Évaluation des arthroplasties totales de hanche douloureuses Jonctions coniques modulaires métalliques

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1 Orthopaedics Évaluation des arthroplasties totales de hanche douloureuses R. Michael Meneghini, MD + Auteur de l étude + Médecins spécialisés de l Université de l Indiana Service de chirurgie orthopédique Faculté de médecine de l Université de l Indiana Indianapolis, IN Introduction et contexte Les avantages de la modularité de l arthroplastie totale de hanche sont nombreux. Pendant de nombreuses années, les têtes fémorales modulaires ont été la norme de traitement, car elles permettent d effectuer des réglages pré-opératoires au niveau de la longueur de jambe et de la latéralisation. Récemment, des composants fémoraux modernes de l arthroplastie totale de hanche primaire ont fait leur apparition, dont ceux comportant des cols modulaires. Ces derniers offrent au chirurgien l avantage unique de pouvoir reproduire ou corriger précisément l anatomie et la biomécanique de la hanche du patient. Il existe plusieurs sortes de cols modulaires dont la latéralisation et la longueur varient. Cela permet au chirurgien de créer une géométrie anatomique de la hanche adaptée, et donc d optimiser la tension et la force des adducteurs, d égaliser la longueur de jambe et d améliorer la stabilité de la hanche. Le col modulaire peut en outre faciliter l insertion d un composant fémoral au cours d approches chirurgicales techniquement ambitieuses, telles qu un abord antérieur direct, au cours duquel l exposition et la mobilisation fémorales peuvent être difficiles. Ces «prothèses à col modulaire» offrent ainsi des avantages importants par rapport aux composants ordinaires, particulièrement pour les cas présentant une déformation (telle qu une dysplasie de la hanche, une arthrite post-traumatique, etc.). Ces «prothèses à col modulaire» permettent également l utilisation de têtes modulaires et disposent ainsi de deux jonctions modulaires, ce qui les distingue des «prothèses à tête modulaire» conventionnelles qui ne disposent que d une jonction modulaire unique. Avec leur interface conique supplémentaire, les composants fémoraux à col modulaire offrent une interface supplémentaire qui peut, dans de rares cas, être la source de frottements métalliques et de corrosion fissurante. 1-5 Lorsque deux surfaces métalliques sont en contact et qu un mouvement relatif est possible, cela peut générer des débris métalliques ou causer de la corrosion. Depuis plusieurs années, il existe des rapports concernant le frottement et/ou la corrosion entre la tige et la tête des prothèses à tête modulaire conventionnelles. Ceci a été mentionné avec des jonctions coniques titane-titane, CrCo-CrCo et les jonctions CrCo-titane. La production in vivo de débris métalliques provenant d implants fait actuellement l objet d études minutieuses. Les articulations métal-métal, par exemple, produisent de petits débris d usure (de 20 à 80 nm de diamètre) en raison de la mobilité. Dans les cas d «edge loading», la quantité de débris peut être très élevée par rapport aux articulations métal-métal bien positionnées. De plus, des taux sériques élevés d ions métalliques (ces ions métalliques seraient produits par la corrosion des débris d usure, dans le cas d articulations métal-métal) et une hypersensibilité au métal pouvant être à l origine d une réaction indésirable locale des tissus (ALTR) peuvent être observés en présence de surfaces articulaires métal-métal, et peuvent causer une défaillance précoce due à une ostéolyse, un descellement aseptique et dans certains cas, à une formation pseudotumorale d évolution très rapide Il a été démontré qu une réaction similaire ainsi qu une défaillance potentiellement précoce de l arthroplastie totale de hanche pouvaient se produire dans de rares cas de patients ayant reçu des composants fémoraux à tête 23 et col modulaires. 3 L objectif de cet article est ainsi d aborder la présentation clinique, l évaluation et l examen des patients présentant des douleurs et des symptômes persistants après une arthroplastie totale de hanche réussie avec une jonction conique métallique au niveau de laquelle un frottement et/ou une corrosion sont suspectés. Il convient de remarquer que la présentation clinique et les symptômes des réactions aux débris métalliques peuvent être semblables à ceux d autres complications, telles qu une infection. Cet article offre au médecin des directives de base reflétant uniquement notre compréhension, basée sur de rares

