Le partage d informations dans l action sociale et le travail social CONSEIL SUPERIEUR TRAVAIL SOCIAL 7 E MANDATURE
|
|
- Jean-Pierre Joseph
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le partage d informations dans l action sociale et le travail social CONSEIL SUPERIEUR TRAVAIL SOCIAL 7 E MANDATURE
2 CONTEXTE et ENJEU de la COMMANDE Septembre 2010: Eric WOERTH Ministre Travail, Solidarité Fonction Publique Produire une analyse, formuler des propositions Multiplicité des politiques de prévention protection, multiplicité des acteurs Développement du partenariat institutionnel
3 Nécessité de travailler ensemble Territoire: Complémentarité missions des professionnels et les bénévoles Cultures différentes Secret professionnel par profession, par mission Discrétion professionnelle
4 Entre Droit à l intimité Intime exige son espace propre; espace d existence inviolable et inaliénable Intime, forme de socialisation entre espace public espace privé Confidence: construire nouvel espace d intimité propre aux deux protagonistes
5 Et Impératif social de transparence Clarté de la relation, visibilité pratique sociale Nouvelle logique de la société: numérique Idéologie de la transparence, surveillance quasi permanente du citoyen Exigence démocratique Surexposition de soi? Norme? Exigence risquée?
6 Enjeu du partage Partager pour un bien commun dans un intérêt général Position à conquérir, à exploiter travail social: quel positionnement entre position éthique et obligation de «tout dire, tout dévoiler»
7 9 domaines action sociale et médicosociale Protection enfance Prévention de la délinquance Accès au logement Politiques d insertion sociale et professionnelle Intégration des migrants
8 9 domaines action sociale et médicosociale Prise en compte des handicaps Violences intra familiales Accompagnement des personnes âgées et dépendantes Approche du territoire
9 Partage information et limites CLSPD Divulgation des informations confidentielles des travailleurs sociaux professionnels autorisés à partager entre eux informations à caractère secret Informations nominatives: partenaires astreints au secret ou soumis à la discrétion Risque d instrumentalisation politique
10 Quelques recommandations Définir caractère pertinent des infos partagées Rappel des obligations et limites liées au statut des acteurs Redéfinir le travail en partenariat efficient
11 Construire outils, consignes de respect des infos confidentielles Redéfinir les destinataires habilités recevoir et conserver les informations Revoir les moyens de contrôle et de diffusion des informations.
12 Repenser le partage de l information dans l action sociale Le resituer dans la finalité du travail social L éthique du travail social permet d en distinguer la nature et le partage soit par obligation soit pour compréhension
13 Utilité du partage d information Constitue une intelligence collective pour le partenariat Entraine une offre coordonnée de compétences plurielles pour atteindre de mêmes objectifs Établir un cadre structurant de circulation au service des personnes
14 Le partage comme outil Est un moyen non une finalité Un levier pour de meilleures réponses Instrument de travail à comprendre et à appréhender Pour une approche cohérente de la situation des personnes
15 Maitriser le partage, respecter l usager Travailleurs sociaux: vigilance et responsabilité en accord avec l usager Responsables hiérarchiques: être soutiens et garants des missions Instances dirigeantes: avoir une position claire Pouvoirs publics: être garant de la cohérence et des finalités
16 Renforcer les savoirs juridiques et les réflexions éthiques Développer les savoirs et réflexion: formation initiale et parcours professionnel Analyser les limites et tensions Réfléchir aux évolutions juridiques et administratives: rôle d avis technique du C.S.T.S auprès de Ministères
17 Formations interinstitutionnelles, interpartenariales Formations communes pour articuler actions des professionnels Compréhension réciproque Donner une culture commune lisible
18 Quelques principes pour «réussir» le partage d informations Mutualisation raisonnable des compétences Respect du rôle de chacun Confiance réciproque sans confusion de places et missions Identifier les limites du partage Connaitre des processus rigoureux Fondements du bien vivre ensemble dans le respect de chacun
DE LA R^PUBLIQUE FRAN AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 13 janvier 2015 LES DONNEES NUMERIQUES: UN ENJEU D'EDUCATION ET DE CITOYENNETE
2015-01 NOR :CESL1500001X Vendredi 23 janvier 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA R^PUBLIQUE FRAN AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 13 janvier 2015 LES DONNEES NUMERIQUES: UN ENJEU D'EDUCATION ET DE CITOYENNETE
Plus en détailLa santé des jeunes Rhônalpins en insertion
La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012
Plus en détailCHARTE des RELATIONS. entre. les PARTENAIRES. La BANQUE ALIMENTAIRE. BEARN et SOULE
CHARTE des RELATIONS entre les PARTENAIRES de La BANQUE ALIMENTAIRE en BEARN et SOULE 2 PRÉAMBULE La présente CHARTE vise à définir les relations entre les partenaires sur la base de principes partagés
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailDroits des usagers des institutions sociales et médico-sociales Quels effets sur les pratiques des professionnels?
D O S S I E R Octobre 2002 129 Droits des usagers des institutions sociales et médico-sociales Quels effets sur les pratiques des professionnels? La loi du 2 janvier 2002 rénovant l action sociale et médico-sociale
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailLa Mutualité Française
La Mutualité Française en Pays de la Loire Un mouvement pour une santé solidaire en région en Pays de la Loire : une représentation régionale pour défendre l accès à la santé pour tous Les mutuelles Premier
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailLIVRET SERVICE. Portail Déclaratif Etafi.fr
LIVRET SERVICE Portail Déclaratif Etafi.fr LS-YC Portail Déclaratif Etafi.fr-11/2013 ARTICLE 1 : PREAMBULE LIVRET SERVICE PORTAIL DECLARATIF ETAFI.FR Les télé-procédures de transfert de données fiscales
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailQuels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations
Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations Associations (artistiques et culturelles), quels liens avec l ESS Les associations font donc automatiquement partie du périmètre de l ESS
Plus en détailHistorique du coaching en entreprise
Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin
Plus en détailL impact d un incident de sécurité pour le citoyen et l entreprise
L impact d un incident de sécurité pour le citoyen et l entreprise M e Jean Chartier Président Carrefour de l industrie de la sécurité 21 octobre 2013 - La Malbaie (Québec) Présentation générale La Commission
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailGESTION DES CARTES «ACHAT»
Page 1/12 Destinataires : Agence Comptable Logistique Contrôle de Gestion Domaine concerné : Thème concerné : Sous thème concerné : Mot-clé : ACHAT, COMPTABILITE, GESTION, BUDGET Organisation de la gestion
Plus en détailsante au travail Politiques de sante Publications Rubriques Veille documentaire
Le réseau documentaire a repéré pour vous... Rubriques politiques de sante publications articles & revues documents de diffusion Contact Nelly CHAUVINEAU documentation.codes.10@gmail.com Site Internet
Plus en détailédito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9
avec le soutien de édito sommaire Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 N Retrouvez au dos les lieux sur le plan Notre ville est riche de sa diversité, qui
Plus en détailLe téléphone portable: instrument sauveur ou diabolique?
Le téléphone portable: instrument sauveur ou diabolique? Quel statut pour cet objet? droits et impairs allô Maman bobo!!! propriété réservés @ Cabinet LANDREAU, 2013 1 Le téléphone portable: un support
Plus en détailAnnexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes.
Annexe III : Intervention professionnelle en service sociale : Intervention sociale d'aide à la personne (ISAP) et intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC) - définitions et exemples - Dans le cadre
Plus en détailInstitut Régional du Travail Social Poitou-Charentes
Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi
Plus en détailLe CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?
Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailACCORD-CADRE VISANT AU DEVELOPPEMENT DE L USAGE DES TIC
ACCORD-CADRE VISANT AU DEVELOPPEMENT DE L USAGE DES TIC ENTRE Le Ministère de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche 110 rue de Grenelle 75007 Paris Représenté par le directeur de la
Plus en détailConduire les entretiens annuels d évaluation
Ce guide s adresse aux dirigeants et aux responsables en charge de la fonction ressources humaines qui envisagent de mettre en place des entretiens annuels. Il constitue un préalable à l instauration d
Plus en détailIntroduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury
Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique
Plus en détailDes compétences numériques à la littératie numérique
Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2014 10, juin 2014 www.ftu.be/ep Des compétences numériques à la littératie numérique Quels enjeux derrière l évolution de ces
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailQU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE QU EST-CE QU UNE MUTUELLE SOCIALE?
Plus en détailCharte de la Société suisse de la sclérose en plaques
Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en
Plus en détailBig- Data: Les défis éthiques et juridiques. Copyright 2015 Digital&Ethics
Big- Data: Les défis éthiques et juridiques. 1 Big- Data: Les défis éthiques et juridiques. Digital & Ethics Ce que change le Big Data Les questions éthiques et juridiques Les réponses possibles 2 Digital
Plus en détailSquare Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h
Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h Édito En route pour la COP21! Dans six mois, le 30 novembre 2015, le coup d envoi de la 21 e conférence internationale pour le climat sera donné
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailL Economie Sociale et Solidaire
1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES
Plus en détailLes Groupements de coopération
Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre
Plus en détailLES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX
LES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX XXe COLLOQUE DE L ADDES PARIS LE 7 MARS 2006 PAR JOSÉ LOUIS MONZON PRESIDENT DU CIRIEC-ESPAGNE PROFESSEUR D ÉCONOMIE À L UNIVERSITÉ DE VALENCE (ESPAGNE)
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détailPrincipales dispositions la loi ESS
30 septembre 2014 Principales dispositions la loi ESS La loi relative à l'économie sociale et solidaire initiée par Benoit Hamon aura subie de nombreux changements tout au long de son élaboration. Elle
Plus en détailcartographie des parties prenantes Orange France Alain Liberge Directeur Environnement et Responsabilité sociale jeudi 24 novembre 2011
cartographie des parties prenantes Orange France Alain Liberge Directeur Environnement et Responsabilité sociale jeudi 24 novembre 2011 ordre du jour 1 - vision locale vs. vision globale 2 - historique
Plus en détailGuide pratique sur la participation des équipes de prévention spécialisée à la mise en œuvre de la stratégie nationale de prévention de la délinquance
SECRETARIAT GENERAL DU COMITE INTERMINISTERIEL DE PREVENTION DE LA DELINQUANCE Guide pratique sur la participation des équipes de prévention spécialisée à la mise en œuvre de la stratégie nationale de
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailDernière mise à jour le 11/09/15 1
Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,
Plus en détailD o s s i e r D e P r e s s e
D o s s i e r D e P r e s s e Ouverture à Lyon de la première Maison des Emplois de la Famille La Maison des Emplois de la Famille Le Groupe IRCEM La FEPEM IPERIA, l Institut Maison des Emplois de la Famille
Plus en détailRègle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE
Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE Définitions (1) Les définitions qui suivent s appliquent à la présente règle. Champ d application «demande de réparation» Sont comprises parmi les demandes de réparation
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailCAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010
CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le
Plus en détailCHARTE DES PROGRAMMES
CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR
Plus en détailRAPPORT DE L EVALUATION EXTERNE
I TACA Consultants RAPPORT DE L EVALUATION EXTERNE Service d Accompagnement à la Vie Sociale I.A.D.E.S Antonella Relli Germaine Peyronnet 17 juillet 2012 I TACA Consultants S.A.R.L N Siret : 508 566 40300012
Plus en détailLes valeurs et les acteurs de l économie sociale et solidaire : une culture de réseaux pour développer le tiers secteur
