Discordance entre l'importance du problème et le petit nombre de publications

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Discordance entre l'importance du problème et le petit nombre de publications"

Transcription

1 DOULEURS ET SIDA

2 Discordance entre l'importance du problème et le petit nombre de publications Les patients infectés peuvent souffrir de douleur à n'importe quel stade de la maladie mais la prévalence des manifestations algiques augmente avec l'évolution de la maladie: 60 à 90% dans le cas de sida déclaré 40% des patients séropositifs bénéficient d'antalgiques Vouloir vaincre la douleur n'est pas une démarche illusoire chez les patients séropositifs

3 Pourtant la douleur chez ces patients est sous-estimée et insuffisamment traitée : - patients réticents à décrire leur douleur - attention des médecins attirée par l'évolution de la maladie et les complications vitales - évolution de la prise en charge (de la demande de soutien à la demande de réussite thérapeutique) - étiologie des douleurs souvent multifactorielle - pas de guidelines spécifiques - maîtrise insuffisante du maniement et des indications des antalgiques - concomitance de troubles psychiatriques - risques d'interactions médicamenteuses - crainte d'utiliser des antalgiques majeurs dans certaines circonstances (toxicomanie)

4 Cette prise en charge de la douleur pour être optimale doit obéir à des règles: évaluation de la douleur, prescription avec des algorythmes de décisions thérapeutiques et surtout: prise en charge multimodale impliquant l'ensemble de l'équipe soignante et un travail en réseau avec les consultations de la douleur, les unités de soins palliatifs et les soins à domicile

5 CARACTERISTIQUES DE LA DOULEUR DANS L'INFECTION A VIH La douleur est un phénomène complexe et très fréquent : 2ème cause d'hospitalisation après la fièvre Fréquence des localisations douloureuses multiples: - 31,3% des patients ont plus de 3 localisations (moyenne de 2,7 par sujet) - le nombre de localisations douloureuses augmente avec l'évolution Maladie devenue chronique au prix d'effets indésirables iatrogènes

6 le virus les infection opportunistes les tumeurs l'origine iatrogène l'atteinte simultanée de plusieurs organes la cachexie les douleurs liées au vécu de la maladie Coexistence des causes : Mécanismes générateurs divers: excès de nociception par lésion tissulaire douleurs de désafférentation ou neuropathiques par dysfonctionnement des nerfs périphériques douleurs mixtes douleurs provoquées (actes invasifs, soins) douleurs psychogènes douleur morale douleur sociale douleur spirituelle

7 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (1) La douleur aiguë symptôme "signal d'alarme", parfois d'une urgence thérapeutique - disparaît généralement après la mise en place d'un traitement étiologique - peut dans certains cas se transformer en douleur chronique

8 Localisations les plus fréquentes Principales étiologies Céphalées - céphalées symptomatiques: - toxoplasmose cérébrale - méningites - encéphalites - lymphome malin non hodgkinien - sinusites - céphalées iatrogènes - céphalée post-pl - céphalées essentielles - migraine - céphalées de tension Douleurs abdominales - infections gastro-intestinales (CMV) - Kaposi ou lymphome - affections hépato-biliaires - adénopathies rétropéritonéales - organomégalie - syndrome occlusif (tumeurs) - pancréatites - douleurs ano-rectales (herpès, CMV,tumeurs) - coliques néphrétiques iatrogènes

9 Douleurs thoraciques -origine pulmonaire : pneumocystose, pneumopathies, pneumothorax, épanchements liquidiens -- origine cardiaque : péricardite, IDM, HTAP -- origine œsophagienne : candidose, infections (CMV, herpès, VIH) ulcérations, tumeurs - - origine rachidienne (ostéoporose, fractures de fatigue, tassements vertébraux) Douleurs oropharyngées -- candidose buccale -- gingivite -- parodontite, abcès dentaires -- stomatite -- aphtes buccaux idiopathiques ou iatrogènes -- tumeurs (Kaposi, lymphomes) -- herpès Douleurs neuropathiques -- neuropathies périphériques (VIH et/ou VHC) -- origine iatrogène

