REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 DECEMBRE 2012 COMPTE RENDU

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 DECEMBRE 2012 COMPTE RENDU"

Transcription

1 République Française VILLE DE LA GRAND'CROIX REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 DECEMBRE 2012 COMPTE RENDU Le Conseil Municipal de la Commune de LA GRAND'CROIX, dûment convoqué le 04 décembre 2012, s'est réuni le jeudi 13 décembre 2012 à 19 heures, sous la présidence de Monsieur Michel CHATAGNON, Maire, afin d examiner les différentes questions inscrites à l ordre du jour. Membres présents : M. Michel CHATAGNON, M. Bernard VIRICEL, Mme Gabrielle CHAMBE, M. Pierre-Jehan ROLLET, M. Luc FRANÇOIS, Mme Marie-Thérèse CHOUVENC, M. Jean-Louis BERNE, Mme Dominique FARA, M. Jean VARRAUD, Mme Christiane CHARBONNEL, Mme Lucette BOURGIN, M. Gérard VOINOT, M. Dominique CHALANCON, Mme Marie-Thérèse FAVIER, Mme Valérie CHAPEL, M. Etienne METAYER, M. Jean-Paul CHAZALON, M. Jean-Luc FUGIT. Membres absents excusés ayant donné procuration : Mme Nathalie MATRICON (pouvoir à Mme Christiane CHARBONNEL), M. Pierre FERNANDEZ (pouvoir à M. Jean-Louis BERNE), Mme Marie-Hélène FOULON (pouvoir à M. Bernard VIRICEL), M. Olivier PONTON (pouvoir M. Jean-Luc FUGIT), Mme Carine VINCENT (pouvoir à M. Jean-Paul CHAZALON). Membres absents : M. Olivier MAISONNEUVE, M. Bertrand CHANAVAT, Mme Stéphanie GIRAUD, Mlle Soraya ZELIKRA. Secrétaire de séance : M. Pierre-Jehan ROLLET 1 - Approbation du procès-verbal de la réunion du 18 octobre 2012 RAPPORTEUR : Monsieur le Maire Le procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal du 18 octobre 2012 est soumis à l'approbation de l'assemblée. Résultats du vote : pour 19 - contre 0 - abstentions Débat d'orientations budgétaires 2013 : budget communal et budgets annexes RAPPORTEUR : M. Bernard VIRICEL, premier Adjoint Le débat d orientations budgétaires se tient en application des dispositions prévues par la loi du 6 février 1992 relative à l administration territoriale de la République. Il permet de situer notre commune par rapport à son environnement, de préciser sa situation financière, mais il ne s agit pas d un pré-budget. Le débat d orientations budgétaires a vocation à permettre l ouverture de discussions desquelles se dégageront les composantes principales du prochain budget. Il s'inscrit dans un contexte rendu difficile par les conséquences sévères de la crise économique mondiale et par les conséquences quant aux réformes de la fiscalité locale et des collectivités territoriales. Dans ces conditions, l'exercice de présentation du D.O.B réclame une très grande rigueur tout en préservant les capacités d'investissements pour notre Commune. En ce qui concerne notre commune, en regard des dépenses importantes réalisées en 2010 et 2011 concernant les aménagements de l entrée du centre ville pour plus de 3 Mi d euros, la section d investissement 2013, dans le cadre de notre PPI , sera en baisse comme initialement prévu de façon à pouvoir absorber les remboursements communaux de la dette. Elle sera plus orientée sur les mises aux normes d accessibilité de nos bâtiments communaux, de la voirie et de l éclairage public, les réfections et entretiens des voiries tant communautaires via SEM que communales, les maintenances des bâtiments (étanchéité des toitures) de nos écoles, cantines, de la petite enfance et du centre social, sans oublier la mise en œuvre des actions de réduction des coûts énergétiques dans le cadre du Plan Climat Energie n 2. En ce qui concerne les dépenses de fonctionnement 2013, elles seront en légère hausse de 1,7 % vs BP 2012 avec la poursuite très marquée des efforts de maîtrise de nos dépenses courantes aux chapitres 011 charges à caractère général et au Chapitre 012 charges de personnel voire de baisse de nos dépenses au chapitre 65 autres charges de gestion courante. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 1

2 Ce débat concerne 1. Le budget général, 2. Les 2 budgets annexes appréhendés à la fois séparément et dans leur cohérence d ensemble : a) le budget de l eau, b) le budget des bâtiments industriels et commerciaux. (Pour rappel : le budget de l assainissement est remonté en janvier 2011 dans les compétences de SEM) Il est rappelé et souligné que s agissant du Débat d Orientations Budgétaires, les montants indiqués le sont pour donner les grandes tendances proposées au Conseil Municipal notamment en matière d équipement et qui fonderont nos perspectives budgétaires. Ces chiffres sont donc susceptibles d ajustement ou même de modifications significatives en fonction des décisions restant éventuellement à prendre. I) PERSPECTIVES ECONOMIQUES EN 2013 (Source Dexia) 1. Produit Intérieur Brut Stagnation de l activité : En France, l activité économique est à l arrêt aux 1 er et 2 ème trimestres 2012, le produit intérieur brut (PIB) affichant une stabilité (+ 0,0 %). Sur le reste de l année, le faible niveau des perspectives d activité contraindrait la croissance française à la stagnation. Sur l ensemble de l année, la croissance serait, selon la moyenne du groupe technique de la Commission Économique de la Nation, de 0,1 %, en net ralentissement par rapport à 2011 (+ 1,7 %). On observerait en 2013 une reprise modeste, à hauteur de + 0,4 %. Les prévisions se situent toutefois dans une fourchette assez large, de - 0,3 % à + 1,3 %, illustrant l importance des incertitudes pesant sur les facteurs de croissance l année prochaine, notamment sur l évolution du commerce extérieur. L investissement des entreprises et la consommation des ménages progresseraient très légèrement. 2. Inflation Léger repli de l inflation : En France, la hausse des prix à la consommation se maintiendrait à 2,0 % en 2012 (après + 2,1 % en 2011), sous l effet notamment du dynamisme des prix énergétiques et alimentaires. En 2013, l inflation serait légèrement plus faible, s établissant à + 1,7 %, du fait d un possible repli de l inflation des biens énergétiques et manufacturés. 3. Consommation privée Faiblesse de la consommation privée : En 2013, la consommation des ménages français progresserait faiblement (+ 0,3 %) après une phase de stagnation (+ 0,0 % en 2012), sous l effet notamment d un léger repli du taux d épargne des ménages et d une quasi-stabilisation de l évolution du pouvoir d achat. Cette reprise reste néanmoins conditionnée à l amélioration du marché de l emploi. 4. Investissement productif Très léger rebond de l investissement des entreprises : En net ralentissement en 2012 (+ 0,1 %, après + 5,1 % en 2011), l investissement productif connaîtrait une reprise faiblement perceptible en 2013 (+ 0,7 %). Cependant, l ampleur de cette reprise dépendra de l amélioration du solde du commerce extérieur et de la dissipation des tensions financières. 5. Taux d intérêt En Europe, la plupart des indicateurs économiques sont orientés à la baisse et indiquent une récession de la zone euro en 2012, suivi d une très faible reprise en L Espagne et la Grèce restent au centre des préoccupations. Comme les investisseurs l espéraient depuis les déclarations de M. Draghi fin juillet 2012, la Banque centrale européenne (BCE) a annoncé le 6 septembre dernier un vaste programme de rachat de dette, baptisé OMT («Outright Monetary Transactions»). Celui-ci consiste en l achat de titres souverains d une maturité inférieure à 3 ans, sous réserve que le(s) pays concerné(s) formalise(nt) une demande d aide auprès des autorités européennes et du Mécanisme Européen de Stabilité (MES), si besoin avec l aide du FMI. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 2

