et sa structure L organisation de l entreprise La structure de production...7 CHAPITRE II : L ENTREPRISE ET SES CHARGES...8 I. Les charges communes à toutes les organisations Les charges d implantation Les charges de fonctionnements...8 II. Charges spécifiques à chaque organisation...9 III. Les charges spécifiques à la comptabilité analytique d exploitation (CAE)...9 Chapitre III : LE RETRAITEMENT DES CHARGES...10 I. Les charges directes...10 II. Les retraitements des charges indirectes...10 Chapitre IV : LE CALCUL DES COUTS ET DES RESULTATS...12 I. L articulation des calculs de coûts et de résultats...12 II. Le contenu de chaque élément de coût Le coût d achat Le coût de production et coût de revient Le résultat analytique...20 Chapitre V : LE RAPPROCHEMENT DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE AVEC LA COMPTABILITE GENERALE OU CONCORDANCE...21 I. Principe...21 II. Les causes de divergence ou de non concordance des résultats...21 Chapitre V : La comptabilisation des opérations analytique...25 I. La nomenclature des comptes...25 II. L intégration...25 I/I

2 III. L autonomie...26 I/I

3 INTRODUCTION La comptabilité analytique est une technique de retraitement de l information fournie par la comptabilité générale en vue d obtenir des résultats pertinents d ordre économique. Elle va se distinguer techniquement par le fait qu'au lieu de recenser des charges classées "par nature", c'est à dire selon la nomenclature des partenaires extérieurs à la firme, elle va le faire "par destination" : il ne s'agit plus de savoir si telle charge correspond à une facture payée à tel tiers, mais de déterminer quelle part de cette charge peut être attribuée à tel produit ou à telle activité, à tel sous ensemble de l'entreprise : usine, atelier, machine, poste de travail, à tel responsable. La comptabilité analytique permet ainsi de calculer divers types de coûts, dont les usages sont multiples : justifier des prix de vente servir à prendre des décisions (accepter ou refuser une commande, sous traiter, supprimer une activité, un produit, etc.), contrôler a posteriori par analyse des écarts entre réalisations et prévisions, évaluer certains biens fabriqués par l'entreprise pour être utilisés par elle ou être mis en stock (il y a là un lien très fort avec la comptabilité générale). 3

4 a. L entreprise et son environnement b. L entreprise et sa structure CHAPITRE I : L ENTREPRISE ET SON ORGANISATION L entreprise exerce son activité dans un espace économique ou elle rencontre des opérateurs économiques qui lui sont nécessaires. Dans cet espace l entreprise crée et reparti la richesse, chaque opérateur économique participe à la création et la répartition de la richesse. - Les clients par l achat des produits de l entreprise participent à la création des richesses. Par le prix de vente des produits l entreprise reçoit une partie de la richesse. - Les fournisseurs offrent les biens et services nécessaires à la production et reçoivent une rétribution. - L état offre des services fondamentaux (sécurité, communication, cadre juridique etc.). Pour ce service l Etat reçoit des impôts. - Les financiers fournissent à l entreprise des moyens de paiements et reçoivent en échange des intérêts et des dividendes, ils participent ainsi à la création et à la répartition des richesses - Les travailleurs sont ceux la même qui créent les produits, ils reçoivent un salaire qui est une partie des richesses créées. Dans cet espace économique chaque opérateur cherche à augmenter sa part de richesses. L Etat cherche à augmenter les impôts ; Les clients cherchent à obtenir une réduction des prix de vente ; Les travailleurs veulent des augmentations de salaire ; Des financiers veulent augmenter le taux de l argent ; Les fournisseurs augmentent les prix des matières. Bien entendu toute décision contraire de chaque opérateur économique favorise l entreprise. La comptabilité analytique se concentre sur le fonctionnement interne de l entreprise, c est pourquoi il est important de connaître l organisation de l entreprise. 4

