les villes en action lutter contre le sida

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1 les villes en action lutter contre le sida

2 Les enjeux de la lutte contre le VIH/sida Une épidémie toujours active en Île-de-France Depuis le début de l épidémie, l Île-de-France est la région métropolitaine la plus touchée par le VIH/sida. L épidémie y est toujours active, en particulier dans certaines populations. > Avec nouveaux diagnostics en Île-de-France en 2015, ce sont 7 Franciliens qui découvrent leur séropositivité chaque jour. > Plus de patients VIH sont suivis dans les hôpitaux franciliens. «Mettre fin à l épidémie de sida d ici à 2030» Plus de 30 ans après la découverte du virus du sida, la science a prouvé que la fin du sida est envisageable et atteignable. Concrètement, cela passera par : > une information renforcée sur le VIH/sida auprès des Franciliennes et des Franciliens, > la mise en place d un panel de prévention diversifiée le plus complet possible, au plus près des réalités de vie des personnes, > un dépistage régulier le plus tôt possible et le plus souvent possible selon les situations d exposition au VIH, associé à une mise sous traitement immédiate en cas de découverte de séropositivité, > une politique engagée de lutte contre la sérophobie. C est sur la base de ces enjeux que le Conseil régional d Île-de-France a voté, en juin 2016, un plan «Pour une Île-de-France sans sida» avec comme ambition déclarée de contribuer à mettre fin à l épidémie d ici Cet objectif ne pourra se réaliser qu à la condition sine qua non d une mobilisation de tous les acteurs du territoire francilien. Un engagement nécessaire des villes Les villes sont une échelle tout à fait adaptée à la mise en place de projets efficaces aussi bien en matière de prévention que d information ou de solidarité. De nombreuses communes disposent de centres de santé, de lignes d écoute jeunes ou d espaces santé jeunes. Elles ont noué des relations fortes avec les établissements sanitaires ou sociaux ainsi qu avec les professionnels présents sur leur territoire. En recourant aux ressources adéquates, en fédérant ces énergies, il est possible de mettre en place une stratégie de santé de proximité efficace pour lutter contre le VIH/sida. De nombreux acteurs sont là pour aider les villes dans cette démarche, au premier rang desquels le Crips Île-de-France. «C est précisément aujourd hui que chaque mot prononcé, chaque geste effectué, doit être mesuré selon l effet qu il peut et va avoir sur des millions de vies.» Nelson Mandela

3 Agir au niveau local Améliorer le niveau des connaissances et favoriser les comportements de prévention adéquats «Le sida, c est trop grave ; on en meurt. Je préfère ne pas savoir.» «Il vaut mieux ne pas faire l amour avec une personne séropositive. C est plus sûr.» Ces idées reçues empêchent une appréciation correcte des vulnérabilités face au VIH, alimentent des sensations de sécurité trompeuses et faussent le regard porté sur la réalité de la maladie. Depuis quelques années, on assiste à un phénomène de banalisation du VIH, avec à la clé, de nombreuses fausses croyances sur les modes de transmission du VIH, en particulier chez les jeunes. De nouvelles stratégies de prévention se sont développées ces dernières années, notamment grâce à la prévention biomédicale. Nous disposons aujourd hui d une palette d outils de prévention en réponse à la diversité des besoins des personnes. Ces avancées sont encore trop peu connues. Le préservatif reste le socle de la prévention. C est un moyen de prévention répandu, accessible et fiable pour se protéger du VIH et des IST. Le TasP (traitement comme prévention) repose sur les avancées scientifiques les plus récentes qui ont démontré qu une personne séropositive sous traitement antirétroviral efficace et bien suivi, avec une charge virale indétectable, ne transmet pas le VIH. La PrEP (prophylaxie pré-exposition au VIH), consiste à proposer à des personnes séronégatives de prendre un médicament antirétroviral avant et après des relations sexuelles dans le but d empêcher la transmission du VIH. La PrEP s adresse à des personnes particulièrement exposées au risque d infection par le VIH. Le TPE (traitement post-exposition) s adresse aux personnes qui viennent de prendre un risque. Il s agit d un traitement antirétroviral d urgence à prendre rapidement après une prise de risque pour réduire la transmission du VIH. Pour approfondir toutes ces notions, retrouver nos dossiers sur l actualité de la prévention sur Que faire? Les villes ont la légitimité pour porter un discours d information clair et ambitieux mettant en avant la diversité des outils de prévention disponibles. Voici quelques pistes : > relayer une campagne d information sur le dépistage, > organiser un événement pour la journée mondiale de lutte contre le sida, > créer un quiz géant à l occasion du Sidaction, > mener des actions de prévention dans les lycées avec l Espace Santé Jeunes, > mettre des préservatifs à disposition dans divers lieux d accueil des populations, > sensibiliser les professionnels de santé de la ville aux nouveaux enjeux du VIH/sida