3 La véritable avancée de ce programme est qu il n a pas de limites, en volume et dans le temps. L objectif de la BCE est double : assurer la bonne transmission de la politique monétaire à l ensemble des marchés ; lutter contre les spéculations sur la réversibilité de l Euro. Comme la FED, la BCE renvoie maintenant la balle dans le camp des dirigeants politiques, et en particulier dans celui du Gouvernement espagnol qui doit officiellement solliciter - ou non - une aide européenne sur son budget général (en plus de l aide qui sera accordée à son secteur bancaire). Madrid pourrait ainsi bénéficier de l intervention du MES sur sa dette primaire et du programme OMT de la BCE sur sa dette secondaire. Lors de sa réunion de septembre 2012, la BCE a également annoncé plusieurs autres mesures significatives. Elle renonce désormais à son statut de créancier privilégié et sera traitée comme les autres investisseurs en cas de défaut d un État européen. Pour faciliter encore l accès à la liquidité et contenir les impacts d une nouvelle dégradation des notes souveraines périphériques, la BCE a assoupli les garanties qu elle exige auprès des établissements bancaires lorsqu ils viennent se refinancer à son guichet. Elle continuera notamment à accepter tous les titres étatiques en collatéral, même si leur note est tombée en catégorie spéculative. Enfin, la BCE a abaissé son taux directeur au plus bas historique de 0,75 %. Au regard des prévisions de croissance et d inflation en zone euro, la majorité des opérateurs de marché anticipent de nouvelles baisses de taux directeurs dans les mois à venir et les taux interbancaires devraient rester faibles en La qualité de crédit des emprunteurs sera plus que jamais déterminante pour bénéficier de la faiblesse des taux d intérêt : l écart de taux à 10 ans entre l Espagne et l Allemagne est aujourd hui de 4,50 % et celui entre la France et l Allemagne est de 0,70 %. 6. La dette publique Résultat de l empilement des déficits publics antérieurs, la dette publique au sens de Maastricht augmente et atteint ainsi, pour l ensemble des administrations publiques, 89,9 % du PIB en 2012, après 86,0 % en 2011, soit une hausse de près de 4 points de PIB. En 2013, la dette publique atteindrait 91,3 % du PIB. Il est à noter que l impact sur la dette publique du soutien financier aux États de la zone euro représente 2,5 points de PIB supplémentaire en 2012 et 2,9 points de PIB en Pour rappel, en 2011, la dette des administrations locales atteignait 8,3 % du PIB et représentait environ 10 % de la dette publique. 7. Les concours financiers de l Etat 7-1 Évolution de la DGF : Comme en 2011 et en 2012, le montant de la DGF, principale dotation de l enveloppe normée, est fixé en loi de finances. Son évolution ne fait donc plus l objet d une indexation (que ce soit sur l inflation prévisionnelle ou sur la croissance du PIB). Le montant de la DGF mis en répartition pour 2013 a été fixé à 41,505 milliards d euros (+ 0,3 %). Il s agit de la reconduction du montant 2012, diminué de 3,337 millions d euros suite à la recentralisation sanitaire2 décidée par trois nouveaux départements (Yvelines, Haute-Marne et Haute-Savoie) et majoré d un abondement de 119 millions d euros permettant d accroître la DGF des régions de 10 millions d euros, la DGF des départements de 10 millions d euros et la DGF des communes et des groupements de 99 millions d euros. La progression de la DGF ne permet cependant pas de couvrir les sommes nécessaires à la progression mécanique de certaines composantes (accroissement de la population constaté par le recensement et progression de l intercommunalité, respectivement 59 et 100 millions d euros) et d assurer la progression souhaitée des dotations de péréquation (238 millions d euros). Il est donc prévu, au sein même de la DGF, une nouvelle diminution des dotations de garantie (qui pourrait s élever à 156,5 millions d euros) et, une minoration de la dotation de compensation (qui pourrait s élever à 121,5 millions d euros). 7-2 Augmentation des dotations de péréquation (DSUCS et DSR) : Le PLF pour 2013 prévoit que la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSUCS) augmente de 120 millions d euros (soit + 8,8 % par rapport à 2012), et que la dotation de solidarité rurale (DSR) croisse de 78 millions d euros (soit + 8,8 %). Ces augmentations sont deux fois supérieures à celles prévues en LFI pour Le Comité des finances locales (CFL) dispose de la possibilité de majorer le montant de ces dotations, à la condition de minorer, à due concurrence, les compensations d exonérations ou d écrêter plus fortement le complément de garantie de la dotation forfaitaire des communes. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 3

4 7-3 DSR cible : Le PLF pour 2013 prévoit d introduire, en plus du critère de ressources (le potentiel financier par habitant), un critère de charges, le revenu par habitant, pour déterminer l éligibilité d une commune à la troisième fraction de la dotation de solidarité rurale (DSR), la DSR cible. Ainsi, seront bénéficiaires, parmi les communes de moins de habitants éligibles à au moins l une des deux premières fractions de la DSR, les premières communes classées en fonction décroissante d un indice synthétique composé à hauteur de 70 % du rapport entre le potentiel financier par habitant moyen de la strate et le potentiel par habitant de la commune, et à hauteur de 30 % du rapport entre le revenu par habitant moyen de la strate et le revenu par habitant de la commune. 7-4 Évolution de la dotation nationale de péréquation (DNP) : Le PLF pour 2013 prévoit qu à compter de 2012 le montant de la dotation nationale de péréquation (DNP) est au moins égal à celui mis en répartition l année précédente. Le CFL pourra majorer son montant, dans les mêmes conditions que pour la DSUCS et la DSR. II) FINANCES PUBLIQUES EN 2013 Les prévisions pour les finances publiques en 2013 Les grandes orientations des finances publiques sont présentées dans le rapport économique, social et financier associé au projet de loi de finances pour 2013, ainsi que dans le projet de loi de programmation des finances publiques Le Gouvernement s engage devant le Parlement, comme il l a fait au niveau européen, à ramener le déficit public à 6 points de produit intérieur brut (PIB) en 2011 et à atteindre 3 % du PIB en 2013 (limite fixée par le critère de Maastricht) et 2 % en III) STATISTIQUES DE NOTRE COMMUNE (source INSEE ) Nom des habitants : Grandcroisiens et Grandcroisiennes Code postal : Population au 1 er janvier 2012 : 5147 habitants Superficie : 405 hectares Situation de la Commune : Région Rhône Alpes au sud est du département de la Loire Chef lieu de 10 communes depuis 1973 : La Grand Croix, Lorette, L Horme, Cellieu, Chagnon, Farnay, Saint Paul en Jarez, La Terrasse sur Dorlay, Doizieux Valfleury. Revenu net par ménage : par mois (+ 3.8 %) soit 958 / personne du ménage Part des retraités : 36 % Rang national de la ville : ème sur Part des familles imposables : 45 % Impôts sur le revenu moyen : 611 / an Impôts par famille imposable : / an IV) DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES (DOB) 1 - Ce débat prend en compte plus particulièrement les dépenses et recettes de fonctionnement et d investissement des 3 budgets. Les graphiques ci-après retracent l endettement de notre Commune, le niveau de l annuité du budget principal et des budgets annexes : 1-1. Le budget communal 1-2. Le budget de l eau 1-3. Le budget des bâtiments industriels et commerciaux 1-4. Dette et annuité globales de la commune 1-5. En cours de la dette par habitant 1-6. Epargne de gestion brute - nette Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 4

5 1-1 BUDGET COMMUNAL 1-2 BUDGET DE L EAU 1-3 BUDGET DES BATIMENTS INDUSTRIELS 1-4 DETTES ET ANNUITES GLOBALES DE LA COMMUNE 1-5 EN COURS DE LA DETTE Nombres d'hab Années BP 2013 Euros / Habitants Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 5

6 1-6 EPARGNE DE GESTION - BRUTE - NETTE ANNEE EPARGNE GESTION EPARGNE BRUTE EPARGNE NETTE CA Liquidé au 15 nov DEFINITION DE L EPARGNE DE GESTION - BRUTE ET NETTE 1 : Epargne de gestion : Produits réels de fonctionnement hors intérêts (chapitre 70 - chapitre 73 - chapitre 74 - chapitre 75- autres recettes de fonctionnement chapitre 77) charges réelles de fonctionnement hors intérêts (chapitre chapitre chapitre 65 - chapitre 67 autres dépenses de fonctionnement). 2 : Epargne brute : Produits réels de fonctionnement charges réelles de fonctionnement. (Epargne de gestion - Intérêts des emprunts). 3 : Epargne nette ou capacité autofinancement nette : Produits réels de fonctionnement - charges réelles de fonctionnement - remboursement du Capital. 2 - Il peut notamment se développer autour des 9 grands axes suivants : Poursuivre la diminution de nos dépenses en charges compressibles en 2013 en section de fonctionnement (notamment consommables, fournitures diverses, énergies, chauffage et éclairage dans le cadre du plan climat énergie). Diminuer la dette globale de la commune : pas d emprunts en 2013 et remboursements anticipés de certains prêts. Poursuivre nos travaux d investissements programmés dans notre PPI en particulier les mises aux normes d accessibilité des bâtiments communaux, de la voirie et de l éclairage public, tout en réduisant le montant des dépenses globales d équipement. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 6

