République Centrafricaine
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- Maurice Charles
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1 République Centrafricaine EVALUATION RRM RCA Village de Bozakon et Boya 1, Sous-Préfecture de Bouca, Préfecture de l Ouham. Ménage déplacé dans le village de Bozakon Le 25 juillet 2014 Rapport d évaluation ACTION CONTRE LA FAIM Quartier Sissongo, SICA 1 Bangui, RCA
2 RECOMMANDATIONS INTRODUCTION OBJECTIFS DE L EVALUATION DATES DE LA VISITE METHODOLOGIE COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DE LA ZONE D EVALUATION LIMITES DE L EVALUATION RESULTATS CONTEXTE LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE SANTE ET NUTRITION SECURITE ALIMENTAIRE EDUCATION PROTECTION ANNEXE 1. METHODOLOGIE D EVALUATION ANNEXE 2. DONNEES POINTS D EAU
3 RECOMMANDATIONS Les éléments contextuels évoqués et les données recensées dans ce rapport étant antérieurs aux récents évènements sécuritaires de la région de Batangafo, les données mentionnées dans ce rapport ne peuvent être considérées comme à jour. Les partenaires RRM envisagent la conduite de nouvelles évaluations multisectorielles dès que les conditions sécuritaires permettront le déploiement des équipes. NFI Effectuer une distribution NFI pour les ménages déplacés à Bozakon et Boya 1(full kit dont bâche). Action planifiée : distribution ACF RRM. EAH Soufflage et réhabilitation du forage de Bozakon. Construction de latrines d urgences à Bozakon et Boya 1. Action planifiée : ACF RRM. Fourniture d une solution de floculation et chloration aux personnes déplacées de Boya 1 (Water pure) pour une durée de un mois. Sensibilisation à l utilisation de la solution de traitement individuelle et séances de promotion à l hygiène. Action planifiée : Collaboration ACF-DRC. SECURITE ALIMENTAIRE Distribution alimentaire (ration de 2 mois) dans les 2 villages. Action planifiée : DRC doit en discuter avec le PAM. 1. INTRODUCTION 1.1. OBJECTIFS DE L EVALUATION Mener une évaluation conjointe multisectorielle rapide RRM, ACF et le Conseil Danois des Réfugiés (DRC) dans les villages de Bozakon et Boya 1 dans la sous-préfecture de Bouca, préfecture de l Ouham. En outre cette évaluation a permis à certains membres du personnel de DRC d être formés aux outils d évaluation multisectorielle (MSA) du programme RRM DATES DE LA VISITE L évaluation s est déroulée du 24 au 25 Juillet METHODOLOGIE L évaluation RRM s est basée sur la méthodologie standard d évaluation RRM en RCA. Elle s est donc organisée autour de la collecte de données quantitatives et qualitatives, à travers des groupes de discussions, des entretiens avec des informateurs clés et une enquête auprès de 100 ménages déplacés (66 ménages à Bozakon et 34 ménages à Boya 1). Les ménages déplacés étaient tous présents dans chacun des 2 villages. Deux équipes mixtes composées de 5 et 6 agents issus respectivement de DRC et d ACF ont mené les évaluations. Ces équipes étaient encadrées par une cellule de coordination de l évaluation mise en place à cet effet et dirigée par ACF. Cette cellule regroupait 3 membres (1 Responsable de programme RRM-ACF, 1 Responsable d Urgence DRC et son assistant). 3
4 Les informations recueillies auprès des différentes sources ont ainsi pu être confirmées et validées par plusieurs acteurs communautaires de référence. Voir Annexe 1 pour plus d information sur la méthodologie. En raison du choc commun ayant conduits les personnes à se déplacer, de la proximité des deux villages, et de l homogénéité des besoins, les évaluations réalisées sont restituées dans ce même rapport COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DE LA ZONE D EVALUATION Cette évaluation RRM a couvert le village de Bozakon (6,94970 N 18,50566 O) et le village de Boya 1 (6,93291 N 18,54402 O) dans la sous-préfecture de Bouca, préfecture de l Ouham. Fig. 1. Carte de la couverture géographique de l évaluation RRM 1.5. LIMITES DE L EVALUATION L évaluation RRM est basée sur des outils multisectoriels standards. Les résultats de cette évaluation sont utilisés pour identifier des besoins humanitaires d urgence immédiats. Il est suggéré d effectuer des enquêtes plus approfondies afin de disposer d informations plus précises sur des secteurs particuliers. La situation des populations déplacées à Bozakon et Boya 1 a globalement pu être bien appréhendée. Une analyse approfondie mériterait d être menée afin de récolter des informations plus précises sur l impact du choc et des déplacements sur la santé, la mortalité, les moyens de subsistance, la protection et l état psychologique de ces populations. La zone concernée par l évaluation dispose d un seul centre de santé au sein du village de Boya 1 mais qui est non fonctionnel depuis Par conséquent, aucune donnée de référence sur la situation sanitaire des populations de la zone enquêtée n a pu être collectée. 4
5 2. RESULTATS 2.1. CONTEXTE Les villages de Bozakon et Boya 1 sont deux villages voisins distants de 5 km sur le même axe Bouca Mbada Boya 1 - Bozakon dans la sous-préfecture de Bouca, préfecture de l Ouham. Ils sont à la limite des sous-préfectures de Bouca et Batangafo respectivement à 72 Km et 67 Km de Bouca. Le village de Bozakon compte 375 personnes soit 75 ménages résidents tandis qu à Boya 1, on dénombre 91 ménages résidents pour une population de 457 personnes. En termes d infrastructure d accès à l eau potable, chaque village est doté d une pompe hydraulique manuelle à main type India Mark II fonctionnelle à Bozakon et India Mark III non fonctionnelle à Boya 1. Les populations des deux villages vivent de leurs productions agricoles. Force est de constater qu aucune organisation nationale comme internationale n intervient dans chacun des 2 villages. A l heure actuelle, ce sont les groupes d autodéfense qui assurent la sécurité des deux localités. Aucun poste avancé de la MISCA ou de la gendarmerie n est présent sur la zone. Aucun mouvement de population venant de Bozakon et Boya 1 n a été enregistré ces deux dernières années LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION 1 Le 24 juin 2014, 2 motos d un groupe armé venant de l axe Ouandago pour Batangafo transportant chacune 3 personnes ont essuyé des tirs d armes au village de Bokambaye 1 (24 km E Batangafo) venant d une position avancée d un groupe armé adverse. Lors de cette attaque, un élément du groupe armé en moto a été tué et un autre blessé a été amené à l hôpital de Batangafo pour être soigné. Le lendemain (25 juin), en guise de représailles, un renfort du groupe armé attaqué la veille, est parti de Batangafo pour attaquer le village et tous les autres villages voisins. Ils ont tué 2 personnes âgées respectivement de 26 et 17 ans. Ils ont également cassé les portes de plusieurs maisons et pillé les biens de la population en débandade. Ces attaques ont été suivies de plusieurs autres exactions. Tous les habitants des villages situés entre 16 et 35 km E de Batangafo (les villages Bokambayi 1, Bokambaye3, Botéré1, Botéré2, Bogonon, Bokaïwa et Bézomo) ont pris la fuite en brousse en direction du sud (sous-préfecture de Bouca) pour s installer dans les villages de Boya 1 et Bozakon ( 62 et 67 Km N-E de Bouca) ; d autres personnes ont rejoint les sites des déplacées internes de Bo, Boyo, Bolom et Lady (5, 9, 10 et 32 km S de Batangafo). Le village de Bozakon accueille personnes déplacées soit 432 ménages tandis que celui de Boya 1 compte 832 personnes déplacées représentant 166 ménages. 1 Informations extraites du Rapport rapide MP_DRC_Bozakon et Boya 1_juillet 2014 transmis par courriel le 18/07/2014 5
6 Fig. 2. Carte de mouvement des populations ABRIS 2.3. ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) Toute la population déplacée à un abri. 14 % des ménages habitent dans un abri en mauvais état ne répondant pas aux standards locaux (Dégâts lourds mais réparables : absence de toiture, de portes, murs partiellement endommagés, etc..). Néanmoins, ceci n exclut pas une évaluation sectorielle «Abris» envisageant la possibilité d éventuelles améliorations des abris existants. L évaluation a montré que 37 % des ménages déplacés se sont construits leurs propres abris, 18 % vivent en famille d accueil, 26 % sont dans des maisons prêtées, 1 % dans des maisons de locations et enfin 18 % dans des abris collectifs. En termes d espace, au moment de l évaluation, les populations enquêtées bénéficient d une surface d environ 1.5 m² par personne, ce qui est bien en-dessous du seuil d urgence (3.5 m²). Mais cette valeur est susceptible d augmenter car d autres abris sont en cours de construction. BIEN NON-ALIMENTAIRES (NFI) L étude de la vulnérabilité des déplacés dans les villages de Bozakon et Boya 1 se base notamment sur l évaluation de la disponibilité de certains biens-non alimentaires via l utilisation du score NFI comme indicateur. La situation en termes de NFI est très préoccupante sur les sites des déplacés de Bozakon et Boya 1 où le score NFI est de 4,5. Les besoins en Couvertures (4,7), Moustiquaires (4,8), Seau (4,9), Nattes (4,3) et Bidons (4,2) sont tous au-dessus du seuil d urgence (3,5). En effet, les populations déplacées n auraient pas eu le temps d emporter avec eux certains articles de première nécessité tel que les couvertures, les nattes, casseroles, bidons, Les besoins recensés les plus importants concernent le couchage, le transport et stockage d eau. Actuellement, les ménages déplacés n ont pas la possibilité d acheter ces articles, la priorité dans leurs dépenses est tournée vers l achat de biens de consommations alimentaires. 6
7 Graph 1. Score NFI de la population Bozakon-Boya1 Habit enfant - complet 4,2 Couverture et Drap 4,7 Moustiquaire 4,8 Couchage (natte, matelat) 4,3 Seau 4,9 Casserole Bidon 4,1 4,2 Score Total 4,5 3,6 3,8 4,0 4,2 4,4 4,6 4,8 5,0 Score (5=plus inquietant) 2.4. EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE La situation en termes d Eau, d Hygiène et Assainissement (EHA) des ménages déplacés est mauvaise. Un seul point d eau amélioré est fonctionnel mais en surexploitation. Les besoins en eau selon la norme sphère (15l/jrs/pers) et en latrines ne sont donc pas assurés. 80% des ménages pratique la défécation à l air libre. EAU L accès à l eau potable en quantité suffisante reste préoccupant pour les populations déplacées. Le seul point d eau amélioré fonctionnel est le forage équipé d une pompe India Mark II dans le village de Bozakon. Malheureusement, ce dernier souffre du manque de maintenance des pièces d usure. Seulement 12 % des ménages ont un accès facile en distance (<500m) et en temps (<15mn) à cette ressource d eau protégée. A Boya 1 la pompe India Mark III est non fonctionnelle. La source d approvisionnement en eau reste donc un puits non aménagé à 7 minutes de marche du village. La réparation des pompes est assurée par des artisans réparateurs mais le problème demeure la disponibilité locale des pièces de rechange. ASSAINISSEMENT La situation en termes d assainissement pour les déplacés est alarmante. En effet, seulement 20 % de la population déplacée ont accès à des latrines non-hygiéniques 2. 80% pratique la défécation à l air libre. Le problème semble être structurel, sans doute aggravé par le choc connu par les populations locales. En effet, en 2010 dans l Ouham 68,1 % des ménages pratiquaient la défécation à l air libre 3. 2 Mauvaises odeurs, présence de mouches/cafards, matière fécale au sol 3 MICS
8 HYGIENE Seulement 5 % des ménages enquêtés disent se laver les mains avec du savon ou de la cendre, ce qui est un mauvais résultat, en dessous du seuil critique situé entre 10 et 20%. Le pourcentage d enfants atteints de diarrhée est élevé mais pas alarmants, 36 % des enfants de moins de 5 ans ont eu la diarrhée au cours des 15 derniers jours, bien en dessous du seuil d urgence de 45% mais au-dessus des 21,8%, relevé dans la Préfecture de l Ouham en SANTE ET NUTRITION Le seul poste de santé dans la zone de l évaluation est dans le village de Boya 1 mais il est non fonctionnel depuis 2007, le chef de ce poste de santé est sur place dans ledit village. Il n existe aucune donnée de base sur les services médicaux offert par ce poste de santé et aucun stock de médicaments n est disponible. Le centre de santé le plus proche est celui de Bouca à 67 Km de Boya 1 et 72 Km de Bozakon. MORTALITE Le taux de mortalité infantile sur la zone enquêtée (Bozakon et Boya 1) est au-dessus du seuil d urgence avec 4,5 décès/10000/jour chez les moins de 5 ans (seuil d urgence >=2).Ce résultat correspond à 9 décès d enfant de moins de 5 ans qui ont eu lieu dans les 2 villages au cours des 30 derniers jours. Le taux mortalité brute est de 1,31 au-dessus du seuil d urgence de 1. Ce chiffre correspond aux 15 décès survenus pendant ces 30 derniers jours au sein de la population. Le paludisme se présente comme la principale cause de décès. MORBIDITE En l absence de données du poste de santé, le nombre de nouveaux cas de maladie pour 1000 personnes par mois n est pas disponible. Cependant, les enquêtes ménages ont relevé les taux de 36 % de diarrhée, 32 % de paludisme et 14 % d infections respiratoires chez les enfants de moins de 5 ans sur les 15 derniers jours précédents l évaluation. Le taux de paludisme est en dessous des 42,2 % observé dans la préfecture de l Ouham en NUTRITION Aucune donnée nutritionnelle n est disponible dans la mesure où il n y a pas d Unité Nutritionnelle Thérapeutique et d Unité Nutritionnelle Thérapeutique Ambulatoire sur la zone SECURITE ALIMENTAIRE Pour les populations déplacées dans les villages de Bozakon et Boya 1, le choc a potentiellement eu un impact important sur leur situation en termes de sécurité alimentaire. En effet, fuyant les exactions dans leurs localités d origine, ils sont démunis de toutes semences, la production agricole se présentant comme leur source habituelle de revenus. La totalité des ménages déplacés possède des réserves alimentaires pour seulement 1 semaine, voire moins. Une dégradation de la sécurité alimentaire est probable, notamment celle liée aux carences en protéines d origine animale vu les conditions de subsistance actuelles de la population. Les éleveurs peuhls qui assuraient l approvisionnement des deux localités en viande de bœuf sont partie courant janvier à avril 4 MICS
9 2014. Ainsi La population consomme de plus en plus de la viande de brousse (petits rongeurs,...) PERSPECTIVES AGRICOLES ET COMMERCIALES Le problème majeur se posant pour ces populations déplacées en termes de perspectives agricoles, est bien le fait qu ils aient tous abandonnés leurs champs et autres activités, sources de revenus, et qu ils ne peuvent y accéder compte tenu de l insécurité qu ils craignent dans leurs zones d origine. Au niveau commercial, l approvisionnement en produit alimentaires et manufacturés (sel, sucre, farine, savon...) est assuré par quelques marchands ambulants circulants à vélo sur l axe Bouca Boya 1- Bozakon. CONSOMMATION ALIMENTAIRE La consommation alimentaire est mesurée via le score de consommation alimentaire, qui est un score composite basé sur la diversité du régime alimentaire et la fréquence de consommation d'aliments. Comme présenté dans le tableau ci-dessous les indicateurs de sécurité alimentaire de la population déplacée sont inquiétants. En effet, 65 % d entre eux ont un score de consommation alimentaire considéré comme pauvre contre 7,8 % dans la préfecture de l Ouham en Tableau. Répartition des ménages déplacés en fonction de leur groupe de consommation alimentaire en % Groupe de Consommation Alimentaire Villages Bozakon et Boya 1 Pauvre (0-24,5) 65 % Consommation limite (24,5 38,5) 30 % Consommation acceptable (>38,5) 5 % Le nombre moyen de repas pris par jour est à peu près similaire pour les adultes et les enfants, il est de 1,2. 91 % des ménages déplacés ne prennent qu un repas par jour contre 6 % qui prennent 2 repas et seulement 3 % qui consomment 3 repas et plus par jour. ACCES AUX MOYENS DE SUBSISTANCE L analyse des sources de nourriture montre que 41% des ménages déplacés dans les 2 villages s approvisionnent principalement sur les petits marché locaux, 2% de la nourriture vient de leurs propres productions ; Chasse, Cueillette, pêche 4%; Paiement en nature 16%; Aide alimentaire 9%; Emprunt 2% ; Dons (Famille, voisins, communauté, Etc.) 26 %. Les personnes déplacées ne bénéficient d aucune assistance alimentaire humanitaire. La totalité des ménages déplacés ne dispose pas de terre cultivable, même en location. La grande majorité des ménages déplacés n ayant pas accès aux marchés apportent un appui aux ménages des communautés hôtes dans leurs champs en échange de nourriture. 5 Analyse Globale de la Vulnérabilité et de la Sécurité Alimentaire, RCA, Décembre 2009, Données Mai-Juin
10 2.7. EDUCATION Les villages de Bozakon et Boya 1 ne disposent pas d infrastructures scolaires PROTECTION Aucun cas de violence sexuelle n a été rapporté à l équipe d évaluation. Les populations déplacées ne subissent aucune menace pour leur survie et sont libres de tout mouvement dans les 2 villages. ANNEXE 1. MÉTHODOLOGIE D ÉVALUATION L évaluation multisectorielle RRM est basée sur une étude des vulnérabilités des populations touchées par un choc. Différents modules permettent de collectées les données nécessaires la compréhension des dynamiques locales, à l identification des populations en situation de vulnérabilité aigüe et à la préparation à des réponses d urgence. Au cours de cette mission d évaluation conjointe, les différents outils ci-dessous ont fait l objet d une formation à l équipe DRC. Données de base : Des groupes de discussion et des entretiens individuels sont effectués avec les autorités administratives, sanitaires, éducatives et autre informateurs préférentiels. L équipe effectue un débriefing pour confirmer certaines assertions et approfondir l analyse globale du contexte de la zone. Structure de santé : Des données sont recueillies pour chaque aire de santé qui dessert la zone enquêtée à partir de la formation sanitaire de référence. Des données sont notamment collectées sur l utilisation des services sanitaires, la morbidité, la mortalité intrahospitalière, la disponibilité des médicaments, et la nutrition. Ecole : les écoles de la zone évaluées sont visitées et des entretiens individuels ont lieu avec des informateurs clés pour recueillir des données sur le nombre d enfants inscrits et sur les conditions d enseignements. EAH : Tous les points d eau de la zone évaluée sont répertoriés ainsi que les caractéristiques techniques de chacun. Enquête ménage : 100 questionnaires sont administrés auprès des ménages déplacés pour collecter des données quantitatives sur des indicateurs EAH, Abri et NFI et Sécurité alimentaire et moyens d existence (marge d erreur 6,92% ; Niveau de confiance 95% ; distribution des réponses 50%). La sélection des ménages est effectuée de manière aléatoire autant que possible en utilisant la méthode EPI modifiée. 10
11 ANNEXE 2. DONNÉES POINTS D EAU Tableau. Données EAH Localisation du forage Etat du point d eau Type de point d eau Pop. utilisant le forage Estimation débit (L/min) Coordonnées GPS Lat. Long. Bozakon Fonctionnel Forage à main ,94977 N 18,50495 O Boya 1 Non fonctionnel Forage à main NA NA 6,93298 N 18,54393 O Boya 1 Non aménagé Puits NA 6, N 18,54316 O 11
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