5 i. L organisation de l entreprise L organisation de l entreprise se matérialise par un organigramme. L organigramme d une entreprise est un schéma qui traduit la position de chaque personne et les relations qui le lient aux autres personnes qui travaillent dans l entreprise. Sur un organigramme les relations représentées sont les relations hiérarchiques. L organigramme est utile à la comptabilité analytique. C est lui qui permet de créer le tableau d analyse. Cet organigramme qui est un tableau comporte 6 (six) divisions départementales : Direction commerciale ; Direction technique ; Direction Financière ; Direction de Comptabilité ; Direction du personnel ; La 6 ème direction est composée du Directeur Général qui coiffe toutes les activités de l entreprise. L ensemble des charges générées par l entreprise est consommé par toute cette structure. Il n y a pas une seule charge qui soit consommée et qui ne proviennent pas de cette structure. Exemple : La réfection de la peinture, des ateliers de l usine est une charge de l entreprise mais qui est destinée à la direction de production. L achat d un carnet, d imprimer de lettre de change est une charge de la direction financière. Les charges de carburant des inspecteurs de commerce constituent des charges de la direction commerciale. La facture du médecin qui vient soigner le personnel est une charge de la direction du personnel. La facture du commissaire aux comptes et de l expert comptable qui viennent travailler pour l ensemble de l entreprise est une charge de la direction générale. Il n ya donc pas une charge pour laquelle l entreprise à payé l argent qui n a pas une origine et une destination. Le tableau d analyse est destiné à repartir les charges par nature dans les différentes fonctions de l entreprise. La création du tableau d analyse est fondée sur la nature des informations traitées par les personnes qui font partir de l organisation. Ces personnes et ces machines sont 5

6 regroupées dans les sections. La section est un compartiment comptable qui regroupe les personnes et les matériels qui traitent les mêmes informations. Ce regroupement permet de mesurer l activité de la section avec une unité de mesure commune. Les informations traitées dans la section sont dites homogènes (elles ont même nature). C est ce caractère qui a donné à la section l adjectif homogène, c est le même qui à fait qu on parle de la méthode de section homogène. En se fondant sur le critère d homogénéité on peut créer dans l entreprise qui nous concerne 6 sections : Section Direction Générale ; Section Direction Commerciale ; Section Direction Technique ; Section Direction Financière ; Section Direction de comptabilité ; Section Direction du personnel. Les sections principales Une section est dite principale lorsqu elle participe à la fabrication et à la commercialisation du produit. Dans notre entreprise il y a 2 sections principales : section commerciale et section direction technique. La section commerciale a 2 activités principales : - L activité d approvisionnement en matières nécessaires à la fabrication du produit - L activité de distribution des produits aux clients. La section direction technique a une seule activité principale : la fabrication du produit. Les sections auxiliaires Les sections auxiliaires constituent les activités logistiques de l entreprise. Elles mettent à la disposition des sections principales les éléments pour fabriquer et distribuer les produits : Direction financière : elle met à la disposition de l entreprise les moyens de paiements encaissés, c est elle qui paye toute les factures et encaissent toutes les factures. C est elle qui suit les fonds déposés à la banque par l entreprise. C est encore elle qui exécute le plan décidé par le Directeur général en matière d utilisation des fonds de l entreprise. 6

7 Section direction comptabilité : elle permet à la direction commerciale de savoir connaître les clients qui ont payé et qui n ont pas encore payé de même pour les fournisseurs. Toutes ces informations capitales sont mises à la disposition de l entreprise. Section direction du personnel : elle gère les personnes qui travaillent dans l entreprise. Lorsqu une direction manque de personnel, c est à elle qu elle s adresse et elle à son tour recrute les personnes nécessaires et les met à la disposition du demandeur. C est en cela que les sections auxiliaires accompagnent les sections principales. Les sections auxiliaires apportent la logistique aux sections principales. La section direction générale est particulière. Elle participe de loin à la fabrication et à la commercialisation des produits de l entreprise, mais elle est vitale pour l existence même de l entreprise s il n y a pas de direction générale, c est l anarchie. C est la direction générale qui fait la cohésion de l entreprise. C est parce qu il y a un Directeur général que l entreprise est une organisation. C est pourquoi les charges générées par le directeur général interviennent à la fin du calcul des coûts. Nous voyons donc qu une section est une organisation qui naît, grandit et qui meurt au gré de l activité économique de l entreprise. Si l entreprise est fleurissante et qu elle se diversifie les sections augmentent ; si l activité de l entreprise diminue et que l entreprise ferme certains ateliers, certaines usines alors le nombre de sections se réduit. L entreprise en cherchant le caractère homogène, peut multiplier les sections à l infini mais le seul censeur est la capacité de traitement dont elle dispose ; si elle a des ordinateurs puissants alors elle peut avoir un nombre important de sections. ii. La structure de production L organisation de la production se matérialise par le schéma technique ou ordinogramme. Les symboles dans cet organigramme ont des significations suivantes : - traduit un centre de traitement ou un centre de coûts, il peut représenter un coût d achat, un coût de production ou un coût de revient. - traduit le stockage par le responsable de la comptabilité analytique il faut faire un compte d inventaire permanent. 7

