L espérance de vie sans incapacité
|
|
- Isabelle Lesage
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Groupe "Perspectives démographiques et financières" L espérance de vie sans incapacité une tendance moins favorable que dans le passé Emmanuelle Cambois Unité «Mortalité, santé, épidémiologie»
2 L'espérance de vie en santé L espérance de vie augmente, mais dans quel état de santé? 1. Calculer le nombre d années vécue en bonne / mauvaise santé au sein de l The observed mortality and hypothetical morbidity and disability survival curves for females. United States of America, 10. (WHO, 14) 2. L espérance de vie en santé : c est le nombre moyen d années de bonne santé que l on peut espérer vivre au sein de l dans les conditions médicales, sociales et sanitaires du moment.
3 L'espérance de vie sans incapacité en 11 en France ROBINE JM, MORMICHE P. Estimation de la valeur de l'espérance de vie sans incapacité en France en 11. Solidarité santé 14:17-3 Femmes Hommes à la naissance 1 ans 73 ans SI tous niveaux ans (%) 4 ans (%) SI sévère 7 ans (7%) 72 ans (%) à ans ans 1 ans SI tous niveaux ans (0%) ans (4%) SI sévère 1 ans (0%) 1 ans (4%) Les femmes vivent plus longtemps que les hommes et passent à la fois : plus de temps sans incapacité plus de temps en incapacité
4 Evolution dans les années 10 ROBINE JM, MORMICHE P. L'espérance de vie sans incapacité augmente. INSEE Première 13;(21):1-4 Une compression des années d incapacité Femmes Hommes A la naissance : Espérance de Vie + 2, ans + 2, ans SI tous niveaux + 2, ans + 3,0 ans SI sévère + 2, ans + 2, ans A ans : Espérance de Vie + 1, ans + 1, ans SI tous niveaux + 2,3 ans + 1,3 ans SI sévère + 1, ans + 1,7 ans Augmentation de la part du temps vécu sans incapacité Que mesure-t-on par ces indicateurs d incapacité?
5 Différentes dimensions de l incapacité Maladie, Accident, Malformation, Vieillissement Limitations Fonctionnelles Sensorielles, mentales, physiques Restrictions d Activité Travail, domestiques DEPENDANCE Calculs d espérance de vie sans limitations fonctionnelles Calculs d espérance de vie sans restriction d activité
6 Combien d années de bonne santé après 0 ans, 03 CAMBOIS, CLAVEL, ROBINE. L esp L espérance de vie sans incapacité continue d augmenter. d Solidarité Santé 0;2:7- CAMBOIS, ROBINE. La double peine des ouvriers : plus d ann d années d'incapacité au sein d une d vie plus courte. Population et société 0; 441:1-4 avec sans Années d'espérance de vie 2 Des différences marquées hommes et femmes Difficultés dans les activités de soin personnel = % Difficultés dans les activités en général Problèmes sensoriels et physiques 11 Difficultés dans les activités de soin personnel =2 +2 ans +3 ans +4 ans Difficultés dans les activités en général 1 Problèmes sensoriels et physiques # 0% 40% Hommes Femmes
7 Combien d années de bonne santé après 0 ans, 03 CAMBOIS, ROBINE. La double peine des ouvriers : plus d ann d années d'incapacité au sein d une d vie plus courte. Population et société 0; 441:1-4 De larges différences socioprofessionnelles avec sans Années d'espérance de vie difficultés dans les activités de soin personnel difficultés dans les activités en général problèmes sensoriels et physiques 7 difficultés dans les activités de soin personnel difficultés dans les activités en général Cadres Ouvriers Cadres Ouvriers Cadres Ouvriers CadresOuvrières CadresOuvrières CadresOuvrières 1 problèmes sensoriels et physiques Hommes à 0 ans Femmes à 0 ans + 4 années d pour les cadres par rapport aux ouvriers (2 ans chez les femmes) + années d sans problèmes fonctionnels ( ans pour les femmes) + années d sans restriction soins personnels (4 ans chez les femmes)
8 Les tendances d évolution dans les années 10? CAMBOIS, CLAVEL, ROBINE. L esp L espérance de vie sans incapacité continue d augmenter. d Solidarité Santé 0;2:7- Difficultés importante pour suivre les évolutions : 1. Changement de protocole ayant perturbé la portée de la question de 11et Les enquêtes répétées sont rares / portent sur 1 dimension de l incapacité / sont courtes Assembler l ensemble des informations disponibles pour tirer le plus d information possible multi-source
