Épidémiologie des helminthoses des moutons et des chèvres dans la région des savanes du Nord de la Côte d Ivoire

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1 ARTICLE ORIGINAL Épidémiologie des helminthoses des moutons et des chèvres dans la région des savanes du Nord de la Côte d Ivoire Y.L. ACHI, J. ZINSSTAG, N. YÈO, V. DEA et PH. DORCHIES* LANADA, Laboratoire Régional, B.P. 32 Korhogo, Côte d Ivoire Institut Tropical Suisse, Socinstrasse 57 Postfach, CH-4002 Basel, Switzerland Ecole Nationale Vétérinaire, 23, chemin des Capelles, Toulouse cedex * Auteur correspondant. RÉSUMÉ Une étude épidémiologique des helminthoses des moutons et des chèvres a été réalisée dans la région des savanes du nord de la Côte d Ivoire. Cent quarante-quatre moutons ont été autopsiés à raison de six par mois, d août 1994 à juillet 1996 : tous étaient infestés par au moins une espèce de parasite. Trois trématodes (Paramphistomidés, Fasciola gigantica, Dicrocoelium hospes), six espèces de cestodes (Moniezia expansa, Moniezia benedeni, Stilesia sp, Avitellina sp, Cysticercus tenuicollis et Echinococcus granulosus), dix espèces de nématodes ainsi que des protozoaires ont été identifiés. Les nématodes les plus prévalents ont été Trichostrongylus colubriformis (chez 88 % des moutons examinés), Haemonchus spp (66 %), Strongyloides papillosus (63 %), Trichostrongylus axei (62 %), Oesophagostomum columbianum (43 %) et Gaigeria pachyscelis (42 %). Seule la population de T. axei augmente significativement avec l âge des animaux (p < 0.05). Le nombre d œufs excrétés était en corrélation positive avec la pluviométrie se traduisant par un pic d élimination entre juin et octobre au cours de la saison des pluies. En saison sèche, l hypobiose larvaire a été limitée, et une baisse de la fécondité des femelles a été observée. Soixante-douze chèvres ont été autopsiées à raison de six par mois, de janvier à décembre Toutes hébergeaient au moins une des 19 espèces de parasites qui ont été trouvées. La prévalence des nématodes gastro-intestinaux a été : Trichostrongylus colubriformis (chez 96 % des chèvres examinées), Haemonchus spp (82 %), Oesophagostomum columbianum (54 %), Trichostrongylus axei (46 %), Strongyloides papillosus (31 %), Trichuris sp (29 %), Gaigeria pachyscelis (17 %) et Cooperia curticei (10 %). La digestion de la muqueuse abomasale a révélé des larves d Haemonchus spp pendant les mois secs, témoignant d une inhibition larvaire limitée. Les animaux de plus d un an étaient les plus infestés. L intensité des nématodes gastro-intestinaux ainsi que l élimination des œufs ont été maximales en octobre, à la fin de la saison des pluies avec une relation significative pour Haemonchus spp (p < 0,05). Le contrôle des nématodes gastro-intestinaux est discuté sur la base de ces observations. SUMMURY Epidemiology of parasites of sheep and goats from savannah area in Côte d Ivoire. By Y.L. ACHI, J. ZINSSTAG, N. YÈO, V. DEA and PH. DORCHIES. An epidemiological study of parasites of Djallonke sheep was carried out in the northern savannah zone of Côte d Ivoire. From August 1994 to July 1996 a total of 144 post-mortem examinations were carried out. All animals carried at least one parasite species. The spectrum of parasites identified contained three trematodes (Paramphistomatidae, Fasciola gigantica, Dicrocoelium hospes), six species of cestodes (Moniezia expansa, Moniezia benedeni, Stilesia sp, Avitellina sp, Cysticercus tenuicollis and Echinococcus granulosus), ten species of nematodes and protozoans. The highest prevalences of nematodes were found for Trichostrongylus colubriformis (found in 88 % of sheep), Haemonchus spp (66%), Strongyloides papillosus (63 %), Trichostrongylus axei (62 %), Oesophagostomum columbianum (43 % ) and Gaigeria pachyscelis (42 %). Only the burden of T. axei increases significantly with the age of the animals (p < 0.05). Faecal egg counts correlated with