7 Initier de nouveaux projets pour notre commune en complément de notre PPI (salle polyvalente, devenir de la cure médicale, sécurisation et réaménagement urbain du secteur Jean Jaurès). Proposer à la vente les propriétés communales foncières et immobilières non rattachées à de réels projets et pour lesquelles nous avons des dépenses récurrentes (impôts, maintenance, assurance, etc ). Poursuivre notre démarche formalisée d'analyses financières prospectives avec la Trésorerie Générale renforcée par la signature d une convention de partenariat avec la trésorerie de Rive de Gier. Limiter l annuité globale de la dette budget général et annexes à Appliquer du Plan Climat Energie n 2 afin de pérennis er nos réductions de coûts. Stabiliser les taux des impôts locaux tout en maintenant la capacité d autofinancement de la commune. V) LE BUDGET PRINCIPAL 1. LA SECTION DE FONCTIONNEMENT La maîtrise de nos dépenses et la consolidation de nos recettes doivent constituer le fondement de notre démarche budgétaire pour cette section. En ce qui concerne le BP 2013 : la section de fonctionnement est proposée en légère hausse à soit + 1,7 % vs BP 2012 qui était à en dépenses et recettes. (Voir graphiques associés des recettes et dépenses de cette section) Nous dégagerons un excédent de fonctionnement en 2012 de équivalent à celui de l exercice Des efforts importants ont été réalisés depuis 2010 et seront poursuivis en 2013 en ce qui concerne la réduction significative de nos dépenses de fonctionnement afin de payer notre dette en capital et financer nos futurs investissements. RAPPEL : Le gel des dotations de l Etat pendant 4 ans et la baisse significative de l attribution de SEM. Baisse notamment en 2012 de en particulier l Attribution de Compensation article 7321 chapitre 70 du fait du transfert des compétences assainissement depuis Janvier 2011 ( ) et de la seconde tranche voiries communautaires en 2011( ). Voir graphiques suivants : 1-1. BP 2013 prévisionnel en dépenses 1-2. BP 2013 prévisionnel en recettes 1-1 DEPENSES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT DE LA COMMUNE Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 7

8 1-2 RECETTES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT DE LA COMMUNE 2. LA SECTION D INVESTISSEMENT BP 2013 section d investissement en dépenses et recettes d équipement proposé à vs un BP 2012 à non inclus les restes à réalisés. Dans le cadre de notre PPI et dans le contexte de notre environnement lié à la crise économique tout en tenant compte du niveau de notre dette lié aux forts investissements réalisés depuis quelques années, il apparaît indispensable et nécessaire de poursuivre la réduction de nos dépenses d investissement en 2013 tout en respectant notre programme d équipement de notre commune contribuant à : 2-1 L aménagement du cadre de vie On peut citer notamment : Rénovation des voiries communales Poursuivre les aménagements paysagers (Montribout) Terminer les équipements du parc de loisirs de la Platière Remboursement à Epora démolitions et constructions immobilières Frais d Etudes pour Epures (PLU) Matériel de voirie (en cours de devis) Equipement pour les espaces verts Travaux cimetière + terrassement pour caveaux L amélioration des conditions de vie, d accueil et d animation dans les communes Entretien des bâtiments scolaires et petite enfance Remplacement d un second véhicule IVECO au CTM pour Equipements sportifs et de matériels pour les halles de sports Rénovation des locaux du centre social phase N 2 : sur 3 ans. Matériels informatiques mairie médiathèque & école de musique Mobilier pour nos écoles et structures petite enfance Terrain de sport au Dorlay Les mises en conformité Mise aux normes d accessibilité des bâtiments communaux phase Mise aux normes sécurité des armoires électriques phase 1 pour et de l éclairage public pour sur 3 ans (changement lampes à mercure) Solde mission et matériels du PCS Bornes incendie Alarmes dans les bâtiments communaux 5000 Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 8

9 2-4 L extension - construction et reconstruction de bâtiments sur notre commune Fin de la construction d appartements locatifs vers l ex-garage de la Bachasse. La construction tranche N 1 et N 2 briqueterie rue J Jaurès. La rénovation et création de nouvelles constructions d habitation à Burlat (Burlat 1 et 2) L accession à la propriété vers l Ilot Pasteur Cornet. 2-5 La mise en œuvre du Plan Climat Energie n 2 Mise en œuvre d un plan d actions pour réduire significativement nos coûts énergétiques via le SIEL (SAGE) suite au premier bilan énergétique des bâtiments communaux pour sur 3 ans. Isolation bâtiments communaux (plafonds & cloisons). Changement de la chaudière salle E Soulier Détecteurs pour éclairage intérieur des salles de sport TOTAL DES DEPENSES D EQUIPEMENT DE LA COMMUNE PROPOSE dans le cadre de notre PPI de : - TOTAL OPERATIONS projetées en d équipement en inscriptions nouvelles ( de restes à réaliser 2012) soit un total de TOTAL OPERATIONS projetées en d équipement - TOTAL OPERATIONS projetées en d équipement 3. EVOLUTION DES TAUX DE LA FISCALITE LOCALE ANNEE TH 10,84 10,84 12,84 12,84 12,84 12,84 Base prévis TF Bâti 23,6 23,6 25,6 25,6 25,6 25,6 Base prévis TF non Bâti 66,54 66,54 68,54 68,54 68,54 68,54 Base prévis VI) LE BUDGET DE L EAU M4 En dépenses de fonctionnement : Rappel depuis 2011 : les achats d eau en gros habituellement réalisés par la commune (chapitre 011) sont transférés en totalité au fermier dans le cadre du nouveau marché DSP délégation de service public de l eau. Pour le BP 2013, les dépenses de fonctionnement sont stables à En recette de fonctionnement : Rappel depuis 2011 : la surtaxe de l eau a été diminuée pour équilibrer la taxe d assainissement qui elle a augmenté lors de la remontée de compétence à SEM (0.75 /m3 passé à 0.60 /m3). L article correspondant à la recette (surtaxe de l eau) est stable à pour Quant aux opérations d investissement, En dépenses d investissement : Elles sont en augmentation à comparées à au BP Au Chapitre 23, nous pouvons citer notamment une canalisation impasse des Bruyères pour 9 000, une nouvelle canalisation rue de la Péronnière en diamètre 125 pour le site brosse pour et un raccordement canalisation Cellieu/Combérigol pour En recettes d investissement : Principalement constituées du solde d exécution d investissement reporté de l exercice précédent pour un montant de comparées à au BP Voir graphiques suivants : 1. Dépenses et recettes d investissement (BP 2013 prévisionnel vs BP 2012) 2. Dépenses et recettes de fonctionnement (BP 2013 prévisionnel vs BP 2012) Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 9

10 1 LE BUDGET DE L EAU 2013 vs 2012 (Investissement) DEPENSES PRINCIPALES D INVESTISSEMENT RECETTES PRINCIPALES D INVESTISSEMENT 2 LE BUDGET DE L EAU 2013 vs 2012 (Fonctionnement) DEPENSES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT RECETTES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 10

11 VII) LE BUDGET DES BATIMENTS INDUSTRIELS ET COMMERCIAUX M14 En dépenses de fonctionnement : les dépenses sont en légère baisse à ,31 pour en BP 2012, notamment au chapitre 042 dotation aux amortissements liée aux cessions. En recettes de fonctionnement : Constituées des revenus des loyers des bâtiments à usage industriel et commercial qui sont en baisse à vs au BP 2012 du fait de la vente des locaux industriels. Excédent de l exercice 2012 à vs BP Quant aux opérations d investissement, Dépenses d investissement : Les dépenses sont principalement constituées au chap 16 du remboursement d un prêt pour et le remboursement des cautions aux locataires qui deviennent propriétaires pour un montant de , ainsi qu au chapitre 23 travaux pour ( de RAR 2012). Recettes d investissement : bénéficient du report d exécution d investissement reporté 2012 de Section en équilibre à Voir graphiques suivants : 1 Dépenses et recettes d investissement (BP 2013 prévisionnel vs BP 2012) 2 Dépenses et recettes de fonctionnement (BP 2013 prévisionnel vs BP 2012) 1 LE BUDGET DES BATIMENTS INDUSTRIELS ET COMMERCIAUX - BP 2013 vs BP 2012 DEPENSES PRINCIPALES D INVESTISSEMENT RECETTES PRINCIPALES D INVESTISSEMENT 2 LE BUDGET DES BATIMENTS INDUSTRIELS ET COMMERCIAUX - BP 2013 vs BP 2012 DEPENSES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 11