9 Les tendances d évolution dans les années 10 E s p éra n c e d e v ie s an s in ca p a cité à 2 0 a n s (F em m es ) Années d'espérance de vie sans incapacité Approches sévères: gênes dans les activités (soins personnels, fortes gênes de mobilité) ESPS : sans difficultés sévères à se déplacer ESPS : sans difficultés à faire sa toilette ESPS : sans difficultés à se déplacer, tous niveaux confondus ESSM : sans handicap ou gênes dans la vie quotidienne PEM : sans gênes liées à une m aladie ou un handicap HID : sans restriction d'activité pour les soins personnels HID : sans lim itations fonctionnelles ESSM : sans restriction d'activité pour les soins personnels ESSM : sans lim itations d'activité de long term e ESSM : sans lim itations fonctionnelles A nnées d'enquête E sp é ra n ce d e vie s an s in c ap a cité à an s (H o m m e s) Approches plus large: troubles fonctionnels physiques ou sensoriels (ne gênant pas systématiquement les activités) Evolutions durant les années 10: plusieurs indicateurs pour plusieurs situations d incapacité Presque aucun gain pour les altérations fonctionnelles Années d'espérance de vie sans incapacité ESPS : sans difficultés sévères à se déplacer 40 ESPS : sans difficultés à faire sa toilette ESPS : sans difficultés à se déplacer, tous niveaux confondus 3 ESSM : sans handicap ou gênes dans la vie quotidienne P E M : sans g ê n e s lié e s à u n e m a la d ie o u un h an d icap 30 HID : sans restriction d 'activité pour les soins personnels HID : sans lim itations fonctionnelles ESSM : sans restriction d 'activité pour les soins personnels 2 ESSM : sans lim itations d 'activité de long term e ESSM : sans handicap ou gênes dans la vie quotidienne Années d 'enquête Augmentation + accentuée avec des indicateurs d'atteintes sévères
10 Les tendances d évolution dans les années 0 et 0 CAMBOIS, CLAVEL, ROBINE. L esp L espérance de vie sans incapacité continue d augmenter. d Solidarité Santé 0;2:7-1. L s accompagnent de troubles fonctionnels (largement présents dès 0 ans et avant) et, à partir d un certain âge, de gênes dans les activités Tendance à l équilibre dynamique 2. Les années de vie gagnées s accompagnent davantage de troubles fonctionnels mais pas de situations lourdes. Les troubles fonctionnels assez présents n ont pas ajouté au cours du temps plus de situations lourdes (dépendance)
11 Les espérances de vie sans incapacité (suite)! Nouvelle enquête en 0 : 1. De nouvelles données, mais toujours des problèmes de stabilité des indicateurs : refaire les estimations en 0 2. D autres enquêtes disponibles et quelques séries qui s allongent Répeter l approche multi-source pour déduire des tendances dans les années 00
12 Espérances de vie sans incapacité en multi-source SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p
13 Les espérances de vie sans incapacité à ans 0 SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p Difficultés Activités en soins personnels général Limitations fonctionnelles Difficultés Activités en soins personnels général Limitations fonctionnelles 2 +2 ans +4 ans +4 ans Conclusions similaires à celles de % 70% % Hommes, Femmes,
14 Les SI partielles chez les 0- ans en 0 SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p Une période critique avant l âge de ans Difficultés Activités en Limitations soins général fonctionnelles personnels 0, 4 Difficultés Activités en Limitations soins général fonctionnelles personnels 0, Hommes, 0-4 Femmes, 0-4
15 Espérances de vie sans incapacité en multi-source SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p ADL_HSM To ilette_esps ADL_ESSM ADL_SHARE ADL_HID GALI_HSM GALI_SILC GALI_ESPS GALI_SHARE GH_ECHP Dépl. Sév._ESPS Dépl._ESPS Espérances de vie sans restrictions d'activité à 0 ans, Hommes ADL_HID GH_ECHP Dépl. Sév._ESPS ADL_ESSM Dépl._ESPS GALI_SHARE Toilette_ESPS ADL_HSM ADL_SHARE GALI_SILC GALI_ESPS GALI_HSM Espérances de vie sans restrictions d'activité à 0 ans, Femmes ADL_HID Dépl. Sév._ESPS ADL_ESSM Dépl._ESPS Toilette_ESPS ADL_HSM ADL_SHARE 24 ADL_HSM GALI_ESPS Toilette_ESPS GH_ECHP 1 ADL_ESSM ADL_SHARE GALI_HSM GALI_SILC 1 ADL_HID GALI_SHARE GALI_HSM GALI_SILC GALI_ESPS GALI_SHARE GH_ECHP Dépl. Sév._ESPS Dépl._ESPS LF_HSM LF_ESSM LF_HID LFphy_HSM LFphy_ESPS LFphy_SHARE LFSens_ESPS LFsens_HSM LFphy_ESSM LFsens_ESSM Espérances de vie sans limitations fonctionnelles à 0 ans, Hommes LFphy_ESSM LFsens_ESSM LF_HID LF_ESSM LFphy_ESPS LFSens_ESPS LFphy_HSM LFsens_HSM LFphy_SHARE LF_HSM LF_HSM LF_ESSM LF_HID LFphy_HSM LFphy_ESPS LFphy_SHARE LFSens_ESPS LFsens_HSM LFsens_ESSM LFphy_ESSM Espérances de vie sans limitations fonctionnelles à 0 ans, Femmes LF_HID LFsens_ESSM LFphy_ESSM LF_ESSM LFphy_SHARE LFSens_ESPS LFsens_HSM LFphy_ESPS LFphy_HSM LF_HSM
