Un exemple de charte de qualité dans le domaine de la pédagogie du patrimoine 1
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- Franck Morency
- il y a 6 ans
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1 Un exemple de charte de qualité dans le domaine de la pédagogie du patrimoine 1 La présente charte de qualité a pour objet de spécifier les conditions d attribution du label «pédagogie du patrimoine» à des actions d éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique. Elle est destinée à garantir l esprit et la qualité des actions de culture scientifique et/ou technique des structures qui oeuvrent dans ce domaine et peuvent se fédérer en réseau. Par «action», on entend toutes les actions d animation ou de formation, ponctuelles ou régulières, quels que soient les dispositifs dans lesquels elles s inscrivent : classes du patrimoine, classe à projet artistique et culturel, projet d action éducative, itinéraires de découvertes, contrats éducatifs locaux, contrats temps libre, contrats villes, séjours de vacances, centre de loisirs, maisons de jeunes, maisons des jeunes et de la culture, etc. I - PREAMBULE Les sciences et techniques sont actuellement au cœur des enjeux de notre société (alimentation, énergie, santé, etc.). En tant que discipline scientifique, l archéologie a la particularité de se situer au croisement entre sciences exactes et sciences humaines. Grâce aux différents thèmes qu elle aborde (l Homme et les croyances, l Homme et les techniques, le temps et l espace, l environnement, etc.), elle se trouve au carrefour des sciences et des arts en offrant des repères à travers une vision interdisciplinaire du monde qui mêle science, technique, culture et société. C est en prenant conscience de son passé, de ses racines, de son histoire que chaque citoyen arrivera à se situer dans l époque et l espace où il vit. Fort de ces repères et de cette connaissance 1 Le patrimoine archéologique, historique et ethnologique.
2 historique, il pourra avoir une approche critique du monde dans lequel il évolue et disposera alors des moyens de le transformer. Le but de la pédagogie du patrimoine archéologique, historique et ethnologique n est donc pas seulement d apprendre quelque chose à son interlocuteur, qu il soit jeune ou adulte, mais de rechercher avec lui, les moyens d en faire un acteur du monde dans lequel il vit. II - LE REFERENTIEL DE VALEURS PARTAGEES Valeur n 1 : doit être abordée d au moins six points de vue : - Un point de vue esthétique : développer une sensibilité - Un point de vue cognitif : transmettre des connaissances et des concepts. - Un point de vue pragmatique : développer des compétences, des capacités et des habiletés. - Un point de vue praxique : allier réflexion et action. - Un point de vue éthique : développer des valeurs - Un point de vue politique : développer des attitudes pour agir dans et sur le monde. Valeur n 2 : passe par la mise en œuvre d une véritable pédagogie. La pédagogie n est pas une fin en soi ; elle n est qu un moyen au service de finalités, de valeurs, d objectifs. La pédagogie est au service du sens. Elle est donc avant tout une pédagogie du citoyen et une pédagogie de la découverte. - la pédagogie du citoyen passe par l alphabétisation scientifique (transmettre des connaissances et des concepts) et la conscientisation «politique» (développer une conscience civique) des participants.
3 - la pédagogie de la découverte implique une démarche de recherche basée sur l induction et le tâtonnement en mettant en place des situations-problèmes et en donnant un statut positif à l erreur. Valeur n 3 : implique la mise en place d une pédagogie de projet et de contrat ainsi que d une pédagogie de la réussite : - La pédagogie de projet : l action est centrée sur le participant qui est acteur de son apprentissage ; il se forme en menant jusqu au bout un projet concret basé sur ses préoccupations. - La pédagogie de contrat : il s agit d un engagement réciproque sur la base d objectifs (pédagogie par objectifs) entre le facilitateur et l apprenant dans le cadre d une démarche de négociation. - La pédagogie de la réussite : tous les moyens sont mis à disposition de l apprenant tout au long de l apprentissage dans une démarche d accompagnement vers la réussite. Valeur n 4 : implique de construire du sens : ce que l on veut faire (but à atteindre) et pourquoi on veut le faire (la raison qui nous pousse à agir). Valeur n 5 : implique une bonne connaissance du public auquel elle s adresse : capacités (cognitives, sensori-motrices, sociales, affectives), besoins (fondamentaux), demandes (attentes formulées ou pas), motivations, représentations. Valeur n 6 :
4 est fondée sur le développement global de la personne. Grâce aux méthodes qu elle met en place, elle intervient à la fois sur le savoir (le cognitif), le savoir-faire (les aptitudes), le savoir-être (les attitudes) en tenant compte du milieu dans lequel tout individu évolue (cadre de vie, vie affective, culturelle, sociale et économique). Valeur n 7 : Dans l éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique, tout apprentissage doit prendre en compte l ensemble des processus reliés aux activités cognitives (cueillette de l information, encodage, stockage et rappel de l information) sans oublier qu ils sont aussi influencés par des stratégies affectives. Valeur n 8 : s articule autour de six axes : - La prise de conscience : prendre conscience de son environnement naturel et culturel et de ses problèmes connexes et s y montrer sensible. - Le savoir : acquérir les connaissances et surtout les concepts nécessaires à toute compréhension. - Le comportement : développer des valeurs et des attitudes en contribuant par ses actes à la protection et à l amélioration de son environnement naturel et culturel. - La compétence : acquérir les savoir-faire nécessaires à la résolution de problèmes. - La capacité d évaluer : acquérir une capacité d analyse critique. - La participation : développer le sens de la responsabilité et offrir les moyens d agir. Valeur n 9 :
5 passe par la pluriculturalité c est-à-dire une meilleure connaissance du patrimoine sous ses aspects multi- et inter- culturels : mettre en évidence le jeu subtil des influences reçues et données pour développer le respect et la tolérance. Valeur n 10 : passe par une approche globale et systémique de la réalité. Valeur n 11 : passe par une mise en relation concrète entre le savoir et l environnement du participant : un savoir contextualisé et utile. Valeur n 12 : passe par la mise en œuvre d une évaluation des actions auprès des participants Valeur n 13 : passe par la mise en œuvre d outils d évaluation avant (diagnostique, formative et sommative), pendant et après l intervention pour analyser sa pertinence (objectifs adaptés), son efficacité (objectifs atteints), son efficience (effets obtenus à la hauteur des moyens engagés), son utilité (quel impact), sa cohérence (entre les actions, par rapport aux intentions éducatives). Valeur n 14 : passe de la part du facilitateur par la mise en place : - D objectifs de savoir-être : attitudes, comportements.
6 - D objectifs de savoir-faire : techniques et méthodes de travail. - D objectifs de savoir : connaissances factuelles (événements, résultats) et connaissances abstraites (concepts structurants). - D objectifs de «conscientisation» des valeurs. Valeur n 15 : passe par une formation pluridisciplinaire des intervenants. Valeur n 16 : Dans le cadre de l éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique, le facilitateur est un animateur du patrimoine qui met en place un environnement didactique favorable au processus d apprentissage. C est une personne ressource qui aide à résoudre les problèmes perçus, à identifier les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être nécessaires pour y arriver, à choisir les méthodes de travail adéquates. Valeur n 17 : implique la maîtrise des connaissances, des concepts et des techniques d une discipline sans être forcément un spécialiste ; le facilitateur non spécialiste entretiendra une relation privilégiée avec le monde de la recherche. Valeur n 18 : Chaque facilitateur s engage à se perfectionner régulièrement dans un processus de formation continue. Valeur n 19 : Chaque action pédagogique fait l objet d une préparation en amont avec les apprenants et leur accompagnateur.
7 Valeur n 20 : Chaque intervention est construite selon une trame précisant les différentes séquences et leur déroulement pédagogique. Dans le cadre d un séjour ou d une prestation de plusieurs journées, le programme est bâti autour d une démarche d ensemble cohérente. Valeur n 21 : Dans le cadre des actions d éducation, les membres signataires de la charte s engagent à mettre en oeuvre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité physique et affective et morale de l enfant. Valeur n 22 : Les membres signataires de la charte s engagent à constituer et à participer activement à des groupes de travail pour l élaboration des documents et des outils nécessaires à l application des articles précités. III - CRITERES GENERAUX DE QUALITE Tous les projets reconnus sous le label «pédagogie du patrimoine» doivent s inscrire dans le cadre du référentiel de valeurs et respecter les critères généraux de qualité suivants : Critère n 1 : ethnologique doit inclure la notion de «plaisir de découvrir» : favoriser les situations pédagogiques à partir d un vécu émotionnel positif pour que l apprenant puisse associer le nouvel apprentissage au plaisir. Critère n 2 : ethnologique implique l utilisation de méthodes actives et
8 coopératives : agir et faire, mettre l action à l origine de tout apprentissage à travers l expérimentation, agir ensemble en développant les attitudes d entraide, de coopération, d altruisme. Critère n 3 : ethnologique implique la mise en place de finalités, buts, objectifs et moyens. Les objectifs ne doivent pas être formulés en termes de contenus mais en termes de compétences. Critère n 4 : ethnologique passe par la prise en compte des représentations et des motivations des participants. Critère n 5 : ethnologique passe par l interdisciplinarité et donc une mise en relation permanente des champs du savoir. Critère n 6 : ethnologique passe par une instrumentalisation positive de l erreur 2 car elle est synonyme de tâtonnement expérimental. Critère n 7 : ethnologique passe par la mise en œuvre d un bilan après chaque intervention. Critère n 8 : 2 Daniel Descamps, La dynamique de l erreur, Hachette Education, Dans son ouvrage, l auteur formule plusieurs objectifs autour de «l erreur» en terme de savoir, savoir-faire et savoir-être.
9 Chaque facilitateur est un vulgarisateur qui s engage à expliquer de façon simple des concepts complexes sans sacrifier à la justesse et à la rigueur scientifique. Critère n 9 : ethnologique passe par la vérification des compétences de l intervenant et de la qualité de l action proposée. Critère n 10 : Les membres signataires de la charte s engagent à disposer d une police d assurance Critère n 11 : ethnologique passe par le respect des différentes réglementations officielles en vigueur. Critère n 12 : Les membres signataires de la charte s engagent à constituer et à participer activement à des groupes de travail pour l élaboration des documents et des outils nécessaires à l application des articles précités. IV - ENGAGEMENT DES CONTRACTANTS
10 Engagement des signataires - Le ou les facilitateurs conduisant les actions d éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique suivent régulièrement les formations mises en place par le coordinateur du réseau. - Le signataire contribue à la promotion des autres membres du réseau bénéficiant du label «pédagogie du patrimoine» - Il respecte les choix collectifs faits par les membres de ce réseau pour harmoniser les actions d éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique et en améliorer la qualité (documents d information, fiche d inscription, dossier pédagogique, fiche d évaluation de l action, éléments statistiques de l activité, etc.). - Il fournit au coordinateur du réseau tous les éléments nécessaires à l élaboration des documents de promotion, ainsi que les éléments statistiques qui lui sont demandés chaque année. - Il désigne une personne contact qui assure la relation permanente avec le réseau. - Il se soumet à la procédure de contrôle de la qualité des actions mise en place. - Il informe régulièrement le coordinateur du réseau de tout changement affectant les caractéristiques de l action d éducation. - Il sollicite l avis du coordinateur pour toute apposition du label «pédagogie du patrimoine» quel que soit le support.
11 Engagement du coordinateur du réseau - Le coordinateur met en place un système de contrôle de la qualité. - Il désigne une personne contact qui assure la relation permanente avec le prestataire. - Il assure la promotion des actions labellisées chaque fois que cela est matériellement possible : publications, vidéos, manifestations locales, nationales ou européennes, salons, etc. - Il fournit au signataire le logo du label sur support informatique. - Il assure le suivi qualitatif et quantitatif de l ensemble des actions labellisées et en restitue les données au signataire. - Il met en place régulièrement des journées de formation sur la pédagogie du patrimoine (contenus scientifiques, pédagogie, techniques d animation, connaissance des publics, etc.). Il organise en outre autant que se peut des temps d échanges et de travail entre les différents signataires de la charte. - Il appuie le signataire dans ses efforts de prise en compte de la dimension européenne. V - ATTRIBUTION DU LABEL, CONTROLE, DISFONCTIONNEMENTS La démarche de labellisation au plan local et national - La démarche de labellisation est encadrée par un comité de suivi de l attribution du label «pédagogie du patrimoine» pour les actions d éducation au patrimoine archéologique, historique et ethnologique. Ce groupe comprend un représentant de chaque structure membre du réseau. La charte de qualité est susceptible d évolution avec l accord des signataires engagés dans la démarche. Si besoin, les conditions de contrôle évoluent en accord avec les changements décidés. La
12 nouvelle version s applique au signataire lors du renouvellement de sa convention d utilisation. Agrément et contrôle - L attribution du label est soumise au respect du référentiel et des engagements du signataire figurant aux paragraphes correspondant à la présente charte. C est l action qui reçoit le label, et non le facilitateur ou la structure dont il dépend. Plusieurs facilitateurs différents peuvent conduire l action. L attribution fait suite à une visite d agrément (la première fois) ou à une visite de contrôle (les fois suivantes) destinée à vérifier les points suivants : - Conditions de la visite : cette visite est réalisée pendant la période d activité par un groupe de personnes choisies par le comité de suivi, et à un rythme défini par lui. - Référentiel et critères de contrôle : le référentiel et les critères de ce contrôle sont inscrits dans la présente charte. Une liste de critères spécifiques à l action pédagogique engagée peut être fournie en complément au signataire. - Résultat du contrôle : dès que le coordinateur est en possession du résultat du contrôle, il le communique au signataire concerné. - Égalité de traitement des signataires : les contrôles sont effectués dans des conditions similaires pour l ensemble des membres du réseau pour le même type d action. Disfonctionnements mineurs En cas de non-respect de la charte et des critères par un signataire déjà labellisé, le coordinateur et le signataire contrôlé rechercheront ensemble des solutions appropriées qui devront rapidement être mises en place. Un second contrôle sera effectué pour mesurer la progression et l amélioration de la qualité de l action. En cas de contrôle négatif, le droit d utilisation du label est immédiatement retiré.
13 Disfonctionnements majeurs Les disfonctionnements majeurs sont les situations qui obligent le coordinateur du réseau à retirer au signataire immédiatement le droit d utilisation de son label, sans préavis. Ils concernent les situations extrêmes suivantes : - Conditions de sécurité non assurées - Activités portant atteinte au patrimoine - Législations et réglementations non respectées - Comportement immoral du facilitateur vis-à-vis des bénéficiaires - Utilisation frauduleuse du label VI CONVENTION D UTILISATION DU LABEL L attribution du label se fait sous forme d une convention d utilisation signée entre le prestataire et le président du réseau. C est un contrat qui s appuie sur la Charte de qualité en vigueur, également signée par les contractants à la convention d utilisation. La convention d utilisation est signée pour une durée de trois ans et est soumise à l adhésion annuelle du signataire au réseau. Tous les signataires adhèrent à la présente charte et s engagent à en respecter les clauses.
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