La taille des entreprises et le compromis entre le risque et le rendement

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1 N o 11F0027M au catalogue N o 087 ISSN ISBN Document analytque Sére de documents de recherche sur l analyse économque (AE) La talle des entreprses et le comproms entre le rsque et le rendement par Améle Lafrance Dvson de l analyse économque

2 Comment obtenr d autres rensegnements Pour toute demande de rensegnements au sujet de ce produt ou sur l ensemble des données et des servces de Statstque Canada, vster notre ste Web à Vous pouvez également communquer avec nous par : Courrel à nfostats@statcan.gc.ca Téléphone entre 8 h 30 et 16 h 30 du lund au vendred aux numéros sans fras suvants : Servce de rensegnements statstques Servce natonal d apparels de télécommuncatons pour les malentendants Télécopeur Programme des servces de dépôt Servce de rensegnements Télécopeur Comment accéder à ce produt Le produt no 11F0027M au catalogue est dsponble gratutement sous format électronque. Pour obtenr un exemplare, l sufft de vster notre ste Web à et de parcourr par «Ressource clé» > «Publcatons». Normes de servce à la clentèle Statstque Canada s engage à fournr à ses clents des servces rapdes, fables et courtos. À cet égard, notre organsme s est doté de normes de servce à la clentèle que les employés observent. Pour obtenr une cope de ces normes de servce, veullez communquer avec Statstque Canada au numéro sans fras Les normes de servce sont auss publées sur le ste sous «À propos de nous» > «Notre organsme» > «Offrr des servces aux Canadens». Publcaton autorsée par le mnstre responsable de Statstque Canada Mnstre de l Industre, 2013 Tous drots réservés. L utlsaton de la présente publcaton est assujette aux modaltés de l entente de lcence ouverte de Statstque Canada ( gc.ca/reference/copyrght-drot-auteur-fra.htm). Ths publcaton s also avalable n Englsh. Note de reconnassance Le succès du système statstque du Canada repose sur un partenarat ben établ entre Statstque Canada et la populaton du Canada, ses entreprses, ses admnstratons et les autres établssements. Sans cette collaboraton et cette bonne volonté, l serat mpossble de produre des statstques exactes et actuelles. Sgnes conventonnels Les sgnes conventonnels suvants sont employés dans les publcatons de Statstque Canada :. ndsponble pour toute pérode de référence.. ndsponble pour une pérode de référence précse... n ayant pas leu de fgurer 0 zéro absolu ou valeur arronde à zéro 0 s valeur arronde à 0 (zéro) là où l y a une dstncton mportante entre le zéro absolu et la valeur arronde p provsore r révsé x confdentel en vertu des dspostons de la Lo sur la statstque E à utlser avec prudence F trop peu fable pour être publé * valeur sgnfcatvement dfférente de l estmaton pour la catégore de référence (p<0,05)

3 La talle des entreprses et le comproms entre le rsque et le rendement par Améle Lafrance, Dvson de l'analyse économque, Statstque Canada 11F0027M, n o 087 ISSN ISBN Décembre 2013 Sére de documents de recherche sur l'analyse économque La sére de documents de recherche sur l analyse économque permet de fare connaître les travaux de recherche effectués par le personnel du secteur des comptes natonaux et la drecton des études analytques, les boursers nvtés et les unverstares assocés. Cette sére de documents de recherche a pour but de favorser la dscusson sur un évental de sujets tels que les répercussons de la nouvelle économe, les questons de productvté, la rentablté des entreprses, l utlsaton de la technologe, l ncdence du fnancement sur la crossance des entreprses, les fonctons de déprécaton, l utlsaton de comptes satelltes, les taux d épargne, le crédt-bal, la dynamque des entreprses, les estmatons hédonques, les tendances en matère de dversfcaton et en matère d nvestssements, les dfférences lées au rendement des pettes et des grandes entreprses et à celu des entreprses natonales et multnatonales ans que les estmatons relatves à la parté du pouvor d achat. Les lecteurs de la sére sont encouragés à communquer avec les auteurs pour leur fare part de leurs commentares et suggestons. Les documents sont dffusés prncpalement au moyen d Internet. On peut y accéder gratutement sur Internet, à Tous les documents de recherche de la sére de documents de recherche sur l'analyse économque font l objet d un processus de révson nsttutonnelle et d évaluaton par les pars afn de s assurer de leur conformté au mandat confé par le gouvernement à Statstque Canada en tant qu agence statstque et de leur plene adhéson à des normes de bonne pratque professonnelle, partagées par la majorté. Les documents de cette sére comprennent souvent des résultats provenant d analyses statstques multvarées ou d autres technques statstques. Il faut noter que les conclusons de ces analyses sont sujettes à des ncerttudes dans les estmatons énoncées. Le nveau d ncerttude dépendra de pluseurs facteurs : de la nature de la forme fonctonnelle de l analyse multvarée utlsée; de la technque économétrque employée; de la pertnence des hypothèses statstques sous-jacentes au modèle ou à la technque; de la représentatvté des varables prses en compte dans l analyse; et de la précson des données employées. Le processus de la revue des pars vse à garantr que les documents dans les séres correspondent aux normes étables afn de mnmser les problèmes dans chacun de ces domanes. Comté de révson des publcatons Drecton des études analytques, Statstque Canada 18 e étage, Immeuble R.-H.-Coats Ottawa, Ontaro K1A 0T6 Remercements L auteure remerce John Baldwn, Jay Dxon et Rod Story de leurs commentares utles.