Les valeurs et les acteurs de l économie sociale et solidaire : une culture de réseaux pour développer le tiers secteur L économie sociale et solidaire se caractérise par une manière différente d entreprendre
Plus en détailFormation Continue 2014
Formation Continue 2014 Union Régionale Interfédérale des Organismes Privés non lucratifs Sanitaires et Sociaux Management RH Comptabilité Gestion Tarification Vie & Pilotage des établissements & Services
Plus en détailLes diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale
Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic
Plus en détaileducationsolidarite.org
Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org
Plus en détailLe Code de la Mutualité. Jean-Philippe HUCHET, Secrétaire Général de la Mutualité Française, Octobre 2010
Le Code de la Mutualité Jean-Philippe HUCHET, Secrétaire Général de la Mutualité Française, Octobre 2010 Un cadre légal propre aux mutualistes : le code de la Mutualité Une refonte importante du code de
Plus en détailCCI RHÔNE-ALPES. Les CCI de Rhône-Alpes face aux défis du changement ÉDITOS SOMMAIRE P.2/3 LE RÉSEAU EN MOUVEMENT
CCI RHÔNE-ALPES Mai 2015 N 1 LA LETTRE D INFORMATION INTERNE DES CCI DE RHÔNE-ALPES P.2/3 LE RÉSEAU EN MOUVEMENT Les CCI de Rhône-Alpes face aux défis du changement SOMMAIRE P.4/5 Ressources humaines P.6/7
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailLe Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition)
VIVRE ENSEMBLE Mutuelle d Aide aux Personnes Handicapées Mentales Siège Social : 5 rue de Breuvery 78100 St Germain en Laye Tél. : 01 34 51 38 80 - Fax : 01 39 73 75 72 e-mail : direction@vivre-ensemble.fr
Plus en détailTitre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL
Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailNOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES
NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES 1. Les bases juridiques applicables et autres informations La protection des données en logopédie est régie par la loi fédérale sur la
Plus en détailLE PROJET POUR L ENFANT
Groupe d appui pour accompagner la réforme de la protection de l enfance LE PROJET POUR L ENFANT Fiche technique Mars 2010 Pour accompagner la mise en œuvre de la loi réformant la protection de l enfance
Plus en détailFondements éthiques et domaines d'activités des services de probation en Suisse
Fondements éthiques et domaines d'activités des services de probation en Suisse Conférence Suisse des Directrices et Directeurs de la Probation (CSDP) 1 2 INTRODUCTION 2 4 BASES LÉGALES 3 6 PRINCIPES ÉTHIQUES
Plus en détailCahier des charges APPEL À PROJETS 2015 ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES
APPEL À PROJETS 2015 Cahier des charges ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES Fondation Harmonie Solidarités, 143 rue Blomet - 75015 Paris - Autorisation administrative de
Plus en détailDirective de la Direction. Directive No 6.9 Fichiers informatiques et protection des données personnelles ou sensibles.
Directive de la Direction Directive No 6.9 Fichiers informatiques et protection des données personnelles ou sensibles Article premier L'utilisation du réseau informatique de l UNIL et des fichiers informatiques
Plus en détailFICHE DE FONCTION - 04
FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité
Plus en détailThéories comptables. Théories normatives
pratique : Jean Luc PETITJEAN 08 Novembre 2011 1 Théories comptables Théories descriptives Théories normatives Théories explicatives pratique : Jean Luc PETITJEAN 08 Novembre 2011 2 Elles visent à décrire
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailDUT carrières sociales
université sciences humaines et sociales - lille 3 année universitaire 2014-2015 DUT carrières sociales Option : éducation Spécialisée Diplôme d Etat d Educateur Spécialisé (DEES) présentation générale
Plus en détailForum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012
Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012 Instruments juridiques de protection des infrastructures et de la vie privée des citoyens contre les cyber
Plus en détailwww.thalesgroup.com Guide de Conduite éthique des Affaires Guide de bonnes pratiques en matière de gestion de l information
www.thalesgroup.com Guide de Conduite éthique des Affaires Guide de bonnes pratiques en matière de gestion de l information Sommaire Préface...3 Diffuser et protéger l information... 5 La classification
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détail- Table, chaise. - Registre de consignes. - Registre de gestion des entrées et sorties (manuscrit ou informatique) - émetteur récepteur
Incident n 2-1 : Personne qui refuse de se soumettre à la procédure de badge Matériels et locaux nécessaires Matériels ou locaux nécessaires Personne qui refuse de se soumettre à la procédure de badge.
Plus en détailPOUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE
Plus en détailvendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi
vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner
Plus en détailCHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES
ET DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES EN MILIEU SCOLAIRE CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES INTERVENANTS DANS LES ECOLES, COLLEGES, LYCEES Août 2013 PREAMBULE L École est un lieu d
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailCode d'éthique de la recherche
Code d'éthique de la recherche Ce texte reprend le code d'éthique de la FPSE de l'université de Genève, avec une adaptation des références aux instances académiques. Cette version est plus particulièrement
Plus en détailProjet de loi de mobilisation des régions pour la croissance et l emploi et de promotion de l égalité des territoires EXPOSÉ DES MOTIFS
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la réforme de l Etat, de la décentralisation et de la fonction publique NOR : Projet de loi de mobilisation des régions pour la croissance et l emploi et de promotion
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détail«Panorama transfrontalier de l économie sociale et solidaire»
Une implantation forte de l Economie Sociale et Solidaire de part et d autre de la frontière. Forte de plus de 13 000 établissements et de plus de 200 000 emplois sur le territoire transfrontalier, l économie
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailUne École juste pour tous et exigeante pour chacun PROJET DE LOI POUR LA REFONDATION DE L ÉCOLE DOSSIER DE PRÉSENTATION
Une École juste pour tous et exigeante pour chacun PROJET DE LOI POUR LA REFONDATION DE L ÉCOLE DOSSIER DE PRÉSENTATION #RefondonslEcole education.gouv.fr photos : PictureTank - MEN Les 25 mesures clés
Plus en détailLivret d accueil. Présentation de l économie sociale et solidaire à destination de ses acteurs. S associer coopérer mutualiser
Livret d accueil Présentation de l économie sociale et solidaire à destination de ses acteurs S associer coopérer mutualiser PRÉAMBULE Accueillir au sein des structures de l Économie Sociale et Solidaire
Plus en détailSEMINAIRES SPECIFIQUES
57, bd Abdelmoumen Résidence Al Hadi n B15 Tél 022 47 06 13 /15 - Fax 022 47 06 78/91 mailacf@acf.ma SEMINAIRES SPECIFIQUES AUX ENTREPRISES D ASSURANCES ET DE REASSURANCE MUTUELLES ET CAISSES DE RETRAITE.
Plus en détailANNEXES M " L S Â IE S " _Plaquette Association Don Bosco. _Projet POLE AMS. _AGENDA 21 Association Don Bosco
M LS ÂIES M LS ÂIES ANNEXES _Plaquette Association _Projet POLE AMS _AGENDA 21 Association Foyer s Châtaigniers Kéraoul Izella / La Roche Maurice / BP 748 29 207 LANDERNEAU Cedex Tel : 02.98.21.42.22 Fax
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailTableau de recueil des données concernant l auto évaluation. Nom de la structure :
Tableau de recueil des données concernant l auto évaluation Nom de la structure : : 1 = très vrai, 2 = plutôt vrai, 3 = plutôt pas vrai, 4 = pas vrai du tout PRINCIPES DE DELIVRANCE DES SERVICES Principe
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailSEGPA EREA. académie Versailles ENTRE : Nom du stagiaire : Prénom : Éducation Nationale Enseignement Supérieur Recherche
Convention relative à l organisation de stages d application en milieu professionnel. Élèves de 4 ème âgés de moins 15 ans Élèves de 3 ème âgés de plus 15 ans (Convention type approuvée par la cellule
Plus en détailJ. Stiglitz et al., Pour une vraie réforme du système monétaire et financier international
J. Stiglitz et al., Pour une vraie réforme du système monétaire et financier international Sur 300 pages, le rapport pointe les graves défauts du système monétaire et financier actuel et propose toute
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détail