10 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (2) La douleur chronique -Elle se définit comme une douleur évoluant depuis plus de 3 à 6 mois selon les auteurs - Elle induit des perturbations somatiques et psychiques - La douleur symptôme devient douleur maladie

11 On distingue 4 composantes interactives et interdépendantes - composante sensoridiscriminative : perception des caractéristiques qualitatives, d'intensité, de localisation et temporo-spatiales d'un message douloureux - composante affectivo-émotionnelle : traduit le retentissement et le vécu affectif (caractère spécifique "punitif", "mérité" ou "rédempteur" du sida) - composante cognitive : en fonction du capital socio-culturel et éducatif d'un patient, la douleur a un sens spécifique - composante comportementale : ensemble des manifestations verbales ou non, motrices, végétatives par lesquelles le patient exprime sa douleur

12 Les causes de la douleur chronique sont nombreuses Certaines étiologies évoluent sur un mode chronique (terrain particulier) - retard de cicatrisation de lésions cutanéomuqueuses - résistance aux antibiotiques ou antifongiques

13 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (3) Les causes des douleurs nociceptives se confondent souvent avec les causes des douleurs aiguës, toutefois certaines douleurs sont rapidement chronicisées

14 Etiologies : douleurs musculaires : -infectieuses ou tumorales - vascularites, cryoglobuline co infecté VHC - rhabdomyolyses liées au VIH ou iatrogènes (traitement ARV et traitement des complications des ARV) iatrogènes (AZT, D4T ) acidose lactique cachexie pathologies mitochondriales

15 douleurs articulaires : - spondylarthropathies, enthésopathies - syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter - rhumatisme psoriasique (plus rare depuis les trithérapies) - arthropathie à VIH - hémarthroses de l'hémophile douleurs cutanées : - herpès, zona, condylomes - lésions de Kaposi - porphyries cutanées (co infection VHC) - syndrome de Sweet - toxidermies ou étiologies iatrogènes - les nouvelles complications de l'infection à VIH - ostéonécrose aseptique de hanche - ostéoporose précoce - complications coronariennes - gynécomasties - fréquence des cancers non classants

16

17 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (4) Les causes des douleurs neuropathiques ou de désafférentation associées à l'infection à VIH sont multiples et très fréquentes. Etiologies liées au VIH (cytokines) : - polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante aiguë (phase précoce) - polyradiculonévrite chronique -myélites liées aux dysfonctionnement immunitaire induits par le VIH (immunoallergique) - vascularites - myélopathies liées à l'immunodépression et aux infections opportunistes -CMV, VZV - Maladie de Castleman, Kaposi (HHV8) - Lymphomes - Cancer du col de l'utérus - Cancer de la marge anale - Syndrome des antiphospholipides (thromboses) - liées aux troubles métaboliques - troubles de la glycorégulation (diabète type II) - déficit hormonaux (testostérone, DHEA ) - troubles sexuels, douleurs, impuissance

18 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (5) - Liées aux traitements antirétroviraux cytopathies mitochondriales -Inhibiteurs nucléosidiques de la réverse transcriptase AZT, DDI, DDC, D4T, 3TC - IP : Ritonavir, Lopinavir, Amprénavir, Indinavir - Cytotoxiques (érythrodysesthésies palmo-plantaires liées au Caelyx) -INH - Dapsone

19

20

21

22 ANALYSE ET ETIOLOGIE DES DOULEURS (6) Les douleurs psychogènes Liées au vécu au quotidien du VIH : - peur de la déchéance physique et psychique - peur de la mort réactivée lors de chaque événement somatique - associées ou non à une pathologie psychiatrique - angoisse somatisée Les douleurs provoquées Les douleurs liées aux actes invasifs : - PBH, myélogramme, PL, endoscopies - mais aussi intolérance de gestes moins douloureux en raison de leur répétition - les douleurs en rapport avec les soins

