Geneviève Beaudoin, Marie-Eve Brabant, Candidates au doctorat en psychologie ET Martine Hébert, Ph.D. UQAM

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1 Les difficultés d adaptation psychologiques et comportementales observées suite à une agression sexuelle chez les enfants et les adolescents : attachement, symptômes dépressifs et idéations suicidaires. Geneviève Beaudoin, Marie-Eve Brabant, Candidates au doctorat en psychologie ET Martine Hébert, Ph.D. UQAM

2 Plan de la présentation Description des patrons d attachement et des constats rattachés de l enfance à l âge adulte Relevé de la littérature prenant en compte l agression sexuelle (AS) et la symptomatologie en lien avec le patron d attachement des survivants Description de la situation des adolescents en ce qui concerne la dépression, les idéations et les tentatives suicidaires et les suicides complétés La dépression, les idéations suicidaires, les tentatives suicidaires et les suicides complétés chez les victimes adolescentes d agression sexuelle

3 Introduction Plusieurs symptômes sont associés à l AS, mais certaines victimes apparaissent résilientes. Différents modèles théoriques ont été proposés pour comprendre ce phénomène. Le patron d attachement des survivants d une AS est-il un concept favorisant la compréhension de l adaptation des survivants?

4 Le patron d attachement Quatre différents patrons d attachement à l enfance: Sécure Évitant Ambivalent Désorganisé/désorienté Stabilité des patrons d attachement avec l âge si aucun événement de vie majeur générateur d instabilité et d anxiété n est vécu: Sécure/autonome Évitant Préoccupé Apeuré

5 Corrélats associés aux patrons d attachement Patron d attachement sécure (autonome): Àl enfance: Confiance et adaptation en contexte d interactions sociales Estime de soi positive Peu de troubles de comportements intériorisés et extériorisés Stratégies de résolutions aux conflits plus adéquates Demandent l assistance de la figure d attachement lors de difficultés Tolèrent la frustration dans l attente d une solution Réponse adéquate face à la détresse d autrui Facilité d exprimer ses besoins et émotions à sa figure d attachement

6 Corrélats associés aux patrons d attachement (suite 1) Patron d attachement sécure (autonome): À l adolescence et à l âge adulte: Stratégies de résolution de conflits plus adéquates et efficaces Réfèrent à la figure d attachement lorsque nécessaire Peuvent dépendre de l autre en cas de nécessité À l adolescence: meilleure estime de soi, identité personnelle claire, moins d hostilité, d anxiété et de désespoir À l âge adulte: confortables dans les relations sociales

7 Corrélats associés aux patrons d attachement (suite 2) Patron d attachement évitant: À l enfance: Davantage de troubles de comportements intériorisés À l adolescence et l âge adulte: Font difficilement confiance aux autres Tendent à éviter les relations sociales Incapables de s investir entièrement dans une relation, se sentent rejetés, isolés et non appréciés

8 Corrélats associés aux patrons d attachement (suite 3) Patron d attachement ambivalent (préoccupé): À l enfance: Davantage de troubles de comportements extériorisés À l adolescence et à l âge adulte: Privilégient la dépendance aux autres, craignent le rejet Très complaisants afin d être acceptés

9 Corrélats associés aux patrons d attachement (suite 4) Patron d attachement désorganisé/désorienté (apeuré): À l enfance: Risque de difficultés psychologiques et comportementales plus important À l adolescence et à l âge adulte: Catégorisation secondaire à un des trois autres patrons d attachement (violence à l enfance ou deuil non résolu)

10 Le patron d attachement et les mauvais traitements à l enfance Quand est-il des enfants victimes d AS?? Identité de l agresseur différente : USA: Violence physique: 90% membres immédiats de la famille AS: 65% membre de la famille élargie ou un adulte de confiance. 7% famille immédiate Canada: Violence physique: 11% membre de la famille différent du père ou de la mère AS: 47% membres de la famille élargie ou une connaissance de l enfant Environnement familial différent : Témoin ou victime d autres formes de violence (concomitant ou antérieur à l AS) Milieu de vie harmonieux

11 Alexander et son modèle théorique (1992) Le patron d attachement insécure prédisposerait à l AS et serait associé aux difficultés d adaptation subséquentes Évitant: Exposition difficile des peurs et besoins, expérience émotionnelle niée, isolement social. Idéalisation de la qualité des relations parentales et des expériences antérieures : bonne estime de soi et peu de détresse malgré les difficultés vécues.

12 Alexander et son modèle théorique (1992) (suite 1) Préoccupé: Plus susceptible de développer des symptômes dépressifs et anxieux (apprentissage antérieur pour assurer une réponse) Apeuré: Présence de difficultés affectives plus importantes suite à l AS, comme des désordres post-traumatiques ou dissociatifs (résolution incomplète des conflits et affects négatifs relationnels et traumatiques)

13 Prévalence des patrons d attachement chez les survivants d une AS Population de femmes adultes : Population de survivants d une AS: Entre 9 et 24% sécure Entre 11 et 35% évitant Entre 13 et 31% préoccupé Entre 51 et 71% apeuré

14 Patron d attachement et AS Beaucoup de résultats contradictoires en fonction du type d AS: Patron d attachement moins sécure, moins évitant et davantage apeuré si AS intrafamiliale, VS AS extrafamiliale (plus évitantes) Plus de sécurité si père est agresseur Plus d insécurité (évitant) si père est agresseur, VS extrafamilial et groupe de comparaison Chez des mères agressées sexuellement à l enfance: Score plus élevé d attachement apeuré VS comparaison Si elles ont un enfant victime d AS, score d attachement évitant plus élevé VS comparaison

15 Rappel et dévoilement de l AS Les individus ayant un patron d attachement évitant ont des difficultés de rappel si AS considérée sévère. Association non significative si AS moins sévère et si patron d attachement anxieux. Le patron d attachement ne diffère pas que la survivante ait ou non dévoilé son AS.

16 Difficultés psychosociales À l enfance (6-12 ans): La perception de sécurité d attachement à la mère et au père comportements intériorisés, extériorisés et l estime de soi au-delà de l AS Àl âge adulte: o o Le patron d attachement apeuré des survivants: Explique la détresse psychologique, au-delà de l AS (VS sécure et évitant) Explique la présence de symptômes de stress post-traumatique et dissociatifs (AS intrafamiliale pour ceux-ci) Patrons d attachement sécure et évitant des survivants: Moins de symptômes observés

17 Difficultés psychosociales (suite 1) o o Patron d attachement sécure ou préoccupé: Moins de comportements d évitement en contact avec les souvenirs du trauma De plus: Chez les adolescents, la sécurité d attachement aux pairs est associée à une moins grande fréquence de symptômes (anxiété, dépression, colère et irritabilité) que l attachement de type insécure. Effet plus important que si l attachement amoureux ou l attachement parental est observé.

18 Difficultés psychosociales (suite 2) On remarque aussi que chez les adolescents: L attachement sécure : lien direct entre l AS et la détresse psychologique subséquente des adolescents lien direct entre les conflits interpersonnels et l AS, lorsque stratégies d adaptation évitantes sont utilisées Explique l utilisation de stratégies d adaptation cognitives par les adolescents agressés sexuellement Chez les adultes: L AS prédit l insatisfaction conjugale des survivants masculins si présence d un attachement anxieux et d une détresse psychologique Chez la femme, c est l attachement préoccupé qui prédit l insatisfaction conjugale

19 Qualité des relations sociales, familiales et conjugales Patron d attachement apeuré: Davantage de difficultés relationnelles chez les mères adolescentes Relations de couple plus rares comparativement au patron d attachement préoccupé (AS intra) L attachement insécure : Explique la présence de comportements impulsifs chez une survivante d AS ayant une personnalité état-limite L AS et la qualité de l environnement familial à l enfance: Associés à la présence des patrons d attachement anxieux et évitant mais : les comportements parentaux chaleureux conditionnels à la bonne conduite de l enfant prédisent l attachement évitant au-delà de l AS

20 Troubles de la personnalité Patron d attachement insécure prédomine au sein des troubles de la personnalité paranoïde, état-limite, évitante/auto-défaitiste et dépendante. Les patrons d attachement préoccupé et apeuré sont davantage associés à la présence de ces troubles de la personnalité. L inverse est vrai pour l attachement sécure et évitant.

21 Conclusions et recommandations Inclusion d une variable de contrôle (événements de vie stressants depuis l AS) Faire attention aux erreurs de rappel pour les mesures auto-rapportées: étudier la population cible peu de temps après l AS ou son dévoilement Étudier les jeunes enfants victimes d AS afin de bonifier les connaissances actuelles et pour: Limiter le nombre d événement de vie stressant Évaluer la qualité de la relation d attachement dans un contexte d adversité importante

22 Implications au niveau de la pratique Considérer le patron d attachement de la victime d une AS permettra de: Considérer l histoire familiale antérieure de la victime en lien avec son adaptation actuelle Comprendre le lien thérapeutique qui s établit Outiller les cliniciens pour l intégration du parent non-agresseur : Difficultés d adaptation de l enfant Sensibilité et qualité du soutien parental Stress parental associé aux dyades insécures Qualité des interactions parents-enfants, des échanges verbaux et émotionnels Réponses d accompagnement adaptées aux besoins de l enfant pour favoriser un rapport de confiance avec sa figure d attachement et un prompt rétablissement

23 Deuxième volet Dépression, idéations suicidaires, tentatives de suicide et suicides complétés chez les adolescents victimes d agression sexuelle

24 Quelques statistiques En 2002, quel était le pourcentage d adolescents ne discutant jamais ou presque jamais de sexualité avec leurs parents Alors qu ils étaient âgés de 13 ans? 32% Alors qu ils étaient âgés de 16 ans? 37% La prévalence des AS telle que rapportée par les adolescents est de: 15% chez les filles 6% chez les garçons

25 La dépression à l adolescence À la fin de l adolescence, la prévalence de la dépression est estimée à environ 25%. Quelles sont les explications possibles: Le moment du déclanchement de la puberté? La génétique? Vivre des événements de vie stressants?

26 État des connaissances La dépression prédispose à d autres épisodes dépressifs récurrents à l âge adulte 75% des adultes souffrant de dépression auraient eu leur premier épisode dépressif à l enfance ou à l adolescence 50% des ados ayant souffert de dépression avaient des épisodes dépressifs récurrents à l âge adulte Deux théories: Dépression événements stressants dépression Dépression à un jeune âge + historique de trouble anxieux + difficultés interpersonnelles avec les pairs dépression

27 La problématique suicidaire à l échelle mondiale À travers le monde, on dénote un suicide complété à toutes les 40 secondes Aux États-Unis, 1 suicide complété: 16 tentatives De manière générale, plus d hommes s enlèvent la vie que de femme La situation varie selon les pays (ex. Chine) Par contre, les femmes tenteraient trois fois plus souvent de s enlever la vie que les hommes Les adolescentes sont celles qui tentent le plus de s enlever la vie

28 Le situation au Québec À chaque jour: 5 personnes s enlèvent la vie 7 personnes sont hospitalisés suite à une tentative de suicide Combien ne consulteront pas suite à une tentative? Province canadienne ayant le plus haut taux de suicide En 2006, le taux était de 14.8 pour habitants Le ratio hommes: femmes = 4.2:1 suicides Bonne nouvelle: les taux de suicide sont en baisse depuis les années 2000 Attribuable à la des suicides chez les hommes et à une légère chez les femmes

29 Le suicide à l adolescence Selon une recension de la littérature internationale incluant 128 études, en moyenne 29.9% ont pensé au suicide dans leur vie 9.7% ont fait une tentative de suicide Les tentatives sont plus présentes chez les filles (7.3%) que chez les garçons (4.5%) L incidence augmente vers la fin de l adolescence et la jeune vingtaine Liée à l apparition des symptômes de dépression Liée à l exposition à l alcool et aux drogues

30 Les ados qui se suicident Plus de 90% avaient au moins un trouble de santé mentale majeur La dépression et l abus de substance sont les plus communs La présence d une tentative antérieure était observable 61.9% des femmes 36.9% des hommes Un historique de tentatives est un fort prédicteur de suicide complété Au Québec 2e cause de mortalité Taux (15-19 ans): 7.4 par habitants Chez les jeunes filles de ans, le suicide représente 27.3% des décès

31 Facteurs de risque Être de sexe féminin Avoir une psychopathologie Vivre de la discorde et de la violence familiale Consommer des substances Avoir des échecs scolaires Avoir des problèmes de santé Être confronté à des événements de vie négatifs Vivre des agressions Verbales, physiques ou sexuelles Avoir un historique familiale de suicide ou de psychopathologies Être impulsif Avoir des déficits dans les habiletés de résolution de problèmes

32 Facteurs de protection La cohésion familiale Avoir au moins un ami Utiliser des stratégies d adaptation adéquates Stratégies d approche vs. stratégies d évitement Recherche de soutien social Recherche de solutions Plusieurs personnes suicidaires ont des déficits au niveau de leurs habiletés de résolution de problèmes

33 Dépression et suicide 52% des ados qui ont fait une tentative avaient un trouble dépressif majeur Pourtant, le nombre de personnes ayant un trouble dépressif et tentant de s enlever la vie est faible Pourquoi?

34 La théorie psychologique-interpersonnelle Personnes ayant un désir suicidaire de Joiner (2005) Tentatives sérieuses ou suicides complétés Personnes ayant la capacité de se suicider Inclus les gens qui ont l impression d être un fardeau pour les autres et qui n arrivent pas à développer un sentiment d appartenance Acquise par les tentatives antérieurs, par des cpts risqués suscitant la peur, par des agressions sévères durant l enfance, exposition à de la douleur

35 L agression sexuelle en lien avec la dépression et la problématique suicidaire

36 Les dévoilements Chez les adultes québécois Une victime sur 5 n avait jamais dévoilé l AS 57.5% avaient attendu plus de 5 ans avant de dévoiler l AS Conséquences des dévoilements tardifs: Plus grande détresse psychologique Plus de symptômes cliniques de stress post-traumatique Les ados qui dévoilent dans le mois suivant l AS Moins à risque d avoir un épisode dépressif majeur Les ados qui dévoilent plus d un mois suivant l AS Deux fois plus susceptibles d avoir un épisode dépressif

37 AS et autres types de mauvais traitements Lorsque comparée aux autres types de mauvais traitements à l enfance, l AS constitue l abus engendrant le plus haut risque de tentatives de suicide Engendre un plus haut risque de dépression que l abus physique ou la négligence Les victimes d AS sont 5 fois plus à risque d avoir des idéations suicidaires (IS) et 8 fois plus à risque de commettre des tentatives de suicide répétitives

38 Ce que les études ont démontré L AS contribue aux tentatives de suicide répétitives Entre 8 et 12% des tentatives de suicide sérieuses étaient liées à des AS durant l enfance, indépendamment des troubles psychiatriques Liens entre des comportements auto-destructeurs et des difficultés interpersonnelles à l adolescence et le fait d avoir été victime d AS à l enfance Chez les victimes, les tentatives de suicide seraient plus nombreuses pour les garçons que pour les filles

39 Victimes d AS vs non-victimes Victimes d AS Non-victimes Idéations suicidaires 73% 25% Plan suicidaire 55% 12% Tentative de suicide antérieure 24% 5%

40 Médiateurs AS Dépression Dysfonctions familiales Désespoir Psychopathologie Evénements de vie stressants Tentatives de suicide

41 Facteurs de risque dans l exacerbation des symptômes AS sévère (force & pénétration) = + suicidaire AS sévère (force & pénétration) = prédicteur du risque suicidaire L âge aurait son importance Les victimes de moins de 16 ans étaient 3 à 4 fois plus susceptibles de commettre une tentative de suicide que les victimes de plus de 16 ans Plusieurs types d abus + l AS = niveau supérieur d IS Attributions internes face à l AS

42 Facteurs de protection Une bonne estime de soi Des stratégies d adaptation adéquates L évitement est la stratégie la plus souvent utilisée par les victimes Stratégie inefficace à long terme Le soutien social reçu Plus la victimes perçoit du soutien dans son entourage, plus la probabilité qu elle dévoile l AS est élevée. Si la réaction de l entourage est favorable, des conséquences psychologiques Si le soutien perçu n est pas satisfaisant, les victimes ont plus d IS et de la probabilité d une tentative à l âge adulte Attributions externes face à l AS

43 Retour au modèle de Joiner (2005) Tentatives sérieuses ou suicides complétés Personnes ayant un désir suicidaire Personnes ayant la capacité de se suicider

44 La dissociation chez les victimes d AS Séparation des processus mentaux (pensées, émotions, souvenirs) qui sont habituellement intégrés Utiliser pour faire face à un grand stress Plus présente dans les cas d agression physique ou sexuelle que dans ceux de négligence Dans le cas d un trauma: Afin d éviter les fortes réactions émotionnelles ou physiques et les cognitions reliées au trauma Permet à l enfant de séparer sa conscience de son corps, pour protéger sa conscience du traumatisme en cours Entraîne des problèmes de mémoire Peut engendrer des symptômes dépressifs chez les enfants puisqu ils n ont pas accès à certains événements vécus

45 La dissociation (suite) Chez les ados en milieu clinique: AS dissociation conséquences psychologiques fréquence de comportements risqués (théorie de Joiner) Les traumas durant l enfance entraînerait une distanciation du corps ( attitudes, émotions et comportements négatifs face au corps). Cette distanciation aurait un impact facilitateur sur les tentatives de suicide en période de stress

46 L attachement à l adolescence Liens très forts entre l estime de soi, la satisfaction face à la vie et la qualité de l attachement aux parents et aux pairs Faible niveau perçu d attachement à ses parents est lié à: Trouble de la conduite Trouble d inattention Dépression Événements de vie négatifs Les IS et les tentatives de suicide représenteraient un problème profond lié au développement et à la maintenance d un attachement Le patron d attachement insécure serait lié aux IS L attachement aux pairs ne compensent pas pour un faible attachement aux parents Des ados obtenaient des scores de dépression plus élevés, malgré un attachement aux pairs très adéquats

47 Implications au niveau de la pratique Questionner les adolescents (les suicidaires et les victimes d AS): Sur les AS Sur la dépression Sur les idéations suicidaires et le plan suicidaire (COQ: comment? Où? Quand? Accessibilité du moyen?) Intervenir d abord sur les IS et ensuite sur les AS Orienter l intervention sur les stratégies d adaptation adéquates face aux événements stressants (résolution de problèmes) Procurer du soutien aux adolescents Offrir la possibilité de développer un sentiment d appartenance (briser l isolement) Créer un filet de sécurité: impliquer plusieurs personnes pour garantir le mieux-être des adolescents (intervenants, parents, amis, etc.)

48 Quelques ressources Aide pour les enfants victimes d'agression sexuelle : Tel-jeunes (écoute téléphonique): (514) / (24 heures / 7 jours) CAVAC - Centre d'aide aux victimes d'actes criminels : (514) (Montréal) / CALACS - Centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel du Québec : Le centre d expertise Marie-Vincent: (514) Ligne d écoute Suicide-Action Montréal : (514) / APPELLE (24 heures / 7 jours)

49 Merci de votre attention À vous la parole!

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