2 cas rapportés, des présentations cliniques potentielles, de l évaluation, des pathologies et du traitement de ces patients, ainsi que les cas où une reprise chirurgicale est à envisager. Présentation clinique Les patients porteurs d une arthroplastie totale de hanche, avec un composant fémoral à col ou tête modulaire, restant douloureuse, et qui, après une évaluation complète, ne présentent pas d étiologie clinique évidente, doivent faire envisager une réaction indésirable locale des tissus suite à une corrosion de frottement au niveau de la jonction conique modulaire. Les patients ressentent généralement des douleurs localisées sur la partie antérieure, latérale ou postérieure de la hanche. Les patients peuvent éventuellement ressentir une douleur au repos, mais les douleurs lors de l effort sont plus fréquentes. Les patients ressentent généralement des douleurs lors de mouvements de la hanche et lors de la mise en charge de l articulation de la hanche à l examen physique. Dans les rares cas d une formation pseudotumorale, les patients peuvent ressentir une masse importante ou une accumulation de liquide dans la région de la hanche, et dans ces cas, il faut envisager la recherche d une destruction importante de tissus mous locaux. Recherche d une infection Il convient de rechercher immédiatement une infection chez les patients dont l arthroplastie totale de hanche est douloureuse, peu importe le type de composant fémoral utilisé. Des cas mentionnés et rapportés publiés dans la littérature à comité de lecture font état d une infection bactérienne, dans une situation d ALTR due à des articulations métal-métal. 24 Il reste encore à établir si l infection a causé l ALTR, même s il existe également des éléments en faveur d une altération du ph local à l origine d un environnement favorisant la corrosion du métal, ce qui suggère qu une altération du ph au cours de l infection périprothétique 2 occulte pourrait être un précurseur de la corrosion des jonctions coniques métalliques. 25 La question est très complexe car de rares cas de patients présentant une ALTR due à une hypersensibilité au métal, dont le tableau clinique était très semblable à celui d une infection (y compris des marqueurs sériques d inflammation élevés), ont été rapportés. 18 Par ailleurs, l examen initial d un patient porteur d une arthroplastie totale de hanche douloureuse doit comprendre une analyse de la VS et de la C-PR et, si les résultats d au moins l un des deux examens sont élevés, une ponction de la hanche doit être réalisée. Il est essentiel d éliminer la possibilité d une infection comme cause de la douleur chez les patients porteurs d une arthroplastie totale de hanche. Marqueurs sériques d infection et ponction de la hanche La ponction de la hanche est fortement recommandée chez les patients dont la VS et/ou la C-PR sont élevées. Elle devra être effectuée avec une aiguille de diamètre 18 et à l aide d un dispositif de guidage radiographique. Le liquide devra être mis en culture et faire l objet d un antibiogramme, d une numération cellulaire et d une formule leucocytaire. Si un radiologue effectue la ponction, le liquide doit être prélevé sans agent radioopaque ou de contraste pour confirmer le placement de l aiguille intra-articulaire, car cela peut être à l origine d une dilution de la concentration cellulaire, dont l importance est capitale pour le diagnostic d une infection. Des éléments ont récemment permis de démontrer que les valeurs seuils indiquent une infection probable, chez les patients présentant des marqueurs sériques d inflammation élevés, si la numération des cellules synoviales et la formule leucocytaire sont élevées. Della Valle et al. ont rapporté que des patients dont la VS sérique est supérieure à 30 mm/hr, dont la C-PR est supérieure à 10 mg/dl et dont le liquide synovial prélevé lors de la ponction présente une numération leucocytaire supérieure à leucocytes par ml ont une spécificité, une sensibilité et une valeur prédictive positive pour le diagnostic d une infection. 26 Si la VS et la C-PR des patients sont normales, les données indiquent l absence d une infection avec une spécificité de 100 %. 