INTRODUCT ION. Les vaccins ne sont pas des médicaments, mais des produits biologiques réalisés à partir du germe vivant.
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- Rachel Marin
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1 Les vaccins
2 INTRODUCT ION Les vaccins ne sont pas des médicaments, mais des produits biologiques réalisés à partir du germe vivant. L objectif c est d obtenir en fin la fabrication d un vaccin qui soit toujours efficace et toujours bien toléré.
3 HISTOR IQUE La première vaccination fut celle que réalisa le médecin anglais Edward Jenner en 1796, en inoculant la vaccine à un homme afin de le protéger de la variole. Deux cents ans plus tard, cette maladie est définitivement éradiquée de la surface du globe. La mise au point du vaccin contre la rage par Louis Pasteur en 1885 constitue également une étape-clé dans l histoire de la vaccination. Dans les pays développés, la vaccination a permis la disparition presque totale de maladies comme la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos néonatal. Dans les pays en développement, le nombre d enfants qu elle sauve chaque année est estimé à environ Le tableau suivant montre le développement des vaccins.
4 Tableau 1 : Tableau de la création des principaux vaccins scientifiques Vaccins Années Edward Jenner Anti variole 1798 Louis pasteur Choléra des poules Le charbon La rage Sir Almorth E. Le fièvre typhoïde 1896 Wright Albert Calmette et Camille Guérin Gaston Ramon Le tuberculose BCG Anatoxine diphtérique Anatoxine tétanique Thorvald la coqueluche 1923 Madsen Max Theiler La fièvre jaune 1937 Jonas Salk La grippe Vaccin inactivé, injectable contre la poliomyélite Albert Sabin Vaccin atténué, oral, contre la poliomyélite 1957 J.F Enders la rougeole 1960 M. Takahashi les oreillons 1966 la varicelle 1973
5 Philippe Maupas, puis Maurice R Hilleman Pierre Tiollais William Rutter l'hépatite B 1976 recombinaison 1980 génétique contre l'hépatite B, sur cellules animales recombinaison 1982 génétique contre l'hépatite B, sur levure la méningite 1985 bactérienne l'hépatite A 1992 la maladie de 1998 Lyme le rotavirus et le 2006 papillomavirus humain
6 Qu est ce qu un vaccin? Un vaccin est une préparation d origine microbienne introduite dans l organisme afin de provoquer la formation d anticorps (ou de cellules tueuses) contre le microbe en cause. La présence de ces anticorps (ou de ces cellules) crée une immunisation spécifique
7 contre l infection ou la toxine due à l agent infectant correspondant. Classific ation On trouve 3 types essentiellement des vaccins qui sont: vaccins vivants vaccins inertes vaccins issues de la génie génétique.
8 Vaccins vivants atténué s Les vaccins vivants atténués semblent être d'une efficacité protectrice comparable aux vaccins trivalents inactivés. Ils induisent principalement une sécrétion d'immunoglobuline A locale au niveau des voies respiratoires supérieures, qui contribuent à une résistance à l'infection.
9 agents pathogènes multiplication et mutation Perte du caractère pathogène mais conservation du pouvoir immunologique Préparation de vaccin vivant atténué injection Activation du SI avec production d AC spécifique et des lymphocytes mémoires Principaux vaccins La rougeole Les oreillons La rubéole
10 La fièvre jaune La tuberculose La poliomyélite Vaccins inertes Ils sont constitués par des bactéries ou des virus entiers qui ont été complètement inactivés et qui ne peuvent donc pas se multiplier dans l'organisme. Mais ils ont gardé leur pouvoir immunogène en induisant
11 des anticorps protecteurs. En général, en primo-vaccination, ils n'immunisent qu'après trois injections. Isolement de l agent pathogène Multiplication et destruction Germes inactivés ou inerte Préparation de vaccin immunisant par le pouvoir antigénique persistant Principaux vaccins La cholera La fièvre typhoïde
12 La grippe La coqueluche La rage L hépatite B Vaccins issus de génie génétique Les vaccins issus du génie génétique, eux, sont inactivés non plus physiquement, mais par voie génétique. En inactivant les gènes
13 responsables de la virulence d un germe, on crée un mutant non pathogène. Il suffit alors d obtenir la multiplication du mutant, et l on a de nouvelles souches, immunogènes mais inoffensives. Isolement du gène codant pour un antigène Introduction dans une bactérie Synthèse de l antigène Purification Vaccins sous-unités Principaux vaccins a. Vaccins bactériens:
14 Haemophilus influenzae b Pneumocoques Salmonella typhi,.. b. Vaccins viraux l'hépatite B vaccin contre les papillomavirus (HPV). Prépa ration des vaccin s
15 Pour la fabrication des vaccins, nécessite ces étapes suivantes: 1. Culture des virus et fermentation des bactéries. 2. Purification. 3. Inactivation 4. répartition des vaccins 5. Inspection visuelle. 6. Libération. 7. Conditionnement et expédition. 1 La culture des virus et la fermentation des bactéries. Commençant par la première étapes qui est la culture des virus et la fermentation des bactéries ; dont l objectif est de faire proliférer d infimes doses de ces
16 microorganismes pour récolter au final, de très grandes quantités à partie de quelques millimètres cubes de solution de microorganismes, on parvient à produire suffisamment de virus ou de bactéries pour élaborer des millions de doses de vaccins. Pour se multiplier chaque microorganisme a besoin de conditions particulières. Les bactéries savent se reproduire toutes seules, elles doivent être placées dans un milieu propice et rigoureusement contrôlé pour se multiplier. Les virus en revanche, se reproduisent en parasitant des cellules vivantes, il faut donc commencer par cultiver ces cellules en grandes quantités avant d y introduire les virus pour qu à leur tour, ils se multiplient. Les milieux dans lesquels sont cultivés les microorganismes sont complexes, ils contiennent parfois jusqu à 30 composants différents. Une multitude des paramètres doit être prise en compte, la température, le ph, le taux d oxygène, la stérilité, l homogénéité, tout a son importance. 2 Purification.
