LE CORPS SELON NIETZSCHE

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2 Si Nietzsche ne consacre aucun ouvrage spécifique au corps, cette question permet cependant d aborder les aspects majeurs de sa philosophie, en particulier son ontologie et sa théorie de la connaissance. I C est d abord au regard de la science de son temps que Nietzsche pense le corps. Il possède une connaissance assez étendue des différentes conceptions scientifiques contemporaines grâce à des lectures considérables qui sont loin d être toutes de seconde main. La science de la seconde moitié du XIXe siècle est animée de débats et de remises en cause parfois radicales. Aussi, si Nietzsche la décrit souvent comme un courant de pensée uniforme dont il réfute les résultats, on constate cependant, en particulier grâce à l examen attentif des fragments posthumes, que sa conception du corps doit beaucoup à quelques physiciens et à quelques biologistes qui développent des représentations nouvelles. La première doctrine scientifique à laquelle Nietzsche s oppose est le mécanisme, hérité en particulier de la doctrine de Galilée, selon lequel un corps serait composé d atomes en mouvement et ses lois seraient celles du mouvement. Cependant, aux yeux de Nietzsche, le corps ne peut pas plus être compris à l aide de principes téléologiques. C est pourquoi le corps nietzschéen n est pas un organisme au sens d un tout dont les parties seraient liées par un jeu de fins et de moyens. Si les causes mécanistes et finales sont impuissantes à décrire la réalité du corps, celui-ci ne doit cependant pas être considéré comme un chaos. Nietzsche trouve en vérité dans la science de son temps un auteur développant une conception de la causalité qui exerce sur lui une très forte influence. Julius Robert Mayer, qui est à l origine du premier principe de la thermodynamique, publie en 1876 un opuscule intitulé Sur le déclenchement. Il remet en cause la causalité mécaniste en tant que les phénomènes de déclenchement n obéissent pas au principe de l égalité de la cause et de l effet (la cause est infime au regard de l effet produit). Il rejette également la causalité finaliste en tant que l effet qui est

3 déclenché n est pas par lui-même orienté vers une fin déterminée, mais de nature explosive. La notion fondamentale qui permet de penser le corps selon Nietzsche est celle de volonté de puissance. Le corps est composé de multiples volontés qui agissent les unes sur les autres par déclenchement, par stimulus. Le jeu de ces actions détermine une hiérarchie : certaines puissances dominent, d autres sont dominées. Le corps nietzschéen est en ce sens une «formation de domination». Cependant, le rapport de domination n est pas univoque : la volonté dominante a besoin de la résistance de la volonté dominée pour s exercer. C est pourquoi dominer n est pas détruire, et le rapport de domination implique la conservation de la volonté opposée. Ainsi, le corps est en dernier analyse un équilibre de puissances en conflit. La conception nietzschéenne aboutit par exemple à une évaluation des organismes radicalement différente de celle de l école de Darwin. Pour ce dernier, le type supérieur est celui qui est le mieux adapté aux circonstances extérieures. Selon Nietzsche, la volonté ne se déploie pas au regard de ces circonstances, mais de sa nécessité propre. Bien plus, l organisme le plus puissant étant aux yeux de Nietzsche celui qui est composé du plus grand nombre de puissances en conflit, il est en même temps celui dont l équilibre est le plus précaire, c est-à-dire qu il est l organisme le plus fragile. II Aux yeux de Nietzsche, le corps constitue également mon moi authentique. Il convient à cet égard de considérer le terme de Leib dont Nietzsche fait usage pour désigner le corps. A la différence du mot d origine latine Körper, ce terme issu du fonds germanique Leib désigne, d une part, toujours le corps vivant, d autre part, non pas un corps que l on observe de l extérieur, mais ce corps que je suis. Si, selon la formule de Nietzsche, «je suis corps et rien en dehors de cela», alors toute affirmation de l existence d un principe intellectuel étranger au corps, d un «esprit pur», d une «âme», n est qu une illusion. Nietzsche s efforce notamment de le démontrer

4 dans une analyse serrée du cogito cartésien : il refuse d y lire une intuition immédiate, pour y voir une argumentation dépourvue de fondement. Aux yeux de Nietzsche, les deux principes que l on distingue généralement dans l âme, à savoir l entendement et la volonté, ne sont en vérité que des symptômes d états du corps. Par exemple, une volonté déterminée n est pas un principe capable de mettre le corps en action, mais le résultat d une action du corps qui est déjà engagée. Tout comme le corps est constitué de volontés de puissances multiples, le moi qu il forme est composé de personnes multiples. Autrement dit, le corps constitue une société. Et si les lectures scientifiques et biologiques de Nietzsche alimentent sa conception du corps comme volonté de puissance, sa représentation du corps comme société doit beaucoup à ses études antiques portant sur la cité grecque. III Le corps nietzschéen a ainsi deux aspects. D une part, son essence est l essence même de tout ce qui est, savoir la volonté de puissance. D autre part, il est le lieu de mon expérience la plus intime. Au regard de cette double qualité, on comprend que le corps soit considéré par Nietzsche comme l authentique «fil conducteur» de la connaissance : il est le lieu de mon expérience la plus intime du monde. On constate pourtant que, aux yeux de Nietzsche, le corps reste un principe d erreur. En tant que volonté de puissance, le corps est en effet orienté vers la domination de ce qui est extérieur à lui. Cet effort de domination s exerce d abord par une interprétation simplificatrice de la réalité au service de l action, c est-à-dire par la production d une erreur nécessaire à la vie. Aux yeux de Nietzsche, c est de cette simplification dont dérive l erreur physique fondamentale, celle de l atome, tout comme l erreur psychologique fondamentale, celle de l «âme» : dans les deux cas, le processus est similaire : nous inventons des unités, des «choses identiques» qui n existent pas. Ainsi, si le corps est bien le lieu de mon expérience la plus intime, cette intimité n est pas donnée immédiatement. Ce point constitue la différence majeure entre Nietzsche et Schopenhauer, lequel estimait que la volonté était l objet d une «certitude immédiate». Il explique la parenté de Nietzsche avec Dostoïevski que le philosophe allemand découvre avec enthousiasme dans les dernières années de sa vie, en particulier

5 son intérêt pour Les écrits d un souterrain dont le sujet majeur est l opacité de la conscience pour elle-même. La connaissance intime de ce qui est, si elle ne peut être gagnée que dans le corps, ne peut donc, en même temps, l être que contre le corps, que dans l opposition à ces interprétations falsificatrices du corps au service de la vie. Autrement dit, elle ne peut être gagnée qu au terme d une démarche ascétique. Cette démarche ne doit pas être confondue avec l idéal ascétique dénoncé par Nietzsche. Cet idéal ascétique ne constitue en aucun cas un effort de retour sur soi au mépris de l orientation première de la volonté de puissance vers l extérieur : il n est qu une certaine modalité de déploiement de la volonté de puissance qui vise ici un monde supérieur. L ascèse nietzschéenne, en tant qu elle s oppose aux exigences falsificatrices de la vie et évidemment dangereuse et ne peut être maintenue durablement : la connaissance intime de ce qui est n est possible que sous le mode du très bref coup d œil.

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