16 Tendance d évolution des SI durant les années 00 SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p Etat des données disponibles Beaucoup de données, une grande proximité des approches Comparer les «tendances» entre hommes et femmes / + et 0-4 ans Rechercher les convergences et divergences Solutions envisagée Utiliser les données amassées dans une approche méta-analyse Classer les estimations selon la dimension de l incapacité Calculer des paramètres de régression Comparer les pentes pour conclure sur de possibles divergences
17 Tendance des SI en multi-source : qu en faire? SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p LFCog_HID Tendances des sans limitations fonctionnelles à 0 ans, Hommes sans imitations fonctionnelles à 0 ans, Hommes LFCog_ESPS 21,7% -,0% LFcog_HSM LFphy_ESPS LF_HSM LFphy_ESSM LFSens_ESPS,7% LF_ESSM LFsens_ESSM -3,3% LFphy_HSM LF_HID 1 1 LFsens_HSM LFphy_HSM LFphy_SHARE 1 1 LFphy_ESPS LF_ESSM LFphy_SHARE 0,% LFCog_ESPS LF_HID LF_HSM Trend_Lfcog LFCog_HID LFcog_HSM Trend_Lfsens LFSens_ESPS Trend_Lfphy LFsens_HSM LFphy_ESSM Trend_LF LFsens_ESSM
18 Tendances des SI partielles (0- ans), hommes Tendances des SI partielles (0- ans), femmes LF cog LF sens LF phy -,0% 3,17% -,% LF cog LF sens LF phy -7,4% -13,7% -,7% LF -1,04% LF -17,1% 7 7 Limitations fonctionnelles, H 0- Limitations fonctionnelles, F Limitations fonctionnelles, H Limitations fonctionnelles, F LF cog 1,74% 1 LF cog 1-0,3% LF sens 13 -,01% 11 LF phy -1,0% LF phy 4,30% 4,% LF sens 7 LF -,2% 4 LF 4,%
19 1 Tendances et SI partielles (0- ans), hommes 1 Tendances et SI partielles (0- ans), femmes 0-13 ADL IADL 0- -2,% -0,0% 13 ADL IADL -0,0% -0,13% 11 GALI -0,0% 11 GALI -2,24% 7 Restrictions d activité, H 0- Restrictions d activité, F Tendances des SI à ans, hommes 24 Tendances des SI à ans, femmes 1 1 ADL IADL 11,37% 24,74% 1 1 ADL IADL -2,0% 2,32% GALI 1,17% GALI 13,7% 4 Restrictions d activité, H Restrictions d activité, F
20 Tendance des SI en multi-source : synthèse SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p 1. Une espérance de vie qui continue de croître, et des divergences dans les paramètres d analyse des tendance des SI : Absence de pente pour les sans limitations fonctionnelles à ans / des signaux plus négatifs dans la tranche d âges 0- ans Pente positive pour les sans restrictions d activité à ans, mais modérée < à celle de l / des signaux plus négatifs dans la tranches d âges 0- ans 2. Des différences entre hommes et femmes Des paramètres de régressions moins favorables aux femmes qu aux hommes 3. Une tendance divergente par rapport aux années Les pentes sont tirées vers le bas du fait d estimations d SI plus basses dans les dernières années Les années de vie gagnées s accompagneraient de limitations fonctionnelles mais aussi de restrictions d activité
21 Tendance des SI en multi-source : que peut-on dire? SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p 1. Prudence dans les conclusions mais accumulation de signaux concordants Des résultats transversaux qui restent robustes et cohérents Méthode de décomposition appliquées aux séries avec SILC, ESPS, SHARE Tendance récente observée dans d autres pays (Etats-Unis, Suède) 2. Des résultats qui demandent des recherches poussées sur les situations des personnes à travers les enquêtes récentes
22 Tendance des SI en multi-source : pourquoi? SIEURIN, CAMBOIS, ROBINE. Les espérances de vie sans incapacité en France : une tendance récente r moins favorable que dans le passé. Document de travail de l INED l 11;170:30p 1. Une déclaration plus systématique de troubles et gênes? Les dernières années ont été riches en messages santé / dépendance Les générations 0- ans ont bénéficié de meilleures conditions de soins et de meilleurs «réflexes» pour gérer leurs problèmes de santé : plus réalistes/réactives Un recours plus fréquent mais plus approprié : bénéfique à plus long terme? 2. Le résultat des dynamiques démographiques/médicales? Une survie plus grande de malades intégrant aujourd hui les âges 0- ans Une plus grande survie des personnes en incapacité en général 3. Le résultats des dynamiques sociales récentes? Des fins de carrière plus difficiles dans le contexte récent qui contrastent avec celles des plus âgés : spécificités des baby-boomers? Des conciliations vies personnelles / vies professionnelles / vie domestiques plus complexes : spécificités des baby-boomers? Poids des inégalités sociales dans ces évolutions?
23 Tendance des SI en multi-source : que peut-on dire? Des résultats qui invitent à envisager des scénarios moins favorables qu au début des années 00 Des évolutions très récentes qui contrastent avec les résultats précédents Des évolutions qui semblent toucher plus durement les 0- ans Une réflexion à mener sur les facteurs explicatifs MERCI DE VOTRE ATTENTION
Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial
Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial Gérard Bouvier, Liliane Lincot, Chantal Rebiscoul* En 2009, un peu plus de 600 000 personnes sont hébergées
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailLe handicap est plus fréquent en prison qu à l extérieur
N 854 - JUIN 2002 Prix : 2,20 Le handicap est plus fréquent en prison qu à l extérieur Aline Désesquelles, Institut National d Études Démographiques et le groupe de projet HID-prisons Plus de trois personnes
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailEspérance de vie dans le monde et scénarios prospectifs sur la longévité. SCOR inform - Février 2011
Espérance de vie dans le monde et scénarios prospectifs sur la longévité Espérance vie dans le monde et scénarios prospectifs sur la longévité Espérance de vie dans le monde et scénarios prospectifs sur
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe vieillissement professionnel
Le vieillissement professionnel L Assurance Maladie L Assurance Risques Professionnels Orientations nationales la la Relation Relation Employeurs Employeurs Selon la définition de l O.M.S: «le vieillissement
Plus en détailInfos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité
Infos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité Contribution au débat Daniel SANCHIS Paris mai 2010 La part de la richesse nationale produite
Plus en détailEndettement des jeunes adultes
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS 20 Situation économique et sociale de la population Neuchâtel, Août 2012 Endettement des jeunes adultes Analyses complémentaires
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailSECURE ADVANTAGE REVENUS GARANTIS
Complément de retraite à vie SECURE ADVANTAGE REVENUS GARANTIS Une troisième voie pour votre assurance vie DOCUMENT NON CONTRACTUEL Financement des retraites, un nouveau contexte NOUS VIVONS PLUS LONGTEMPS,
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailPréoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur
Plus en détailFICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Documentaliste radio «Documentaliste» APPELLATION(S) DU METIER Documentaliste en radiodiffusion DEFINITION DU METIER Le documentaliste radio exerce trois missions principales : > Il gère le fonds documentaire
Plus en détailAtelier «Vieillissement de la population et habitat»
Atelier «Vieillissement de la population et habitat» Avec l allongement de la durée de vie et la mutation démographique sans précédent auxquels la société française est confrontée, la question du logement
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les conséquences du vieillissement de la population sur les dépenses de santé Michel Grignon
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Le Conseil de Politique Economique de l Union Européenne a lancé des travaux visant à analyser les conséquences
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détailRÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE Echelle des traitements 2015 Valable dès le 01.01.2015 Office du personnel de l'etat Indexation de 0.
