ARBOIT Gerald CF2R. BERTIN-MAGHIT Jean-Pierre Université Sorbonne nouvelle Paris 3

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1 A ARBOIT Gerald CF2R «L autre Partie de campagne : le 10 mai 1940 d Henri Cartier-Bresson» Vendredi 27/ Docteur en histoire contemporaine, est directeur de recherche au CF2R. Son habilitation à diriger des recherches, intitulée Renseignement : la dimension manquante de l histoire contemporaine de la France, a été soutenue en La communication proposée repose sur une documentation archivistique et visuelle utilisée pour la rédaction d un article d histoire militaire régionale sur le 10 mai La paternité du reportage photographique provenant de l ECPAD ne fut établie qu après la lecture des mémoires de l opérateur de cinéma Alain Douarinou, où il relate l épopée de cette «belle équipe» qu il formait avec quelques grands noms de l image de l entre-deux-guerres. Cette série de quelque quarante photographies pourrait être signée de l inventeur du photojournalisme, Henri Cartier-Bresson, simple mobilisé affecté au sein de l unité «Film et photographie» de la 3 e armée, groupe C, pendant la Drôle de guerre. Ce reportage photographique était d ailleurs complété par la contribution de Douarinou au Journal de guerre n o 33, diffusé le 16 mai Le croisement de ces sources provenant de l ECPAD et du SHD, dans cette unité de lieu qu offre cet espace entre le poste de douanes d Audun-le-Tiche (Moselle) et les premiers parapets de la gare d Esch-sur-Alzette (Luxembourg), permet de présenter l esthétique de la rencontre et la poétique de la surprise chères à Louis Aragon et André Breton. Ce reportage de guerre, tout en contre-champ, d où l ennemi est seulement attendu mais jamais montré répond en tout point à ce qu il attend de l «instant décisif», offrant une «reconnaissance simultanée, dans une fraction de seconde, d une part de la signification d un fait et, de l autre, d une organisation rigoureuse des formes perçues visuellement qui expriment ce fait», montrant l instant qui précède et qui contient en germe l événement lui-même. Plutôt qu une œuvre de propagande militaire, le photographe signe ainsi une série s apparentant à une nouvelle «partie de campagne» où le point de vue est tout aussi politique que le film de Jean Renoir. Néanmoins, traitant de l exode des Luxembourgeois, il adopte, comme Douarinou d ailleurs, la scénarisation proposée par le ministère de l information. B BERTIN-MAGHIT Jean-Pierre Université Sorbonne nouvelle Paris 3 Projections de films ECPAD sur la décolonisation Samedi 28/ Professeur en études cinématographiques à l université Sorbonne nouvelle Paris 3, chercheur à l IRCAV et membre de l Institut universitaire de France. Ses derniers ouvrages sont Une histoire mondiale des cinémas de propagande (2008) ; Lorsque Clio s empare du documentaire (2 tomes, 2011) ; la Guerre d Algérie et les médias : questions aux archives (Théorème n o 18, 2013). Il termine actuellement une recherche sur les films d amateurs réalisés par les soldats français pendant la guerre d Algérie ( ). 1/12

2 BRETON Pauline «L image médicale : multiplicité des usages d une source scientifique, technique et documentaire ( )» Vendredi 27/ Doctorante en histoire contemporaine sous la codirection d Annette Becker et de Laurence Campa (Paris-X/Paris-XII). Son sujet de thèse s intitule Genèse et élaboration d une «civilisation morale» : influences de l expérience de guerre sur la pensée duhamélienne ( ). Révélatrice des mutations scientifiques, techniques, militaires et sociales engendrées par la première guerre mondiale, l image médicale fait l objet de multiples usages qui dépassent le simple cadre scientifique et technique. Cette communication viendra donc combler une lacune historiographique et offrira un éclairage nouveau sur l interprétation de sources dévolues traditionnellement à la seule connaissance médicale. Nous verrons ainsi que l image médicale ne satisfait pas uniquement les obligations testimoniales ou les nécessités pédagogiques d apprentissage et de transmission aux futurs médecins des nouveaux apports chirurgicaux et médicaux. Elle permet également au service de santé, et par conséquent à l État, d attester de son efficacité et de son adaptation aux contraintes nouvelles de la guerre de position. Par ailleurs, l iconographie médicale inhérente aux blessés de guerre constitue un certain reflet des pratiques médicales envisagées sous un angle anthropologique et culturel. En effet, associée aux témoignages de médecins engagés aux armées pendant la Grande Guerre, l archive photographique ou cinématographique militaire apporte des éléments de compréhension du colloque singulier unissant le médecin au blessé dont il a la charge. Cette présentation prendra ainsi appui sur l analyse croisée des archives médicales