SEVRAGE : MODALITES PRATIQUES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SEVRAGE : MODALITES PRATIQUES"

Transcription

1 Ventilation en réanimation 411 SEVRAGE : MODALITES PRATIQUES M. Wysocki, Réanimation polyvalente, Institut Mutualiste Montsouris, 42 Boulevard Jourdan, Paris cedex 14. INTRODUCTION Sevrage : Action de sevrer. Sevrer : priver, désaccoutumer quelqu un de quelque chose. Le sevrage est habituellement considéré comme la séparation durable du malade et du ventilateur. L objectif d un sevrage bien conduit est de réduire au strict minimum la durée de la ventilation mécanique et de l intubation endotrachéale, sans exposer le malade au risque d une extubation a contrario trop précoce et d une éventuelle réintubation. D un point de vue très pratique, les questions que doivent se poser les réanimateurs confrontés au sevrage sont les suivantes : 1- Quand puis-je débuter le sevrage? 2- Comment vais-je sevrer mon malade? Répondre quotidiennement à ces questions doit permettre de sevrer plus rapidement et plus efficacement les malades. Ainsi, Ely et col. [1], dans une étude prospective contrôlée, comparaient deux modalités de prise en charge attribuées de manière aléatoire à 300 malades de réanimation intubés ventilés. Une modalité dite conventionnelle (C) laissait le soin aux médecins traitants de décider du sevrage, l autre modalité proposait une évaluation quotidienne (EQ) des capacités du malade à être sevré du ventilateur. Dans cette dernière, selon des critères préétablis, le médecin traitant était informé que son malade pouvait raisonnablement être sevré avec succès. Les résultats de cette étude étaient spectaculaires et montraient qu avec l EQ, il était possible de réduire la durée du sevrage de plus- de 60 % et la durée de ventilation mécanique de 25 %. De manière parallèle, le nombre de réintubations (échec du sevrage) était moindre avec l EQ, de même que le coût de l hospitalisation en réanimation. 1. QUAND PUIS-JE DEBUTER LE SEVRAGE? La conduite générale du sevrage est schématisée sur la Figure 1. Le sevrage peut débuter lorsque les critères de sevrabilité sont présents. Les critères de sevrabilité sont des critères qui, reposant sur le «bon sens», et lorsqu ils sont présents, laissent penser qu il est possible de débuter le sevrage. Ainsi, il est raisonnablement licite de débuter le sevrage lorsque l épisode aigu justifiant la ventilation mécanique est corrigé. De même, le sevrage peut débuter s il n existe pas de troubles neurologiques centraux (coma,

2 412 MAPAR 2001 agitation, encéphalopathie, sédation), de dénutrition extrême, d instabilité cardiocirculatoire, de désordres métaboliques ni de syndrome inflammatoire majeur. Peu d études se sont spécifiquement intéressées aux critères de sevrabilité, mais les quelques études récentes sur le sevrage utilisaient des critères de sevrabilité à peu près comparables. Ainsi, dans l étude de Ely et col. [1], le sevrage ne débutait que si le rapport PaO 2 était supérieur à 200 mmhg, le niveau de pression expiratoire positive (PEP) inférieur ou égal à 5 cmh 2 O et le rapport fréquence respiratoire sur volume courant (Fr/Vt) inférieur ou égal à 105 c.min -1.L -1 (en ventilation spontanée). De plus, le malade devait avoir une toux lors de l aspiration endobronchique et ne devait plus recevoir de drogues vasoactives ou sédatives. Dans l étude d Esteban et col. [2], les critères de sevrabilité incluaient la guérison de l épisode aigu motivant la ventilation mécanique, un rapport PaO 2 supérieur à 200 mmhg avec une PEP inférieure ou égale à 5 cmh 2 O, une température corporelle inférieure à 38 C, une hémoglobine supérieure à 10 g.dl -1 et l absence de drogues vasoactives ou sédatives. Dans l étude de Brochard et col. [3], les critères de sevrabilité incluaient :la guérison de l épisode aigu motivant la ventilation mécanique, une température corporelle inférieure à 38,5 C, une hémoglobine supérieure à 8 g.dl -1, un traitement à visée cardiologique ajusté, l absence de drogues sédatives ou de sédation résiduelle et une correction des éventuels désordres électrolytiques. Procédure générale du sevrage Ventilation mécanique Critères de Sevrabilité VS-S 2 h bien tolérée Poursuite de la ventilation mécanique Extubation Sevrage VS-S et/ou VSAI Sevrage de la ventilation Sevrage de la prothèse Poursuite du sevrage Extubation Discuter la trachéotomie Figure 1 : Procédure générale de sevrage. VS-S : ventilation spontanée sur sonde. VSAI : Ventilation spontanée en aide inspiratoire.