12 RECETTES PRINCIPALES DE FONCTIONNEMENT 3 - Acomptes sur subventions 2013 RAPPORTEUR : M. Luc FRANÇOIS, Adjoint Il est rappelé qu'au cours de l'année 2012, quatre associations ont obtenu une subvention supérieure à Il s'agit : du Centre Social "le Dorlay" : ,00 de l'ogec (école privée) : ,72 de Sport et Culture : ,00 de la crèche Coline et Colas : ,00 L'article L du Code Général des Collectivités Territoriales permet d'engager des dépenses de fonctionnement avant le vote du budget dans la limite des crédits ouverts au budget de l'année précédente. Afin de préserver la pérennité de l'activité de ces quatre structures et notamment de leur permettre de payer leurs salariés au 1 er trimestre 2013, il est proposé au Conseil Municipal de leur verser un acompte sur la subvention Celui-ci serait égal à un quart du montant attribué pour 2012, soit : Centre Social "le Dorlay": ,75 OGEC (école privée) : ,68 Sport et Culture : 6 310,75 Crèche Coline et Colas : ,25 Il serait mandaté en janvier et déduit de la subvention votée avec le budget primitif Ces acomptes ne présument en rien des montants qui pourraient être accordés pour 2013 à ces associations qui devront présenter le dossier de demande prévu à cet effet. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, décide d'accorder un acompte sur la subvention 2013 aux associations suivantes, représentant un quart du montant attribué en 2012, qui sera versé courant janvier 2013, soit : Centre Social "le Dorlay": ,75 OGEC (école privée) : ,68 Sport et Culture : 6 310,75 Crèche Coline et Colas : , Mise à jour du régime indemnitaire RAPPORTEUR : M. Bernard VIRICEL, premier Adjoint Afin de pourvoir au remplacement d'une éducatrice de jeunes enfants qui a quitté son poste, un agent a été recruté sur le même grade depuis le 27 août Cette dernière accèdera au régime indemnitaire à compter du 28 décembre 2012 selon les conditions prévues au tableau délibéré le 28 juin Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, approuve à l'unanimité la modification proposée. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 12

13 5 - Immeuble rue Louis Pasteur : action en expulsion de l'occupante RAPPORTEUR : Monsieur le Maire En 2001, la maison sise 22 rue de Burlat a été achetée par Epora en vue de la démolition et de la reconstruction de l'îlot qui est maintenant en cours. L indemnité a été payée au propriétaire par Epora, que la commune a remboursée après. Entre temps, la mairie a acheté une maison rue Pasteur, par préemption, et la commune y a relogé la propriétaire de la maison 22 rue de Burlat. Depuis lors, l'acheteur évincé par la préemption engage des procédures successives et revendique cette maison. L occupante a également revendiqué l'achat de la maison. Après étude approfondie de ce dossier avec le notaire et l'avocat de la commune, il est apparu que la seule solution est que la commune garde cette maison. Depuis 2008 la commune fait proposition à l occupante de faire une convention de location qui ne commencerait qu à partir de Cela a toujours été refusé parce que sont fils a fait des travaux avec des achats de matériaux (factures avec différents noms et adresses) et sans autorisation écrite. Depuis 11 ans, l occupante habite la maison sans droit, ni titre, ce qui représente une perte de location pour la commune. Par lettre recommandée avec accusé de réception du 4 avril 2012, l occupante a été une nouvelle fois invitée à régulariser sa situation et avertie, que sans réponse de sa part, une action judiciaire serait engagée. Elle n y a pas répondu mais elle a introduit une requête auprès du Tribunal Administratif de LYON en juin 2012 aux fins d obtenir une indemnisation pour préjudices matériel et moral, ainsi que pour les dépenses de l instance. A ce jour, l instruction est encore en cours. Elle argue qu elle aurait eu promesse de vente de cette maison alors qu aucune décision n a jamais été prise en ce sens par le Conseil Municipal. Depuis, l avocat de la partie adverse a indiqué, en septembre 2012, à notre avocate qu'elle accepterait de libérer les lieux moyennant une indemnité englobant le coût des travaux et un préjudice moral. En octobre 2012 aussi, son fils a fait proposition par l intermédiaire de son avocat d un paiement de loyer, avec remboursement par la commune des travaux réalisés. Aucune de ces propositions ne peut être acceptée par la commune, garante de la bonne gestion des deniers publics. Bien que cette situation soit humainement délicate, vu l âge de l occupante, il faut aussi considérer le fait, constaté par huissier, que sa fille habite aussi, depuis quelques années, dans la maison. C est pourquoi, il est demandé au Conseil Municipal d autoriser Monsieur le Maire à intenter une action en expulsion auprès du Tribunal de Grande Instance de Saint Etienne. Il est précisé que cette expulsion ne pourra légalement se faire qu'à partir du 15 mars Pendant ce temps, Monsieur le Maire n'est pas opposé à rencontrer la famille pour essayer de trouver un arrangement qui convienne aux deux parties. Au cours du débat qui s'engage entre les élus sur ce dossier, il est demandé de reporter cette question à l'ordre du jour du 24 janvier 2013 afin de laisser à la famille un délai supplémentaire de réflexion, cette décision étant humainement délicate au vu de l'âge de l occupante. Il est rappelé qu'il s'agit de voter le principe de l'expulsion mais que la décision finale appartiendra à Monsieur le Maire. Le vote de ce principe pourrait faire réfléchir la famille et peut-être faire avancer les choses. D'autre part, si l occupante était seule et sans enfant cette question ne serait pas à l'ordre du jour. Ce n'est pas le cas. De plus, Monsieur le Maire est prêt à aider la famille à trouver un nouveau logement. A l'issue des discussions, le Conseil Municipal est invité à se prononcer sur le renvoi de cette question tout en soulignant qu'elle ne fera pas l'objet d'un nouveau report et que le vote interviendra bien lors de la réunion du 24 janvier Par 22 voix pour et une contre, le Conseil Municipal décide de reporter le vote de l expulsion de l occupante à la réunion du 24 janvier Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 13

14 6 - Immeuble communal 13 rue Jean Jaurès : approbation du principe de vente RAPPORTEUR : Monsieur le Maire Une réflexion a été menée sur le devenir de l'immeuble communal situé 13 rue Jean Jaurès. La commune ne pouvant engager les dépenses nécessaires à sa rénovation, il est proposé au Conseil Municipal de vendre cette maison. A cet effet, le service des domaines a été consulté afin de déterminer la valeur de ce bien. L'examen des propositions d'achat serait fait en commission d urbanisme. Le Conseil Municipal aura ensuite à se prononcer sur l acceptation de l acquéreur et sur le prix de vente. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 21 voix pour et 2 abstentions, approuve le principe de vente de l'immeuble 13 rue Jean Jaurès. 7 - Site 51 rue Louis Pasteur : approbation du principe de vente des locaux administratifs RAPPORTEUR : Monsieur le Maire Le bâtiment administratif de l ex gendarmerie - sis 51 rue Louis Pasteur - est actuellement mis à disposition pour des associations. Or des travaux lourds de gros œuvre ainsi que des mises aux normes accessibilité, trop importants par rapport aux moyens financiers de la commune, seraient nécessaires pour continuer à utiliser ces locaux. Il est donc demandé au Conseil Municipal de bien vouloir approuver le principe de vente de ce bâtiment ainsi que la partie du terrain située devant jusqu à la limite de la rue Pasteur pour une surface totale au sol de m². Il est précisé qu il serait nécessaire de couper la parcelle E92 en deux pour isoler les appartements et maisons individuelles situées sur le côté et à l arrière, et de leur créer un accès à partir du parking mitoyen. Le service des domaines a été consulté afin de déterminer la valeur de ce bien. L'examen des propositions d'achat serait fait en commission d urbanisme. Le Conseil Municipal aurait ensuite à se prononcer sur l acceptation de l acquéreur et sur le prix de vente. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve le principe de vente des locaux administratifs du site 51 rue Louis Pasteur. 8 - Site Sorlin : approbation du principe de vente RAPPORTEUR : Monsieur le Maire Depuis plusieurs années, la Commune réfléchit sur le devenir du site Sorlin. Le 20 avril 2011, la commission urbanisme a étudié les deux solutions possibles : - vendre le bâtiment avec du foncier, - faire les travaux de remise en état dans le but de rouvrir la salle des festivités. Le coût des travaux étant très élevé, la 2 ème solution a été abandonnée. Une mission d assistance à Maîtrise d Ouvrage a été réalisée par le cabinet OXYRIA pour confronter les potentialités du site avec les besoins de la commune et déterminer les aménagements envisageables. Le 22 octobre 2012, OXYRIA a fait une présentation, en commission urbanisme, des clauses techniques particulières qui pourraient être proposées dans le cadre d une consultation d opérateurs pour l aménagement du corps de ferme cadastré A161 et A160 pour une surface de 799 m², et des terrains constructibles attenants cadastrés A155 (786 m²), A156 (1 709 m²), A157 (1 469 m²), A158 (761 m²), A159 (71 m²), A162 (1 295 m²) pour une surface totale de m², auxquels pourrait s ajouter la parcelle A1028 ( m²) si l aménageur consent à recréer à ses frais le city stade sur un autre terrain communal. Il est donc demandé au Conseil Municipal de bien vouloir approuver le principe de vente de la ferme et des terrains cités ci-dessus. A cet effet, le service des domaines a été consulté afin de déterminer la valeur du bien. L'examen des propositions d'achat et des projets correspondants serait fait en commission d urbanisme. Le Conseil Municipal aurait ensuite à se prononcer sur l acceptation de l acquéreur et sur le prix de vente. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 18 voix pour et 5 abstentions, approuve le principe de vente du site Sorlin. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 14