photographiques et cinématographiques de l ECPAD et des documents recensés au musée du service de santé aux armées du Val-de-Grâce. Les archives iconographiques de la première guerre mondiale ainsi que les journaux de marche et rapports des ambulances regroupés au musée du Val-de-Grâce sont en effet nécessaires pour déterminer les enjeux et usages des sources singulières que sont la photographie et le film. S y ajouteront les photographies réalisées par Georges Duhamel pendant sa mobilisation, lors de son affectation à l ambulance 9/3 puis à l Autochir 16, ainsi que des témoignages de guerre. BUSSAT Alain Table ronde «Le soldat de l image» Samedi 28/ Alain Bussat, entré en 1974 dans l armée de l air comme photographe, rejoint l ECPA en 1993 après avoir été responsable du service photographique de la base aérienne de Taverny (Val d Oise) puis formateur en photographie à l école technique de l armée de l air (Rochefort) et enfin opérateur de prises de vues et réalisateur de films vidéo pour la sécurité des vols des pilotes de chasse de l armée de l air À l ECPA puis à l ECPAD, jusqu en 2006, il est opérateur de prises de vues, notamment à Sarajevo et sur le mont Igman. 2/12

3 C CHERON Bénédicte IRICE «Entre mission documentaire et terrain de crise : les hommes de l ECPAD en Côte d Ivoire ( , opération Licorne) Samedi 28/ Chercheur partenaire à l IRICE-UMR 8138, chargée de cours à l ICP, qualifiée aux fonctions de maître de conférences, diplômée de Sciences Po Paris, a publié Pierre Schoendoerffer, un cinéma entre fiction et histoire aux éditions du CNRS en En septembre 2002, la force Licorne est déployée en Côte d Ivoire. Au début de l année 2003, alors que les accords de Linas-Marcoussis sont signés le 14 janvier, la situation sur place devient extrêmement tendue entre forces loyalistes et rebelles qui, pour l essentiel, viennent du Nord du pays. Les manifestations anti-françaises se multiplient. Ces tensions culminent avec la crise de novembre et décembre Après quelques mois d accalmie, en octobre 2005, un nouveau fait majeur survient lorsque le général Poncet est suspendu, ainsi que plusieurs autres officiers et sous-officiers, le haut commandement militaire ayant appris l assassinat d un présumé coupeur de route par deux militaires français, quelques mois auparavant. Ces deux périodes constituent deux moments paroxystiques pour la communication du ministère de la défense et de l état-major. Cette intervention vise à éclairer le rôle que tiennent les opérateurs de l ECPAD dans cette chaîne de communication au cours des trois années d intervention de la force Licorne. Y seront analysées leurs conditions de travail ainsi que l utilisation qui est faite de leurs images et de leurs sons. L étude précise de leurs images permet aussi de mettre en avant les grandes constantes de représentation du fait militaire français par les photographes et cameramen de cette institution depuis un demi-siècle. Nous tenterons ainsi de commencer à défricher un champ presque totalement vierge de recherches : celui du fonctionnement de l ECPAD au fil de décennies d opérations extérieures françaises, après la fin de la décolonisation. Le propos s appuiera pour l essentiel sur une étude des archives audiovisuelles de l ECPAD, sur leur mise en regard avec le traitement télévisuel de cette actualité à l époque, ainsi que sur une série d entretiens avec des protagonistes de l époque. D DENIS Sébastien Université de Picardie Jules Verne / Amiens Projections de films ECPAD sur la décolonisation Samedi 28/ Professeur en études cinématographiques à l Université de Picardie Jules Verne (Amiens), chercheur au CRAE et au LCP/CNRS. Spécialiste de la propagande pendant la guerre d Algérie, il a publié sa thèse sous le titre Le cinéma et la guerre d Algérie : la propagande à l écran ( ) (Paris, Nouveau monde, 2009). Il a également été co-commissaire de l exposition Algérie , avec Jacques Ferrandez au musée de l Armée en 2012 (catalogue : Casterman). 3/12

4 G GUILLOT Hélène Service Historique de la Défense Projections de films ECPAD sur la première guerre mondiale Vendredi 27/ Docteur en histoire de l Université Paris 1, responsable des fonds contemporains de l armée de terre au SHD, membre associée de ISOR-CRH du XIX e siècle (Paris 1-Paris 4). Sa thèse, intitulée Photographier la Grande Guerre : les soldats de la mémoire ( ), a reçu le premier prix de l IHEDN et une mention spéciale au prix de thèse du Sénat en Commissaire de l exposition Images interdites de la Grande Guerre, elle a dirigé son catalogue édité par les PUR et l ECPAD en octobre L LAMASSA Marie Ecole du Louvre «Écrire la Grande Guerre par la photographie : Jean-Baptiste Tournassoud, un acteur ambivalent» Vendredi 27/ Actuellement en master 2 à l Ecole du Louvre, travaille à un mémoire intitulé Jean-Baptiste