04 00 52 378.00 4 029.10 0.00 25.20 23.25 1.95 207.50 44.35 1.70 36.30 3 739.25 01 52 960.00 4 073.85 582.00 25.50 23.55 1.95 209.85 44.85 1.70 36.70 3 780.75 02 53 542.00 4 118.65 582.00 25.75 23.80 1.95
Plus en détailen région bruxelloise
AFrAHM Section de Bruxelles Association de Parents de La Clairière Etat des lieux Centres de jour Centres d hébergement pour travailleurs et non travailleurs en région bruxelloise 2 Table des matières
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailLE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 BON DE COMMANDE
LE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 Une grande étude IPEA Vous voulez cerner le marché du meuble de salle de bains et explorer les pistes prospectives à l horizon 2020? A partir de
Plus en détailInégalités sociales de santé : Quels constats? Quels leviers d action? Florence Jusot. LEDA-LEGOS (Univ. Paris-Dauphine) - IRDES
Inégalités sociales de santé : Quels constats? Quels leviers d action? Florence Jusot LEDA-LEGOS (Univ. Paris-Dauphine) - IRDES ARS Ile-de-France, 4 octobre 2010 Introduction Il existe en France de fortes
Plus en détailDes dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs
Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Plus le taux de versement des dividendes est élevé, plus les anticipations de croissance des bénéfices sont soutenues. Voir
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailUne rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer
Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)
Plus en détailLE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES
LA NEWSLETTER / LIGUE REIN ET SANTÉ / AVRIL 2015 #19 NOUVEAUTÉ 2015 / DES PAGES À PHOTOCOPIER DESTINÉES À VOS PATIENTS LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 2 SITES
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailRésumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO
Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Novembre 2013 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO 1 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Le présent document est un résumé
Plus en détailEtude nationale sur l audition Résultats
Etude nationale sur l audition Résultats 18 février 2013 Partenaires de l étude: Contenu Résumé Introduction Objectif Méthodologie de l étude Raisons pour lesquelles aucun appareil auditif n a été porté
Plus en détailProgrammation 2 0 1 3-2 0 1 4
Programmation Mieux comprendre pour mieux intervenir C est avec un grand plaisir que le Centre de réadaptation Lucie-Bruneau vous convie à la 17e saison des Rendez-vous de la réadaptation. En vous présentant
Plus en détailNEGRIER & Fils S.A.R.L 12120 SALMIECH Tél : 05.65.46.74.51 Fax : 05.65.46.78.83 negrier-electricite@wanadoo.fr www.negrier-accessibilite.
NEGRIER & Fils S.A.R.L 12120 SALMIECH Tél : 05.65.46.74.51 Fax : 05.65.46.78.83 negrier-electricite@wanadoo.fr www.negrier-accessibilite.fr Qui est concerné? «Toutes les personnes ayant des difficultés
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailPRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.
PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.. Donner les erreurs en position, en vitesse et en accélération d un système de transfert F BO = N(p) D(p) (transfert en boucle ouverte) bouclé par retour
Plus en détailV- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014
V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses
Plus en détailConstruction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012
Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance Auteur Laure de Montesquieu Responsable Centre
Plus en détailLes déterminants du volume d aide professionnelle pour. reste-à-charge
Les déterminants du volume d aide professionnelle pour les bénéficiaires de l APA à domicile : le rôle du reste-à-charge Cécile Bourreau-Dubois, Agnès Gramain, Helen Lim, Jingyue Xing, Quitterie Roquebert
Plus en détailPREMIERE DEMANDE D UNE CARTE NATIONALE D IDENTITE
PREMIERE DEMANDE 1 ER CAS : VOUS ETES DANS L INCAPACITE DE PRESENTER UN AUTRE TITRE (SECURISE OU NON) 2 E CAS : VOUS ETES EN MESURE DE PRESENTER UN PASSEPORT ELECTRONIQUE OU BIOMETRIQUE La photocopie du
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailLes adultes souffrant d autisme ou de syndromes apparentés pris en charge par les établissements médico-sociaux
Ministère de l emploi, du travail et de la cohésion sociale Ministère de la santé et de la protection sociale L enquête ES 2001 recensait environ 5 000 personnes atteintes d autisme ou de syndromes apparentés,
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 GUIDE PRATIQUE / FAIRE FACE À LA PERTE D AUTONOMIE
GUIDE PRATIQUE Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 03 AVANT-PROPOS 1 La perte d autonomie touche de plus en plus de personnes, en raison principalement du vieillissement
Plus en détailREPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015
REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 2000 2005 2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040 2045 2050 2055 2060 en % du PIB UN FINANCEMENT DES RETRAITES TOUJOURS PAS ASSURÉ Solde financier
Plus en détailLe marché des seniors : nouvelle cible a privilégier par les promoteurs de logements collectifs et les constructeurs de maisons individuelles
Le marché des seniors : nouvelle cible a privilégier par les promoteurs de logements collectifs et les constructeurs de maisons individuelles Les nouveaux enjeux d'un marché encore peu cerné D un point
Plus en détail[FORMAT AGRANDI DE LA POLITIQUE D ACCESSIBILITÉ POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES]
Type de doc. Politique Section Administration Prochain examen Décembre 2016 [FORMAT AGRANDI DE LA ] 1. Portée La présente politique s applique à tous les services et programmes fournis par le Centre de
Plus en détailI) Evolution de la demande d emploi mensuelle
Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres
Plus en détailApproche du coût de la dépendance des personnes âgées à domicile
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie Approche du coût de la dépendance des personnes âgées à domicile Anne LOONES Avec la collaboration de : Elodie DAVID-ALBEROLA Sonia
Plus en détailITIL V2. La gestion des changements
ITIL V2 La gestion des changements Création : novembre 2004 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL a été réalisé en 2004 et la traduction
Plus en détailLA NOUVELLE TÉLÉASSISTANCE
Dossier de presse LA NOUVELLE TÉLÉASSISTANCE : des services adaptés, des technologies testées et fiables et une plateforme de chargés d assistance disponibles 24h/24, 7j/7 et formés à l écoute. Mardi 31
Plus en détailRETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006
RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006 A. Fouillet 1, G. Rey 1,2, P. Bessemoulin 3, P. Frayssinet 3, E. Jougla 2, D. Hémon 1 (1) Inserm U4 IFR6 Epidémiologie environnementale des cancers,
Plus en détailCOORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES
COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES Cours 6c Principe Protocole centralisé, un commissaire-priseur/vendeur (auctioneer) et plusieurs enchérisseurs/acheteurs (bidders) Le commissaire-priseur
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailTRANSPORT SANITAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 15/09/2014 1
TRANSPORT SANITAIRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT SANITAIRE... 4 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 6 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT SANITAIRE...
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détail(Cet éditorial est appuyé notamment par Greenpeace Québec et l Association
(Cet éditorial est appuyé notamment par Greenpeace Québec et l Association québécoise pour la lutte à la pollution atmosphérique, ainsi que par les médecins experts Dominique Belpomme, Samuel Epstein,
Plus en détailInfirmité motrice cérébrale FICHE D INFORMATION. Cette fiche fait partie du Guide de CBM sur la prévention de l infirmité motrice cérébrale
Infirmité motrice cérébrale FICHE D INFORMATION Cette fiche fait partie du Guide de CBM sur la prévention de l infirmité motrice cérébrale April 2012 2 L infirmité motrice cérébrale: programme de prévention
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite
CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies
Plus en détail[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année.