23 Les douleurs morales, sociales et spirituelles dès l'annonce de la séropositivité - inquiétude, peur, angoisse, déstabilisation psychique, ruptures pertes - douleur d'une rupture par rapport au temps - douleur d'une rupture de la sexualité - douleur d'une rupture dans la relation au corps - douleur d'une rupture avec l'entourage familial et social sous traitement - douleur liée aux modifications physiques (lipodystrophie) - visibilité de la maladie

24 LES TRAITEMENTS ANTIRETROVIRAUX Particularités : 3 situations de prescription - patient séropositif connu : la séropositivité précède la mise en place du traitement, permettant un temps d'adaptation psychique - primo-infection où la révélation du diagnostic de séropositivité et la mise en place du traitement antirétroviral sont simultanés - traitement préventif des accidents d'exposition au virus où la mise en place du traitement précède une éventuelle séroconversion.

25 LES TRAITEMENTS ANTIRETROVIRAUX Effets secondaires douloureux des antirétroviraux I N T I I N N T I PRODUITS AZT (Rétrovir ) 3TC (Epivir ) D4T (Zerit ) DDI (Videx ) DDC (Hivid ) Abacavir (Ziagen ) Tenofovir (Viread ) Névirapine (Viramune ) Efavirenz (Sustiva ) - nausées, céphalées,myosites - acidose lactique -anémie, leuco-neutropénie -stéatose hépatique Effets indésirables - rash cutané, céphalées, troubles gastro-intestinaux, pancréatite - neuropathie périphérique - acidose lactique - hépatotoxicité, neutropénie, anémie - troubles digestifs, neuropathies périphériques, acidose lactique - cytolyse hépatique - pancréatite, neuropathie, diarrhée, nausées, vomissements - hyperuricémie - neuropathie périphérique, ulcérations buccales et oesophagiennes, aphtes - hypersensibilité : fièvre,éruption cutanée, troubles gastro-intestinaux, myalgies, arthralgies, hypotension - céphalées, diarrhée, anorexie - troubles digestifs, flatulences,diarrhées - intolérance cutanée, fièvre, nausées, céphalées - cytolyse hépatique - nausées, éruptions cutanées, cauchemars, céphalées, diarrhée, vertiges, insomnie, troubles de l'attention, asthénie, gynécomastie - cytolyse hépatique

26 I P I F Saquinavir (Invirase )** Ritonavir (Norvir ) Indinavir (Crixivan )** Nelfinavir (Viracept ) Saquinavir soft gel (Fortovase ) Amprénavir (Agénérase )** Lopinavir**/Ritonavir (Kaletra ) Atazanavir (Reyataz )** Fosamprénavir (Telzir )** Enfuvirtide (Fuzéon ) - troubles gastro-intestinaux, céphalées, vertiges, asthénie - dyslipidémies, hyperglycémie, cytolyse hépatique - troubles gastro-intestinaux, paresthésies péribuccales, neuropathie sensitive, vertiges, somnolence, céphalées, allergie, asthénie, érythème, prurit, lipodystrophies - hématomes chez l'hémophile - leuconeutropénie, cytolyse hépatique - dyslipidémie, acidose lactique - lithiase urinaire, troubles gastro-intestinaux, asthénie, céphalées, vertiges, prurit, rash, lipodystrophies, gynécomasties - cytolyse hépatique - rash, allergie, diarrhée, douleurs abdominales - troubles gastro-intestinaux, céphalées, vertiges, asthénie - exanthèmes, paresthésies, céphalées, vomissements, troubles digestifs, lipodystrophies - dyslipidémie, acidose lactique - troubles digestifs, asthénie, éruptions, lipodystrophies - dyslipidémie, acidose lactique - troubles digestifs, douleurs abdominales, hyperbilirubinémie, céphalées, coliques néphrétiques - exanthèmes, paresthésies, céphalées, vomissements, troubles digestifs, lipodystrophies - dyslipidémie, acidose lactique - Douleurs ++ aux sites d'injection (s/cx2/j) ** devant ou pouvant être boosté par le Norvir Aux effets secondaires des antirétroviraux se surajoutent les effets secondaires des antibiothérapies curatives ou préventives et des traitements des effets secondaires eux-mêmes (dyslipidémies surtout)