Tournassoud ( ), un militaire photographie la Grande guerre : spécificité d une pratique, sous la direction de M me Dominique de Font-Réaulx, conservatrice au musée du Louvre et directrice du musée Delacroix. Jean-Baptiste Tournassoud ( ), militaire de carrière et amateur passionné de photographie, auteur de clichés réalisés pendant la Grande Guerre, se distingue par un discours esthétique, héritier d une tradition académique qui cherche à restaurer une vision épique de la guerre, niant ainsi sa modernité. Affecté au service des renseignements au sein du 2 e bureau en 1917, il accompagne les opérateurs de la SPCA sur le terrain avant d en prendre la direction en 1918 : son destin photographique est alors mêlé à celui de la production officielle. La conflagration mondiale est pour lui un moment photographiquement prolifique : il dit réaliser plus de clichés, aujourd hui conservés à l ECPAD, à titre personnel. Bien que ses préoccupations patriotiques embrassent les ambitions du service, sa photographie se distingue de celle des opérateurs par l inventivité esthétique qu il met au service de son discours conservateur. Ce métissage d influences académiques et documentaires est à l origine d un corpus photographique surprenant, qui s inscrit dans le sillon des photographies de la SPCA et la perspective d une pratique indépendante qui fait de lui un acteur officieux de l entreprise de propagande. Cependant, cette ambivalence complexifie la question de l attribution de ses photographies dont certaines sont en réalité de la main d opérateurs de la SPCA. En effet, au lendemain de l armistice, sa position lui permet de mettre ses images en valeur parmi les commémorations d après-guerre, de les insérer au sein de la production du SPCG et de se servir parmi cette collection. Néanmoins, sa démarche de photographe et de directeur du SPCG converge vers un même objectif : indifférent à la valeur historique des images, il manifeste, en favorisant des thématiques significatives, sa volonté d employer la photographie pour écrire l histoire de cette guerre plutôt que pour la décrire, s inscrivant dans un processus historique autant qu artistique. 4/12

5 LAUNEY Stéphane Service Historique de la Défense - Université Paris 1 «Entre instruction et propagande : l armée et le cinéma dans l entre-deux-guerres ( )» Vendredi 27/ Doctorant en histoire du cinéma sous la direction de Sylvie Lindeperg (Paris-1), il est actuellement en poste à la division des témoignages oraux du SHD, est. Son sujet de thèse s intitule Perception et utilisation du cinématographe par l armée française (juin 1920-juin 1940). L emploi du cinéma par l armée pendant l entre-deux-guerres amène à se poser des questions sur son positionnement par rapport aux deux grands emplois de ce média à cette période, d une part l usage du film, croissant dans les années 1930, comme vecteur de propagande, d autre part, l avènement du cinéma comme moyen d éducation scolaire et sociale dans la société française. L objet de cette contribution sera d analyser cet emploi bicéphale et son écho au sein de l institution militaire, rendu complexe par les spécificités propre à chaque armée terre, marine, air et l absence d un ministère de la défense nationale pérennisé durant la période étudiée. Le cinéma militaire, gêné par sa dissolution en 1919 et l ombre portée par le premier conflit mondial, fait figure de parent pauvre dans la première moitié des années 1920 avant d apparaître comme une réponse possible et efficace à une instruction de la troupe rendue compliqué par la réduction du service militaire. Quels ont été les hommes et les structures qui ont fait fonctionner ces services cinématographiques, dans un contexte où l armée doit s adapter aux changements de la politique nationale et internationale? Qu en est-il des résultats obtenus en matière d instruction et de propagande? Nous analyserons ces problématiques autour de trois parties. Dans un premier temps, l étude des raisons de la difficile mise en place d un emploi du cinéma au sein du ministère de la guerre et les facteurs aboutissant à sa pérennisation à la fin des années 1920, et son implantation dans le paysage cinématographique. Dans un second temps, l analyse de la production interne du cinéma militaire, majoritairement dédié à l instruction, montrera sa spécificité et sa diffusion au sein de l armée. Parallèlement, la posture de l institution militaire vis à vis de l emploi du cinéma comme moyen de propagande permettra de donner corps à une cohabitation plus large que l on imagine avec le cinéma privé. LINDEPERG Sylvie Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Projections de films ECPAD sur la deuxième guerre mondiale Vendredi 27/ Historienne, membre de l Institut universitaire de France, professeur à l université Paris 1 Panthéon- Sorbonne. Elle est l auteur de : les Écrans de l ombre ; Clio de 5 à 7 ; Nuit et Brouillard : un film dans l histoire ; Univers concentrationnaire et génocide avec Annette Wieviorka ; D Arusha à Arusha avec Thierry Cruvelier et Christophe Gargot ; la Voie des images. Elle est co-auteur de plusieurs réalisations multimédia et du film Face aux fantômes de Jean-Louis Comolli. M MORICEAU Lucie ECPAD «Raymond Depardon sous les drapeaux : naissance d un photographe» Samedi 28/ Lucie MORICEAU est chargée d études documentaires à l ECPAD, responsable de la collecte des archives photographiques et cinématographiques privées depuis Titulaire d un master II en histoire et critique des arts (Université Rennes 2) et du diplôme de 2 e cycle de l École du Louvre (Paris), elle contribue à des articles sur l histoire et les usages de la photographie dans le monde combattant et intervient dans des manifestations scientifiques. 5/12

6 Raymond Depardon, jeune photographe, s illustre par un reportage sur l expédition SOS Sahara, où une mission scientifique se transforme en opération de sauvetage de trois jeunes appelés du contingent perdus dans le désert Lors de ce premier séjour en Algérie, Raymond Depardon fait la connaissance des reporters militaires du journal Bled 5/5. Il effectue donc son service national au sein du journal TAM, successeur de Bled, de juillet 1962 à décembre À TAM, de jeunes appelés plus âgés que Raymond animent la revue dans un esprit très libre, où le titrage et l illustration se font la part belle dans la tradition des «newsmagazine» : les journalistes Jacques Séguela et Jean-Pierre Le Bihan, les photographes Jacques Doyon et Yves Nouchi, le pianiste Alexis Weissemberg sont là pour apporter leurs talents. Au cours de ses dix-huit mois de service actif, Raymond Depardon va couvrir l ensemble du territoire métropolitain, pour des entraînements ou des manœuvres, pour des sujets d ambiance ou institutionnels. Au total, dans ces 54 reportages, Raymond Depardon fait preuve de talents multiples et, malgré les contraintes de la commande et du photojournalisme, il est indéniable que se dégage ici un regard absolument singulier, qui dépasse les genres convenus. L intérêt du fonds TAM conservé à l ECPAD est triple. C est d abord l un des rares corpus disponibles sur les débuts de Raymond Depardon jeune photographe ( ), avant qu il ne fonde l agence Gamma. C est ensuite un creuset esthétique où Raymond Depardon affirme les constantes de son regard : le frontal, le centré, le vide, la prise de vue à distance, l attention aux temps morts, à la solitude, à l humain dépouillé, à l accidentel. C est enfin une collection exceptionnelle qui témoigne, par la variété de ses sujets, de la naissance d une armée moderne, en route vers la professionnalisation et la sophistication technologique, engagée dans le bond technologique des Trente glorieuses et tournant la page des guerres coloniales. P PETITEAU Anthony Musée de l Armée «Exposer la photographie dans un musée d histoire : l exemple des collections de l ECPAD au musée de l Armée» Samedi 28/ Chargé d études documentaires au département des peintures et sculptures du musée de l Armée. En charge des collections photographiques depuis 2001, responsable des acquisitions en photographie ancienne et contemporaine, il travaille sur la représentation des conflits et du monde combattant par la photographie. Quelle est la place de la photographie dans un musée d histoire? Habitué à étudier et exposer les œuvres et objets à dimension mémorielle et/ou historique avec une grille d analyse spécifique, le musée de l Armée entretient une relation ambiguë avec la photographie. Longtemps considérée comme une simple documentation, la photographie illustrait exclusivement les discours portés dans les salles d exposition du musée aux côtés de la peinture et du dessin qui constituaient l essentiel des ressources iconographiques. À partir des années et la création d expositions autour de la photographie, le regard porté par le musée sur ses propres collections devient patrimonial. Le mouvement consistant à raconter l histoire par la photographie est alors lancé. La rénovation du musée dans les années 2000 et le renouvellement des politiques d acquisitions et d expositions temporaires ont toutefois créé une dichotomie : d un côté, les collections photographiques étudiées et exposées comme des objets photographiques où le tirage physique, son contexte de production et la personnalité de son auteur importent autant que l image véhiculée ; de l autre, des reproductions, pour beaucoup issues de l ECPAD, considérées comme des médiateurs et reléguées au rang de décor dans les salles d expositions permanentes. Quelle grille de lecture a conduit à un tel distinguo? L ECPAD n est-il destiné qu à être un fournisseur d images? Dans la manière dont l histoire est mise en espace au musée de l Armée, quelle est la place de L ECPAD en tant qu acteur majeur dans la représentation des guerres et du fait militaire contemporain? Sa dimension officielle limite-t-elle l usage de ses fonds et disqualifie-t-elle d office sa production en tant qu objet d étude? Quel sont les rôles des historiens et conservateurs dans la façon dont sont considérées et exposées les collections photographiques de l ECPAD et du musée de l Armée au sein de l hôtel des Invalides? 6/12

7 PINOTEAU Pascal Université François Rabelais - Tours «Frapper l ennemi c est bien, frapper l imagination c est mieux : du SCA au SPI, le cinéma des armées en Indochine ( )» Samedi 28/ Ingénieur d études auprès des départements d histoire et d histoire de l art de l Université François Rabelais (Tours), chargé de travaux dirigés auprès du département d histoire, poursuit des recherches sur la représentation cinématographique des conflits de décolonisation, sur les rapports entre militaires et médias, par l analyse des archives de l ECPAD et de la presse filmée. Le théâtre d opération indochinois se révèle un poste d observation privilégié pour mettre en évidence la configuration qui se met en place entre l appareil gouvernemental par l intermédiaire de l institution militaire et les médias. Il fut l occasion d expérimenter l intervention directe de l État dans le système médiatique. De l automne 1949 au printemps 1953, des transformations décisives ont lieu, la représentation cinématographique du conflit change progressivement. Le SCA est-il le bras agissant d une armée convertie aux vertus de la propagande visuelle ou le relais d une politique gouvernementale qui oscille entre propagande, action psychologique et communication politique pour peser sur l opinion publique? L analyse des représentations véhiculée, des circuits de production et de diffusion doit permettre de restituer les conceptions et la part des différents acteurs dans la rupture qui s opère. L analyse croisée de quelques reportages d actualités avec des sujets de la presse filmée qui en sont issus, particulièrement des actualités françaises, appuyée sur le recours aux rapports d opérateur et aux «livres des origines» permettra de restituer la part du SCA et de la presse filmée dans la coproduction d une image officielle du conflit. À partir de cette notion centrale de circulation des images, des exemples de leur réemploi dans des magazines d information à destination des troupes et, surtout, dans des «documentaires d actualités» destinés à l opinion publique métropolitaine caractériseront le discours tenu par les productions du SCA qui témoignent de l irruption de l institution militaire, donc de l État, dans le champ médiatique entre propagande et communication politique. PUGET Clément Université Bordeaux-Montaigne «La voie sacrée : palimpseste et réemploi des images de l armée» Vendredi 27/ Maître de conférences en cinéma et audiovisuel à l université Bordeaux-Montaigne, chercheur associé à l IRCAV Paris 3, responsable du Master professionnel documentaire et valorisation des archives, a publié Verdun au cinéma (éditions Nouveau Monde, 2014). Seront abordés quelques aspects artistiques, esthétiques et historiographiques de plusieurs films relatifs à la bataille de Verdun afin d interroger les films militaires conservés à l ECPAD et réalisés en 1916 sous l égide du SCA comme autant de fragments d une histoire en train de s écrire, et plus encore de la genèse d un événement. S il ne faut guère oublier que les images d actualité n ont jamais été tournées pour être conservées, il est tout de même possible de s interroger sur le «devenir archive» des films militaires produits durant la guerre. Seront ainsi exposés les ressorts d un méta-récit naissant de la bataille de Verdun, contenus dans les films tournés par les opérateurs de l armée française. Dans quelle mesure le cinéma aux armées, pour 1916 et Verdun, produit-il l esquisse d une histoire filmique de l événement? Sera analysée la cohérence d un ensemble de films trop souvent envisagé comme unifié que portera ma contribution. Ainsi se dévoileront certainement les temps forts d une bataille dès l inscription cinématographique «militaire» et alors même que l événement s écrit et prend forme dans la trentaine de films relatifs à Verdun tournés entre mars 1916 et janvier Si, en termes de représentation historique, le cinéma de fiction a longtemps fait écran à la production de 7/12

8 l État/armée jugée incomplète, il semble utile de démontrer que ces images lacunaires sont autant de traces d une histoire de la guerre en train de s écrire en guerre. Et c est sans doute dans ces béances du passé, véritables trous de mémoire, que résident les images motrices des représentations à venir de la bataille de Verdun Partant du postulat que le manque/le vide sont générateurs d un imaginaire en creux, dans quelle mesure la genèse de l événement historique Verdun trouve-t-elle ses fondements dans le cinéma de l armée française, fut-il partiel, partial et incomplet au risque de contredire une vision trop fréquemment téléologique de l histoire des représentations du premier conflit mondial? R RACINE Olivier ECPAD «La musique dans la production cinématographique de l ECPAD, entre illustration sonore et compositions originales» Samedi 28/ Chargé d études documentaires à l ECPAD, responsable de la collecte d archives photographiques et cinématographiques privées et de la bibliothèque de l ECPAD, il contribue à des articles sur les fonds et intervient dans des manifestations cinématographiques. À l évocation du mot «cinématographe», on pense irrésistiblement à l image animée, au scénario, aux acteurs, au décor, aux costumes. Bien souvent, le son, la musique, les bruits, les dialogues ne sont guère mis en avant dans les études en lien avec l histoire du cinéma des armées. Cette contribution ne prétendra bien évidemment pas à l exhaustivité en la matière et se veut comme une première étape vers des études plus approfondies sur les rapports entre image et son dans la production audiovisuelle de l ECPAD. Basée sur une extraction de la base de données de l ECPAD, dont les notices documentaires des productions audiovisuelles comprennent un champ d indexation relatif à la musique, cette intervention tentera de dresser une typologie des musiques rencontrées : musiques originales signées de compositeurs émérites dont certains s avèrent de grands noms de la musique pour l écran (Georges Delerue, Pierre Henry, François de Roubaix), utilisations de musiques préexistantes (Igor Stravinsky, Jean Sibelius, Michel Colombier, Ennio Morricone), créations originales par des personnels de l ECPAD. Dans la production particulière de l ECPAD partagée entre films d instruction, magazines d actualités et films dits d information, comment est considérée et utilisée la musique dans ses rapports avec l image? Quelle est l articulation entre la musique et plus globalement la bande sonore des films militaires? La contribution ne manquera pas non plus d évoquer le filmage de la musique à l écran. Musique de l air, chœur de l armée française, bagad de Lann-Bihoué, autant de formations qui ont fait l objet de captations visuelles et sonores par l ECPAD. ROBIC-DIAZ Delphine Université Montpellier 3 Projections de films ECPAD sur la décolonisation Samedi 28/ Maître de conférences en études cinématographiques à l Université Montpellier 3. Spécialiste du cinéma de guerre, du cinéma colonial et post-colonial, elle a été commissaire de l exposition Indochine, des territoires et des hommes (musée de l Armée, octobre 2013-janvier 2014). Elle est l auteur de la Guerre d Indochine dans le cinéma français : images d un trou de mémoire (préfacé par Pierre Schoendoerffer) publié en janvier 2015 aux Presses universitaires de Rennes. 8/12

9 ROBINET François Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines «Les images militaires des opérations Amaryllis et Turquoise : quelle valeur documentaire pour quelle écriture de l histoire?» Samedi 28/ Maître de conférences en histoire contemporaine à l Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Membre du Centre d histoire culturelle des sociétés contemporaines, il consacre ses recherches à la médiatisation des conflits contemporains, aux processus de construction mémorielle et aux rapports entre histoire et mémoire. Il a publié de nombreux articles consacrés notamment à la médiatisation du génocide des Tutsi au Rwanda. Conduites par l armée française en 1994, les opérations Amaryllis et Turquoise revêtent des enjeux bien spécifiques. Les documents produits par une armée française accusée de formes de manipulation et de désinformation n ont fait l objet que de peu d attention de la part des historiens, sauf lorsqu il s agissait de mettre en cause l institution. Nous voudrions poser ici l hypothèse que l ensemble des matériaux produits par l armée durant ces deux interventions peut se révéler d une richesse inestimable pour l historien du contemporain. L étude des photographies et des films tournées conservés par l ECPAD est d abord susceptible de livrer des informations sur les événements eux-mêmes. Il s agira aussi de questionner les choix opérés par les soldats et officiers chargés de capter ces images. Il s agira bien de considérer ces productions non comme des documents bruts mais comme des constructions qui ont pu être influencées par des facteurs divers à mettre au jour. Seront plus spécifiquement interrogés les convergences et les écarts entre les images produites par l armée et celles qui ont pu être diffusées par les médias français. La