IMF-WB Workshop on Medium Term Debt Management Strategy (MTDS) Aperçu : la stratégie de gestion de la dette à moyen terme (SDMT)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "IMF-WB Workshop on Medium Term Debt Management Strategy (MTDS) Aperçu : la stratégie de gestion de la dette à moyen terme (SDMT)"

Transcription

1 Aperçu : la stratégie de gestion de la dette à moyen terme (SDMT)

2 Qu est ce que la gestion de la dette publique? La gestion de la dette publique se définit par le processus d adoption et de mise en œuvre d une stratégie de gestion de la dette pour permettre d atteindre les objectifs de financement, de risque et de coût, de l administration centrale, ainsi que d autres objectifs de l État en gestion de la dette publique, comme la mise en place d un marché des titres publics performant. Directives sur la gestion de la dette publique: FMI/Banque Mondiale, 2001

3 Gestion de la dette et viabilité de la dette Gestion de la dette Viabilité de la dette à long terme DeMPA (processus/institutions) SDMT (composition de la dette) AVD (niveau de la dette)

4 La gestion de la dette est distincte de la politique budgétaire Politique budgétaire l ensemble des dépenses et la fiscalité de l Etat, les impacts microéconomiques des politiques de revenues et des dépenses. Elle détermine le niveau de la dette Gestion de la dette - Structure de la dette, coût et risque du portefeuille de la dette dans les limites acceptables de tolérance. Elle détermine la composition de la dette

5 Objectif Aider le processus de développement d un plan qui sera mis en œuvre par le gouvernement à moyen terme pour aboutir à une composition désirée du portefeuille de de la dette de l Etat Évaluer les compromis coût-risque liés aux différentes stratégies Méthodologie Une directive qui fournit une guide pratique sur le processus de développement d une SDMT. Une approche structurée à huit étapes de développement d une stratégie de gestion de la dette. L outil analytique (OA) fournit un cadre de coûtrisque permettant de guider le processus de prise de décision SGDMT. Le guide explique l utilisation de l OA Mise en œuvre Conjointement développée et mise en œuvre par la Banque Mondial et le Fonds Monétaire International. Missions de mise en œuvre et de suivi. Soumission de rapport à la discrétion des autorités. Sur la base de la demande.

6 Les 8 étapes IMF-WB Workshop on Medium Term Debt 1. Objectifs et portée de la stratégie 2. Coût et risque de la dette existante 3. Sources de financement potentielle 4. Environnement macro-politique et de marché à moyen terme 5. Facteurs et risques structurels généraux 6. Analyse des stratégies alternatives de gestion de la dette 7. Revue ensemble avec les autorités budgétaires, monétaires et du marché 8. Proposition et approbation de stratégie

7 Etape 1 : Objectifs et portée Objectif Identifier les principaux objectifs de la gestion de la dette publique et la portée de la stratégie de gestion de la dette à moyen terme. Résultats Description des objectifs généraux de gestion de la dette publique. Définition des types de dette couverts par cette stratégie. 7

8 Etape 2: Coût et risque de la dette actuelle Objectifs Identifier la stratégie de gestion de la dette actuelle Identifier la dette échue et sa composition. Calculer le coût initial et les indicateurs du risque de marché. Résultats Informations détaillées sur la dette existante Profil du service de la dette existante Description des principaux risques de portefeuille. 8

9 Étape 3: Sources de financement potentielles Objectif Identifier les sources de financement potentielles, leurs caractéristiques financières, y compris le coût et le risque. Résultats Établir la liste des instruments potentiels intérieurs ou extérieurs et la description de leurs caractéristiques financières. Évaluation du potentiel des emprunts annuels liés à chaque instrument Discussion / classification des instruments en fonction des caractéristiques coût risque. 9

10 Étape 4: Prévisions macroéconomiques et de marché Objectifs Identifier les projections de référence liées aux variables des politiques budgétaires et monétaires clés ainsi que les taux du marché, les principaux risques qui les accompagnent et les contraintes et implications pertinentes de la formulation de la SDMT Résultats Les projections de référence des variables clés des politiques budgétaires, monétaires et de marché Une série complète et détaillée des scénarios de risques pays spécifiques à tester 10

11 Etape 5: Facteurs structurels de long terme Objectif Revue des facteurs structurels qui, potentiellement influencent la direction désirée de la SDMT sur le long terme. Résultats Articulation des facteurs structurels de long terme en indiquant que la SDMT devra être prise en compte, par exemple: Vulnérabilités des cours des matières premières. Macro vulnérabilités créées par la composition de la dette. Variation dans l accès au financement concessionnel en fonction de l accroissement du niveau des recettes.

12 Étape 6: Analyse des stratégies (arbitrage coûtsrisques) Objectifs Identifier et analyser les stratégies alternatives de gestion de la dette, évaluer leur performance et choisir un petit nombre de stratégie de référence de gestion de la dette Résultats Comparaison des compositions faisables de la dette en identifiant les préférences relatives aux objectifs Comparaison des aspects de coût et des implications de la fourchette de coûts des stratégies de gestion de la dette Identification des stratégies de référence et d un petit nombre de stratégies alternatives

13 Etape 7: Examiner les conséquences pour les politiques macro et le marché Objectifs Assurer le partage des conclusions de l analyses des stratégies identifiées, par les autorités budgétaires et monétaires Analyser les implications potentielles des stratégies sur le marché de la dette Résultats Une évaluation clair que les stratégies considérées sont conformes aux politiques budgétaires et monétaires, en préservant la viabilité de la dette, et qu elle sont en ligne avec les plans de développement de marché 13

14 Etape 8: Proposition et approbation de stratégie Objectifs Présenter les stratégies alternatives et de référence à la plus haute autorité responsable Proposer la stratégie de référence pour approbation Résultats Un document décrivant la stratégie de référence ainsi qu un petit nombre d alternatives ( rapport SDMT ) Une description claire des principaux coûts associés et une relation avec les objectifs généraux 14

15 Diffusion de la stratégie Une fois déterminée, la stratégie adoptée devra être diffusée Informer les parties prenantes clés (parlement, créanciers, investisseurs, agences de notation) Garantir un engagement (politique) à la mise en œuvre de la stratégie Réduire l incertitude, accroître la confiance Faciliter la prise de décision par le service de la gestion de la dette Renforcer la transparence et la redevabilité Améliorer la qualité du débat Renforcer l analyse et (par conséquent) améliorer les résultats Créer un point de référence pour évaluer la performance de la gestion de la dette 15

16 Mise en oeuvre de la stratégie Un processus distincte de la formulation de la stratégie Concentration opérationnelle, identification de plans d emprunt pertinents basés sur des caractéristiques précises et des informations détaillées sur les instruments La mise en œuvre fera ressortir les principaux contraintes a la mise en œuvre des stratégies faisables : Des marchés de dettes étroits Les faiblesses des opérations du marché primaire Le conflit potentiel avec le cadre d exécution de la politique monétaire Les limites sur la disponibilité du financement concessionnel L établissement d un lien avec la stratégie de développement de marché 16

17 Objectifs et portée de gestion de la dette

18 Les objectifs sont distincts d une stratégie Les objectifs de gestion de la dette déterminent les buts à moyen et long terme de la gestion de la dette, par exemple: Minimiser le coût des emprunts en maintenant les risques à un niveau acceptable Soutenir le développement et le fonctionnement des marchés financiers locaux La stratégie est le plan pour atteindre ces objectifs Les objectifs et la stratégie ne doivent pas être mélangés Ils ont des buts différents, des horizons temporels distincts, des processus d'évaluation et de prise de décisions séparées 18

19 Objectifs de la gestion de la dette Quelques exemples génériques d objectifs communs de la gestion de la dette publique: Garantir que les besoins de financement de l État soient satisfaits de manière opportune Réduire les coûts d emprunt tout en maintenant les risques à un niveau acceptable Soutenir le développement et le fonctionnement de marchés financiers intérieurs Ils changeront rarement reflètent des changements significatifs dans la situation d'un pays

20 Périmètre de la gestion de la dette Il est important de définir clairement le périmètre de la dette inclus pour une meilleure gouvernance de la dette. La gestion de la dette devrait couvrir tous les passifs de l'administration centrale, y compris les passifs conditionnels Les passifs conditionnels explicites, telles que la dette garantie, sont - du point de vue des risques - identiques à les emprunts directs d un gouvernement qui finance des opérations de rétrocession Certains bureaux de la dette sont responsables de l'analyse de crédit et / ou la détermination de la tarification des garanties; certains bureaux de la dette contrôlent l'octroi de garanties Les passifs conditionnels implicites, telles que la dette émise par les administrations municipales et locales, posent également un risque et au moins doivent être surveillés La définition exacte du champ dépendra de la mesure dans laquelle le gestionnaire de la dette peut influer sur l'exposition au risque des portefeuilles spécifiques 20

21 Périmètre de la gestion de la dette (2) Un bon point de départ pratique: la dette intérieure et extérieure directe de l administration centrale Puis, élargir le champ progressivement pour inclure d autres types de passifs Pour assurer une bonne gouvernance, il serait recommandé d adopter une définition claire de la portée de la gestion de la dette Au cas où aucune définition n est adoptée, le chargé de la gestion de la dette sera tenue pour responsable pour des faits qui sont hors de son contrôle

22 Résumé Les objectifs de la gestion de la dette constituent la base de la SDMT La première étape du développement d une SDMT consiste en la définition Des objectifs De la portée/champ Cela permettra non seulement de faciliter le développement de la SDMT, mais aussi soutenir des arrangements de gouvernance transparentes Les résultats de l Etape 1 La description des objectifs généraux de la gestion de la dette La définition de la portée de la SDMT (c est-à-dire lesquelles des dettes sont concernées)

Compte consolidé de la Confédération

Compte consolidé de la Confédération Compte consolidé de la Confédération Expériences avec la première élaboration Association pour les finances et la comptabilité publiques Colloque du 3 septembre 2010 Markus Stöckli, chef du service comptabilité,

Plus en détail

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique

Plus en détail

CMI ECONOMIE, FINANCE QUANTITATIVE ET STATISTIQUES - PARCOURS FORMATION EN APPRENTISSAGE

CMI ECONOMIE, FINANCE QUANTITATIVE ET STATISTIQUES - PARCOURS FORMATION EN APPRENTISSAGE Université de PARIS 2 - ASSAS 1/3 PARCOURS FORMATION EN APPRENTISSAGE L1 S1 Mathématiques 1 4 L1 S1 Statistiques 1 4 L1 S1 Fondemants de l'informatique 4 L1 S1 Compléments Maths 2 L1 S1 Compléments Stats

Plus en détail

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations

Plus en détail

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de

Plus en détail

Quels enseignements de l expérience française (1983-1990)

Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE

Plus en détail

Macroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be

Macroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Monnaie Fonction de la monnaie Moyen de paiement: troc incompatible avec une forte division du travail acceptation

Plus en détail

Le modèle canadien de gestion de la dette

Le modèle canadien de gestion de la dette Le modèle canadien de gestion de la dette David Jamieson Bolder, département des Marchés financiers L objectif que poursuit le gouvernement canadien dans la gestion du portefeuille de la dette intérieure

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Banque nationale suisse

Banque nationale suisse IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

MANUEL DE STATISTIQUES DOCUMENT D ACCOMPAGNEMENT STATISTIQUES DE FINANCES PUBLIQUES 2001 DU SECTEUR PUBLIC NON FINANCIER CONSOLIDATION

MANUEL DE STATISTIQUES DOCUMENT D ACCOMPAGNEMENT STATISTIQUES DE FINANCES PUBLIQUES 2001 DU SECTEUR PUBLIC NON FINANCIER CONSOLIDATION MANUEL DE STATISTIQUES DE FINANCES PUBLIQUES 2001 DOCUMENT D ACCOMPAGNEMENT STATISTIQUES DU SECTEUR PUBLIC NON FINANCIER CONSOLIDATION TOBIAS WICKENS OCTOBRE 2008 Table des matières Résumé analytique

Plus en détail

Cour des comptes. Les finances. publiques. locales. Rapport public thematique. octobre 2013. La Documentation frangaise

Cour des comptes. Les finances. publiques. locales. Rapport public thematique. octobre 2013. La Documentation frangaise Cour des comptes Les finances publiques locales Rapport public thematique octobre 2013 La Documentation frangaise Sommaire DELIBERE 9 INTRODUCTION 13 CHAPITRE I - REVOLUTION D'ENSEMBLE DES FINANCES DES

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

La balance des paiements et la position

La balance des paiements et la position La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions

Plus en détail

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION

Plus en détail

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières

8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières 8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières 8030.3051 Référentiel de formation A - Emplois visés : Ce Master Européen s adresse prioritairement à des étudiants ayant validé un diplôme

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne

Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Introduction du débat organisé par l IEFP 5 décembre 2007 1 Plan de la présentation 1. Volume de l épargne et croissance en union monétaire. 2. Structure

Plus en détail

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7 Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle

Plus en détail

La qualité des services mobiles en France métropolitaine

La qualité des services mobiles en France métropolitaine Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce

Plus en détail

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités

Plus en détail

Colloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle?

Colloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Colloque Groupama AM CEPII La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Table ronde 1 : la stabilité et l unité du système financier européen vont- elles être rétablies? Patrick Goux et Christophe h Morel

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

UNE FISCALITE MAROCAINE ATTRACTIVE

UNE FISCALITE MAROCAINE ATTRACTIVE UNE FISCALITE MAROCAINE ATTRACTIVE Le Maroc a mis en place un plan d action ambitieux dans le but de se convertir en une destination touristique attractive. Dans ce cadre, il s est doté d une législation

Plus en détail

STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU CLIMAT DES AFFAIRES MAROC

STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU CLIMAT DES AFFAIRES MAROC STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU CLIMAT DES AFFAIRES MAROC Dimension: Politique et Administration Fiscales TABLE DES MATIÈRES LISTE DES SIGLES... 2 1. INTRODUCTION... 4 2. CADRE D ÉVALUATION... 12 3. ANALYSE...

Plus en détail

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND

Plus en détail

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval

Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval Suivi du Conseil syndical de novembre 2010 Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval Proposé par le confrère Yvon Brault Appuyé par le confrère Réal Quesnel Que le SFPQ produise rapidement

Plus en détail

DIRECTIVE N 10/2009/CM/UEMOA PORTANT TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES DE L ETAT (TOFE) AU SEIN DE L UEMOA

DIRECTIVE N 10/2009/CM/UEMOA PORTANT TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES DE L ETAT (TOFE) AU SEIN DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ----------------------- Le Conseil des Ministres DIRECTIVE N 10/2009/CM/UEMOA PORTANT TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES DE L ETAT (TOFE) AU SEIN DE L UEMOA

Plus en détail

Floored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»

Floored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels

Plus en détail

Monnaie, Banque et Marchés Financiers

Monnaie, Banque et Marchés Financiers Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C

Plus en détail

Journée_: Modules HoraireEpreuve

Journée_: Modules HoraireEpreuve AA 13 Deuxième année Licence Fond. en Gestion: Administration des affaires Comptabilité de Gestion GESTION DE LA PRODUCTION FINANCE Marketing - Techniques et Stratégies d'achat Gestion par objectifs Techniques

Plus en détail

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants: sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

Le Marketing au service des IMF

Le Marketing au service des IMF Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance

Plus en détail

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien

Nouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système

Plus en détail

Allianz Retraite TNS / Agricole

Allianz Retraite TNS / Agricole Professionnels indépendants Allianz Retraite TNS / Agricole Épargnez pour votre retraite tout en profitant de déductions fiscales *. www.allianz.fr Avec vous de A à Z * Selon la législation en vigueur

Plus en détail

Stratégie d assurance retraite

Stratégie d assurance retraite Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

Intitulé : Logistique & Transport

Intitulé : Logistique & Transport Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales Intitulé : Logistique & Transport IDENTIFICATION DE LA FILIERE Intitulé : Sciences Economiques et de Gestion Domaine : Gestion d entreprises Champ

Plus en détail

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ CANADIENNE DE GÉOMATIQUE Renforcer le secteur de la géomatique au Canada à travers la communauté DIMENSION DU LEADERSHIP ET DE LA GOUVERNANCE DOCUMENT DE DISCUSSION DE LA COMMUNAUTÉ

Plus en détail

(SGDD) Unité du Système général de. diffusion des données. Département des statistiques du FMI. Janvier 2004

(SGDD) Unité du Système général de. diffusion des données. Département des statistiques du FMI. Janvier 2004 Le Système général g de diffusion des données (SGDD) Unité du Système général de diffusion des données Département des statistiques du FMI Janvier 2004 partement des statistiques 2 Le Système général g

Plus en détail

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur

Plus en détail

Recommandation concernant les produits financiers durables

Recommandation concernant les produits financiers durables Recommandation Recommandation concernant les produits financiers durables Recommandation aux membres de Febelfin concernant les critères minima pour les produits commercialisés comme «durables» ou «socialement

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

ETUDE SERDALAB SOMMAIRE «GED ET GESTION DE CONTENU : MARCHE, BESOINS ET TENDANCES 2009-2010»

ETUDE SERDALAB SOMMAIRE «GED ET GESTION DE CONTENU : MARCHE, BESOINS ET TENDANCES 2009-2010» ETUDE SERDALAB SOMMAIRE «GED ET GESTION DE CONTENU : MARCHE, BESOINS ET TENDANCES 2009-2010» PARUTION DECEMBRE 2009 SOMMAIRE...3 PRESENTATION DE L APROGED...7 REMERCIEMENTS...8 INTRODUCTION...9 METHODOLOGIE

Plus en détail

1. CHAPTER LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE

1. CHAPTER LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE 1. CHAPTER 1 LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE TABLE DES MATIÈRES 1. INTRODUCTION 4 2. UTILISATION DU GUIDE DE MISE EN OEUVRE 6 3. PPRINCIPES DE REPORTING 8 3.1 Principes de contenu

Plus en détail

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite

Plus en détail

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a

Plus en détail

SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs

SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information Direction des finances municipales Janvier 2008 ISBN 978-2-550-51851-8 (PDF seulement) (3 e édition) ISBN 978-2-550-49637-3 (PDF seulement) (1 re édition) La consolidation des états

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole

Plus en détail

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14 TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour

Plus en détail

Nombre de crédits Nombre d'évaluation UE Majeure de spécialité 6 2. UE mineure de spécialité 3 ou 2 1. UE libre 1 1

Nombre de crédits Nombre d'évaluation UE Majeure de spécialité 6 2. UE mineure de spécialité 3 ou 2 1. UE libre 1 1 Mode d'évaluation Pour les sessions normales, le nombre d'évaluations dépendra de la nature de l UE. Ainsi: les UE majeures comportent deux évaluations: une évaluation à mi-parcours (devoir sur table ou

Plus en détail

DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES

DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES Service des communes et des relations institutionnelles Autorité cantonale de surveillance des finances communales (ASFICO) RECOMMANDATIONS EN

Plus en détail

CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004

CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI

Plus en détail

UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE

UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

Royaume du Maroc المرجع :

Royaume du Maroc المرجع : المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements

Plus en détail

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique

Plus en détail

Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt

Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Le gouvernement du Canada a annoncé la création du compte d épargne libre d impôt (CELI) à l occasion de son budget de 2008, puis a procédé à son

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

Plan de cours - Plein temps Bachelor Business Law. Semestre 1 Semestre 2

Plan de cours - Plein temps Bachelor Business Law. Semestre 1 Semestre 2 Plan de cours - Plein temps Plein temps Semestre 1 Semestre 2 Management 1 Système d'entreprise 2 Marketing 2 Organisation 2 Supply Chain 2 Finances 1 Comptabilité générale Comptabilité des sociétés politique

Plus en détail

Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA

Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Les présentes lignes directrices formalisent les principes généraux de bonne gestion et de bonne administration

Plus en détail

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Par : Geert Langenus (Département Études, Banque nationale de Belgique, geert.langenus@nbb.be) 4 e réunion annuelle des responsables

Plus en détail

Tirez le meilleur profit de votre argent. Solutions de placement

Tirez le meilleur profit de votre argent. Solutions de placement Tirez le meilleur profit de votre argent Solutions de placement 2 TIREZ LE MEILLEUR PROFIT DE VOTRE ARGENT Sommaire 3 Bienvenue chez Valiant 4 Solutions de placement Valiant 9 Gestion de fortune 14 Conseil

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN)

LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN) LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN) Domaine : Sciences et Techniques Mention : Management et Economie du Numérique La formation se déroule sur trois (3) ans (6 semestres).

Plus en détail

Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement

Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement MESURE 1 - ANNEXE Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement Responsabilité découlant de situations critiques pour l environnement Les Parties, Préambule

Plus en détail

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance

Plus en détail

L IMPÔT SUR LA FORTUNE

L IMPÔT SUR LA FORTUNE L IMPÔT SUR LA FORTUNE Cet impôt a succédé à l'«impôt sur les grandes fortunes» (IGF) créé en 1982. Créé par la loi de finances pour 1989, il reprend les mécanismes et la philosophie de l'igf, supprimé

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans

Plus en détail

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM DMED_PV(2010)1202_1 PROCÈS-VERBAL de la réunion du 2 décembre 2010

Plus en détail

Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles

Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles Renaud Lacroix Direction Générale des Statistiques CNIS Commission Système financier et financement de l Économie 8/10/2013 Une

Plus en détail

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:

Plus en détail

Le WACC est-il le coût du capital?

Le WACC est-il le coût du capital? Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.

Plus en détail

Guide de l'utilisateur NaviPlan : Calculatrices (Volume II sur VI)

Guide de l'utilisateur NaviPlan : Calculatrices (Volume II sur VI) Guide de l'utilisateur NaviPlan : Calculatrices (Volume II sur VI) Version canadienne - NaviPlan v15.0 Droits d'auteur et droits de marques de commerce Droit d'auteur 2013-2014 Advicent LP et ses filiales

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS AVIS D'APPEL A PROJETS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE DANS LE CADRE DU PROTOCOLE EXECUTIF DE COOPERATION SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE ENTRE L'ITALIE ET L'ALGERIE POUR LES ANNEES 2014-2016

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

CONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2

CONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2 Placements financiers CONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2 Profitez de la hausse potentielle des taux de l économie américaine et d une possible appréciation du dollar américain (1). (1) Le support Conservateur

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

MASTER ECONOMIE APPLIQUEE

MASTER ECONOMIE APPLIQUEE Le Master Economie Appliquée est destiné à des étudiants ayant reçu une formation universitaire solide en économie, statistiques, mathématiques et économétrie. Ce Master propose un cursus sur deux années

Plus en détail

L i c e n c e. www.univ-paris13.fr. Mention «Économie et de gestion» Diplôme Bac + 3. Parcours. Contacts. contact :

L i c e n c e. www.univ-paris13.fr. Mention «Économie et de gestion» Diplôme Bac + 3. Parcours. Contacts. contact : Diplôme Bac + 3 Parcours - - Contacts UFR des Sciences Economiques et de Gestion contact : Contact formation continue (Adultes en reprise d'études, Financement / VAE): tél.:01 49 40 37 64 acc-cfc@univ-paris13.fr

Plus en détail