27 Nouvelles molécules IP Darunavir (PREZISTA ) Diarrhées, nausées, céphalées INNRTI Etravirine (ATU) Éruptions cutanées Inhibiteur de l intégrase Raltégravir (ISENTRESS ) nausées, vertiges, diarrhées

28 LES TRAITEMENTS ANTIRETROVIRAUX Interférences médicamenteuses antirétroviraux/antalgiques Interactions avec de nombreuses molécules : certaines sont contre-indiquées, pour d'autres les doses doivent être modifiées ou utilisées avec prudence Analgésiques centraux, anesthésiques, substitution - codéine et AZT - méthadone (toutes les molécules) - morphine : AZT, NNRTI, IP - buprénorphine : IP, NNRTI Analgésiques périphériques - bien tolérés Anti-inflammatoires - surtout avec Norvir et Kaletra Neuroleptiques - assez bien tolérés sauf pimozide, clozapine Hypnotiques - triazolam : NNRTI et IP (contre-indiqué) - prudence avec le phénobarbital Tranquillisants - alprazolam (NNRTI et IP), midazolam IV contre-indiqué - interactions benzodiazépines et NNRTI/IP Antimigraineux - dihydroergotamine, ergotamine contre-indiquées avec NNRTI et IP

29 TRAITEMENT ANTALGIQUE ET VIH Le traitement analgésique présente certaines spécificités chez les patients atteints par le VIH et notamment au stade de sida. Même si les règles d'utilisation restent identiques dans leurs grandes lignes à celles préconisées dans la douleur du cancer, on doit tenir compte de la polymédication avec les risques d'interactions médicamenteuses et de la sensibilité accrue des patients aux effets secondaires. Les médicaments d'action centrale doivent être utilisés avec prudence en raison de la fréquence des troubles neuropsychiatriques de la maladie VIH.

30 TRAITEMENT ANTALGIQUE ET VIH Si l'utilisation des morphiniques ne pose généralement pas de problèmes chez les anciens toxicomanes, elle peut être délicate chez les toxicomanes actifs, notamment pour évaluer les posologies efficaces. Particularité des toxicomanes actifs : - choisir le médicament initial en fonction du type de douleur - calculer la posologie initiale en fonction du niveau présumé d'accoutumance aux morphiniques - choisir une voie d'administration et une présentation réduisant les risques de détournement d'utilisation et de toxicomanie - négocier fermement les risques de demande d'escalade de doses (traitements adjuvants) - prescrire les morphiniques par cycles courts

31 TRAITEMENT DE LA DOULEUR En l'absence de recommandations officielles spécifiques à la prise en charge de la douleur au cours de l'infection à VIH, il est préconisé d'appliquer les mêmes recommandations de l'oms que celles concernant la prise en charge de la douloureux cancéreuse Principes fondamentaux : Dans le contexte de l'infection à VIH, la stratégie thérapeutique repose sur : - le traitement curatif spécifique des infections en cours - la modification éventuelle du régime thérapeutique pour les douleurs d'origine iatrogène en l'absence de traitement antalgique efficace - la prise en charge globale, multidimentionnelle de la douleur - l'utilisation adaptée des différents moyens de lutte contre la douleur chez les patients infectés par le VIH - l'emploi correct des analgésiques selon le schéma de l'oms pour les douleurs nociceptives en tenant compte des interférences médicamenteuses

32 1. Traitement antalgique et coantalgique médicamenteux 2. Traitement étiologique 3. Traitement non médicamenteux: méthodes non invasives Physiothérapie Massages Drainage lymphatique Exercices de mobilisation ou immobilisation Neurostimulation transcutanée Thermothérapie 4. Méthodes invasives 5. Soutien psychologique Techniques neuro-chirurgicales Interruption des voies de la douleur Techniques de neuro-stimulation Blocs nerveux 6. Thérapies comportementales Hypnose Biofeedback Relaxation