portée mémorielle de ces documents ne doit pas être négligée. Du fait de leur nature même, ces documents doivent en effet nécessiter une attention forte de la part des historiens qui s intéressent à l histoire militaire mais aussi à tous ceux qui étudient ces contextes de guerre à l étranger, les processus génocidaires ou encore le rôle de la France en Afrique. Nous montrerons toutefois que cette attention renouvelée doit s accompagner de manière nécessaire d une réflexion individuelle et collective sur les protocoles d analyse à adopter face à des sources partielles, partiales et qui résultent de logiques qui sont loin d être exclusivement de type documentaire. ROCH François-Xavier Table ronde «Le soldat de l image» Samedi 28/ François-Xavier Roch rejoint l ECPA en 1971 : il est nommé reporter en 1973 puis chef des reporters en Après un passage au bureau photographique du SIRPA central entre 1985 et 1989 comme officier chef de mission, il revient en 1989 à l ECPA comme capitaine pour participer à la création de la régie d actualités. Ses missions opérationnelles lui ont valu l attribution de la médaille militaire et de la croix de la valeur militaire avec citation, ainsi que sa nomination au grade de chevalier de l ordre national du mérite. ROFFAT Sébastien «La section d animation de l ECPAD, de 1969 à 1986 : une histoire à écrire» Samedi 28/ Historien, docteur en études cinématographiques, spécialiste du cinéma d animation. Sa thèse s intitule L émergence d une école française du dessin animé sous l Occupation. 9/12

10 Cette communication se propose d interroger l utilisation du cinéma d animation au sein du SCA puis de l ECPAD comme support aux films d instruction : cartes, schémas etc. Ainsi, en 1928, Lucien Motard, artisan indépendant travaille avec Léon Poirier sur Verdun, visions d histoire afin de créer des cartes symboliques de la bataille : les animations informent le spectateur des forces en présence et détaillent les différents mouvements des manœuvres. Cette communication s intéressera plus particulièrement aux films destinés aux armées combattantes. Ces films d enseignement contribuent en effet à la formation rapide des cadres des armes techniques : aviation, char, génie, etc. Il s agira de retracer dans une dimension diachronique l historique du département du cinéma d animation de l ECPAD puis d évoquer la production des médias contemporains par la rencontre des équipes actuelles : aux dessins animés des premiers temps succèdent l animation assistée par ordinateur. La technologie du cinéma d animation a bouleversé la manière de produire et de projeter ces films d instruction. Il s agira sur une longue durée d en dégager les continuités mais aussi les ruptures. En effet, si le cinéma d animation venait plutôt en support de la démonstration dans les premiers temps, il a, de nos jours, envahi la plupart des films en raison de l utilisation accrue des effets visuels. Le cas des films d instruction américains utilisant de l animation a déjà été évoqué dans Animation et propagande : les dessins animés pendant la seconde guerre mondiale (2005) et dans Propagandes animées : le dessin animé politique entre 1933 et 1945 (2010) mais le cas français est demeuré largement méconnu. Cette communication sera l occasion d un premier bilan. ROTH Laurent «Raymond Depardon sous les drapeaux : naissance d un photographe» Samedi 28/ Scénariste, critique, réalisateur, a réalisé, lors de son service national à l ECPA ( ), les Yeux brûlés dont la sortie en salles est prévue en 2015 pour le centenaire de l ECPAD. Son prochain film, Raymond Depardon, naissance d un photographe, est consacré aux photos que Depardon a faites pour la revue TAM durant son service militaire. Il a également coordonné «Humphrey Jennings, un poète en temps de guerre» (rétrospective intégrale, Vue sur les Docs, Marseille, 1999). Raymond Depardon, jeune photographe, s illustre par un reportage sur l expédition SOS Sahara, où une mission scientifique se transforme en opération de sauvetage de trois jeunes appelés du contingent perdus dans le désert Lors de ce premier séjour en Algérie, Raymond Depardon fait la connaissance des reporters militaires du journal Bled 5/5. Il effectue donc son service national au sein du journal TAM, successeur de Bled, de juillet 1962 à décembre À TAM, de jeunes appelés plus âgés que Raymond animent la revue dans un esprit très libre, où le titrage et l illustration se font la part belle dans la tradition des «newsmagazine» : les journalistes Jacques Séguela et Jean-Pierre Le Bihan, les photographes Jacques Doyon et Yves Nouchi, le pianiste Alexis Weissemberg sont là pour apporter leurs talents. Au cours de ses dix-huit mois de service actif, Raymond Depardon va couvrir l ensemble du territoire métropolitain, pour des entraînements ou des manœuvres, pour des sujets d ambiance ou institutionnels. Au total, dans ces 54 reportages, Raymond Depardon fait preuve de talents multiples et, malgré les contraintes de la commande et du photojournalisme, il est indéniable que se dégage ici un regard absolument singulier, qui dépasse les genres convenus. L intérêt du fonds TAM conservé à l ECPAD est triple. C est d abord l un des rares corpus disponibles sur les débuts de Raymond Depardon jeune photographe ( ), avant qu il ne fonde l agence Gamma. C est ensuite un creuset esthétique où Raymond Depardon affirme les constantes de son regard : le frontal, le centré, le vide, la prise de vue à distance, l attention aux temps morts, à la solitude, à l humain dépouillé, à l accidentel. C est enfin une collection exceptionnelle qui témoigne, par la variété de ses sujets, de la naissance d une armée moderne, en route vers la professionnalisation et la sophistication technologique, engagée dans le bond technologique des Trente glorieuses et tournant la page des guerres coloniales. 10/12

11 S SENE Xavier ECPAD Archiviste paléographe et conservateur des bibliothèques, il est actuellement chef du pôle des archives de l ECPAD après avoir été chef de la section de conservation puis chef du service Multimédias au département de l audiovisuel de la Bibliothèque nationale de France. SIGAUD Anne Musée Albert-Kahn «La première guerre mondiale dans les Archives de la planète : des images pour l armée?» Vendredi 27/ Attachée de conservation du patrimoine au musée Albert-Kahn depuis 2005, elle est la responsable de l unité «Expositions, publications, diffusion du fonds iconographique», chargée du projet d étude et de valorisation du corpus «Première guerre mondiale». Anne Sigaud a notamment été commissaire des expositions Clichés japonais et la Mongolie entre deux ères organisées par le musée Albert-Kahn en 2011 et Le banquier Albert Kahn ( ) a consacré sa fortune à la mise en œuvre de diverses fondations à vocation humaniste. Parmi elles, le projet des «Archives de la planète» a consisté à financer, de 1909 à 1931, des missions photographiques et cinématographiques en France et dans une cinquantaine de pays étrangers. La collection, aujourd'hui conservée et valorisée au musée Albert-Kahn par le département des Hauts-de-Seine, rassemble autochromes, photographies stéréoscopiques en noir et blanc et mètres de films. 20 % des Archives de la planète sont consacrés à la première guerre mondiale, corpus notamment représenté par autochromes dont la très grande majorité paraît avoir été réalisée, dès décembre 1914 et jusqu à 1919 au moins, en collaboration avec l armée et l administration du secrétariat d État aux beaux-arts. Le musée coordonne depuis janvier 2014 un programme pluriannuel de recherches, dont l un des axes principaux consiste à étudier les modalités selon lesquelles Kahn et l armée ont coopéré. La communication fera état de l avancement de ces recherches. T CNE TARTIVEL Julien Table ronde «Le soldat de l image» Samedi 28/ Titulaire d un master II en sciences de l information et de la communication à l Université Rennes 2, le CNE Tartivel a servi au 1 er régiment étranger de génie de 2008 à 2013 comme officier communication avant d occuper le poste d officier image à l ECPAD. Il a participé aux opérations Pamir en Afghanistan, Licorne en Côte d Ivoire, Serval au Mali et Sangaris en République centrafricaine, ainsi qu à l exercice bilatéral interarmées «Gulf Falcon 2013» au Qatar. 11/12

12 V VERAY Laurent Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 Projections de films ECPAD sur la première guerre mondiale Vendredi 27/ Professeur à l université Sorbonne nouvelle Paris 3, est historien du cinéma. Il est spécialiste de la période , de l entre-deux-guerres et des écritures audiovisuelles de l histoire. Depuis 2009, il est directeur artistique du festival du film de Compiègne. Il a publié, entre autres, la Grande Guerre au cinéma : de la gloire à la mémoire (Ramsay, 2008) et les Images d archives face à l histoire (Scérén/CNDP, 2011). Il a réalisé plusieurs films ou installations vidéo sur la première guerre mondiale. W WEBER Claude Ecoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan Table ronde «Le soldat de l image» Samedi 28/ Ethnologue de formation, il est actuellement maître de conférences en sociologie aux Écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan et chercheur au sein de son pôle d excellence «Action globale et forces terrestres». Il est également membre du CIAPHS (Centre interdisciplinaire d analyse des processus humains et sociaux) de l université de Rennes 2. Travaillant depuis près de vingt ans sur les thématiques militaires, il a publié de nombreux articles et ouvrages en France et à l étranger. 12/12

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