8 I. Les charges communes à toutes les organisations CHAPITRE II : L ENTREPRISE ET SES CHARGES 1. Les charges d implantation Ce sont des charges qui sont engagées pour implanter l entreprise. En comptabilité générale, ces dépenses sont enregistrées en immobilisation. En comptabilité analytique ces charges interviennent dans le coût de revient par le biais des amortissements : Construction ; Matériel d équipements des ateliers de production ; Matériel d équipements de bureau ; Matériel de transport ; Installation, agencement et aménagements ; Terrain ; etc. ii. Les charges de fonctionnements Ce sont des charges que la société engagent pour faire fonctionner ses activités. Ce sont : Transport sur achat ; Transport sur vente ; Services extérieurs ; Autres services extérieurs ; Impôts et taxes ; Autres charges de gestion courante ; Frais de personnel ; Frais financier ; Dotation aux amortissements ; 8

9 b. c. Charges Les charges spécifiques à la chaque comptabilité analytique organisation d exploitation (CAE) Dotation aux provisions. La comptabilité générale a prévu des comptes pour enregistrer ces charges. En comptabilité analytique ces charges doivent être retraitées avant d être saisies. La comptabilité générale utilise le terme générique de «achat» pour enregistrer ses charges. La comptabilité analytique les appelle : - Matière première ; - Matière consommable. Ces éléments servent à fabriquer les produits et permettent d identifier chaque entreprise. La CAE retient l ensemble des charges dont nous avons parlé et à ces charges elle ajoute les charges supplétives et retranche les charges non incorporables. Charge de comptabilité générale Charges non incorporables Charges incorporables Charges de la comptabilité analytique Charges supplétives Charge par nature + Charges incorporables = Charges supplétives Charges non incorporables 9

10 I. Les charges directes b. Les retraitements des charges indirectes Chapitre III : LE RETRAITEMENT DES CHARGES Notions sur les charges Les charges non incorporables : ce sont des charges qui sont enregistrées par la comptabilité générale mais qui ne sont pas prises en compte pas la CAE. Il s agit des charges qui ont un caractère exceptionnel. Exemple : Dotations aux amortissements et provisions HAO, TVA récupérables. Les charges incorporables : sont des charges qui sont prises en compte par la CAE et la comptabilité générale. Exemple : Dotations aux amortissements, frais de personnel. Les charges supplétives : Ce sont des charges qui ne sont pas prises en compte par la comptabilité générale mais prises en compte par la CAE. Exemple : la rémunération théorique des exploitants et la rémunération des capitaux propres. Il faut distinguer les charges directes des charges indirectes parce que le traitement de toutes les charges dépend de leur nature. Lorsqu il s agit d une charge directe, le document de base permet de l imputer directement au coût de la commande du produit ou au coût du stade de production. Par contre la charge indirecte doit passer par plusieurs centres de traitement avant d être imputer au coût des différents éléments. Exemple : la facture des frais d entretien des machines qui sont dans les ateliers servira de base pour imputer les frais de réparation de la machine au coût de production. Le concept de direct est relatif, la charge est toujours directe par rapport à quelque chose une charge n est jamais directe dans l absolu. Exemple : le manœuvre qui est chargé de charger les véhicules de transport des marchandises et produits ont un salaire qui est directe par rapport au coût d achat et directe par rapport au coût de revient. En comptabilité analytique les charges directes sont regroupées dans les matières premières et dans les consommables. Ce traitement se fait à travers le tableau d analyse. C est un tableau qui regroupe les activités homogènes dans chaque section. C est pour avoir une unité de mesure commune. Avec le critère d homogénéité on peut multiplier la section à l infini. C est dans ce tableau d analyse que l on traite les charges indirectes. 10

11 C est le coût d unité d œuvre qui nous permettra d imputer les charges indirectes au coût d achat, coût de production et de revient. Présentation du Tableau de répartition des charges indirectes Charges Centres auxiliaires Centres principaux Entretien Administration Approvisionnement Production Distribution Répartition P. Charges 1 Charges 2 Totaux primaires Répartition S.. Entretien.Administration Totaux X 1 X2 X3 X4 X5 secondaires 0 0 Y3 Y4 Y5 Nature d unité d œuvre Quantité de matière achetée H.MOD CA Nombre d unité d œuvre Coût d unité d œuvre Frais résiduels (1) CUO= Total secondaire/ nombre d unité d œuvre CAS DE REPARTITION SECONDAIRE Hypothèse 1 : transfert en escalier : Ce principe consiste en un transfert de charges d un centre auxiliaire à un autre sans retour. Charges indirectes Centre entretien Centre administration Centre approvisionnement Centre Production Centre distribution entretien administration Charges indirectes Centre entretien Centre administration Centre Approvisionnement Centre production Centre distribution entretien administration Hypothèse 2 : prestation réciproque : ce principe consiste en un transfert des prestations d un centre auxiliaire à un autre et vice versa. 11

12 I. L articulation b. Le contenu des de calculs chaque élément de coûts et de résultats. de coût. Chapitre IV : LE CALCUL DES COUTS ET DES RESULTATS. 1 Coût d achat MP et MC 2 Etablissement de compte d IP de MP et MC 3 Coût de production des produits finis ou semi finis 4 Etablissement de compte d IP de produits finis ou semi finis 5 Coût de revient des produits finis 6 Calcul de résultat analytique sur les ventes de produits finis 7 Concordance 1. Le coût d achat Il se compose des : - Achat de matières premières et matières consommables au fournisseur (Prix d achat hors taxes). - Frais sur achat dépensés directement et qui ont été comptabilisés en «frais sur achat». - Frais d approvisionnement qui sont des charges indirectes et qui proviennent de la section approvisionnement. Le tableau du coût d achat se présente de la façon suivante : 12

13 Libellé Matière M 1 Matière M 2 Qté Pu Montant Qté Pu Montant Achat Charges dir/achat Centre App Coût d achat + SI Stock dis Sorties SF théorique Le compte d inventaire permanent Son objectif est d évaluer les sorties de matières premières et consommables. Egalement en fin d exercice d évaluer le stock final. Les méthodes d évaluation. La difficulté au niveau des comptes d inventaire permanent réside dans l évaluation des sorties et dans l évaluation des stocks en fin d exercice. Il existe deux catégories de méthodes généralement utilisées : - La méthode d épuisement des stocks ; - La méthode du coût moyen. La méthode d épuisement des stocks Nous avons deux méthodes : - First In First Out - Last In First Out. Il faut faire attention à l incidence de chaque méthode sur le résultat selon que l on est dans une période de déflation ou d inflation. En période d inflation la méthode FIFO minore les coûts et augmente le résultat en d exercice à travers le stock de fin d année ; la méthode LIFO le contraire En période de déflation la méthode LIFO augmente les coûts pendant l exercice et minore les résultats de fin d année ; la méthode FIFO fait le contraire. A côté de ces deux méthodes sur lesquelles les instances de la comptabilité portent leur choix certains auteurs préconisent la méthode NIFO (Next In First Out). La méthode du coût Moyen Nous avons : - Coût moyen calculé sans pondération par les quantités. - Coût moyen avec pondération par les quantités : * Avec cumul du stock Initial * sans cumul du stock initial 13

14 - Coût moyen après chaque entrée. Il y a une très grande différence entre un coût moyen pondéré et non pondéré par les quantités. L une des méthodes met les époques au même niveau, l autre méthode prend en compte le critère de quantité. Lorsque vous prenez en compte le stock initial vous transportez les influences de la période précédente. C est pourquoi certains auteurs proposent le coût moyen sans cumul du stock initial. Le coût moyen ne différencie pas la valeur du coût en cours d exercice et le résultat en fin d exercice contrairement à la méthode d épuisement des stocks. valeursi valeurdesentrées CMP qtédesi qtédesentrées -Tenue de la fiche de stock : Méthode du CMP de fin de période Date Libellé Entrées Sorties Stock Qté Pu Mt Qté Pu Mt Qté Pu Mt 01/02 SI /02 Sortie /02 Entrée /02 Entrée /02 Sortie /02 Entrée /02 SF valeursi valeurdel' entrée CMP m = qtédusi qtédel' entrée - Tenue de la fiche de stock : Méthode du CMP mobile Date Libellé Entrées Sorties Stock Qté Pu Mt Qté Pu Mt Qté Pu Mt 01/02 SI /02 Sortie /02 Entrée /02 Entrée /02 Sortie

15 900 27/02 Entrée /02 SF ii. Le coût de production et coût de revient Le Coût de production Il se compose : - Du coût d achat des matières premières et consommables utilisées - De la main d œuvre directe (charge directe de production) - Des charges indirectes de production - De l encours initial de production - De l encours final de production. Présentation du tableau de coût de production. Libellé Produit P 1 Produit P 2 Qté Pu Montant Qté Pu Montant Mat 1 ère Consommée MOD Centre de X Coût de X SI Disponibilité Sortie SF Th SF réel Différence D inventaire - Les emballages Les problèmes particuliers 15

16 Certains produits ont besoin d un emballage à la sortie des ateliers, c est le cas des aliments, des produits d hygiène. Dans ce cas le coût de l emballage sera inclus dans le coût de production. D autre produits ne seront emballés que lorsqu ils vont être vendus alors les frais d emballage font partis du coût de revient. Exemple : les savons. Dans tous les cas les emballages font l objet d une tenue de stock avec compte d inventaire permanent. - Les produits dérivés - Les produits résiduels Les produits résiduels inutilisables Leur évacuation peut entrainer des frais (transport, manutention ) ; ces charges sont incorporées au coût de production des produits finis. Les produits résiduels utilisables Dans ce cas les déchets et rebuts peuvent être vendus ou réutilisés dans l entreprise. Lorsque les déchets sont vendus : - Solution 1 : Le prix de vente est soustraire du coût de production ; dans cette solution le prix de vente des déchets résultant d une fabrication est déduit pour réduire d autant le coût de production du produit fini correspondant. - Le calcul se fait par la soustraction dans le tableau de coût de production (comme l encours final) en utilisant le compte «produits réfléchis». - Solution 2 : le prix de vente du produit résiduel est considéré comme bénéfice dans ce cas les ventes de déchets et rebuts sont : o soit ajouté au résultat global analytique. C est produit sont alors considérés comme les éléments à coût de production nul. o soit ajouté au résultat provenant de la vente des produits fini. Lorsque les déchets sont réutilisés par l entreprise : Ils sont valorisés soit au prix du marché s il existe un marché pour ces déchets et rebuts; soit à un prix forfaitaire. Leurs valeurs ainsi déterminé sont : - Soustraire du coût de production du produit fini dont ils proviennent (présentation comme encours initial) - Ajouter au coût de production du produit fini dans la fabrication duquel sont utilisées ses déchets et rebuts (présentation comme encours initial). On utilise les comptes stocks de déchets et stocks de rebuts. - Les sous produits On entend par sous produits un produit secondaire obtenu au cours de la fabrication du produit objet essentiel de l exploitation. Exemple : l amidon obtenu dans la fabrication de la farine de manioc. Le sous produit se distingue des déchets par son importance par le fait qu une exploitation pourra avoir comme objectif et parfois par la nécessité de sa transformation. 16

17 Sur le plan comptable les sous produits peuvent être traités : - Comme des déchets en appliquant l une des solutions envisagées ci dessous c est très rare. - Comme des produits fini avec calcul de coût de production c est notamment le cas lorsqu il faut une transformation complémentaire avant la vente. Evaluation des sous produits Les différentes charges afférentes aux sous produits sont souvent difficilement séparables de l ensemble des charges de productions. Aussi est il nécessaire de recourir des méthodes de calculs plus ou moins arbitraire. Evaluation forfaitaire à partir du prix de vente Pour calculer un coût de production forfaitaire du sous produit, on peut procéder de la manière suivante : - Du prix démarché du sous produit on déduire un pourcentage estimé du bénéfice et des charges de distribution. - Du résultat obtenu on déduit le coût de traitement complémentaire (matière, main d œuvre directe, charge indirecte), on obtient ainsi le coût initial à déduire du coût de fabrication du produit principal Evaluation par partage de l ensemble des charges de production Produit et sous produit sont obtenus simultanément au cours d une fabrication. C est le même problème pour les produit d égal importance (on parle parfois de «coproduit») pour l entreprise. Exemple : production d hydrogène et d oxygène par l électrolyse de l eau. Toute variation dans la production d un produit entraine une variation dans la production de l autre le partage du coût de production peut se faire suivant diverses méthodes : - Coût moyen - Rendement - Prix du marché - La méthode du coût moyen Si les produits sont de valeur sensiblement égal et s il s exprime avec la même unité de mesure physique, on peut se contenter de divisé le coût global de fabrication par le total des unités produit, on obtient ainsi un coût moyen appliqué ensuite à toute les unités produites. - La méthode de rendement Lorsque les produits sont mesurés avec les unités différentes on peut essayer de ramener les différentes productions à une unité commune. 17

18 L unité la plus pratique est le rendement en produits obtenus par unités de matière. - La méthode du prix du marché Lorsque les produits sont de valeur différentes, on admet que le coût du produit le plus chère doit être le plus élevé, on repartira alors le coût total de production entre les produits proportionnellement à la valeur de chaque productions calculé sur le prix de vente. - Les encours de productions L évaluation des encours peut se fait selon deux méthodes : - Méthode forfaitaire - Méthode selon le degré d avancement - La méthode forfaitaire On donne une valeur forfaitaire aux encours, on calcul le coût de production des produits finis vendus de la façon suivante : charge de la période + encours initial encours final. - La méthode degré d avancement Cette méthode est réservé à des processus de fabrication continu pour lesquels les ingénieurs technique peuvent déterminés les «in puts» qui rentrent dans les ateliers. Les ingénieurs peuvent déterminés la proportion d in put nécessaire pour fini le produit. Charges de la période N Charges de la période N 1 Charges de N+1 Encours final N 1 encours initial de N Production finie de N (PCT) Encours final de N Coût de production des produits terminés En N en N+1 Coût de production des produits terminés Le décalage entre le coût de production de la période et le coût de production des produits terminés sur la période oblige à établir la règle suivante : Charges directes (matières et MOD) 18

19 Charges indirectes (centre d analyse) Coût de production de la période N (charges de N) + Encours initial (charges en N 1 terminée en N) Encours final (charges entamée en N mais à terminer en N+1) Coût de production des produits terminés en N Production + Encours - Encours = Produits De la période initial final finis Le compte d IP des produits finis Les méthodes de présentation et d évaluation sont les même que dans le cas des matières première et matière consommable. Le coût de revient Le tableau de coût de revient ne pose pas de problème particulier le coût de revient se compose de : Du coût de production des produits finis vendus (IP) ; Des frais direct de distribution ; Les frais individuel de commercialisation (section distribution). Libellé Produit P 1 Produit P 2 Quantité P.U Montant Quantité P.U Montant Coût de production de PFV Frais de commission Centre distribution CR Vente RA iii. Le résultat analytique 19

20 Résultat analytique = prix de vente ou chiffre coût de revient 20

21 I. Princ ipe b. Les causes de divergence ou de non concordance des résultats Chapitre V : LE RAPPROCHEMENT DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE AVEC LA COMPTABILITE GENERALE OU CONCORDANCE A la fin du traitement analytique, on obtient un résultat analytique qui est souvent différent du résultat de la comptabilité générale. Il est donc nécessaire de rapprocher les deux résultats pour connaître et expliquer les différences. On fait aussi la concordance qui consiste à faire à partir du résultat de la comptabilité analytique ou résultat de la comptabilité général pour retomber sur le résultat de la comptabilité générale ou le résultat de la comptabilité analytique. - Les coûts Les premières différences apparaissent lors de la sélection des charges à incorporés, lors du calcul des coûts, lors de traitements des charges individuels que l on doit imputer aux différents coûts. La sélection des charges Lors de la sélection des charges, certaines charges concernent directement la fabrication du produit on regroupe ces charges dans la catégorie des charges incorporable se sont ces charges qui vont servir à calculer les coûts, d autre charge ne concernant pas la fabrication du produit ou concerne de peu la fabrication du produit. Elles sont regroupées dans la catégorie des charges non incorporables. Il y a une troisième catégorie de charges qui sont par nature des charges incorporables mais dont le calcul est adapté aux conditions d utilisation de ces charges, elles sont recalculés pour être soit augmentés soit diminuées par rapport à leur valeurs initiale. Les charges supplétives La réglementation fiscale n accorde pas de salaire à l exploitant individuel. La rétribution de l exploitant individuel se retrouve dans le bénéfice. Il n a pas donc droit à un salaire. La comptabilité analytique qui dispose d un espace de liberté considère que l exploitant individuel participe à sa manière à la fabrication du produit, il doit donc bénéficier d un salaire fictif qui doit être incorporé au calcul des coûts. De même l exploitant aurait pu investir son capital dans un autre secteur immobilier par exemple qui pourrait lui rapporter des bénéfices, il a préféré investir ses capitaux propre dans l entreprise à ce titre la comptabilité analytique considère que ces capitaux propres contribuent à la fabrication des produits dont une rémunération calculées sur la base de leurs montant doit être incorporé au calcul des charges. Ce sont ces deux montantes rémunérations fictives de l exploitant, rémunération fictive des capitaux propres qui sont des charges supplétives qui 21

22 viennent augmenter les charges de la comptabilité analytique par rapport aux charges de la comptabilité générale. Le retraitement des charges : le tableau de répartition Il arrive dans le tableau de répartition que les calculs ne soit pas exact, soit pour que les clés de répartition ne sont pas des diviseurs des montants des charges à répartir ou parce que le nombre d unité d œuvre n est pas divisible pour le montant de la charge. - Les charges à répartir sont > aux charges réparties Nous avons réparti moins de charges que nous en avons, une partie des charges reste dans le tableau de répartition se sont des frais résiduels de section. Ces frais résiduels de section de par leur absence eux vont augmenter le bénéfice et diminuer la perte. - Les charges à répartir sont < aux charges réparties Dans ce cas nous avons réparti plus de charges que nous en avons. Ces frais résiduels de section qui viennent dans les charges de la comptabilité analytique par rapport aux charges de la comptabilité générale vont diminuer le bénéfice analytique et augmenter la perte analytique. A la fin du tableau de répartition nous devons calculer le coût de l unité de valeur. Ce coût de l unité d œuvre peut être par excès ou par défaut : S il est arrondi par excès nous aurons créé des charges fictives supplémentaires par rapport aux charges initiales. Ces charges supplémentaires diminuent le bénéfice analytique et augmentent les fautes analytiques par rapport au bénéfice de la comptabilité générale ; S il est arrondi par défaut une partie des charges de la comptabilité générale incorporé reste dans le tableau de répartition. Ce déficit de charge au niveau de la comptabilité analytique augmente le bénéfice analytique et baisse la perte analytique par rapport au résultat de la comptabilité générale. - Les stocks Les différences d inventaires proviennent : Du calcul du Coût Unitaire Moyen Pondéré qui peut être arrondi par augmentation ou diminution ; De l évaluation du stock final au coût réel de vente différent du coût CUMP ; D un contrôle physique des stocks en fin de période comptable qui entraine une différence avec le stock comptable. Ce qui compte c est la valeur du débit et du crédit nous savons que le débit enregistre le stock initiale et les entrées et le crédit enregistre les sorties plus stock 22