[Tapez un texte] QUALIFICATION VISEE Titre Responsable d Affaires Agroalimentaires, niveau I (JO du 22/07/2010) OBJECTIF PRINCIPAL DE LA FORMATION PUBLIC ET CONDITIONS D'ACCES Former des cadres de haut
Plus en détailANNEXE A LA LOI DE FINANCES
REPUBLIQUE GABONAISE ANNEXE A LA LOI DE FINANCES MISSION POUVOIRS PUBLICS ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012014 [Tapez une citation prise dans le document ou la TABLE DES MATIERES I. MISSION
Plus en détailRestauration Etat du Marché ->La consommation de cigarettes en CHR en 2008. Rapport Online CHD Expert
Panel online Conso CHD - L Hôtellerie Restauration Etat du Marché ->La consommation de cigarettes en CHR en 2008 Rapport Online CHD Expert Méthodologie Contexte de l étude et de l état du marché produit
Plus en détailLe Transport en commun public urbain et Son impact sur l économie le cas de Tunis "résumé"
Le Transport en commun public urbain et Son impact sur l économie le cas de Tunis "résumé" Dans nos pays et depuis longtemps, les questions de financement direct du transport en commun public ont monopolisé
Plus en détailIdées reçues et autres contre-vérités
Idées reçues et autres contre-vérités "Juger, c'est de toute évidence, ne pas comprendre ; si l'on comprenait, on ne pourrait plus juger." Citation d'andré Malraux A l occasion des prochaines manifestations
Plus en détailScénarios hétérodoxes pour la mortalité, la morbidité et la dépendance
La révolution de la longévité The longevity revolution 2003 Elsevier SAS. Tous droits réservés Alain Parant Scénarios hétérodoxes pour la mortalité, la morbidité et la dépendance Scénarios hétérodoxes
Plus en détailP0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U
P0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U PERSONNE PHYSIQUE Début d'activité profession libérale Exemplaire destiné au Déclarant Déclaration n U6701I991150 reçue le transmise
Plus en détailAnalyse financière par les ratios
Analyse financière par les ratios Introduction L outil utilisé dans les analyses financières est appelé ratio, qui est un coefficient calculé à partir d une fraction, c est-à-dire un rapport entre des
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailDIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR
COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300
Plus en détailAutomatique (AU3): Précision. Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr
Automatique (AU3): Précision des systèmes bouclés Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr Plan de la présentation Introduction 2 Écart statique Définition Expression Entrée
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailEtude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)
Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailLe virement SEPA. www.lesclesdelabanque.com. Novembre 2007 LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent
027 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Le virement SEPA LES MINI-GUIDES BANCAIRES FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr Novembre 2007 Ce mini-guide
Plus en détailIntroduction : Le contexte. Elisabeth Cozette, Marie-Ève Joël Legos, Université Paris IX-Dauphine
Le comportement de demande de biens et services à caractère technologique par les personnes âgées en institution Exploitation des données de l enquête HID institution Introduction : Le contexte Elisabeth
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLa couverture complémentaire santé des jeunes
La couverture complémentaire santé des jeunes en France et dans les Pays de la Loire 2013 Décembre www.santepaysdelaloire.com Auteur Sandrine David, Dr Anne Tallec, Observatoire régional de la santé (ORS)
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailAméliorez vos taux de transformation grâce à la vidéo! Le videomarketing, la PLV pour le Web
Améliorez vos taux de transformation grâce à la vidéo! Le videomarketing, la PLV pour le Web La vidéo en ligne et le e-commerce s imposent en France 25 millions de français ont vu 2 milliards de vidéos
Plus en détailEnquête Handicaps-Incapacités-Dépendance de fin 1999 auprès des personnes vivant à domicile
I.n.s.e.e. République Française Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques 18, Bd Adolphe Pinard, 75675 PARIS Cédex 14 Enquête Handicaps-Incapacités-Dépendance de fin 1999 auprès des
Plus en détail