Thème 3 l Union européenne : dynamique de développement des territoires
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- Émile Simoneau
- il y a 6 ans
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1 Thème 3 l Union européenne : dynamique de développement des territoires Chapitre 2 : Les territoires ultramarins de l UE et leur développement Introduction Six États de l UE dispose de territoires ultramarins : la France, l Espagne, le Portugal, le Danemark, les Pays Bas et le Royaume Uni. Ils sont situés sur tous les océans de la planète : par conséquent, des territoires de l Union européenne sont donc situés ailleurs qu en Europe. Mais ces territoires n ont pas tous le même statut. Huit d entre eux sont des «régions ultrapériphériques» ou RUP 1 (territoires qui appartiennent à l UE bien qu ils soient en dehors du continent européen) alors que vingt six autres sont des «pays et territoires d outre mer» ou PTOM (dépendances et territoires d outre mer appartenant à des États membres de l Union européenne mais ne faisant toutefois pas partie intégrante de l UE). Ces territoires souffrent de certains handicaps : insularité pour la quasi totalité d entre eux, éloignement par rapport à leur métropole et à l UE, démographie souvent galopante, économie peu active et dépendante, exposition à des aléas naturels... Ainsi, leur métropole, mais aussi l UE, soutiennent leur développement en leur versant des aides financières. Problématique : Pourquoi les territoires ultramarins des Etats membres de l Union européenne ont ils besoin du soutien de leur métropole et de l Union pour se développer? I Étude de cas : La Guadeloupe, une RUP face aux enjeux du développement, entre UE et aire régionale. La Guadeloupe, archipel français des petites Antilles, situé à 6800 km de l hexagone, est un DROM et une RUP. Malgré des contraintes liées entre autre à l insularité et des difficultés économiques, la Guadeloupe connaît une relative prospérité. Problématique : Comment se manifeste le caractère ultramarin de ce territoire et quels liens entretient il avec la France, l Union européenne et l espace Caraïbe? Corpus documentaire Entraînement à l analyse de deux documents en géographie. A. Quel développement pour ce territoire insulaire ultramarin? Réponses aux questions : 1. L éloignement et la dépendance vis à vis de la métropole sont des contraintes majeures. Mais la tropicalité est un atout pour le tourisme et pour l agriculture, même si celle ci connait un recul sensible. 2. L économie guadeloupéenne est dépendante du fait d échanges très déséquilibrés, les exportations ne couvrant que 10 % environ des importations. Cette dépendance s exerce surtout vis à vis de la métropole qui assure plus de 50 % des échanges, et fournit également l immense majorité des touristes. 1 Les régions ultrapériphériques sont : Les Açores qui constituent une région autonome portugaise ; Les Îles Canaries qui constituent une communauté autonome espagnole ; La Guadeloupe qui est un département d'outre mer français ; Saint Martin qui est collectivité d'outre mer française ; La Guyane qui est un département d'outre mer français ; Madère qui est une région autonome portugaise ; La Martinique qui est un département d'outre mer français ; La Réunion qui est un département d'outre mer français Mayotte Page 1 sur 5
2 3. Du fait d une situation économique difficile, le chômage très important et les problèmes de pauvreté sont forts. Les aides sociales (aide alimentaire, prestations diverses ) sont donc nombreuses dans ce DROM. 4. L agglomération de Pointe à Pitre concentre le principal port (port de Jarry) et l aéroport international. Elle regroupe donc les principales activités tertiaires et industrielles de l ile ; cela se traduit par une véritable macrocéphalie urbaine, un étalement urbain difficile à maitriser et de multiples nuisances. B. Un territoire plus tourné vers la métropole et l UE que vers la Caraïbe 1. La Guadeloupe, avec un IDH très élevé, fait partie des zones les plus développées de l espace caraïbe. Son PIB est toutefois moindre que celui de la plupart des pays de l Union européenne. La Guadeloupe entretient des liens privilégiés avec la Martinique et la Guyane, autres DROM de la région et, pour les importations, avec l ensemble des pays du CARICOM. 2. La dépendance de la Guadeloupe est visible dans le déséquilibre de ses échanges commerciaux (les exportations ne recouvrent qu environ 10 % de ses importations). Surtout, plus de 50 % de ses échanges se font avec la métropole, et plus de 10 % avec l Union européenne. Par ailleurs, métropole et UE accordent de nombreuses subventions (FEDER, FSE ). 3. La volonté de renforcer les liens avec l espace caraïbe est visible dans les deux documents : ouverture d un terminal régional à l aéroport, développement d un programme Interreg, finance par l UE mais aussi par d autres acteurs comme l Etat ou les autres DROM et COM (Guyane, Saint Martin ). Page 2 sur 5
3 Synthèse : Française depuis le XVII e, la Guadeloupe est une région d outre mer et une RUP de l UE qui doit faire face à d énormes contraintes de développement et renforcer son ancrage régional : Un milieu naturel vulnérable : aléas naturels et forte anthropisation ex aménagements touristiques avec marinas, épis, ex dégradation des coraux d où un PPR et la création d un parc naturel national en une forte dépendance : même si la Guadeloupe, territoire ultramarin français des Petites Antilles, est «un îlot de prospérité» au cœur des Caraïbes, elle n en reste pas moins très dépendante d un petit nombre d activités (faiblesse structurelle du système productif ) ex : poids de l agriculture tropicale représentative des anciennes îles à sucre (économie de plantation fondée sur les cultures d exportation ex banane des Antilles ou vanille de La Réunion), ex tourisme et de la métropole avec laquelle elle a des liens de type colonial (ex cultures d export et import de biens manufacturés, ex clientèle touristique d origine nationale dc trop peu diversifiée et présente des indicateurs socio économiques très inférieurs aux standards européens (quasi absence d industries, chômage important auprès des jeunes surtout, pauvreté et précarité d où une instabilité sociale et un fort ressentiment parfois/ Métropole (grèves, émeutes / vie chère et les risques sanitaires liés à l emploi des pesticides, accueil des touristes peu chaleureux, insécurité et violence ) + des revendications identitaires (grève en 2009 qui dénonce la «Pwofitasyon» (c est à dire «profit + exploitation» en créole) peu favorables à son attractivité // en Martinique). des aides nationales et européennes substantielles en tant que RUP de l UE (DROM donc collectivité territoriale au même titre que les métropolitaines) mais la domination de l agglomération de Point à Pitre (cordon ombilical avec la Métropole) reste sans partage et renforce les contrastes spatiaux internes c est à dire la concentration des hommes et activités sur le littoral opposée aux espaces intérieurs dépeuplés // que le contexte de crise en 2011 risque de se traduire par le report de certains projets essentiels. une île entre Europe et Caraïbes, qui doit concilier intégration au territoire national et appartenance à l aire régionale des Caraïbes : progrès avec le hub portuaire et aéroport de Pointe à Pitre, interface active de l île avec les îles voisines mais aussi avec la France, l Europe et le reste du monde (ex Pacifique par le Canal de Panama ) mais le poids de l archipel peine à se renforcer au niveau de l aire régionale, son insertion politique et économique dans son bassin géographique reste faible Croquis de synthèse sur : «L organisation spatiale, d un territoire ultramarin» (montrer les contrastes internes mais aussi l insertion dans la mondialisation). 1. Hormis la Guyane, les autres RUP sont également insulaires. Les RUP espagnoles et portugaises (Madère, Acores, Canaries) sont situées beaucoup plus près de leur métropole. Mais la Guadeloupe est finalement plus proche de la métropole que d autres RUP français (Martinique, mais surtout Mayotte et Réunion). 2. La plupart des autres territoires ultramarins français sont situés dans l Atlantique (Saint Pierre et Miquelon), mais surtout dans la Caraïbe (Martinique, Guyane), dans l océan Indien (Réunion, Mayotte, TAAF) et dans l océan Pacifique (Polynésie, Wallis et Futuna, Nouvelle Calédonie). 3. Le même type d organisation spatiale se retrouve en Martinique, à La Réunion, voire à Mayotte. En revanche, la Guyane, du fait de son immensité, de son milieu et de sa mise en valeur, présente des caractéristiques sensiblement différentes. Page 3 sur 5
4 4. La Guadeloupe n est pas la plus peuplée, mais ses densités sont comparables à celles de la plupart des RUP. Son développement (PIB, taux de chômage) est assez similaire à celui de la Réunion. En revanche, il est moindre que celui de Madère ou même que celui des Canaries. II Le développement des territoires ultramarins, un enjeu pour l UE Rappel : grande diversité des situations et des compositions territoriales. A Les Régions ultrapériphériques de l Union européenne (RUP) Certains États européens (France, Espagne, Danemark, Pays Bas, Royaume Uni) possèdent des territoires outre mer (hérités de leur passé colonial) dont le statut de RUP repose sur des critères de contraintes spécifiques : handicaps structurels tels que l éloignement et fort degré de dépendance par rapport à leur Métropole. Le développement est un enjeu majeur pour ces territoires ultramarins, véritables «périphéries» par rapport à l UE (c est à dire en marge, dominées en retard de développement) et nécessite des politiques communautaires et des choix adaptées aux territoires et sociétés locales (ancrées dans une aire culturelle régionale) : 1) Des défis particuliers à relever Comment gérer faible superficie, distance, discontinuité géographique (et dc territoriale) et insularité? Éloignement de la Métropole et des partenaires régionaux d où problèmes d accessibilité (fuseaux horaires, nb d heures de vol ou de jours de mer), de «transport et redistribution» (morcellement géographique) et dc de prix et d où nécessité de multiplier des services (santé, scolarité ) alors que le tertiaire est pléthorique (¾ de la richesse produite) et des aménagements chers et peu rentables sur le plan financier (marchés intérieurs étroits ). De graves problèmes migratoires liés aux départs vers l Europe d une part, à l arrivée de populations «illégales» d autre part car ces territoires ultramarins restent attractifs pour les îles voisines pour lesquelles ils représentent un «eldorado» du fait des contrastes démographiques et économiques (immigration pour travail, environnement médical et social ex des Comores vers Mayotte ). 2) Des voies et choix adaptés aux statuts juridiques et aux sociétés locales Un statut «d intégration différenciée» pour les RUP justifié par la diversité des situations (objectif «convergence» (ex 5 DROM français, ex Açores) ou objectif «compétitivité régionale et emploi» (ex Les Canaries avec 15oo kms de plage et 10 M de touristes / an), ex Madère). Mais les RUP profitent tous par ailleurs des autres initiatives communautaires + des «programmes Interreg» (c est à dire de coopération «régionale» ex accords transfrontaliers de complémentarité avec leurs voisins, dans des domaines tels que le développement durable, le transfert des technologies ex TICE, la diffusion des infos ) mais aussi «transnationale» (européenne) ex adduction d eau. Enfin, des spécificités douanières, fiscales + favorables leur sont appliquées. Les politiques menées par les collectivités territoriales + États métropolitains + UE sont volontaristes tant au niveau des infrastructures économiques (ex irrigation, modernisation des transports) qu au niveau du confort et du niveau de vie des populations (ex santé, éducation, formation de personnel pour le secteur tourisme) dans le respect de développement durable (ex lutte /emploi des pesticides dans la culture de la banane, développement des nouvelles énergies, techniques parasismiques, gestion intégrée des littoraux.) et les investissements financiers sont en conséquence massifs (FSE, Feder ). 3) Un enjeu majeur pour l Union européenne Le développement des RUP constitue aussi un enjeu majeur pour l UE d où la mise en place d une nouvelle stratégie communautaire (de + en + des «partenaires») : Page 4 sur 5
5 «Laboratoires privilégiés aux fortes potentialités à développer» (dimension maritime ex dispersion sur tous les océans donc ZEE vaste, dimension environnementale ex énergies renouvelables aux Açores, ex protection environnementale, ex Parc Naturel régional de La Réunion (40% de sa superficie). Sources d approvisionnement de l UE en productions exotiques et à forte VA (ex rhum et agrumes de la Martinique, vins de Madère, ananas de La Réunion, thés ) dont l UE favorise le développement et la diversification. forte attractivité pour les métropoles en tant que destinations touristiques ex climat tropical des Caraïbes, températures de l air et de l eau favorables toute l année + saison sèche en hiver, récifs coralliens... donc tourisme balnéaire, plongée... mais aussi attrait culturel (écomusée de Marie Galante, traditions..), ex îles de Polynésie, ex tourisme durable aux Açores.mais aussi sur le plan stratégique ex Kourou en Guyane, centre spatial européen symbole de la coopération européenne dans les satellites de communication. B Une «coopération renforcée» avec les PTOM Diversité extrême des situations géographiques, démographiques et économiques ex vaste Groenland / minuscules îles, ex Kerguelen inhabitées / Caraïbes très peuplées, ex extraction minière en Nouvelle Calédonie / tourisme + paradis fiscal pour les Iles Caïman donc des niveaux de développement très contrastés et parfois supérieurs à ceux européens! Moyens utilisés : le FED (Fonds européen de développement / réalités de chaque territoire ex Iles Caïman aidées seulement en cas de catastrophe naturelle // aménagements structurels pour Wallis et Futuna ou la Nouvelle Calédonie (Pour sauver son maintien au sein de la France en 2014 et renforcer son intégration régionale c està dire dans le Pacifique sud) et la BEI (Banque européenne d investissement). Conclusion : Développement mal maîtrisé, économie peu productive et tertiarisée (tourisme dominant), urbanisation accélérée, dynamisme fragile et inégal de ces régions éloignées et à la recherche des modèles de développement leur permettant d échapper à la «double dépendance du tourisme et des subventions publiques» par rapport à l UE. Si l UE reste l acteur essentiel du développement de ces périphéries lointaines et si leur intégration régionale est très insuffisante, ces territoires sont cependant au cœur de flux internationaux (ex 80% de leurs échanges par transport maritime, ex zones franches, ex flux saisonniers, investissements, création de PME dans leur pays d origine par la «diaspora ultramarine» formée par les populations migrantes en Europe). Page 5 sur 5
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