4 Table des matères Résumé... 5 Sommare Introducton Rentablté et talle des entreprses Sources de données et approche analytque Rsque Statstques descrptves Régresson lnéare Régresson par quantle Caractérstques des entreprses selon les quntles Concluson Bblographe Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

5 Résumé Le rsque est-l mportant pour explquer les dfférences de rentablté selon les catégores de talle d entreprse? La présente étude utlse un ensemble de données longtudnales à l échelle de l entreprse pour examner les détermnants de la rentablté selon la talle de l entreprse, en s attardant prncpalement au rsque, c est-à-dre à la volatlté des taux de rendement. L étude prend appu sur la recherche antéreure, qu a révélé que les entreprses comptant de 10 à 20 employés ont tendance à être les plus rentables. Les résultats d une régresson lnéare montrent que la prse en compte du rsque rédut l écart entre les taux de rendement des pettes et des grandes entreprses, mas sans l élmner. Les résultats d une régresson par quantle ndquent qu'l en est ans partculèrement pour les entreprses ayant les taux de rendement les plus élevés. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

6 Sommare L assocaton entre la talle et le rendement des entreprses contnue de suscter l ntérêt des chercheurs et des décdeurs. Les pettes et moyennes entreprses reçovent beaucoup d attenton, car elles présentent un potentel de crossance consdérable. Toutefos, comparatvement aux grandes entreprses, ces entreprses sont plus susceptbles de fare fallte et comportent plus de rsques. La plupart des études sur la talle et la rentablté des entreprses ont révélé que les grandes entreprses ont tendance à être mons rentables que les pettes entreprses, mas la rentablté des grandes entreprses est également mons volatle que celle des pettes entreprses. En tenant compte de l argument selon lequel l peut exster un comproms entre le rsque et le rendement, l est possble que les taux de rendement plus élevés des pettes entreprses contrebalancent le rsque mportant qu leur est nhérent. En applquant tros mesures du rsque l écart-type et l asymétre des taux de rendement ndvduels au fl du temps et l écart-type des rendements par rapport à la moyenne de l ndustre, cette étude examne s les dfférences entre la rentablté des pettes, des moyennes et des grandes entreprses dsparassent lorsque le rsque est prs en compte. L ntégraton de l écart-type dans la répartton du rendement de l actf au cours de la pérode de 2000 à 2009 selon une régresson lnéare rédut les dfférences de taux de rendement selon la talle de l entreprse, mas ne les élmne pas. D autres facteurs que le rsque, tel qu'l est mesuré dans cette étude, sont assocés aux taux de rendement relatvement élevés des pettes entreprses. Comme la dstrbuton du rendement de l actf dans les dverses catégores de talle a tendance à présenter une asymétre postve, on a applqué une méthode de régresson par quantle pour détermner s le rendement de l actf vare selon les catégores de talle et les quantles et pour établr s l effet du rsque vare en foncton du quantle. Les résultats montrent, selon le rendement de l actf, que les entreprses comptant de 10 à 20 employés sont plus rentables que les entreprses fasant parte des autres catégores de talle dans la plupart des quantles; l en est ans partculèrement dans les quantles supéreurs ceux du groupe d'entreprses ayant les taux de rendement les plus élevés. Cette analyse lasse entendre que les moyennes entreprses possèdent des caractérstques qu les dstnguent des entreprses des autres catégores de talle. Notamment, les moyennes entreprses ont un rato d endettement relatvement fable. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

7 1 Introducton L assocaton entre la talle et le rendement des entreprses contnue de suscter l ntérêt des chercheurs et des décdeurs. De façon générale, les pettes et moyennes entreprses reçovent beaucoup d attenton, car elles présentent un potentel de crossance consdérable. Toutefos, ces entreprses dovent souvent supporter des coûts de fnancement plus élevés et sont plus susceptbles de fare fallte que les grandes socétés. Généralement, les entreprses affchent une crossance correspondant à l augmentaton de la demande pour leurs produts ou leurs servces. Dans le présent document, on examne s le rendement de l entreprse, mesuré d après la rentablté, correspond à l augmentaton de sa talle. Les résultats des études antéreures portant sur l assocaton entre la talle et la rentablté des entreprses sont mtgés. On mentonne souvent que les taux de rendement décrossent lorsque la talle des entreprses augmente (Osborn 1950; Stekler 1964; Samuels et Smyth 1968; Neumann et coll. 1979; Shapro 1980). Une récente étude canadenne révèle une relaton en forme de U nversé entre les taux de proft et la talle des entreprses : la rentablté augmente jusqu à une certane catégore de talle (celle des entreprses comptant de 10 à 20 employés) et dmnue dans les catégores qu suvent (Lafrance 2012). Cette relaton prévaut dans la majorté des ndustres et des provnces. Il peut également y avor une assocaton entre la talle, le rsque et le rendement des entreprses, qu rend compte de ce rapport entre la rentablté et la talle. De nombreuses personnes soutennent qu l exste un comproms entre le rsque et le rendement, c est-à-dre que les taux élevés ne s obtennent que s l on prend des rsques. Le rsque est souvent mesuré par la volatlté des taux de rendement. Par exemple, le modèle d évaluaton des actfs fnancers (MEDAF) (Sharpe 1964; Lntner 1965) repose sur la noton selon laquelle plus l acton présente un rsque, plus le rendement prévu est élevé. Par conséquent, des taux de rendement élevés selon la talle des entreprses peuvent unquement refléter des bénéfces mons stables et un rsque plus élevé pour les pettes entreprses. Comparatvement aux grandes socétés, les pettes (et moyennes) entreprses ont tendance à prendre plus de rsques et à composer avec une ncerttude plus grande. L étude de Lafrance (2012) fat état d une volatlté plus forte des taux de rendement (entre les groupes et de façon ntertemporelle) parm les pettes entreprses, en partculer les plus pettes. Cependant, cette analyse est descrptve et ne se penche pas drectement sur la relaton entre le rsque et le rendement. La présente étude cherche à détermner s les dfférences de rentablté selon la talle de l entreprse dsparassent lorsque le rsque ans que d autres facteurs assocés à la rentablté sont prs en compte dans un cadre multvaré. S les dfférences entre les taux de rendement ne dsparassent pas (ou même devennent plus mportantes), l est possble que les pettes entreprses possèdent certanes autres caractérstques qu leur permettent d être plus rentables que les grandes socétés. Le document emploe l'analyse multvarée pour examner les détermnants de la rentablté selon la talle de l entreprse en s attardant prncpalement au rsque (ou la volatlté des taux de rendement). Il est structuré de la façon suvante : la secton 2 décrt la relaton entre la rentablté et la talle des entreprses; la secton 3 décrt les sources de données et les modèles d analyse; la secton 4 présente les statstques descrptves; la secton 5 présente les résultats du modèle de régresson lnéare qu permet d'examner comment la rentablté est lée au rsque et à d'autres caractérstques des entreprses telles que la talle et la natonalté; la secton 6 présente les résultats du modèle de régresson par quantle; la secton 7 décrt les Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

8 dfférences entre les dverses caractérstques dans l ensemble des quntles et des catégores de talle d entreprse; et la secton 8 présente les conclusons. 2 Rentablté et talle des entreprses Afn de ben stuer le contexte, on décrt c les prncpaux résultats de l examen de Lafrance (2012) du rendement de l actf (RDA) dans dverses catégores de talle d entreprse au cours de la pérode s échelonnant de 2000 à Graphque 1 Rendement de l actf moyen, selon la catégore de talle d entreprse, Canada, 2000, 2009 et 2000 à 2009 Rendement de l'actf (pourcentage) 8,5 8,0 7,5 7,0 6,5 6,0 5,5 5,0 4,5 4,0 3,5 < 1 1 à < 5 5 à < à < à < à < à < 500 Plus de 500 Talle de l'entreprse (unté moyenne de man-d'œuvre) Moyenne (toutes les années) Sources : Lafrance (2012); Statstque Canada, Programme d'analyse longtudnale de l'emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l'unvers statstque de l'mpôt des socétés. Le RDA présentat une forme en U nversé, accentuée selon la talle de l entreprse jusqu à un certan seul (entreprses comptant de 10 à 20 employés), pus cessant d être accentuée par la sute (graphque 1). Cette tendance prévalat en 2000 et en 2009 et état celle qu domnat en moyenne au cours de la pérode complète. En outre, la courbe en forme de U nversé caractérsat la majorté des ndustres et des régons, en partculer celles qu présentaent les taux de rentablté moyenne les plus élevés. L étude de Lafrance (2012) examnat également la relaton entre le RDA et la dsperson des gans dans un même groupe (dans une catégore de talle) au moyen du coeffcent de varaton des taux de proft, et de façon ntertemporelle au moyen de l écart-type pour les taux de rendement de chacune des entreprses au cours de la pérode. Les deux mesures ndquaent que les plus pettes entreprses présentaent la plus forte varaton du RDA. Les entreprses fasant parte de la catégore de talle moyenne, qu affchaent le RDA le plus élevé, avaent tendance à présenter des taux de rendement dont la varablté état relatvement fable. La plus fable varablté du RDA dans un même groupe se trouvat parm les plus grandes socétés. En bref, l analyse a révélé une relaton entre la rentablté et la talle des entreprses, mas également des varatons de la rentablté selon la talle des entreprses. Toutefos, l étude n a pas détermné s la prse en compte des varatons de la rentablté dans un cadre multvaré Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

9 donnerat leu à une réducton des dfférences de taux de rendement selon les catégores de talle. La présente étude examne cette queston. 3 Sources de données et approche analytque L ensemble de données utlsé dans le cadre de cette analyse est la base de données longtudnale des entreprses PALE-T2 de Statstque Canada couvrant la pérode de 2000 à L ensemble de données se rapporte aux entreprses consttuées en socété au Canada qu embauchent du personnel. Il renferme de l nformaton détallée trée des états fnancers des entreprses, y comprs les blans et les états des résultats, ans qu une mesure des emplos qu est utlsée pour calculer la talle de l entreprse. Cette étude est fondée sur un modèle de rsque et de rendement élaboré par Fsher et Hall (1969), qu soutenaent qu une grande varance dans la répartton des bénéfces sgnfe un plus grand rsque et devrat donner leu à des prmes de rsque plus mportantes dans les entreprses qu sont réfractares au rsque. Cela sgnfe que les bénéfces dovent être plus élevés, en moyenne, dans les entreprses dont la varaton des bénéfces est plus élevée que dans les entreprses dont les bénéfces varent relatvement peu. Fsher et Hall (1969) ont estmé la relaton entre le taux de rendement moyen et l exposton au rsque au moyen de dverses mesures du rsque. Le modèle utlsé dans le présent document complète le modèle de Fsher et Hall en contrôlant également la talle et d autres varables assocées au taux de rendement d une entreprse. Le modèle est exprmé ans : Où r ( ) = f talle, rsque, concentraton, dvers, étranger, nd, (1) * j * r est le taux moyen de rendement de l actf de l entreprse au cours de la pérode de 2000 à 2009; où où talle est la talle de l entreprse ; où rsque est le rsque estmatf de l entreprse ; concentraton j est le degré de concentraton des entreprses dans l ndustre j; où dvers est le degré de dversfcaton de l entreprse ; où étranger est égal à 1 s le pays de contrôle de l entreprse se stue en dehors du Canada; et où nd est un ensemble de varables nomnales de l ndustre qu contrôle l ndustre de l entreprse, selon le code à deux chffres du Système de classfcaton des ndustres de l Amérque du Nord (SCIAN). La queston est de détermner s le coeffcent de la talle d'entreprse vare lorsque le rsque et d'autres facteurs sont nclus dans l'analyse. La rentablté est mesurée par le rendement de l actf (RDA), qu est défn comme le bénéfce net avant les fras d ntérêt après mpôts 1, dvsé par l actf total. Il s agt là de la mesure conventonnelle de la rentablté, mas auss d un ndcateur de l effcacté avec laquelle une entreprse gère ses nvestssements dans des actfs et les utlse pour générer des profts 2. La talle de l entreprse est mesurée en foncton de l emplo, lequel est dérvé du PALE, selon la masse salarale totale d une entreprse, dvsée par les revenus horares moyens gagnés au 1. Les paements d ntérêts sur les prêts sont rajustés en prévson du tratement fscal selon l nformaton complée par la Fondaton canadenne de fscalté. 2. Le rendement des captaux engagés est une autre mesure de la rentablté. Lorsque les régressons étaent de nouveau estmées au moyen du rendement des captaux engagés plutôt que du rendement de l actf, les résultats étaent semblables sur le plan qualtatf. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

10 sen de l ndustre dont fat parte l entreprse, conformément à l Enquête sur l emplo, la rémunératon et les heures de traval 3. La concentraton d une ndustre peut avor une ncdence sur la rentablté lorsque le pouvor de marché assocé à cette concentraton se manfeste par des taux de rendement accrus. Elle est généralement mesurée en pourcentage de la part de marché d une ndustre qu est contrôlée par les prncpales socétés de cette ndustre. Dans la présente étude, cette concentraton mesure le degré de concurrence au sen de l ndustre. Certanes études révèlent que les profts dmnuent en foncton du nombre de concurrents (Hurdle 1974; Neumann et coll. 1979; Shapro 1980; McDonald 1999). Une ndustre comptant de nombreuses pettes entreprses est susceptble de présenter un fable rato de concentraton. Dans le cadre de la présente étude, la concentraton est mesurée comme étant la part des tros socétés domnantes, exprmée par le code à quatre chffres du SCIAN. Cette part est estmée chaque année au cours de la pérode s échelonnant de 2000 à La dversfcaton se produt lorsqu une entreprse multple ses actvtés ou ses produts au sen d une ndustre qu dffère de celle dans laquelle elle mène ses prncpales actvtés. Les entreprses peuvent se dversfer au sen d autres secteurs afn d augmenter leur emprse sur le marché, de trer proft des possbltés de rénvestr les bénéfces de façon rentable et d utlser des ressources sous-utlsées 5,6. Cependant, la dversfcaton peut auss donner leu à une perte de contrôle de la drecton 7. En moyenne, les entreprses affchant des taux de dversfcaton élevés ont tendance à être mons rentables que celles présentant des taux de dversfcaton plus fables (Montgomery 1994). Le fcher PALE-T2 content de l nformaton sur les tros ndustres les plus domnantes assocées à une entreprse, selon la mesure de l emplo du PALE. Pour les besons de la présente étude, s une entreprse compte des employés œuvrant dans un secteur hors de sa prncpale ndustre (défne selon le code à deux chffres du SCIAN), cette entreprse a la caractérstque d être «dversfée». Le rendement des entreprses contrôlées par des ntérêts natonaux et étrangers peut dfférer. Des travaux antéreurs démontrent que les entreprses explotées au Canada, mas contrôlées par des ntérêts étrangers affchent souvent une plus forte productvté que leurs homologues contrôlées par des ntérêts natonaux (Baldwn et Gellatly 2007). En utlsant le rendement des captaux, Warren (2005) a détermné que durant les années 1990, les entreprses contrôlées par des ntérêts amércans étaent généralement plus rentables que les entreprses contrôlées par des ntérêts canadens. Le fcher PALE-T2 ne content pas de rensegnements sur le pays de contrôle. Une parte de ces rensegnements ont été trés du Fcher générque de l unvers d enquête (FGUE) du Regstre des entreprses. Ces rensegnements sont regroupés à partr des annexes «Partcpaton au captal-actons» présentées chaque année à Statstque Canada par les socétés responsables, en vertu de la Lo sur les déclaratons des personnes morales. Il s agt de socétés dont le revenu brut est supéreur à 80 mllons de dollars, dont l actf excède 200 mllons de dollars et dont la dette à long terme ou les captaux propres dus à des nonrésdents excèdent une valeur comptable de 1 mllon de dollars. L nformaton sur les socétés 3. Pour obtenr de plus amples rensegnements sur le PALE-T2 et sur la façon dont on calcule la mesure de l emplo, consultez Lafrance et Leung (2009). 4. L ndce Herfndahl est une autre mesure de la concentraton, calculée en foncton de la somme des parts de marché au carré de toutes les entreprses évoluant au sen d une ndustre, selon le code à quatre chffres du SCIAN. Les régressons effectuées au moyen de cet ndce plutôt qu au moyen du rato de concentraton précsé donnent les mêmes résultats, sur le plan qualtatf. 5. Montgomery (1994) présente une revue détallée de la lttérature portant sur les prncpaux facteurs de dversfcaton. 6. La dversfcaton des produts peut également représenter une forme de dversfcaton du rsque. 7. Baldwn et Wang (2011) constatent que les usnes appartenant à des entreprses présentes dans d autres secteurs ont tendance à être cédées plus souvent. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

11 qu n excèdent pas ces seuls est trée des données admnstratves fournes par l Agence du revenu du Canada (ARC) (Statstque Canada 2012). 3.1 Rsque La présente étude vse à détermner s la prse en compte du rsque dans un cadre multvaré qu comprend des mesures du rsque affablt la relaton entre la talle des entreprses et les taux de rendement. Dverses mesures peuvent servr à tenr compte du rsque. Fsher et Hall (1969) soutenaent qu une plus grande varance dans la répartton des bénéfces révélat un rsque plus élevé. Cette mesure a souvent serv dans les travaux sur la rentablté et le rsque (Stekler 1964; Samuels et Smyth 1968; Hurdle 1974; Shapro 1980). Fsher et Hall ont également mesuré le rsque en tant qu asymétre de la répartton des bénéfces une asymétre postve suppose une mons grande exposton au rsque et une asymétre négatve suppose une plus grande exposton au rsque, ce qu devrat donner leu à une plus forte prme de rsque. À l nstar de Fsher et Hall (1969), les varables de rsque sont calculées de la façon suvante dans le cadre de la présente analyse : et ( rt r ) 1/2 2 n σ =, (2) t= 1 n S n t= 1 ( r ) 3 t r =, (3) nσ 3 Où r t est le taux de rendement observé de l entreprse au cours de l année t; où r est le taux de rendement moyen de l entreprse au cours de la pérode t; où σ est l écart-type des taux de rendement de l entreprse ; où S est l asymétre des taux de rendement de l entreprse ; et où n est le nombre d années comprses dans l échantllon. L échantllon se lmte aux entreprses qu sont demeurées en actvté au cours de la pérode de 2000 à En outre, Fsher et Hall (1969) ont estmé une deuxème mesure du rsque l écart-type des taux de rendement moyens des entreprses par rapport au taux de rendement moyen de l ndustre en soutenant que cette mesure état pertnente au rsque prs par une entreprse qu entrat dans une ndustre. La mesure ntra-ndustrelle du rsque est calculée de la façon suvante : n m 2 ( rt Rj ) = nm 1 1/2 t= 1 = 1 σ j, (4) 8. Une autre mesure du rsque souvent utlsée dans la lttérature fnancère sur le MEDAF (coavarance du taux d une entreprse et du total, ou taux du marché) a été examnée dans la présente analyse, mas n état pas sgnfcatve sur le plan statstque dans le modèle de régresson et avat peu d ncdence sur les coeffcents de talle. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

12 où σ j est l écart-type des taux de rendement des entreprses correspondant plus ou mons à la moyenne au sen de l ndustre j; où R j est le taux de rendement moyen dans l ndustre j; où r t est le taux de rendement de l entreprse au cours de l année t; où n est le nombre d années dans l échantllon; et où m est le nombre d entreprses consttuant l ndustre j. On utlse le code à quatre chffres de la classfcaton ndustrelle du SCIAN. Pusque les varables du rsque sont estmées au fl du temps, l échantllon est lmté aux entreprses qu ont poursuv leurs actvtés au cours de la pérode de 2000 à 2009, c est-à-dre les entreprses explotées en 2000 et en Statstques descrptves Le tableau 1 présente les statstques descrptves de chacune des varables du modèle de régresson et des varables supplémentares qu seront abordées ultéreurement, selon la catégore de talle d entreprse. Les catégores de talle sont fondées sur l unté moyenne de man-d œuvre (UMM), une mesure de l emplo trée de la masse salarale d une entreprse et des revenus horares moyens prévalant au sen de l ndustre dont l entreprse fat parte. Pusque les taux salaraux d une entreprse peuvent être mondres que les revenus horares moyens de l ndustre, la talle de l entreprse peut être «nféreure à 1» UMM pour les pettes entreprses. Ce groupe comprend les entreprses qu ont commencé à mener leurs actvtés vers la fn de l exercce fnancer et peut donc comprendre les démarrages d entreprse dont l effectf se chffre à mons de 1 selon la mesure de l UMM. Voc les autres catégores de talle d entreprse : 1 à mons de 5 UMM; 5 à mons de 10 UMM; 10 à mons de 20 UMM; 20 à mons de 50 UMM; 50 à mons de 100 UMM; 100 à mons de 500 UMM; et plus de 500 UMM. Le rendement de l actf (RDA) moyen selon la talle de l entreprse sut une courbe en forme de U nversé, accentuée jusqu à la catégore de talle de 10 à mons de 20 UMM et cessant d être accentuée dans les catégores de talle plus grande (tableau 1). Le RDA est au plus fable dans les plus pettes entreprses («mcroentreprses»), tendance qu se mantent lorsqu on applque d autres mesures de la rentablté, comme le rendement des captaux propres et le rato de la marge d explotaton (Lafrance 2012). Les dverses mesures du rsque présentent un portrat hétérogène de l ensemble des catégores de talle. L écart-type et l asymétre du RDA sont les plus élevés pour les plus pettes entreprses, sot 1,5 % et 18,3 %, respectvement. L écart-type du RDA chute constamment en foncton de la talle de l entreprse, tands que l asymétre du RDA chute jusqu à la catégore de talle de 10 à mons de 20 UMM, pus augmente. La tendance de l asymétre du RDA dans l ensemble des talles d entreprse est semblable à la courbe nversée du RDA moyen observé au graphque Il est possble qu une entreprse passe d une catégore de talle à une autre au cours de la pérode. Par conséquent, la catégore de talle de chaque entreprse est détermnée par le mode de 2000 à L utlsaton d un autre paramètre, tel que la talle moyenne au cours de la pérode, n a eu aucune ncdence sur les résultats. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

13 Tableau 1 Statstques descrptves des entreprses demeurées en actvté, selon la catégore de talle d entreprse, Canada, 2000 à 2009 Catégore de talle d'entreprse (unté moyenne de man-d'oeuvre) < 1 1 à < 5 5 à < à < à < à < à < 500 Plus de 500 pourcentage Rendement de l'actf moyen 6,9 8,8 10,2 10,2 9,3 8,4 7,6 7,3 nombre Rsque Écart-type 1 0,115 0,115 0,104 0,095 0,082 0,074 0,075 0,070 As ym étre 2 0,183 0,120 0,075 0,051 0,058 0,091 0,084 0,138 Industre Écart-type 3 0,027 0,029 0,030 0,030 0,030 0,029 0,029 0,029 pourcentage Rato de concentraton 19,5 18,7 19,1 19,7 20,3 22,9 26,3 33,8 Dversfcaton 0,1 0,3 0,7 1,3 2,6 4,5 10,4 36,7 Contrôle étranger 0,2 0,2 0,5 0,9 2,0 5,3 15,4 39,3 Crossance médane des ventes 3,7 4,3 4,5 4,8 5,0 4,8 5,3 4,9 Crossance médane de l'emplo 5,4 4,4 3,7 3,8 3,3 2,9 3,1 1,9 Rato d'endettement médan 61,0 60,6 58,4 59,3 64,6 69,2 70,0 62,6 1. Écart-type des taux de rendement au cours de la pérode de 2000 à Vor l équaton Asymétre des taux de rendement au cours de la pérode de 2000 à Vor l équaton Écart-type des taux de rendement par rapport à la moyenne de l ndustre. Vor l équaton 4. Sources : Statstque Canada, Programme d analyse longtudnale de l emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l Unvers statstque de l mpôt des socétés. L écart-type des RDA par rapport à la moyenne de l ndustre est d envron 3 % dans toutes les catégores de talle d entreprse. Cela ndque que, quelle que sot leur talle, les entreprses assument un rsque semblable en termes de volatlté. Parm les autres facteurs pouvant être assocés à la rentablté, mentonnons la concentraton de l ndustre, la dversfcaton et la part d ntérêts étrangers. Dans tous les cas, on observe un rato plus élevé dans les grandes socétés. Les entreprses ayant plus de 500 UMM évoluent dans des ndustres où le rato de concentraton est supéreur à 33 %. Les entreprses ayant mons de 20 UMM évoluent dans des ndustres où le rato est nféreur à 20 %. La dversfcaton dans une ndustre autre que celle dans laquelle l entreprse mène ses prncpales actvtés est également plus courante dans les grandes socétés 37 % des plus grandes socétés dversfent leurs actvtés. Par contre, le pourcentage des pettes entreprses comptant des employés dans des secteurs ne fasant pas parte de la prncpale ndustre de l entreprse est de 10 % ou mons. Le pourcentage des entreprses contrôlées par une entté étrangère passe de mons de 1 % des entreprses ayant mons de 1 UMM à presque 40 % des entreprses ayant plus de 500 UMM. La crossance des ventes et de l emplo et le rato d endettement sont ntégrés aux statstques sommares, car ls sont supposés avor une ncdence sur la rentablté de l entreprse. La crossance des ventes a tendance à être plus forte lorsque la talle de l entreprse augmente, tands que la crossance de l emplo est mons forte lorsque la talle de l entreprse augmente. Les ratos des ventes à la man-d œuvre sont une mesure de la productvté du traval. Les grandes entreprses ont donc une productvté du traval plus élevée probablement parce qu elles utlsent plus de captal par travalleur. Le rato d endettement moyen, qu est une mesure de la capacté de l entreprse de garantr ses dettes au moyen de son actf, est supéreur à 60 % dans la majorté des catégores de talle et légèrement sous les 60 % dans les entreprses fasant parte du groupement de talle de 5 à mons de 20 UMM. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

14 5 Régresson lnéare Pour permettre d examner la relaton entre la talle, le rsque et le RDA de l entreprse, le tableau 2 présente des estmatons par étape. Tous les modèles sont estmés pour les entreprses demeurées en actvté au cours de la pérode de 2000 à 2009 au moyen des mondres carrés ordnares et comprennent des varables bnares de l ndustre selon le code à deux chffres du SCIAN. Le modèle 1 content seulement un ensemble de varables bnares pour chaque catégore de talle et des varables bnares de l ndustre. Comme le montrent les statstques descrptves de la secton 4, le RDA augmente jusqu à la catégore de talle de 10 à mons de 20 UMM. Les entreprses fasant parte de cette catégore présentent un RDA qu est supéreur de presque 4 % à celu des entreprses fasant parte de la catégore de base (les plus pettes entreprses mons de 1 UMM). Les entreprses fasant parte de la catégore de talle de 5 à mons de 10 UMM ne sont pas lon derrère, affchant un RDA supéreur de 3,5 % à celu des «mcroentreprses». Les modèles 2 à 4 comprennent l ensemble complet des corrélats décrts dans la secton précédente et des varables de contrôle du rsque. Un rato de concentraton de l ndustre élevé est assocé à un RDA élevé. Une augmentaton de 1 % de la concentraton de l ndustre peut se tradure par une augmentaton maxmale de 2 % du RDA. Conformément aux résultats obtenus par Montgomery (1994), dans tous les modèles, les entreprses actves (ou menant des actvtés) dans une ndustre autre que leur prncpale ndustre (dversfcaton) affchent un RDA plus fable que celu des entreprses actves dans une seule ndustre. Les modèles 3 et 4 donnent à penser que la dfférence entre le RDA des entreprses sous contrôle étranger et celu des entreprses natonales après 2000 n est pas sgnfcatve sur le plan statstque. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

15 Tableau 2 Coeffcents estmatfs trés d une sére de modèles de régresson par les mondres carrés ordnares du rendement de l actf des entreprses demeurées en actvté, Canada, 2000 à 2009 Modèle 1 Modèle 2 Modèle 3 Modèle 4 estmaton valeur p estmaton valeur p estmaton valeur p estmaton valeur p Varables Varables bnares de la talle 1 à < 5 UMM 0,0203 0,0000 0,0203 0,0000 0,0209 0,0000 0,0175 0, à < 10 UMM 0,0353 0,0000 0,0379 0,0000 0,0388 0,0000 0,0310 0, à < 20 UMM 0,0367 0,0000 0,0416 0,0000 0,0428 0,0000 0,0329 0, à < 50 UMM 0,0291 0,0000 0,0370 0,0000 0,0381 0,0000 0,0267 0, à < 100 UMM 0,0206 0,0000 0,0305 0,0000 0,0311 0,0000 0,0202 0, à < 500 UMM 0,0122 0,0000 0,0226 0,0000 0,0233 0,0000 0,0120 0,0000 Plus de 500 UMM 0,0073 0,0000 0,0217 0,0000 0,0218 0,0000 0,0083 0,0000 Rsque Écart-type ,2219 0,0000 0,2254 0, Asym étre ,0130 0, Industre Écart-type ,9653 0,0000 Concentraton ,0224 0,0000 0,0204 0,0000 0,0147 0,0000 Concentraton au carré ,0527 0,0000-0,0498 0,0000-0,0295 0,0000 Dversfcaton ,0048 0,0000-0,0061 0,0000-0,0068 0,0000 Étranger ,0008 0,6380 0,0003 0,8410 0,0022 0,2070 Constante 0,0578 0,0000 0,0352 0,0000 0,0335 0,0000-0,0221 0,0000 Modèle 1 Modèle 2 Modèle 3 Modèle 4 Statstques dagnostques Nombre d'observatons R-carré 0,0555 0,0806 0,0935 0,0691 n'ayant pas leu de fgurer 1. Écart-type des taux de rendement de l'entreprse. 2. Asymétre des taux de rendement de l'entreprse. 3. Industre Écart type des taux de rendement des entreprses par rapport à la moyenne de l'ndustre j. Note : UMM sgnfe «unté moyenne de man-d œuvre». Des varables bnares de l ndustre ont été ntégrées à toutes les régressons. La catégore de base est < 1 UMM. Sources : Statstque Canada, Programme d analyse longtudnale de l emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l Unvers statstque de l mpôt des socétés. Toutes les mesures du rsque utlsées c ont une ncdence postve et consdérable sur le RDA. L estmaton du paramètre lé à l écart-type du RDA des entreprses dans les modèles 2 et 3 ndque qu une augmentaton d une unté de l écart-type des taux de rendement est assocée à une augmentaton de 22 % du RDA moyen. L asymétre des taux de rendement a auss un effet postf sur le RDA. Il serat ntéressant de détermner s les coeffcents mesurant les dfférences de rentablté selon les catégores de talle déjà générées par le modèle 1 dmnuent lorsque ces corrélats, en partculer le rsque, sont prs en compte. La dfférence entre les coeffcents de talle du modèle 1 et ceux des modèles 2 et 3 est notable, en partculer dans les catégores de talle plus grande, ce qu est en parte prs en compte par les covarables du modèle ms à part le rsque. Toutefos, les dfférences entre les coeffcents de talle du modèle 1 et des modèles 2 et 3 devennent plus mportantes au fur et à mesure que la talle augmente. La rentablté décrot mons lorsque la talle augmente au-delà de la catégore de talle d entreprse «10 à 20 employés». De plus, les tests de sgnfcaton montrent que les coeffcents assocés à la catégore de talle allant de 1 à mons de 5 UMM et à la catégore de talle de plus de 500 UMM étaent dfférents, sur le plan statstque, dans le modèle 1, mas pas dans le modèle 2. Par conséquent, la prse en compte du rsque, partculèrement mesuré au Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

16 moyen de l écart-type des taux de rendement des entreprses, rédut, mas n élmne pas complètement, les dfférences entre les taux de rendement des pettes et des grandes entreprses. Ce qu mporte encore plus, ben que le contrôle du rsque rédut les dfférences entre la rentablté des pettes et des grandes entreprses, c est que les entreprses fasant parte des catégores de talle du mleu demeurent les plus rentables. La prse en compte du rsque permet de rédure les dfférences de taux de rendement selon les catégores de talle, mas les entreprses du groupe de 10 à 20 employés, en moyenne, présentent encore un RDA plus élevé que les grandes socétés. Par conséquent, selon la mesure en queston, le rsque est mportant, mas n explque pas complètement les dfférences de rentablté selon les catégores de talle 10. Il rédut cependant les dfférences entre les queues (les pettes et les grandes) de la dstrbuton par catégore de talle d entreprse. S le rsque et les varables qu devraent généralement nfluencer la rentablté ne peuvent explquer complètement pourquo les pettes et moyennes entreprses ont des taux de proft plus élevés, l est possble que d autres facteurs soent en cause. 6 Régresson par quantle La majorté des modèles de régresson, dont les modèles de régresson lnéare, sont axés sur la moyenne (on les appelle également les modèles de moyenne condtonnelle). Ces modèles se prêtent le meux à l estmaton ou à la prédcton de la valeur moyenne d une varable en foncton de la valeur de pluseurs autres varables. Mas comme ces technques supposent qu l est ndqué d utlser la moyenne, l est possble qu elles ne convennent pas aux dstrbutons à queue lourde comme celles des taux de rendement. Une des solutons de rechange est la régresson par quantle, qu établt le modèle des quantles condtonnels comme fonctons des prédcteurs (Hao et Naman 2007). La régresson par quantle modèle les changements dans le quantle condtonnel assocés à un changement dans les covarables. Grâce à la régresson par quantle, l est possble de s attarder à des groupes de populaton précs, au p e quantle. La régresson par médane, qu décrt auss l emplacement central d une dstrbuton, est un cas partculer de régresson par quantle, estmée au 0,5 e quantle. L échantllon examné dans le présent document est consttué d entreprses demeurées en actvté qu se stuent entre le 5 e et le 95 e centle, selon le RDA. Cependant, la dstrbuton du RDA vare selon les catégores de talle d entreprse (graphque 2). Aucune des dstrbutons n est normale. La plupart d entre elles ont des queues drotes plus grandes (elles présentent une asymétre postve). Ans, l se peut qu une régresson de moyenne condtonnelle ne convenne pas à la présente analyse, pusque 1) les moyennes dffèrent d une catégore de talle à l autre et 2) les dstrbutons présentent une asymétre postve. Cela peut explquer pourquo le contrôle du rsque a peu d effet sur la varaton du RDA d une catégore de talle à l autre. Une régresson par quantle qu tent compte des dstrbutons llustrées au graphque 2 sert à détermner s le RDA vare selon les catégores de talle et les quantles du taux de rendement, et s l effet du rsque vare selon le quantle. La régresson s exprme ans : 10. Pour tester la forme fonctonnelle, les moments du second ordre de la mesure du rsque ont été ajoutés au modèle 3 (varance du taux de rendement au fl du temps). Cela n a eu aucune ncdence sur la concluson et les résultats ne dépendent donc pas de la lnéarté de la forme fonctonnelle. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

17 8 θ θ θ θ θ θ θ θ θ = 0 + 1s j s= 1 r b b Talle b Rsque b Concentraton b Dvers b Étranger b Ind u, (5) pour θ = 0,05,0,10,..., 0,90, 0,95. L'ndce s représente les hut catégores de talle. Les varables comprses dans la régresson sont celles de l équaton 1. En tout, 19 régressons sont estmées. Graphque 2 Dstrbuton du rendement de l actf des entreprses demeurées en actvté, selon la talle d entreprse, Canada, 2000 à 2009 Fréquence (pourcentage) ,5 15 Rendement de l'actf < 1 UMM 1 à < 5 UMM 5 à < 10 UMM 10 à < 20 UMM 20 à < 50 UMM 50 à < 100 UMM 100 à < 500 UMM Plus de 500 UMM Dstrbuton normale Note : UMM sgnfe «unté moyenne de man-d'œuvre». Sources : Statstque Canada, Programme d'analyse longtudnale de l'emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l'unvers statstque de l'mpôt des socétés. Deux ensembles de régressons par quantle ont été estmés. Le premer comprend seulement un ensemble de varables bnares pour chaque catégore de talle et des varables bnares de l ndustre, comme la régresson lnéare. Le deuxème est la régresson complète (équaton 5), au moyen de l écart-type des taux de rendement des entreprses au fl du temps et de l asymétre dans les taux de rendement, comme mesure du rsque. Les coeffcents de catégore de talle fgurent aux graphques 3 et 4, dans lesquels la catégore de talle de base est «UMM nféreure à 1». S une lgne se trouve au-dessus de l axe horzontal qu crose le zéro, la catégore de talle donnée présente un RDA plus élevé comparatvement à celu du groupe de base, au quantle donné. Une lgne qu se trouve sous l axe horzontal qu crose le zéro représente un RDA plus fable que celu du groupe de base, au quantle donné. Dans le quantle du plus fable taux de rendement, on observe une légère dfférence dans les coeffcents de catégore de talle des entreprses ayant plus de 5 UMM (graphque 3). Aux quantles plus élevés, la dfférence s élargt et, dans le quantle supéreur, la dsperson entre les pettes et les grandes entreprses est à son maxmum. En outre, dans le cas des catégores de talle plus grande, les coeffcents dmnuent constamment, avec chaque quantle. Les entreprses fasant parte de la catégore de talle de 5 à mons de 20 UMM affchent constamment un RDA supéreur (plus de 3 % dans la majorté des quantles). Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

18 Lorsque l ensemble complet des covarables est ntégré, on vot un portrat légèrement dfférent (graphque 4). Horms un déplacement général des coeffcents vers le bas, l y a peu de changement dans la queue nféreure ou dans les quantles nféreurs. Dans la queue supéreure, on observe une tendance des coeffcents vers le haut. Les dfférences entre les coeffcents à cette extrémté de la dstrbuton sont mons prononcées que celles dans le graphque 3. Autrement dt, la prse en compte du rsque et des autres covarables rédut l écart du RDA entre les pettes et les grandes entreprses dans la queue supéreure, mas n élmne pas cet écart. De plus, les coeffcents des quantles des entreprses des catégores de talle de 5 à mons de 20 UMM s accrossent (la courbe tend vers le haut). Graphque 3 Coeffcents estmatfs des catégores de talle d entreprse établs à partr des modèles de régresson par quantle de rendement de l actf des entreprses demeurées en actvté, varables nomnales des talles d entreprse et de l ndustre seulement, Canada, 2000 à 2009 coeffcent 0,06 0,04 0,02 0,00-0,02-0,04-0,06-0,08 0,05 0,15 0,25 0,35 0,45 0,55 0,65 0,75 0,85 0,95 quantle de rendement de l'actf 1 à < 5 UMM 5 à < 10 UMM 10 à < 20 UMM 20 à < 50 UMM 50 à < 100 UMM 100 à < 500 UMM Plus de 500 UMM Note : UMM sgnfe «unté moyenne de man-d'œuvre». Sources : Statstque Canada, Programme d'analyse longtudnale de l'emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l'unvers statstque de l'mpôt des socétés. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

19 Graphque 4 Coeffcents estmatfs des catégores de talle d entreprse établs à partr des modèles de régresson par quantle de rendement de l actf des entreprses demeurées en actvté, régresson complète, Canada, 2000 à 2009 coeffcent 0,06 0,04 0,02 0,00-0,02-0,04-0,06 0,05 0,15 0,25 0,35 0,45 0,55 0,65 0,75 0,85 0,95 quantle de rendement de l'actf 1 à < 5 UMM 5 à < 10 UMM 10 à < 20 UMM 20 à < 50 UMM 50 à < 100 UMM 100 à < 500 UMM Plus de 500 UMM Note : UMM sgnfe «unté moyenne de man-d'œuvre». Sources : Statstque Canada, Programme d'analyse longtudnale de l'emplo; et Agence du revenu du Canada, fcher de l'unvers statstque de l'mpôt des socétés. Ces résultats montrent que, selon le RDA, les entreprses des catégores de pette talle sont plus rentables que les entreprses des autres catégores de talle dans la plupart des quantles, en partculer dans les quantles supéreurs (les entreprses les plus rentables). Au bas de la dstrbuton, les dfférences entre les catégores de talle sont plus fables. Les entreprses de ces catégores de talle pourraent posséder des caractérstques que les entreprses des autres catégores ne possèdent pas et qu ne sont pas assocées au rsque, à la dversfcaton et aux ntérêts étrangers. On examne ces attrbuts selon les quntles (cnq centles selon le RDA) dans la secton suvante, en accordant la prorté au quntle supéreur, sot le groupe présentant les dfférences les plus prononcées du RDA, selon la catégore de talle. 7 Caractérstques des entreprses selon les quntles Les statstques descrptves fondées sur un échantllon complet d entreprses peuvent fournr des nférences qu ne sont pas déales dans certans cas. Pour qu ls fournssent des nférences rasonnables, les paramètres courants, tels que les moyennes, exgent que la plupart des ponts de données soent stués près du centre de la dstrbuton et que les queues de la dstrbuton se comportent relatvement ben. Dans le cas de dstrbutons atypques qu pourraent présenter une asymétre, être bmodales ou multmodales, ou encore être très aplates, l utlsaton de mesures courantes de la tendance centrale peut en masquer les caractérstques mportantes. Une façon d amélorer les nférences est de dvser la dstrbuton en quartles et d examner les paramètres statstques de dvers segments d ntérêt de la dstrbuton. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

20 Dans la présente secton, des paramètres pour les ratos d endettement, la part de marché ans que la crossance de l emplo et des ventes sont examnés à dfférents ponts de la dstrbuton du rendement des actfs (RDA). Plus précsément, la dstrbuton du RDA est dvsée en quntles, et les paramètres sont calculés pour les entreprses du premer quntle (de 0 au 20 e quartle), du deuxème quntle (du 21 e quartle au 40 e quartle), du trosème quntle (du 41 e quartle au 60 e quartle), du quatrème quntle (du 61 e quartle au 80 e quartle) et du cnquème quntle (du 81 e quartle au 100 e quartle). Le rato d endettement ndque l effcacté avec laquelle une entreprse peut supporter ses dettes grâce à son actf. D une catégore de talle à l autre, l y avat mons de dfférences lées à cette valeur moyenne calculée pour la pérode entère que dans les quntles de RDA. Les dfférences étaent cependant mportantes selon les catégores de talle relatvement à la façon dont les ratos d'endettement ont changé au fl du temps. En 2000, les plus grandes entreprses présentaent les ratos d endettement les plus fables dans tous les quntles de RDA, en partculer dans les quntles supéreurs (tableau 3). En 2009, la dfférence selon les catégores de talle s état nversée, car les plus pettes entreprses affchaent le rato d endettement le plus fable. Dans tous les quntles de RDA, les entreprses ayant plus de 500 UMM ont acqus la majorté des parts de marché au cours de la pérode, en ce qu a trat aux ventes. Toutefos, l convent de soulgner que toutes les entreprses se trouvant dans les quntles supéreurs sont celles (les plus rentables) qu ont acqus plutôt que perdu une part de marché au cours de la décenne. De façon générale, les ventes augmentent de par avec le quntle de RDA. Dans les quntles nféreurs, en partculer dans le deuxème et celu du mleu, les catégores de talle plus grande ont affché la plus forte crossance des ventes au cours de la pérode. Toutefos, dans les quntles supéreurs, les moyennes entreprses ayant entre 10 et 50 UMM ont enregstré la plus forte crossance des ventes, sot en moyenne 7 % par année. L emplo augmente de par avec le quntle de RDA, mas dmnue généralement de par avec la catégore de talle de l entreprse. Les catégores de talle plus pette, partculèrement les catégores dans lesquelles on trouve les entreprses ayant mons de 20 UMM, ont tendance à affcher une crossance plus forte de l emplo (Dxon et Rolln 2012). Les entreprses très rentables (quntle supéreur fondé sur le RDA) présentent des caractérstques qu les dstnguent des entreprses mons rentables. Les entreprses très rentables ont tendance à présenter des ratos d endettement plus fable, ont rédut ce rato au cours de la pérode et ont accru leur part du marché. Sére de documents de recherche sur l analyse économque Statstque Canada N o 11F0027M au catalogue, n o 087

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