Les effets directs et indirects des stéréotypes sociaux sur une décision d orientation scolaire.
|
|
- Cyril Cartier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université Lumière Lyon 2 Les effets directs et indirects des stéréotypes sociaux sur une décision d orientation scolaire. Psychologie Sociale Licence 2 ème année. Année Chloé CHALAYE Romain TAIAR Nelly THOMAS
2 1.2 Définition de la problématique Nous nous sommes donc demandé si la décision d orientation scolaire est influencée de façon plus forte par des stéréotypes d appartenance sociale, induits indirectement que lorsqu ils sont directement explicités. En effet, comme l ont montré Bargh et Pietromonaco (1982), des informations implicites peuvent influer sur l idée qu une personne peut se faire d une autre Orientation scolaire Dans cette recherche, la décision d orientation scolaire est celle de fin de troisième, à savoir si l élève sera orienté en seconde générale ou en filière professionnelle (CAP, BEP). En effet, en troisième, l orientation commence au second trimestre, au-cours duquel l élève et ses parents formulent des vœux qui seront ensuite examinés par le conseil de classe. Lors du conseil de classe, les professeurs donnent leur avis favorable ou non à ces vœux, ils se basent alors sur les résultats scolaires de l élève. Conscients de cet avis, l élève et sa famille formulent alors des vœux définitifs pour le conseil de classe du troisième trimestre, au-cours duquel les professeurs donnent un avis définitif qui tient alors lieu de décision d orientation. A savoir qu en cas de désaccord, il est possible pour l élève et sa famille de faire appel de cette décision que se soit au second ou au troisième trimestre. En psychologie, l'influence est définie comme un processus par lequel une personne va changer de point de vue en réaction à un facteur précis. Statistiquement, nous avons effectué des comparaisons de moyennes et nous avons inféré nos résultats (échantillon) à une population. L influence est qualifiée de plus forte lorsqu il y a une différence de résultats significative entre un groupe dit «direct» et un groupe dit «indirect». Les différences sont dites significatives quand le seuil de confiance est au minimum de 95% Pré-tests et stéréotypes Les stéréotypes d appartenance sociale pour cette recherche, sont définis comme les impressions spontanées que l ont se fait d une autre personne ou d un groupe de personnes. Bargh et Pietromonaco (1982) ou encore Devine (1989) ont montré que les stéréotypes pouvaient être induits sans que le sujet en ait conscience, et ainsi moduler son jugement. Pour cette recherche, des pré-tests ont été effectués afin de déterminer quelles informations (variables indépendantes) donner aux professeurs pour induire des stéréotypes
3 d appartenance sociale qualifiés de défavorisés ou de favorisés. Ainsi, comme le décrit Ahmed Channouf dans sa recherche, le pré-test réalisé s adressait à trente-six enseignants auxquels étaient données des informations qu ils devaient classifier sur une échelle de 1 (très défavorisé) à 7 (très favorisé). Ce pré-test visait à déterminer quelles informations étaient associées aux classes sociales dites favorisées et défavorisées. Seules celles fréquemment situées autour de 5-6 pour le profil favorisé et autour de 2-3 pour le profil défavorisé ont été retenues. Ainsi, 75% des sujets ont situés «boursier» en % «non boursier» en % «aide aux devoirs» en % «cours particuliers» en % «football» en % «tennis» en % «temps libre avec les copains» en % «solfège-piano» en 5-6. D autre part, les auteurs de cette recherche ont effectué un autre pré-test visant à déterminer quel est l intervalle de notes où il est difficile pour un enseignant de décider de l orientation de l élève. Pour ce faire, ils ont interrogé 5 professeurs (autres que les 36 interrogés lors du premier pré-test) qui ont permis de montrer que cet intervalle pour des élèves de 3 ème se situait entre 9 et 9,7 pour les matières principales (français, mathématiques, histoire-géographie, sciences physiques) et d environ 12/20 pour les autres matières (technologie, arts plastiques, éducation musicale, sport). D autre part, nous définirons le stéréotype direct par le fait que les sujets soient conscients des biais que ceux-ci peuvent induire, ainsi, dans l expérience, les conditions dites «directes»se différencient des conditions «indirectes» par la présence dans le dossier donné aux professeurs d un tableau statistique indiquant la répartition des élèves dans les diverses filières de second cycle en fonction de la profession du chef de famille, ce qui attirait l intention des sujets sur l influence de cette variable sur la décision d orientation.
4 A la différence des stéréotypes directs, dans cette condition dite «stéréotype indirect», les sujets ne sont pas rendus conscients de ces biais de jugement pouvant être induits par ces stéréotypes. Dans l expérience, les dossiers sont alors dépourvus du tableau statistique de répartition des élèves. 2 Expérience 2.1 Méthode Sujets Hypothèses Procédure 2.2 Résultats Tableaux.1 : Moyennes des avis relatifs au passage en seconde générale selon le type d induction de l appartenance sociale (Direct VS Indirect) et l origine sociale de l élève induite (Favorisée VS Défavorisée). Type d induction de l appartenance sociale de l élève Appartenance Sociale Induite Directe Indirecte Favorisée 2,67 3,67 Défavorisée 4 4 Avis de passage en seconde générale Statistiques :
5 Comparaisons de moyennes : *Pour la condition «Stéréotype Indirect» : Total Σxi² Favorisé Défavorisé Ecart-type = 1.17 Moyenne Elève favorisé = 3.67 Moyenne Elève défavorisé = 4 Calculé=0.115 < critique=2.57 Il n y a donc pas d écart significatif entre les moyennes pour le passage en seconde générale, entre les élèves issus de milieu favorisé et ceux de milieu défavorisé. *Pour la condition «Stéréotype Direct» : Total Σxi² Favorisé Défavorisé Ecart-type = 1.03 Moyenne Elève favorisé = 2.67 Moyenne Elève défavorisé = 4 Calculé=0.53 < critique=2.57 Il n y a donc pas d écart significatif entre les moyennes pour le passage en seconde générale, entre les élèves issues de milieu favorisé et ceux de milieu défavorisé. Interprétation :
6 Les résultats concernant la variable dépendante relative au passage en seconde générale (cf. Tableau 1) révèlent que : Dans la condition «stéréotype indirect» dans laquelle l appartenance sociale de l élève est induite de manière non explicite, l élève de milieu social favorisé recueille en moyenne un avis moins favorable que l élève d origine sociale défavorisée (3.67 VS 4). Dans la condition «stéréotype direct» dans laquelle l influence de l appartenance sociale des élèves a été révélée de manière explicite, on observe que l élève issu de milieu social défavorisé obtient en moyenne un avis beaucoup plus favorable à un passage en seconde générale que l élève d origine sociale favorisée (2.67 VS 4). Conformément à nos attentes, on observe que dans la condition de «stéréotype direct», l élève d origine sociale défavorisée est plus favorablement orienté en seconde générale que l élève d origine sociale favorisée. Cependant nos résultats sont incohérents sur le premier point. Contrairement à nos attentes l élève d origine sociale défavorisée est orienté plus favorablement en seconde générale que l élève d origine sociale favorisée. De plus, dans les conditions «stéréotype direct» et «stéréotype indirect» pour l élève d origine sociale défavorisée on n observe aucune différence significative (4 VS 4). Ces résultats ne peuvent donc pas confirmer notre hypothèse selon laquelle les professeurs n ont pas conscience de l influence du stéréotype lié à la classe sociale (condition «stéréotype indirecte») leur décision est biaisée par ce stéréotype. Ainsi l effet du stéréotype de classe serait plus important lorsqu il est indirectement induit. Tableaux.2 : Moyennes des avis relatifs au passage en seconde professionnelle selon le type d induction de l appartenance sociale (Direct VS Indirect) et l origine sociale de l élève induite (Favorisée VS Défavorisée).
7 Type d induction de l appartenance sociale de l élève Appartenance Sociale Induite Directe Indirecte Favorisée 4,67 3,33 Défavorisée 3 5 Avis de passage en seconde professionnelle Statistiques : Comparaisons de moyennes : *Pour la condition «Stéréotype Indirect» : Total Σxi² Favorisé Défavorisé Ecart-type = 2.54 Moyenne Elève favorisé = 3.33 Moyenne Elève défavorisé = 5 Calculé=0.27 < critique=2.57 Il n y a donc pas d écart significatif entre les moyennes pour le passage en seconde générale, entre les élèves issues de milieu favorisé et ceux de milieu défavorisé. *Pour la condition «Stéréotype Direct» : Total Σxi² Favorisé Défavorisé
8 Ecart-type = 1.32 Moyenne Elève favorisé = 4.67 Moyenne Elève défavorisé = 3 Calculé=0.52 < critique=2.57 Il n y a donc pas d écart significatif entre les moyennes pour le passage en seconde générale, entre les élèves issues de milieu favorisé et ceux de milieu défavorisé. Interprétation : Les résultats concernant la variable dépendante relative au passage en seconde professionnelle (cf. Tableau 2) révèlent que : Dans la condition «stéréotype indirect», l élève d origine sociale défavorisée recueille en moyenne un avis plus favorable qu un élève d origine sociale favorisée (5 VS 3.33).Ce résultat va dans le sens de notre hypothèse. En effet, à dossier égal et à notes égales, les élèves de milieu social défavorisé sont orientés, plus que les élèves de milieu social favorisé, vers une seconde professionnelle. Dans la condition «stéréotype direct», les élèves de milieu social défavorisé obtiennent un avis moins favorable à celui obtenu en condition «stéréotype indirect» (3 VS 5). Les résultats confirment qu en condition directe, les effets du stéréotype sont réduits. Dans la condition «stéréotype direct», les élèves de milieu social défavorisé obtiennent un avis moins favorable pour un passage en seconde professionnelle que les élèves de milieu social favorisé. (3 VS 4.67) Ce dernier résultat confirme l importance des statistiques sur l orientation des élèves en fonction de leur origine sociale mis à leur disposition en condition de «stéréotype direct».
9 Conformément à nos prévisions les professeurs estiment accorder plus d importances aux informations relatives aux résultats scolaires, aux appréciations du conseil de classe et au redoublement qu aux informations se rapportant aux activités extrascolaires et aux critères sociaux. Ainsi, quelle que soit la condition expérimentale, les enseignants sous estiment l importance des critères sociaux dans leur décision d orientation. 3 Discussion et critiques 3.1 Discussion D après ces résultats, nous pouvons souligner que pour la condition «passage en seconde générale», les élèves issus de milieux défavorisés obtiennent plus d avis favorables que les élèves issus de milieux favorisés et ce quelle que soit la façon dont le stéréotype est induit. Néanmoins, lorsque l on passe du stéréotype indirect au stéréotype direct, les différences se font plus nettes entre stéréotype «favorisé» et stéréotype «défavorisé». Ainsi, le fait de rendre les professeurs conscients des différences d orientation en fonction de l origine sociale, permettrait d augmenter la proportion d élèves issus de milieux défavorisés en classe de seconde générale. D autre part, concernant la condition «passage en seconde professionnelle», lorsque le stéréotype est induit indirectement, les élèves dits défavorisés sont plus orientés en seconde professionnelle que les élèves dits favorisés. Alors que lorsque le stéréotype est direct, la tendance s inverse et ce sont alors les élèves dits favorisés qui sont plus orientés en seconde professionnelle que ceux dits défavorisés. Ainsi, dans les deux cas, nous voyons bien que l induction d un stéréotype de façon directe a des conséquences sur les chiffres que nous obtenons et donc sur les jugements des bulletins scolaires par les professeurs. Néanmoins, nous remarquons que plus d élèves dits défavorisés sont orientés en seconde générale que d élèves dits favorisés, ce qui est contraire à nos attentes.
10 3.2 Critiques Il est important de noter que nous n avons pu interroger que douze professeurs soit trois par modalité, alors que Channouf (2004) en avait interrogé quatre-vingts soit vingt par modalité. Ainsi, le fait que nous infirmions notre hypothèse selon laquelle les élèves issus de milieux défavorisés seraient moins souvent orientés en seconde générale que ceux issus de milieux favorisés pourrait être lié à ce petit nombre de sujets. De plus, le fait que nous ayons fait passer ces questionnaires en salle des profs permettait aux professeurs de communiquer entre eux et éventuellement de comparer leurs questionnaires qui n étaient pas les mêmes. Ainsi, de telles communications entre sujets peuvent avoir biaisé nos résultats. 4 Conclusion Nous avons donc montré, et ce même avec une population plus de six fois inférieure à celle de Channouf (2004) que les stéréotypes indirects influençaient de façon plus forte les décisions d orientation scolaire, confirmant notre hypothèse de départ. Néanmoins, cette recherche bien que très intéressante et concrète aurait pu être réalisée dans des conditions plus proches de la réalité. En effet, comme explicité plus haut, l orientation de fin de troisième commence dès le second trimestre, ainsi, il aurait été intéressant d effectuer une recherche longitudinale avec deux voire trois bulletins par élèves permettant de voir sa progression aucours de l année. De même, les élèves de troisième formulent des vœux d orientation et les professeurs se prononcent par rapport à ceux D autre part, les professeurs avaient un questionnaire chacun, or, lors des conseils de classe en collège, ce sont tous les professeurs qui décident de l orientation d un élève et non pas un seul. Ainsi, afin d obtenir des résultats plus proches de la réalité, il serait bon de soumettre les mêmes questionnaires mais à un conseil de classe au complet. En effet, comme l a montré Asch (1951) dans un groupe, un sujet seul à tendance à conformer son jugement à celui des autres, ainsi, les jugements des professeurs seuls ne seraient pas les mêmes que ceux formulés au sein d un conseil de classe. Enfin, au-lieu d étudier les effets des stéréotypes sociaux, nous avions également pensé à étudier les effets des stéréotypes de genre, en présentant le même bulletin mais l un appartenant à un élève et l autre appartenant à une élève. Ayant également la possibilité d accéder à des collèges privés et publics, noua avions aussi pensé à comparer les stéréotypes sociaux entre ces deux types d établissements mais la comparaison des stéréotypes directs et
11 indirects telle qu effectuée par Channouf (2004) nous paraissait plus intéressante dans le domaine de la psychologie sociale et aussi plus proche de nos expériences personnelles. Bibliographie Bargh, J.A., Automatic and conscious processing of social information. In: Wyer, R.S., Srull. T.K. (Eds.), Handbook of Social Cognition, Vol. 3. Erlbaum. Hillsdale. NJ, pp Bargh, J.A., Pietromonaco, P., 1982.Automatic information processing and social perception: The influence of trait information presented outside of conscious awareness on impression formation. Journal of Personnality Social Psychology 43, Boudon, R., L inégalité des chances. Armand Colin, Paris Devine, P.G., Stereotypes and prejudice : Their automatic and controlled components. Journal of Personnality Social Psychology 56,
La Menace du Stéréotype
La Menace du Stéréotype Fabrice GABARROT Bureau M6158 - Uni Mail Université de Genève 40, Bld du Pont d'arve CH-1205 Genève SUISSE Courriel : Fabrice.Gabarrot@pse.unige.ch Les stéréotypes sont, pour simplifier,
Plus en détailCHARTE EGALITE HOMME FEMME
CHARTE EGALITE HOMME FEMME Information : Afin de limiter les effets liés à l éloignement prolongé de la vie de l Entreprise et faciliter le retour dans son activité professionnelle, Whirlpool s engage
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailConditions générales d'adhésion au programme d'affiliation
Conditions générales d'adhésion au programme d'affiliation Smart Tribune Conditions générales d'adhésion au programme d'affiliation - Avant de poursuivre votre inscription, il est obligatoire de prendre
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailUN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE
N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de
Plus en détailDans le rapport à leur scolarité, les
ISSN 1286-9392 www.education.fr 02.12 AVRIL Si, en fin de troisième, l orientation plus fréquente des filles vers le second cycle général ou technologique s explique par leur meilleure réussite scolaire,
Plus en détailTableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1
UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés
Plus en détailLIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES
Académie d Aix-Marseille Année scolaire LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES NOM : Prénom : Livret de suivi de scolarité en SEGPA Préambule à l attention des enseignants L objectif
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailFaut-il développer la scolarisation à deux ans?
Faut-il développer la scolarisation à deux ans? 01 L école maternelle française est fréquemment citée comme l un des points forts de notre système éducatif et la pression de certaines familles est aujourd'hui
Plus en détailFaculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis
UNIVERSITE TUNIS EL MANAR Faculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis Campus Universitaire-2092-EL MANAR2 Tél: 71 872 600 Fax: 71 885 350 Site web: www.fst.rnu.tn Présentation
Plus en détailCONTRAT EDUCATIF LOCAL
CONTRAT EDUCATIF LOCAL Année 2002-2003 CANDIDATURE ET PROJET D ACTIONS SUR LES TEMPS PERI ET EXTRA-SCOLAIRES sur la commune ou le groupement de communes de... Ce dossier comprend : Page 2 : Page 3 : Page
Plus en détailLes différentes mesures implicites cognitives de préjugés et de stéréotypes 1
Les différentes mesures implicites cognitives de préjugés et de stéréotypes 1 Michaël Dambrun Laboratoire de Psychologie Sociale et Cognitive (L.A.P.S.C.O.) Université Blaise Pascal Clermont Ferrand 34
Plus en détailCONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON
CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON Version du 3 mai 2007 PREAMBULE ARMINES via le Centre de Morphologie Mathématiques commun à ARMINES et l Ecole des Mines
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailLes diplômes. Session 2012
note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes
Plus en détailL analyse boursière avec Scilab
L analyse boursière avec Scilab Introduction La Bourse est le marché sur lequel se traitent les valeurs mobilières. Afin de protéger leurs investissements et optimiser leurs résultats, les investisseurs
Plus en détailinformation L autonomie résidentielle et financière augmente avec la durée des études, les difficultés financières aussi
note d information Enseignement supérieur & Recherche 14.05 JUILLET Un quart des bacheliers 2008 déclarent avoir rencontré des difficultés financières au cours de leur première année d études supérieures.
Plus en détailStéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements
En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache
Plus en détailCIE 1 : Mise en service d un PC, y compris le domaine de la sécurité informatique :
Objectif : En dehors de la maîtrise des techniques de travail et des connaissances professionnelles, les apprenants sont capables de comprendre les bases et les enjeux de l informatique en entreprise.
Plus en détailRAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC
RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détail45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.)
44. LES INSTANCES DIRIGEANTES 44. LES CLUBS 45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.) 44 Principes généraux 45 Présentation du dispositif 50 Contrôle du dispositif régional
Plus en détailConception des bases de données : Modèle Entité-Association
Conception des bases de données : Modèle Entité-Association La modélisation d un problème, c est-à-dire le passage du monde réel à sa représentation informatique, se définit en plusieurs étapes pour parvenir
Plus en détailLe retard scolaire en fonction du milieu parental : l influence des compétences des parents
ENSEIGNEMENT - ÉDUCATION Le retard scolaire en fonction du milieu parental : l influence des compétences des parents Fabrice Murat* La sociologie de l éducation met souvent en avant les inégalités de réussite
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailConditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine»
Conditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine» Les présentes Conditions Générales d Utilisation régissent l ensemble des différentes utilisations de l APPLICATION tablettes
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailQuestionnaire aux Associations Culturelles et Sportives
Aménagement des Rythmes Scolaires Concertation Locale Venez nous rencontrer le : Lundi 20 Janvier 2014 à 18H30 CDC Aune et Loir Questionnaire aux Associations Culturelles et Sportives Mot du Président
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailDisparités entre les cantons dans tous les domaines examinés
Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG
Plus en détail1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE
ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»
Plus en détailLes débats sur l évolution des
D o c u m e n t d e t r a v a i l d e l a B r a n c h e R e t r a i t e s d e l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t c o n s i g n a t i o n s n 9 8-0 7 C o n t a c t : La u re nt V e r n i è r e 0 1 4
Plus en détailProjet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.
Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement
Plus en détailQuelques rappels concernant la méthode expérimentale
Quelques rappels concernant la méthode expérimentale 1. La Méthode expérimentale : Définition. Une définition classique de la méthode expérimentale est qu elle «correspond à la méthode d investigation
Plus en détailLe bien-être de l élève au collège :
Université LYON 2 Ecole doctorale 485 EPIC (Education, psychologie, information et communication) Laboratoire de sciences de l éducation Le bien-être de l élève au collège : Représentations des professeurs
Plus en détailJean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal. Proposition de thèse
1 Jean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal Proposition de thèse L adoption de comportements spontanés et de comportements délibérés de consommation socialement responsable : Une
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailNOM DE L ELEVE :.. Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée).
Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée). NOM DE L ELEVE :.. Prénom : I. DOCUMENTS A RETOURNER A L ETABLISSEMENT Réservé à l
Plus en détailB Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?
B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du
Plus en détailCinq stratégies pour faire face aux marchés difficiles
Quand les marchés sont volatils, il est tout à fait normal de s inquiéter de l incidence sur votre portefeuille. Et quand vous vous inquiétez, vous voulez agir. Cinq stratégies pour faire face aux marchés
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailUNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL
UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailNouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)
Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailN 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailBest Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions
Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailT de Student Khi-deux Corrélation
Les tests d inférence statistiques permettent d estimer le risque d inférer un résultat d un échantillon à une population et de décider si on «prend le risque» (si 0.05 ou 5 %) Une différence de moyennes
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailSONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale
SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale COMMUNIQUE Deux ans et demi après son élection, les Français sont-ils convaincus par les actions du Président Hollande? Quelles sont les
Plus en détailMobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014
Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailSéance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03
Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des
Plus en détailLA COMPÉTENCE COMME DISPOSITIF D IMPUTATION
COMMENT PEUT ON ÊTRE COMPÉTENT? BERNARD REY 1 LA COMPÉTENCE COMME DISPOSITIF D IMPUTATION Pour approcher la notion de compétence, nous partirons de l examen des objets qu on lui fait ordinairement subsumer.
Plus en détailBienvenue au collège Sciences et Technologie
Bienvenue au collège Sciences et Technologie INFORMATIONS RENTRÉE 2014 Sommaire Le semestre d orientation MISMI 1 Unité d Enseignement unique composée de 8 matières: 1 - Le semestre d orientation 2 - Après
Plus en détailPRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES
PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détail144 174 237 30h + 120h 555 h
Niveau : LICENCE Année Domaine : Mention : Spécialité : S.T.A.P.S. S.T.A.P.S. MANAGEMENT DU SPORT L2 120 ES Volume horaire étudiant : 144 174 237 30h + 120h 555 h cours magistraux travaux dirigés travaux
Plus en détail1741 SWITZERLAND EQUAL WEIGHTED INDEX. Règlement
1741 SWITZERLAND EQUAL WEIGHTED INDEX Règlement Version du 01.07.2015 SOMMAIRE 1 Introduction 3 2 Spécifications de l indice 4 3 Univers de l indice 5 4 Adaptations périodiques ordinaire 6 5 Adaptations
Plus en détailTURBOS Votre effet de levier sur mesure
TURBOS Votre effet de levier sur mesure Société Générale attire l attention du public sur le fait que ces produits, de par leur nature optionnelle, sont susceptibles de connaître de fortes fluctuations,
Plus en détailAprès la 3ème. Mme RUFINO COP CIO MARSEILLE 2Mme RUFINO COP CIO MARSEILLE 2
Après la 3ème Mme RUFINO COP CIO MARSEILLE 2Mme RUFINO COP CIO MARSEILLE 2 Vie professionnelle ETUDES SUPERIEURES: - STS, IUT (bac + 2) - UNIVERSITE (bac +3, +5, +8 + 10) - CPGE (bac + 5), - Ecoles spécialisées
Plus en détailLa Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr
La Validation des Acquis de l Expérience avec l IFPASS www.ifpass.fr Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS est au service des professionnels de l assurance, qu ils
Plus en détail7. Recherche des essais
7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser
Plus en détailGuide d entretien concernant les secrétaires de l IUT Guide d entretien concernant l assistante de direction
Années universitaires : 2006-2007 Introduction I- Présentation générale du métier Polyvalence du métier Qualités requises Avantages et inconvénients Féminisation du métier II- Comparaison secteur privé
Plus en détailThématique : Insertion Professionnelle LES DIFFERENTS PARCOURS OFFERTS PAR L EDUCATION NATIONALE PROCURENT-ILS LES MEMES CHANCES D ACCEDER A L EMPLOI?
Thématique : Insertion Professionnelle LES DIFFERENTS PARCOURS OFFERTS PAR L EDUCATION NATIONALE PROCURENT-ILS LES MEMES CHANCES D ACCEDER A L EMPLOI? Les résultats d une expérience contrôlée sur des jeunes
Plus en détailCommentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme
Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar
Plus en détailRencontres interministérielles sur l offre de certification dans les métiers de la sécurité
Établissement public sous tutelle du ministère de l Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, du ministère du Travail de l Emploi et de la Santé. Rencontres interministérielles sur
Plus en détailDossier : 02 11 98 Date : 20030506. Commissaire : M e Diane Boissinot MICHAËLLA LESSARD. Demanderesse MULTI-RESSOURCES. Entreprise DÉCISION OBJET
Dossier : 02 11 98 Date : 20030506 Commissaire : M e Diane Boissinot MICHAËLLA LESSARD Demanderesse c. MULTI-RESSOURCES Entreprise DÉCISION OBJET DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS (art.
Plus en détailCompte-rendu du Bureau Exécutif du 12 février 2015
Compte-rendu du Bureau Exécutif du 12 février 2015 Amiens, 16h00. Etaient présents Julia Pomerol, Catherine Leclercq, Patrice Boquillion, Marie Edith Voog, Didier Casado, Claude Lerosey, Harry Coupel,
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailRAPPORT SUR LE MARCHÉ IMMOBILIER
MAJ AÔUT 2015 PM405 - ME PREMIÈRE PARTIE RAPPORT SUR LE MARCHÉ IMMOBILIER DES MAISONS À ÉTAGES (ME) ET DES MAISONS PLAIN-PIED (PP) DE LA VILLE DE REPENTIGNY AU 31 JUILLET 2015 Si dans les mois qui viennent,
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailFondation JAE Une expertise reconnue
Fondation JAE Une expertise reconnue Créée à Lyon en 1991, la fondation JAE est devenue en 15 ans un éditeur et concepteur d outils reconnu par l ensemble des professionnels de l orientation, de la formation
Plus en détailMaster Sales Analysis. Analyse et développement des compétences de vente
Master Sales Analysis Analyse et développement des compétences de vente L'essentiel L essentiel à propos du système MSA 360 Description résumée du système MSA 360 Le système Master Sales Analysis (MSA)
Plus en détailANNUITES. Les annuités définissent une suite de versements identiques ou non effectués à intervalles de temps égaux. -annuités non constantes
ANNUITES I Notions d annuités a.définition Les annuités définissent une suite de versements identiques ou non effectués à intervalles de temps égaux. Le processus de versements dépend du montant de l annuité,
Plus en détailCegid OPEN SECURITE PREMIUM
Cegid OPEN SECURITE PREMIUM Livret Services Ref_N08_0001 ARTICLE 1 DEFINITIONS Les termes définis ci après ont la signification suivante au singulier comme au pluriel: Demande : désigne un incident reproductible
Plus en détailQuestions et réponses sur la cote de rendement au collégial
Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Mars 2013 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA COTE DE RENDEMENT AU COLLÉGIAL CREPUQ AVANT-PROPOS Ce document apporte des réponses aux principales questions
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le
Plus en détailSMGL PÔLE CPGE REGLEMENT FINANCIER ET TARIFS
3 SMGL REGLEMENT FINANCIER ET TARIFS PÔLE CPGE Le fait d inscrire son enfant à Sainte Marie Grand Lebrun implique l acceptation de ce présent règlement financier dans la totalité de ses articles. 2015-2306
Plus en détailNOTIONS DE PROBABILITÉS
NOTIONS DE PROBABILITÉS Sommaire 1. Expérience aléatoire... 1 2. Espace échantillonnal... 2 3. Événement... 2 4. Calcul des probabilités... 3 4.1. Ensemble fondamental... 3 4.2. Calcul de la probabilité...
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailResponsabilité de l'expert-comptable
Litec Libraire de la Cnnr He rassation - 27. olace Dauohine - 75001 Paris Anne-Claire Maddoli-Restoux avocat á la Cour d'appel de París Responsabilité de l'expert-comptable Risques judiciaires et préventions
Plus en détailORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012
Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats
Plus en détailAccueil des PC. Le Parent correspondant. Le parent correspondant au collège. Vérifier vos coordonnées Emarger Prendre un café, un thé
Accueil des PC Vérifier vos coordonnées Emarger Prendre un café, un thé Le parent correspondant au collège Représenter, Accueillir, Animer, Informer Le Parent correspondant Il est nommé pour l année scolaire,
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS
Avenue des Thermes - BP 71 01220 Divonne-les-Bains Tel/Fax : 04 50 20 29 15 Courriel : divonne.espacejeunes@alfa3a.org REGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS A compter du 1 er septembre 2014
Plus en détailDES VŒUX D ORIENTATION EN SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE PLUS FRÉQUEMMENT SATISFAITS
note d informationnovembre 13.24 Au cours de la dernière décennie, la part d élèves qui bénéficient d une décision d orientation en seconde générale et technologique en fin de troisième a sensiblement
Plus en détailP R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»
P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT1412044R Intitulé des textes : projet d ordonnance relative à la réforme du taux d intérêt légal et projet d arrêté fixant les catégories de prêts
Plus en détail