15 9 - Terrains place Jean-Baptiste Cornet : approbation du principe de vente RAPPORTEUR : Monsieur le Maire Dans le cadre de la rénovation urbaine du centre ville, un nouvel immeuble de 26 logements en accession à la propriété aux norme BBC sera construit sur le tènement composé des parcelles E154 (183 m²), E155 (104 m²), E330 (70 m²), E454 (41 m²) E455 (20 m²), E456 (54 m²), E458 (74 m²), E459 (144 m²), E460 (305 m²) et E648 (82 m²) soit une superficie totale de m². Le projet de NEOPROM a été présenté en commission urbanisme. Il est proposé au Conseil Municipal d approuver le principe de vente du terrain d assise. Le service des Domaines ayant estimé la valeur de ce tènement en août 2011, une réactualisation sera demandée. Le prix de vente devra tenir compte du fait qu il n y a pas eu d études préalables des sols et que le constructeur devra faire des travaux de reprise de soutènement des bâtiments mitoyens. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 19 voix pour et 4 abstentions, approuve le principe de vente des terrains sis place J.B. Cornet Echanges de parcelles de terrain entre la commune et Monsieur Bernard ORIOL : régularisation des surfaces échangées RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Par délibération du 21 septembre 2007, le Conseil Municipal avait approuvé différents échanges de parcelles à intervenir entre la commune et M. Bernard ORIOL, dans le cadre d'une part de l'aménagement de la voie communale n 1 et, d'autre part de l'aménagement d' un chemin rural. A cet effet, des documents d'arpentage avaient été établis par Messieurs GRACZYK et TUFFERY, géomètres experts à SAINT-CHAMOND. De ces documents, il ressortait que Monsieur ORIOL cédait à la commune m² à détacher des parcelles suivantes : B 423 (76 m²), B 433 (371 m²), B 445 (575 m²), B 763 (10 m²) et B 766 (155 m²). En contre partie, la commune cédait m² (à détacher de la parcelle B 764), la différence de surface devant compenser la perte subie par Monsieur ORIOL suite à l'abattage d'arbres fruitiers qui se trouvaient sur la parcelle B 766. Toutefois, la rédaction de l'acte notarié a été retardée notamment en raison de recherches que l'étude de Maître THIBOUD a dû effectuer auprès des hypothèques pour retrouver le titre de propriété de la commune. L'étude notariale vient de préparer le projet d'acte mais il s'est avéré qu'entre temps les parcelles B 423 et 433 ont fait l'objet d'un redécoupage qui a induit la nouvelle numérotation suivante : B 1023, 1024 et Un nouveau document d'arpentage a été établi par Monsieur GRACZYK afin de prendre en compte ces modifications ainsi que le tracé réel du chemin rural. De ce document, il ressort que finalement la surface cédée à la commune par Monsieur ORIOL s'élève à m² (244 m² à détacher de la parcelle 1025, 197 m² représentant la totalité de la parcelle 1024, ainsi que les 575 m² + 10 m² m² précités). Compte tenu de l'ancienneté de cette affaire et de la nécessité de régulariser enfin ce dossier, il est proposé au Conseil Municipal d'approuver cet échange sur la base de ces nouvelles surfaces, soit m² cédés à la commune par Monsieur ORIOL et m² cédés par la commune à Monsieur ORIOL. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, l'unanimité, approuve les nouvelles surfaces échangées entre la commune et Monsieur Bernard ORIOL VOIRIES COMMUNAUTAIRES : HARMONISATION DES TRANSFERTS 1 ET 2 RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Notre commune a transféré des voiries d intérêt communautaire à Saint Etienne Métropole en 2003, puis en Dans un souci de cohérence, Saint Etienne Métropole propose d harmoniser le premier transfert sur le second. Cette harmonisation consiste d une part à retirer le champ de compétence "éclairage public " inclus dans le premier transfert et d autre part à uniformiser les modes de gestion. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 15

16 Pour ce faire, deux avenants sont soumis à l'approbation du Conseil Municipal : - un avenant n 1 d extension à la convention cadre de transfert du 19 mai 2011 qui reprend en un seul document l ensemble des voiries transférées avec les linéaires et surfaces correspondants, tout en retirant le champ de compétence "éclairage public". - un avenant n 1 à la convention de mise à disposi tion de services du 19 mai 2011 pour l uniformisation des modalités de gestion. Il est proposé au Conseil Municipal d approuver ces deux avenants et d autoriser le Maire à les signer. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve les deux avenants présentés et autorise Monsieur le Maire à les signer Extinction de l'éclairage public sur certains secteurs RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Lors de la réunion de la Commission voirie du 23 octobre 2012, le S.I.E.L. avait fait une présentation du projet d'extinction de l'éclairage public sur certains secteurs de la commune. Cette démarche est engagée dans le cadre du grenelle de l'environnement. Outre l'impact environnemental, une économie du coût annuel de l'éclairage public sera également faite. Une délibération du Conseil Municipal doit définir les horaires et secteurs concernés. A cet effet, il est proposé au Conseil Municipal : - d'approuver cette mesure, - de fixer la plage horaire d'extinction de l'éclairage : de 23 h à 5 h, - de définir comme secteurs concernés la partie de la commune située à l'ouest de la rue de la Rive et de la rue du Canal, ces deux rues étant incluses, - d'autoriser Monsieur le Maire à engager les démarches nécessaires à l'aboutissement de cette décision. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 22 voix pour et une abstention : - approuve l'extinction de nuit de l'éclairage public qui prendrait effet au début de l'année 2013, - fixe la plage horaire d'extinction de 23 h à 5 h, - définit comme secteurs concernés la partie de la commune située à l'ouest de la rue de la Rive et de la rue du Canal, ces deux rues étant incluses, - autorise Monsieur le Maire à engager les démarches nécessaires à l'aboutissement de cette décision Maîtrise d'ouvrage du S.I.E.L. pour les travaux d'extinction de nuit de l'éclairage public RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Dans le cadre du transfert de compétence, le SIEL peut faire réaliser des travaux pour le compte de la commune et en assurer la maîtrise d'ouvrage. Il perçoit alors, en ses lieu et place, les subventions éventuellement attribuées par le Conseil Général de la Loire, le Conseil Régional Rhône-Alpes, l'union Européenne ou d'autres financeurs. Le Conseil Municipal s'étant prononcé favorablement sur l'extinction de nuit des éclairages publics, le S.I.E.L. devra réaliser les travaux suivants : Montant H.T. des travaux Participation de la commune Comptage C5 12 KVA mono (100 % de la dépense) Programmation, fourniture panneaux (92 %) Mise aux normes des armoires (92 %) Soit un total de Il est précisé qu'après étude des travaux, les dossiers seront soumis à Monsieur le Maire pour information avant son exécution. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité : approuve le montant des travaux et la participation prévisionnelle de la Commune, étant entendu que le fonds de concours sera calculé sur le montant réellement exécuté, décide d'amortir ce fonds de concours en 15 années, autorise Monsieur le Maire à signer toutes les pièces à intervenir. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 16

17 14 - Maîtrise d'ouvrage du S.I.E.L. pour les travaux de dissimulation impasse de la Rive RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Dans le cadre du transfert de compétence, le SIEL peut faire réaliser des travaux pour le compte de la commune et en assurer la maîtrise d'ouvrage. Il perçoit alors, en ses lieu et place, les subventions éventuellement attribuées par le Conseil Général de la Loire, le Conseil Régional Rhône-Alpes, l'union Européenne ou d'autres financeurs. Il s'agit des travaux de dissimulation Impasse de la Rive : Montant H.T. des travaux Participation de la commune EP impasse de la Rive (92 % de la dépense) Dissimulation BT impasse de la Rive (80 %) Soit un total de Ces contributions sont indexées sur l indice TP 12 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité : approuve le montant des travaux et la participation prévisionnelle de la Commune, étant entendu que le fonds de concours sera calculé sur le montant réellement exécuté, décide d'amortir ce fonds de concours en 15 années, autorise Monsieur le Maire à signer toutes les pièces à intervenir Cession des Certificats d'economies d'energie au SIEL : approbation de la convention de transfert RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint La loi de Programmation des Orientations de la Politique Energétique (POPE) du 13 juillet 2005 a mis en place le dispositif des Certificats d'economies d'energie (C.E.E.). Les Collectivités Locales sont éligibles à ce dispositif et peuvent valoriser les économies d'énergie qu'elles ont réalisées par l'obtention de C.E.E. Le Syndicat Intercommunal des Energies du Département de la Loire a la possibilité de mutualiser les Certificats d'economies d'energie réalisées par les collectivités adhérentes et de les déposer à leur place. A cet effet, un projet de convention est soumis à l'approbation de l'assemblée. Par le biais de cette convention, la commune et le SIEL concluent un Protocole d'accord en faveur de l'efficacité énergétique par lequel les parties définissent les conditions de mise en œuvre de leur partenariat en matière de Maîtrise de la Demande d'energie (M.D.E.) et de développement des énergies renouvelables sur des opérations éligibles aux C.E.E. La commune s'engage à rétrocéder les Certificats d'economies d'energie au SIEL dans leur totalité. Celui-ci sera dès lors détenteur des droits afférents à ces certificats. Le montant des C.E.E. déposés est calculé par l'interlocuteur SAGE (Service d'assistance à la Gestion Energétique) de la commune, en fonction des fiches d'opérations standardisées en vigueur au moment du dépôt. Le SIEL ne peut être considéré comme responsable en cas de refus de tout ou partie des C.E.E. par le pôle national. Le SIEL s'engage à reverser à la commune une somme correspondant à 50 % de la valeur des C.E.E. valorisés au cours de la revente. Il reste maître de la mise en vente des C.E.E. Le reversement interviendra suite à la réalisation par la commune d'une opération de maîtrise M.D.E. dans un délai de trois ans suite à la revente des C.E.E. et sur production d'un descriptif précis et de justificatifs de paiement. Pour l'année en cours, les opérations suivantes sont retenues : changement de la chaudière de l'espace Massenet, changement de la chaudière de l'école Pierre Teyssonneyre. La convention est conclue pour une durée de trois ans à compter du 1 er janvier Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité : - accepte de transférer au SIEL l'intégralité des Certificats d'economies d'energie générés par les opérations concernées, - autorise Monsieur le Maire à signer la convention ainsi que toutes les pièces à venir. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 17

18 16 - Approbation d'une convention de servitude pour la pose de réseaux ERDF (parcelle communale cadastrée section D n 171, la Croix de B ois) RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Dans le cadre de la construction de l'ehpad, ERDF doit procéder au déplacement d'un câble H.T.A. assurant l'alimentation d'un transformateur sis dans le secteur des HLM du Dorlay. Le tracé empruntant la parcelle communale cadastrée section D n 171, ERDF sollicite la signature d'une convention de servitudes. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve cette convention de servitude et autorise Monsieur le Maire à signer Copropriété "les Arbousiers" 43 rue Jean Jaurès et "le Dorlay" 32 rue Sauzéa : approbation des contrats de Syndic RAPPORTEUR : Mme Dominique FARA, Adjointe La Commune dispose de deux biens en copropriété avec la S.A. Bâtir et Loger. Le premier est situé au rez-de-chaussée du 43 rue Jean Jaurès (local commercial bar-tabac), les logements à l'étage étant propriétés de Bâtir et Loger. Le second se trouve 32 rue Sauzéa et concerne le premier étage du bâtiment qui abrite la restauration scolaire de l'école Renée Peillon. Les garages se trouvant au rez-de-chaussée appartiennent à Bâtir et Loger. Par délibération du 18 mai 2010, le Conseil Municipal a approuvé les contrats confiant à la S.A. Bâtir et Loger les fonctions de Syndic. Ces contrats arriveront à échéance le 31 décembre 2012 et Bâtir et Loger propose de les reconduire pour la période du 1 er janvier 2013 au 31 décembre Le Conseil Municipal, après en avoir, délibéré, à l'unanimité, approuve la reconduction de ces contrats et autorise Monsieur le Maire à les signer Approbation de tarifs "droits de place abonnements" à compter du 1er janvier 2013 RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Par délibération en date du 17 juin 2011, le droit de place a été établi comme suit : Emplacement de 1 à 6 mètres Emplacement à partir du 7 ème mètre 0.40 le ml / par ½ journée 0.80 le ml / par ½ journée Afin de fidéliser les marchands forains sur notre marché du lundi, il est proposé au Conseil Municipal de fixer un tarif d abonnement annuel ainsi calculé : Redevance pour ½ journée en fonction de la surface utilisée x (52 semaines - 5 semaines de congés - les lundis fériés de l'année) Cet abonnement annuel sera payé en un seul versement, au cours du 1 er trimestre de l année. Il ne sera pas remboursable, sauf cessation d activité du marchand forain, dûment justifiée. Si un marchand forain souhaite bénéficier de l abonnement en cours d année, il lui sera demandé, pour la première année incomplète : Redevance pour ½ journée en fonction de la surface utilisée x nombre de lundis restants ( exclus les lundis fériés) Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve les tarifs "droit de place abonnements" proposés Budget communal 2012 : décision modificative n 1 RAPPORTEUR : M. Bernard VIRICEL, premier Adjoint Il est proposé au Conseil Municipal d'approuver la décision modificative n 1 ci-dessous. Elle concerne des virements et ouvertures de crédits. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 18

19 Article Dénomination Augmentation de crédits Diminution de crédits Section de fonctionnement Intérêts des emprunts , Frais financiers , Autres impôts et taxes , Rémunération principale personnel titulaire , NBI, supplément familial traitement , Rémunération personnel non titulaire , Cotisation assurance statutaire , Fournitures de voirie , Fournitures administratives , Entretien des terrains , Fêtes et cérémonies , Entretien matériel roulant , Maintenance , Autres charges exceptionnelles sur opération de gestion , Autres charges exceptionnelles , Crédit bail mobilier - 500, Autres emplois d'insertion + 500, , ,00 Article Dénomination Dépenses Recettes Section de fonctionnement 023 Virement à la section d'investissement , Travaux en régie (immobilisations) ,95 Total , ,95 Section investissement 021 Virement de la section de fonctionnement , Bâtiments scolaires (bureau directrice) 2 642, Réseaux de voirie (rond point - travaux régie) ,60 Total , ,95 Article Dénomination Augmentation de crédits Diminution de crédits Section investissement Immobilisations autres bâtiments publics 7 475, Travaux bâtiments en cours 7 475, Matériel de transport , Matériel de transport , Subventions équipement versées aux communes , Réseaux de voirie , Travaux de voirie en cours , Avances versées sur commandes immobi. corporelles ,00 Total , ,00 Le Conseil Municipal, par 19 voix pour et 4 abstentions, approuve la décision modificative n 1 présentée Budget communal : admissions en non valeur RAPPORTEUR : M. Bernard VIRICEL, premier Adjoint Madame la Trésorière Principale de Rive de Gier a transmis à la Commune la liste des titres pour lesquels elle sollicite une admission en non valeur. Il s'agit de deux titres de paiement sur l exercice 2010 et de trois titres sur l exercice 2011, dont les montants s élèvent à : Garderie périscolaire : 128,40 Restauration scolaire : 92,51-251,60-127,30 Frais de garde "Jardin des Elfes" : 135,67 Il est proposé au Conseil Municipal d admettre ces 5 titres en non valeur. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 19

20 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 22 voix pour et 1 abstention, décide d'admettre ces titres en non valeur pour un montant total de 735,48 qui sera imputé sur le budget communal à l article 654 «pertes sur créances irrécouvrables» Centres musicaux ruraux : avenant au protocole d'accord portant modification du tarif de l'heure/année RAPPORTEUR : M. Pierre-Jehan ROLLET, Adjoint Un protocole d accord lie la Fédération Nationale des Centres Musicaux Ruraux à la Commune pour l enseignement musical. Dans ce cadre, la Commune acquitte une cotisation annuelle à la F.N.C.M.R. Le tarif de l heure/année doit être revalorisé au 1 er janvier 2013 et passera de 1 627,00 à 1 671,00. Le contrat de la Commune pour l enseignement musical porte sur 22 heures/années (7 h pour le groupe scolaire Pierre Teyssonneyre, 8 h pour le groupe scolaire Renée Peillon, 6 h pour l'école privée et 1 h pour le jardin d'enfants), soit une dépense de x 22 = S y ajoute une cotisation de 1 % (367,62 ) ce qui porte le total à ,62. Il est proposé au Conseil Municipal d'approuver l'avenant formalisant cette augmentation. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve l avenant au protocole d'accord portant modification du tarif de l'heure/année et à autorise Monsieur le Maire à le signer Renouvellement de la convention de mise à disposition d'une salle de tennis couvert RAPPORTEUR : M. Luc FRANÇOIS, Adjoint La Commune loue le tennis couvert appartenant à l Association du Centre de Loisirs et Equestre de Combérigol afin de permettre le déroulement d activités en faveur des enfants et adolescents. Celles-ci sont encadrées par les animateurs sportifs municipaux. En contrepartie, une indemnité horaire de 4,50 est versée à cette Association. La convention formalisant cette mise à disposition arrivant à échéance le 31 décembre 2012, il est proposé au Conseil Municipal de la renouveler pour une année et d autoriser Monsieur le Maire à la signer La dépense pour l'année 2013 s'élèvera à 1 338,75 pour une durée d'utilisation prévisionnelle de 297,30 heures. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité, approuve le renouvellement de la mise à disposition d'une salle de tennis couvert et autorise Monsieur le Maire à signer la convention Renouvellement de la convention avec la S.P.A. RAPPORTEUR : M. Jean-Louis BERNE, Adjoint Chaque année, une convention est signée avec la S.P.A., 25 Quai Jean Moulin LYON, pour la prise en charge, la capture et l'enlèvement des animaux errants. La commune ne disposant pas de fourrière, il est proposé au Conseil Municipal de procéder au renouvellement de cette convention pour l'année 2013 et de retenir la formule dite complète qui comprend la capture et l'accueil. Cette année, la SPA a établi une tarification variable par zone de 1 à 4. La zone dans laquelle se situent les communes est déterminée en fonction de leur accessibilité et de leur proximité du refuge de fourrière de destination des animaux. La commune de La Grand'Croix a été située en zone 2, ce qui représente une indemnité de 0,33 par habitant, soit un total de 1 674,09 pour une population municipale de Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité : approuve le projet de convention à intervenir avec la "SPA", autorise Monsieur le Maire à signer la convention. Réunion du Conseil Municipal du 13 décembre Compte rendu 20

VILLE DE LA GRAND CROIX

VILLE DE LA GRAND CROIX R é p u b l i q u e F r a n ç a i s e VILLE DE LA GRAND CROIX Le Conseil Municipal de la Commune de LA GRAND'CROIX, dûment convoqué le 20 janvier 2011, s'est réuni le vendredi 28 janvier 2011 à 19 heures

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat

Plus en détail

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

VILLE DE LA GRAND CROIX

VILLE DE LA GRAND CROIX R é p u b l i q u e F r a n ç a i s e VILLE DE LA GRAND CROIX Le Conseil Municipal de la Commune de LA GRAND'CROIX, dûment convoqué le 22 novembre 2011, s'est réuni le jeudi 1 er décembre 2011 à 19 heures,

Plus en détail

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 FEVRIER 2015

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 FEVRIER 2015 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 FEVRIER 2015 L an deux mil quinze, le cinq février, à vingt heures, le Conseil Municipal, légalement convoqué, s est réuni à la mairie sous la présidence de M. Jean DUFRESNE,

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015 PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015 Commune de Poisat 23 février 2015 Sommaire Le budget communal : quelques points de compréhension 1. Principes budgétaires 2. Préparation du budget 3. Exécution du budget

Plus en détail

La construction du budget communal. 25 avril 2015

La construction du budget communal. 25 avril 2015 La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise

Plus en détail

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie)

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) CONSEIL MUNICIPAL DU 03 SEPTEMBRE 2015 NOTE DE SYNTHESE PERSONNEL 1- Personnel du service Animation : Augmentation du temps de travail 2- Suppression et création d un

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 29 septembre 2009 ----------------- Rapporteur : Mme DIOURON ----------------- N 10 CONVENTION DE

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 PRESENTS : M. X. MADELAINE, Maire ; L.AUGUSTE, L.PARDOEN, E.DELAUNAY, R.FOLTETE, B.LEDRU, P.GOUPIL, C.LECHARPENTIER, B.NUYTEN, N.DUPUIS,

Plus en détail

COMMUNAUTE DE COMMUNES DES GRANDS LACS 7 Avenue du 11 novembre 40160 PARENTIS EN BORN. Compte rendu du 20 décembre 2002

COMMUNAUTE DE COMMUNES DES GRANDS LACS 7 Avenue du 11 novembre 40160 PARENTIS EN BORN. Compte rendu du 20 décembre 2002 COMMUNAUTE DE COMMUNES DES GRANDS LACS 7 Avenue du 11 novembre 40160 PARENTIS EN BORN Compte rendu du 20 décembre 2002 L an deux mil deux et le 20 décembre à 20h30, le Conseil de Communauté de Communes

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Commune de Kœnigsmacker

Commune de Kœnigsmacker Commune de Kœnigsmacker PROCES-VERBAL DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 29 JANVIER 2015 L an deux mille quinze, le 29 janvier, à dix-neuf heures et trente minutes, les membres du Conseil

Plus en détail

Le compte administratif 2011

Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 de MIONS en quelques chiffres Budget principal. 16 590 970 de recettes réalisées, dont :. 13 003 158 en fonctionnement dont 165 000 de rattachements.

Plus en détail

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances PRESENTATION DES BUDGETS DE LA VILLE DE MEYLAN Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances Un budget construit sous le signe de fortes contraintes et en adéquation avec les réformes en

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER AGENCE FONCIÈRE DE LOIRE-ATLANTIQUE COMMUNE / EPCI DE.

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER AGENCE FONCIÈRE DE LOIRE-ATLANTIQUE COMMUNE / EPCI DE. CONVENTION DE PORTAGE FONCIER AGENCE FONCIÈRE DE LOIRE-ATLANTIQUE COMMUNE / EPCI DE. 1 / 10 ENTRE : L AGENCE FONCIERE DE LOIRE-ATLANTIQUE, Etablissement Public à caractère industriel et commercial dont

Plus en détail

guide du copropriétaire

guide du copropriétaire guide du copropriétaire 2 sommaire 6 Comment fonctionne la copropriété? 3 Edito 11 Vous êtes copropriétaires, vous devez... 14 Lexique 4 Qu est-ce que la copropriété? 12 Foire aux questions 10 La vie de

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL 4.5.1 RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL relatif au transfert du patrimoine immobilier de la S.I. Le Locle-Avenir S.A. en faveur de la Commune du Locle Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs,

Plus en détail

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Mairie de Trèves (Rhône) 450 route des Deux Vallées 69420 TREVES COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Le Conseil Municipal, dûment convoqué le 13 décembre 2013 s est réuni

Plus en détail

DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM

DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM PROCES VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL Date de la convocation : 24 mars 2015 SEANCE DU : 30 MARS 2015 Membres présents

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE

COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE Ordre du jour : COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE - Bilan des activités d été et rentrée scolaire - Transfert de la compétence Tourisme à la communauté

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

SEANCE du 31 JANVIER 2014. Le compte rendu de la précédente séance est lu et adopté à l unanimité.

SEANCE du 31 JANVIER 2014. Le compte rendu de la précédente séance est lu et adopté à l unanimité. SEANCE du 31 JANVIER 2014 Nombre de membres : en exercice : 11 L an deux mille quatorze, présents : 10 le 31 janvier à 20 heures 30, votants : 10 le conseil municipal de la commune de LOUPIAC, dûment convoqué,

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 DECEMBRE 2014

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 DECEMBRE 2014 COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 DECEMBRE 2014 L an deux mil quatorze, le seize du mois de Décembre, à dix-huit heures, le conseil Municipal, dûment convoqué, s est réuni en séance

Plus en détail

«Mécanismes» et contraintes budgétaires

«Mécanismes» et contraintes budgétaires Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr

Plus en détail

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 AVRIL 2013

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 AVRIL 2013 SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 AVRIL 2013 Présents : Absents : Secrétaire : PERACHE Gilles PUGNET Bernard SIGAUD Edmond - DUBREUIL Henri GUYOT Régine DUMONT Christophe - FATISSON Yves FORISSIER Roger

Plus en détail

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I Sommaire 1. Vue d ensemble des budgets 2. Contexte des finances locales en 2014 3. Section de fonctionnement 4. Section d investissement 5. Synthèse et conclusion I 2 I 1. Vue d ensemble des budgets I

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

DELIBERATION N 2015-1 : Convention de portage foncier avec la Communauté de Communes Le Grésivaudan.

