Licence IOVIS 2013/2014. Optique géométrique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Licence IOVIS 2013/2014. Optique géométrique"

Transcription

1 Licence IOVIS 2013/2014 Optique géométrique

2 Table des matières 1 Systèmes centrés Vergence Eléments cardinaux Plans focaux et foyers Plans principaux et points principaux Points nodaux Formules de conjugaison Formules de Descartes Formules de Newton Constructions géométriques Constructions à l'aide des trois rayons particuliers Construction àl'aide des foyers secondaires Association de systèmes centrés Formules de Gullstrand Positions des foyers Positions des points principaux Dioptres Loi de Snell-Descartes Vergence Eléments cardinaux Relation de conjugaison Constructions géométriques Lentilles Lentilles épaisses Lentilles minces Vergence Eléments cardinaux Relations de conjugaison Constructions géométriques Miroirs Vergence Eléments cardinaux Relation de conjugaison Formule de Descartes Formule de Newton Constructions géométriques

3 1 Systèmes centrés Un système centré est formé de plusieurs surfaces réfringentes ou rééchissantes (dioptres ou miroirs), telles que l'ensemble présente une symétrie autour d'un axe de révolution Oz, l'axe optique (cela signie que leurs axes sont confondus). Dans l'ensemble de ce cours, on se place bien sûr dans l'approximation de Gauss, ce qui signie qu'on considère que les angles d'incidence des rayons sont faibles et que leurs points d'incidence sont proches de l'axe optique. Figure 1 Système centré placé entre un milieu d'indice n et un milieu d'indice n. 1.1 Vergence La vergence est un paramètre qui caractérise les propriétés de focalisation d'un système centré. Il s'agit d'une grandeur algébrique, homogène à l'inverse d'une longueur, et elle s'exprime en dioptries ( δ). Si V > 0, le système est convergent. Un rayon arrivant parallèlement à l'axe optique émerge en se rapprochant de l'axe, pourvu qu'il émerge du même côté de l'axe optique que le rayon incident. Si V < 0, le système est divergent. Un rayon arrivant parallèlement à l'axe optique émerge en s'éloignant de l'axe, pourvu qu'il émerge du même côté de l'axe optique que le rayon incident. Enn si V = 0, le système est afocal. Un rayon arrivant parallèlement à l'axe optique émerge toujours parallèle à l'axe. Figure 2 Système centré (a) convergent, (b) divergent, (c) afocal. 1.2 Eléments cardinaux Plans focaux et foyers Le foyer principal objet F est déni comme étant le point tel que tout le rayon incident, issu de F, émerge parallèlement à l'axe optique. De manière symétrique tout rayon incident, parallèle à l'axe optique, émerge en convergent vers le foyer principal image F. On dénit les distances focales image et objet comme étant les quantités algébriques suivantes : f = n V f = n V (1a) (1b) où n et n sont les indices des milieux situés avant et après le système. Si les deux milieux sont identiques, les distances focales sont opposées. 2

4 Figure 3 Foyers objet et image. Si V > 0, on a f > 0 et f < 0, alors que si V < 0, on a f < 0 et f > 0. En pratique, on utilise surtout la distance focale image f pour caractériser le système. Les plans focaux sont deux plans situés dans les espaces objet et image, dont les intersections avec l'axe optique sont les foyers principaux objet F et image F. Les plans focaux sont également l'ensemble des foyers secondaires objets et images, F S et F S (aussi parfois notés Φ et Φ ). Ces foyers secondaires sont associés à des faisceaux de rayons lumineux parallèles entre eux mais non parallèles avec l'axe optique. Figure 4 Exemple d'un foyer secondaire image Plans principaux et points principaux Le plan principal objet est déni comme l'ensemble des points où se croisent les rayons émergents parallèles à l'axe avec les rayons incidents correspondants. Les plans principaux ou unitaires sont des plans conjugués tels que le grandissement transversal γ est égal à l'unité. Ce qui signie que chaque point sur le plan principal objet correspondant à un certain rayon incident est conjugué à un point sur le plan principal image qui se trouve à la même distance de l'axe optique. Il est donc possible de tracer le rayon émergent à partir de ce dernier. Les intersections de ces plans avec l'axe optique sont notées H et H et obéissent aux relations suivantes : HF = f (2a) H F = f (2b) Figure 5 Points principaux objet et image Points nodaux Il s'agit de deux points conjugués sur l'axe optique, N et N, tel qu'un rayon incident passant par N émerge de N parallèlement à sa direction initiale. On a la relation suivantes : 3

5 Figure 6 Points nodaux. HN = H N = f + f (3) Ainsi, si les deux milieux extrêmes sont de même indice, les points nodaux sont confondus avec les points principaux. 1.3 Formules de conjugaison Formules de Descartes On considère un système centré transformant un objet AB situé au point A en une image A B située au point A. La relation de Descartes, qui relie la position de l'objet p = HA à la position de l'image associée p = H A, est une relation de conjugaison avec origine aux sommets. Elle s'écrit : Si les milieux extrêmes sont identiques, la relation se simplie : n p n p = V (4) 1 p 1 p = 1 f Le grandissement transverse, déni comme γ = A B AB, s'exprime : γ = n n p p (5) Formules de Newton La formule de Newton est une relation de conjugaison avec origine aux foyers. Elle relie les quantités σ = F A et σ = F A de la façon suivante : Si les milieux extrêmes sont identiques, elle se réduit à : Le grandissement s'écrit quand à lui : 1.4 Constructions géométriques σσ = ff (6) σσ = f 2 γ = σ f (7) La construction géométrique est indispensable pour visualiser et vérier les résultats obtenus par le calcul. 4

6 1.4.1 Constructions à l'aide des trois rayons particuliers On considère toujours un objet AB avec A sur l'axe optique et B en dehors, son image associée sera A B. Pour diminuer les risques d'erreur, il est préférable de tracer les trois rayons particuliers suivants : 1. Le rayon issu du point B parallèle à l'axe optique émerge à partir du plan principal image à la même hauteur, en passant par le foyer image F. 2. Le rayon issu de B passant par le foyer objet F émerge parallèlement à l'axe optique, à partir du point du plan principal image situé à la même hauteur que l'intersection du rayon incident avec le plan principal objet. 3. Le rayon issu de B passant par le point nodal N ressort parallèlement à lui-même à partir du point nodal N. Figure 7 Construction géométrique de l'image A B associée à l'objet AB grâce aux trois rayons particuliers décrits ci-dessus Construction àl'aide des foyers secondaires Lorsqu'on veut tracer l'évolution d'un rayon quelconque à travers un système optique, ou retrouver le rayon incident associé à un rayon émergent quelconque, les foyers secondaires images ou objets sont très utiles. Dans le cas où on cherche le rayon émergent associé à un rayon incident quelconque, on trace alors le rayon parallèle au rayon incident, mais passant par le point nodal objet N. Celui-ci émerge avec le même angle par rapport à l'axe optique à partir du point nodal image N, et croise le plan focal image au foyer secondaire image F S. Il est alors possible de tracer le rayon émergent à partir du plan principal image, à la même hauteur que le croisement entre le rayon incident et le plan principal objet, et passant par le foyer secondaire image F S. Figure 8 Construction du rayon émergent associé à un rayon incident quelconque (en bleu), à l'aide du foyer secondaire image. On s'est placé dans le cas particulier où les milieux extrêmes sont de mêmes indices et où donc les points nodaux objet et image sont confondus avec les points principaux objet et image respectivement. Si on cherche le rayon incident associé à un rayon émergent quelconque, il s'agit de la même opération en sens inverse. On trace alors le rayon parallèle au rayon émergent, mais passant par le point nodal image N. Celui-ci arrive sur le système avec le même angle par rapport à l'axe optique jusqu'au point nodal objet N, et croise le plan focal objet au foyer secondaire objet F S. Il est alors possible de tracer le rayon incident recherché arrivant sur le plan principal objet, à la même hauteur que le croisement entre le rayon émergent et le plan principal image, et passant par le foyer secondaire objet F S. 1.5 Association de systèmes centrés On considère l'association de deux systèmes centrés séparés par un millieu d'indice n, et qui ont comme points pricipaux objet et image, et comme foyers objet et image respectivement : H 1, H 1, F 1, 5

7 F 1, H 2, H 2, F 2, F 2. Les points pricipaux et focaux du système total sont : H, H, F, F. On introduit la distance optique (ou interstice) e = H 1 H 2 et l'intervalle optique = F 1 F Formules de Gullstrand La vergence du système total s'exprime grâce à la formule de Gullstrand : V = V 1 + V 2 e n V 1V 2 (8) Dans le cas où les deux systèmes sont séparés par un milieu d'indice n = 1, la formule de Gullstrand devient : 1 f = f 1 + f 2 e (9) f 1 f 2 avec : e = H 1 F 1 + F 1 F 2 + F 2 H 2 = f f 2 Il en découle ainsi l'expression suivante pour la distance focale du système total : f = f1f2 (10) Positions des foyers Pour déterminer la position des foyers du système total, il faut considérer les conjugaisons suivantes : F F 1 pour placer F et F 2 F pour placer F. En écrivant la formule de Newton pour ces conjugaisons on obtient : F 1 F = f 1f 1 (11a) Et dans le cas de lentilles : Positions des points principaux F 2 F = f 2f 2 F 1 F = f 1 2 F 2 F = f 2 2 (11b) (12a) (12b) En utilisant les formules précédentes, on peut retrouver les expressions des positions des points principaux H et H (formules de Gullstrand 2 et 3) : H 1 H = en 1 n V 2 V (13a) H 2 H = en 2 n V 1 V (13b) Dans le cas où les deux systèmes 1 et 2 sont des lentilles et où n = 1, les expressions se simplient et on trouve : O 1 H = ef 1 = ef f 2 O 2 H = ef 2 = ef f 1 (14a) (14b) 6

8 2 Dioptres Un dioptre est une surface séparant deux milieux homogènes d'indices diérents. Pour rappel, l'indice de réfraction d'un milieu est déni par n = c v où c est la vitesse de la lumière dans le vide, et v celle de la lumière dans le milieu en question. Par exemple, l'indice de l'air vaut pratiquement 1, l'indice de l'eau est de 1.33 et celui du verre est de 1.5. Figure 9 Dioptre sphérique de sommet S et de centre C. 2.1 Loi de Snell-Descartes Au niveau du dioptre, on assiste à un phénomène de réfraction, ou bien dans certains cas, à un phénomène de réexion totale interne. Ceci peut être calculé grâce à la loi de Snell-Descartes. Figure 10 Réfraction au niveau d'un dioptre. On considère un dioptre séparant un milieu d'indice n 1 d'un milieu d'indice n 2 (voir gure 10). Un rayon incident formant un angle i 1 avec la normale au dioptre, ressort avec un angle i 2 par rapport à la normale, selon la relation : n 1 sin i 1 = n 2 sin i 2 (15) On remarque que si n 2 > n 1, alors i 2 < i 1. Pour trouver l'expression de l'angle limite de réexion totale, on pose i 2 = 90 et n 1 > n 2 (d'après la remarque précédente, il ne peut y avoir réexion totale que dans cette condition). On obtient alors : ( ) i lim n2 1 = arcsin (16) 2.2 Vergence On considère un dioptre sphérique séparant un milieu d'un indice n d'un second milieu d'indice n. Ce dioptre a pour sommet S et pour centre C, et on dénit le rayon de courbure du dioptre comme étant la grandeur alébrique : R = SC. La vergence est donnée par la formule suivante : V = n n R On peut parler de dioptre convexe ou concave en considérant toujours le côté sur lequel arrivent les faisceaux lumineux. Un dioptre convexe est arrondi vers l'extérieur, alors qu'un dioptre concave est arrondi vers l'intérieur. Par exemple, sur la gure 11, le dioptre de gauche est convexe alors que le dioptre de gauche est concave. Cependant, un dioptre convexe n'est pas forcément convergent. En eet, si un dioptre convexe air/verre est convergent, un dioptre verre/air convexe est divergent. Les distances focales objet et image sont dénies comme étant : n 1 (17) f = n V (18a) 7

9 Figure 11 A gauche, schéma d'un dioptre convergent (V > 0), à droite celui d'un dioptre divergent (V < 0). f = n V (18b) Ces expressions peuvent être retrouvées en appliquant la relation de conjugaison à une image à l'inni dont l'objet associé est F, et à un objet à l'inni dont l'image associée sera F. On remarque que les distances f et f ne seront jamais égales car n et n sont diérents par dénition même du dioptre. Dioptre plan Dans le cas du dioptre plan, le rayon de courbure est inni. Ainsi la vergence est nulle, et les foyers sont rejetés à l'inni. Le système est donc afocal. 2.3 Eléments cardinaux Les points principaux, H et H, sont confondus au sommet S du dioptre. Ainsi, les distances focales objet et image correspondent aux distances SF et SF respectivement. On remarque également que les points nodaux, N et N, sont confondus avec le centre C du dioptre, ce qui signie qu'un rayon passant par C gardera la même inclinaison par rapport à l'axe optique en tranversant le dioptre. 2.4 Relation de conjugaison La relation de conjugaison de Descartes (voir 1.3.1) appliquée au dioptre sphérique s'écrit : n p n p = n n R (19) où ici p = SA et p = SA. Le grandissement s'exprime toujours : γ = n n p p (20) Cas du dioptre plan La relation de conjugaison devient : et le grandissement vaut : γ = Constructions géométriques n p = n p On considère un objet AB avec A sur l'axe optique et B en dehors, son image associée sera A B. Les trois rayons particuliers à tracer dans le cas du dioptre sont : 1. Le rayon issu du point B parallèle à l'axe optique émerge en passant par le foyer image F. 2. Le rayon issu de B passant par le foyer objet F émerge parallèlement à l'axe optique. 3. Le rayon issu de B passant par le centre C du dioptre ressort parallèlement à lui-même. 8

10 3 Lentilles Une lentille est formée de deux dioptres sphériques qui délimitent un milieu d'indice n. Dans ce cours, nous considèrerons le cas de lentilles plongées dans l'air. Figure 12 Schéma d'une lentille d'indice n composée de deux dioptres de sommets S 1 et S 2. Il existe 6 types de lentilles, diérenciées par les formes des deux faces. Figure 13 Les diérents types de lentilles. 1 : lentille biconvexe, 2 : lentille convexe-plan, 3 : ménisque convergent, 4 : lentille biconcave, 5 : lentille plan-concave, 6 : ménisque divergent. 3.1 Lentilles épaisses Lors de l'étude d'une lentille épaisse, on la considère comme l'association de deux dioptres, air/verre, puis verre/air, de rayons de courbures R 1 et R 2. On utilise donc la relation de conjugaison de Descartes pour le dioptre deux fois, en faisant attention à la distance séparant les deux sommets des dioptres, notée généralement e = S 1 S 2. On peut également calculer la vergence de la lentille grâce à la formule de Gullstrand et trouver la position des éléments cardinaux de celle-ci. 3.2 Lentilles minces Une lentille est considérée mince lorsque son épaisseur est petite devant les rayons de courbures de ses faces, ainsi que devant la diérence des rayons de courbures, soit : e R 1, R 2, R 2 R 1. Les sommets des deux diotpres sont alors confondus au point O appelé le centre de la lentille Vergence La vergence d'une lentille mince est donnée par : V = (n 1)( 1 R 1 1 R 2 ) (21) On peut retrouver cette formule grâce à la formule de Gullstrand, en négligeant le dernier terme contenant l'épaisseur e. Lorsque V > 0, la lentille est convergente, c'est-à-dire qu'elle transforme un objet réel situé à l'inni en une image réelle située en aval de la lentille. Lorsque V < 0, la lentille est divergente, elle tranforme un objet réel situé à l'inni en une image virtuelle située en amont de la lentille. Remarque Contrairement aux dioptres, les propriétés de convergence ou de divergence des lentilles sont intrinsèques, elles ne changent pas en fonction du sens de propagation de la lumière. 9

11 Figure 14 A gauche, schéma d'une lentille mince convergente (V > 0), à droite celui d'une divergente (V < 0) Eléments cardinaux Comme on considère des lentilles minces plongées dans l'air, les distances objet et image focales sont dénies par : f = 1 V (22a) f = 1 V (22b) Dans le cas de la lentille mince, les points principaux et nodaux sont confondus avec le centre O (ce qui n'est pas le cas pour une lentille épaisse). On a donc les relations : f = OF et f = OF Relations de conjugaison Formule de Descartes Pour une lentille mince, la relation de conjugaison de Descartes est la suivante : avec p = OA et p = OA. Le grandissement vaut simplement : 1 p 1 p = 1 f (23) γ = p p (24) Formule de Newton La formule de Newton s'écrit sous la forme : car f = f. Le grandissement est : σσ = f 2 (25) Constructions géométriques γ = f σ = σ f (26) On considère un objet AB avec A sur l'axe optique et B en dehors, son image associée sera A B. Les trois rayons particuliers à tracer dans le cas du dioptre sont : 1. Le rayon issu du point B parallèle à l'axe optique émerge en passant par le foyer image F. 2. Le rayon issu de B passant par le foyer objet F émerge parallèlement à l'axe optique. 3. Le rayon issu de B passant par le centre O de la lentille ressort parallèlement à lui-même. 10

12 4 Miroirs Un miroir est formé d'une surface rééchissante imposant à la lumière un changement de sens de propagation. Ainsi, un rayon arrivant sur la surface d'un miroir, qu'il soit plan ou sphérique, avec un angle i 1 par rapport à la normale repartira dans le sens opposé avec un angle i 2 = i 1. On peut retrouver cette égalité à partir la loi de Snell-Descartes et en posant n 2 = n 1, le changement de signe provenant du changement de sens de parcours de la lumière. Figure 15 Réexions sur un miroir plan et sur un miroir sphérique. 4.1 Vergence On considère un miroir de sommet S et de centre C, plongé dans un milieu d'indice n. Comme pour le dioptre on dénit le rayon de courbure du miroir comme étant R = SC. La vergence est dénit pour un miroir de la façon suivante : V = 2n R (27) Pour la suite on se place dans le cas particulier mais très fréquent où le miroir est plongé dans l'air. On a alors : V = 2 R Dans le cas V > 0, le miroir est convergent, dans le cas V < 0, le miroir est divergent. (28) Figure 16 A gauche, schéma d'un miroir mince convergent (V > 0), à droite celui d'un divergent (V < 0). Le miroir possède une seule face rééchissante, qui est donc orientée vers les rayons incidents. Cette asymétrie a pour conséquence qu'un miroir concave (R < 0) sera forcément convergent (et vice-versa), et qu'un miroir convexe (R > 0) sera forcément divergent. Ceci n'était pas le cas pour le dioptre. Miroir plan Dans le cas d'un miroir plan, le rayon de courbure R est inni, on a donc une vergence nulle. Le système est alors afocal. 4.2 Eléments cardinaux Les expressions des distances focales objet et images sont : f = R 2 (29a) f = R 2 (29b) 11

13 De façon similaire au cas du dioptre, les points principaux d'un miroir sont confondus avec le sommet S et les points nodaux avec le centre C. Alors les distances focales valent f = SF et f = SF. On remarque qu'elles sont égales, on en déduit que les foyers objet et image sont confondus au centre de [SC]. Miroir plan Bien évidemment, pour un miroir plan le centre C ainsi que les foyers sont rejetés à l'inni. 4.3 Relation de conjugaison On considère un miroir plongé dans l'air, de sommet S et de centre C Formule de Descartes La relation de conjugaison de Descartes a la forme suivante : avec p = SA et p = SA. Le grandissement s'écrit quand à lui : Formule de Newton 1 p + 1 p = 2 R γ = p p (30) (31) La formule de Newton s'écrit sous la forme : car f = f. Le grandissement vaut : Miroir plan Pour un miroir plan, la relation de conjugaison devient : σσ = f 2 (32) γ = σ f (33) p = p donc l'image est à la même distance du miroir que l'objet, mais de l'autre côté. Le grandissement γ vaut toujours Constructions géométriques On considère un objet AB avec A sur l'axe optique et B en dehors, son image associée sera A B. Les trois rayons particuliers à tracer pour trouver l'image formée par le miroir sont : 1. Le rayon issu du point B parallèle à l'axe optique émerge en passant par le foyer image F. 2. Le rayon issu de B passant par le foyer objet F émerge parallèlement à l'axe optique. 3. Le rayon issu de B passant par le centre C du miroir est non dévié. 12

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique

Plus en détail

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011 Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

Couples de variables aléatoires discrètes

Couples de variables aléatoires discrètes Couples de variables aléatoires discrètes ECE Lycée Carnot mai Dans ce dernier chapitre de probabilités de l'année, nous allons introduire l'étude de couples de variables aléatoires, c'est-à-dire l'étude

Plus en détail

chapitre 4 Nombres de Catalan

chapitre 4 Nombres de Catalan chapitre 4 Nombres de Catalan I Dénitions Dénition 1 La suite de Catalan (C n ) n est la suite dénie par C 0 = 1 et, pour tout n N, C n+1 = C k C n k. Exemple 2 On trouve rapidement C 0 = 1, C 1 = 1, C

Plus en détail

Physique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:

Physique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant: Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

ELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications

Plus en détail

Comment mettre les mirages en boite?

Comment mettre les mirages en boite? Comment mettre les mirages en boite? 2009 2010 Une idée tordue BRASSEUR Paul DELAYE Cécile QUERTINMONT Joelle Lycée Hoche, Versailles http://apelh.free.fr Résumé Nous nous sommes intéressés au phénomène

Plus en détail

5 ème Chapitre 4 Triangles

5 ème Chapitre 4 Triangles 5 ème Chapitre 4 Triangles 1) Médiatrices Définition : la médiatrice d'un segment est l'ensemble des points équidistants des extrémités du segment (cours de 6 ème ). Si M appartient à la médiatrice du

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples 45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et

Plus en détail

Problème : Calcul d'échéanciers de prêt bancaire (15 pt)

Problème : Calcul d'échéanciers de prêt bancaire (15 pt) Problème : Calcul d'échéanciers de prêt bancaire (15 pt) 1 Principe d'un prêt bancaire et dénitions Lorsque vous empruntez de l'argent dans une banque, cet argent (appelé capital) vous est loué. Chaque

Plus en détail

Introduction a l'algorithmique des objets partages. Robert Cori. Antoine Petit. Lifac, ENS Cachan, 94235 Cachan Cedex. Resume

Introduction a l'algorithmique des objets partages. Robert Cori. Antoine Petit. Lifac, ENS Cachan, 94235 Cachan Cedex. Resume Introduction a l'algorithmique des objets partages Bernadette Charron{Bost Robert Cori Lix, Ecole Polytechnique, 91128 Palaiseau Cedex, France, charron@lix.polytechnique.fr cori@lix.polytechnique.fr Antoine

Plus en détail

Recherche dans un tableau

Recherche dans un tableau Chapitre 3 Recherche dans un tableau 3.1 Introduction 3.1.1 Tranche On appelle tranche de tableau, la donnée d'un tableau t et de deux indices a et b. On note cette tranche t.(a..b). Exemple 3.1 : 3 6

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Compte rendu des TP matlab

Compte rendu des TP matlab Compte rendu des TP matlab Krell Stella, Minjeaud Sebastian 18 décembre 006 1 TP1, Discrétisation de problèmes elliptiques linéaires 1d Soient > 0, a R, b 0, c, d R et f C([0, 1], R). On cerce à approcer

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Produit semi-direct. Table des matières. 1 Produit de sous-groupes 2. 2 Produit semi-direct de sous-groupes 3. 3 Produit semi-direct de groupes 4

Produit semi-direct. Table des matières. 1 Produit de sous-groupes 2. 2 Produit semi-direct de sous-groupes 3. 3 Produit semi-direct de groupes 4 Produit semi-direct Table des matières 1 Produit de sous-groupes 2 2 Produit semi-direct de sous-groupes 3 3 Produit semi-direct de groupes 4 1 1 Produit de sous-groupes Soient G un groupe et H et K deux

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes. Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

Vers l'ordinateur quantique

Vers l'ordinateur quantique Cours A&G Vers l'ordinateur quantique Données innies On a vu dans les chapîtres précédents qu'un automate permet de représenter de manière nie (et même compacte) une innité de données. En eet, un automate

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie

Plus en détail

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On

Plus en détail

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond. PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de

Plus en détail

9 5 2 5 Espaces probabilisés

9 5 2 5 Espaces probabilisés BCPST2 9 5 2 5 Espaces probabilisés I Mise en place du cadre A) Tribu Soit Ω un ensemble. On dit qu'un sous ensemble T de P(Ω) est une tribu si et seulement si : Ω T. T est stable par complémentaire, c'est-à-dire

Plus en détail

Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies

Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Régis Boulet Charlie Demené Alexis Guyot Balthazar Neveu Guillaume Tartavel Sommaire Sommaire... 1 Structure

Plus en détail

Gérer son travail dans Lightroom

Gérer son travail dans Lightroom Gérer son travail dans Lightroom Introduction: Je vous propose ici une façon très efficace d'organiser votre catalogue LR3 que j'emprunte à Timothy Armes, lequel s'est inspiré de la méthode proposée par

Plus en détail

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen Crisis management Crisis management and cooperation in a European group Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 7, Numéro

Plus en détail

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

RapidMiner. Data Mining. 1 Introduction. 2 Prise en main. Master Maths Finances 2010/2011. 1.1 Présentation. 1.2 Ressources

RapidMiner. Data Mining. 1 Introduction. 2 Prise en main. Master Maths Finances 2010/2011. 1.1 Présentation. 1.2 Ressources Master Maths Finances 2010/2011 Data Mining janvier 2011 RapidMiner 1 Introduction 1.1 Présentation RapidMiner est un logiciel open source et gratuit dédié au data mining. Il contient de nombreux outils

Plus en détail

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel

Plus en détail

Angles orientés et trigonométrie

Angles orientés et trigonométrie Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Résolution d équations non linéaires

Résolution d équations non linéaires Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Le produit semi-direct

Le produit semi-direct Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R

2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R 2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R Dans la mesure où les résultats de ce chapitre devraient normalement être bien connus, il n'est rappelé que les formules les plus intéressantes; les justications

Plus en détail

Structures algébriques

Structures algébriques Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe

Plus en détail

Le seul ami de Batman

Le seul ami de Batman Le seul ami de Batman Avant de devenir un héros de cinéma en 1989, Batman est depuis plus de 50 ans un fameux personnage de bandes dessinées aux États-Unis. Il fut créé en mai 1939 dans les pages de Détective

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE

VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Vos premiers pas avec TracenPoche page 1/16 VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Un coup d'oeil sur l'interface de TracenPoche : La zone de travail comporte un script, une figure, un énoncé, une zone d analyse,

Plus en détail

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques ÉCOLE POLYTECHNIQUE FILIÈRE MP Option Physique et Sciences de l Ingénieur CONCOURS D ADMISSION 2010 COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR (Durée : 4 heures) L utilisation des calculatrices

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

CNAM UE MVA 210 Ph. Durand Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul dierentiel 2

CNAM UE MVA 210 Ph. Durand Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul dierentiel 2 CNAM UE MVA 210 Ph. Duran Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul ierentiel 2 Jeui 26 octobre 2006 1 Formes iérentielles e egrés 1 Dès l'introuction es bases u calcul iérentiel, nous avons mis en

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

modélisation solide et dessin technique

modélisation solide et dessin technique CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

Cours Informatique Master STEP

Cours Informatique Master STEP Cours Informatique Master STEP Bases de la programmation: Compilateurs/logiciels Algorithmique et structure d'un programme Programmation en langage structuré (Fortran 90) Variables, expressions, instructions

Plus en détail

LE PROJOPHONE de Fresnel

LE PROJOPHONE de Fresnel LE PROJOPHONE de Fresnel Le principe général est assez simple : l'image de l écran est agrandie et projetée à l'aide de la lentille optique. Nous allons commencer par créer un élément dans lequel le téléphone

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique : Chapitre Chapitre. Séries de Fourier Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction - périodique : c c a0 f x dx c an f xcosnxdx c c bn f xsinn x dx c L objet de

Plus en détail

Condition de stabilité d'un réseau de les d'attente à deux stations et N classes de clients 1

Condition de stabilité d'un réseau de les d'attente à deux stations et N classes de clients 1 General Mathematics Vol. 18, No. 4 (2010), 85108 Condition de stabilité d'un réseau de les d'attente à deux stations et N classes de clients 1 Faiza Belarbi, Amina Angelika Bouchentouf Résumé Nous étudions

Plus en détail

1.5 0.5 -0.5 -1.5 0 20 40 60 80 100 120. (VM(t i ),Q(t i+j ),VM(t i+j ))

1.5 0.5 -0.5 -1.5 0 20 40 60 80 100 120. (VM(t i ),Q(t i+j ),VM(t i+j )) La logique oue dans les PME/PMI Application au dosage de l'eau dans les bétons P.Y. Glorennec INSA de Rennes/IRISA glorenne@irisa.fr C. Hérault Hydrostop christophe@hydrostop.fr V. Hulin Hydrostop vincent@hydrostop.fr

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

I GENERALITES SUR LES MESURES

I GENERALITES SUR LES MESURES 2 Dans le cas d intervention de dépannage l usage d un multimètre est fréquent. Cet usage doit respecter des méthodes de mesure et des consignes de sécurité. 1/ Analogie. I GENERALITES SUR LES MESURES

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Ordonnancement. N: nains de jardin. X: peinture extérieure. E: électricité T: toit. M: murs. F: fondations CHAPTER 1

Ordonnancement. N: nains de jardin. X: peinture extérieure. E: électricité T: toit. M: murs. F: fondations CHAPTER 1 CHAPTER 1 Ordonnancement 1.1. Étude de cas Ordonnancement de tâches avec contraintes de précédences 1.1.1. Exemple : construction d'une maison. Exercice. On veut construire une maison, ce qui consiste

Plus en détail

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire

Plus en détail

Utilisation du visualiseur Avermedia

Utilisation du visualiseur Avermedia Collèges Numériques Utilisation du visualiseur Avermedia Un visualiseur est aussi appelé caméra de table et ce nom rend mieux compte de sa fonction première à savoir filmer un document (revue,carte, dissection,

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Par : Abdel YEZZA, Ph.D. Date : avril 2011 / mise à jour oct. 2012 (ajout de la section 3 et augmentation de la section 1)

Par : Abdel YEZZA, Ph.D. Date : avril 2011 / mise à jour oct. 2012 (ajout de la section 3 et augmentation de la section 1) 1 Que signifient AON et AOA? Par : Abdel YEZZA, Ph.D. Date : avril 2011 / mise à jour oct. 2012 (ajout de la section 3 et augmentation de la section 1) Sommaire 1. Concepts... 2 2. Méthode PCM appliquée

Plus en détail

La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques

La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

FONCTIONS À CROISSANCE RÉGULIÈRE

FONCTIONS À CROISSANCE RÉGULIÈRE P. LEVY (Paris - Francia) FONCTIONS À CROISSANCE RÉGULIÈRE ET ITÉRATION D'ORDRE FRACTIONNAIRE 1. - Une fonction teue que ^c+e~ x sin log x, malgré la lenteur et la petitesse de ses osciuations, nous apparaît

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05 EXCEL PERFECTIONNEMENT Version 1.0 30/11/05 SERVICE INFORMATIQUE TABLE DES MATIERES 1RAPPELS...3 1.1RACCOURCIS CLAVIER & SOURIS... 3 1.2NAVIGUER DANS UNE FEUILLE ET UN CLASSEUR... 3 1.3PERSONNALISER LA

Plus en détail

Mode de pose et apprentissage de Verrou à pêne dormant électronique à pavé tactile. Manuel du propriétaire. Division d'électronique

Mode de pose et apprentissage de Verrou à pêne dormant électronique à pavé tactile. Manuel du propriétaire. Division d'électronique Division d'électronique Une compagnie de Black & Decker 2009 Weiser. Numéro de la pièce: 41635-01 3980 N. Fraser Way Burnaby (C.-B.) V5J 5K5 1-800-501-9471 www.powerbolt.com Mode de pose et apprentissage

Plus en détail

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1 UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés

Plus en détail

Profil Odyssée 360 MCM RAPPORT. Mme A. Stéphanie. 02 Mai 2011. Profil Odyssée 360 MCM - RAPPORT Mme A. Stéphanie - 02/05/2011. www.ecpa.fr P.

Profil Odyssée 360 MCM RAPPORT. Mme A. Stéphanie. 02 Mai 2011. Profil Odyssée 360 MCM - RAPPORT Mme A. Stéphanie - 02/05/2011. www.ecpa.fr P. Profil Odyssée 360 MCM RAPPORT Mme A. Stéphanie 02 Mai 2011 Ce rapport est confidentiel et ne doit pas être remis à des personnes non autorisées. www.ecpa.fr P.1 Sommaire Liste des personnes ayant contribué

Plus en détail

NOTIONS DE PROBABILITÉS

NOTIONS DE PROBABILITÉS NOTIONS DE PROBABILITÉS Sommaire 1. Expérience aléatoire... 1 2. Espace échantillonnal... 2 3. Événement... 2 4. Calcul des probabilités... 3 4.1. Ensemble fondamental... 3 4.2. Calcul de la probabilité...

Plus en détail

Dérivation : cours. Dérivation dans R

Dérivation : cours. Dérivation dans R TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Les pôles commerciaux et leurs magasins

Les pôles commerciaux et leurs magasins Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins

Plus en détail