17 Les produits récoltés sont ensuite purifiés de manière à éliminer toute trace de culture et toutes les autres impuretés. 3 Les opérations d inactivation. Puis les opérations d inactivation démarrent. C est une étape très délicate mais cruciale, elle vise à débarrasser les germes de leur dangerosité. Tout en préservant leur capacité à déclencher la réponse immunitaire, on obtient alors le cœur même du vaccin c est la valence antigénique qui protège l organisme, quand un vaccin protège contre une seule maladie on dit alors un vaccin monovalent. Il est également possible de combiner entre des valences afin d agir contre plusieurs agents infectieux en même temps. 4 La formulation. C est une véritable prouesse scientifique et technologique dont il faut s assurer que chaque valence conserve son efficacité sans
18 interférer avec les autres ; un mélange délicat, précis, qui pour être parfait, demande des années et des années de recherche. La question qui se pose maintenant est : que se passe-t-il une fois obtenue cette valence antigénique? On ajoute alors des stabilisants et dans certains cas des conservateur en quantité infime mais suffisante pour garantie la stabilité, le pouvoir protecteur et l efficacité des vaccins ; et parfois on peu ajouter des adjuvants pour renforcer la réponse immunitaire. 5 La répartition. Cette étape consiste à répartir les vaccins en seringues ou en flacons, certains vaccins comme les vaccins contre la rougeole, la rage, et la fièvre jaune sont instables sous forme liquide. Ils sont stabilisés grâce à une étape supplémentaire de lyophilisation, cela consiste à déshydrater sous vide et à très basse température le vaccin congelé. Le produit se présente alors sous forme de
19 poudre qui sera réhydratée ou reconstituée avec un diluant au moment d être administrée. 6 Inspection visuelle. Une fois la répartition terminée chaque seringue et chaque flacon est systématiquement inspecté, en vérifiant la qualité du contenant comme celle du contenu. Cette phase de contrôle appelée «mirage» est réalisée sous l œil humain est avec des caméras électroniques qui repèrent et signalent le moindre défaut. 7 Libération. D ultimes tests sont réalisés par le fabricant lui-même puis par les autorités de santé, les vaccins sont alors conditionnés et prêts à être expédiés. Mais là encore, des précautions s imposent. Dès le moment où les vaccins sont répartis en seringues ou en flacons, et jusqu à leur administration aux patients, le respect de la chaine de froid est primordial.
20 8 Conditionnement et expédition : Comme on savait tous que les vaccins sont des substances biologiques fragiles qui peuvent perdre de leur efficacité lorsqu elles sont exposées à la lumière ou à des températures inadéquates, pour garantir la protection contre les maladies il faut donc qu ils soient maintenus à des températures constantes entre 2 C et 8 C, chambre froide, réfrigérateurs et emballages isothermes permettent de les conserver durant toutes les étapes de transport et stockage en ajoutant un dispositif de contrôle à chaque expédition pour s assurer du maintient de la bonne température, la moindre variation est immédiatement signalée.
21 Le mécanism e d action des vaccins Après l injection des vaccins, ils vont être accueillis par des macrophages qui vont les avaler et migrer vers le ganglions les plus proche du site d infection et les présenter aux cellules du SI (T). Lorsque les premiers lymphocytes sont activés par la présentation de l antigène par les macrophages, ils se multiplient en grande nombre et forment un clone de lymphocyte, tous identiques et aptes à produire les même anticorps. Les lymphocytes B stimulés vont soit devenir des plasmocytes, qui sécrètent des anticorps spécifiques contre la molécule cible, soit des cellules à mémoire, qui vont pouvoir se réactiver lors d'une seconde exposition, beaucoup
22 plus rapidement que lors du premier contact. Donc le processus d immunisation induit par un premier contact avec un agent intrus prend normalement entre 10 à 20 jours, temps nécessaire à la multiplication des lymphocytes et à la production des anticorps en quantité. Par contre lors d un contact ultérieur avec le même antigène la réactivité du clone de lymphocytes et la production des anticorps sont plus rapide et le taux d anticorps est également plus élevé. Ag vaccinal macrophage Migration Présentation Sélection clonal des lymphocytes spécifiques a l agent pathogène Libération des anticorps :
23 Elimination de l agent pathogène Réponse mémoire conclus ion La vaccination constitue un des meilleurs moyens de se protéger contre la maladie. Cependant, les besoins en matière de vaccination des adultes, des adolescents et des enfants peuvent varier grandement. Peu importe l âge, il est important de tenir à jour son calendrier de vaccination.
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