seasonal rainfall. There seems to be a limited larval hypobiosis. A number of 72 goats have been necropsied between January and December All of them harbored at least one of the 19 parasites species found mainly eight species of gastrointestinal nematodes : Trichostrongylus colubriformis (present in 96 % of the goats), Haemonchus spp (82 %), Oesophagostomum columbianum (54 %), Trichostrongylus axei (46 %), Strongyloides papillosus (31 %), Trichuris sp (29 %), Gaigeria pachyscelis (17 %) and Cooperia curticei (10 %). During the dry months of the year, fourth stage larvæ of Haemonchus spp were found in the mucosa of the abomasum. This indicated the low level of hypobiosis during this period of the year. Goats more than one year old carried the higher burdens. There were seasonal variations and a peak was observed during October at the end of the rainy season. At the same time, the epg numbers were increased and correlated with the Haemonchus spp burdens (p < 0,05). A prophylactic scheme is discussed. MOTS-CLÉS : Mouton - Chèvre - helminthes - Côte d Ivoire - Trichostrongylus colubriformis - Haemonchus spp - Oesophagostomum columbianum - Trichostrongylus axei - Strongyloides papillosus -Trichuris sp - Gaigeria pachyscelis - Cooperia curticei -Fasciola gigantica - Dicrocoelium hospes - Moniezia expansa - Moniezia benedeni - Stilesia sp - Avitellina sp - Cysticercus tenuicollis - Echinococcus granulosus - Paramphistomidés. KEY-WORDS : Sheep - Goat - helminths - Côte d Ivoire - Trichostrongylus colubriformis - Haemonchus spp - Oesophagostomum columbianum - Trichostrongylus axei - Strongyloides papillosus - Trichuris sp - Gaigeria pachyscelis - Cooperia curticei - Fasciola gigantica - Dicrocoelium hospes - Moniezia expansa - Moniezia benedeni - Stilesia sp - Avitellina sp - Cysticercus tenuicollis - Echinococcus granulosus - Paramphistomids.

2 180 ACHI (Y.L.) ET COLLABORATEURS Introduction La Côte d Ivoire doit améliorer ses productions animales pour diminuer sa dépendance et ses importations. Actuellement, 59 % de ses besoins en viande et abats et 12 % pour les produits laitiers sont couverts. D après le rapport 2001 du service d inspection de la direction départementale du ministère de l agriculture et des ressources animales de Korhogo, les petits ruminants représentent 60 % des animaux de boucherie (16 % de moutons et 84 % de chèvres), contre 35 % pour les bovins et 5 % pour les porcs. Ces chiffres rejoignent l observation de MATTHEWMAN [31] selon laquelle là où la pression de la population humaine est forte, le mouton et la chèvre jouent un rôle croissant dans l approvisionnement en viande. Les propriétaires de chèvres, qui sont aussi cultivateurs, ne s intéressent à elles que pendant la période des cultures, soit en les attachant toute la journée à un arbre, soit en les vendant afin d éviter des dégâts aux cultures. Soixante cinq pour cent des chèvres mettent bas deux fois par an et 59 % des gestations sont gémellaires [38]. Avec cette bonne prolificité, un accent particulier devrait être mis sur cet élevage. L accroissement des ventes contribuerait à augmenter les revenus des propriétaires. Le suivi sanitaire ne consiste dans la majorité des cas, qu en la vaccination contre la peste des petits ruminants. Dans quelques élevages cependant, les chèvres font l objet de déparasitage interne et reçoivent des soins en cas de maladie. Les ruminants sont élevés selon un système extensif et partagent les mêmes pâturages. Des études menées en Côte d Ivoire de 1994 à 1996 montrent que le parasitisme gastro-intestinal est important chez les moutons [29], mais aucune information n est disponible pour les chèvres. Contrairement à d autres pays de la sous région comme le Nigéria [9, 14, 17, 18, 20, 35, 37], le Togo [11], le Sénégal [34], la Gambie [21], le Burkina Faso [39] et le Mali [40]. Les infestations parasitaires sont une grande contrainte mal appréhendée par