26 La possibilité d identifier formellement l absence ou la présence d une réaction tissulaire en étudiant l aspect du liquide prélevé n a pas été prouvée. Chez les patients présentant une ALTR associée à une articulation métal-métal, le liquide prélevé a été décrit comme de couleur brune ou grise et d aspect turbide. Étant donné les différents mécanismes de production de débris métalliques provenant de jonctions modulaires, l apparence de ce liquide peut varier. Dans le cas de patients porteurs d arthroplasties totales de hanche douloureuses avec jonction conique modulaire, dont le diagnostic permet d écarter une infection, il est recommandé de procéder à un examen complet pour rechercher une ALTR due à une corrosion de frottement métallique de la jonction ainsi que d autres étiologies, telles qu un conflit avec des tissus mous. Taux sériques d ions métalliques Lorsque des débris métalliques sont produits in vivo, ceux-ci peuvent être corrodés et les produits de la corrosion peuvent être détectés dans le sang sous forme d ions métalliques. Dans le cas de patients porteurs d arthroplasties totales de hanche douloureuses ayant une jonction conique modulaire métallique, le chirurgien doit obtenir les taux sanguins ou sériques d ions métalliques. Cette procédure est liée à l augmentation des taux sériques d ions associée aux arthroplasties totales de hanche avec articulation métal-métal douloureuses ou ne fonctionnant pas correctement. Elle a également fait ses preuves en tant qu outil diagnostique, lors du suivi d arthroplasties de hanche métal-métal douloureuses. 27

3 Le lien entre les taux sériques ou sanguins d ions métalliques et le frottement et/ou la corrosion des jonctions modulaires n a pas été établi avec certitude. De Smet et al. ont toutefois démontré que des taux d ions de chrome supérieurs à 17μg/l et des taux d ions de cobalt supérieurs à 19μg/l étaient associés à des taux élevés d ions dans le liquide articulaire et à une métallose, lors de l utilisation d articulations métal-métal. 27 Ces valeurs peuvent représenter des taux dont la signification clinique peut être envisagée pour les concentrations sériques d ions métalliques. Récemment, Kwon et al. ont conduit une étude portant sur un total de 201 arthroplasties de resurfaçage métal-métal, évaluées au cours d un suivi d une durée moyenne de 61 mois à l aide d échographies et d IRM et de mesures des taux de cobalt et de chrome sériques et du liquide de ponction de la hanche. 28 Les formations pseudotumorales retrouvées chez 7 patients (4 %) étaient associées à des taux de cobalt et de chrome significativement plus élevés et à des scores de fonctionnement plus faibles. Les taux sériques médians de cobalt et de chrome, chez les patientes porteuses d arthroplasties bilatérales du groupe présentant des formations pseudotumorales, étaient respectivement de 9,0μg/l et de 12,0μg/l. Ces taux d ions métalliques étaient significativement plus élevés que les taux sériques médians de cobalt et de chrome des patientes porteuses d arthroplasties bilatérales sans formations pseudotumorales, qui étaient respectivement de 2,9μg/l et de 3,2μg/l. Les auteurs ont conclu que des taux élevés d ions de cobalt et de chrome suggèrent que les pseudotumeurs sont associées à une usure plus importante des articulations métal-métal. 28 La Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) du Royaume-Uni a suggéré une valeur seuil de 7 éléments par milliard (ppb). Par ailleurs, la valeur seuil de 7 ppb pour le taux maximum de cobalt ou de chrome a prouvé avoir une spécificité de 89 % et une sensibilité de 52 % pour la détection préopératoire d arthroplasties de hanche métal-métal échouant sans raison valable. 29 Il a en outre été rapporté que la valeur seuil optimale du taux maximum de cobalt ou de chrome était de 4,97 ppb et que sa sensibilité était de 63 % et sa spécificité de 86 %. Il a été conclu que les ions métalliques sanguins avaient la faculté de distinguer les arthroplasties de hanche ayant réussi et celles ayant échoué. 29 Ces éléments pourraient éventuellement être pertinents pour les prothèses comportant des jonctions coniques modulaires, car la formation de débris métalliques est différente pour les jonctions coniques et les articulations. Il se peut toutefois que des taux d'ions sanguins ou sériques indiquent une production de débris métalliques plus élevée à l articulation. En résumé, alors que nous continuons d étoffer notre compréhension des taux sériques d ions métalliques et de leur corrélation aux réaction indésirable locale des tissus dans le cadre d arthroplasties totales de hanche, les valeurs ci-dessus correspondent à notre compréhension actuelle de l évaluation des arthroplasties totales de hanche douloureuses laissant supposer la présence d ALTR au niveau des jonctions coniques modulaires. Hypersensibilité au métal Le nickel est la principale cause de sensibilité au métal chez l être humain, viennent ensuite le cobalt et le chrome. Les réponses à médiation cellulaire, dont les réactions d hypersensibilité liées aux implants orthopédiques (sensibilité ou allergie au métal), appartiennent généralement au type IV d hypersensibilité retardée ou y sont associées. 30 L incidence de la sensibilité au métal déterminée par un test cutané chez les patients porteurs d implants, fonctionnels ou non, est d environ 25 %, c est-à-dire environ deux fois plus élevée que dans la population générale. L incidence moyenne de la sensibilité au métal parmi les patients porteurs d un implant «ayant échoué» est d environ 50 à 60 %. 