Initiation à l économie
|
|
- Albert Desmarais
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Octobre 2012 () Initiation à l économie Octobre / 30
2 Plan 1 Activités et objectifs de l entreprise 2 Emplois-Ressources des entreprises 3 Les trois approches du Produit Intérieur Brut 4 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
3 Activités et objectifs de l entreprise Les entreprises 1 Activités et objectifs de l entreprise 2 Emplois-Ressources des entreprises 3 Les trois approches du Produit Intérieur Brut 4 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
4 Activités et objectifs de l entreprise L entreprise : la maximisation du profit Activité principale : production de biens et services marchands () Initiation à l économie Octobre / 30
5 Activités et objectifs de l entreprise L entreprise : la maximisation du profit Activité principale : production de biens et services marchands Objectifs? Ouvrir la boîte noire de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
6 Activités et objectifs de l entreprise L entreprise : la maximisation du profit Activité principale : production de biens et services marchands Objectifs? Ouvrir la boîte noire de l entreprise Maximiser le revenu des trois partenaires? () Initiation à l économie Octobre / 30
7 Activités et objectifs de l entreprise L entreprise : la maximisation du profit Activité principale : production de biens et services marchands Objectifs? Ouvrir la boîte noire de l entreprise Maximiser le revenu des trois partenaires? Question : comment répartir le revenu généré? () Initiation à l économie Octobre / 30
8 Activités et objectifs de l entreprise Production, CA, VA Production : correspond à la somme des biens produits (pendant une unité de temps) Le chiffre d affaires (CA) peut être supérieur ou inférieur à la production selon le comportement de stockage de l entreprise : somme des biens vendus La valeur ajoutée (VA) correspond à la différence entre le CA et les consommations intermédiaires () Initiation à l économie Octobre / 30
9 Activités et objectifs de l entreprise Les trois partenaires de l entreprise L entreprise naît de la convergence des préoccupations de ses trois partenaires Actionnaires : désir de différer l utilisation du revenu présent afin de disposer de revenus supérieurs dans le futur (offre d épargne) () Initiation à l économie Octobre / 30
10 Activités et objectifs de l entreprise Les trois partenaires de l entreprise L entreprise naît de la convergence des préoccupations de ses trois partenaires Actionnaires : désir de différer l utilisation du revenu présent afin de disposer de revenus supérieurs dans le futur (offre d épargne) Salariés : désir des ménages d obtenir un revenu en vendant leur force de travail (offre de travail) () Initiation à l économie Octobre / 30
11 Activités et objectifs de l entreprise Les trois partenaires de l entreprise L entreprise naît de la convergence des préoccupations de ses trois partenaires Actionnaires : désir de différer l utilisation du revenu présent afin de disposer de revenus supérieurs dans le futur (offre d épargne) Salariés : désir des ménages d obtenir un revenu en vendant leur force de travail (offre de travail) Entrepreneur : existe au départ, porte un projet industriel ou commercial ; également actionnaire, le plus souvent () Initiation à l économie Octobre / 30
12 Activités et objectifs de l entreprise Les trois partenaires de l entreprise L entreprise naît de la convergence des préoccupations de ses trois partenaires Actionnaires : désir de différer l utilisation du revenu présent afin de disposer de revenus supérieurs dans le futur (offre d épargne) Salariés : désir des ménages d obtenir un revenu en vendant leur force de travail (offre de travail) Entrepreneur : existe au départ, porte un projet industriel ou commercial ; également actionnaire, le plus souvent () Initiation à l économie Octobre / 30
13 Activités et objectifs de l entreprise Le schéma du droit commercial et fiscal Droit des entreprises : seuls les propriétaires ou dirigeants de l entreprise peuvent prendre des décisions en son nom Comptabilité d entreprise : salaires comptabilisés avec les coûts de production () Initiation à l économie Octobre / 30
14 Activités et objectifs de l entreprise Le schéma du droit commercial et fiscal Droit des entreprises : seuls les propriétaires ou dirigeants de l entreprise peuvent prendre des décisions en son nom Comptabilité d entreprise : salaires comptabilisés avec les coûts de production Bénéfice = Chiffres d Affaires Coûts de production, partagé entre actionnaires et entrepreneur () Initiation à l économie Octobre / 30
15 Activités et objectifs de l entreprise Le schéma du droit commercial et fiscal Droit des entreprises : seuls les propriétaires ou dirigeants de l entreprise peuvent prendre des décisions en son nom Comptabilité d entreprise : salaires comptabilisés avec les coûts de production Bénéfice = Chiffres d Affaires Coûts de production, partagé entre actionnaires et entrepreneur Exclusion des salariés de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
16 Activités et objectifs de l entreprise Le cadre économique néo-classique L entreprise combine capital K et travail L pour produire Y : Y = F (K, L) Exclusion des propriétaires du capital (actionnaires), comme des salariés, de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
17 Activités et objectifs de l entreprise Le cadre économique néo-classique L entreprise combine capital K et travail L pour produire Y : Y = F (K, L) Exclusion des propriétaires du capital (actionnaires), comme des salariés, de l entreprise Théorie économique : cadre d analyse standard de l entreprise. Objectif de maximisation du profit (ce qui reste à l entrepreneur) Π = Y rémunération capital / travail Entreprise = lieu de valorisation des capitaux privés transformés en moyens de production de biens et services () Initiation à l économie Octobre / 30
18 Activités et objectifs de l entreprise La répartition du produit de l activité de l entreprise Rémunération du capital : à l équilibre des marchés financiers, dividende action = interet + prime de risque () Initiation à l économie Octobre / 30
19 Activités et objectifs de l entreprise La répartition du produit de l activité de l entreprise Rémunération du capital : à l équilibre des marchés financiers, dividende action = interet + prime de risque Si la rémunération de l action est supérieure à celle des obligations augmenté d une prime de prisque, alors la demande se porte vers les actions, leur prix augmente et leur rémunération diminue. () Initiation à l économie Octobre / 30
20 Activités et objectifs de l entreprise La répartition du produit de l activité de l entreprise Rémunération de l entrepreneur (profit Π) : Π > 0 Profit non nul si nouvelle idée ou si entrave à la concurrence (monopole, collusion..). Sinon Π = 0 en Concurrence Pure et Parfaite () Initiation à l économie Octobre / 30
21 Activités et objectifs de l entreprise La répartition du produit de l activité de l entreprise Rémunération de l entrepreneur (profit Π) : Π > 0 Profit non nul si nouvelle idée ou si entrave à la concurrence (monopole, collusion..). Sinon Π = 0 en Concurrence Pure et Parfaite En pratique, l entrepreneur est souvent aussi actionnaire et/ou dirigeant rémunération ad hoc () Initiation à l économie Octobre / 30
22 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : () Initiation à l économie Octobre / 30
23 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : Atomicité des marchés : très grand nombre de producteurs et de consommateurs () Initiation à l économie Octobre / 30
24 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : Atomicité des marchés : très grand nombre de producteurs et de consommateurs Homogénéité des produits : produits non différentiables entre producteurs () Initiation à l économie Octobre / 30
25 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : Atomicité des marchés : très grand nombre de producteurs et de consommateurs Homogénéité des produits : produits non différentiables entre producteurs Information parfaite : tous les consommateurs connaissent les prix () Initiation à l économie Octobre / 30
26 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : Atomicité des marchés : très grand nombre de producteurs et de consommateurs Homogénéité des produits : produits non différentiables entre producteurs Information parfaite : tous les consommateurs connaissent les prix Libre-entrée sur le marché : pas de barrière à l entrée (coûts fixes,..) () Initiation à l économie Octobre / 30
27 Activités et objectifs de l entreprise La Concurrence Pure et Parfaite (CPP) Cadre théorique idéal, caractérisé par quatre conditions : Atomicité des marchés : très grand nombre de producteurs et de consommateurs Homogénéité des produits : produits non différentiables entre producteurs Information parfaite : tous les consommateurs connaissent les prix Libre-entrée sur le marché : pas de barrière à l entrée (coûts fixes,..) L entreprise est price-taker en CPP (price-maker en concurrence imparfaite) () Initiation à l économie Octobre / 30
28 Emplois-Ressources des entreprises Les entreprises 1 Activités et objectifs de l entreprise 2 Emplois-Ressources des entreprises 3 Les trois approches du Produit Intérieur Brut 4 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
29 Emplois-Ressources des entreprises La Valeur Ajoutée, ressource de l entreprise (1/2) VA = Y CI (Y : production) La production Y dépend du capital investi, du travail et des consommations intermédiaires () Initiation à l économie Octobre / 30
30 Emplois-Ressources des entreprises La Valeur Ajoutée, ressource de l entreprise (1/2) VA = Y CI (Y : production) La production Y dépend du capital investi, du travail et des consommations intermédiaires Rq : Entrepreneur individuel, revenu mixte (YM) () Initiation à l économie Octobre / 30
31 Emplois-Ressources des entreprises La Valeur Ajoutée, ressource de l entreprise (2/2) Somme de VA, pas de double compte. Ex : 2 entreprises A et B, A fournisseur de B Y A + Y B = Y A + VA B + CI B = VA B + 2Y A VA A + VA B = Y A + Y B CI B = Y B () Initiation à l économie Octobre / 30
32 Emplois-Ressources des entreprises La Valeur Ajoutée, ressource de l entreprise (2/2) Somme de VA, pas de double compte. Ex : 2 entreprises A et B, A fournisseur de B Y A + Y B = Y A + VA B + CI B = VA B + 2Y A VA A + VA B = Y A + Y B CI B = Y B Comparaison entre somme des productions et somme des VA ( Y / VA) : indicateur d intégration verticale (cas particulier : un bien représentatif) () Initiation à l économie Octobre / 30
33 Emplois-Ressources des entreprises La Valeur Ajoutée, ressource de l entreprise (2/2) Somme de VA, pas de double compte. Ex : 2 entreprises A et B, A fournisseur de B Y A + Y B = Y A + VA B + CI B = VA B + 2Y A VA A + VA B = Y A + Y B CI B = Y B Comparaison entre somme des productions et somme des VA ( Y / VA) : indicateur d intégration verticale (cas particulier : un bien représentatif) () Initiation à l économie Octobre / 30
34 Emplois-Ressources des entreprises Comment évaluer la VA? Au prix d acquisition : Production (évaluée au prix de consommation) CI () Initiation à l économie Octobre / 30
35 Emplois-Ressources des entreprises Comment évaluer la VA? Au prix d acquisition : Production (évaluée au prix de consommation) CI Au coût des facteurs : VA au prix d acquisition Impôts sur production + Subventions sur production () Initiation à l économie Octobre / 30
36 Emplois-Ressources des entreprises Comment évaluer la VA? Au prix d acquisition : Production (évaluée au prix de consommation) CI Au coût des facteurs : VA au prix d acquisition Impôts sur production + Subventions sur production Ressource effective de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
37 Emplois-Ressources des entreprises Le compte des entreprises Le compte Emplois-Ressources () Initiation à l économie Octobre / 30
38 Emplois-Ressources des entreprises () Initiation à l économie Octobre / 30
39 Emplois-Ressources des entreprises () Initiation à l économie Octobre / 30
40 Les trois approches du PIB Les entreprises 1 Activités et objectifs de l entreprise 2 Emplois-Ressources des entreprises 3 Les trois approches du Produit Intérieur Brut 4 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
41 Les trois approches du PIB Exemple introductif Secteur productif à trois agents : agriculteur (blé), meunier (farine) et boulanger (pain) PIB= VA : indicateur de revenu, indicateur de l activité productrice et indicateur de la demande finale de biens et services (pain) () Initiation à l économie Octobre / 30
42 Les trois approches du PIB L approche revenu TVA, taxe sur production, cotisations sociales = revenu de l Etat (impôt sur le revenu (IR) : concerne les ménages) () Initiation à l économie Octobre / 30
43 Les trois approches du PIB L approche revenu TVA, taxe sur production, cotisations sociales = revenu de l Etat (impôt sur le revenu (IR) : concerne les ménages) A partir du compte de production et d exploitation (PIB au prix d acquisition) : PIB = wl + EBE + T sal + T prod Sub prod où EBE désigne l excédent brut d exploitation () Initiation à l économie Octobre / 30
44 Les trois approches du PIB () Initiation à l économie Octobre / 30
45 Les trois approches du PIB L approche production PIB = indicateur d activité () Initiation à l économie Octobre / 30
46 Les trois approches du PIB L approche production PIB = indicateur d activité En reprenant l approche revenu, avec VA = wl + EBE + T sal (au coût des facteurs) : PIB = VA + T prod Sub prod () Initiation à l économie Octobre / 30
47 Les trois approches du PIB L approche production PIB = indicateur d activité En reprenant l approche revenu, avec VA = wl + EBE + T sal (au coût des facteurs) : PIB = VA + T prod Sub prod PIB = valeur (prix d acquisition) des biens et services produits () Initiation à l économie Octobre / 30
48 Les trois approches du PIB L approche production PIB = indicateur d activité En reprenant l approche revenu, avec VA = wl + EBE + T sal (au coût des facteurs) : PIB = VA + T prod Sub prod PIB = valeur (prix d acquisition) des biens et services produits Taux de croissance de l économie = celui du PIB en volume, ou PIB réel, ou PIB à prix constants (année de base) () Initiation à l économie Octobre / 30
49 Les trois approches du PIB Quantités en volume, quantités en valeur Biens et services en valeur (avec p t prix courants en t, Q t volume produit au cours de la période) : Evolution en valeur : Premier terme du à l inflation BS val,t = p t Q t BS val,t = p t Q t + p t Q t () Initiation à l économie Octobre / 30
50 Les trois approches du PIB Quantités en volume, quantités en valeur Biens et services en valeur (avec p t prix courants en t, Q t volume produit au cours de la période) : Evolution en valeur : BS val,t = p t Q t Premier terme du à l inflation BS val,t = p t Q t + p t Q t Evolution des quantités produites, sans effet de l inflation? Quantités en volume, à prix constants (année de base t 0 ) : BS vol,t = p t0 Q t () Initiation à l économie Octobre / 30
51 Les trois approches du PIB Source : Insee, comptabilité nationale. () Initiation à l économie Octobre / 30
52 Les trois approches du PIB L approche demande Utilisation des biens et services produits Equilibre sur le marché des biens et services (production au prix d acquisition) : Prod t + Z t = CI t + C t + I t + G t + S t + X t où Z t et X t sont les importations et les exportations () Initiation à l économie Octobre / 30
53 Les trois approches du PIB L approche demande Utilisation des biens et services produits Equilibre sur le marché des biens et services (production au prix d acquisition) : Prod t + Z t = CI t + C t + I t + G t + S t + X t où Z t et X t sont les importations et les exportations D où le PIB au prix d acquisition : demande intérieure + balance commerciale PIB t = (C t + I t + G t + S t ) + (X t Z t ) () Initiation à l économie Octobre / 30
54 Les trois approches du PIB L approche demande Utilisation des biens et services produits Equilibre sur le marché des biens et services (production au prix d acquisition) : Prod t + Z t = CI t + C t + I t + G t + S t + X t où Z t et X t sont les importations et les exportations D où le PIB au prix d acquisition : demande intérieure + balance commerciale PIB t = (C t + I t + G t + S t ) + (X t Z t ) Les contributions à la croissance des différents postes de la demande (important à CT, cadre keynésien), avec g X = X X : g PIB = C PIB g C + I PIB g I + G PIB g G + 2 S PIB + X PIB g X Z PIB g Z () Initiation à l économie Octobre / 30
55 Les trois approches du PIB Contributions à la croissance des différentes composantes de la demande Source : Insee, comptes trimestriels. () Initiation à l économie Octobre / 30
56 Les entreprises Les choix de l entreprise 1 Activités et objectifs de l entreprise 2 Emplois-Ressources des entreprises 3 Les trois approches du Produit Intérieur Brut 4 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
57 Les choix de l entreprise Les choix de l entreprise La quantité à produire () Initiation à l économie Octobre / 30
58 Les choix de l entreprise Les choix de l entreprise La quantité à produire La technologie de production et l innovation () Initiation à l économie Octobre / 30
59 Les choix de l entreprise Les choix de l entreprise La quantité à produire La technologie de production et l innovation Les ressources humaines () Initiation à l économie Octobre / 30
60 Les choix de l entreprise Les choix de l entreprise La quantité à produire La technologie de production et l innovation Les ressources humaines L optimisation fiscale () Initiation à l économie Octobre / 30
61 Les choix de l entreprise Les choix de l entreprise La quantité à produire La technologie de production et l innovation Les ressources humaines L optimisation fiscale Le financement () Initiation à l économie Octobre / 30
62 Les choix de l entreprise () Initiation à l économie Octobre / 30
Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailCONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur
CONSOMMATION FINALE Matérialité de l usage Productivité de l usage Effet de l usage Usure d un bien Usage d un bien SANS effet productif ultérieur Satisfaction Gaspillage Champagne School of Management
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailCHAPITRE 6. Les comptes courants
CHAPITRE 6 Les comptes courants Le compte courant est un compte ouvert dans une banque dont toues les sommes du débit et du crédit sont productives d intérêt Terminologie Compte courant débiteur on parle
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailCes annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions.
Annexes sur l économie grecque Ces annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions. 1. L endettement des ménages 2. Le poids
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailNote commune N 3 / 2014
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailComprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)
Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour
Plus en détailECONOMIE GENERALE. La représentation de l économie : la comptabilité nationale
IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE Mots clés : PARTIE I CHAPITRE 3 La représentation de l économie : la comptabilité nationale Administration publique Circuit économique
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailQu est-ce que le C.I.C.E.?
Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détail013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R
2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a
Plus en détailMAISON DE QUARTIER DES CHAMPS ELYSEES
DES CHAMPS ELYSEES Place Troisdorf 91000 EVRY Comptes Annuels au : 31 décembre 2014 SIRET : 32631653600019 Action Expertise - SECE - Société d'expertise Comptable et de Conseils aux Entreprises 110, boulevard
Plus en détailCONCOURS INGENIEUR D ETUDES AUDITEUR INTERNE A L AGENCE COMPTABLE AC3 SESSION 2014
CONCOURS INGENIEUR D ETUDES AUDITEUR INTERNE A L AGENCE COMPTABLE AC3 SESSION 2014 Durée : 3 heures Coefficient : 3 Le candidat traitera quatre sujets: Sujet 1 : Traduction Anglais/Français Sujet 2 : Comptabilité
Plus en détailComprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)
Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailA Comment passe-t-on des revenus primaires au revenu disponible?
32 LES FACTEURS ECONOMIQUES DE LA CONSOMMATION A Comment passe-t-on des revenus primaires au revenu disponible? 1 De la production aux revenus primaires 1. Une fois la richesse produite dans les entreprises
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailComparaison des états financiers d une entreprise et d une banque
CHAPITRE 1 Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque Ce e comparaison met en évidence des différences, liées aux par cularités des ac vités bancaires. 1.1 DESCRIPTION SUCCINCTE
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailDCG 6. Finance d entreprise. L essentiel en fiches
DCG 6 Finance d entreprise L essentiel en fiches DCG DSCG Collection «Express Expertise comptable» J.-F. Bocquillon, M. Mariage, Introduction au droit DCG 1 L. Siné, Droit des sociétés DCG 2 V. Roy, Droit
Plus en détailTRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION
TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailLa méthode de l amortissement direct
Cours 8 (STS, J.-M. Schwab) L amortissement Méthodes et calculs d'amortissements Les biens d une entreprise se déprécient par l usure, par l extinction d un droit (brevet, licence, exclusivité) ou plus
Plus en détailPartage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France
Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France Rapport au Président de la République Mission présidée par Jean-Philippe Cotis, Directeur général de l Insee 13 mai
Plus en détailFirstW@ve. Comptabilité financière
FirstW@ve Comptabilité financière ENVIRONNEMENT Fonctionne sous «Windows/NT» Base de données «SQL/Server» Outil de développement «MAGIC 8.3» Fonctionne en mono-poste ou multi-postes réseaux Licences nécessaires
Plus en détailÉtude Patrimoniale Document de collecte d informations. Votre conjoint. Vous. Vos proches. Date de l entretien... DOSSIER
Date de l entretien.... DOSSIER Vous Votre conjoint Prénom.... Prénom.... Nom.... Nom.... Date de naissance... Date de naissance.... Situation familiale marié(e) célibataire divorcé(e) veuf(ve) union libre
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailFISCALITÉ DES REVENUS DE PLACEMENT
FISCALITÉ DES REVENUS DE PLACEMENT LA LECTURE DE CE DOCUMENT VOUS PERMETTRA : De connaître les différentes sources de revenus de placement et leur imposition; De connaître des stratégies afin de réduire
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailThème 1: MÉNAGES ET CONSOMMATION
Thème 1: MÉNAGES ET CONSOMMATION A/ Comment les revenus et les prix influencent-ils le choix des consommateurs? Notions à découvrir Revenu disponible Consommation Épargne Pouvoir d'achat Dans cette première
Plus en détailTHÈME. Imposition des produits. Exercice 1. Produits d exploitation
Imposition des produits THÈME 1 Exercice 1 Produits d exploitation L entreprise Pan est spécialisée dans la vente de panneaux solaires. Elle a vendu des panneaux courant novembre N à divers clients. Les
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailDémystifier le Système Fiscal Brésilien. Chambre de Commerce de Montréal 27 février 2015
Démystifier le Système Fiscal Brésilien Chambre de Commerce de Montréal 27 février 2015 Ordre du jour Contexte fiscal et survol des divers impôts brésiliens Faire affaire au Brésil sans présence locale
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détail9.1 COMPTES CONSOLIDÉS 2014
9. États financiers 9.1 COMPTES CONSOLIDÉS 2014 ET ANNEXE BILAN CONSOLIDÉ ACTIF Référence annexe 31/12/2014 * 01/01/2013 * Actifs non courants Immobilisations incorporelles 4.3 13 115 18 888 24 990 Écarts
Plus en détailFiscalité agricole. Informations de base utiles pour les petites entreprises agricoles. Véronique Bouchard, Ferme aux petits oignons
Fiscalité agricole Informations de base utiles pour les petites entreprises agricoles Véronique Bouchard, Ferme aux petits oignons Plan de présentation Tenue de livre/comptabilité/gestion/fiscalité Formes
Plus en détailLA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997
LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE Selon les données communiquées par les établissements participant à l enquête-titres de la Banque de France, l encours des capitaux placés
Plus en détailComptabilité Générale - Résumé blocus 08. 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats,
Comptabilité Générale - Résumé blocus 08 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats, Fonds de tiers = Provisions + Dettes. Fonds de tiers à long terme = Provisions + Dettes à plus d un an. Capitaux
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailDépartement des affaires économiques et sociales. études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale
ST/ESA/STAT/SER.F/85 Département des affaires économiques et sociales Division de statistique études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale Comptabilité nationale : introduction
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailL investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM
L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM Etat des lieux de l investissement participatif en France Du simple placement individuel au portage de projet Les
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailTrébeurden Synthèse financière
Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailwww.expert-invest.fr
www.expert-invest.fr Ce document est une synthèse non exhaustive du contenu du bilan patrimonial professionnel que nous proposons. Il ne saurait se substituer à une véritable analyse de notre part ni remplacer
Plus en détailMonnaie, chômage et capitalisme
Franck Van de Velde Monnaie, chômage et capitalisme Presses Universitaires du Septentrion internet : www.septentrion.com Sommaire Introduction Générale 7 1. Monnaie 7 2. Monnaie et capitalisme 10 3. Monnaie,
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailSurfaces organisées en espaces mixtes et bureaux cloisonnés
Equipements et Prestations Locaux rénovés Surfaces Voir tableau des surfaces en seconde page. Surfaces organisées en espaces mixtes et bureaux cloisonnés Accès PMR Câblage Climatisation Parking public
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailE4 SARL Cheval Bressan. Proposition de corrigé. Barème général
E4 SARL Cheval Bressan Proposition de corrigé Barème général Détail Total DOSSIER 1 Travaux comptables 25 A. Enregistrement de factures (achats/ventes/import) 11,5 B1. Caractéristiques de l emprunt 4 B2.
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailRAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009
RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009 I. Environnement économique 2009 SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti) 31 625 Taux de croissance de l'économie 3,00% II. Environnement Institutionnel
Plus en détailLes Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011
Les Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011 Pôle Formation CCI COLMAR SOGEX Thème du jour animé par Giovanni TERRANA Consultant en droit social Associé INTRODUCTION Présentation du cabinet SOGEX:
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailVolet préparatoire aux cours de CSI - MODULE 1
Volet préparatoire aux cours de CSI - MODULE 1 Questionnaire d'auto-évaluation La formation de choix des leaders en services financiers Module I Questionnaire d auto-évaluation Le questionnaire suivant
Plus en détailAspects fiscaux des placements en société
Aspects fiscaux des placements en société Sommaire 1. Généralités 2. Exploiter d abord l épargne fiscale 2.1. L engagement individuel de pension via une assurance externe (EIP) 2.2. Une pension libre complémentaire
Plus en détailFaculté de sciences économiques et de gestion Nabeul. 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE. Enseignant Dr Jalel BERREBEH
Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE Enseignant Dr Jalel BERREBEH Année Universitaire 2010/2011 Thème I. Eléments de la
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailComité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011
Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en
Plus en détail