33 PRISE EN CHARGE DES AUTRES SYMPTÔMES Dans l'infection à VIH de nombreux symptômes peuvent s'intriquer avec la douleur et interférer avec elle. Leur prise en charge est essentielle: - anxiété, dépression - asthénie, insomnie, anorexie, dénutrition et cachexie - lipodystrophie ou lipoatrophie -fièvre - toux, dyspnée, - prurit - dysphagie, nausées, vomissements, diarrhée, constipation. D'autres symptômes sont liés aux traitements de la douleur: - sécheresse buccale, nausées, vomissements, constipation - somnolence, syndrome confusionnel - troubles mictionnels Enfin certains symptômes peuvent gêner l'évaluation et le traitement de la douleur: - cécité, syndrome démentiel - syndrome de sevrage aux morphiniques

34 En conclusion Même si la maladie sida régresse, le nombre de séropositif croît de nouveau. Parmi les nouveaux cas de sida, 57% ne connaissaient pas leur séropositivité avant la maladie. Qu'elle soit morale ou physique, la douleur fait partie intégrante du parcours d'une personne atteinte par le VIH et ce dès l'annonce de la séropositivité. L'infection à VIH est encore une maladie fatale avec son cortège de souffrances, de cachexie, de dépendance, de douleurs spontanées requérant des traitements adaptés, de besoin de soins palliatifs transitoires ou ultimes. Le panel thérapeutique médicamenteux ou non dont nous disposons actuellement doit, malgré les difficultés de maniement de certaines molécules, pouvoir être utilisé quotidiennement, y compris dans les situations de grande précarité ou en milieu carcéral. Cette approche intégriste de la souffrance est de mieux en mieux appréhendée mais elle ne peut se concevoir sans la collaboration de tous les différents praticiens et de l'intégralité des équipes soignantes.

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009

www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la première édition anglaise 2009 Remerciements à

Plus en détail

Prise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil

Prise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire

Plus en détail

HIV et Soins Intensifs. Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA

HIV et Soins Intensifs. Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA HIV et Soins Intensifs Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA HIV et Soins Intensifs: pourquoi? Interactions Effets secondaires Risques Suivi du traitement 2 Patients HIV en soins intensifs: causes

Plus en détail

VIH/SIDA 2009. Dr. Rémi De Champlain Omnipraticien 30 septembre 2009

VIH/SIDA 2009. Dr. Rémi De Champlain Omnipraticien 30 septembre 2009 VIH/SIDA 2009 Dr. Rémi De Champlain Omnipraticien 30 septembre 2009 1 2 Objectifs Revoir les principales lignes directrices du traitement du VIH/SIDA les plus récentes Réviser les nouveaux médicaments

Plus en détail

Comment remplir le certificat médical de la MDPH?

Comment remplir le certificat médical de la MDPH? Comment remplir le certificat médical de la MDPH? Ce cahier détachable explique les différentes rubriques du certificat médical. Pour chacune d entre elles, les clés d un bon remplissage vous sont données,

Plus en détail

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008 Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le

Plus en détail

Médicaments anti-vih. 2015 Troisième édition. In collaboration with:

Médicaments anti-vih. 2015 Troisième édition. In collaboration with: Médicaments anti-vih 2015 Troisième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Greta Hughson Troisième édition française 2015 Adaptée de la 13ème édition anglaise 2015 Remerciements à Sylvie

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Traitement et questions connexes

Traitement et questions connexes Traitement et questions connexes L essentiel du congrès sur le sida AIDS 2012 (et des ateliers du congrès 14 th International Workshops on Comorbidities and Adverse Drug Reactions in HIV, juillet 2012)

Plus en détail

Les médicaments anti-vih

Les médicaments anti-vih Les médicaments anti-vih 2012 Deuxième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Keith Alcorn, Selina Corkery et Greta Hughson Deuxième édition française: 2012 Adaptée de la onzième édition

Plus en détail

www.aidsmap.com Le VIH & la tuberculose Français Première édition 2009

www.aidsmap.com Le VIH & la tuberculose Français Première édition 2009 www.aidsmap.com Le VIH & la tuberculose Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la troisième édition anglaise 2008 Remerciements

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Les médicaments anti-vih. Ce que je devrais savoir sur la thérapie 1

Les médicaments anti-vih. Ce que je devrais savoir sur la thérapie 1 Les médicaments anti-vih Ce que je devrais savoir sur la thérapie 1 LES MÉDICAMENTS ANTI-VIH Ce livret offre un premier aperçu pour tous ceux qui souhaitent s informer sur les traitements contre le VIH.