beaucoup d éleveurs de moutons. Malgré le programme de déparasitage interne (5 interventions par an) préconisé par l ex-sodepra (Société de Développement des Productions Animales) pour le Nord de la Côte d Ivoire, avec des médicaments subventionnés à presque 100 %, la moitié des mortalités des agneaux est encore imputable aux parasites gastro-intestinaux. Les traitements anthelminthiques ont un effet bénéfique sur les productions animales [2, 13, 16, 27, 32, 43] ; cependant, pour en optimiser les effets il faudrait déterminer les meilleures périodes d utilisation et la connaissance préalable des données épidémiologiques dans la région d élevage est indispensable [44]. En Afrique occidentale, des travaux sur l épidémiologie des helminthes gastro-intestinaux du mouton ont été faits au Burkina Faso [8, 39], en Gambie [21], au Ghana [6], au Mali [40], au Nigeria [18], au Sénégal [34, 42], en Sierra Leone [4, 5], au Togo [11]. En Côte d Ivoire, une seule enquête a déjà été réalisée dans la zone forestière sud [29]. Dans la région nord des savanes, où sont élevés ovins sur les têtes que compte le cheptel national, ainsi que de nombreuses chèvres non recensées, aucune étude de la dynamique des infestations n a été faite sur résultats d autopsies. L objectif de ce travail était donc de combler les lacunes par rapport au Sud de la Côte d Ivoire et à d autres pays de l Afrique de l Ouest, en recherchant l évolution saisonnière des helminthes gastro-intestinaux des moutons et des chèvres. A terme, un calendrier de traitement adapté à la région pourrait être établi pour optimiser les interventions et augmenter la production. Matériels et méthodes A) ZONE D ÉTUDE La région des savanes de la Côte d Ivoire est située entre le neuvième et le dixième degré de latitude Nord, elle rassemble les départements de Korhogo, Ferkessédougou, Boundiali et Tengrela. Le relief est constitué d un plateau faiblement ondulé. La végétation va de la savane herbeuse à la savane boisée et jusqu à la forêt claire, toutes avec un couvert herbacé majoritaire en graminées [23]. Le climat, de type soudano-guinéen, comporte une saison sèche de novembre à miavril et une saison pluvieuse de mai à octobre. Durant la période de l étude, les moyennes mensuelles des précipitations, températures et humidité relatives ont été relevées auprès de l Agence Nationale des Aérodromes et de la Météorologie (ANAM). La pluviométrie annuelle varie de 1100 à 1400 mm avec un maximum en août. Les températures sont environ de 17 C en janvier et jusqu à 36 C en mars. Les extrêmes de l humidité relative ont été 26 % en janvier et 80 % en septembre. Les moyennes mensuelles sont récapitulées aux figures 1a et 1b. B) ANIMAUX 1) Moutons L enquête a été menée pendant deux ans, d août 1994 à juillet 1996, sur la race Djallonké, naturellement tolérante à la trypanosomose. Cette race, élevée selon le mode traditionnel extensif, est majoritaire dans la région. Les animaux ont été achetés dans les villages (95 %) ou au marché de Korhogo (5 %). Le choix a été fait sans tenir compte de leur état général, mais en fonction de l âge et de la date du dernier traitement antiparasitaire interne. Les agneaux de moins de 6 mois et ceux qui avaient reçu un vermifuge depuis moins de 6 mois n ont pas été retenus. A raison de 6 autopsies par mois, le travail a porté sur un total de 144 sujets (63 mâles et 81 femelles dont 30 gestantes) répartis également selon trois tranches d âge (moins d un an, de un à deux ans et plus de deux ans). 2) Chèvres De janvier à décembre 1998, six chèvres de race naine de Guinée ont été étudiées chaque mois. Achetées au marché, elles provenaient des villages de la proche région de Korhogo. Les mêmes critères de sélection que pour les ovins ont été retenus. Au total, 72 animaux ont été examinés (30 mâles et de 42 femelles dont 10 gestantes) : 24 avaient moins d un an, 23 un à deux ans et 25 avaient plus de 2 ans.