DELIBERATION N 2015-1 : Convention de portage foncier avec la Communauté de Communes Le Grésivaudan. REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DE L ISERE CANTON DE DOMENE NOMBRE DE MEMBRES EN EXERCICE : 15 PRESENTS : 13 VOTANTS : 15 POUVOIRS : 2 COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA COMMUNE DE LA COMBE-DE-LANCEY

Plus en détail

Guide simplifié de la déclaration des revenus fonciers

Guide simplifié de la déclaration des revenus fonciers logiciel de gestion locative mais assez complêt Guide simplifié de la déclaration des revenus fonciers POUR PARTICULIERS BAILLEURS Gérer seul son bien est la solution la plus économique et Rentila.com

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges

Plus en détail

Débat d Orientation Budgétaire 2013

Débat d Orientation Budgétaire 2013 Débat d Orientation Budgétaire 2013 Rappel Les échanges de ce débat d orientation budgétaire permettront de préciser les grands axes du budget 2013 en préparation qui sera soumis au vote lors de la présentation

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013

Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Montant de la participation de la collectivité : - Participation obligatoire pour adhérer à la convention de participation du CDG54 :

Montant de la participation de la collectivité : - Participation obligatoire pour adhérer à la convention de participation du CDG54 : DEPARTEMENT Meurthe et Moselle ARRONDISSEMENT TOUL CANTON TOUL Sud Commune de SEXEY AUX FORGES EXTRAIT DU PROCES VERBAL DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 NOVEMBRE 2012 L'an deux mille douze,

Plus en détail

Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008

Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008 Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008 relative aux modalités d octroi des garanties accordées par la CGLLS Le conseil d'administration, Vu les articles

Plus en détail

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la

Plus en détail

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 L an deux mille quinze, le vingt-quatre février à 18 heures 30, le CONSEIL MUNICIPAL de cette Commune, appelé à siéger

Plus en détail

SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011

SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011 SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011 RENOUVELLEMENT DU COMPTE A TERME Monsieur le Maire informe les membres du conseil municipal que le compte à terme de la commune est arrivé à échéance le 11 novembre 2011. Il

Plus en détail

Compte-rendu du Conseil Municipal du jeudi 26 01. 2012

Compte-rendu du Conseil Municipal du jeudi 26 01. 2012 Compte-rendu du Conseil Municipal du jeudi 26 01. 2012 Monsieur le Maire, Serge MARTINEZ ouvre la séance à18h 35 et procède à l appel des conseillers. Sont présents : Elus de la majorité M. MARTINEZ Mme

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 L an deux mille quatorze, le treize du mois de janvier, le Conseil Municipal de la Commune de la Mothe-Achard, dûment convoqué par Monsieur

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES

LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES Réunion d information à destination des élus des communes lundi 30 mars 2015 à Avranches mars 2015 1 LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES : Dotation Globale de Fonctionnement

Plus en détail

Etaient présents : Ont donné pouvoir : Etait excusée :

Etaient présents : Ont donné pouvoir : Etait excusée : Etaient présents : Mme BELLOCQ Chantal BERGES Isabelle CANDAU Valérie CLAVIER Hélène LAHOURATATE Nicole MOURTEROT Josiane MM AUSSANT Claude CARRIORBE Arnaud CASAUBON Jean-Paul 6 ESQUER Philippe - HARCAUT

Plus en détail

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.

Plus en détail

COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL. 26 Mars 2015 20 h 00 (convocation du 20 mars 2015)

COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL. 26 Mars 2015 20 h 00 (convocation du 20 mars 2015) COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL 26 Mars 2015 20 h 00 (convocation du 20 mars 2015) PRESENTS : Mr Jean-Louis LAFAURIE, Maire,, Madame Pierrette QUEROL, adjointe au Maire, Mr Régis FONTES, adjoint au Maire,

Plus en détail

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans

Plus en détail

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 En milliards d'euros 2010 2011 Dépenses du budget général dont charges de la dette dont pensions dont dépenses

Plus en détail

Guide. de la copropriété

Guide. de la copropriété Guide de la copropriété 3F acteur majeur de l'habitat social 3F construit et gère des logements sociaux. Son parc s élève à près de 190 000 logements dont plus de 100 000 en Île-de-France. 3F est composé

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE

REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE COMPTE RENDU Nbre de conseillers : 23 Réunion du : 30 juin 2014 Nbre de présents : 22 Convocation du : 23 juin 2014 Nbre de

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM

COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 12 DECEMBRE 2003 A 20 HEURES Convocation en date du 8 décembre 2003 Sous la présidence de M. VIERLING Fernand, Maire Membres présents : M.

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 5 FEVRIER 2013

COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 5 FEVRIER 2013 COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 5 FEVRIER 2013 Le Conseil municipal de Bohars s est réuni en mairie, lieu ordinaire de ses séances, le mardi 5 Février 2013, à 19 heures, sous la

Plus en détail

Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011

Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011 Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011 Nombre de Membres dont le conseil doit être composé : 19 Nombre de Conseillers en exercice : 19 Nombre de Conseillers présents : 11 + 4 procurations

Plus en détail

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page

Plus en détail

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr IMMOBILIER le PARCOURS de vente L acte de vente www.notaires.paris-idf.fr Le parcours de vente LʼACTE DE VENTE Toute vente immobilière doit être constatée par acte notarié. Après la signature de l avant-contrat

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU DE LA SEANCE

CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU DE LA SEANCE CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU DE LA SEANCE Du 20 mai 2008 Date de la convocation : le 13 mai 2008 Etaient présents : MM BARRAL ; MIRABEL ; MORIN ; Mme RIONDET ; MM CHOPPIN ; BUDYNEK ; FAUCON ; Mmes BARRAL

Plus en détail

l EPF du Bas-Rhin, mode d emploi L outil foncier au service des collectivités

l EPF du Bas-Rhin, mode d emploi L outil foncier au service des collectivités l EPF du Bas-Rhin, mode d emploi L outil foncier au service des collectivités 2 Créé en décembre 2007 à l initiative du Conseil Général du Bas-Rhin, l Etablissement Public Foncier (EPF) est un outil opérationnel

Plus en détail

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B.

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une

Plus en détail

Vente immobilière Mode d emploi

Vente immobilière Mode d emploi Vente immobilière Mode d emploi Quels documents dois-je fournir? Dès qu un accord est trouvé avec l acquéreur, je remets au notaire Les documents portant sur ma situation personnelle Si je suis un particulier

Plus en détail

Durée d investissement recommandée de 8 ans. SCPI à capital variable.

Durée d investissement recommandée de 8 ans. SCPI à capital variable. SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise, avec la SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Durée d investissement recommandée de 8 ans.

Plus en détail

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE 2014/99 Convocation du 13 novembre 2014 L an deux mil quatorze, le vingt novembre à vingt heures trente, le conseil municipal, légalement convoqué par Madame le Maire, se rassemble en séance ordinaire

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

Compte rendu de la séance du 18 novembre 2014

Compte rendu de la séance du 18 novembre 2014 Compte rendu de la séance du 18 novembre 2014 Secrétaire(s) de la séance: Julien MALHERBE Ordre du jour: * Approbation du PV de la séance du 30 Septembre 2014; * Demande de subvention GALBAUX; * Demande

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL COMMUNE DE VAL-DE-RUZ RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL à l appui d une demande d un crédit d'engagement de CHF 160'000.- pour la rénovation et l isolation des façades du bâtiment sis à l

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal

Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal Département de Vaucluse Commune de Venasque Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal SEANCE DU VENDREDI 4 FEVRIER 2011 Nombre de membres : Afférents au Conseil Municipal 15 En exercice : 14 Qui

Plus en détail

LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION

LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION 1 PRESENTATION Le présent document a été réalisé par le Cabinet Michel Klopfer, conseil indépendant dont le capital appartient

Plus en détail

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)

Plus en détail

Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable.

Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable. Réunion du 12 mai 2011 1 Premiers éléments de caractérisation financière du territoire Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer

Plus en détail

COMPTE-RENDU de la REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du MERCREDI 18 Mars 2015

COMPTE-RENDU de la REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du MERCREDI 18 Mars 2015 DEPARTEMENT de LA MAYENNE CANTON DE MAYENNE-OUEST COMMUNE de ST-GEORGES-BUTTAVENT COMPTE-RENDU de la REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du MERCREDI 18 Mars 2015 ETAIENT PRESENTS : Gérard BRODIN, Alain MANCEAU,

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 27 MARS 2009 Election du secrétaire de séance : Monsieur André AUDOIN Le procès verbal de la dernière séance est adopté à l unanimité. ORDRE DU JOUR COMPTE

Plus en détail