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,

Plus en détail

VIH & Interactions Médicamenteuses

VIH & Interactions Médicamenteuses VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

MONOGRAPHIE DE PRODUIT

MONOGRAPHIE DE PRODUIT MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr TELZIR Comprimé de fosamprénavir calcique, 700 mg de fosamprénavir Suspension orale de fosamprénavir calcique, 50 mg/ml de fosamprénavir Agent antirétroviral ViiV Soins de santé

Plus en détail

HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn

HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence

Plus en détail

Conseils pour le traitement des douleurs persistantes

Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Avis 6 novembre 2013

Avis 6 novembre 2013 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP

Plus en détail

Actualités sur le Virus de l'hépatite C

Actualités sur le Virus de l'hépatite C CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie

Plus en détail

A healthy decision LA DOULEUR

A healthy decision LA DOULEUR A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Comprendre et bien remplir

Comprendre et bien remplir Comprendre et bien remplir le certificat médical de la MDPH Maison départementale des personnes handicapées { VIH/sida et hépatites } Aujourd hui votre état de santé rend difficile les gestes et les démarches

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

La maladie de Still de l adulte

La maladie de Still de l adulte La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse

Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com

Plus en détail

L adhésion au traitement: les clés du succès

L adhésion au traitement: les clés du succès L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II

Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Hépatite chez un patient atteint d'une affection par le VIH. Véronique Pinzani (1), Dominique Larrey (2)

Hépatite chez un patient atteint d'une affection par le VIH. Véronique Pinzani (1), Dominique Larrey (2) Hépatite chez un patient atteint d'une affection par le VIH Hépatite chez un patient atteint d'une infection par le VIH Véronique Pinzani (1), Dominique Larrey (2) (1) Service de Pharmacologie Médicale

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli

Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre

Plus en détail

Modalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs

Modalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Modalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs Décembre 2002 Recommandations Service des recommandations et références professionnelles

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214

Plus en détail

MÉDECINE FAMILIALE. Préparer des médecins de famille pour le Québec de demain. Objectifs du stage de médecine familiale (abrégés)

MÉDECINE FAMILIALE. Préparer des médecins de famille pour le Québec de demain. Objectifs du stage de médecine familiale (abrégés) Objectifs du stage de médecine familiale (abrégés) Préparer des médecins de famille pour le Québec de demain Programme de résidence en médecine familiale MÉDECINE FAMILIALE 2006 1. Connaissance du milieu

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement

Plus en détail

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition sexuelle

Prophylaxie infectieuse après exposition sexuelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition sexuelle Introduction Ce document concerne l évaluation de l adulte et de la femme enceinte, il ne concerne pas l enfant ni l adolescent. Il se limite à la prise

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

Cœur et VIH : que doit-on savoir?

Cœur et VIH : que doit-on savoir? Cœur et VIH : que doit-on savoir? RÉSUMÉ : L infection par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) est devenue dans les pays ayant accès au traitement antirétroviral hautement efficace disponible

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?

1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux? La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace

COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

Traiter la goutte sans être débordé

Traiter la goutte sans être débordé Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va? Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple

Plus en détail

RELPAX. hydrobromure d élétriptan

RELPAX. hydrobromure d élétriptan RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

LA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13

LA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13 Fiche 13 LA MIGRAINE PRESENTATION Qu est-ce que c est? La migraine est une maladie caractérisée par de fréquents accès de maux de tête, souvent violents et parfois accompagnés d'autres symptômes : nausées,

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail