PROGRAMME DE COOPERATION MAURITANIE - UNICEF o CHAPITRE II PROGRAMME EDUCATION POUR TOUS YE 102

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1 PROGRAMME DE COOPERATION MAURITANIE - UNICEF o CHAPITRE II PROGRAMME EDUCATION POUR TOUS YE 102

2 TABLE DES MATIERES 1. Contexte, justification et opportunités 3 2. Objectifs du programme 5 Wilayas ciblées 7 3. Stratégies du Programme 7 4. Structure du programme 8 5. Couverture géographique et populations bénéficiaires 9 Projet 1 9 Projet Partenariats et Alliances 9 Projet Hypothèses et risques Gestion du programme Suivi/Evaluation Budget du programme Présentation du projet - Développement Intégré du Jeune Enfant Couverture géographique et populations/groupes bénéficiaires Cadre logique du Projet Développement Intégré du Jeune enfant Partenariats et alliances Hypothèses et Risques Gestion du projet Budget du Projet Développement Intégré du Jeune Enfant Présentation du projet : Éducation de Base Formelle et Non Formelle de Qualité Couverture géographique et populations/groupes bénéficiaires Cadre Logique Projet Education de base de qualité Indicateurs de suivi Partenariats et alliances Risques Gestion du projet Budget du projet Education de base Formelle et non Formelle de Qualité Plan Intégré de Suivi & Evaluation 31 Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 2

3 1. Contexte, justification et opportunités Le système éducatif mauritanien a connu une croissance quantitative impressionnante durant la dernière décennie, notamment au niveau de l enseignement fondamental, sous la double impulsion de la priorité accordée au secteur par le Gouvernement et une demande croissante de scolarisation. Cette priorité s est traduite par un accroissement sensible des budgets d investissement et de fonctionnement, malgré une diminution de la part du budget allouée à l Education, due surtout a un blocage des dépenses salariales. Cependant des contraintes continuent à peser sur les performances du secteur. Au niveau central, les principaux défis résident dans la détermination des objectifs sectoriels et leur suivi, le renforcement des systèmes d information statistique, une amélioration de la gestion du personnel, et le renforcement des procédures de planification opérationnelle et budgétaire. Dans le domaine de la petite enfance, la demande croissance et rapide dans le préscolaire ( enfants en 1999 contre 681 en 1996), est limitée par l insuffisance de structures d accueil et de personnel d encadrement. De plus ce secteur s est heurté jusque récemment à une absence de vision globale centrée sur l enfant (reflétée par exemple dans la composante Petite Enfance du PNDSE qui met principalement l accent sur le préscolaire au détriment de la promotion du développement intégral du jeune enfant et de la stimulation parentale). La politique nationale en matière de Petite Enfance, en cours d élaboration, et les réflexions qui ont été initiées dans ce cadre permettent de rectifier cette tendance au profit d une approche plus holistique. L éducation fondamentale a réussi le double pari d augmenter très sensiblement l accès et d absorber l accroissement des effectifs du à la croissance démographique. L évolution du taux brut de scolarisation durant la période a été spectaculaire. On observe cependant depuis 1998 une stagnation de ce taux. La recherche des stratégies innovantes devient de plus en plus urgente. L approche ECPSV qui favorise l implication croissante des communautés dans l éducation des enfants semble être une piste pour résoudre ce problème. Les résultats obtenus dans les régions impliquées dans l expérimentation de cette approche ECPSV (régions qui souffraient d un retard important en matière de scolarisation) le montrent : Tableau: Evolution des taux brut de scolarisation dans les régions pilotes ECPSV et au niveau national Régions pilotes Moyenne nationale 1997/ / / / / / / /01 Garçons 81% 88% 89% 91% 93% 88% 85% 87% Filles 74% 78% 81% 84% 83% 84% 81% 86% Total 79% 83% 85% 87% 86% 86% 83% 86% L offre scolaire n est pas égale pour toutes les régions et des disparités persistent. L existence de nombreuses écoles à cycle incomplet (82% en 2002) fait que souvent "ce n est pas l élève qui abandonne l école mais bien l école qui abandonne l élève". Il a été enregistré entre 1990 et 1999 à la fois une accentuation des déperditions et une baisse du taux de survie scolaire qui est passé de 74% à 56,2%. La tendance se poursuit puisque le taux de rétention est passé ensuite de 55% en 1999/2000 à 51% en 2000/2001 et à 48,15 en 2001/2002. Par contre, les effets de la sensibilisation qui a suivi l institution de l obligation de l enseignement fondamental (en 2001) se font sentir puisque le taux d accès en première année du fondamental (1AF) a bondit de 14 points en 2001/2002 pour atteindre 111,5%. Il faut noter aussi l absence d un encadrement de proximité efficace des enseignants, le manque de cartes scolaires opérationnelles, l insuffisance d outils didactiques et de manuels, Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 3

4 et le faible niveau d acquisition des élèves. L Education de base, en intégrant à présent le premier cycle du secondaire, s oriente vers le défi de la qualité et de l efficacité. Les filles sont encore trop peu scolarisées dans le secondaire : le taux brut de scolarisation des filles en 2001/2002 passe de 88,2% dans le premier degré à 14% dans le secondaire (contre respectivement 87,8% et 20% pour les garçons). Le taux de transition (passage de la 6ème année fondamentale à la 1ère année du secondaire) entre 2000/2001 et 2001/2002 est de 35,8% pour les filles et 41,3 % pour les garçons. En 2002, les filles représentent 43% de l effectif des enfants du premier cycle secondaire. Les taux de déperdition en cours de scolarité sont très élevés dans le secondaire, notamment pour les filles. Selon une estimation sur la base d une cohorte reconstituée de 1000 filles admises en 1ère année du secondaire, seulement 73 obtiennent leur diplôme. Enfin on observe un important écart entre le taux de réussite des filles et celui des garçons (en 2002, 23% pour les garçons au baccalauréat et seulement 10% pour les filles). Tableau: Réussite au baccalauréat dans les Wilayas de concentration et au niveau national (session 2002) Wilaya (Région) Nombre de Taux Nombre de garçons Taux filles admises d admission admis d admission Assaba % % Brakna 67 9 % % Gorgol % % Guidimakha % % Les études sur les contraintes à la scolarisation des filles en Mauritanie ont identifié comme principales causes d abandon : l extrême pauvreté des parents qui ne peuvent payer les frais de scolarisation, la distance à parcourir entre les établissements et le lieu de résidence de la famille, les tâches domestiques traditionnellement assumées par les filles, les mariages et les maternités précoces (une fille sur deux est mariée dès l âge de 14 ans) et les représentations sociales discriminatoires de l identité et du rôle de la femme, conduisant à une dévalorisation des études pour les filles. Le nombre réduit de femmes enseignantes au niveau du secondaire ne permet pas encore de compenser cette image (14,5% des enseignants dans le 1er cycle et 9,7% dans le 2ème cycle en 2000/2001). Dans le secondaire, la croissance trop rapide des effectifs n a pas permis de maintenir la cohérence pédagogique dans les établissements, ni l encadrement et l équipement nécessaire (on trouve en moyenne 3,5 élèves par banc de 2 places). Fort de ces constats, une réforme du système éducatif a été lancée en avril 1999 complétée par la mise en place du Programme National de Développement du Secteur Educatif (PNDSE) pour la période (voir le sommaire des axes majeurs de cette réforme au paragraphe 3.1). Ce Programme a suscité un intérêt particulier des principaux bailleurs de fonds et l UNICEF y est étroitement associé. L éligibilité successive de la Mauritanie à l initiative de réduction de la dette en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE), puis en 2002 à l Initiative Education Pour Tous Accélérée (Fastrack) offre aussi une opportunité pour le système éducatif mauritanien de bénéficier d importantes ressources supplémentaires qui sont nécessaires pour relever les défis de l équité dans l accès et de la qualité de l éducation de base. De même, la forte mobilisation des communautés et des acteurs privés en faveur de la Petite Enfance offre des opportunités pour créer un cadre trans-sectoriel en faveur du développement intégré du jeune enfant. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 4

5 2. Objectifs du programme Tenant compte des orientations nationales, des priorités du Plan Stratégique à Moyen Terme de l UNICEF ( ), de la nécessité d une continuité avec le programme de coopération Mauritanie-UNICEF précédent, des partenariats potentiels et des avantages comparatifs de l UNICEF et des autres partenaires, les domaines d intervention prioritaires suivants ont été identifiés dans le cadre du Programme Education pour Tous: l appui au développement et à la mise en œuvre de la politique nationale en faveur du jeune enfant l amélioration de l accès et de la qualité de l éducation de base (formelle / non formelle) dans les zones géographiques de concentration des activités du programme. Objectifs du Programme Indicateurs Moyen de vérification Au niveau national (Contribution à l atteinte des objectifs du PNDSE ) Existence d une Politique 1. Contribuer à la promotion Nationale Politique Nationale d'un environnement favorable No. de personnels formés ratifiée au développement du jeune No de Centres de Ressources Rapports de Missions enfant en appuyant la mise fonctionnels Rapports des Centres en œuvre de la politique No. de structures affiliées aux de Ressources nationale en faveur du Centre de Ressources Recensement scolaire développement intégré du No d enfant bénéficiant annuel jeune enfant d activités d éveil 2. Contribuer à renforcer les capacités des communautés à assurer le développement holistique de la Petite Enfance 3. Développer et appuyer des initiatives communautaires en matière de Petite Enfance 4. Mettre en place un système de formation/encadrement pour le développement de la Petite Enfance 5. Contribuer à l'atteinte de l accès universel à l éducation de base (formelle/non formelle) d ici Contribuer à l'élimination des disparités entre filles et garçons dans le primaire et le premier cycle du secondaire 7. Contribuer à faire passer le TBS de 86 % à 91 % en 2005 et 95% en Contribuer à augmenter du taux net de scolarisation primaire de 63% à 75% d ici 2008, 67 garderies communautaires existantes renforcées 73 nouvelles structures renforcées et la capacité d accueil doublée d ici 2006 Taux d accroissement annuel de la capacité d accueil des garderies communautaires (obj : 15% par an d ici 2008). 1 centre national de formation pour la PE fonctionnel en 2003 ; 13 formateurs PE opérationnels en 2004 ; 10 centres ressources existants et renforcés en 2005 ; 317 nouvelles éducatrices communautaires formées et 268 éducatrices communautaires perfectionnées en 2006 Taux Brut de Scolarisation Taux Net de Scolarisation Taux Brut de Scolarisation Taux Net de Scolarisation Ratio G/F Taux Brut de Scolarisation Nombre d enfants de 6-11 ans scolarisés Taux de survie à la 6ième année national, régional et local (école) Rapports SECF Rapports SECF Rapports SECF/MEN/MSAS Recensement Scolaire annuel Recensement Mahadras Données démographiques Recensement Scolaire Annuel Données démographiques Recensement Scolaire Annuel Données démographiques Recensement scolaire annuel Modèle de simulation de l efficacité du système Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 5

6 Objectifs du Programme Indicateurs Moyen de vérification 9. Contribuer à faire passer le Recensement scolaire taux de rétention des élèves annuel terminant le cycle Taux de survie à la 6ième année Modèle de simulation fondamental de 55% à 67 national, régional et local (école) de l efficacité du % en 2005 et à 75 % en système Contribuer à faire passer le taux de maîtrise des programmes de 33 % à 45 % en 2005 et 60 % en Contribuer à faire passer le taux de redoublement de 15 % à 9% en 2005 et à 8 % en Contribuer à faire passer le nombre d élèves par maître de 48 à 44 en 2005 et à 42 en Contribuer à assurer une parité filles-garçons dans le 1er cycle secondaire général 14. Contribuer à mettre en place un système d information au niveau du SEAO Au niveau des zones de concentration 1. Mettre en œuvre des approches intégrées pour le développement du jeune enfant, centrées sur la famille et les communautés dans 8 Moughataa (67 communautés pilotes d ici 2005). 2. Contribuer à augmenter le taux net de scolarisation primaire (voir tableau cidessous : objectifs désagrégés par sexe et par Wilaya ciblée) 3. Favoriser la création de passerelles entre l enseignement originel et l enseignement formel 4. Augmenter la proportion des filles qui atteignent la 6ème année du fondamental (voir tableau ci-dessous : objectifs désagrégés par sexe et par Wilaya ciblée) 5. Augmenter le nombre de filles inscrites en première année de l enseignement secondaire de 1236 à 3000 (voir tableau ci-dessous : objectifs désagrégés par Wilaya ciblée) Rapports d évaluation annuels Taux de rendement interne Ratios élèves/maître Indices de parité filles/garçons Questionnaire recensement annuel des mahadras No. de sites engagés dans des activités ciblant le JE No de formation dispensée en direction des communautés/ parents de JE No. d activités nécessitant une collaboration d expertise intersectorielles /interministérielles Taux Net de Scolarisation Nombre d enfants de 6-11 ans scolarisés Nombre d enfants indiquant sur le fiche de transfert que la source est de provenance système originel Taux de survie à la 6ième année national, régional et local (école) Nombre de filles admises en 1er AS Cellule Nationale d Evaluation de l IPN Recensement scolaire annuel Modèle de simulation de l efficacité du système Recensement scolaire annuel Modèle de simulation de l efficacité du système Recensement scolaire annuel Modèle de simulation de l efficacité du système Base de données Missions/ Rapports suivi de programme Rapport annuel de CNFPE (Centre National de Formation pour la Petite Enfance) Recensement Scolaire Annuel Données démographiques Recensement scolaire annuel Recensement scolaire annuel Modèle de simulation de l efficacité du système Fichier de concours d entrée en 1er AS Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 6

7 Wilayas ciblées Taux net de scolarisation Taux net de scolarisation observé en 2001 attendu en 2008 G F T G F T Assaba 71.5% 64.5% 68.0% 81.5% 76.7% 79.1% Brakna 71.6% 66.0% 68.8% 83.1% 80.6% 81.9% Gorgol 62.9% 54.4% 58.7% 74.7% 68.2% 71.5% Guidimakha 72.0% 64.3% 68.2% 83.8% 76.0% 80.0% Wilayas ciblées Proportion de filles ayant atteint la 6ème AF en 2001 Proportion de filles attendues en 6ème AF en 2008 Assaba 41.8% 80% Brakna 66.5% 95% Gorgol 44.9% 82% Guidimakha 33.2% 70% Wilayas ciblées Nombre de filles inscrites en 1ère AS en 2001 Nombre de filles attendues en 1ère AS en 2008 Assaba Brakna Gorgol Guidimakha Stratégies du Programme Au niveau national, le programme développera des stratégies visant principalement : le plaidoyer auprès des décideurs pour la conception, l adoption et la mise en œuvre de la Politique Nationale de la Petite Enfance (PNPE), le renforcement de la planification conjointe, et des partenariats/alliances stratégiques en faveur de la petite enfance, de la scolarisation des filles et des adolescentes, et de l éducation non formelle, dans le cadre de la réforme du secteur Education (PNDSE), le renforcement des capacités de planification, de coordination, et de suivi/évaluation des directions centrales du MEN, du SECF et du SEAEO, le renforcement de la fonctionnalité du Système National d Information de l Education en vue d améliorer la collecte et l analyse de données désagrégées par Région et par sexe, Au niveau des zones de concentration, le programme appuiera : le développement d activités d éveil, de stimulation psychosociale et d encadrement préscolaire du jeune enfant à travers 1) la sensibilisation et l information des familles sur l importance de l encadrement du jeune enfant, 2) le renforcement des capacités des prestataires de services (ONGs, relais communautaires, etc.), 3) l appui aux prestations de services en faveur du jeune enfant et, 4) la collaboration intersectorielle pour la mise en œuvre d approches pilotes intégrées pour le développement du jeune enfant, l amélioration de la qualité de l éducation de base à travers une combinaison d activités de sensibilisation, de renforcement des capacités et de prestation de Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 7

8 services visant notamment à promouvoir l approche EPSCV, favoriser la participation des élèves et de leurs parents, améliorer la pertinence des contenus d apprentissage, et renforcer l encadrement de proximité des enseignants, le renforcement de la complémentarité et des passerelles entre l enseignement originel (mahadra) et formel par échanges permanents d activité d enseignement (disciplines scientifiques et langues) et d équipements en matériels pédagogiques, l accroissement de la demande d éducation, de la fréquentation et du rendement scolaire des filles au premier cycle du secondaire, l appui à l émergence et au développement des réseaux de jeunes et associations d élèves pour des échanges d expériences et de productions culturelles entre les élèves des régions cibles du programme(dpnj/djep) la protection des jeunes et des élèves contre les méfaits du tabagisme, de l alcoolisme, de la toxicomanie, de la délinquance, de la prostitution et contre les IST et le VIH/SIDA En accord avec les principaux partenaires impliqués dans mise en œuvre du PNDSE, et tenant compte de ses ressources financières limitées, le programme favorisera chaque fois que possible, en terme de stratégie de mise en œuvre de ses activités au niveau décentralisé, l adoption d une approche systémique, c est à dire qui contribue à la validation opérationnelle des modèles, approches et stratégies proposées dans le cadre du PNDSE. C est pourquoi, au niveau de chaque région ciblée, le programme favorisera la concentration de ses interventions dans des entités administratives délimitées (communes, départements) avec l objectif d atteindre dans ces zones les objectifs assignés (Par exemple : Atteindre la scolarisation universelle dans un département donné de la zone d intervention; mettre en place un réseau communal ou départemental de petite enfance ; maîtriser la problématique de la scolarisation des filles depuis le préscolaire jusqu au secondaire, etc.). Le programme facilitera ainsi la création d une masse critique de personnes ressources formées et compétentes au niveau décentralisé et maîtrisant les approches stratégiques proposées dans le cadre du PNDSE. Une attention particulière sera accordée à la mesure de l impact et des résultats des interventions, à l évaluation des coûts unitaires induits, à l identification des risques, à l analyse de la pérennité des interventions mises en œuvre et à la documentation. Dans le contexte de réforme sectorielle, la mise à disposition de ces différents éléments d aide à la décision au niveau du collectif des partenaires du PNDSE permettra : de contribuer à valider les approches proposées, de disponibiliser des informations validées sur la faisabilité des objectifs proposés et sur les coûts opérationnels induits, et donc de faciliter l orientation des ressources du Gouvernement et des autres bailleurs de fonds en vue d une accélération de la couverture. 4. Structure du programme PROGRAMME EDUCATION POUR TOUS Développement du Jeune Enfant Education de Base Formelle/Non formelle Politique Nationale de Petite Enfance Amélioration Qualité Education Primaire Prise en Charge Intégrée du Jeune Enfant Appui mise en oeuvre Stratégies Educatives PNDSE Scolarisation des Adolescentes Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 8

9 5. Couverture géographique et populations bénéficiaires Le Programme se concentre principalement dans 4 wilayas (Assaba, Brakna, Gorgol et Guidimakha) et dans les zones périurbaines de Nouakchott (El Mina, Dar Naim) et de Nouadhibou. Il interviendra aussi dans la wilaya du Trarza dans le cadre du suivi d activités déjà initiées au titre du précédent Programme dans le domaine de la Petite enfance. Dans les 4 wilayas de concentration rurale, le programme couvrira une population totale de personnes dont femmes, enfants de 0-8 ans et enfants de 6 à 11 ans qui bénéficieront directement ou indirectement du programme. Cependant, en conformité avec les orientations stratégiques, 8 Moughataas, Barkéol et Kankossa en Assaba ; Boghé et Maghta-Lahjar au Brakna ; Monguel et M Bout au Gorgol et Sélibaby et Ould Yengé au Guidimakha (choisies sur la base de critères complémentaires pauvreté, persistance de disparités, dynamique communautaire, opportunités de partenariat, infrastructures existantes) et couvrant personnes dont femmes, bénéficieront dans un premier temps d une concentration des activités opérationnelles. Dans ces 8 moughataas, les enfants âgés de 0 à 15 ans seront les principaux bénéficiaires, soit un total de enfants (dont filles). Les bénéficiaires principaux du programme sont donc les enfants de 0-18 ans qui sont défavorisés et/ou issus de milieux pauvres empêchant une offre d opportunités en matière éducative. La nature des besoins et de la situation des enfants changent au cours de leur développement vers l âge adulte. Le programme distingue trois différents groupes d enfants selon la phase de leur vie : PROGRAMME Couverture géographique Populations bénéficiaires Enfants 0-8 ans Projet 1 Parents Brakna, Gorgol, Assaba, Développement Membres des réseaux Petite Guidimakha NKC (El Mina, Dar Intégré du Jeune Enfance Naim), NDB Enfant Monitrices des jardins d enfant et Animatrices communautaires Projet 2 Éducation de Base Formelle et Non Formelle de Qualité 6. Partenariats et Alliances Milieu rural : Assaba, Brakna, Gorgol et Guidimakha Enfants de 6 à 15 ans Enseignants du primaire et premier cycle du secondaire Cheikhs de Mahadras Associations de parent d élèves Diffuseurs de l éducation L élément fédérateur des partenariats et alliances dans le domaine de l éducation est depuis l année 2001, le Programme National de Développement du secteur de l éducation (PNDSE). Tous les principaux bailleurs de fonds du secteur y participent (BM, BAD, BID, Coopération française, UNICEF, PAM, UNESCO, bailleurs impliqués dans l Initiative d allègement de la dette-ippte, etc.). Les revues semestrielles du PNDSE sont l occasion de réunions de coordination entre tous les bailleurs de fonds durant lesquelles, les positionnements stratégiques, les contraintes et les opportunités sont discutées. L UNICEF, de part son orientation vers les activités opérationnelles et sa présence sur le terrain dispose d un crédit technique important. La Norvège (à travers l Initiative de scolarisation des filles en Afrique) et la France (à travers le programme inter pays de recherche action sur la scolarisation des filles), mais aussi le Canada et le Japon (à travers une approche mixte scolarisation des filles/micro-crédit aux femmes) sont aussi des partenaires techniques et financiers clés du programme entre le Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 9

10 Gouvernement-UNICEF. Ce partenariat devrait se poursuivre en et pourrait être étendu au-delà. Dans le cadre de la coordination inter agences du Système des Nations Unies, une collaboration importante a été initiée depuis 2001 entre le PNUD, le FNUAP, l OMS et l UNICEF dans le cadre du Programme «Eduquer les Adolescentes pour soutenir le développement des communautés» qui est financé par la Fondation des Nations Unies (UNF)s. Cette intervention conjointe sera poursuivie dans le cadre de UNDAF à partir de De plus, une collaboration inter agences se profile autour des écoles primaires avec le PAM (Cantines scolaires), la FAO (jardins scolaires) et l UNICEF (ECPSV). Le démarrage de UNDAF en 2003, sera l occasion de renforcer la convergence géographique des interventions et optimiser les synergismes entre ces différentes activités. Cette collaboration bénéficiera de l appui technique du nouveau projet conjoint PAM/UNICEF autour de l éducation de base crée en 2002 et basé à Rome. Dans le domaine de la Petite Enfance, l effort en cours pour la préparation de la politique nationale de petite enfance a permis un renforcement du partenariat entre l UNICEF et la Banque Mondiale au niveau local avec le Canada et la France qui appuient financièrement la politique PE mais aussi le développement des réseaux régionaux de la Petite Enfance. Depuis 2002, un partenariat très fructueux s est aussi instauré avec l Association pour le Développement de l Education en Afrique (ADEA) et le bureau Régional de l UNICEF pour l Afrique de l Ouest et du Centre qui, à travers l expertise internationale et les réunions et échanges inter pays, contribuent significativement au processus. La collaboration avec les ONGs est encore timide dans le cadre du programme. Deux expériences prometteuses seront poursuivies : la collaboration avec l ONG ADRA-M dans le domaine de l approvisionnement en eau/assainissement au niveau des écoles, et, la collaboration avec le Corps de la Paix américain, dans le cadre de la scolarisation des adolescentes (approche rattrapage scolaire par les pairs et accès aux NTIC). L implication des ONGs devrait être plus effective pour pouvoir participer à la mise en œuvre, au suivi et à l évaluation des activités de terrain dans le cadre d une dynamique communautaire ayant pour finalité l habilitation des populations et l appropriation par ces dernières des approches expérimentales afin de faire d elles les véritables acteurs de leur propre développement. L ancrage résolument décentralisé du programme devrait permettre aussi de créer de nouveaux partenariats, notamment dans le domaine de l encadrement des associations d élèves (ex : ANDC au Brakna) et des festivals scolaires (ex: Scouts et Guides de Mauritanie. PROGRAMME Projet 1 Développement Intégré du Jeune Enfant Projet 2 Éducation de Base Formelle et Non Formelle de Qualité Agences SNU (UNDAF) OMS, PAM OMS, FNUAP, PAM, UNESCO Agences Multi/Bilatérales BM, Canada, France, Pays Bas BM, BAD, BID France, Japon, Norvège, Pays Bas ONGs et Associations ADEA, World Vision, Corps de la Paix, ONG Locales et Associations Féminines Adra-M, Tenmiya, Associations des Jeunes et Coopératives Féminines, 7. Hypothèses et risques L absence d une politique nationale de la Petite Enfance encore adoptée et d un cadre juridique révisé en conséquence est un obstacle qui devrait être levé dans le courant de l année Par contre, l insuffisance des effectifs du personnel d encadrement compétent en matière d encadrement et de développement intégré du jeune enfant, le déficit en structures d accueil des jeunes enfants et la faiblesse des ressources budgétaires affectées à ce domaine, constituent des handicaps majeurs qu il faut adresser correctement dans la phase initiale du projet. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 10

11 La priorité accordée à la formation, à travers la création d un centre de formation sur la Petite Enfance (en collaboration avec la BM), la promotion des approches à base communautaire (éducation parentale, implication des communes et des associations en matière d encadrement du jeune enfant) sont une partie des réponses opérationnelles à ces contraintes. L absence d un système d information fiable sur la Petite enfance, permettant d évaluer et de disponibiliser les indicateurs de progrès, la méconnaissance des populations quant à l importance de certains volets de l encadrement du jeune enfant, mais aussi la pauvreté de certains ménages seront aussi des éléments à prendre en compte. Cependant, par l enthousiasme qu il a suscité au niveau de certaines régions, le système de réseaux régionaux Petite Enfance démontre que la demande communautaire existe et que le problème de l encadrement du Jeune Enfant fait bien partie des préoccupations des communautés (pour réduire la mortalité infantile, pour mieux prendre soin de l enfant et préparer son avenir, pour libérer les mères pour les travaux, etc.). Au niveau de l éducation de base, la question d accès se pose avec moins d acuité avec un taux de scolarisation de plus de 80 %. Mais la qualité de l éducation, la rétention (particulièrement des filles), l équité dans l accès aux niveaux supérieurs ), les besoins en ressources humaines et leur motivation restent de grands défis. En revanche, les points de convergence que sont la scolarisation obligatoire des enfants, l élargissement de l éducation de base au 1er cycle du secondaire, l ouverture de l entrée en 1ère année du secondaire à un plus grand nombre d enfants, en particulier les filles dans le cadre du volet «éducation des adolescentes», l amélioration de la qualité de l éducation et le renforcement du suivi de proximité des enseignants donnent l opportunité au programme d obtenir aux résultats escomptés. 8. Gestion du programme Le Ministère de l Education Nationale (MEN) assurera la coordination générale du programme Education pour Tous. Dans la ligne des mécanismes de planification/coordination mis en place dans le cadre du PNDSE, la Direction de la Planification et de Coopération (DPC) sera en charge de la coordination générale et du suivi de l exécution du programme Education pour Tous. La collaboration technique étroite entre l équipe du Programme et la Direction de la Coordination des projets éducation au Ministère des Affaires Economiques et du Développement (MAED) sera aussi poursuivie. Afin de s intégrer au mieux dans la réforme sectorielle Education et poursuivre l approche commune de planification/coordination/suivi des interventions initiées dans le cadre du PNDSE, les activités de planification annuelle, de revues périodiques (trimestrielles, semestrielles et annuelle) et de suivi/évaluation du programme Education pour Tous seront intégrées chaque fois que possible dans le mécanisme de suivi de la mise en œuvre du PNDSE tel que proposé par le Ministère de la Santé et des Affaires Sociales. Les Directions responsables de la mise en œuvre des différents projets et sous projets constitutifs du Programme Education pour Tous seront tenues de produire et mettre à la disposition de la DPC/MEN en temps utile toutes les informations nécessaires à la planification au suivi et à l évaluation des activités. Les activités planifiées annuellement dans le cadre du Programme Education pour Tous (PPAs) seront identifiées et négociées durant les exercices de préparation des plans d action annuels (au niveau régional et au niveau central) puis intégrées systématiquement dans le plan d action consolidé du PNDSE afin de prendre en considération la contribution de l UNICEF à la réforme sectorielle. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 11

12 Concernant les revues semestrielles de la mise en œuvre des activités planifiées, les Directions en charge des projets et sous projets devront disponibiliser les éléments suivants : une revue de l état d avancement de l exécution physique des activités planifiées avec UNICEF et des contraintes et opportunités rencontrées si nécessaire, les suggestions de modification des activités planifiées dûment argumentées un état des dépenses effectuées sur le compte du projet. Lorsque nécessaire, en plus des réunions et revues ordinaires planifiées dans le cadre du PNDSE, des réunions extraordinaires spécifiques sur le programme Education pour Tous (ou sur l un de ses projets constitutifs pourront être sollicitées) par l une ou l autre des deux parties afin de traiter un point particulier. Ces réunions seront organisées sous l égide du Comité de Coordination du programme Education pour Tous constitué de : La Direction de la Planification et de la Coopération (DPC) Les Directions (ou services les représentants) impliquées dans la programmation, l exécution et l évaluation des différents projets Le chargé de programme Education pour Tous à l UNICEF Les cadres en charge du suivi de la mise en œuvre des projets au niveau de l UNICEF. Tableau : Responsabilité dans la coordination Programme/Projets/Sous projets PROGRAMME EDUCATION POUR TOUS Projet 01 : DEVELOPPEMENT INTEGRE DU JEUNE ENFANT SP : Politique nationale de Petite Enfance SP : Prise e charge intégrée du Jeune enfant Projet 02 : EDUCATION DE BASE FORMELLE/NON FORMELLE SP : Amélioration de la qualité éducation primaire SP : Appui mise en œuvre des stratégies éducatives PNDSE SP : Scolarisation des adolescentes Coordination Gouvernement Direction de la Planification et de la Coopération (MEN) Direction de la Famille et de l Enfant (SECF) Direction de la Famille et de l Enfant Antennes régionales du SECF Direction Planification et Coopération Direction de l Enseignement Fondamental (MEN) Direction Planification et Coopération (MEN) Direction Enseignement Secondaire (MEN) et DPC (coordination UNF) Coordination UNICEF Chargé de Programme Education Chargé de Programme Education + TFT Petite Enfance Chargé de Projet Education Chargé de projet Education Chargé de Programme Education Les autres dispositions pratiques relatives aux procédures financières et aux engagements des deux parties sont celles consignées dans le Volume I du Plan Cadre d Opérations (Articles X, XIII et XIV) qui régit la coopération entre le Gouvernement mauritanien et l UNICEF. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 12

13 9. Suivi/Evaluation Les mécanismes de Suvi/Evaluation s appuieront sur un ensemble d instruments (bases de données, modèles de simulation, cartes scolaires) ainsi que sur le renforcement des structures centrales, régionales et locales concernées. Tout en s inscrivant dans la logique de la Cellule de Planification-Suivi/Evaluation du Programme de Coopération Mauritanie-Unicef, ils s inspireront des grandes orientations du PNDSE pour une coordination du Programme au niveau central et régional. Cette synergie renforcera les mécanismes de planification, de suivi et d évaluation du programme pays, stimulera les partenariats et la coordination avec les autres partenaires au développement et aidera à mesurer l impact et l efficience des interventions. Niveau central : Le programme s intègrera autant que faire ce peut dans les mécanismes de planification, suivi et coordination mis en œuvre par le Gouvernement dans le cadre de la réforme sectorielle (PNDSE). Cette coordination est assurée par la Direction de la Planification et de la Coopération (DPC/MEN) en étroite collaboration avec la Direction des Projets Education/Formation (DPEF/MAED) à travers des revues semestrielles et annuelles et des réunions de concertation inter bailleurs. Au niveau de chacun des projets, des réunions trimestrielles de revue de l état d avancement des activités seront planifiées par les deux parties et permettront d alimenter les revues PNDSE. Chaque fois que nécessaire des réunions extraordinaires pourront être initiées par l une ou l autre des parties en réponse à un point spécifique. Des missions conjointes (DPC, DEF, CIP, DFE et DJEP) de suivi et mise en œuvre des plans d action annuels et des contrats de progrès signés avec les communautés dans les zones d intervention du Programme (rapports de suivi et de supervision.) seront organisées afin de faciliter la coordination transversale du programme. Pour tenir compte de l option «renforcement de la qualité de l éducation de base», il sera fait appel à la Cellule d évaluation de l IPN spécialisée dans l évaluation des acquis pour conduire des tests de connaissances dans les matières de base (calcul, langues et disciplines d éveil) auprès des élèves cibles (enquêtes, sondages, grilles d évaluation des connaissances). Ces activités seront conduites durant l année scolaire par les superviseurs avec le concours des diffuseurs centraux. Niveau régional Sous la Coordination des Directions Régionales de l Education, les équipes régionales de diffusion appuyées par les cellules régionales de planification et des statistiques logées au sein des observatoires régionaux pour la scolarisation des filles constitueront les chevilles ouvrières de ce suivi/évaluation grâce à leur présence permanente sur le terrain où elles assurent un travail de proximité avec les communautés pour la mise en œuvre des activités du programme (questionnaires de collecte de données, enquêtes ponctuelles, état d exécution des PPA des sites, rapports bilan). D ici la revue à mi-parcours en 200, deux études seront réalisées. L une concernera la contribution de l enseignement non formel dans la scolarisation universelle et l impact de sa complémentarité avec le formel dans la qualité de l éducation ; l autre évaluera les changements de comportements des élèves et leurs parents en matière d hygiène/santé/nutrition et de l amélioration de la qualité de l éducation et des conditions d apprentissage basées sur l approche ECPSV dans les sites de la zone d intervention. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 13

14 10. Budget du programme Total (US $) Projet1: RR 34,000 33,000 35,000 32,000 35,000 36, ,000 Développement OR Intégré du Jeune 106, , , , , , ,000 Enfant Total 140, , , , , , ,000 Projet 2: RR 167, , , , , , ,000 Éducation de OR Base Formelle et 450, , , , , ,000 3,101,000 Non formelle de qualité Total 617, , , , , ,000 4,063,000 Appui au RR 110, , , , , , ,000 Programme (AT ; OR Coûts 44,000 46,000 55,000 51,000 58,000 66, ,000 transversaux) Total 154, , , , , ,000 1,014,000 TOTAL RR 311, , , , , ,000 1,860,000 TOTAL OR 600, , , , , ,000 4,150,000 TOTAL EPT 911, ,000 1,035,000 1,089,000 1,085, ,000 6,010,000 Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 14

15 11. Présentation du projet - Développement Intégré du Jeune Enfant Titre du Projet: Code d identification du Projet : Ministère en charge de la coordination : Couverture géographique : Population bénéficiaire : Budget (US $) : Développement Intégré du Jeune Enfant YE 102/D Secrétariat d Etat à la Condition Féminine Assaba, Brakna, Gorgol, Guidimakha, Nouakchott, Nouadhibou, Trarza Enfants 0-8 ans Parents Membres des réseaux Petite Enfance Monitrices des jardins d enfant et Animatrices communautaires RR OR Total L éducation préscolaire reste très peu développée, cependant, le nombre de jardin d enfants connaît une croissance rapide sous la pression d une forte demande (139 en 2000 contre seulement 9 en 1996). Une estimation donnerait un taux de pré scolarisation d environ 3.6% en Une stratégie nationale de la petite enfance a été élaborée et une politique nationale est en cours de préparation afin de favoriser le développement intégral du jeune enfant Le projet Développement intégré du jeune enfant est basé sur une approche transversale et multidimensionnelle qui vise à renforcer la capacité de ceux qui ont la charge des jeunes enfants de 0-8 ans, les familles, les communautés, les structures publiques. Son but est d améliorer les soins et services aux jeunes enfants et le milieu dans lequel ils évoluent afin de leur offrir le meilleur départ possible dans la vie. Cette perspective englobe les domaines de la santé, la nutrition l eau, l assainissement et l hygiène, l éveil et l apprentissage ainsi que la protection. Au niveau central, le projet facilitera la promotion de la Politique nationale en faveur de la petite enfance élaborée en 2001/2002. Il poursuivra et renforcera le plaidoyer, l information et la sensibilisation sur l importance de la mise en œuvre de l approche intégrée pour le développement du jeune enfant et sur les bénéfices attendus pour les jeunes enfants auprès des décideurs nationaux, des organisations de la société civile (notamment par le canal du Groupe Parlementaire Mauritanien pour l Enfant, de l Association des Maires Mauritaniens défenseurs des enfants, etc. ) et autres partenaires. Une attention particulière sera accordée au renforcement de la fonctionnalité du Comité Intersectoriel pour la Petite Enfance en vue de mobiliser l ensemble des secteurs concernés (SECF, MEN, MSAS, Communication, SEAEO, etc.), à l accélération et au renforcement du système de formation au niveau du Centre de Ressource et de Formation sur la Petite Enfance (CRFPE), au renforcement des partenariats, notamment avec les ONGs en vue de la mise en œuvre de la politique nationale. Au niveau décentralisé, le projet visera la promotion des initiatives communautaires et l éducation parentale en matière d encadrement du jeune enfant en accordant une attention particulière aux dimensions éveil, développement psychosocial et affectif. Il appuiera les réseaux régionaux de Petite Enfance et les structures d accueil publiques ou communautaires ou seront développées simultanément des activités d hygiène et de nutrition. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 15

16 Pour ce faire, le projet favorisera la création et l organisation de la demande en appuyant les membres 1 des réseaux Petite Enfance existants dans les zones de concentration du programme (Aleg, Kaédi, Nouakchott, Nouadhibou) et en créant deux nouveaux réseaux (Sélibaby, Kiffa). L appui au réseau de Rosso sera poursuivi puis progressivement transféré à d autres partenaires opérant dans cette région. Les réseaux renforceront la sensibilisation et le partage d information auprès des communautés et des familles sur l importance de l encadrement du jeune enfant. Ils sensibiliseront les familles sur leur rôle primordial et déterminant dans l éducation des jeunes enfants et favoriseront la diffusion des messages clés de Savoir Pour Sauver relatifs au développement intégré du jeune enfant. Le projet renforcera les capacités des prestataires de services (agents de l Etat, ONGs, communes, relais communautaires) pour répondre à ces demandes et appuiera les prestations de services correspondantes en matière d éveil du jeune enfant (habilitation des enfants à travers des activités d éveil et de loisir, stimulation familiale, appui aux structures d encadrement et d éveil du jeune enfant). Le projet appuiera et coordonnera le développement de sites démonstratifs dans le cadre des sites pilotes ciblé par le projet Education de Base et d approches pilotes, géographiquement limités, en faveur du développement intégré du jeune enfant afin de tester les différentes options stratégiques et évaluer / documenter leur impact sur le jeune enfant. Egalement, le projet renforcera la coordination inter programmes en vue du succès de la mise en œuvre de l approche intégrée en faveur du jeune enfant. Le renforcement de la coordination des interventions au niveau décentralisé avec les Programmes Santé/Nutrition et Appui au Développement local et Participation communautaires sera donc essentiel. Pour ce faire, toutes les opportunités seront saisies pour faciliter le développement d une approche holistique. En milieu périurbain (Nouakchott, Nouadhibou) les Pôles de Développement Intégrés créeront un cadre particulièrement propice à l opérationalisation de l approche ECD. Les associations de femmes impliquées dans les Nissa Banques seront mobilisées. Des approches innovantes seront testées (ex : l introduction d activités d éveil dans les centres de récupération et d éducation nutritionnelle (CREN) et dans les centres d alimentation communautaires (CAC) ; on cherchera à mesurer de l impact de cette approche sur la vitesse et la qualité de la récupération nutritionnelle chez ces jeunes enfants) Couverture géographique et populations/groupes bénéficiaires Comme déjà mentionné dans la présentation du programme, les activités du projet se concentreront principalement dans 4 wilayas rurales de concentration du programme pays (Assaba, Brakna, Gorgol et Guidimakha) et ainsi que dans les zones périurbaines de NKC (El Mina, Dar Naim) et de Nouadhibou. Il interviendra aussi dans la wilaya du Trarza dans le cadre du suivi d activités déjà initiées dans le cadre du précédent Programme dans le domaine de la Petite enfance (Réseau Régional Petite Enfance de Rosso). Le développement des activités dans les mêmes zones de concentration que celles des autres programmes et projets, garanti la disponibilité simultanée de l ensemble des interventions nécessaires à la mise en œuvre de l approche intégrée en faveur du Jeune enfant Les groupes bénéficiaires des activités menées dans le cadre de ce projet sont prioritairement les enfants de 0 à 8 ans. Plusieurs groupes feront partie des groupes ciblés par les différentes activités : les communautés engagées dans des activités ciblant les jeunes enfants, les parents, les animatrices de garderies communautaires, les monitrices de jardins d enfants 1 Les membres des réseaux sont les structures et organisations au niveau régional de nature publique, privé et communautaire qui s occupent directement des problèmes des enfants de 0 à 8 ans. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 16

17 publiques et privés, les leaders communautaires, le personnel de santé concerné par les petits enfants. Le projet suivra les objectifs de couverture et d extension établie dans le PNDSE et dans le cadre des zones de concentration géographique du programme. Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 17

18 11.2 Cadre logique du Projet Développement Intégré du Jeune enfant Objectifs Résultats attendus (Outputs) Activités(Inputs) Favoriser l adoption et la mise en œuvre La politique nationale PE est adoptée Appui à la finalisation, reproduction et dissémination de la PNPE de la Politique Nationale en faveur du jeune enfant Les conditions nécessaires à la mise en œuvre de la PNPE existent Appui à la mise en conformité de la législation relative à la PE Renforcement du cadre intersectoriel de concertation, de programmation et de suivi de la PE Sensibilisation et plaidoyer au niveau du Gouvernement et des partenaires sur les moyens nécessaires à la mise en œuvre de la PNPE La coordination et le suivi de la mise en œuvre de la PNPE sont effectifs Elaboration d un plan de communication en appui à la mise en œuvre de l approche intégrée en faveur du jeune enfant Renforcement des capacités de la DFE (Equipement, formation, supervision) Appui au Centre national de Formation sur la Petite Enfance, développement des guides et modules de formation, Mise en place et maintenance d une base de données sur la PE Enquêtes CAP et appui à la recherche opérationnelle dans le domaine de la PE Favoriser un encadrement adéquat en matière de Petite enfance au profit de enfants de 0-8 ans des zones de concentration du programme Les familles sont correctement sensibilisées sur l importance de la PE Le personnel d encadrement de la Petite Enfance au niveau régional est formé et opérationnel 120 centres de ressources PE sont opérationnels (jardins d enfants, garderies communautaire, etc.) (67) communautés pilotes ECPSV impliquées dans des initiatives communautaires de développement intégré du jeune enfant Appui aux activités de sensibilisation menées par les structures ministérielles (SECF, MSAS, CNIEC) et la société civile (ONGs, associations, IMMDE) : Diffusion du Manuel Savoir pour Sauver au niveau des ménages Equipement structures d encadrement régionales pour la PE (antennes SECF, réseaux régionaux PE) Formation des personnels d encadrement régional des centres de ressources Appui aux activités de supervision Formation des membres de 6 réseaux PE et de 240 (120x2) éducatrices communautaires Participation à l équipement et au renforcement des capacités de 6 réseaux régionaux PE et de 120 centres de ressource PE Appui aux initiatives communautaires en faveur de la PE (petit équipement, formation, information) Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 18

19 11.3 Partenariats et alliances Le tableau ci-dessous rappelle succinctement les principaux partenariats sur lesquels le projet s appuiera pour atteindre ses objectifs. PROJET Agences SNU (UNDAF) Multi/Bil ONGs/Associations Sous Projet 1 Politique Nationale Petite Enfance BM, France, Canada, Pays Bas ADEA Sous Projet 2 Prise en charge intégrée du Jeune Enfant OMS, BM, BM, BAD, France, Canada, Pays Bas ONGs et associations régionales Le développement de la Politique Petite Enfance est un exercice complexe en cours compte tenu de l inter-sectoralité du thème et du manque d expertise dans le domaine. L exercice est piloté dans le cadre de la collaboration entre le SECF et l UNICEF et bénéficie fortement de l expertise mise à disposition régulièrement par l Association pour le Développement de l Education en Afrique (ADEA/PaysBas) et la Banque Mondiale. La collaboration inter pays avec le Burkina Faso, le Mali et le Sénégal, initiée dans le cadre d un partenariat sous-régional coordonné par ADEA est aussi très fructueuse. Ces partenariats seront poursuivis. La composante «prise en charge intégrée du Jeune enfant» vise, elle, à initier des activités concrètes en faveur du jeune enfant, à tester les stratégies proposées et aussi à créer une masse critique de ressources humaines en matière de promotion de l approche de développement intégré du jeune enfant au niveau régional. Les activités opérationnelles du projet, notamment en matière d éveil et d encadrement du jeune enfant se sont jusqu ici limitées au renforcement des capacités des réseaux régionaux PE grâce à l appui technique et financier de la France et du Canada ; le projet permettra d appuyer maintenant plus spécifiquement les structures publiques et communautaires prestataires de services. Le projet s appliquera parallèlement à renforcer les partenariats dans les autres domaines (santé, nutrition, assainissement, etc.) avec les autres projets du programme de coopération (santé/nutrition, appui au développement local et participation communautaire, Plaidoyer et Protection spéciale), mais aussi avec le PAM (nutrition des enfants de 0-8ans dans 200 Centres d Alimentation Communautaires et le réseau de cantines scolaires), l OMS (vaccination et prise en charge intégrée des maladies de l enfant-pecime), le FNUAP, la BM, la BAD et les coopérations bilatérales (dans le cadre de la mise en œuvre des activités de santé maternelle et infantile), et les réseaux d ONGs internationales et nationales impliquées dans ces différents domaines au niveau régional. Le défi résidera dans la création d un momentum et de mécanismes de coordination au niveau régional afin de garantir la mise en œuvre d une véritable approche intégrée pour le développement du jeune enfant Hypothèses et Risques Le cycle de programmation précédent a permis le développement d une approche intersectorielle et multi dimensionnelle au niveau de l enseignement de base (approche ECPSV) qui a démontré sa pertinence. Les mécanismes qui ont servi au développement de cette approche (choix de sites pilotes, échanges d expériences entre régions, mobilisation d équipes multisectorielles) seront répliqués pour l appui à l opérationalisation des activités Petite enfance au sein du projet. Nous attendons que la cohabitation de ces deux approches dans les mêmes sites et au profit des tranches d age 0-8 ans et 6-14 ans renforce la dynamique communautaire en place, assure une véritable continuité dans l encadrement des Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 19

20 enfants et augmente l efficience et la pérennité des interventions. Le fait que les deux approches soient retenues et coordonnées au niveau du PNDSE est un atout de réussite supplémentaire. Cependant, des risques restent à affronter qui peuvent peser sur la réussite du projet. Ce sont principalement : - les difficultés à initier des actions intersectorielles et la tradition verticale qui persiste en matière de planification et de mise en œuvre au niveau des ministères concernés et de leurs partenaires (Cette résistance a été valide aussi au sein du programme pays Gouvernement/UNICEF jusqu à la formulation du présent programme de coopération). - La faible disponibilité en ressources humaines (nombre et expertise) en matière de développement du jeune enfant au niveau du SECF tant au niveau central que décentralisé - L implication souvent insuffisante des collectivités locales (communes) en appui aux activités en terme de ressources humaines, matérielles et financières qui fragilise l appropriation et la pérennité des actions - Les difficultés à atteindre les communautés les plus vulnérables, souvent en dehors des circuits de communication et de décision (Alors que ces communautés paient le plus fort tribut en terme de mortalité infantile, de non scolarisation des filles, etc.) Gestion du projet La Direction en charge du projet est la Direction de la Famille et l Enfant auprès du Secrétariat d Etat à la Condition Féminine. Cette Direction est aussi en charge de la coordination du Volet Petite Enfance au sein du PNDSE et assurera donc l intégration et le suivi des contributions du projet à la mise en œuvre du PNDSE Le sous projet Politique nationale Petite Enfance sera coordonné par la DFE. Dans le cadre de la décentralisation, le sous projet Prise en charge intégrée du jeune enfant sera mis en œuvre sous la responsabilité directe des Antennes régionales de la Condition Féminine. Les services centraux et le Centre national de formation sur la Petite Enfance assureront le renforcement des capacités, le suivi et l évaluation des interventions. Certaines activités décentralisées seront mises en œuvre par les ONGs et associations partenaires de la société civile, selon le plan d action annuel validé entre les deux parties. PROJET Sous Projet 1 Politique nationale Petite Enfance Sous Projet 2 Prise en charge intégrée du Jeune enfant Ministères/Directions partenaires Resp : Direction de la Famille et de l Enfant Resp : Antennes Regionales SECF et Réseaux multisectoriels Petite Enfance,, Responsabilités des Structures partenaires Responsable pour la conception de stratégies, la planification, la mise en œuvre, le suivi/évaluation et la documentation des activités Assistance technique UNICEF - Chef de Programme Education Appui technique pour la planification, le suivi et l évaluation des activités. Assure la préparation des rapports aux donateurs - 1 Assistant chargé de projet TFT ( ) Plan d'opérations du Programme : Education Pour Tous 20

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