29 Cette augmentation de la prévalence de la sensibilité au métal chez des patients porteurs d un implant «ayant échoué» laisse supposer qu une allergie au métal pourrait contribuer au descellement d un implant. Il manque toutefois un lien de causalité évident entre l incidence de la sensibilité au métal et la durée de l implant, les infections, les raisons d un retrait ou encore la douleur. Le rôle éventuel de la sensibilité au métal dans le descellement d un implant est toujours incertain. Des types d implants spécifiques ayant une plus forte tendance à libérer du métal in vivo seraient, théoriquement, plus volontiers responsables d une sensibilité au métal (comme les surfaces d articulations métalmétal ou, dans une moindre mesure, la corrosion par frottement du métal dans les cônes modulaires). Même s il existe dans le commerce des tests et des kits cutanés pour une variété de substances antigènes courantes, la valeur de ces tests cutanés dans les études de la réponse immunitaire aux implants orthopédiques est de plus en plus discutée. Le test de prolifération lymphocytaire (LTT, lymphocyte transformation test) in vitro correspond à la mesure de la prolifération des lymphocytes (obtenus à partir de sang périphérique) à la suite de l exposition à l antigène. Des rapports indiquent que le LTTlymphocyte transformation testpeut être au moins aussi bien adapté pour tester la sensibilité aux implants que les tests cutanés. 30, 31 Thomas et al. ont évalué 16 patients porteurs d une arthroplastie totale de hanche, avec articulation métal-métal, ayant échoué en raison d une inflammation périprothétique, principalement due à des lymphocytes. 32 Chez 13/16 patients (81 %) une sensibilité systémique au métal a été identifiée grâce à des tests cutanés et/ou un LTT. 32 En résumé, à titre informatif concernant l évaluation de ces patients problématiques, des tests diagnostiques cutanés ou de transformation lymphocytaire in vitro doivent envisagés en plus des taux sériques d ions, afin 3

4 Figure 1 de pouvoir déterminer leur niveau d exposition aux ions métalliques et leur hypersensibilité potentielle. 30 Même si ces tests ne sont pas définitifs, les informations supplémentaires fournies peuvent aider le chirurgien en charge du diagnostic à déterminer une stratégie thérapeutique appropriée. Analyse radiographique L analyse radiographique de l arthroplastie totale de hanche douloureuse doit toujours comprendre des radiographies ordinaires, afin d évaluer le descellement, l ostéolyse, ainsi que la position de l implant. Un descellement ou une ostéolyse précoce sont particulièrement préoccupants chez les patients présentant une réaction indésirable locale des tissus due à des débris ou à des ions métalliques. Il convient de prêter une attention particulière aux régions de l éperon, du trochanter et périacétabulaires, lors de la recherche d un liseré ou d une érosion corticale. Dans plusieurs cas d ALTR due à des débris d usure métalliques sans distinction de source, les radiographies sont normales et sans signe d érosion osseuse (Figure 1). Chez les patients dont 4 Figure 2 les douleurs persistent et dont les taux d ions métalliques sont élevés ou dont les résultats au test d'hypersensibilité au métal sont positifs et dont les radiographies sont normales, il est recommandé de réaliser des études d imagerie avancée. L échographie a été utilisée pour évaluer la nature solide ou liquide des amas de tissus mous et des masses associées aux formations pseudotumorales ou observés à côté des implants. Plus récemment, l imagerie TDM et/ou IRM avec des techniques de réduction d artefacts métalliques s est montrée utile pour délimiter les éléments de tissus mous plus discrets associés à des ALTR à proximité d articulations métal-métal. 33 L IRM détecte l ostéolyse et les complications au niveau des tissus mous périprothétiques, telles que la synovite due à l usure, les amas périprothétiques, les compressions neurovasculaires, et la qualité des muscles et des tendons de la coiffe des rotateurs de la hanche Même s il existe des anomalies des tissus mous à proximité de toutes les arthroplasties totales de hanche, les éléments détaillés ci-dessus se produisant fréquemment à proximité d articulations métal-métal 35 renforcent l idée que l IRM est un moyen approprié d étudier précisément les ALTR associées à une arthroplastie totale de hanche affectée par une corrosion de frottement du cône modulaire. Lorsqu un examen IRM est envisagé pour évaluer une arthroplastie totale de hanche, lorsque l on suspecte la présence d une ALTR associée à des débris d usure métalliques, il est nécessaire de collaborer avec des radiologues connaissant bien les techniques de réduction d artefacts métalliques afin d optimiser les informations provenant de ces techniques d imagerie avancées. 