MF Maugourd, F. Ellien, P. Paranque Contexte
|
|
- Émilien Renaud
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Projet de permanence des soins gériatriques en EHPAD dans le sud de l Essonne MF Maugourd, F. Ellien, P. Paranque Contexte Le Sud de l Essonne accueille environ 3000 résidents en Etablissement d Hébergement pour Personne Agée Dépendante. Les résidents ont tous un médecin traitant choisi par eux, qui intervient régulièrement dans l établissement. Ces établissements bénéficient pratiquement tous de la présence d un médecin coordonnateur à temps partiel ayant reçu une formation spécifique dans le domaine de la gériatrie. Les soins sont assurés aux heures ouvrables par des infirmières salariées des établissements. La surveillance de nuit des résidents est généralement dévolue à deux aides soignantes (voire une et un agent), il n y a pratiquement jamais de présence d une infirmière de nuit. En dehors des jours et heures ouvrables, les appels des EHPAD aux médecins traitants ont de moins en moins de réponse, du fait du manque de médecins dans le Sud de l Essonne et d une organisation des gardes inégale. La structure de l Association «SOS Médecins 91» ne couvre que très imparfaitement le Sud de l Essonne. Les transferts aux urgences des patients présentant un symptôme médical aigu sont ainsi quasiment systématiques et trop souvent inappropriés (1144 personnes âgées en provenance des EHPAD ont été accueillies en 2011 par le seul SAU du CH Sud Francilien), 600 appels le premier semestre 2012 pour SOS Médecins. Il en résulte un inconfort majeur pour le résident, un encombrement des urgences et un surcoût pour l assurance maladie. La récente arrivée à Chevannes dans le sud de l Essonne de la structure «SOS Médecins 91» permet de penser qu une extension de son territoire d intervention au Sud Essonne est possible. De l expérience des praticiens de SOS Médecins 91, il existe dans les EHPAD des difficultés d accessibilité aux données médicales et en l absence d avis gériatrique, des difficultés d orientation et la solution la plus simple pour le praticien reste le transfert aux Urgences du CH le plus proche. Il existe sur le territoire de l Essonne Sud une filière gériatrique labellisée («Filière 91-3 Est») qui fonctionne depuis plus de deux ans, principalement en intra-hospitalier (majoritairement entre le CH Sud Francilien et l hôpital G. Clemenceau) mais qui reçoit aussi en direct un nombre important de patients en provenance des EHPAD. Il existe depuis 10 ans sur le territoire de l Essonne Sud une permanence d écoute médicale téléphonique, tenue par le Réseau Soins Palliatifs Essonne Sud au bénéfice des patients en soins palliatifs, assurée par convention par les médecins gériatres compétents en soins palliatifs de l hôpital Georges Clemenceau. Cette permanence permet le maintien au domicile ou en institution des patients en fin de vie suivis par le réseau. Ce type d organisation a fait ses preuves et sert de modèle au présent projet. Nature du projet Le projet consiste à apporter une réponse à l urgence et une compétence gériatrique aux situations d urgence des résidents des EHPAD, lorsque leur médecin traitant n est pas à même de se déplacer et en l absence du médecin coordonnateur, afin d optimiser leur orientation en fonction de leur situation clinique. Il s agit de mettre en œuvre une coordination sanitaire et médico-sociale avec comme acteurs les Gériatres du Département ambulatoire de l hôpital Georges Clemenceau (Filière Gériatrique), une astreinte téléphonique de la Filière Gériatrique (Réseau Hippocampes, PASI) fonctionnant 24h/24 et 7j/7, en relation avec les SOS Médecins Essonne, le 15 SAMU et l ADUM de l Essonne, les services d accueil d urgence des Centres Hospitaliers du Sud Essonne. Ce projet entre dans le cadre de la mise en place en 2012 du Pôle Autonomie Santé
2 Information regroupant un certain nombre de structures sanitaires et médicosociales pour une prise en charge coordonnée des personnes âgées sur le Sud Est de l Essonne. La finalité de ce dispositif est d être étendu le plus rapidement possible aux Personnes Agées suivies à domicile par les structures de maintien à domicile (Réseaux de Santé Hippocampes et SPES, HAD Croix Saint Simon, SSIAD) puis généralisé sur le territoire du Sud de l Essonne. Objectifs 1.- Apporter une formation aux gestes d urgence et à la prise en charge des situations extrêmes au personnel des EHPAD et des services de soins et d aide à domicile grâce aux formateurs de l Association Gérontologique de l Essonne et du CESU Apporter des soins d urgence gériatrique coordonnés et adaptés aux résidents des EHPAD de l Essonne grâce à la permanence téléphonique d un médecin gériatre au service du médecin traitant du patient ou, en son absence, du médecin urgentiste de SOS Médecins Essonne. 3.- Eviter autant que faire se peut les passages aux Urgences et les hospitalisations. 4.- Garantir le respect de la gradation des soins gériatriques en fonction des pathologies et de l intensité des soins requis. 5.- Permettre le maintien dans les EHPAD des résidents, lorsqu une hospitalisation n est pas indispensable, et plus particulièrement des résidents en fin de vie, avec le bénéfice d une compétence gériatrique et de Soins Palliatifs et des possibilités d intervention 24h/24 (Réseau Hippocampes et SPES, PASI). 6.- Etendre le plus rapidement possible le dispositif aux sujets âgés malades à domicile pris en charge par les soignants de premier recours, les structures de maintien à domicile (réseaux de santé essonniens, HAD) pour une optimisation des soins à la population âgée fragile du Sud de l Essonne dans le territoire du PASI en cours de mise en place. Public Personnes âgées vivant dans les établissements médico-sociaux (EHPAD, Maisons de retraite, Résidences Services, logements foyers ), personnes âgées en fin de vie suivies au domicile. Le plus rapidement possible : personnes âgées polypathologiques à leur domicile suivies par les soignants de premier recours, les Réseaux de Santé, l HAD, Services de Soins et d aide à domicile Les acteurs sont : Acteurs / Partenaires 1) la Filière Gériatrique Est du 91 Labellisée, située à l hôpital Georges Clemenceau, les médecins du Département Ambulatoire du Docteur Louis Guidez, et en période d astreinte une permanence d écoute organisée par les Réseaux Hippocampes et SPES, PASI, 2) L Association des urgentistes libéraux SOS Médecins de l Essonne, 3) le Centre 15, l ADUM de l Essonne et le CESU 91, 4) les médecins Libéraux du Sud Essonne, notamment le pôle Essonne Ensemble et les autres sites NMR de l Essonne, 5) La permanence téléphonique des réseaux SPES et Hippocampes (PASI) effectuée par des gériatres compétents en soins palliatifs de l hôpital Georges Clemenceau, 6) les services d Urgence des Hôpitaux Généraux du Sud de l Essonne,
3 7) Les Infirmiers libéraux du Sud Essonne, le Conseil de l Ordre des Infirmiers, 8) Les équipes de coordination et d expertise des réseaux SPES, Hippocampes, Revesdiab, 9) Le PASI (Pôle Autonomie Santé Information), le projet intégrant 3 de ses membres fondateurs : Hippocampes, SPES et AGE) et plus spécifiquement le service de formation de l Association Gérontologique de l Essonne, 10) L équipe Mobile de Gérontopsychiatrie du Sud Essonne (en devenir) rattachée au CH Sud Francilien. Les partenaires sont : 1) les établissements médico-sociaux pour Personnes âgées (EHPAD, Maisons de retraite, résidences services, foyers logements) ayant passé convention avec le dispositif, 2) les établissements hospitaliers : - de la filière Gériatrique Essonne Est (CH Georges Clemenceau, CH Sud-Francilien, CH Arpajon), - le CH Sud Essonne (Etampes), le CHS Barthélémy Durand, 3) les associations d usagers (France Alzheimer Essonne, le CISS, les Petits Frères des Pauvres), 4) Le service Personnes âgées et personnes handicapées du Conseil Général de l Essonne. Description du projet Ce dispositif est une réponse aux préoccupations réitérées lors des rencontres bimestrielles des Directeurs d EHPAD de l Essonne, animées depuis de nombreuses années par l Association Gérontologique de l Essonne. Le faible nombre de médecins généralistes sur le territoire et la couverture insuffisante de la permanence des soins rendent extrêmement difficile l obtention d une visite médicale en urgence dans les EHPAD, notamment en dehors des jours et heures ouvrables. Le recours à SOS Médecins Essonne n est actuellement possible que pour 60% des lits. d EHPAD situés au Nord du département. 40% des lits, situés au Sud ne peuvent donc bénéficier de ce recours. Le projet consiste à mettre en œuvre un dispositif de permanence de soins gériatrique 24h/24 et 7j/7, astreinte régulée par le PASI. Chaque résident des EHPAD volontaires pour participer à l expérimentation bénéficiera d un dossier résumé, établi par le médecin coordonnateur de l EHPAD, hébergé de façon sécurisée chez un hébergeur professionnel. En cas d absence du médecin coordonnateur ou d impossibilité à se déplacer du médecin traitant, le personnel responsable du résident présentant des symptômes inquiétants appellera : - Aux jours et heures ouvrables, de 8H30 à 18H30 le médecin gériatre d astreinte, au moyen d un numéro unique - En dehors de ces créneaux horaires, directement SOS Médecins au moyen d une ligne spécifique, le gériatre d astreinte étant alors en 2 ligne. Le personnel de l EHPAD aura la possibilité d adresser en un clic le dossier résumé au Gériatre d Astreinte et à SOS Médecins. Un premier contact avec l EHPAD permettra de faire le point de la situation.
4 En cas d appel direct au 15, après évaluation de l appel par le médecin régulateur, celui-ci pourra également transmettre pour traitement de la situation au gériatre de permanence aux heures et jours ouvrables et à SOS Médecins en dehors de ce créneau. Toutes les demandes feront l objet d une évaluation globale de la situation clinique du résident au vu des données présentées par l EHPAD et de la fiche informatisée (RécapUrgence) du résident accessible sur le site hébergeur (pour les Gériatres d astreinte, le 15, SOS médecin Essonne). Les réponses seront graduées : Si le risque vital est patent, le Gériatre sollicitera immédiatement l intervention du 15 S il y a nécessité d une évaluation clinique, le gériatre sollicitera par une ligne dédiée SOS Médecins 91 qui disposera de la fiche médicale synthétique (fiche «Récapurgence») du patient tenue à jour par l EHPAD. Si l appel est réalisé en période de garde (de 18H30 à 8H30, tout le samedi et le dimanche), l urgentiste de SOS Médecins se déplacera systématiquement. L urgentiste sur place, l orientation du patient sera étudiée conjointement par les deux praticiens en fonction de l examen clinique décidant du degré de l urgence, de la pathologie du patient et de l intensité des soins requis. Le gériatre, sera à même de déterminer quand et où le patient pourra être accueilli : Si le passage aux urgences s avère indispensable (nécessité de plateau technique, de réanimation ), le Gériatre restera en contact avec ses collègues pour une orientation ultérieure. Si, après expertise téléphonique du gériatre, l intervention médicale peut être différée aux heures ouvrables, le Gériatre organisera la prise en charge médicale ultérieure du résident : - Prise de Contact avec le médecin traitant et le médecin coordonnateur de l EHPAD pour détermination de la conduite à tenir, - Organisation d une éventuelle hospitalisation réglée (traditionnelle ou en Hôpital de jour) dans la structure la plus adéquate pour gérer le problème, - Mise en place au sein de l EHPAD d une HAD, de l intervention d une infirmière libérale qui pourra prodiguer ses soins dans le cadre de l EHPAD notamment de nuit et pendant les weekends et jours fériés (autorisation demandée à titre expérimental dans le cadre des nouveaux modes de rémunération). - Déclenchement de l intervention d une (des) équipes de Coordination des Réseaux de Santé (Hippocampes, SPES ). - Déclenchement de l intervention de l équipe mobile Géronto-psychiatrique (en projet pour le Sud Essonne) L expertise des Praticiens Hospitaliers Gériatres sera mise à disposition des médecins traitants et des médecins coordonnateurs des EHPAD volontaires pour l expérimentation. Quand le dispositif sera rodé avec les EHPAD, il pourra bénéficier aux patients âgés malades du domicile. Moyens nécessaires Moyens Humains - La mise en place du dispositif sera réalisée par un chargé de mission, coordonnateur médico-social en collaboration avec le médecin responsable de la Filière Gériatrique de l hôpital Georges Clemenceau, exerçant dans le cadre du Département Ambulatoire. - La permanence téléphonique sera tenue aux jours et heures ouvrables par un gériatre praticien hospitalier du Département Ambulatoire de l hôpital G. Clemenceau, -. La nuit, les weekends et jours fériés la permanence téléphonique sera tenue par SOS
5 Médecins, le gériatre intervenant en 2 ligne, l astreinte est déjà tenue par le gériatre d astreinte du réseau SPES ayant compétence en Soins Palliatifs. Les examens des patients dans les EHPAD seront effectués par le Médecin traitant du patient ou le médecin coordonnateur de l EHPAD et en leur absence par les praticiens urgentistes de SOS Médecins Essonne (médecin libéral urgentiste intervenant 24h/24), En l absence de l infirmière coordonnatrice de l EHPAD, les soins infirmiers urgents seront prodigués par les infirmières libérales adhérant au dispositif (rémunérées dans le cadre d un dispositif expérimental). Lorsqu elle aura intégré le PASI (fin 2013), l HAD Croix Saint Simon pourra intervenir en renforcement de l équipe infirmière de l EHPAD dans l objectif de maintenir le patient dans son milieu de vie autant que faire se peut. - Le dispositif d appui repose sur : Les équipes de coordination des réseaux SPES et Hippocampes qui interviennent en dehors de l urgence dans les maisons de retraite. Les Infirmières libérales de l Essonne adhérant aux réseaux Hippocampes et SPES, L Association Gérontologique de l Essonne qui organisera avec le SAMU 91 un dispositif de formation des personnels des maisons de retraite aux soins de premier secours et aux protocoles de prise en charge de l urgence. L équipe de coordination de Revesdiab qui apporte une formation pratique aux personnels dans le domaine du diabète. Moyens techniques Chaque EHPAD sera doté d un ordinateur dédié (achat par l EHPAD) et du logiciel permettant de mettre en place la fiche informatisée. Les différents intervenants doivent disposer d un dossier minimal informatisé des patients d EHPAD (Fiche Récapurgence) accessible à tout moment, DMP compatible. Le coordonnateur médico-administratif sera chargé de la mise en place et s assurera de la bonne tenue des dossiers et de leur mise à jour régulière par les médecins coordonnateurs des EHPAD. La permanence téléphonique doit connaitre en temps réel les places disponibles dans les différentes unités où peuvent être hospitalisés les patients. Ce recensement sera réactualisé quotidiennement par le coordonnateur. Moyens financiers Il faut prévoir pour le projet : Un poste de coordonnateur temps plein pour mettre en place et faire vivre le dispositif L astreinte médicale des Gériatres Le logiciel de dossier partagé et sa maintenance. Le gériatre d astreinte disposera d une tablette Androïd 3 G lui permettant de recevoir en temps réel la fiche du patient. Des honoraires spécifiques et des frais de déplacement pour les médecins de SOS médecins 91 et les médecins Libéraux du Sud Essonne, notamment le pôle Essonne Ensemble et les autres sites NMR de l Essonne ou une rémunération spécifique dans le cadre de cette expérimentation. Le budget spécifique de la formation des EHPAD, pouvant être en partie pris en charge par leur budget formation ou par divers financements. Calendrier de mise en œuvre du projet Le projet démarrera au 1 er avril 2013 par la mise en place d une permanence d écoute d un Gériatre aux jours et heures ouvrables au sein du Département Ambulatoire de l Hôpital George Clemenceau. L Astreinte sera tenue par les gériatres dans les trois premiers mois uniquement de 8H30 à 18H30 pour pouvoir bien mettre en place la coordination du dispositif. Le centre 15 est déjà partie prenante du dispositif, SOS Médecins 91 apportera son
6 concours à titre expérimental. Le projet a été proposé à titre expérimental à 4 EHPAD : La Chataigneraie, Les Clématites, Le Cèdre Bleu, EHPAD d ADEF Résidences Les Jardins de Serena. Dans un second temps (au bout de trois mois de fonctionnement), l astreinte du gériatre de 2 ligne de nuit et de jours fériés sera mise en place. Une extension aux patients aux autres EHPAD et aux patients suivis à domicile en Essonne Sud par les structures volontaires pour participer au projet se fera progressivement. Evaluation du dispositif Une pré évaluation aura lieu au bout de trois mois, chaque appel faisant l objet d une transmission et d une fiche récapitulative. Après mise en place complète, le projet fera l objet d une évaluation annuelle globale et un état des lieux annuel sera fait dans chaque établissement médico-social faisant l objet d une convention portant sur le nombre d appels, leur horaire, les symptômes motivant l appel, les pathologies diagnostiquées, les modalités de transfert en établissement de santé, le nombre de patients maintenus en EHPAD, les interventions des Infirmières libérales, des équipes des réseaux de santé. Les données statistiques recueillies dans les établissements de santé et les établissements médico-sociaux seront analysées par le comité de pilotage et seront publiées dans le rapport annuel du projet. L évaluation sera suivie par la FREGIF dans le cadre de son travail de réflexion sur les Relations Ville-Hôpital.
2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailRECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables
1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailPAERPA 9-10-19_ARS-IDF
Présents : PAERPA 9-10-19_ARS-IDF Relevé de décisions / Première Réunion EHPAD 30 septembre 2014 - EHPAD Les Parentèles EHPAD Alice Guy / 10 rue de Colmar - 75019 Paris - Benoit Vandermeersch, Directeur
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailIntérêts de l outil PAACO
12 février 2014 Colloque TIC Santé Intérêts de l outil PAACO Association «Gaves et Bidouze» - Plateforme de coordination CLIC, Réseau Gérontologique, MAIA L outil PAACO Objectifs : pourquoi cet outil dans
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailauremar - Fotolia.com
auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détaillv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16
P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailPSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?
PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailP atients S anté T erritoires
H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailModalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011
Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre de la régulation médicale Mars 2011 Définitions Processus médical de prise en charge Centre de régulation médicale
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailREGION ILE-DE-FRANCE
REGION ILE-DE-FRANCE CAHIER DES CHARGES REGIONAL FIXANT LES CONDITIONS D ORGANISATION DE LA PERMANENCE DES SOINS AMBULATOIRES Arrêté DGARS du 23 décembre 2013 n DOSMS-2013-160 1 2 PREAMBULE La Loi HPST
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailCompte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.
Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailURGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.
Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re
Plus en détailAccès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent
Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailConférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...
1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22
DOSSIER DE PRESSE Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22 2014 1 BERGER-LEVRAULT, PARTENAIRE INCONTOURNABLE DES ACTEURS DE SANTÉ PUBLICS ET PRIVÉS Dossier de presse 2014 I Page 3 1 BERGER-LEVRAULT,
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLa régulation des transports sanitaires par les SAMU
La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailSOMMAIRE. Présentation générale de XE Formation. Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes
1 SOMMAIRE Présentation générale de XE Formation Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes Le MBA Spécialisé M3SU Informations et contacts 2 Présentation générale
Plus en détailww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier
www. ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain rraine.fr Ambulancier Définition L ambulancier est un auxiliaire sanitaire pleinement intégré dans la chaîne des soins. En urgence ou sur rendez-vous
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailRapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes
Comité national de pilotage sur le parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d'autonomie Rapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes Comité présidé par Dominique Libault Composé d
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailMaître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine
Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité
Plus en détailETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE
ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE BIENVENUE EN BELGIQUE Vous avez décidé de venir étudier en Belgique, félicitations! Notre pays est reconnu pour la qualité de son accueil, son sens de l'humour, ses bières,
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailBilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010
Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailLivret du patient Livret du patient
Livret du patient Livret du patient ÉTABLISSEMENT PUBLIC DE SANTÉ BARTHÉLEMY DURAND Avenue du 8 mai 1945 - BP 69-91150 Etampes Cedex Tél. 01 69 92 52 52 - www.eps-etampes.fr Version 03/04/2014 ÉTABLISSEMENT
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailVENIR SE SOIGNER EN FRANCE
Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailrecommandation de relations publiques
recommandation de relations publiques Media Presse & Communication Vice Présidente du SYNAP 1 La problématique La Fondation hospitalière Sainte-Marie est reconnue d Utilité Publique depuis 2005. Elle souhaite
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLa e-santé pour communiquer
GCS e-santé BRETAGNE Professionnels de la santé, du médico-social, en structure ou en libéral... La e-santé pour communiquer Présentation des services e-santé en Bretagne BIPS², réseau très haut débit
Plus en détailVous êtes frontalier, comment être soigné(e) aux HUG?
Vous êtes frontalier, comment être soigné(e) aux HUG? Dès le 1 er juin 2014, la législation française modifie les conditions d accès aux soins en Suisse L assurance maladie du frontalier Les Hôpitaux universitaires
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailen toute simplicité!
BIEN COMPRENDRE LES NOUVELLES RÉFORMES DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ. en toute simplicité! 1 LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ D ici le 1 er janvier 2016, toutes les entreprises devront mettre
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailPROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement
PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailAPPEL À PROJET TSN - SYNTHESE RÉPONSE ARS AQUITAINE
1 Les Landes, et a fortiori le Nord et l Est de ce département, concentrent une majorité des défis de santé publique auxquels certains territoires nationaux sont aussi confrontés : qu il s agisse du vieillissement
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailPLUS ON EN SAIT MIEUX ON SE PORTE. Utiliser le Dossier Médical Personnel en EHPAD
PLUS ON EN SIT MIEUX ON SE PORTE Utiliser le Dossier Médical Personnel en EHPD Mars 01 Le Dossier Médical Personnel : pour améliorer la prise en charge des résidents Depuis 008, les établissements d hébergement
Plus en détailPoint d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé
Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé Assemblée Générale GCS Télésanté Basse Normandie 26 mars 2014 Anne Bertaud Pole Territoire Dossier Médical Personnel 2 DMP : quelques chiffres (février
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détail