23 final. Nous savons également le stock final qui provoque la différence d inventaire enregistré est viré à l actif du bilan. Dans ce bilan le stock final entraine un bénéfice. Le SFT de la comptabilité analytique est celui qui équilibre le compte d inventaire permanent. Le SFR est le stock de la comptabilité général. Une différence d inventaire apparait lors que le stock d équilibre (SFT) n est pas égal au SFR. Lorsque le SFR>SFT on parle de malis dans le compte d IP de la comptabilité analytique : Le stock final théorique de la comptabilité analytique ou bilan de la comptabilité analytique au débit et créer un bénéfice ; Le SFR dans le compte d IP est un stock de la comptabilité général. Il va au bilan de la comptabilité générale au débit là où il crée un bénéfice ; En partant du bénéfice de la comptabilité analytique pour retrouver le bénéfice de la comptabilité générale il faut additionner la différence d inventaire (malis) au bénéfice de la comptabilité analytique. Lorsque SFR<SFT on parle de bonis dans le compte d inventaire permanent de la comptabilité analytique : Le stock final théorique de la comptabilité analytique va au bilan de la comptabilité au débit et crée un bénéfice ; Le SFR dans le compte de l IP est un stock de la comptabilité générale. Il va au bilan de la comptabilité générale au débit là ou il crée un bénéfice ; En partant du bénéfice de la comptabilité analytique pour retrouver le bénéfice de la comptabilité générale, il faut soustraire la différence d inventaire (bonis) au bénéfice de la comptabilité analytique. NB : le mali se place au débit du compte de l IP et le boni au crédit. - Les produits Les produits accessoires, produits financiers et certaines ristournes ne sont pas pris en compte dans le calcul des résultats analytiques. Les produits HAO ne sont pas pris en compte dans le calcul du résultat analytique. Lors de la concordance, tous ces produits doivent être ajoutés au bénéfice analytique et doivent être retranchés de la perte analytique pour retomber sur le résultat de la comptabilité générale. - Les pertes et profits et les charges HAO 23

24 Les charges HAO et les pertes exceptionnelles doivent être déduites du bénéfice de la comptabilité analytique pour retomber sur le résultat de la comptabilité générale. Les profits exceptionnels doivent s ajouter aux bénéfices de la comptabilité analytique pour retomber sur le bénéfice de la comptabilité générale. PRESENTATION DU TABLEAU DE TRAITEMENT COMPTABLE Débit Montant Crédit Montant. Charges non incorporables. Différence d inventaire (SFR< SFT). Différence de cession et d imputation entre coût incorporé (imputé) et coût à imputer (FR < 0). Différence d incorporation sur amortissement (Charge de substitution < 0) X X X X. Charges supplétives. Différence d inventaire (SFR > SFT). Différence de cession et d imputation entre coût incorporé (imputé) et coût à imputer (FR > 0). Différence d incorporation sur amortissement (Charge de substitution > 0) X X X X X Solde : report de différences de traitement comptable (solde créditeur) X.Différence d incorporation sur produits d exploitation (produits exceptionnels) Solde : report de différences de traitement comptable (solde débiteur) X Total X Total X Résultat de la comptabilité générale = RA +/- report des différences de traitement Comptable 24

25 I. La nomenclature des comptes b. L in tégr atio n c. L a uto no mie Chapitre V : La comptabilisation des opérations analytique 92 : compte réfléchis ; 93 : compte de reclassement (les sections) ; 94 : compte des coûts (coût d achat, de production, de reviens et de vente) ; 95 : compte des stocks (IP matière, IP production) ; 96 : compte d écart sur coût préétabli ; 97 : compte de différence de traitement comptable : c est dans ce compte que l on regroupe toute les différences d incorporation que l on a calculé pendant la concordance ; 98 : compte de résultat analytique. Il y a deux méthodes de comptabilisation des opérations de la comptabilité analytique : L augmentation totale de la comptabilité analytique à la comptabilité générale sans aucun compte de transition ; L autonomie de la comptabilité analytique par rapport à la comptabilité générale par le biais de l utilisation des comptes réfléchis. Elle consiste à solder les comptes de gestion de la comptabilité générale par virement au compte de coût de la comptabilité analytique dans ce cas, le résultat n est plus déterminé dans le compte de résultat de la comptabilité générale mais dans le compte de résultat analytique. L inconvénient de ce système est qu il supprime toute possibilité de vérification entre les résultats de la comptabilité générale et celui de la comptabilité analytique. 25

26 L autonomie absolue Elle consiste à déterminer les éléments constitutifs des coûts et coûts de revient de façon comptable indépendamment des comptes de la comptabilité générale. L autonomie relative Elle consiste à utiliser les comptes réfléchis. On les appelle comptes réfléchis parce qu ils inversent comme un miroir les valeurs inscrites dans les comptes de gestion de la comptabilité générale. Le compte impôt par exemple est un compte débiteur, le compte impôt réfléchi est un compte créditeur ; Le compte vente de marchandise est un compte créditeur, le compte vente réfléchi est un compte débiteur. 26

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