38, 39 L IRM peut également être un outil de choix pour déterminer si la douleur est due à une lésion de tissus mous, comme par exemple l ilio-psoas. Histopathologie périarticulaire Il est possible de prélever des échantillons histologiques lors de la révision ou d une biopsie, afin de diagnostiquer ou de confirmer le diagnostic d un patient. Les patients présentant une réaction indésirable locale des tissus, due à des débris métalliques locaux provenant d une corrosion de frottement, pourront présenter des caractéristiques pathologiques périvasculaires similaires à celles observées chez les patients porteurs d articulations métal-métal. Le liquide prélevé sur la hanche pendant l intervention est généralement de couleur brune ou grise. Les caractéristiques histologiques comptent généralement des infiltrations diffuses et périvasculaires de lymphocytes T et B et de plasmocytes, des veinules post-capillaires, une exsudation massive de fibrine, une accumulation de macrophages avec inclusions en forme de goutte et des infiltrations de granulocytes éosinophiles ainsi que des nécroses (Figure 2). Les particules de métal sont en outre plutôt rares et ne correspondent pas à un élément indispensable du diagnostic de l ALTR (aussi appelée ALVAL ou lésion associée à une vascularite lymphocytaire 6, 7, 14, 18, 22, 32 aseptique dans certaines études). Traitement chirurgical recommandé Il n existe à ce jour aucune donnée clinique permettant de guider le chirurgien dans le traitement de patients présentant une arthroplastie totale de hanche douloureuse sur laquelle est constatée une corrosion de frottement de la jonction

5 Figure 4 Figure 3 conique modulaire, à la jonction tête/col ou col/tige modulaire modulaire. Les informations actuelles, bien que limitées, permettent d envisager certains principes et stratégies thérapeutiques. Tout d abord, malgré la difficulté et le stress pour le chirurgien et le patient, il n est pas recommandé d avoir recours à une surveillance thérapeutique significativement longue sans intervention chirurgicale, une fois que le diagnostic d une réaction indésirable locale des tissus a été confirmé. Comme cela a été rapporté dans le cas d articulations métal-métal, des formations pseudotumorales avec destruction des tissus mous ont été observées chez des patients dont les jonctions coniques métalliques comportent une corrosion de frottement, même si cela ne concerne que des cas isolés. Dans des cas plus graves, ces pseudotumeurs peuvent invalider complètement les adducteurs, ou causer des lésions neurovasculaires au niveau des nerfs ou vaisseaux situés à proximité, en raison de l effet de masse. Il est généralement admis que la gravité des lésions des tissus mous est proportionnelle à la durée de la présence des débris métalliques. L intervention chirurgicale est ainsi recommandée dès lors que toutes les autres sources de douleur ont été écartées et qu une réaction indésirable locale des tissus due à la corrosion du frottement de métal (ou d autres sources de débris métalliques) est fortement suspectée. Comme toujours, il convient d aborder en détail avec le patient les risques d une observation thérapeutique par rapport à ceux de la chirurgie avant l intervention. Lorsque la décision d opérer a été prise, la méthode de reconstruction et de révision doit en principe minimiser les jonctions coniques modulaires métalliques, car il est possible que le système immunitaire joue un rôle dans le développement d une ALTR via une hypersensibilité ou que la biologie locale crée un environnement favorable à la corrosion de frottement, pour des raisons qui restent à définir. Les composants acétabulaires peuvent généralement être conservés, s ils sont bien fixés et dans une position acceptable. L insert acétabulaire est généralement composé de polyéthylène hautement réticulé, même si des inserts en céramique peuvent également être utilisés. De plus, si un composant fémoral avec col modulaire a été utilisé, celui-ci devra être retiré et remplacé par un composant fémoral sans col modulaire. De plus, il a été suggéré que si une tête fémorale métallique a été utilisée, une tête fémorale en céramique devra être utilisée avec une nouvelle tige, lors de la chirurgie de révision. Il a été démontré que les jonctions modulaires céramique-métal sont moins sujettes à la corrosion par frottement que les jonctions modulaires métal-métal, 2 même si ces Figure 5 données ne se basent que sur un test in vitro concernant des têtes en zircone. La majorité des études portant sur le traitement chirurgical de l ALTR due à des articulations métal-métal, en remplaçant ces dernières par des articulations alternatives (céramique-céramique ou métal-polyéthylène), ont constaté un recul de la douleur et des symptômes pour la majorité des patients. 