3 EPIDEMIOLOGIE DES HELMINTHOSES DES MOUTONS ET DES CHEVRES DU NORD DE LA COTE-D IVOIRE 181 C) EXAMEN ANTE MORTEM Chaque animal a fait l objet d un examen clinique avant l abattage. L âge, le sexe, l origine, l état général, la température corporelle et la présence d ectoparasites ont été relevés. Des prélèvements de fèces ont été effectués. Les analyses coproscopiques ont été faites selon la technique de McMaster modifiée [10], dans une solution saturée de chlorure de sodium (d = 1,20) pour les œufs de strongles. La recherche des œufs de trématodes a été faite par sédimentation à l eau de robinet. Les trypanosomes ont été recherchés selon la méthode de MURRAY et col. [33], les autres hémoparasites ont été mis en évidence sur étalements de sang fixés au méthanol et colorés au Giemsa. D) EXAMEN POST MORTEM Immédiatement après éviscération, le tractus digestif a été séparé par des doubles ligatures en 4 portions : le rumen, la caillette, l intestin grêle et le gros intestin (caecum et colon ascendant). Chacune a été ouverte longitudinalement (la caillette selon la grande courbure). Le rumen a été vidé, rincé puis examiné. Le contenu des autres parties a été lavé sur un tamis à mailles de 200 microns. Le filtrat a été ensuite repris dans 3 litres d eau. Après un mélange homogène, une aliquote de 200 ml a été prélevée dans laquelle les parasites ont été récoltés sous loupe binoculaire. Ils ont été ensuite identifiés au microscope, selon les critères de BARTH [7] puis comptés. Les cestodes de l intestin grêle ont été conservés dans l alcool à 70 % en vue de leur identification ultérieure. La moitié des muqueuses abomasales et cæcales ont été grattées, pesées puis digérées dans le triple de leur volume d une solution pepsique [10 g de pepsine (1200 UI/g) g de NaCl + 16 ml de HCl (37 p.100) ml d eau distillée], pendant 12 heures à 37 C [24]. Les digestats ont été ensuite lavés à l eau physiologique deux fois à une heure d intervalle. Le culot a été observé à la loupe binoculaire pour la recherche de larves. Les nodules de l intestin grêle, du caecum et du colon ont été comptés. La carcasse, le poumon, le cœur, le foie, la rate, le mésentère et le crâne (ouvert dans le sens de la longueur), ont été inspectés minutieusement pour la recherche d éventuels parasites. La confirmation de l identification de toutes les espèces rencontrées a été faite par l Institut International de Parasitologie, CAB de Saint Albans au Royaume-Uni. E) ANALYSES STATISTIQUES Le programme EPI-INFO (version 5.0, avril 1990) a servi à l élaboration du questionnaire, à la saisie des données et à une partie de l analyse. Des comparaisons statistiques ont été faites à l aide du test de Wilcoxon. Les corrélations multiples entre les espèces ont été calculées par SAS (proc corr) en utilisant des coefficients de Pearson. La relation entre l hématocrite et les espèces parasitaires a été effectuée par des analyses de covariances selon le modèle linéaire général (SAS Proc glm). L analyse des intensités parasitaires a été faite par le test de Kruskal-Wallis (SAS proc npar1-way). Résultats A) MOUTONS 1) Bilans parasitaires Les 144 moutons examinés étaient tous parasités par au moins une espèce d helminthe, de protozoaire ou d arthropode et pour 94 % d entre eux par au moins deux espèces (tableau I). Les examens coproscopiques ont révélé en moyenne par g de fèces, 1471 œufs de strongles (83 % des animaux étaient positifs), 59 de Strongyloides (22 % de positifs) et 644 oocystes de coccidies (64 % de positifs) (tableau II). Quatre-vingt dix huit pour cent des animaux hébergeaient des helminthes du tube digestif : dix espèces de nématodes, quatre cestodes et un trématode ont été identifiées (tableau I). Des Paramphistomidés ont été observés dans 37 % des rumens examinés. L intensité moyenne des nématodes a été de 2717 vers par animal. Les plus prévalents étaient Trichostrongylus colubriformis ( en moyenne 1779 vers avec plus de 1000 chez 63 % des porteurs), Haemonchus spp (en moyenne 359 vers constituant 66 % de la population parasitaire de la caillette). Les languettes supravulvaires des Haemonchus spp étaient de trois types : linguiforme (38 %), bouton (36 %) et lisse (26 %). L association Trichostrongylus-Haemonchus était présente chez 61 % des sujets examinés. Trois espèces de Cooperia et quatre de cestodes dont 56 % du genre Avitellina étaient présentes dans l intestin grêle. Strongyloides papillosus, Trichostrongylus axei, Oesophagostomum columbianum et Gaigeria pachyscelis ont aussi été identifiés en petit nombre. L inspection de la carcasse, des autres viscères et du crâne a permis de mettre en évidence par ordre d importance décroissante : Œstrus ovis ( chez 68 % des sujets examinés), Cysticercus tenuicollis (39 %), Fasciola gigantica (12 %), Dicrocoelium hospes (7 %) et Echinococcus granulosus chez deux sujets. Des tiques, des puces et des acariens de la gâle ont été trouvés. (tableau I). Parmi les tiques recueillies, 84 % étaient des Amblyomma, 3 % des Rhipicephalus, 5 % des Hyalomma et 8 % des Boophilus. Les seuls hémoparasites ont été Trypanosoma vivax et Trypanosoma congolense avec des prévalences très faibles (un porteur de chacun). La valeur moyenne de l hématocrite était de 24,6 % (extrêmes 10 à 38 %). 2) Evolution saisonnière (figures 1, 2 et 3) Quatre-vingts pour cent des moutons pendant la saison des pluies et 55 % en saison sèche étaient infestés par Haemonchus spp. Les intensités parasitaires mensuelles les plus basses, ont été dénombrées en décembre et en janvier, dans la première moitié de la saison sèche, avec moins de 40 vers (figure 2). L intensité parasitaire augmente ensuite régulièrement en relation avec l importance des pluies. Elle atteint un maximum en septembre avec 1400 vers par animal pour décroître ensuite. Des larves 4 (L 4 ) d Haemonchus spp ont été retrouvées presque toute l année (sauf en décembre et janvier) dans la lumière de la caillette et épisodiquement dans la muqueuse abomasale (en avril et en juillet).

4 182 ACHI (Y.L.) ET COLLABORATEURS TABLEAU I. Inventaire, prévalences et intensités parasitaires chez les moutons et les chèvres de la région nord de la Côte d Ivoire. TABLEAU II. Résultats des examens coproscopiques en œufs par gramme de matières fécales Trichostrongylus colubriformis représente 83 % des parasites intestinaux, l intensité maximale a été constatée en novembre au début de la saison sèche (4111 vers par mouton) et le minimum en juin au début des grandes pluies avec 436 vers soit dix fois moins. Globalement, l intensité parasitaire diminue régulièrement pendant la saison sèche puis augmente au cours de la saison des pluies avec, cependant, des oscillations imprévisibles (figure 3). La charge parasitaire du gros intestin a été beaucoup plus faible. Oesophagostomum columbianum représentait 78 % des vers de cette portion digestive sans variation saisonnière prononcée. Les intensités mensuelles les plus élevées ont été constatées en juillet et en décembre / janvier. Les nodules du colon et du caecum étaient plus nombreux pendant la saison sèche. Quatre-vingt trois pour cent des coproscopies révélaient des œufs de strongles : les moyennes mensuelles ont été plus

5 EPIDEMIOLOGIE DES HELMINTHOSES DES MOUTONS ET DES CHEVRES DU NORD DE LA COTE-D IVOIRE 183 FIGURE 1a. Relations entre la pluviométrie (en mm), l intensité parasitaire des nématodes (en nombre moyen par animal) et la coproscopie (en nombre moyen d œufs de strongles par gramme de matières fécales) pour les moutons. FIGURE 1b. Relations entre la pluviométrie (en mm), l intensité parasitaire des nématodes (en nombre moyen par animal) et la coproscopie (en nombre moyen d œufs de strongles par gramme de matières fécales) pour les chèvres.

6 184 ACHI (Y.L.) ET COLLABORATEURS FIGURE 2. Intensités parasitaires d Haemonchus spp chez le mouton et la chèvre. FIGURE 3. Intensités parasitaires de Trichostrongylus colubriformis chez le mouton et la chèvre.

7 EPIDEMIOLOGIE DES HELMINTHOSES DES MOUTONS ET DES CHEVRES DU NORD DE LA COTE-D IVOIRE 185 élevées en septembre, octobre et novembre. Ces pics ont été suivis d une décroissance rapide jusqu en mars pour remonter ensuite pendant la saison des pluies (figure 1a). La population moyenne, tous nématodes confondus, est en relation statistiquement significative avec le nombre d œufs présents dans les matières fécales (p < 0,05). Elle augmente en même temps que l élimination des œufs pendant la saison des pluies mais elle chute plus rapidement. Au cours de la saison sèche, les coproscopies restent basses bien qu il y ait de grandes variations du nombre de parasites présents. Les béliers ont été plus excréteurs que les brebis (p < 0,05) (données non rapportées). Les populations moyennes de T. axei, T. colubriformis et G. pachyscelis ont augmenté avec l âge, l augmentation n a été significative que pour T. axei (p < 0,05). Le nombre de S. papillosus diminue avec l âge tandis que les sujets de 1 à 2 ans sont les plus parasités par H. contortus et O. columbianum mais cela n est pas statistiquement significatif (données non rapportées). Pour Haemonchus spp et T. globulosa, les relations entre l intensité du parasitisme, le sexe et l état de gestation ont été significatives. La charge en Haemonchus spp a été deux fois et demie plus élevée chez les mâles que chez les femelles (p < 0,05). Les brebis gestantes hébergeaient plus de parasites que les non-gestantes (p < 0,05). Les béliers ont été quatre fois plus parasités par T. globulosa que les brebis (p < 0,05) et les non-gestantes plus que les gestantes (p < 0,05) (données non rapportées). Une analyse de covariance a montré une relation entre la diminution de l hématocrite et la présence des différentes espèces de strongles hématophages : Haemonchus spp, G. pachyscelis et O. columbianum. B) CHÈVRES 1) Bilans parasitaires Les 72 chèvres hébergeaient toutes au moins une des 19 espèces rencontrées (8 nématodes, 3 trématodes, 3 cestodes, 4 arthropodes et un protozoaire, tableau I). Le tableau II montre que 97 % des examens coproscopiques étaient positifs pour les strongles (moyenne 809 œufs par gramme, avec un maximum de 16000, 87 % des dénombrements étaient à moins de 1000), 39 % étaient positifs pour Strongyloides avec une moyenne de 86 œufs par gramme et 14 % pour les trichures avec une moyenne de 20 œufs par gramme. Des œufs de cestodes ont été observés chez 17 % des animaux. La prévalence des oocystes de coccidies a été de 71 % avec une moyenne d excrétion de 378 et un maximum de 3000 par gramme. L intensité de l ensemble des nématodes gastro-intestinaux a varié de 15 à avec une moyenne de 1538 vers par animal. 56 % des animaux avaient entre 15 et 1000 parasites, 24 % entre 1000 et 2000, 14 % entre 3000 et 5000 et 7 % en avaient plus de Les espèces les plus prévalentes étaient par ordre décroissant : Trichostrongylus colubriformis (96 % des sujets avec en moyenne 966 vers par animal examiné), Haemonchus spp (82 % avec 439 vers), et Oesophagostomum columbianum (54 % avec 28 vers). L intensité parasitaire abomasale a varié jusqu à 7140 nématodes : 11 % des animaux n hébergeaient aucun parasite, 79 % avaient des intensités inférieures à 1000 vers, 7 % entre 1000 et 3000 et 3 % plus de Haemonchus spp représentait 90 % de la population de la caillette. Les languettes supravulvaires des Haemonchus spp étaient de trois types : linguiforme (33 %), bouton (36 %) et lisse (31 %). L association Trichostrongylus-Haemonchus spp était présente chez 78 % des sujets. Pour l intestin grêle, la population de nématodes était comprise entre 15 et La proportion d animaux négatifs était de 4 %, 63 % hébergeaient moins de vers et 22 % entre 1000 et Dans le gros intestin, Oesophagostomum columbiamum était prédominant : plus de 68 % des animaux présentaient des nodules. Dans le foie, Fasciola gigantica n a été trouvé que chez une chèvre et Dicroceolium hospes chez deux. Sur les étalements sanguins, seul Theileria sp a été mis en évidence chez deux chèvres. L hématocrite oscillait entre 10 et 40 % avec une moyenne de 26,32 %, les valeurs les plus élevées ont été mesurées chez les animaux de 1 à 2 ans. Une variation saisonnière a été observée : la valeur minimale était mesurée en octobre et la valeur maximale en juin. L analyse statistique révèle qu aucun parasite gastro-intestinal n a eu d effet négatif sur l hématocrite. Enfin, 39 % des chèvres étaient infestées par des tiques, 6 % par la gale et une avait des puces. Parmi les tiques récoltées, 93 % étaient des Amblyomma, 11 % des Rhipicephalus et 4 % des Hyalomma. Des larves d Œstrus ovis ont été constatées chez 38 % des sujets examinés. 2) Evolution saisonnière Globalement, les cinétiques d intensités parasitaires sont très comparables à ce qui a été observé chez le mouton. Pour Haemonchus spp (figure 2), la population reste faible pendant toute la saison sèche : l intensité ne dépasse jamais 200 vers environ. A partir du début de la saison des pluies en mai, la population augmente régulièrement pour atteindre son maximum en octobre (2105 vers). La digestion de la muqueuse abomasale a révélé des larves d Haemonchus spp en février, en avril, en novembre et en décembre. Elles ont été retrouvées aussi dans la lumière abomasale de 11 animaux en avril, en mai, en août, en septembre et en octobre. Pour Trichostrongylus colubriformis (figure 3) la cinétique est beaucoup moins nette : de grandes variations d intensité sont constatées en saison sèche (de 323 à 1878 vers en moyenne par animal). Pendant la saison des pluies, en revanche, la population augmente assez régulièrement jusqu à un maximum en septembre où l on compte 1360 vers par chèvre. Pour Oesophagostomum columbianum, des pics ont été observés en mai et en octobre. L excrétion moyenne des œufs et des ookystes au cours de l année a varié d une manière significative (p < 0,05) pour les

8 186 ACHI (Y.L.) ET COLLABORATEURS strongles, les Strongyloides et les coccidies. L intensité d Haemonchus spp est significativement reliée au résultat moyen de la coproscopie (p < 0,05). L évolution mensuelle des œufs de nématodes a montré trois pics dont un principal en octobre. Une très forte baisse a été observée de novembre à février (figure 1b). Les sujets de 1 à 2 ans excrétaient plus d œufs de strongles et les chevreaux ont plus d oocystes que les adultes. Discussion Cette étude présente pour la première fois l inventaire des parasites ainsi que l évolution saisonnière des nématodes gastro-intestinaux des moutons et des chèvres dans la région des savanes de la Côte d Ivoire. Tous les animaux autopsiés étaient parasités quel que soit leur âge. Les helminthes gastro-intestinaux identifiés étaient similaires à ceux déjà signalés en Afrique de l Ouest chez les moutons [4, 5, 6, 11, 17, 18, 21, 29, 34, 39, 41] et les chèvres [11, 21, 36, 37, 39]. Pour ces dernières, d autres espèces ont été rencontrées au Nigéria : Skrjabinema sp, Nematodirus sp, Capillaria sp [36] et Bunostomum trigonocephalum [18], au Burkina Faso, Trichostrongylus capricola et Oxyuris ovis [39] et au Ghana Ostertagia circumcinta et Chabertia ovina [6]. Schistosoma bovis et Trichuris ovis n ont pas été isolés. L infestation par les trématodes a été faible comparativement au Nigéria [39] L absence totale de schistosomes chez les moutons et les chèvres au cours de notre étude a été aussi constatée par d autres auteurs [21, 29, 35]. Les fluctuations saisonnières de l intensité d élimination des œufs de strongles ont été souvent utilisées comme indicateur du nombre de parasites adultes présents [12]. Dans notre étude, des corrélations entre les résultats des coproscopies et le nombre d adultes de certaines espèces de strongles d une part et la pluviométrie d autre part ont été constatées. Ainsi, chez la chèvre, la coproscopie reste basse pendant toute la saison sèche car, lors de l étude, cette période n a reçu aucune pluie. En revanche, pour les ovins, au moment de l enquête, la saison sèche a été relativement «mouillée», ce qui a pu favoriser l éclosion des larves infestantes puisque les conditions optimales pour leur évolution sont réunies : la température est élevée et la pluviométrie supérieure à 50 mm [30]. L observation de L4 d Haemonchus spp peu nombreuses dans la muqueuse abomasale pendant la saison sèche, laisse supposer une très faible hypobiose dans la région étudiée. Ceci serait lié probablement aux conditions climatiques semi-sèches et qui n ont pas été assez sévères pour l induire, l hypobiose étant une adaptation de nématodes à un environnement climatique défavorable au développement des larves infestantes [3]. Pendant la saison sèche, les conditions optimales de température et de pluviométrie n ont pas été remplies en même temps : la saison sèche proprement dite va de novembre à février où la pluviométrie est en deçà de 50 mm. Pendant notre étude, seul le mois de janvier a été véritablement sec sans pluie. La température la plus basse a été de 17 C en janvier et la plus forte en mars a été de 36 C. Nos résultats sont comparables à ceux du sud de la Côte d Ivoire [29] et d autres pays où l hypobiose n a pas été signalée : Ghana [1], Egypte [15] et Nigéria [19]. Elle existe dans les régions plus sèches [19, 34, 39], la relation inverse entre la pluviométrie et l hypobiose n est pas toujours mise en évidence ainsi que le montrent les travaux d ASANJI en Sierra Leone [5] et de BONFOH et coll. au Togo [11]. La présence de larves de Teladorsagia circumcincta et Marshallagia marshalli dans la lumière abomasale a été observée en Syrie mais le climat est très différent [22]. La persistance d adultes sans hypobiose larvaire notable serait donc la stratégie de survie adoptée pour passer la saison sèche. Elle a été constatée en Mauritanie par JACQUIET et coll. [28]. Les autres espèces de nématodes, Trichostrongylus colubriformis, Trichostrongylus axei, Gaigeria pachyscelis et Oesophagostomum columbianum, ont aussi survécu pendant la saison sèche sous forme d adultes. Mais, comme pour protéger les générations futures contre les effets néfastes de la sécheresse, ces adultes ont été peu féconds. Ce qui se traduit par la baisse de la ponte et correspond aux résultats obtenus en Gambie [21]. Dans beaucoup de pays africains, T. colubriformis est très fréquent dans l intestin grêle et Œ. columbianum dans le cæcum : ces parasites ont une importance qu il ne faut pas sous-estimer. Comme en Gambie [21], nous avons observé un pic d infestation par T. colubriformis durant la saison sèche, à un moment où les écarts thermiques sont les plus forts, ce qui pourrait favoriser ce nématode adapté aux températures comprises entre 6 et 20 C [30]. A côté de ces parasites majeurs, les autres vers sont moins nombreux mais ne doivent, cependant, pas être mésestimés. Le bilan global de l étude confirme les observations générales sur l épidémiologie des strongyloses, à savoir que les populations vermineuses augmentent en saison humide et diminuent en saison sèche. L intensité parasitaire croît avec l âge, contrairement à ce qui est observé dans les pays tempérés chez les moutons : les sujets acquièrent une immunité à la suite des infestations répétées qui se traduit par une limitation notable de la population de vers installés et du niveau d élimination des œufs. Ce n est pas le cas pour la chèvre où la charge parasitaire augmente avec l âge, au contraire de ce qui a été signalé au Nigéria [36]. Cette absence apparente d immunité acquise doit s accompagner d un protocole de prévention adapté. Le plan de l ex SODEPRA est globalement satisfaisant pour le mouton avec une vermifugation tous les deux à trois mois. Le rythme des traitements peut être diminué en saison sèche si celle-ci ne reçoit absolument aucune pluie. Pour la chèvre, les administrations médicamenteuses pourraient être limitées à la seule saison des pluies durant laquelle l intensité parasitaire augmente. Un traitement en début, en cours et en fin de saison des pluies devrait être satisfaisant. Au cours de la saison sèche, les chèvres consomment des aliments plus ligneux, riches en tanins, dont on connaît les effets anthelminthiques naturels [26], ce qui contribue vraisemblablement à une limitation de la population parasitaire par rapport au mouton. L œstrose mériterait aussi une attention particulière car elle représente la deuxième infestation en prévalence juste après T. colubriformis chez le mouton. L infestation par les tiques

9 EPIDEMIOLOGIE DES HELMINTHOSES DES MOUTONS ET DES CHEVRES DU NORD DE LA COTE-D IVOIRE 187 ne devrait pas non plus être négligée car le contrôle simultané des tiques et des helminthes a une influence bénéfique sur la productivité des petits ruminants [32]. Enfin cette étude a montré que toute baisse de l hématocrite n est pas imputable aux seuls hémoparasites car trois parasites gastro-intestinaux ont eu une influence négative sur l hématocrite. Conclusion Les moutons et les chèvres élevés dans la région des savanes de la Côte d Ivoire souffrent d un polyparasitisme permanent dominé par T. colubriformis et Haemonchus spp auxquels il faut ajouter O. columbianum. Ces trois strongles sont reconnus [16, 25] comme jouant un rôle dans les pertes des productions. Les populations parasitaires et les éliminations d œufs ont présenté différents pics au cours de l année. Ce qui confirme l intérêt des traitements répétés. Un programme de traitement stratégique devrait être mis en place en tenant compte de toutes les observations sur les parasites dominants, leurs relations avec l âge, le sexe, l état sanitaire des animaux cibles et la persistance des parasites adultes pendant la saison sèche. Ces traitements devraient donc, non seulement éliminer les pics parasitaires mais aussi interrompre le cycle de l infestation parasitaire pendant la saison sèche. Remerciements Cette étude a été financée par l Académie suisse des sciences naturelles à laquelle nous adressons nos sincères remerciements. Nous remercions aussi le Centre suisse de Recherches Scientifiques en Côte d Ivoire (C.S.R.S. CI) qui a permis ce travail. Les auteurs remercient la Direction du LA.N.A.D.A. pour avoir accepté la réalisation de l étude. Bibliographie 1. AGYEI A.D., DEBRA S. et PROBERT A.J. : Periparturient rise in faecal nematode egg counts in West African Dwarf sheep in Southern Ghana in the absence of arrested strongyle larvae. 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