4 Agir au niveau local Dépister tôt pour traiter tôt Le dépistage est au cœur du dispositif de lutte contre le sida. Connaître sa séropositivité permet de bénéficier dans les meilleurs délais d un traitement antirétroviral. Au niveau individuel, cela permet de conserver une qualité de vie et une espérance de vie équivalente à n importe qui. Au niveau collectif, cela participe à limiter la propagation de l épidémie puisqu un traitement antirétroviral efficace prévient la transmission du VIH. En France, on estime que, parmi les personnes infectées par le VIH, presque 20 % ignorent leur séropositivité et que plus de 60 % des nouvelles contaminations proviendraient des personnes qui ne se savent pas infectées. L incitation au dépistage est l un des piliers de la prévention de l infection à VIH. L offre de dépistage s est récemment renforcée de méthodes nouvelles et de dispositifs diversifiés pour y accéder : test en laboratoire, en Centre gratuit d information, de dépistage et de diagnostic (Cegidd), test de dépistage rapide proposé par les associations (Trod), autotest acheté en pharmacie. La promotion du dépistage, en direction d un public large comme des populations clés, est essentielle pour favoriser l accès au dépistage pour tous et partout en Île-de-France. Que faire? Les acteurs locaux doivent participer à cette dynamique territoriale. Ils peuvent : > mettre à disposition des autotests dans les centres de santé et les associations, > organiser une semaine du dépistage du VIH dans la ville, > accueillir des associations qui pratiquent le dépistage hors les murs, > inciter au dépistage par les autotests avec les pharmaciens de la commune Découvrez notre guide pour l action Ma ville s engage sur Lutter contre les discriminations participe à l effort de prévention Les personnes vivant avec le VIH subissent des attitudes discriminatoires au quotidien avec comme conséquences de contribuer à un mal-être et à leur isolement, obstacles à l accès au soin et au traitement. Plus largement, les discriminations liées au genre ou à l orientation sexuelle font le lit de la mésestime de soi qui rend difficile l adoption de comportements de prévention. Ce sont les stéréotypes, les préjugés, la peur ou la méconnaissance sur la maladie qui amènent souvent à des formes de discriminations. Nous devons agir pour que les mentalités évoluent et que les personnes vivant avec le VIH soient respectées. Concrètement, pour y contribuer, les collectivités locales peuvent : > participer à une campagne de lutte contre la sérophobie, > organiser une projection-débat avec des jeunes sur la vie quotidienne des personnes vivant avec le VIH, > créer une exposition sur les discriminations dans les lieux de sociabilité des jeunes Découvrez des outils pour monter vos actions sur notre site

5 Agir au niveau local Agir : auprès de qui? Les jeunes constituent une population prioritaire parce que, à l âge où ils découvrent leur sexualité, il importe de leur fournir les atouts nécessaires pour la construire dans le respect d eux-mêmes et de leur(s) partenaire(s). Les femmes ont longtemps été des oubliées de la prévention sauf dans les courts moments de leur grossesse. Or, les femmes présentent des vulnérabilités spécifiques face au VIH, aussi bien physiologiques que psychosociales. Leur donner les moyens de prendre en main leur santé et de faire les choix leur correspondant relève d une véritable démarche de santé publique. Les personnes de nationalité étrangère représentent plus de 30 % des nouvelles découvertes de séropositivité. On estime également que 30 % des femmes et 44 % des hommes nés en Afrique subsaharienne et suivis pour un VIH ont été infectés après leur arrivée en France (enquête Parcours - ANRS) ; la précarité et le manque d informations expliquent cette vulnérabilité. Cela justifie une politique d accompagnement spécifique en direction de cette population. Les «plus de 50 ans» se sentent moins concernés par le VIH et se font moins dépister. Or, entre 2010 et 2013, ils représentent 16 % des nouvelles contaminations en Île-de- France contre 10 % pour les moins de 25 ans. D où l importance de concevoir une information et une prévention adaptées à chaque âge et à chaque circonstance de la vie. Les hommes qui ont des rapports sexuels avec d autres hommes (HSH) représentent plus de 40 % des nouvelles contaminations ; de nouveaux outils de prévention diversifiée sont à leur disposition comme la PrEP, outil permettant d adapter la prévention à ces réalités de vie. Les personnes séropositives sont des acteurs de prévention à part entière puisqu une personne séropositive sous traitement et avec une charge virale indétectable ne transmet pas le VIH. Une politique de promotion de la prévention positive peut utilement être mise en place au niveau local, avec un double objectif de renforcer la prévention et de lutter contre la sérophobie. Agir : quand? La lutte contre le sida s inscrit dans la durée. Dans l année, des temps forts, relayés dans les médias, offrent l opportunité d une action particulière : le 1 er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida, est l un d eux ainsi que le Sidaction. «Il est certain que nous sommes sur la bonne voie pour parvenir, un jour, à vivre dans un monde sans sida.» Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine 2008 pour la découverte du VIH

6 Le Crips vous accompagne Le Crips est l organisme de prévention santé de la Région Île-de-France. Le Crips a pour objet de mettre ses ressources à disposition des collectivités franciliennes pour créer un véritable effet de levier, démultiplier l action sur tous les territoires et créer un réseau d échange de bonnes pratiques. Nos équipes sont à votre disposition, n hésitez pas à nous contacter. Crips Île-de-France villes@lecrips.net > Ma ville s engage Consultez l espace en ligne dédié aux collectivités locales sur notre site, vous y trouverez : > l essentiel des connaissances pour comprendre les nouvelles stratégies de prévention (la PrEP, le TasP, le traitement post-exposition, etc.), la politique actuelle de dépistage et les nouvelles méthodes de test disponibles (autotest, Trod, etc.), > des pistes d actions, des exemples pratiques, des idées d animation, des outils clés en main pour mettre en œuvre des actions plus facilement tout au long de l année. Partageons les outils de prévention et les approches innovantes développées par tous. Réalisation Crips Île-de-France, décembre Création graphique : Cyril Nicolas, impression : Arlys création. Grâce au soutien de l ARS Île-de-France En partenariat avec ELCS

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