40 (Figure 3). Les cônes de la tige fémorale ne doivent pas être réutilisés avec de nouvelles têtes ou de nouveaux cols fémoraux, sauf si la nouvelle combinaison est spécifiquement indiquée par le fabricant du produit. Résultats peropératoires La présence de la corrosion de frottement de la jonction conique modulaire (à la jonction col-tête ou col-tige) est identifiée par des éléments métalliques sombres et irréguliers à la surface du métal contenu dans la jonction (Figure 4). De plus, ces 5

6 éléments sombres sont généralement associés à des irrégularités de la surface conique métallique en contact avec l autre surface métallique ou situés à proximité, ce qui peut provoquer des fissures de corrosion. 3 Des réactions indésirables locales des tissus peuvent aussi générer une quantité importante de liquide intraarticulaire, comme cela est généralement constaté à l IRM préopératoire, de couleur brune ou grise et d aspect turbide. Le prélèvement de ce liquide a été décrit, mais à notre connaissance, les caractéristiques du liquide intraarticulaire n ont pas été précisément décrites au niveau macroscopique, biologique ou pour la numération cellulaire au moment de la publication de cet article. Une nécrose locale des tissus mous a été observée dans certains cas d ALTR due à des débris métalliques, elle peut s étendre jusqu à la capsule périarticulaire, au muscle adducteur et à l insertion tendineuse du grand trochanter (Figure 5) avec des nécroses osseuses constatées dans les cas les plus graves. De plus, une résorption du col du fémur ou de l éperon, un descellement aseptique et une ostéolyse associée à l ALTR due à la production de débris et d ions métalliques ont été observés et pourront également être constatés en peropératoire. 6 Résumé Pour les patients porteurs d une arthroplastie totale de hanche douloureuse et comportant une jonction conique modulaire métallique, il a été suggéré d effectuer un examen complet pour rechercher une infection occulte. Si aucune étiologie mécanique, de conflit des tissus mous ou infectieuse n a pu être établie pour la douleur persistante, il convient de procéder à une évaluation complète, pour rechercher une ALTR due à des débris métalliques produits par un frottement et/ou une corrosion, au niveau de la jonction conique modulaire. L évaluation doit comprendre l examen des taux sériques d ions métalliques, un test d hypersensibilité au métal ainsi qu une analyse radiographique, dont des radiographies simples et de préférence une IRM avec réduction des artefacts métalliques. Aucun test unique n est assez sensible ou spécifique pour confirmer le diagnostic d une réaction indésirable locale des tissus due à la production de débris ou d ions métalliques, cependant, le clinicien devra utiliser les tests indiqués ci-dessus, suivre son jugement clinique et consulter le patient pour déterminer le traitement approprié. Si une intervention chirurgicale est appropriée, il convient d étudier avec attention les techniques et principes permettant de minimiser autant que possible les jonctions coniques modulaires. De plus, lorsqu une ALTR due à la production de débris métalliques est suspectée, le patient doit être suivi régulièrement pour éviter une destruction progressive des tissus mous, rare mais grave, ayant été rapportée dans ce contexte clinique. La modularité de l arthroplastie totale de hanche permet une restauration plus précise de l anatomie du patient lors de l intervention. L augmentation de cette modularité, par exemple en utilisant des cols et des têtes modulaires, offre plus d options au chirurgien. Les jonctions modulaires supplémentaires constituent une interface supplémentaire, l incidence des frottements et/ou de la corrosion semble être faible pour ces jonctions. Il peut exister des facteurs spécifiques au patient, comme une chimie locale pouvant être influencée par des infections sous-jacentes, toutefois, les preuves en sont peu nombreuses dans la littérature. L élément le plus important pour le chirurgien, et donc pour le patient, est un diagnostic rapide et univoque de la cause de la douleur liée à une arthroplastie totale de hanche, afin que, dans les rares cas où le frottement et/ou la corrosion surviennent, le traitement approprié puisse être mis en place immédiatement.

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