3 Ventilation en réanimation 413 Pour être synthétique (Tableau I), il est possible de débuter le sevrage lorsque : 1- L épisode aigu qui a justifié la ventilation mécanique est corrigé. Ce point peut faire l objet d un avis consensuel de l équipe soignante lors de la visite quotidienne. 2- Il n y a pas d altération majeure de la commande ventilatoire (absence de coma, pas de drogue sédative). 3- L oxygénation est «suffisante» avec un rapport PaO 2 > 200 mmhg avec une PEP < 5 cmh 2 O. 4- Il n y a pas de désordre extra-respiratoire majeur et non contrôlé (pas de drogue vasoactive, température < 38 C, hémoglobine > 8 g.dl -1, pas de désordre métabolique majeur, traitement d une insuffisance cardiaque, etc ). Tableau I Critères de sevrabilité L épisode aigu qui a justifié la ventilation mécanique est corrigé (avis consensuel de l équipe soignante). Pas d altération majeure de la commande ventilatoire : - absence de coma - pas de drogue sédative. Rapport PaO 2 > 200 mmhg avec une PEP < 5 cmh 2 O. Pas de désordre extra-respiratoire majeur et non contrôlé : - pas de drogue vasoactive - température < 38,5 C - hémoglobine > 8 g.dl -1 - pas de désordre métabolique majeur - traitement d une insuffisance cardiaque. 2. COMMENT VAIS-JE SEVRER MON MALADE DU VENTILATEUR? En termes de sevrage de la ventilation mécanique, il est actuellement classique de considérer deux types de malades : les malades faciles à sevrer et ceux pour lesquels le sevrage sera difficile SEVRAGE FACILE Le sevrage doit être rapide et donc facile chez les malades sans antécédents particuliers, dont le mécanisme qui a conduit à la ventilation mécanique est rapidement réversible. C est ainsi le cas pour les malades postopératoires, pour ceux qui doivent être ventilés en raison d un coma toxique ou pour ceux qui présentent une pathologie respiratoire aiguë survenant sur des poumons antérieurement sains (état de mal asthmatique, œdème pulmonaire cardiogénique par surcharge). Chez de tels malades et sous surveillance continue des fonctions vitales, le sevrage est réalisé par la mise en VS-S, ballonnet dégonflé. Un apport additionnel en oxygène est assuré afin de maintenir la saturation percutanée en oxygène > 95 %. Cette épreuve de VS-S, appelée encore, épreuve de pièce en T lorsqu à l extrémité de la sonde est mise en place une pièce en T laissant passer un mélange gazeux à haut débit, peut être effectuée en maintenant éventuellement le malade connecté au ventilateur afin de bénéficier des alarmes disponibles. Il convient alors de vérifier que la ventilation à travers le ventilateur n induit pas un travail respiratoire supplémentaire tel, qu il pourrait compromettre le résultat de l épreuve. Ainsi, une épreuve de ventilation spontanée en aide inspiratoire (VSAI) à 7 cmh 2 O serait aussi efficace que l épreuve de VS-S pour mettre en évidence les malades qu il est possible de séparer du ventilateur [4]. La durée de cette épreuve n est

4 414 MAPAR 2001 pas standardisée, mais dans les études récentes sur le sevrage [1-3] elle était de 2 heures, bien qu une période de 30 minutes puisse être suffisante [5]. Au terme de cette période le malade est extubé si l épreuve est correctement tolérée. La bonne tolérance est définie par une fréquence respiratoire < 35 cycles.min -1 ou une augmentation de la fréquence respiratoire < 50 % par rapport au début de l épreuve, une PaO 2 > 50 mmhg avec un apport additionnel en oxygène, un ph > 7,32, une stabilité de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle systolique ou une augmentation < 20 % par rapport au début de l épreuve, pas d agitation ou de modification de l état neuro-psychique. Sur un collectif important (n =1115) de malades ventilés plus de 24 heures, les trois études précédentes montrent que 70 à 80 % de ces malades peuvent être simplement extubés au terme de l épreuve [1-3]. A noter que des indices tels que le rapport fréquence respiratoire/volume courant mesurés très précocement (à la première minute de l épreuve de VS-S) permettrait aussi de prédire le succès du sevrage avec une bonne sensibilité (97 %) pour une valeur < à 105 cycles.min -1.L -1 [6]. Mais la spécificité de tels index est faible (64 %), ce qui signifie que, faussement positifs, ils conduisent fréquemment à extuber les malades à tort LE SEVRAGE DIFFICILE Chez 20 à 30 % des malades ventilés plus de 24 heures, l extubation ne pourra se faire facilement, car l épreuve de VS-S est mal tolérée (un des critères cités précédemment est absent). Devant un sevrage qui apparaît comme difficile, il convient alors de vérifier que les critères de sevrabilité sont bien présents et de mettre en place des modalités de sevrage plus complexes. Plusieurs modalités sont actuellement disponibles et l efficacité des différentes modalités a récemment été comparée [2, 3]. La plus simple consiste à répéter, et sur des durées de plus en plus longues, les épreuves de VS-S. Lorsque l épreuve de VS-S est bien tolérée sur une période de 2 heures, le malade peut être sevré du ventilateur. Les autres modalités actuellement utilisées sont la ventilation assistée contrôlée intermittente (VACI) et la VSAI. La VACI consiste à réduire progressivement le nombre de cycles assistés par le ventilateur. Entre les cycles assistés par le ventilateur, le malade respire spontanément. Lorsque la VACI à fréquence basse (4 à 5 cycles par minute) est bien tolérée pendant plusieurs heures (2 à 24 heures selon les études) le malade peut être sevré du ventilateur. La VSAI est une modalité d assistance partielle dans laquelle le ventilateur assiste le malade en délivrant une pression inspiratoire. Le sevrage se fait alors par réduction progressive de la pression d aide. Lorsque la VSAI avec une pression d aide basse (5 à8cmh 2 O) est bien tolérée pendant plusieurs heures (2 à 24 heures selon les études), le malade peut être sevré du ventilateur. Deux études récentes ont comparé ces différentes modalités [2, 3]. Il s agissait d études multicentriques prospectives contrôlées dans lesquelles trois modalités de sevrage étaient comparées chez des malades difficiles à sevrer (échec de l épreuve de VS-S). Les deux études attribuaient, de manière aléatoire, une des trois modalités précédemment décrites (VS-S, VACI, VSAI) et mesuraient le nombre de malades sevrés avec succès, de même que la durée du sevrage. Bien que les modalités de réduction du support ventilatoire différaient entres les deux études, elles concluaient que la VACI était la moins bonne des modalités avec un pourcentage d échec plus élevé et une durée de sevrage plus longue (Figure 2). La première étude [3] montrait que la VSAI était la modalité la plus efficace, réduisant la durée de sevrage de 3 jours par rapport à la VACI et avec une efficacité du sevrage 5 fois plus importante. La seconde [2], montrait que la VS-S était la modalité la plus efficace réduisant la durée de sevrage de 2 jours par rapport à la VACI avec une efficacité du sevrage 3 fois plus importante. Les deux études divergeaient quant à la modalité de sevrage la plus efficace, VS-S pour l une [2],

5 Ventilation en réanimation 415 VSAI pour l autre [3], probablement en raison des modalités de décroissance du support ventilatoire qui étaient différentes d une étude à l autre. Quoi qu il en soit, les deux études montraient qu il était possible selon les modalités de sevrage utilisées d interférer sur l efficacité du sevrage. 80 % d'echecs du sevrage Esteban Brochard VS-S VSAI VACI 9 Durée du sevrage (jours) Esteban Brochard 0 VS-S VSAI VACI Figure 3 : Pourcentage de malades en échec du sevrage et durée du sevrage selon la modalité de sevrage utilisée, VS-S (VS-S), ventilation assistée contrôlée intermittente (VACI) et ventilation spontanée en aide inspiratoire (VSAI), à partir des études de Brochard et col. (3) et d Esteban et col. (2).

6 416 MAPAR L EXTUBATION Lorsque le malade est sevré du ventilateur, reste à le séparer de la prothèse endotrachéale. En effet, après extubation, une proportion non négligeable de malades (20 à 25 % des malades extubés) va devoir être intubé à nouveau [2, 3]. Une étude récente [5] précise les motifs de réintubation qui, dans près de 40 % des cas, étaient en rapport avec des facteurs mécaniques (œdème laryngé, drainage bronchique inefficace, troubles ventilatoires) ou des facteurs neurologiques. Cet aspect du sevrage à savoir le sevrage de la prothèse endotrachéale à proprement parler, reste difficile et peu prévisible par les tests ventilatoires habituellement utilisés LA VENTILATION NON INVASIVE (VNI) La VNI a récemment été proposée afin de réduire la période de ventilation sur sonde endotrachéale ou d éviter la réintubation lors de l échec du sevrage, en particulier chez les malades les plus difficiles à sevrer, à savoir les malades insuffisants respiratoires chroniques ventilés pour une décompensation (IRCd). Ainsi Nava et col. [7] sélectionnaient 50 malades IRCd dont le sevrage s avérait difficile (échec de l épreuve de VS-S) et chez 25 d entre eux, choisis de manière aléatoire, procédaient à l extubation suivie d une ventilation non-invasive. Les 25 autres malades étaient sevrés de manière progressive en VSAI la sonde endotrachéale étant maintenue en place. Alors que les deux groupes de malades étaient parfaitement comparables, ceux sevrés avec la VNI étaient ventilés 6 jours de moins et restaient hospitalisés en réanimation 11 jours de moins que les malades sevrés de manière conventionnelle. Enfin, le succès du sevrage était plus fréquent chez les malades sevrés avec la VNI. Ces résultats étaient confirmés peu de temps plus tard par Girault et col. [8] qui, sur un collectif de 33 malades IRCd, dont 17 extubés et traités par VNI, obtenaient une réduction de 7 jours de la durée de ventilation mécanique. La VNI pourrait donc être une modalité de sevrage efficace chez certains malades difficiles à sevrer. CONCLUSION Le sevrage de la ventilation mécanique est une préoccupation quotidienne du réanimateur. En fonction des malades pris en charge, ce sevrage peut être simple ou difficile. Dans tous les cas, l évaluation quotidienne des possibilités de séparer le malade du ventilateur doit permettre de réduire la durée de la ventilation mécanique et les complications qui lui sont associées. Chez les malades difficiles à sevrer, l utilisation de modalités de sevrage validées (VS-S et/ou VSAI) doit permettre de raccourcir la durée du sevrage. Enfin, sevrage de la ventilation ne veut pas dire sevrage de la sonde endotrachéale qui, dans un nombre de cas non négligeable, doit parfois être remise en place. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES [1] Ely EW, Baker AM, Dunagan DP, Burke HL, Smith AC, Kelly PT, Johnson MM, Browder RW, Bowton DL, Haponik EF. Effect on the duration of mechanical ventilation of identifying patients capable of breathing spontaneously. N Engl J Med 1996;335: [2] Esteban A, Frutos F, Tobin MJ, Alia I, Solsona JF, Valverdu I, Fernandez R, de la Cal MA, Benito S, Tomas R. A comparison of four methods of weaning patients from mechanical ventilation. Spanish Lung Failure Collaborative Group. N Engl J Med 1995;332:345-50

7 Ventilation en réanimation 417 [3] Brochard L, Rauss A, Benito S, Conti G, Mancebo J, Rekik N, Gasparetto A, Lemaire F. Comparison of three methods of gradual withdrawal from ventilatory support during weaning from mechanical ventilation. Am J Respir Crit Care Med 1994;150: [4] Esteban A, Alia I, Gordo F, Fernandez R, Solsona JF, Vallverdu I, Macias S, Allegue JM, Blanco J, Carriedo D, et al. Extubation outcome after spontaneous breathing trials with T-tube or pressure support ventilation. The Spanish Lung Failure Collaborative Group. Am J Respir Crit Care Med 1997;156: [5] Esteban A, Alia I, Tobin MJ, Gil A, Gordo F, Vallverdu I, Blanch L, Bonet A, Vazquez A, de Pablo R, et al. Effect of spontaneous breathing trial duration on outcome of attempts to discontinue mechanical ventilation. Spanish Lung Failure Collaborative Group. Am J Respir Crit Care Med 1999;159:512-8 [6] Yang KL, Tobin MJ. A prospective study of indexes predicting the outcome of trials of weaning from mechanical ventilation. N Engl J Med 1991;324: [7] Nava S, Ambrosino N, Clini E, Prato M, Orlando G, Vitacca M, Brigada P, Fracchia C, Rubini F. Noninvasive mechanical ventilation in the weaning of patients with respiratory failure due to chronic obstructive pulmonary disease. A randomized, controlled trial. Ann Intern Med 1998;128:721-8 [8] Girault C, Daudenthun I, Chevron V, Tamion F, Leroy J, Bonmarchand G. Noninvasive ventilation as a systematic extubation and weaning technique in acute-on-chronic respiratory failure. A prospective, randomized controlled study. Am J Respir Crit Care Med 1999;160:86-92

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

quelques points essentiels

quelques points essentiels actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile

Plus en détail

Le sevrage de la trachéotomie

Le sevrage de la trachéotomie Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr

Plus en détail

8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs

8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs Objectifs Connaître le rôle de l inhalothérapeute dans les unités de soins critiques Connaître les dispositifs d oxygénation et d humidification Connaître les modes et principes de la ventilation (invasive,

Plus en détail

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation

Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation Réanimation 13 (2004) 13 20 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation J.-C. Glérant b, D.O. Rodenstein

Plus en détail

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,

Plus en détail

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF

Plus en détail

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities

Plus en détail

recommandations pour les médecins de famille

recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

Ventilation des nouveau-nés SERVO-n

Ventilation des nouveau-nés SERVO-n Ventilation des nouveau-nés SERVO-n Respirer, dormir, grandir RESPIRER VENTILATION PROTECT R ICE * DORMIR GRANDIR * cf page 7 Respirer La synchronisation avec le rythme respiratoire irrégulier du bébé

Plus en détail

Ventilation mécanique à domicile

Ventilation mécanique à domicile RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation

Plus en détail

Comment évaluer. la fonction contractile?

Comment évaluer. la fonction contractile? Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie

Plus en détail

PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES

PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

Monitorage du CO 2 expiré Capnometry

Monitorage du CO 2 expiré Capnometry Réanimation 13 (2004) 62 70 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Monitorage du CO 2 expiré Capnometry C. Soltner, J. Huztinger, L. Beydon * Département d anesthésie réanimation, CHU d Angers, 49000

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance

Plus en détail

PROTOCOLE POUR LES PERSONNES ATTEINTES

PROTOCOLE POUR LES PERSONNES ATTEINTES PROTOCOLE POUR LES PERSONNES ATTEINTES D UNE MALADIE PULMONAIRE OBSTRUCTIVE CHRONIQUE (MPOC) EN FIN DE VIE LES SOINS DE FIN DE VIE LES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES «Guérir quelques fois, aider souvent et soulager

Plus en détail

Soins Inrmiers aux brûlés

Soins Inrmiers aux brûlés Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter

Plus en détail

Elisée 150 Manuel patient Français

Elisée 150 Manuel patient Français Elisée 150 Manuel patient Français Respiratory Care solutions Making quality of care easy * *Solutions ResMed en ventilation Améliorer la qualité des soins Respiratory Care solutions Making quality of

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il

Plus en détail

N. LODÉ 1, N. PINTO DA COSTA 2

N. LODÉ 1, N. PINTO DA COSTA 2 Chapitre21 Monitorage requis et objectifs visés N. LODÉ 1, N. PINTO DA COSTA 2 Très utilisée en néonatalogie, la VNI est de pratique plus récente et en plein essor dans l insuffisance respiratoire aiguë

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D. TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire

Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert

Plus en détail

Fonctions non ventilatoires

Fonctions non ventilatoires UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE

Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex TM Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Améliorer la qualité de vie La nécessité d une réhabilitation efficace des patients à la suite de complications

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE

DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,

Plus en détail

Université de Montréal. Étude multicentrique sur les stratégies de ventilation mécanique employées chez les enfants avec un œdème pulmonaire lésionnel

Université de Montréal. Étude multicentrique sur les stratégies de ventilation mécanique employées chez les enfants avec un œdème pulmonaire lésionnel Université de Montréal Étude multicentrique sur les stratégies de ventilation mécanique employées chez les enfants avec un œdème pulmonaire lésionnel par Miriam Santschi Faculté de médecine Mémoire présenté

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur

Plus en détail

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly

Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,

Plus en détail

dmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès

dmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès dmt TD notes de congrès 160 Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Paris, 21 décembre 2007 Une journée «BPCO et travail» a eu lieu le 21 décembre 2007. Elle était organisée par la

Plus en détail

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014

Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES

METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES Marc STERN Groupe de Transplantation Pulmonaire Hôpital Foch Aucun conflit d intérêt à déclarer Le greffon pulmonaire Bien rare et insuffisant:

Plus en détail

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que

Plus en détail

Une solution simple pour vos patients complexes

Une solution simple pour vos patients complexes Une solution simple pour vos patients complexes L appareil de ventilation mécanique leader du marché, le System One BiPAP autosv Advanced, simplifie le traitement des patients souffrant de troubles respiratoires

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile

Diatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP

Plus en détail

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique

Plus en détail

Ventilation à haute fréquence chez le nouveau-né

Ventilation à haute fréquence chez le nouveau-né Réanimation 2002 ; 11 : 16-27 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069301002018/SSU MISE AU POINT Ventilation à haute fréquence chez le nouveau-né G. Moriette*,

Plus en détail

Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques

Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques RECOMMANDATIONS Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques Qu elles soient coro n a i res, hémodynamiques, rythmiques ou de toute a u t re

Plus en détail

E. PERROT 1, J.C. AYMARD 2, J. LEVRAUT 3. 1. Prise en charge initiale d un polytraumatisé

E. PERROT 1, J.C. AYMARD 2, J. LEVRAUT 3. 1. Prise en charge initiale d un polytraumatisé Chapitre 111 La gestion du transport d un traumatisé grave. Comment optimiser? E. PERROT 1, J.C. AYMARD 2, J. LEVRAUT 3 1. Prise en charge initiale d un polytraumatisé Le polytraumatisé est un blessé grave

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Le cathéter artériel pulmonaire

Le cathéter artériel pulmonaire Le cathéter artériel pulmonaire PLAN : Ø Paramètres mesurés Ø Pressions Ø Débit Ø SvO2 Ø Avantages Ø Inconvénients Ø Indica=ons Thierry Boulain Réanimation Médicale CHR Orléans L auteur n a pas déclarer

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail